Dites-le avec des fleurs. [BDSM]

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Topmaso
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Dites-le avec des fleurs. [BDSM]

Message par Topmaso »

Anne était une adolescente rebelle. Punk grand teint, elle s'était sculpté une crête d'iroquois sur la tête et avait rasé ses tempes. Cette auréole de cheveux roux s'harmonisait avec ses yeux verts... Cependant, cette tenue était contraire au règlement. Comme je l'avais convoquée au bureau pour le lui signifier, elle avait vivement réagi. Je me retrouvais allongé sur mon bureau, ses genoux plaqués sur mes épaules m'immobilisaient pendant qu'elle s'appliquait à me faire manger le règlement feuille par feuille, tout en m'insultant...

Elle était en train de me fourrer la page sept dans la bouche quand la psychologue entra dans le bureau. Anne la connaissait bien et se calma. Elle se retourna pour lui parler et relâcha un peu la pression... Je relevais la tête pour écouter mais elle me lança : "toi, pauvre merde gominée, j'en ai pas fini avec toi. Termine ce que t'as dans la bouche." N'osant la contrarier, je continuais docilement à mâcher la feuille mais dressai l'oreille. La psy lui expliquait qu'il fallait créer un climat plus détendu pour discuter avec les gens. En leur offrant des fleurs par exemple. Cela sembla la toucher et m'épargna d'avaler le chapitre sur la sécurité dans les ateliers.

En effet, le lendemain, elle m'apporta un bouquet de roses. Sans épines. Un détail que j'appréciais... tandis qu'elle me forçait à les manger tige par tige.


NDA : Dans Dites-le avec des fleurs, c'est ma copine de lycée Anne qui m'a servi de modèle. Une superbe rousse aux traits fins et à la longue chevelure qui, du jour au lendemain se coupa la tignasse à ras (avait-elle craqué en regardant le vidéo-clip Sweet Dreams, avec la sublime Annie Lennox ?) puis se rasa carrément les tempes (c'était le début des années 80, période Mad Max.) Malgré son look, Anne avait plutôt un caractère froid et réservé. J'en fais ici une furie indomptable. (J'aime beaucoup le passage où elle me traite de « pauvre merde gominée . »)
Dernière modification par Topmaso le 24 avril 2014, 20:58, modifié 1 fois.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Nous nous préparions, Emmanuelle et moi, à notre duel de tarte à la crème. Comme une bonne humiliation se devait d'être publique, l'ensemble des étudiants était convié et l'amphi était plein. Je coiffais Emmanuelle comme moi afin que nous ayons tous les deux le même look slapstick : j'appliquais dans ses cheveux noirs de la crème capillaire et, à l'aide du peigne, les lui plaquait en arrière de part et d'autre d'une raie médiane. Dans son costume noir, elle avait l'allure d'un superbe androgyne aux yeux cernés de noir.
Elle parue la première sur scène, sous les applaudissements, et se mit en devoir d'organiser les tartes disposées sur une table.
J'arrivais alors par derrière puis, la saisissant pas la nuque, lui mis le nez dans une tarte sous les rires de l'assistance.
Elle se redressa, l'air couroucé, rejeta en arrière deux mèches de cheveux qui encadraient son front souillé de crème et se remit à ordonner les tartes.
Je m'approchais alors et, tout en maintenant sa tête d'une main, je lui écrasais sur le visage une seconde tarte en insistant bien. De nouveaux rires saluèrent cette action.
Cette fois, elle me regarda, pris une tarte et me l'applatit sur le visage dans un jaillissement de crème. Rire général.
J'écartais la crème de mes yeux, pris une nouvelle tarte et, comme me tournait le dos, lui tapais sur l'épaule. Elle fit volte face et je la coiffais de la tarte que j'écrasais lentement, répandant de la chantilly sur ses cheveux. Nouveaux rires.
Cette fois, Emmanuelle était décidée à me châtier de ma témérité : elle pris une tarte puis la plaquant contre mon menton, me l'écrasa sur le visage la faisant remonter jusqu'au sommet de mon crâne. Je restais immobile, sujet aux quolibets de l'assistance.
Pendant ce temps, Emmanuelle s'empara de deux nouvelles tartes et passa derrière moi. Elle les abattit sur ma tête, la prenant en sandwich. L'assistance, hilare, applaudit à tout rompre.
Aveuglé, je me laissais guider par Emmanuelle jusqu'à une chaise sur laquelle elle déposa une nouvelle tarte. D'une pression sur mes épaules, elle me fit asseoir dessus. Nouveaux rires du public.
Mais ce n'était pas tout : Emmanuelle était décidée à m'achever en beauté. Prenant à pleine main de la chantilly, elle me l'étala conciencieusement sur le visage, puis, passant derrière moi, elle ramena la crème au sommet de mon crâne comme pour m'en faire un chignon. Là, elle me coiffa d'une nouvelle tarte, comme une auréole. Ainsi couronné, je pensais être fini... Mais ma brune n'en avait pas terminé avec moi...
Elle traça un sillon dans la crème, à l'emplacement de ma raie médiane, dévoilant la chair et, prenant un flacon de concentré de chocolat, le vida le long de cette gouttière de manière à ce qu'il me ruiselle sur le visage. Cette fois, l'assistance applaudit.
Il ne lui restait plus qu'à apporter une touche finale à son œuvre : elle pris un œuf, le présenta devant moi et j'ouvris docilement la bouche pour qu'elle l'y plaçât. Tonnerre d'applaudissement devant le triomphe de la brune qui saluait tandis que j'inclinais piteusement ma tête couverte de crème et de chocolat.
Toute la séquence avait été filmée et le lendemain, je serai sur internet.
Une bonne humiliation se doit d'être publique.

NDA : Dans Humiliation publique, je mets en scène mon amie Emmanuelle d'abord humiliée puis m'humiliant. Je l'avais rencontrée à une fête de nouvel an chez un ami. Le thème de la soirée était les années 30. Elle n'était pas venue déguisée et je lui avais proposé de lui faire un look approprié. Malheureusement, elle refusa. Je me rattrape en la coiffant à mon envie au début du récit.
Dernière modification par Topmaso le 23 décembre 2014, 23:25, modifié 3 fois.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Ami jeune, si tu nous lis et que tu n'as pas tes 18 printemps révolus, passe ton chemin. Ne retiens qu'une chose : si, dans ce récit fictif, Creatura m'inflige une sévère correction, c'est pour me faire perdre la détestable habitude de porter des objets en plastique à ma bouche. En effet, cela peut provoquer des aphtes ou des cancers. Pense-z-y et prends soin de ton hygiène bucco-dentaire car, n'oublie pas, les gencives aussi c'est important. Voilà, merci de ton attention, au revoir, les majeurs, vous pouvez entrer.


Ce jour là, je me préparais à quitter mon bureau lorsqu'une étrangère me rendit une visite de courtoisie.

Vêtue d'un très long manteau noir, chaussée de bottes à talons hauts de la même couleur, elle avait une allure sublime. Ses beaux cheveux bruns, très longs, étaient lissés et noués à l'arrière, en un simple et élégant chignon.

A son entrée, je me levai et lui tendis la main... Mais elle garda les siennes dans ses poches et me toisa avec sévérité.. Elle entrouvrit son manteau, dévoilant sa jambe droite : sa peau d'une blancheur de lait était gainée d'un bas de nylon noir particulièrement raffiné.

Etait-ce une invitation ? Subjugué, je m'avancais vers elle. Sortant une de ses mains de sa poche, elle m'empoigna le bras avec une fermeté que la délicatesse de ses poignets ne laissait soupçonner. Elle avança son visage vers mon cou. Pris d'une bouffée de chaleur, je l'entendais inspirer : elle flairait mon odeur, son haleine était chaude... Elle avait le regard d'une prédatrice. Tout en me plaquant les poignets dans le dos, elle me susurra à l'oreille d'une voix impérative : « Humm, J'ai le corps en flamme... tu sens bon... laisse-toi faire... »

Complètement sous son emprise, je ne demandai pas mieux... Elle tendit alors son genou sur mon corps, levant cette jambe qui m'avait emmené dans ses filets... Son genou était maintenant tout proche de mes testicules. Je ne portais pas de sous-vêtement et

je sentais mon sexe se bomber. Sa bouche vint tout contre mon oreille et son genou me caressa le sexe.
Avant que je ne puisse réagir, elle me plaqua les mains dans le dos et m'attacha. Je n'avais rien vu venir. Où avait-elle pris ces cordes ? Je voulus parler mais elle me dit, d'une voix douce, chaude mais grave : « tais-toi. »

Elle m'asséna alors un coup dans les parties. Je poussai un un cri étouffé, courbai l'échine et tombai à ses pieds. Elle me toisa avec un sourire en coin qui ne m'était pas destiné. J'étais à genoux devant elle et elle m'empoigna la tête a deux mains puis ouvrit son manteau révélant un godemiché noir.

