Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
GVb6lO6

Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par GVb6lO6 »

Les Récits d'Isa-Belle (Opus 1)

Ma première fellation

Je venais d'avoir dix huit ans, je me promenais sur un sentier qui longeait un petit cours d'eau.
Je connaissais bien cet endroit car j'y passais régulièrement à cheval. Un peu plus loin, l'étroit ruisseau venait irriguer un étang.
Il y avait quelques fois un ou deux pêcheurs, assis au bord de l'eau, surveillant leurs cannes à pêche, perchées au-dessus de l'onde.
Cet après-midi du début du mois d'octobre 2008, il faisait particulièrement beau. Je n'avais pas cours et je décidais de venir me promener en ce lieu très plaisant, silencieux et calme.

J'arrivais au bord de l'étang. Il n'y avait personne. Je marchais lentement, contournant les bosquets qui occultaient la vue sur l'ensemble du plan d'eau. Là, à une trentaine de mètres, il y avait un pêcheur, assis, que je n'avais pas aperçu en arrivant, dissimulé qu'il était, derrière quelques arbustes. C'était un homme d'environ soixante ans, plutôt petit et ventru. Lorsque j'arrivais à sa hauteur il me salua poliment. Je fis de même. J'avais toujours un livre dans ma musette et je choisis de m'installer sur l'herbe, un peu plus loin.

Je lisais depuis environ une demi heure. Mon attention attirée par des bruits, je levais les yeux pour apercevoir que le pêcheur était debout dans l'eau jusqu'à mi-cuisses, tenant fortement sa canne. Il devait avoir fait une prise. J'observais attentivement, amusée par ce combat entre l'homme et le poisson. C'était une belle carpe d'environ trente centimètres qui se débattait avec vigueur. Le pêcheur la saisit et la ramena sur le bord. Je repris ma lecture.

De temps à autre, je levais les yeux pour regarder autour de moi. Une fois de plus, mon attention fut attirée par le pêcheur. Ce dernier, le sexe à la main, à une vingtaine de mètres de moi, pissait d'un jet puissant. Voyant que je l'observais, il me fit un sourire. Je lui souriais à mon tour, très gênée et sans doute rougissante. Je baissais les yeux et faisait semblant de recommencer à lire. Il me lança : < Vous n'avez pas classe ? >. Je relevais les yeux pour le voir, me faisant face, tenant son sexe dans la main droite qu'il agitait malicieusement. J'avais le souffle coupé et je répondis : < Non, jamais le jeudi après quinze heure >.

Le pêcheur s'avança encore vers moi. Je m'apprêtais à me lever pour partir rapidement, lorqu'il me me fit encore : < On pourrai bavarder un peu, ça vous dit ? >. Je restais un moment silencieuse, baissant les yeux, les relevant, à plusieurs reprises. Le pêcheur continuait à agiter son sexe que je trouvais très petit, presque ridicule. En observant mieux, je me rassurais car ce sexe n'était pas du tout menaçant et l'homme aurait pû être mon grand-père. Je m'entendais répondre : < Oui, si vous voulez, on peut bavarder ! >.

Il vint s'assoir à quelques mètres de moi. Par la braguette ouverte de son pantalon de gros velour marron, pendait son petit sexe. Il me le montra en me demandant : < Ca ne vous dérange pas, au moins ? Je lui fais prendre l'air. Soyez rassuré, il ne bande que très rarement et est bien brave ! >. J'étais à la fois curieuse, amusée mais plus du tout inquiète. Je suis une fille grande et sportive. Je devais dépasser cet homme d'une bonne tête et je me sentais d'une plus grande force que lui. Même si je suis mince, je suis énergique.

Le pêcheur recommenca à se tripoter, tenant son sexe fripé entre le pouce et l'index. Tout en bavardant, il se masturbait doucement. J'observais avec attention tout en faisant semblant d'être indifférente. Il me parla de sa passion pour la pêche, de ses copains du club de pêche dont il faisait partie. Il me posait des questions sur mes études, croyant que j'étais encore lyçénne alors que j'en étais au début de ma première année de faculté. Au bout d'une dizaine de minutes, il me posa une question pertinente qui me choqua quelque peu : < Vous seriez tentée par une pipe ? >.

