Comment s'occuper par un samedi maussade?

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Invité

Comment s'occuper par un samedi maussade?

Message par Invité »

Ce samedi là, pas un temps à aller "jouer" dehors, nous décidons donc d'aller "à la ville" (nous habitons en pleine brousse) faire les magasins.
Malgré le ciel gris, je ne suis, comme à mon habitude habillée que d'une jupe plissée assez courte et d'un top blanc très près du corps.

Nous flânons de magasin en magasin, avant d'en trouver un dans un centre commercial qui présentait un joli échantillonnage de robe d'été en soldes.

J'en choisis une, entre dans la cabine d'essayage, "oublie" de tirer le rideau, fait tomber ma jupe et quitte mon chemisier, prenant tout mon temps pour poser mes habits bien comme il faut sur la chaise, en espérant secrètement que quelqu'un passe par là.

Pas de chance, les autres cabines sont désertées.

J'enfile la robe, Philip m'aide à fermer la fermeture éclair dans le dos, et je me regarde dans le miroir.
Pas mal du tout, pas assez transparente à mon goût, mais bon.

Et la chance nous sourit.
Un homme d'une petite trentaine arrive avec un jean sous le bras, et entre dans une cabine toute proche.
Nous nous regardons, et échangeons un sourire complice.
Pas besoin d'en dire plus entre nous...

-"Chéri, tu pourrais aller chercher l'autre robe que je voulais essayer?"
-"Bien sûr. Je reviens."
Philip s'éloigne.

J'entends dans l'autre cabine que l'homme a quitté ses chaussures et enlevé son pantalon.

-"Excusez moi, Monsieur. Vous pourriez m'aider?"

Je suis debout devant ma cabine, à peine deux mètres de la sienne.
Je vois sa tête sortir du rideau.

-"Vous pourriez m'aider avec la fermeture éclair, s'il vous plaît? J'ai l'impression qu'elle est coincée."
Et je lui décoche mon plus beau sourire, le modèle candide et coquin.

-"Je... Je ne sais pas. Je suis..."

Re-sourire ingénu.

-"Vous n'êtes pas tout nu, non?"
-"Nooon!"
-"Alors vous voulez bien m'aider?"

Un peu hésitant, il sort malgré tout de sa cabine, en caleçon, et s'approche de moi.

-"Si c'est pour mon mari que vous vous inquiétez, il n'y a vraiment pas de quoi. Il n'est pas du tout du genre jaloux."

Je lui tourne le dos, fait voler mes cheveux sur le coté, et lui offre ma nuque.

Il descend la fermeture, et je laisse glisser la robe à terre, lui dévoilant ainsi la chute de mes reins, et mes fesses.

Sans perdre un instant, je me retourne, lui offrant ainsi pleine vue sur mes seins et ma chatte lisse.

-"Merci infiniment. Maintenant, je vais attendre que mon mari m'apporte l'autre robe..."

Et je retourne dans ma cabine, où je m'assieds sur la chaise, dans une posture très lascive.

Il est resté planté là où il était, apparemment abasourdi par ce qui vient de se passer.
J'ai même l'impression que son caleçon est devenu plus étroit.

Philip revient alors, avec la robe demandée sur le bras, et arbore immédiatement une mine réjouie devant le spectacle de sa femme nue, assise sur une chaise, les jambes écartées, avec devant elle un inconnu en caleçon, visiblement aux prises avec un beau début d'érection.

-"Je vois que tu as pris les devants."
-"Oui, monsieur a été assez gentil pour m'aider avec la fermeture éclair."

Philip, en se tournant vers lui:
-"Merci beaucoup, très aimable à vous."

Puis, s'adressant à moi:
-"Voilà la robe. Tu veux l'enfiler?"

Je me lève et, seulement vêtue de mes talons hauts, lui chuchote, suffisamment fort cependant pour que l'inconnu m'entende :

-"Je crois que qu'au lieu d'enfiler la robe, c'est moi qui préférerais me faire enfiler..."
-"Les désirs de madame sont des ordres. Tu comptes te rhabiller un peu pour retourner au parking, ou bien tu restes comme ça?"
-"Je vais faire un effort pour être décente. Quelques minutes encore!"

Je remets rapidement ma jupe et mon top, et nous commençons à nous éloigner.
Cependant, avant de partir, Philip lance à l'inconnu:

-"Merci encore pour votre aide, et si l'envie vous prenait de voir ma femme se comporter vraiment indécemment, nous sommes garés au 4ème sous sol.
Mais dépêchez vous, je ne crois pas qu'elle veuille attendre très longtemps. Au revoir, et à très bientôt peut être..."