Ma bouche se rapprocha de ce gode qu'elle me força à sucer comme si c'était son propre membre. J'étais troublé mais elle m'obligea à sucer plus fort et plus vite.

Je devais suivre ses recommandations mais ne le suçai pas assez bien.
Comme elle n'était pas satisfaite, elle me cingla le visage avec ses gants puis elle me tordit finalement les bras avant de me projeter la face contre le mur. Elle baissa mon pantalons avec une telle force que la boucle de ceinture se cassa.

Elle pris alors ma propre règle sur mon bureau , m'empoigna par les cheveux, me cambra le corps en arrière et me fouetta les fesse avec...

« Répète après moi, cher professeur :

- Je sucerais...
- Je sucerais...
- Mieux...
- Mieux...
- Les étrangères qui entrent dans mon bureau.
- Les étrangères qui entrent dans mon bureau.
Vlan ! (La règle s'abat sur mes fesses.)
-Je ne suis rien...
-Je ne suis rien...
- Et je t'offrirai ma chaise si tu entres.
- Et je t'offrirai ma chaise si tu entres.
Vlan ! (La règle s'abat de nouveau sur mes fesses, avec plus de forces.)
- A genoux sous le bureau...
- A genoux sous le bureau...
- Je te sucerais la queue...
- Je te sucerais la queue...
- Car je suis une salope de pute.
- Car je suis une salope de pute. »
Vlan ! (Un nouveau coup. Mes yeux me piquent.)

Puis, elle se pencha vers moi et, malicieusement, m'annonça : « Et on recommence la leçon... Tu as bredouillé... »
Mes chairs tremblèrent... Mais, au fond de moi, j'en réclamai encore.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Lorsque Creatura pénétra dans mon bureau, elle me trouva allongé sur le meuble, broutant silencieusement le bouquet de fleurs qu'Anne m'enfonçait dans la bouche.
"Repassez plus tard, lui dit la punk, je n'en ai pas terminé avec lui."
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

J'avais invité Ingrid a un petit repas intime lorsque Céline arriva.
Elle me couva d'un oeil noir.
Je m'étais fait beau, cravate et cheveux gominés, partagés par une raie médiane.
Céline décida d'y apporter sa touche personnelle.
Attrapant ma nuque, elle me plongea le nez dans mon assiette de purée, y écrasant lentement mon visage comme on écrase un mégot dans un cendrier.
En face, Ingrid alluma une cigarette pour mieux jouir du spectacle.
Céline me redressa alors, puis enleva mes lunettes.
Elle prit ensuite l'assiette d'Ingrid et me l'écrasa sur le visage dans un lent mouvement de rotation du poignet puis la remonta lentement par dessus mon crâne.
La purée se mélangea à mes cheveux.
Ingrid relâcha une bouffée tout en esquissant un sourire.
Céline commença ensuite à me vider la saucière de jus de viande sur la tête. Je sentis goutter le liquide dans mes cheveux et le long de ma raie médiane, se mélangeant avec la purée et la crème capillaire.
Ingrid souriait, s'amusant du spectacle.
Céline empoigna alors ma cravate et me leva. Entrouvrant mon pantalon, elle entreprit de vider le reste de la saucière dans mon caleçon puis, son oeuvre accomplie, elle me fit rasseoir tandis qu'Ingrid gloussait.
Céline passa derrière ma chaise, pris les deux tartes à la chantilly préparées pour le dessert puis, dans un seul mouvement, me les écrasa de part et d'autre de la tête, comme un sandwich. Elle fit tourner les deux plats de manière à bien mélanger la crème et mes cheveux.
Il ne lui restait plus qu'à m'achever : prenant un tube de chocolat liquide, elle commença à le vider depuis le sommet de mon crâne, dessinant des arabesques sombres sur la crème.
Enfin, avec un dernier regard de mépris, elle m'abandonna ainsi.
Il ne restait que la touche finale à apporter.
Se levant à son tour, Ingrid, après une dernière bouffée, écrasa son mégot sur ma tête.
« Merci pour cette excellente soirée » me dit-elle avant de me laisser.

NDA : Dans Repas intime, j'imagine que mon amie Céline me surprend lors d'un souper en tête à tête avec ma copine Ingrid. Céline était une petite brune à la bouille ronde et au caractère affirmé – elle tenait ça de ses origines sardes, je lui donnais naturellement le rôle de l'amoureuse vindicative qui m'humilie en présence de sa rivale. Quant à Ingrid, c'était une petite blonde – comme il se doit - dont les yeux bleus et la coiffure (coupe au carré mi-longue, raie au milieu sans frange) me faisaient craquer. C'était aussi une petite bêcheuse et je l'imagine fort bien se régalant de mon humiliation et m'écrasant avec dédain un mégot sur la tête.
Dernière modification par Topmaso le 24 avril 2014, 21:01, modifié 1 fois.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Le plein de vitamine C.
(Attention, contenu potache voire TFunesque.)

Ami jeune, si tu lis ce message et que tu n'as pas atteint l'âge révolu de la majorité, sache que l'orifice mentionné ci-après est celui de mon conduit auditif. Nous avions songé y introduire une banane en hommage à Marcel Gotlib mais l'inflation limitant notre budget, nous nous sommes rabattus sur un légume plus démocratique. Attention, Ami jeune, ne reproduis pas ces expériences à la maison, même en présence de McGyver et d'une brigade de sapeur-pompiers. Les autres, vous pouvez entrer.


J'avais perdu un pari contre Creatura.
Maintenant, il me fallait assumer.
J'étais à genoux, en caleçon et elle m'avait menotté les mains dans le dos.
Elle me regardait de haut, me toisant avec dédain alors que je baissais la tête.
Puis elle me présenta... une carotte !
« - Ouvre la bouche et tâche de bien lubrifier, petite crotte, me dit-elle. »
J'ouvrais docilement la bouche pour qu'elle y introduisit le légume.
Elle lui imprimait un mouvement de va et vient comme si je suçais un gode...
« - C'est bon, hein ? Régale-toi. »
Je suçais intensément le légume, essayant de faire durer cette étape le plus longtemps possible car je connaissais la suite.
Creatura se lassa.
« Suffit comme ça, déclara-t-elle, et joignant le geste à la parole, elle retira la carotte de ma bouche... Maintenant, penche-toi. »

D'un geste, elle arracha mon caleçon puis, lentement mais avec fermeté, elle commença à utiliser le légume pour me pénétrer.
Je ressentis comme une brûlure : soit je n'avais pas assez lubrifié, soit le légume était trop gros pour mon orifice.
Progressivement, elle me l'enfonça jusqu'à la garde.

J'eus une sueur froide à la pensée qu'on ne puisse pas le retirer. Je m'imaginais aux urgences, sous le regard narquois des médecins. De quoi meubler une séquence de Docteur House !
Afin de m'infliger une honte profonde, elle me laissa ainsi pendant de longues minutes.
« Va-z-y, me dit-elle, essaie de l'expulser. »
Je n'y arrivais pas, bien entendu.
Enfin, elle consentit à me délivrer de mon tourment.
Mais je n'étais pas quitte.
Elle me le présenta de nouveau.