Je restais silencieuse, tentant de bien contrôler mes impressions et mes émotions. Je regardais le petit sexe du pêcheur. Cela faisait trois ou quatre ans que je fantasmais sur cet acte. Là, subitement, l'opportunité se présentait. Mais un vieux vicieux ! J'avais un reflexe mental de dégoût. Il me fit encore : < On peut se mettre là-bas, derrière la petite cabane. Vous verrez, on sera bien ! >. Le pêcheur, se mettant sur les genoux, me la présenta, tirant sur la peau fripée de son prépuce. Je m'entendis répondre : < Pourquoi pas ! >. Il se redressa complètement et me fit signe de le suivre.

Presque comme téléguidée par une volonté supérieure à la mienne, je suivais le pêcheur. Il m'entraîna derrière un cabanon. Là, debout devant moi, il me présenta à nouveau son petit sexe ridicule et tout fripé. L'homme m'arrivait aux épaules, il était bedonnant et toujours très calme et posé. Je m'accroupis devant le pêcheur. Longuement je regardais son sexe. Il avait pris appui contre une vieille table. Il me tendit son sexe en se cambrant davantage. Sa bite était à hauteur de mon visage. Soudain, il me la passa sur les lèvres, la frottant sur ma bouche. L'odeur était écoeurante. Curieusement, malgré l'odeur, j'étais très excitée. J'ouvris la bouche, il s'y enfonça lentement.

Je restais sans bouger. Doucement, je me mis à sucer. Presque immédiatement je pû goûter un liquide visqueux, amère, gluant que j'avais du mal à déglutir. J'étais à la fois ecoeurée, prise d'un profond dégoût, mais terriblement excitée. Je me mis à sucer plus fort et au rythme des montées de liquide séminale. Par moment, il y avait des montées de jus plus conséquentes. Je ne voulais pas en perdre une goutte mais cela me remplissait la bouche plus vite que je ne pouvais avaler. C'est là que je compris que j'avais affaire à l'incontinence du vieux. Je détournais la bouche, retirant son sexe. Effectivement, de longs filaments jaunâtres et gluants pendaient de l'extrémité de son sexe. C'était dégueulasse. Je voulais me redresser, mais le pêcheur me tenait par mes cheveux longs attachés en queue. Il se décalotta. Il y avait du fromage tout autour du gland, j'étais véritablement écoeurée. Tout me remontait. Ma bouche avait un goût dégueulasse.

Le pêcheur me remis sa queue dans la bouche, me tenant fermement par la nuque et les cheveux. Je n'avais d'autre choix que de sucer à nouveau. Il ne bandait pas, ou alors c'était imperçeptible. Curieusement, cela m'excita à nouveau et beaucoup plus fort qu'avant. J'aurais pû me masturber en même temps, tellement l'excitation, mêlée au dégoût, me titillait le sexe. Cela dura ainsi une bonne demi heure. Le vieux éjacula par saccades épaisses en gémissant. Je n'arrivais pas à avaler aussi vite que la matière visqueuse qui inondait ma bouche. Je me retirais en toussant. Puis, n'en pouvant plus, je me mis à vomir par spasmes. J'avais les yeux inondés de larmes. J'avais vomis de grandes quantités de liquide épais, gluant et jaunâtre sur l'herbe.

Je me redraissais péniblement. J'avais un léger vertige. Je venais de prendre conscience de ce que je venais de vivre. Le type me fit, d'un ton vicieux : < Alors ? Tu t'es régalée ? >. Je me réajustais sans dire un mot et m'éloignais rapidement sans parler. Avec un mouchoir en papier je nettoyais mon visage trempé. Mes cheveux me collaient sur les joues. Je me sentais souillée. Je me retournais pour regarder une dernière fois le pêcheur qui pissait dans ma direction en me faisant un signe amicale de la main. Je m'arrêtais, me retournant, lui faisant un signe de la mienne. Il cria dans ma direction : < Reviens jeudi prochain, si tu peux, tu en auras encore, je serais là ! >...

Je m'éloignais définitivement, pressée de trouver à boire et à manger pour faire disparaître ce goût dégueulasse qui envahissait toute ma personne. Je restais excitée jusqu'à ma masturbation du soir.
Les jours suivants, je pensais à cette aventure presque tout le temps. Au fur et à mesure que les jours passaient, les mauvaises impressions disparurent petit à petit. Laissant place au souvenir de l'intensité de la chose vécue.
Au bout de cinq ou six jours, je n'avais qu'une envie : recommencer...
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cLEg8

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par cLEg8 »

Immonde .
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Patron »

bon appétit bien sûr ^^
Wooki
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Wooki »

j'espère vraiment que dans un prochain chapitre tu iras faire une visite dans une maison de retraite !!!!
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

Wooki a écrit :j'espère vraiment que dans un prochain chapitre tu iras faire une visite dans une maison de retraite !!!!
Tu crois que les chevaux y sont acceptés ? :daikirai:
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

. . . HEIN? C'est sexy les vieux pervers à la bite carrément dégueu?