Et nous voilà partis, Philip presque hilare, moi le coeur battant et l'entrecuisse bouillant.

Dans la galerie marchande, je vois plusieurs hommes mater sans retenue mon top au travers duquel on voit très nettement les pointes durcies de mes seins.
Ce qui n'arrange pas mon état!

Nous nous engouffrons dans l'ascenseur et malgré le fait que nous n'y soyons pas seuls, Philip ne se gêne pas pour relever ma jupe par devant et par derrière et laisser courir sa main sur mon minou déjà trempé, ce qui m'arrache de petits soupirs qui font se hausser certains sourcils bien pensants.
Les gens descendent un à un et c'est seuls que nous parcourons le dernier étage.

Avant même que la porte s'ouvre, il m'a enlevé mon top, et c'est seins nus que je traverse le parking jusqu'à notre voiture garée dans un angle.

Philip ouvre une portière, afin que la lumière attire notre éventuel spectateur, pendant que sans perdre un instant, je m'accroupis devant lui, caressant son sexe tendu au travers du tissu, fais lentement sauter les boutons, me régale de la vision de son sexe épais qui palpite devant mes yeux, laisse ma langue s'y promener un peu avant de l'enfoncer le plus profond possible dans ma bouche.
Je prends tout mon temps, ne voulant pas précipiter les choses inutilement.

En même temps que je savoure la queue de Philip, une de mes mains caresse mes seins, mes doigts pincent mes tétons, avant de s'aventurer entre mes cuisses.

Deux minutes se sont écoulées lorsque j'entends Philip me dire :

-"Chérie, je crois que nous avons de la compagnie..."

J'abandonne, du moins pour l'instant, son membre luisant, me redresse, enlève ma jupe, et m'appuie sur le capot, les mains bien à plat, la croupe cambrée, le buste relevé.

Et je vois notre inconnu s'avancer lentement vers nous, un peu hésitant dans la lumière blafarde du parking.

Philip, debout derrière moi, promène sa queue entre mes cuisses, entre mes fesses, titillant mes orifices.
Je geins, impatiente qu'il s'enfonce en moi.

Je regarde notre inconnu s'approcher.
Il est maintenant à une dizaine de mètres.

C'est le moment que choisit Philip pour appuyer son gland contre ma fente humide et s'y enfoncer tout en puissance, ce qui me fait pousser un long râle de plaisir.
Il commence ses va et vient et mes sensations sont amplifiées par le regard étranger posé sur moi.

L'inconnu est maintenant à 3 mètres de nous.

Il marche doucement pour profiter du spectacle sous tous les angles.
Je ne fais rien pour me cacher, bien au contraire j'essaie de prendre des postures lui révélant tout.

C'est Philip qui décide d'accélérer le cours des choses.

-"Apparemment, tu avais déjà une belle gaule tout à l'heure. Si tu lui montrais maintenant?"
Un peu hésitant quand même, l'homme s'exécute et met à l'air une assez belle bite, pas très épaisse mais assez longue.
Il se caresse lentement, sans nous quitter des yeux.

Philip prend une de mes jambes dans sa main, la soulève bien haut, ce qui me fait pencher un peu vers l'avant, mais dévoile à notre mateur le détail de ma vulve distendue par le sexe de Philip.
Je suis en équilibre sur une jambe, fermement maintenue par les hanches, le bassin et les seins exposés au regard de l'inconnu.

Offerte.

Je commence à avoir du mal à étouffer mes cris...

Philip ralentit le rythme, se retire de moi.

-"Tu veux voir à quel point elle aime être indécente? Regarde..."

Et je sens son sexe bouger d'un petit centimètre vers l'arrière, entre mes fesses, pousser légèrement avant que mon anus ne l'accueille avec ravissement.
Ce qui m'arrache un cri rauque de jouissance...

Il me sodomise ainsi pendant une minute ou deux (peut être?) sous le regard fiévreux de notre inconnu, qui maintenant se caresse franchement.

-"Je crois qu'elle va ameuter tout le quartier si je continue. Je connais un bon moyen d'éviter ça."

Il m'attrape par les cheveux et dit:

-"N'est ce pas que tu aimerais le sucer pendant que je t'encule?"
Je hoche la tête.
-"Alors dis le!"
-"Je...veux...le sucer pen...dant que tu m'en... m'encules."

L'homme se rapproche, j'attrape sa queue et l'engouffre entre mes lèvres.

Les coups de boutoir de Philip entre mes fesses font qu'il s'enfonce à chaque fois plus profondément dans ma bouche.
Il m'attrapé par la tête et lui aussi s'agite du bassin.
En clair, il me "baise la bouche".