« Allez, mange... Là, c'est bien, mâche bien... Encore... Tu verras, ça rend aimable. »

NDA : Je ne connais pas Creatura qui m'a fait la grâce d'accepter de figurer dans La visite de courtoisie, dont elle a co-écrit le script, et dans le plein de vitamines C où elle me pousse dans mes derniers retranchements. Je me permets même un petit crossover où Anne et Creatura se rencontrent. Je tiens à la remercier, ainsi que Lilired, car ses critiques m'ont enhardi à poster.
Dernière modification par Topmaso le 24 avril 2014, 21:04, modifié 1 fois.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Corine m'avait invité à un petit dîner en tête à tête.
Blonde aux yeux bleus, une coupe en brosse façon Désirless qui lui donnait un petit côté masculin, elle me plaisait beaucoup.
Elle me félicita pour ma tenue, costume sombre et cravate assortie, et pour ma coiffure qu'elle aimait beaucoup : « je trouve ça classe, les beaux bruns gominés, et c'est mignon la raie au milieu. » me dit-elle en souriant.
Elle s'approcha de moi puis... me renversa la soupière sur la tête !
« Comment tu trouves le potage, trésor ? » grinça-t-elle.
« ça manque un peu de sel... » hasardai-je.
« Voilà » Elle prit la salière et m'en saupoudra le contenu sur la tête.
« Ne bouge pas, la suite arrive. »
Elle me déversa ensuite le plat de raviolis sur le crâne.
« C'est lundi ? » fis-je, tandis que la sauce me dégoulinait partout...
« Un peu de vin, peut-être ? » proposa-t-elle en me vidant lentement une bouteille de piquette sur la tête, observant mes réactions...
Je ne bougeais pas, le vin me dégoutait le long des cheveux et du visage mais je me laissais faire en lui rendant son regard.
Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à mon humiliation.
« Voici le fromage, un camembert bien fait... » qu'elle m'aplatit sur le visage.
« Et comme dessert... deux boites de crème Mont Blanc, vanille et chocolat ! » qu'elle mélangea artistiquement sur ma tête et mes épaules...
Restait un petit café, qu'elle me versa avec délectation sur le crâne.
Elle s'assit alors en face de moi et alluma une cigarette.
S'approchant, elle me cracha sa première bouffée au visage.
Puis, me toisant avec un sourire malicieux, elle me demanda :
« Alors ? Elle t'en prépare d'aussi bons petits plats, l'autre pouffe ? »

NDA : Dans Un dîner mouvementé, je remake Repas intime. C'est ma copine de fac Corine, une blonde aux yeux bleus dont la coupe en brosse me rappelait la chanteuse Désireless, qui m'inonde de nourriture avec délectation.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Avantages en nature.

Ami jeune, si tu nous lis, tout fier de ton duvet naissant, n'oublie pas que le Parlement français, dans son infinie sagesse, a fixé la majorité à 18 ans. Si tu ne les as pas, retourne à l'accueil et attends-y tes parents. Les majeurs, vous pouvez lire.

Sophie D. dirigeait son entreprise d’une main de fer dans un gant de cuir.
Elle aimait humilier ses cadres, en particulier les célibataires comme moi.
Je devais négocier mes dates de départ en vacances.
Avec les nouvelles lois, cela s’annonçait serré.
J’attendais devant son bureau.
Penchée sur ses dossiers, elle ne m’accordait pas un regard.
Je contemplais ce visage, beau et sévère avec ce front blanc encadré par deux mèches couleur d’encre.
Soudain, ses yeux noirs se fixèrent sur moi comme pour me transpercer.
« - J’ai regardé les dates de vos congés. J’ai peur que ce ne soit pas possible.
- Pas possible ? fis-je… mais… ça fait… J’ai besoin de ces vacances… S’il vous plait. » Ma voix se fit plus plaintive que je ne l’aurais voulu. Elle comprit immédiatement qu’elle avait l’avantage, et elle avait l’intention d’en profiter.
« - Passe derrière le bureau ! » m’ordonna-t-elle.
Surpris par le ton de sa voix, je m’exécutais.
« - Accroupis-toi. Là… Bien. Tu veux tes vacances ? Il va falloir les mériter ! Je ne t’ai pas trouvé très productif ces derniers temps, alors tu vas payer un peu de ta personne » décréta-t-elle.
Je l’observais, trônant dans son fauteuil directorial… Faisant mine de ne pas comprendre.
Elle me faisait face, décroisa ses jambes, avançant son pied droit jusqu’à mon menton.
« - Allons, ne fais pas l’ingénu. Tu sais bien ce que j’aime. Ce n’est pas la première fois…

Puis, posant le pied devant moi… Allez ! »
Je me penchais alors vers sa bottine vernie, puis, sortant ma langue, commençait à la lécher, d’abord son extrémité pointue, puis je remontais lentement le bord, jusqu’au talon.
Je sentais son regard narquois tandis qu’elle m’encourageait : « Là. C’est bien… Continue. Applique-toi. »
Pendant de longues minutes, je lustrais sa chaussure, abandonnant toute dignité.
Je la sentais jouir de l’humiliation qu’elle m’infligeait.
« Continue, c’est bien… Là. Plus fort !… Maintenant, l’autre pied, allez ! »
Je continuais ainsi pendant de longues minutes qui me paraissaient des heures… Jusqu’à ce qu’elle en ait assez.
Elle examina avec un sourire de contentement ses bottines luisantes de salive.
« Tu sais comment me faire reluire, ricana-t-elle. Va. Tu les as tes congés… » laissa-t-elle tomber en me faisant sentir tout le mépris qu’elle éprouvait pour moi.
Au bord des larmes, je me levais et me dirigeais vers la porte de son bureau…
Si je n’étais pas trop lâche pour chercher un autre job… A moins que je n’éprouve une forme de plaisir pervers à ces dégradations répétitives ?
Comme je posais ma main sur la poignée, sa voix retentit de nouveau : « attends ! »
Ma nuque se glaça.
« Nous n’avons pas encore parlé de votre revalorisation de salaire, monsieur J. » dit elle en ouvrant le tiroir supérieur de son bureau.
J’écarquillais les yeux comme elle en sortait un énorme godemiché.
Elle me regarda avec froideur et ordonna, sourire en coin : « Viens ici et penche-toi ! »

Sophie m’obligea à me coucher à plat ventre sur le bureau. Afin de ne pas être dérangée par mes cris – et de ne pas alerter le petit personnel, elle prit les feuilles d’un rapport qu’elle roula en boule et me les enfonça dans la bouche. Puis d’un geste brusque, elle baissa mon pantalon. Je sentais son regard amusé sur ma nuque tandis qu’elle lubrifiait son engin… Puis, lentement, elle se mit à l’oeuvre. D’abord par des mouvements de va et vient réguliers, puis de plus en plus rapides. Je pressais le rebord du bureau avec mes doigts pour contenir la douleur et des larmes jaillirent sans que je ne puisse dire s’il s’agissait d’une réaction de honte, de souffrance ou de plaisir.
Elle se pencha sur moi, m’empoigna les cheveux et, me tirant la tête en arrière, rapprocha son visage de mon oreille. Je sentais son souffle chaud et j’entendis sa voix me murmurer : « J’espère que tu apprécies, petite crotte, parce que la journée va être longue… »

NDA : Dans Avantages en nature, je raconte comment ma directrice m’inflige un « traitement de faveur ». Je me suis inspiré d’une de mes supérieures, une belle femme d’une quarantaine d’années - mais qui n’a jamais fait preuve de la moindre incorrection à mon endroit – et de ma copine de fac Sophie, une belle brune d’origine grecque au tempérament bien trempé. Je m’étais montré maladroit dans notre relation. Belle occasion de lui accorder une revanche. La fin ouverte ( !) semblant laisser mes lectrices sur leur… faim, j’ai rajouté un paragraphe pour compléter ma dégradation. Une belle métaphore sur les rapports patronat/employés, selon moi.
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Mad'O
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

t'as trop mis d'un coup je lis demain...... ;)
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Merci Mad'O.
N'hésite pas à ma donner ton avis. :quichou:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

j'aime bien, mais les trucs de bouffe c'est vraiment pas mon délire à moi :lol:
je rpéfère celles avec l'inconnue et celle avec la patronne :d

mais on sent que pour toi c'est "important", et en cela, tu le décris pas mal :)
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Merci. :)
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Un petit conte cruel, posté sur un topic voisin (à lire avec l'accent provençal, c'est plus joli.) :

Elle était jeune, moche, inculte et conne par dessus le marché... Mais elle savait qu'un jour son prince viendrait la trouver dans son appart pourri de sa cité pourrie dans sa banlieue pourrie aussi...
Un soir (bon, à la tombée du jour quoi, on va pas chipoter), en effet, on frappa à sa porte.
Elle ouvrit.
C'était lui.
Il était blond, il était beau, il sentait bon le sable chaud... Il aurait pu être légionnaire.
Il avait un bouquet de fleurs à la main.
Elle ressentit une douce chaleur et lui sourit.
Le prince, car c'était bien un prince, lui rendit son sourire et s'excusa du dérangement...


Tout confus qu'il était d'avoir confondu avec la sonnette du canon d'en face.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Fear factor.

