Rencontre insolite dans la forêt

[GVb6lO6]

Note.

Voilà un premier récit relatant une de mes aventures insolites vécue lors d'une de mes nombreuses sorties à cheval.
Si cet écrit n'est pas à la bonne place, j'invite le modérateur a déplacer ce texte dans la rubrique appropriée "Exhib" car je n'y ai pas accès.
D'avance merci.
Edit modération : déplacé dans la rubrique "sexy récits"
Bonne lecture.



Masturbateur ou pisseur ?

Cet après-midi là, j'étais partie à cheval pour un de mes itinéraires favoris.
Je quittais le centre équestre en passant par le chemin arrière qui s'enfonce directement en forêt.
Je chevauchais depuis une demi-heure lorsque mon attention fut attirée par un homme debout devant le tronc d'un arbre.
Il me tournait le dos et ne semblait pas m'avoir entendu venir.
Il est vrai qu'en automne, le bruit des sabots d'un cheval est amortis par les feuilles jonchant le sol.
Je m'arrêtais un instant pour ne pas effrayer ou déranger la personne.
Il me semblait qu'il pissait contre l'arbre.
J'attendais, en retrait, à environ cinquante mètres. Depuis deux ou trois minutes il gardait la même position.
En scrutant, je ne voyais aucun jet d'urine entre ses jambes légèrement écartées.
C'étaient les légers mouvements de son bassin qui me firent soudain prendre conscience qu'il n'était peut-être pas entrain de pisser.
Il ne se savait sans doute pas observé.
Doucement j'avançais, prête à donner une accélération à mon cheval.
En passant à sa hauteur, il tourna soudain la tête pour me saluer d'un < bonjour > très souriant.
Nullement effrayé par mon passage, comme s'il avait scénarisé la rencontre, il me demanda si je connaissais "le coin" !
Si je pouvais lui indiquer le sentier du retour vers l'étang, au bord de la route.
Il avait les mains posées sur ses hanches. Nullement gêné, il était très poli, très courtois et souriant.
Je pouvais voir son sexe légèrement dressé qu'il ne cherchait pas du tout à dissimuler tout en écoutant mes explications.
Soudain, un jet de pisse, puissant mais bref, vint se briser à environ un mètre devant lui.
Il souriait malicieusement.
Je continuais mes explications un peu gênée, mais assez curieuse de voir un tel spectacle !
L'inconnu lâcha plusieurs jets, brefs et puissants, tout en faisant bouger son sexe sans le toucher.
Je n'avais encore jamais vu une chose semblable, j'avais dix neuf ans et cela me troublait agréablement.
Je saluais l'homme qui me remercia pour mes renseignements.
Il me salua de la main et je continuais mon chemin.
Au bout d'une centaine de mètres, je me retournais pour voir l'inconnu se tenant le sexe, toujours dans la même position.
Il me fit un nouveau signe amical auquel je répondis par un salut de la main avant de disparaître derrière les bosquets.
Je n'aime pas repasser par le même endroit au retour de mes promenades à cheval.
Mais là, sur le retour, deux heures plus tard, je passais au même endroit.
Il n'y avait plus personne.
J'étais presque déçue.
Cette "expérience" m'avait troublée délicieusement.

J'avais déjà eu affaire à quelques exhibitionistes, mais de façon très furtive. Là, c'était d'une toute autre nature.

Depuis, je repasse souvent près de la clairière, mais il n'y a jamais personne...
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Tous droits réservés - 2013 -
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[Supprimé]

[BcxCa2]

c'est bien que ça t'ait plu, d'habitude , les femmes sont plutôt affolées et effarouchées !

[GVb6lO6]

Masturbateur ou pisseur ?

J'étais sur mon cheval.
Les personnes pratiquant l'équitation savent bien que sur une monture, il est très facile de quitter, à toute vitesse, un lieu ou une situation peu rassurante. De plus, lorsque l'on contrôle son cheval, les ruades peuvent rapidement êtres mortelles.