I DON'T WANT TO LIVE ON THIS PLANET ANYMORE.
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

FreakOnALeash a écrit :. . . HEIN? C'est sexy les vieux pervers à la bite carrément dégueu?

I DON'T WANT TO LIVE ON THIS PLANET ANYMORE.
Pour certains oui :hornet: et si en plus le vieux a l'haleine qui pue la vinasse et l'oignon alors là ce doit être le nirvana :d
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

j'vais vomir.
GVb6lO6

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par GVb6lO6 »

Les récits d'Isa-Belle (Opus 2)

Ma seconde fellation

Toute cette semaine passa très vite. Pas une journée sans que je ne pense plusieurs fois à mon aventure du bord de l'étang.
Ce n'est que le mercredi soir que je pris la décision d'y retourner. Excitée par cette perspective, je passais une nuit un peu agitée.
Le jeudi après-midi arriva enfin. Vers treize heure trente, je prenais le chemin de l'étang avec ma bicyclette. Comme d'habitude, je laissais mon vélo au centre hyppique. Je préférais faire les deux kilomètres à pieds, désireuse de parcourir le magnifique chemin.

La météo était très favorable. Il ne faisait pas vraiment très beau mais le temps était doux et sec pour cette mi octobre.
Sur la pointe des pieds, j'arrivais au bord de l'étang. Longuement, cachée dans les fourrés, j'observais avec attention.
Je cherchais des yeux mon pêcheur. J'étais vêtue d'un jean, d'un léger pull et chaussée de "baskets". J'avais noué mes cheveux en queue. Avec la prudence d'une sioux, je m'avançais. Il était là, tranquillement installé sur sa chaise pliante, à bricoler l'une de ses cannes.

Je me mis à marcher lentement sur le sentier. A environ une cinquantaine de mètres, son attention attirée par ma présence, il tourna sa tête vers moi, me regardant arriver. Un étonnement se lisait sur les traits de son visage. Il me parût encore plus laid que la semaine dernière. Il se leva lourdement et me salua. Je m'arrêtais à sa hauteur. < Bonjour > me fit-il, en me faisant un signe amicale de la main. Je répondais à son bonjour en souriant. Très rapidement il me regarda avec un air un peu narquois en me disant : < Alors, tu viens prendre ton dessert ? >. Il se touchait sans arrêt, d'une façon assez vulgaire.

Je restais silencieuse. Il se mit à bavarder en m'expliquant sa façon d'amorcer ses appâts et de les accrocher à ses hameçons. Je regardais ce type, petit et moche et j'imaginais que j'avais déjà sucé sa queue. Je fus prise d'un léger vertige à la pensée de ce que j'étais venue faire ici. Mais, au fond de moi, j'éprouvais comme une fierté de m'être mise au défi de le refaire. Je m'étais assise dans l'herbe. Je regardais et j'écoutais cet homme me parler de sa passion pour la pêche. C'était presque surréaliste.

Au bout d'une dizaine de minutes, regardant autour de lui, il ouvrit sa braguette et sortit son sexe, toujours aussi ridiculement petit, mou et fripé. Je regardais avec attention, souriant sans doute comme une niaise. Il se la touchait tout en évoquant la pipe de la semaine dernière. Il prétendait que c'était une des toutes meilleures de sa vie ! < On retourne derrière la cabane ? Ca vous dit ? >, me lança t-il avec un clin d'oeil. Je m'entendais répondre < oui >, comme dans une sorte de délire auquel je n'avais nulle envie de me soustraire.

Il m'invita à le suivre. Comme la semaine passée, il m'entraîna derrière le vieux cabanon. Il se posa devant moi, s'appuyant sur la vieille table, la queue pendante. Je m'accroupie devant lui. Il me fit : < Tu es quand même une sacrée petite salope, tu sais ? >. Je regardais son sexe, affreux et mou. Une goutte vint rapidement perler au bout, dégoulinant sur la peau du prépuce. Je reniflais l'odeur de sa queue. Une puanteur aussi dégueulasse que la dernière fois. J'étais ecoeurée, c'était répugnant. Curieusement cela m'excita considérablement. Je ne comprenais pas cet étrange paradoxe entre l'excitation et le dégoût. Aujourd'hui, je sais...