Judith et moi cherchions un endroit à l’ombre, près de la plage.
« Par ici, me dit-elle, il n’y a pas de fourmis. »
Nous posâmes nos affaires, puis, je commençais à creuser quelque mètres plus loin, un trou assez grand pour que je puisse y tenir debout.
« - Tu veux vraiment aller jusqu’au bout ? s’inquiéta Judith.
Je la regardai. Blonde menue au cheveux bouclés, les yeux verts, elle était adorable.
- un pari est un pari, » fis-je.
Une fois le trou suffisamment profond, je m’y installais. Puis Judith commença à m’enterrer.
Il ne lui fallut pas très longtemps pour me recouvrir jusqu’au cou.
Je voyais son pied aux ongles délicatement vernis de rouge juste à quelques centimètres de mon visage et je fus pris de l’envie soudaine de lui gober le gros orteil…
« Arrête, t’es trop con ! » me dit-elle en retirant vivement son pied.
Je la regardai, sa silhouette se découpant contre le ciel, et lui souris…
Elle semblait moyennement enthousiaste mais elle continua à suivre notre scénario.
Elle se pencha au dessus de ma tête, ouvrit un pot rempli d’un liquide épais et sucré et commença à me le vider sur le crâne, en prenant bien soin de le malaxer avec mes cheveux pour qu’ils s’imprègnent bien.
« Berk, fit-elle, ça poisse ! »
Une fois terminé, elle se redressa. Elle me contempla.
Puis, prise d’une inspiration soudaine, elle revint vers moi, s’accroupit au dessus de ma tête et…
Se soulagea.
Je sentis un liquide tiède me couler le long des cheveux, me dessinant une raie au milieu…
Sa besogne accomplie, elle se redressa et me toisa en souriant. Je lui rendis son sourire.
Elle se dirigea vers son sac, revint puis me plaça une pomme dans la bouche.
Savourant ce spectacle auquel elle avait apporté sa touche personnelle, elle repartit s’installer à quelque mètres et déplia un transat afin de me surveiller du coin de l’œil jusqu’à la fin de l’épreuve que nous avions fixée à la tombée du soir.
Elle commença à bouquiner un roman.
C’était Sa Majesté des Mouches. :heink:

NDA : J’ai beaucoup de tendresse pour Judith qui est ma complice dans la nouvelle Fear Factor. C’était la petite amie d’un de mes camarades de fac. Une fois, je m’étais un peu moqué de la « coiffure de vieille » qu’elle s’était faite faire. Là, je lui ai donné l’occasion de me rendre la monnaie de ma pièce. Mon épreuve s’inspire du jeu Fear Factor qui impose aux candidats de relever des défis souvent dégradants pour gagner une somme d’argent. Chez moi, l’humiliation est totalement gratuite.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Edit : Je n'éprouve plus aucune tendresse pour Judith qui, lorsque je la croise, fait mine de m'ignorer et de ne pas me voir.
ça peut flatter mon masochisme me ça blesse un peu mon amitié. :pfff:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Attention, celle-là est trash.
Jeune de moins de 18 ans, casse-toi.


J'avais déplu à la reine Tanaa, et mon châtiment n'allait pas tarder.
"- Faites-le enterrer jusqu'au cou, ordonna-t-elle, et dites à Fify de lui chier sur la tête !"

Je fus emmené jusqu'au lieu du supplice où on m'ensevelit.
J'imaginais avec dégoût le sort qui m'étais promis, la tête couronnée d'un étron et dévoré par les mouches. :sweat:
J'eus à peine le temps de réaliser : une ombre... puis un paquet mou s'abattit sur moi, noyant instantanément tous mes orifices. :hein:


Fify était son éléphant préféré. :valfa:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Avertissement : Ami Jeune, si tu n’as pas l’âge de voter, tu n’as rien à faire ici.
Ce topic s’adresse à des grandes personnes aussi, pars et, surtout, ne te retourne pas. Et n’oublie pas qu’une bonne mise donne de toi une bonne image et qu’il est important de bien se brosser les dents après chaque repas car seul Austin Powers sait tomber les filles avec des dents pourries.

Les majeurs, vous pouvez lire.


Tyrannie domestique.

J’attendais le retour de Claire en briquant la maison. Comme elle était très maniaque, je prenais soin à ne rien laisser traîner, ni objet, ni même un grain de poussière. Ma mise devait être impeccable : gilet à rayure soigneusement repassé, rasé de près, les cheveux bien peignés et pommadés, ordonnés le long d’une raie médiane – une coiffure de soumis qu’elle m’imposait : « ça te va bien, le look « tête de cul », se moquait-elle… Et puis, ça correspond bien à ta personnalité… » Ce qui était vrai…
Elle arriva vers 18 heures. Habituellement ponctuelle, elle semblait contrariée. C’était une grande jeune femme brune, drapée dans un long manteau noir. Sa peau de lait contrastait avec ses yeux foncés. Ses lèvres étaient d’un rouge vif. Son front était bombé et bien dégagé car ses boucles étaient soigneusement lissées et ramenées en arrière, disciplinées par le gel. Elle ne portait que des habits sombres : un tricot noir, rehaussé d’une chaîne en or, un pantalon brun et des bottines de cuir noir.
C’est là ce qui la tracassait : elles étaient couvertes de poussière.
« Nettoie ça, » me dit-elle, en s’asseyant dans un fauteuil.
Je m’approchais, m’agenouillais à ses pieds et commençait à briquer ses bottes du mieux que je le pouvais.
Elle ne disait rien, m’observant silencieusement.
Je continuais de frotter, inquiet de son silence.
« - Tu penses que c’est propre ?
- Oui, répondis-je.
- Vraiment ?
- On pourrait manger dessus. »
Elle me prit au mot. Se levant brusquement,elle se dirigea vers la cuisine puis revint, une bombe de chantilly à la main. Se rasseyant dans le fauteuil, elle en répandit le long de sa botte puis me tendit la jambe.
« Va-z-y, me dit-elle. Régale-toi. »
La garce !

Version hard – (on vous aura averti.)

Il pleuvait. Claire arriva vivement contrariée.
« - Mes bottes sont couvertes de boue et j’ai rendez-vous dans un quart d’heure !
Qu’est-ce que tu attends pour nettoyer, ça !!! » hurla-t-elle d’une voix suraiguë.
J’accourus vers elle, un chiffon à la main, me courbai à ses pieds quand, soudain, elle m’empoigna par les cheveux et me secoua la tête !
« - Dis donc, espèce de petite crotte gluante, tu sais combien ça coûte des bottes comme ça ?
Qu’est-ce que c’est que ce torchon que tu veux utiliser ? Pour mes bottes, c’est du vison, minimum ! »
Les larmes aux yeux, tellement sa violence m’avait surpris et choqué, je balbutiai que je n’avais rien comme ça ici.
En réponse, je reçu un brutal coup de pied dans la poitrine et je m’étalai le dos au sol.
Elle se redressa, me dominant de toute sa hauteur et avança son pied à hauteur de ma bouche…
« Alors, improvise ! »
J’eus alors la vision de Malcolm McDowell, dans une position similaire, dans le film Orange Mécanique. Plaqué au sol, la semelle d’une chaussure à proximité de son visage… Comme lui, je me mis à la lécher.
Claire eut un gloussement de satisfaction.
Je continuai, m’appliquant, lapant bien les rebords, m’efforçant de lustrer ses satanés bottes en faisant abstraction du dégoût que j’éprouvais.
Claire m’observait, affichant un regard réjoui.
« Bien, fit-elle, tu remplis bien ton office. Continue. »
Pendant un temps qui me paru interminable, je nettoyais ses chausses jusqu’à ce que ma langue me parut de cuir.
Elle les examina, minaudant de satisfaction…
« ça m’a l’air… acceptable. Bien. Tu as bien travaillé. Je te laisse. »
Sans un regard pour moi, elle se dirigea vers la porte et sortit.
Je me redressais. Mes yeux me piquaient. Ma langue me brûlait. Et j’étais tenaillé par la honte.
Je sentis alors un courant d’air.
Je me retournai.
Elle était déjà rentrée ?
Elle me toisait avec un regard malicieux. Puis sourire en coin, elle me dit :
« Tu n’imagines pas la mésaventure qui vient de m’arriver.
Figure-toi que je viens de marcher dans une crotte de chien… »





Le soir, pour me venger, je léchai discrètement ses couverts et son assiette avant de la servir.

NDA : Pour Tyrannie domestique, je me suis inspiré d’une copine de lycée, Claire, qui était la plus douce des filles. J’en fais une maniaque retorse et sadique qui inflige à sa domesticité (moi) des traitements dégradants.
Ag7Wr10

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Ag7Wr10 »

J'en ai lu quelques uns :) j'aime bien ta façon d'écrire, et le côté impitoyable de tes femmes ;)
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Aspartam_ »

J'ai l'impression qu'il en manque.. :o
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Patience, je poste la suite bientôt.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Avantages en Nature (suite)

Ami jeune, si tu as moins de 18 ans, ce qui suit n'est pas pour toi. Profite du beau temps pour sortir et exercer des activités de plein air, et n'oublie pas de manger des fruits et légumes cinq fois par jour pour être en forme toute la journée. Les adultes sont autorisés à lire.