Je ne suis pas d'une nature inquiète. Je ne suis pas gagnée par la paranoïa ambiante distillée par les médias.
Il n'éxiste pas, dans l'histoire humaine, une époque plus dangereuse qu'une autre.
Je pratique un sport de combat. Je m'entraîne et je suis une experte. Je ne suis donc pas très impressionnable.
En toutes circonstances, par un mécanisme naturel, dans mon fonctionnement, c'est la réflexion qui prend le dessus.
Je ne suis jamais le jouet de mes craintes ou de mes peurs.
Je reste convaincue que c'est dans la crainte et la peur qu'un individu perd le contrôle de lui-même.
C'est dans la crainte et la peur qu'un individu devient vulnérable.

Avec les exhibitionistes, je suis, d'une certaine manière, assez coutumière du fait.
Je les attire. Sans savoir pourquoi.
Par expérience je sais que ce sont les personnes les moins agressives.
Souvent de pauvres bougres, sans affection et sans considération de la part des autres.
Sans amour et dont le parcours est souvent affectivement cahotique.
Je suis beaucoup plus méfiante envers les "rouleurs de mécaniques" et les "dragueurs" que je croise dans les bois, sur mon cheval.
Là, mon instinct et mon sixième sens, me lancent souvent des avertissements.
Les rôdeurs, mutiques, qui surgissent d'un fourré ou d'une voiture sont beaucoup plus à craindre.
Ces individus sont plus à craindre qu'un pauvre type qui a sa braguette ouverte, un sourire niais et qui me demande son chemin !

Isa

[BcxCa2]

Mais dis-donc Isa , dans quel coin randonnes-tu ???
On dirait que les forêts où tu montes sont "infestées" non pas de moustiques ou de taons....mais de rodeurs et d'exhibitionnistes...?

Chez moi , les coins à rodeurs sont connus et il est simple de les éviter ...

Peut-être , inconsciemment , ressens-tu ce besoin d'aller les voir , d'aller chercher ton instant d'observation et de plaisir visuel...

[GVb6lO6]

Randonnées à cheval

C'est ma première passion.
Avec mon compagnon, nous aimons les randonnées à cheval.
Nous les apprécions également à pieds ou à bicyclettes.
Ces formules sont, chacunes, gratifiantes pour le bénéfice qu'elles apportent au corps et à l'esprit.
J'ai la possibilité de pratiquer plus souvent car nous n'avons pas tout à fait les mêmes emplois du temps.
J'ai choisi l'enseignement pour le temps libre que cette profession m'offre.
Presque cinq mois sur douze que je peux réserver à mes passions.
En fait, je n'ai pas réellement l'impression de travailler tellement j'aime mon activité professionnelle.
Et puis, je viens de terminer ma toute première année.
Je ne suis donc peut-être pas tout à fait objective.

Les forêts que j'aime à arpenter sur ma monture ne sont, évidemment, pas plus mal, (ou mieux), fréquentées que toutes les autres.
Et puis, il y a des périodes particulières.
Au printemps, par exemple, avec les "montées de sêves", les forêts semblent plus "agitées" qu'à l'automne.
J'avoue ne pas être indisposée ou incommodée par les exhibitionistes.
Je suis un peu voyeuse et leurs attitudes m'amusent.
Dans une certaine mesure, par le biais du fantasme inhérent à la situation, cela participe à nourrir un petit pourcentage de ma libido.
Et, il me faut bien préciser que ce genre de choses n'arrivent pas tous les jours.
"Victor", mon Dobermann de deux ans, qui marche souvent aux pieds du cheval, m' offre une présence sécurisante et très rassurante.
Avec mon compagnon, nous nous partageons la présence de "Victor", car nous l'adorons.
Il n'est pas exclu de faire l'acquisition d'un second Dobermann.
Ce chien adorable est d'une discrétion totale.
Il n'aboie jamais et garde la propriété avec une efficacité redoutable.
Même si "Victor" est le plus adorable des chiens, d'un calme olympien, sa simple présence marque les esprits...

Isa

[Supprimé]

pardon mais... en quoi c'est un récit? ça a pas trop sa place sur cette section ça

[BcxCa2]

c'est vrai qu'avec un doberman à tes côtés , ça doit calmer ...les ardeurs des exhibitionnistes !

mais dis-moi...l'idée de descendre de ton cheval et d'aller masturber et vidanger ses queues qui s'offrent à toi te traverse-t-il l'esprit...?...

[loudor]

Voila un recit troublant...
trouvant ca plus glock qu'exitant, je me demandait qui cela pouvait attirer.

MErci pour ce recit!

a+
Lou