Au bout d'un moment, comme je restais bêtement à genoux devant lui, l'homme me saisit doucement par mes cheveux attachés. De son autre main, il me passa son sexe sur le visage, insistant sur mes lèvres et mes joues. J'étais parcourue de frissons. Il agitait sa bite devant mon visage. Il se décalotta plusieurs fois. Je pouvais voir la pâte crêmeuse qui collait entre son gland et la peau de son prépuce. La puanteur était vraiment à la limite du supportable. Ce type avait une hygiène de porc.

Il finit par me l'enfoncer dans la bouche. Je le sentais se décalotter dans ma cavité buccale. Un goût acide se dégageait de la substance grumeleuse. Me maintenant par les cheveux, il se cambrait contre mon visage. Comme la première fois, son sexe restait mou. Je me mis à sucer. Presque immédiatement je pouvais déglutir du liquide séminale. Je savais qu'il lâchait des petites giclées de pisse, je commençais à comprendre, au goût, ce que ce vieux vicieux était entrain de faire. J'étais venue pour comprendre. A présent je comprenais bien. J'avais affaire à un vrai salop. Dans mon dégoût, j'appréciais le goût du liquide séminale, légèrement acide. Etranges sensations...

Très excitée, malgré mon intense dégoût, j'avais la bouche crêmeuse. Lors de certaines séquences, où il devait se "lâcher", j'avais du mal à déglutir assez rapidement. En luttant contre sa poigne, je retirais ma bouche pour laisser s'écouler le trop plein, en toussant. De longs filaments jaunâtres coulaient de ma bouche jusqu'au sol. J'avais des vertiges et des suées, c'était dégueulasse. Je sentais mon envie de vomir qui devenait de plus en plus forte. < Je vais te faire bouffer de la bite, petite salope, tu vas en redemander ! > me fit-il en me saisissant fermement par les oreilles.

A présent, me maintenant par les oreilles, il se masturbait dans ma bouche, en bougeant son bassin de manière régulière.
J'étais écoeurée. Ecoeurée par son comportement, écoeurée par son incontinence, écoeurée par ce que j'étais entrain de vivre. J'étais entrain de me faire insulter par un type que je suçais !
C'est au moment ou mon excitation disparaissait pour faire place à une certaine colère, qu'il éjacula en plusieurs saccades au fond de ma bouche. Il me maintenait toujours. Il me força à tout avaler. Son sperme était amère et épais. Tout le long de cette nouvelle fellation, j'avais éprouvé beaucoup de peine à déglutir son foutre épais et gluant. Cela collait dans toute ma bouche. J'étais à nouveau très excitée.

Avec peine, je me retirais de son étreinte pour me relever, prête à m'enfuir si le pêcheur voulait m'attrapper à nouveau.
Il se mit à pisser en me disant : < Tu vois, je t'ai pas tout pissé dans la gueule ! Il en reste encore ! >. Ce vieux vicelard m'aurait pissé dessus si je ne m'étais pas reculée. A reculons, je m'éloignais doucement. Comme la dernière fois, je me mis à marcher rapidement. J'étais déjà à une centaine de mètres lorsque le vieux salop me lança ; < Reviens la semaine prochaine, s'il pleut on va dans la cabane ! >.

Je me retournais pour le voir se réajuster. J'étais arrivée à l'orée de la forêt, marchant très vite, lorsqu'il me cria : < Merci, c'était super ! Salut ! > Je me retournais, il me fit un signe de la main droite, se touchant le sexe de la main gauche. Je lui fis un signe de la main levée, avant de disparaître pour retourner au centre hyppique. Au bout d'environ cinq minutes, je fus prise de nausées. Penchée au-dessus d'un petit arbuste, je me mis à vomir par spasmes désagréables. Lorsque j'avais réussi à dégueuler tout cet immonde mélange, je pris un chewing-gum dans ma poche pour soulager le goût écoeurant qui y restait. J'avais le haut du pull maculé de foutre.

Je rentrais avec mes certitudes. Les deux premières pipes de ma vie furent réellement de très grandes expériences...
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Wooki
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Wooki »

après "Martine à la plage" ........... "Isabelle au service gérontologie" .....
Mad'O
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Mad'O »

C'est plutôt bien écrit mais c'est un récit à vous dégoûter à vie de la pipe :lol:
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

re :nausee:
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

Je trouve ce récit bien écrit également!!
Ag7Wr5

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Ag7Wr5 »

S'il est bien écrit, je vais rassurer ISA sur son copyright : je ne risque pas de te piquer un récit aussi degeu et peu excitant !