Sophie et moi étions en pleine "négociation salariale" lorsqu'Ingrid entra. Ravissante blonde arrogante, elle était le bras droit et la confidente de Sophie, et elle n'ignorait rien de ses méthodes. Elle s'assit dans un fauteuil pour savourer confortablement le spectacle des sévices que sa supérieure m'infligeait.
Savoir qu'elle était le témoin privilégié de ma dégradation m'infligea une souffrance encore plus forte que la douleur physique.
Ingrid prit une cigarette dans son paquet, l'alluma et, tout en tirant une bouffée, elle sourit alors que Sophie, nullement troublée, continuait de me besogner... avec d'autant plus d'ardeur que son éminence grise était présente.
Sophie accrocha ma bouche avec ses mains et me tira la tête en arrière, m'obligeant à me redresser, tout en accélérant le rythme.
Du coin de l'œil, j'apercevais le sourire crispant d'Ingrid : elle découvrait une rangée de dents banches comme des petite perles cernées par l'écrin de ses lèvres, vernies de rouge.
Sophie en termina enfin dans un dernier coup qui me poussa à cambrer le corps.
"C'est bon, dit-elle en reprenant son souffle, tu peux te rhabiller. Je réfléchirai à ton augmentation."
Les larmes aux yeux, j'essayais de retrouver une contenance. Je me braillai, repoussai en arrière deux mèches de cheveux grasses qui me retombaient sur le front... J'étais moite. Je me dirigeais vers la porte du bureau sous le regard narquois d'Ingrid quand j'entendis sa voix résonner.
"Monsieur J, je voudrais que vous passiez tout de suite à mon bureau pour examiner vos notes de frais."
Je la regardai, puis me tournai vers Sophie, l'implorant silencieusement : elle conversait au téléphone et semblait avoir oublié jusqu'à mon existence.
Une femme active, vraiment !
Ingrid me rendit mon regard puis posa avec insistance les yeux sur ses escarpins souillés de poussière... Son sourire se fit radieux.
Complètement anéanti, résigné à ce qui m'attendait, je sortis, la tête basse et les yeux bouffis.

J'entrevis Ingrid qui récupérait le godemiché avant de me suivre... :(

NDA : J'ai poussé plus loin ma dégradation sur la suggestion de lila986 (que je remercie) jusqu'à subir la présence d'un témoin. Le rôle est dévolu à Ingrid, une ravissante petite conne que j'ai connue à la fac. Non contente d'assister à mon humiliation, elle en profite pour en rajouter une couche. Du harcèlement, vraiment !
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Arrivisme.

Ami pré-pubère, sache qu'il faut être majeur pour lire ce qui suit. Livre-toi à des activités de ton âge qui t'épanouiront physiquement et intellectuellement. Et n'oublie pas que les fruits et légumes contiennent des éléments essentiels à ta croissance.
Au revoir et bonjour chez toi.
Les autres, vous pouvez lire.

J'avais invité Sylvie dans un grand restaurant. Jeune cadre ambitieux, je voulais lui faire part de mes projets pour la boite... Et me servir de son influence au sein de la direction pour les mener à bien. Elle était devant moi, grande, racée, une belle blonde avec une coupe au carré qui lui donnait beaucoup de distinction. Ses yeux verts me fixaient avec intensité. Elle m'avait écouté poliment tout au long du repas, répondant laconiquement, et je ne savais plus trop quoi dire pour l'intéresser, incapable de deviner ses pensées. On m'avait pourtant averti qu'elle détestait les arrivistes. J'aurais dû écouter...

Je savais à quoi m'en tenir quand j'avais accepté l'invitation de J. Et je ne m'étais pas trompée. Cet arrogante petite crotte était pourrie par l'ambition et voulait se servir de moi pour grimper dans la hiérarchie. Je le regardais, tiré à quatre épingles, obséquieux à force d'être respectueux... Et cette coiffure ! Il était pathétique et grotesque ! Pauvre imbécile, tu voulais grimper ? Tu allais grimper ! J'avais enduré toute cette soirée d'un ennui mortel mais, maintenant, j'avais bien l'intention de la pimenter un peu.
J'attaquais.

"- Dites-moi, J., que pensez-vous de ce fantasme féminin de pénétrer un homme ?
- Pardon ?"

J'étais abasourdi. Je ne m'attendais pas à ce que la conversation prenne cette tournure...

"- Je ne comprends pas...
- Allons, vous savez bien, s'amusa-t-elle, entrer par la porte de service, escalader la face nord... Vous n'êtes pas naïf à ce point quand- même ?"

Je le voyais blêmir, complètement déstabilisé par ma question. Pauvre petit étron brillantiné ! Tu ne t'attendais pas à tomber dans les rais d'une mante religieuse ! Je profitais de mon avantage...

"- Vous savez, pour moi, ça fait partie de mes avantages en nature... ça vous dirait une augmentation de 2000 euros net ?
- Mais... à propos de mes projets ?...
- Vos projets sont intéressants. Je me pencherai dessus. - Et vous, vous vous pencheriez pour combien ? 3000 euros ? 4000 euros ?
- Je...
- Suffit, 5000 et une promotion, à prendre où à laisser !"

Une offre pareille, je ne pouvais la décliner... La bouche sèche, je laissais tomber un oui inaudible. Elle appela le maître d'hôtel et sortit sa carte bleue Gold. C'était elle qui m'invitait ! Mais je ne savais pas encore quelle serait la contrepartie. L'addition réglée, nous sortîmes. Elle empoigna alors ma cravate et m'entraina vers une ruelle sombre...
"-Au milieu des ordures, tu seras dans ton élément, me cracha-t-elle avec mépris."
A partir de cet instant, elle pris les choses en mains :
"- Retourne-toi , baisse ton pantalon et prends appui sur le mur, allons !"

J'étais dépassé, terrifié, dominé... Je m'exécutais comme un somnambule. Jamais je ne m'étais retrouvé dans une situation pareille. Du coin de l'œil, je la vis sortir quelque chose de son sac. Mon Dieu ! C'était énorme ! Elle n'était pas sérieuse ! La plaisanterie allait trop loin... Je voulus protester, dire quelque chose mais je n'en eus pas le loisir. Elle m'intima l'ordre de me taire, empoigna une pomme qui émergeait d'une boite à ordures et me la fourra dans la bouche en guise de bâillon. Je ressentis alors une vive douleur au bas des reins.

Le spectacle de ses fesses blanches ainsi offertes me réjouissait. Et je n'avais pas l'intention de le laisser troubler ma récréation ! Je le bâillonnais avec les moyens du bord et entamais ma besogne, d'abord lentement, progressivement, puis de plus en plus vite, stimulée par les spasmes qui secouaient son corps. Je le sentais se cambrer mais le plaisir provenait surtout de l'humiliation que je lui infligeais. J'empoignais ses cheveux poisseux et lui tirais la tête en arrière. Il perdit son bâillon. A l'oreille, je lui murmurais...
"- Dis... « encore ! »
- Enc... Le mot s'éteignit dans sa bouche.
- Mieux que ça, grondai-je !
- Encore ! Encore ! Encore !
- Voilà, c'est mieux."
J'aurais même pu exiger qu'il poussât le cri du cochon !

La douleur était insupportable. Les larmes m'inondaient les yeux tandis que je subissais cette épreuve pendant un temps interminable. Enfin, elle relâcha la pression. Meurtri, je tombais à genoux en sanglotant. Elle se retira puis approcha son engin devant mon visage.

"- Nettoie-le ordonna-t-elle, allons ! Lèche-le !"
Anéantis, je m'exécutais alors qu'elle m'encourageait.
"- Voilà, très bien, continue... Oui ! C'est bon..."
Je la sentis ruisseler dans ma bouche... Et je ne perdis rien.

C'était enfin terminé. Je rassemblai ce qui me restait de force pour essayer de reprendre un semblant d'apparence humaine. J'essuyai mes yeux... Essayai de discipliner mes cheveux. Elle ne me regardait même pas, fumant distraitement une cigarette...
"- Sylvie, fis-je...
- C'est « Madame », répliqua-t-elle sèchement...
- Madame... Pour ma promotion ?..."
Elle me toisa, me considérant d'un oeil sévère, puis se retourna pour se diriger vers le parking où l'attendait sa voiture...
"- Vous savez, J., ce qui manque le plus dans ce pays, ce n'est pas les enculés... C'est l'argent !"