Ces va et vient des deux cotés font que je dois ressembler, dans la lumière glauque du parking, à une poupée désarticulée.

Ou bien à une pute de quartier malfamé est train de se faire prendre comme une chienne par deux clients pressés.

J'avoue que cette pensée m'excite.

J'entends Philip dire:

-"Je sais qu'il y a un truc qu'elle adore."

Il se retire de moi, je délaisse la queue de l'inconnu, il me fait faire demi tour sur mes talons hauts. Je suis face à mon mari, tout sourire.

Je l'embrasse à pleine bouche pour lui faire goûter un peu de la saveur de cette bite étrangère.
Il me rend mon baiser fougueusement.

Il dit à l'inconnu:

-"Appuie toi sur le capot.", et celui ci s'exécute.

Philip me soulève alors et me porte vers l'inconnu, sur qui il me pose.

-"Tiens là!"
Et je sens des mains me prendre par les fesses.

Philip passe sa main entre mes cuisses grandes écartées, et je sens qu'il empoigne la bite de l'inconnu et la dirige vers mon anus où elle s'enfonce lentement, profondément, et sans aucune difficulté.

Mon cher mari passe alors ses bras sous mes jambes, et d'un seul coup sec m'embroche par devant.

Pour celles parmi vous qui ont déjà pratiqué cela, je ne pense pas avoir besoin de décrire les sensations d'une double pénétration, je crois que vous savez de quoi je parle. Pour les autres, je les plains. Elles ne savent vraiment pas ce qu'elles perdent.

J'ai demandé à Philip ce qu'il aimait dans ce genre de pratiques.

Outre le fait de voir sa chère épouse se faire sauter et jouir comme une petite folle, il m'a dit qu'il aimait beaucoup la sensation de sentir une autre bite frotter contre la sienne.
Alors si c'est bon pour lui et si c'est bon pour moi, on ne va pas s'en priver!

Pendant que ces messieurs me "travaillent au corps", je m'abandonne totalement au plaisir, imaginant que d'autres hommes sont autour de nous, se régalant du spectacle la bite à la main.
Je rêve leurs commentaires salaces et crus.
Mes mains tentent de recréer leurs caresses sur mes seins.

Je vois le visage de Philip se raidir et je sens sa queue se gonfler dans ma chatte.
Je sais qu'il va jouir.

-"Vas y mon chéri. Défonce moi! Donne moi tout!"

Et je sens son sperme m'inonder.
Quelques coups de reins supplémentaires, et il se retire de moi haletant.

Je m'échappe aussitôt de l'inconnu me sodomisant, pour me retourner et me jeter sur sa bite.
Je le suce comme si ma vie en dépendait, et lorsque je sens les premières gouttes de son sperme sur ma langue, le "finit" à la main, m'arrosant le visage d'une douche chaude et visqueuse.

Je suce à nouveau un peu les deux bites qui me sont offertes, me délectant de la sensation de foutre me dégoulinant du visage sur les seins, de ma chatte sur mes cuisses.
La séance est finie.
L'inconnu se renculotte.
Je me relève, instable sur mes jambes, secouée par cette divine partie de baise.
Philip m'embrasse à pleine bouche, léchant un peu du sperme de l'autre homme pour le mêler à son baiser.
Je m'effondre dans la voiture, sans même prendre la peine de me rhabiller.
Si des hommes dehors, sur la route ou à un feu, me voient nue dans la voiture, le visage couvert de sperme, les seins durs et gonflés, tant mieux pour eux.
Et tant mieux pour moi.
Et je sais que Philip appréciera aussi.

Avant de monter à son tour dans la voiture et de démarrer, Philip un dernier mot au "gagnant du jour".

-"Merci encore pour votre aide tout à l'heure avec la robe. Vraiment très aimable. Au revoir."

La portière claque, et nous partons, laissant l'homme seul dans le parking.

Je me demande si il y est encore, attendant de se réveiller de ce qu'il pense peut être avoir été un rêve.

Moi, en tout cas, je sais que ce n'en était pas un.
Mon corps ne ment pas...
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Re: Comment s'occuper par un samedi maussade?

Message par Invité »

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Vacma
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Re: Comment s'occuper par un samedi maussade?

Message par Vacma »

C’est torride et il y a de quoi ravir tous les amateurs d'exhibitionnisme et de voyeurisme !!!😉😉😉

J’avais déjà eu la chance de lire ce récit sur Doc mais il avait fini par disparaître comme l’ensemble de ton profil. Une vraie descente stalinienne avais tu expliqué !!!😉😉😉
Ne pas craindre d’être lent, mais craindre de s’arrêter !!!
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