Mais si cette histoire est vraie, je te plains...
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

Non mais sérieux, arrête.
GVb6lO6

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par GVb6lO6 »

Note

Pour apprécier ce nouveau récit, j'invite le lecteur à découvrir mes textes précédents, ici, sur ce même forum, dans la même rubrique "Les Récits d'Isa-Belle". Edit modération : La publicité pour les sites personnels est interdite sur le forum
. Avec mes deux mois de vacances, je ne suis pas trop disponible sur le forum. Mais, dès septembre, promis, j'aurais un peu plus de facilités et de souplesse dans mon timing.

Ma troisième fellation

Ce mardi après-midi était pluvieux. Il était quinze heure. Un ciel bas, gris et lourd semblait peser sur toutes choses. Empruntant la petite voiture de ma mère, je m'étais rendue dans la ville voisine. Il me fallait faire quelques achats en rapports avec mes études. Je garais le véhicule au fond d'un petit parking, au fond d'une rue sans issue. Cet endroit, non payant, situé à proximité du centre, était bien pratique et peu connu.

Je longeais les maisons grises, marchant sur un trottoir étroit. Sous mon parapluie, j'étais à l'abri de l'eau mais pas de la fraîcheur de ce mois d'avril. J'avançais vite, pressée d'arriver au centre commercial où je ferais mes achats. J'arrivais au bout de la rue lorsque mon attention fut attirée par du mouvement, sur ma droite. Là, au fond du couloir sombre d'une porte cochère ouverte, je distinguais la silhouette d'un homme qui me hêla.

Je m'arrêtais pour lui faire : < Pardon ? >. C'est là, en regardant plus attentivement, que je pû me rendre compte que l'homme se masturbait. < Vous pouvez me renseigner ? > fit-il en se rapprochant. < Je cherche le numéro 5 de la rue, le Dermatologue ! > continua t-il encore en accélérant son mouvement masturbatoire.

Je détournais le regard et juste avant de reprendre mon chemin, je répondais : < excusez-moi, monsieur, mais je ne suis pas d'ici, au revoir ! > En tournant les talons, reprenant ma marche rapide, je l'entendis prononcer des mots sans les comprendre. Au bout d'une trentaine de mètres, je me retrouvais dans une rue plus animée. Plus sécurisante.

Après avoir fait mes achats, je décidais de faire un tour dans les rues piétonnes du centre de la ville. Toujours à l'abri, sous mon parapluie, je regardais les vitrines des magasins. La fraîcheur n'incitait pas à la flânerie. Aussi, vers dix sept heure, je décidais de revenir à la voiture. Je reprenais donc le chemin du retour.

J'arrivais dans l'impasse au fond de laquelle j'avais garé la voiture. En passant devant la porte cochère, je regardais sur ma gauche. A présent, les battants étaient fermés. Je marchais rapidement jusqu'à mon automobile. Après avoir ouvert la portière, secoué mon parapluie, déposé mes deux sachets sur le siège arrière, je m'installais au volant. Je restais un instant à chercher un mouchoir en papier dans la poche de mon imperméable.

C'est là que, passant entre les deux voitures, un homme vint se mettre contre le mur, juste devant mon auto. Il se mit à pisser. Terriblement gênée, préférant ne pas me manifester, je restais immobile sans démarrer le moteur. Par acquis de conscience, je verrouillais ma portière en descendant le capuchon. Au bout de deux ou trois minutes, le quidam se retourna de trois quart. Je pouvais voir son sexe qui pendait de sa braguette. C'est là que je compris que c'était le type de la porte cochère et qu'il s'exhibait discrètement. M'avait-il repérée ? M'avait-il attendue ?

Il me regarda et me fit un charmant sourire. Il devait avoir quarante cinq ou cinquante ans. Vêtu d'un manteau noir sur un pantalon gris. Des cheveux plutôt longs. Un visage fin et des yeux bleus. Propre. Bêtement, ne sachant que faire, décontenancée, je lui souriais à mon tour tout en baissant immédiatement les yeux. L'individu, le sexe à l'air se dirigea vers l'entrée d'un parking souterrain qui descendait sur la droite.