NDA : J'avais très envie de me faire violer par une blonde. Dans Arrivisme, c'est Sylvie qui me tourmente avec un raffinement sadique. Je l'avais connue pendant mes études et fréquentée un temps. Mais elle aspirait à évoluer dans un autre milieu social et nous perdîmes tout contact. Je m'amuse beaucoup à l'imaginer assouvissant ses envies dans une ruelle glauque. Pour varier un peu, j'alterne les points de vue dominatrice/dominé. La réplique finale est empruntée à un court-métrage d'une série intitulée Deux cafés et l'addition. Il s'agit de saynettes grinçantes interprétées par de grands comédiens comme J.-C. Dreyfus ou André Pousse. A voir s'ils sont diffusés à la télévision.


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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

j'aime bien l'idée de la ruelle glauque...... :)
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Merci Mad'O. :ouimaitre:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

te mets pas à genoux, je pourrais avoir des idées :d
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Mad'O a écrit :te mets pas à genoux, je pourrais avoir des idées :d
Moi aussi. :love:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Puisqu'on fête la Libération, j'en profite pour reposter ce petit texte qui évoque un épisode peu reluisant :

Ils me poussèrent dans la rue sans ménagement.
La populace hurlait, m'insultait... « Salope ! Trainée ! »
Une ménagère m'empoigna par les cheveux et me secoua la tête en beuglant, « tu fais moins la fière, hein, morue ?! »
L'un des gendarmes la repoussa, l'obligeant à me lâcher, et je retombais rudement sur le sol, les genoux à terre...
« A genoux, la putain, elle a vendu son cul aux boches ! » clama un gros homme aviné...
C'était jour de fête, la ville était libérée, on avait mis des fûts en perce – des tonneaux qui étaient reparus mystérieusement après avoir été dissimulés pendant des mois pour le marché noir... et tout ce petit monde célébrait une victoire qui ne lui devait rien... Et il réglait ses comptes : après avoir vécu couché des mois durant, il se vengeait sur celles qui avaient couché...
Celles qui, comme moi, avaient commis l'inceste avec les cousins germains.
J'avais fait preuve de faiblesse, c'est vrai.
Pour améliorer l'ordinaire.
J'avais accepté des faveurs que j'aurais dû refuser...
Pour une fois qu'on me faisait la cour...
L'occasion s'était présentée une ou deux fois. Deux fois de trop.
Maintenant, ceux qui avaient sué de trouille se sentaient ragaillardis.
L'occasion était trop belle de se montrer courageux... quoiqu'un peu tardive.
Le gendarme me prit par le bras et me redressa.
Il me conduisit jusqu'à une chaise, au milieu de la rue.
Par terre se trouvaient des cheveux, de toutes les couleurs, blonds, bruns, chatains... mêmes gris. Celles qui étaient passées avant moi.
On me fit asseoir de force, sous les quolibets et les crachats. Des gamins maigres aux genoux égratignés se moquaient de moi, m'insultaient, en profitaient pour se conduire mal - les grands le faisaient, c'était permis.
Le coiffeur improvisé m'empoigna les cheveux et commença la tonte.
« Plus fort » lui criait-on.
« Tu vas avoir froid au crâne, ma salope » lança un gavroche.
Je regardai mes cheveux tomber par poignées. Moi qui aimait tant les coiffer.
Je n'entendais rien. Je voyais la scène comme à travers une vitre épaisse. Les enfants se dandinant.Les hommes riant. Les commères m'insultant. Je n'entendais plus rien. Il y avait deux hommes dans le fond, armés et portant des brassards tricolores.Le premier, rougeaud et rigolard. L'autre courroucé, détournant le regard. Le spectacle l'incommodait.
Je ne sentais pas la morsure de la tondeuse qu'on m'appliquait sur le crâne. Ma peau rougissait. Mes cheveux tombaient et tapissaient le sol. Je laissai échapper une larme et priai pour qu'on ne s'en aperçût pas.
On me redressa le menton. Pour mieux me tondre ou pour exhiber mon visage. Je ne voyais plus l'homme au brassard tricolore. Parti, sans doute.
Encore des crachats et des insultes.
L'aspirant coiffeur m'appliqua un trait de goudron sur le crâne. Puis un autre. Il dessina une araignée à quatre pattes, encore bien trop familière.
Il riait aux éclats.
La foule applaudissait.
Je me réfugiai dans ma carapace de silence.
N'être plus rien.
La douleur de la gifle me sortit de ma torpeur.
Un type rouge de colère m'insultait. La foule l'encourageait. Les gendarmes n'osaient intervenir.
Une nouvelle gifle me jeta à terre. Puis un coup de pied me força à me courber en deux, à me replier sur moi-même. La populace amassée semblait un immense poumon qui retenait sa respiration.
Mais les coups cessèrent.
« ça suffit, dis l'homme au brassard, laissez-la partir maintenant ! »
Mon bourreau se calma.
L'ambiance s'était brutalement refroidie.
Je me relevai puis marchai droit devant moi.
La foule s'ouvrit.
Je passai.
Sans un regard en arrière.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

Le texte est bien écrit mais le sujet me dérange, sur ce coup là..... :/

c'est un contexte particulier, en plus c'est arrivé pour de vrai, et pis c'est pas du SM.....


je préfèrerais presque une histoire de flan sur la tête :)
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Accordé. :)

Conseils pratiques pour me bizuter.

Je n'aime rien autant que de subir docilement un bizutage infligé par une maîtresse à la fois tendre et impitoyable. Afin de lui simplifier la tâche, voici un petit guide pratique assorti de quelques conseils. ;)

Il existe plusieurs techniques.

Le jeu de massacre. :)
Je dois rester assis sur une chaise immobile, éventuellement les mains attachées dans le dos pendant que je dois subir stoïquement un bombardement de tartes à la crème. Il faut se placer à une certaine distance pour que l'impact soit plus fort mais pas trop loin pour ne pas manquer la cible. De préférence, utiliser des tartes avec de la crème liquide qui font de plus jolies éclaboussures lorsqu'elles s'écrasent sur mon visage. Varier les parfums afin de varier les couleurs. On pourra compléter avec quelques jets d'œufs. Un portable permettra d'immortaliser les plus belles gerbes.

Droit dans la face. :hein:
Il s'agit de m'écraser dans la figure une tarte d'onctueuse crème chantilly. S'approcher puis accompagner le geste afin de bien aplatir la tarte sur le visage. Plusieurs possibilités : faire tourner la tarte d'un geste du poignet en l'écrasant progressivement et en prenant soin d'étaler la crème sur toute la surface ou bien la faire glisser le long de ma figure puis par dessus mon crâne afin de noyer aussi mes cheveux.

Le sandwich. :sweat:
En passant derrière moi, m'écraser deux tartes de part et d'autres du visage en faisant jaillir la chantilly. On peut faire tourner les deux tartes autour de ma tête afin de bien m'inonder partout.

Le chapeau. :quichou:
Consiste à m'écraser une tarte au sommet du crâne. Là-aussi, plus l'impact et fort, plus les éclaboussures sont esthétiques.

L'auréole. :ange:
La tarte est à peine écrasée au sommet de mon crâne pour conserver sa forme circulaire et doit rester ainsi en équilibre. On peut utiliser de la crème en supplément pour consolider son assise.

Le tour du monde. :cingle:
On m'applique la tarte sur le visage puis on la fait tourner autour de ma tête dans le sens des aiguilles d'une montre en appuyant bien pour que la crème s'imprègne.

L'avalanche. :p
La tarte s'écrase sur ma tête dans un mouvement du haut vers le bas.

Le gunge. :love:
Pratique anglo-saxonne consistant à vider une substance plus ou moins liquide sur la tête de la victime – moi. On peut utiliser pour cela de la crème Mont Blanc, vanille et chocolat – mais on peut varier les parfums.

Plusieurs possibilités : comme je me coiffe la raie au milieu pour être bien présentable - avant le bizutage - on peut donc partager : vanille d'un côté de la raie et chocolat de l'autre ; ou bien utiliser la raie comme une gouttière et faire couler la crème le long du crâne jusqu'à ce qu'elle me dégouline sur mon visage. Le geste doit être lent afin de laisser faire la gravité pour que la crème s'étale uniformément. :jap:

Ensuite, on peut rajouter une petite touche au gré de sa fantaisie : un œuf ou une pomme dans ma bouche pour accentuer le grotesque de ma dégradation, une touche de bombe chantilly pour me couronner ou quelques fruits confits – la fameuse « cerise sur le gâteau. » :love:

Il ne reste plus qu'à m'emballer... :ouimaitre:

Maintenant, mesdames, à vous de jouer. :hello:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Revanche.