Je regardais vers l'entrée, prête à démarrer ma voiture. Là, l'homme, debout derrière le coin du mur, me fit signe de la main. Je vis son index qui m'invitait à le rejoindre. De sa main libre, il agitait doucement son sexe dans ma direction. Cette situation vicieuse m'excita légèrement. Je sentais bien, au fond de moi que, si je ne partais pas de suite, je risquais de sortir du véhicule. Je suis d'une nature curieuse...

Je restais ainsi, quelques minutes à regarder les agissements du type. Le lieu était désert. En scrutant dans les rétroviseurs, je pouvais me rendre compte qu'il n'y avait que l'exhibitioniste et moi. Laissant agir mes instincts de vicieuse, surmontant mes appréhensions, je sortais de mon automobile et fermais la portière à cléfs. La pluie redoublait. Comme hypnotisée, je rejoignais l'homme. Me faisant signe de le suivre, nous descendîmes vers le sous-sol quelques dix mètres plus bas.

Dans la pénombre, l'homme qui semblait bien connaître les lieux, entra dans un des box vides. Se mettant debout devant moi, toujours d'un geste de la main, me montrant tout à tour son sexe et le sol, de son index, il m'invita à m'accroupir devant lui. C'est du moins ainsi que je compris son invitation. Je regardais autour de moi, l'endroit, même s'il était désert, n'était pas vraiment discret. A tous moments pouvait descendre une voiture.

M'accroupissant devant le type, son sexe devant le visage, je regardais avec attention. C'était un cylindre de chair molle qui me faisait penser à une de ces saucisses destinées aux grillades. Au bout d'un court moment, m'approchant encore, je reniflais la chose. L'odeur était plutôt forte. S'avançant légèrement, l'homme me la passa sur les lèvres et la bouche. Cela m'excita vraiment.

Ouvrant la bouche, j'avalais son sexe. Le goût, une fois de plus, me semblait âcre, presque amer. Je me mis à sucer. Presque immédiatement m'arrivait le liquide séminal en flux continu. L'excitation que devaient lui procurer ces agissements d'exhibitioniste, avait dû remplir ses couilles de foutre. Cette nouvelle expérience, avec un nouvel inconnu, me fit prendre conscience de mes penchants. J'aimais "ça" ! Par contre, une fois de plus, c'était un sexe qui restait mou. Aucune érection pour m'étonner quelque peu, comme le fait mon copain aujourd'hui.

Je suçais depuis une bonne dizaine de minutes. Ce type était réellement juteux. Par instants, j'avais de la peine à déglutir tellement les sécrétions étaient fournies. Par trois saccades, l'éjaculation m'emplie la bouche. J'avalais avec peine la grande quantité de sperme. J'appréciais vraiment ce nouvel épisode de ma découverte de la fellation. Je me redressais et réajustais mes longs cheveux. L'inconnu me déposa une bise sur le front. Je trouvais cela charmant.

Enfin le type prononça quelques mots. < Je ne te devinais pas aussi salope ma belle ! > fit-il assez vulgairement. < Tu reviens un de ces jours pour une autre pipe ? > me lança t-il en me prenant le bras pour m'entraîner vers la sortie. < Tu es tentée ? > rajouta t-il avant que je ne puisse répondre aux arguments précédents. Arrivée en haut, sur le parking où j'avais la voiture, je m'entendis dire : < Peut-être, je viens de temps en temps garer l'auto ici ! >...

C'est là qu'il ferma enfin sa braguette et me proposa le mardi prochain, même heure et même endroit. Me dépêchant de retourner à ma voiture, avant de m'assoir et de fermer la portière, je fis : < Peut-être, on verra ! >. Je fis démarrer le moteur, je fis les manoeuvres nécessaires, et, accélérant, je me retrouvais à rouler, presque soulagée. Le goût du liquide séminal ajouté au goût amer du sperme du type, m'obligèrent à me saisir d'un des chewing-gum que laissait ma mère dans le vide-poche. Toujours ce goût dégoûtant qui m'excitait terriblement...

Sur le chemin du retour, je pensais à ce qui m'était arrivé et à la situation que je venais de vivre. Prenant également subitement conscience de ma folle témérité. Conscience de mon... inconscience !

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BjEd9a10

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par BjEd9a10 »

super de sucer des inconnus.. si ça se trouve ils ont la chtouille ou pire.. mais pas grave.. ça excite.. :sarcastic:
Wooki
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Wooki »

il y a eu 60 albums de "Martine" ... espérons qu'Isabelle se fatigue avant !!! :d
Mad'O
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Mad'O »

pas con... manque des illsutrations :o



:court:
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

Je crois pas :pada:
Mad'O
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Mad'O »

tu m'étonnes, le texte se suffit à lui seul :d
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Patron

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Patron »

Mad'O a écrit :pas con... manque des illsutrations :o



:court:
Chiche... :hein:
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

Mad'O a écrit :tu m'étonnes, le texte se suffit à lui seul :d
bah disons que le fromage tout ça :pada: :mum:
Mad'O
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Mad'O »

j'vais être malade :lol:
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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ça fonctionne ?
Mad'O
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Mad'O »

oui ça fonctionne.... wooki est sur le même site, à se marrer depuis 5 minutes :mdr:
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

Excellent :mum:
Wooki
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Wooki »

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ça fonctionne ?


Pat !!! :d :d :d nous sommes sur le même site je crois !!! :d :d :d


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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Patron »

mort de lol :d
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Wooki »

Pat tu aurais pu remplacer Martine par ISabelle !!!! :d
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Mad'O »

:ptdr:


ça se suce, un furet ????? :lol:
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

Mad'O a écrit ::ptdr:


ça se suce, un furet ????? :lol:
ça doit sentir pareil :ptdr:
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Wooki »

bon j'arrive pas à changer le nom mais le coeur y est ....


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Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

Je suis passée par Paint ;)
Supprimé

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Supprimé »

mais excellent :ptdr:
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Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par Patron »

trololol :d
GVb6lO6

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par GVb6lO6 »

Note

Pour apprécier ce nouveau récit, j'invite le lecteur à découvrir mes textes précédents, ici, sur ce même forum, dans la même rubrique "Les Récits d'Isa-Belle". Textes publiés sur mon Blog personnel. Avec mes deux mois de vacances, je ne suis pas trop disponible sur le forum. Mais, dès septembre, promis, j'aurais un peu plus de facilités et de souplesse dans mon timing.


Ma quatrième fellation (et le début d'une longue série)

Les jours suivants, je pensais souvent à cette nouvelle expérience. Cette nouvelle expérience avec cet inconnu, dans le parking souterrain. C'est donc le dimanche après-midi, en me promenant à cheval, que je pris la décision de retourner en ville, mardi pour quatorze heure.
J'empruntais à nouveau la voiture de ma mère. Je m'assurais de la présence des chewing-gum dans la boîte à gants. J'avais mes mouchoirs en papiers. J'étais donc équipée.

Ce mardi après-midi était maussade. Un ciel bas et triste donnait une ambiance sinistre à toute chose. J'étais vêtue d'une jupe, d'un pull et des collants bien chauds me protégeaient de la désagréable fraîcheur qui régnait. Des souliers à légers talons me permettraient de marcher vite, voire de courir si le besoin s'en ferait sentir. Sur mes vêtements, j'avais mon imperméable beige.

Je garais la voiture sur le même parking que le mardi précédent. Presque au même endroit. Plus près encore de la descente vers le souterrain. Je restais ainsi, assise dans la voiture, les sens aux aguets. Par prudence, j'avais verouillé les portières de l'intérieur. Il était quinze heure, il n'y avait pas le moindre mouvement, personne.

Au bout d'une dizaine de minutes, le type de la dernière fois arriva. Je le vis marcher en regardant dans le rétroviseur intérieur. Il ne m'avait pas repéré. Il ne se doutait sans doute pas de ma présence ici. L'individu alla se placer derrière les bosquets, le long d'un vieux mur, sur la gauche. Je ne pouvais pas distinguer ce qu'il faisait. Par moment, toutes les deux ou trois minutes, je voyais sa tête jaillir dans un trou du feuillage. Il observait attentivement l'accès au parking. Je me trouvais garée derrière deux autres voitures, il ne m'avait donc pas encore vu.

La situation commençait à m'exciter. J'observais les agissements du type avec beaucoup d'attention. Au bout de cinq minutes, l'homme s'avança un peu plus. Vêtu d'un pantalon noir, d'un pull noir, portant un caban noir, il se confondait presque parfaitement à l'environnement où il se dissimulait. Là, à moitié hors de sa cachette, je pouvais constater que, de sa braguette ouverte, pendait son sexe. Ce sexe que j'avais sucé la semaine dernière. J'eu soudain un frisson de dégoût.