Ami Jeune, les moins de 18 ans n'ont pas accès aux conversations d'adulteы. Profite du beau temps pour délaisser ton PC (ou Mac) et jouir du soleil qui darde notre pays de ses doux rayons. Les grands, vous pouvez lire.

Sophie aimait sentir l'eau tiède ruisseler sur son corps lorsqu'elle prenait sa douche après une journée de travail au bureau. C'est à ce moment qu'elle se sentait le plus détendue et le plus vulnérable. Elle sursauta lorsque j'écartai brusquement le rideau.
« - Toi... ? » articula-t-elle en me regardant, les yeux agrandis par la surprise...
Elle n'avait pas l'habitude d'être prise ainsi au dépourvu, dans le plus simple appareil.
Je creusai mon avantage en lui assénant une gifle. Sa tête se détourna sous l'impact et ses cheveux noirs soulignèrent ce mouvement...
« - Tu ne t'attendais pas à ça, hein, trainée ? »
Elle me regarda, implorante...
« - Que me voulez-vous ?...
Juste un petit entretien privé », ricannai-je, profitant de mon avantage.
J'empoignai une serviette humide et lui en assenai un coup sur les cuisses. Elle se plia sous la douleur du coup.
« - Tends tes mains derrière ton dos ! » ordonnai-je.
Elle s'exécuta, tremblante. Je lui nouai les poignets dans le dos avec une serviette, puis la saisis par la chevelure, tirant sa tête en arrière... Je humai son odeur, celle de sa sueur mélangée au parfum du shampoing... Elle m'entêtait... Pris d'une envie soudaine, je lui léchai le cou, juste à la courbure de sa machoire... J'entendis sa respiration se faire plus rapide... Elle respirait par petits coups...
« - Tu jouis, garce ? Attends de voir ce que je t'ai réservé. »
Je me délectai de sa terreur et je lui présentai l'objet avec lequel j'allais lui infliger un sévice douloureux et humiliant... C'était un petit flacon de parfum, à la forme profilée : le goulot étroit s'évasait progressivement. Il était fermé par un bouchon en forme de larme...
« - Et des larmes, tu vas en verser, je te le promets...
Non, je vous en supplie... »
Quel régal !
Afin de ne pas être dérangé par ses suppliques, je ramassais un gant de toilette et lui enfournai dans la bouche.
Je la regardai : la bouche pleine - un coin du gant dépassait -, ses yeux noirs exorbités par la peur formulaient une prière muette. Ses cheveux noirs étaient trempés, plaqués sur son front et une sueur fine perlait sur son corps, le long de ses épaules, de ses bras, de ses cuisses, s'accumulant entre ses seins et au creux de ses hanches...
Je jouissais à mon tour...
Puis je la retournai : elle se redressa au contact du flacon... Mais je continuais...

« - J. ? Hé, J. !! Je vous parle. Ma parole, vous rêvez !? »
Je relevai la tête et aperçu Ingrid qui me lançait un regard méprisant.
« - Sophie vient de lire votre rapport, elle veut vous voir dans son bureau immédiatement. »
Une lueur cruelle s'alluma dans ses yeux bleus et elle ajouta d'une voix plus douce : « je t'avertis, pauvre merde, elle est d'une humeur noire... ça va barder pour tes fesses... Et ce n'est pas une figure de style. Ce n'est pas grave : après, tu viendras te faire consoler dans mon bureau... Je viens d'acheter un nouveau gadget dont tu me diras des nouvelles... »
J'eus alors une sensation de chaleur et d'humidité, comme si un liquide tiède imprégnait lentement mon caleçon...

NDA : Même une pauvre petite crotte peut avoir des envies de Revanche mais la réalité reprends toujours ses droits.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

rhan purée au début j'ai eu peur, je me suis dit "il a switché le Top " :lol:
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Je peux.
A condition de re-switcher ensuite et d'être bien puni. :)
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

je passe mon tour, mais c'est intéressant à savoir pour te comprendre ;)
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

:valfa: Non ! Ne passe pas !!!!


Ou repasse bientôt.
Y aura du nouveau. :p
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Lorsqu'on a un gros découvert à la banque, on peut toujours négocier les agios... J'annonce la couleur dès les premières lignes de la nouvelle. Laurence, la banquière espiègle, est inspirée d'une belle fille d'origine espagnole que j'avais rencontrée au début de ma carrière. Hélas, elle était déjà « casée. » De même que Catherine qui est ici le témoin de ma servilité immonde.

La banquière.

Ami jeune de moins de 18 ans, n'oublie pas que l'épargne est la mère de toutes les vertus. Maintenant, va remplir ton cochon tirelire et laisse lire les grands. Allez, oust !

J'avais été convoqué à ma banque pour un gros découvert. Je m'étais présenté à l'heure mais on me fit tout de même patienter. Le temps passait... lentement... Enfin, je fus introduit dans le bureau de Laurence, ma conseillère financière. J'entrai. Elle ne m'accorda aucun regard tandis que la porte se refermait. J'attendis donc, en silence. Je la détaillais : c'était une superbe jeune femme volontaire avec un beau visage ovale aux traits fins, des lèvres rubis, un petit nez droit et légèrement retroussé, deux yeux sombres et vifs qui lui donnaient une expression intelligente, un front légèrement bombé encadré par de lourdes boucles brunes... Elle était maquillée et vêtue avec élégance : deux boucles d'oreilles rondes et dorées, un chemisier blanc rehaussé d'une chaîne en or, comme son bracelet d'ailleurs. Elle ne portait pas d'alliance...

« - Je viens de regarder votre bilan, monsieur J. me fit-elle... Pas fameux... On n'a pas été raisonnable... » dit-elle sur un ton de reproche. Elle se leva... Elle portait un pantalon noir, extrêmement moulant qui soulignait ses formes... Tout en s'avançant, elle me faisait des réprimandes... « Vilain, vilain garçon qui aime trop le bon vin et les voitures de sport... » Elle était maintenant tout près... « Vilain » répéta-t-elle en me giflant sèchement... Sous le coup, je vacillais, surpris... Une autre gifle s'abattit sur ma joue, puis une autre, avec un bruit sec... Puis elle m'empoigna les cheveux : « Viens voir un peu le gros déficit que tu m'as fait ! » Me tirant par les cheveux, elle m'entraina derrière son bureau et me montra son écran : « à genoux, pourceau !... Tu vois, la ligne rouge ? C'est la ligne du solde. Il est négatif. J'allais t'envoyer un avis de mise en demeure... » Elle me lâcha, s'essuya les mains avec un mouchoir en faisant une moue de dégoût puis ramassa sur son bureau une lettre à mon adresse : « Si je poste ça, ça veut dire fini les vacances à Saint-Tropez et l'éducation des enfants dans la grande école privée... Tu as envie de ça ? Réponds ! » Sentant une sueur froide le long de mon cou, je balbutiai... « Non, Madame... » Elle sourit : « Bien, nous pouvons peut-être trouver un arrangement... D'abord détruire la lettre. Ouvre la bouche. » J'écarquillai mes yeux de surprise. « Tu m'as entendu ? Ouvre la bouche ! » Je m'exécutai alors. Elle roula la lettre en boule puis me l'introduisit dans la bouche. « Mâche... Voilà, mâche bien et avale. » J'eus de la peine à déglutir mais je m'exécutais. « Maintenant, tu vas être une gentille petite pute bien obéissante si tu ne veux pas que je t'écrase comme une pauvre merde, tu as compris ?
Oui, Madame. »

Elle se leva alors, me relevant par ma cravate puis me plaqua contre le mur... Elle s'approcha de moi tout près... Je sentis l'odeur de ses cheveux et celle, musquée, de son parfum... Je ne résistai pas lorsqu'elle commença à me palper à la hauteur du pelvis. « Hé bien, on dirait que tu n'es pas si mécontent que ça de me voir ! » Elle défit ma boucle de ceinture, ouvrit mon pantalon et plongea sa main dans mon caleçon... « Je te fais de l'effet pas vrai ? » Brutalement, elle empoigna et tordis mon membre : « réponds ! » Sous la douleur, je hurlai presque « Oui, Madame ! » « Très bien... » Sa main se fit douce. Elle se baissa. Je sentis alors le contact de sa bouche. Mes forces m'abandonnèrent comme si je désirai me fondre en elle. J'étais sous son entière domination... Je me cambrai, rejetai la tête en arrière... Du coin de l'œil, je distinguai sa tête brune qui allait et venait. Je regardai sa raie blanche et irrégulière au milieu de la masse sombre de ses cheveux tandis que je me laissais violer... Puis je me sentis partir : elle m'avalait, elle m'absorbait... j'eus de la peine à retenir un nouveau cri, de plaisir cette fois...