Rapidement, l'homme retourna dans sa cachette. Je me doutais à présent de ce qu'il faisait. Pas de doute, c'était un exhibitioniste, un vrai. Considérablement excitée par ce mélange de dégoût et de curiosité, je sortais de la voiture en faisant semblant de rien. Il dût m'apercevoir immédiatement car, en fermant la portière à clef, j'entendis soudain derrière moi : < Super ! Tu es revenue ! >.
Je me retournais. Le vicelard était debout entre la voiture et le mur, se touchant le sexe. Je fis simplement < Bonjour ! >. Faisant mine de vouloir quitter le lieu, je me mis à marcher en lui tournant le dos. D'une voix hésitante, il me fit : < Tu veux pas sucer un peu, avant de filer ? >. Je m'arrêtais et me retournais. Je regardais le sexe qu'il tenait entre son pouce et son index. Il rajouta : < T'as pas envie de descendre comme l'autre fois ? >.

Je restais silencieuse en observant le visage de ce salopard. Il était plutôt quelquonque. Un regard vicieux et sournois. Au bout d'un petit moment, juste au moment où arrivait une voiture, je lui répondais : < Pourquoi pas ! Mais pas longtemps, j'ai un rendez-vous avec mon copain qui arrive dans un petit moment ! >.

Il me fit signe de le suivre. Nous dévalions à pas rapides les quelques trentes mètres de la descente vers le parking souterrain. J'étais follement impatiente de sucer. Là, arrivé dans l'obscurité du même box que mardi dernier, il se tourna vers moi, se cambra sur ses jambes et me fit : < Viens faire ta pipe, petite salope ! >. Avec le plaisir fou qui m'envahissait malgré moi, je me suis accroupie devant le vicelard. L'odeur de son sexe était aussi forte que la fois précédente. Il me le passa sur le visage, les joues, insistant sur mes lèvres. Puis, me saisissant par les cheveux que j'avais laissé pendre, il me fourra sa queue dans la bouche. J'étais abasourdie et si contente.

Avec un mouvement de va et viens, il se masturbait dans ma cavité buccale. Il me maintenait fermement à chaque fois qu'il cessait de bouger. De grandes quantités de liquide séminale envahissaient ma bouche. J'avais peine à déglutir tout ce foutre gluant. J'étais à la fois dégoûtée, presque horrifiée de ce que j'étais entrain de faire, de subir. Mais, curieusement, comme à chaque fois, j'étais également très excitée. Ma nature profonde de vicieuse trouvait là toute sa dimension, tout son enchantement.

Au bout d'une dizaine de minutes, l'homme lâcha son jet de sperme en trois saccades incroyablement abondantes. Il me lâcha les cheveux. Je déglutissais avec effort et passion. C'était à la fois tellement dégoûtant et tellement excitant que j'étais parcourue de frissons. Je gardais son sexe en bouche dans le secret espoir qu'il m'offrirait une nouvelle scéance, une nouvelle giclée. Hélas, il se retira et se réajusta pendant que je me relevais, mes jambes flageolantes. < T'es une superbe pipeuse, bravo, tu m'as super vidé les couilles ! > me fit-il avec une vulgarité inutile que je trouvais parfaitement déplacée.

Mes jambes débarassées des fourmis qui les engourdissaient, rapidement, je remontais la pente qui menait au parking extérieur. < Tu reviens mardi prochain ? > me fit l'homme derrière moi. Je me retournais pour constater que le type se tripotait toujours encore. Il me fit un sourire vicelard et un signe de la main devant sa bouche qui mimait une fellation. De sa langue il faisait une bosse à l'intérieur de sa joue. Sans répondre, je me dépêchais de retourner à la voiture. Rapidement j'ouvrais la portière, m'installais, démarrais et quittait les lieux.

Dans le rétroviseur, juste avant de quitter le parking, je vis le type qui me faisais un signe d'adieu de la main. Je sortais la mienne pour lui rendre sa politesse. Une fois de plus, je me retrouvais avec ce goût particulier dans la bouche. Plutôt que de prendre un chewing-gum, je dégustais longuement cette saveur dégueulasse. Je savais à présent que j'appréciais ces situations. Je suis vicieuse depuis longtemps. Je me complais dans les séquences vicieuses que je m'offre ainsi, parfois, avec de parfaits inconnus. Ma témérité m'effraie.

Arrivée chez moi, je me dépêchais de monter dans ma chambre afin de me masturber. Me masturber longuement, comme une démente, avec ces souvenirs encore tous frais...

__________________________
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BcxCa2

Re: Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

Message par BcxCa2 »

sympa tes histoires , c'est un peu un fantasme de croiser une petite vicieuse comme celle du récit….!
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