Elle se redressa alors, doucement, et sa main fine se posa sur ma gorge. Elle était si forte qu'elle aurait pu me briser en deux comme une allumette... Elle me fit accroupir, me prit le menton, m'inclina la tête en arrière puis laissa couler le contenu de sa bouche dans la mienne... Docilement, j'accueillis ma propre semence mélangée à sa salive... « Avale, mais lentement... Voilà, comme ça... C'est bien. Tu es une bonne chienne. » Je tombai à genoux. Elle m'attrapa alors par l'oreille puis m'amena derrière son bureau en me faisant marcher à quatre pattes... « Ces chaises sont d'un inconfort, » commença-t-elle en écartant le meuble. Elle me fit ployer les bras et les jambes, s'assit sur moi et commença à taper sur son clavier comme si de rien n'était.

On frappa à la porte. Je blêmis, terrifié à l'idée qu'on pourrait me découvrir dans cette position : tassé, les fesses à l'air, mon dos servant de banquette à ma banquière. « Entrez », lança-t-elle. Une belle jeune femme entra. Une silhouette fine et élancée enveloppée dans un tailleur strict. Les traits de son visage étaient beaux et réguliers. Elle avait une expression mutine qui contrastait avec la rigueur de sa tenue et de sa coiffure : de beaux cheveux châtains coupés courts avec une raie bien droite sur le côté. « J'ai besoin de votre signature sur ces documents, madame, » déclara-t-elle en contournant le bureau pour y déposer une pile de formulaires. Ses pieds n'étaient qu'à quelques centimètres de ma tête, mais elle faisait mine de ne pas me voir. Crevant de honte, je me tassais davantage, rentrant la tête dans les épaules, priant pour devenir invisible pendant que Laurence, imperturbable signait les papiers. « Voilà Catherine, » laissa enfin tomber mon hôtesse. Catherine rassembla les formulaires avec un merci madame de convenance puis se détourna et sortit du bureau le plus naturellement du monde. Je la suivis des yeux et nos regards se croisèrent brièvement : l'expression sardonique que j'y lus me crucifia, je voulus pleurer mais Laurence me rappela à l'ordre : « Cesse de gémir, tu me dégoutes ! » Le silence retomba... brisé par la sonnerie du téléphone. « Allo ? Ah, c'est toi mon trésor... Oh non, je n'ai pas encore fini... Je vais devoir travailler tard. Il faut que je me penche sur le dossier d'un client... Oui, un gros découvert. Ce n'est rien... Oh, tu sais (elle posa un regard cruel sur moi), pour me consoler, je me suis offert un nouveau pot à crayons. »

NDA : On retrouvera quelques citations de films ou de chansons. A vous de les repérer. ;)
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

La rivale m'offre l'occasion de me faire humilier par une culturiste aux mœurs saphique, sous l'œil gourmand d'Ingrid qui joue les mouches du coche (la garce. ) Une prof de gym que j'ai connu me sert de modèle. Elle faisait de la boxe. Là, elle pratique aussi la plongée. (Dans la réalité, c'était une jeune femme éthéro et bien dans sa tête, à la coiffure originale, certes mais qui lui allait à ravir. )

La rivale.

« - Alors, c'est toi qui emmerde ma copine avec tes lettres ? »
Le silence était tombé sur la cafétéria.
Dominique me toisait.
Elle me dépassait d'une bonne tête.
« Ingrid en a marre de recevoir tes poèmes d'amoureux transi, t'as compris tête de cul ? »
Dominique était monitrice de sport.
Grand gabarit, toujours en survêtement, elle était cependant assez jolie : un visage aux beaux traits réguliers, des yeux gris-vert, des cheveux châtains coupés très courts qu'elle dressait en une brosse décolorée au-dessus de sa tête.
Elle laissait pousser une petite mèche à l'arrière de sa nuque rasée, ce qui lui apportait une touche de fantaisie supplémentaire.
Lesbienne déclarée et militante, je savais que Dominique avait des vues sur Ingrid – est-ce qu'elles sortaient ensemble ?
Ingrid était d'ailleurs là, dans son sillage, suçotant une lolypop et ne perdant rien de l'esclandre.
Elle souriait, l'œil malicieux, en attendant la suite.

Dominique prit alors un chocolat liégeois et commença à me le verser sur la tête, lentement, en suivant d'abord ma raie médiane puis en le faisant dégouliner le long de mon visage en recouvrant mes verres de lunettes...
Tandis que je les enlevai, j'entendis le public glousser, amusé par l'incident.
« Tiens, ça te fera faire des économies de gel » commenta-t-elle - car bien qu'elle pratiquât des exercices physiques, elle savait faire preuve d'esprit.
La salle s'amusa de ce bon mot.
Dominique se sentit encouragée à poursuivre mon humiliation publique.
Elle sortit de sa poche des feuillets froissés, « tu vois ces torchons ? C'est tes lettres... », qu'elle mit en boule, « et tu vas sagement les avaler. »
Je sentis mon caleçon se mouiller...
Docilement, j'ouvris la bouche...
« Plus grand », fit elle...
J'ouvris plus grand.
Nouveaux ricanements.
« Avec plus d'humilité, je te prie. »
Je tirai alors la langue pour accueillir ma pitance.
« Voilà qui est mieux. »
Elle m'enfonça alors lentement la boule de papier dans la bouche avec un sourire carnassier.
« Allez, mâche ! »
Je m'exécutais.
« Mieux que ça. »
Je m'efforçai de la satisfaire.
« Bien, » fit-elle.
Elle se tourna vers Ingrid qui ne perdait rien du spectacle.

La petite garce rayonnait.
« On ne va pas le laisser s'en tirer à si bon compte, » déclara-t-elle.
Toute la salle était suspendue à ce qui allait suivre.

Dominique avisa deux cafés liégeois qui trônaient sur la banque.
« On va changer de parfum, dit-elle. »
Elle prit le premier café, me tira le col et commença à le déverser à l'intérieur de ma chemise.
Des sifflements fusèrent.
Je frissonnai mais n'osai bouger.
Ingrid riait.
Ragaillardie par ces témoignages d'approbation, Dominique prit le second café, défit d'une main experte ma boucle de ceinture et le vida doucement dans mon caleçon.
« Attention au choc thermique ! » grinça-t-elle, décidément très en verve.
Ingrid et la salle applaudissaient.
La géante désigna alors une part de fraisier.
« Prends-le et écrase-le sur ta tête de cul. »
Je restai immobile, suscitant son agacement : « Tu as entendu ? »
Je me soumis à son ordre, pris le fraisier et commença à me l'écraser sur le crâne.
« Plus fort ! » cria-t-elle.
J'aplatis vigoureusement le gâteau.
La crème me coula de part et d'autre de la tête et sur le visage.
Je ne bougeais plus, atteignant les tréfonds du ridicule et baissais la tête en signe d'abdication.
« Ce sera bon pour cette fois, déclara Dominique, magnanime, puis, se détournant de moi avec dédain, elle se dirigea vers la sortie de la cafétéria alors que les convives applaudissaient à tout rompre, saluant sa victoire et mon écrasement dans un même élan spontané.
Ingrid s'approcha de moi et me murmura à l'oreille sur le ton le plus méprisant qu'elle pût adopter : « Tu n'es vraiment qu'une petite crotte »... Elle fila ensuite dans le sillage de sa compagne, me laissant un peu plus déconfit.
Elle avait raison.

C'était aussi l'opinion de Dominique qui, chaque jour de la semaine, pendant tout le mois qui suivit, me plongea méthodiquement la tête dans les toilettes des femmes avant de tirer la chasse.
Une suggestion d'Ingrid, sûrement.
Le shampoing était offert.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

tu aimes bien manger du papier, en fait, hein, c'est ça ? :d
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Non.
J'aime qu'une femme me fasse manger du papier, chère Mad'O.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

tu es vachement branché sur l'humiliation...... jamais sur la douleur ?
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Moins sur la douleur.
Mais dans le contexte de l'humiliation, je la supporte.
Par exemple, lorsque mon initiatrice m'a pris en main, j'ai eu droit à une bonne raclée (martinet et cravache, quelques gifles aussi, mais j'aime ça) et l'humiliation (douche de crème et de yop et bris d'œuf sur la tête) n'est venue qu'à la fin.
Mais il y avait tout ce contexte de DS qui m'a fait supporter le traitement et qui m'a donné envie de recommencer.

Maintenant, être humilié et brutalisé par une femme, deux ou un couple me tente pas mal.
Mais comme je suis marié, faut pas que ça laisse de trace trop visibles; :non:
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