Mes premières fois - (Les Récits d'Isa-Belle) -

[Supprimé]

... toi, t'aimes pas te laver la bite

[BcxCa2]

si si , t'inquiète … suis sportif et suis très attaché à l'hygiène, aux soins du corps et de la bite ….

[GVb6lO6]

Bonjour

Pour cause de vacances très agréables, je ne suis disponible que le week-end.
Cette situation va perdurer jusqu'au 2 septembre. Ensuite je serais un peu plus présente.
Régulièrement, même si je n'interviens pas par l'écrit, au moins je viendrais pour la lecture.

Voilà un nouveau récit qui relate, dans le détail, une autre "aventure" qui m'a bien amusé.
Je vous en souhaite une excellente lecture.

A bientôt

Récit No 5

Un type qui se masturbe dans les toilettes du salon de thé.


Cet après-midi de début décembre, j'étais assise dans un de mes salons de thé préférés.
Devant un chocolat chaud, je lisais un magasine féminin que je venais d'acheter.
J'étais là depuis un quart d'heure, seule dans un coin, derrière un grand aquarium où nageaient des poissons exotiques.
Un monsieur, la cinquantaine, plutôt élégant, enlevant son manteau, s'assit à quelques tables de la mienne, dépliant un journal.
La serveuse vint apporter sa commande à l'inconnu, très poli, courtois et souriant.

Je continuais ma lecture en restant indifférente à la présence de l'homme lui-même absorbé dans les pages de son journal.
C'est au bout d'une dizaine de minutes que mon attention fut attirée par un mouvement régulier du bras de l'inconnu sous sa table.
Ce type était entrain de se masturber, j'en acquis rapidement la certitude.

J'avais mon portable sur la table. Je m'en saisis pour me servir de l'écran comme d'un miroir.
Je pouvais ainsi voir l'inconnu loucher dans ma direction en faisant semblant de lire son journal.
Je ne savais trop comment réagir. Me lever et partir, ou, au contraire, rester et m'amuser un peu de la situation.
J'optais pour la seconde option. Après un petit moment de gêne, je me sentais flattée de susciter ce genre de réaction.

Certes, c'était un sacré vicelard, mais j'aime bien les types vicieux, ils sont souvent plein d'imagination et on ne s'ennuie pas avec eux.
Au bout d'un nouveau quart d'heure où je faisais semblant de lire, l'homme se leva pour se rendre aux toilettes.
Je connaissais bien les lieux. Cinq bonnes minutes passèrent et l'inconnu n'était toujours pas de retour.
Aussi, je décidais de me rendre aux toilettes. J'entrais dans les WC.

Là, sur la droite, par la porte ouverte, je vis l'homme, cambré au-dessus d'un des trois urinoirs, entrain de se masturber doucement.
Je fis : < Oh, pardon, excusez-moi >, sachant très bien qu'il attendait sans aucun doute ma venue et cet instant précis. Le "flash".
L'inconnu tourna sa tête vers moi. Tout en agitant son sexe dans ma direction, il me fit : < C'est moi qui m'excuse, j'aurais dû fermer la porte > !

Juste avant que j'entre dans le cabinet de toilette, il me fit encore : < Vous auriez l'heure, peut-être ? >.
Je regardais ma montre et lui donnais l'heure. J'étais très gênée mais la situation m'amusait quelque peu.
Une fois enfermée dans mes toilettes, je pissais par petits jets sonores afin d'attirer l'attention de l'inconnu.
Je restais ainsi, quelques minutes à bien me contrôler et à émettre ces bruits de jets venant se briser dans l'eau.

Je sortais au bout de cinq minutes pour me diriger vers les lavabos.
Là, en regardant dans le miroir, je pouvais aperçevoir l'homme, le pantalon sur les chevilles, entrain de se masturber frénétiquement.
Il me fit, le visage couvert de sueur, en respirant fortement : < Vous seriez tentée ? >.
Je me retournais et lui fit, cachant mon trouble, calmement : < Tentée par quoi ? >.

Pour le type, s'en était sans doute trop. dans une série de spasmes, il éjacula plusieurs saccades puissantes dans ma direction.
Quelques trois mètres devaient nous séparer, et du sperme brillait sur le carrelage à peut-être un mètre de mes pieds.
Je sortais rapidement des toilettes après lui avoir dit au revoir.

Arrivée à ma place, je pris mes affaires, enfilais mon manteau et partis rapidement.
Je n'ai jamais revu cet homme qui m'a offert un bon moment d'exhibitionisme.
J'avais vingt ans et j'étais encore assez timide. Je retourne régulièrement dans ce salon de thé mais je n'ai jamais revu cet homme.

Merci monsieur pour cet amusant et passionnant moment...

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Tous droits réservés - 2013 -

[BcxCa2]

Merci à toi Isa pour ce récit érotique .... !

[cLEg8]

Pitié, va déverser tes saletés ailleurs ...

[GVb6lO6]

sympa tes histoires , c'est un peu un fantasme de croiser une petite vicieuse comme celle du récit….!

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Bonjour

Cher "cote237"

Si vous saviez, dans la rue, le nombre de "petites vicieuses" que vous croisez tous les jours, sans même vous en douter un seul instant.
Comme pour toutes les activités humaines, c'est uniquement l'occasion qui fait le larron.

Et, de faire la prude, la timide ou l'innocente, ne sont souvent qu'un jeu supplémentaire qui agrémente l'ensemble.

Isa

[cLEg8]

Tu nourris la culture du viol ou je rêve ...?

[BcxCa2]

...mais pourquoi te rends-tu si inaccessible ...?

[Aspartam_]

Tu nourris la culture du viol ou je rêve ...?

J'me suis dit pareil...

[cLEg7]

A la façon de décrie l'éjac d'un mec en jets puissants d'un liquide épais visqueux et jaunâtre, on croirait lire un mec, en général ce sont eux qui écrivent comme ça... Perso j'aime pas. Mais yen a qui aiment.

[cLEg8]

Nous ne sommes pas sûrs de la féminité d'Isabelle

[cLEg8]

et en ayant lu les récits de Julien, je trouve certaines similitudes et c'est étrange

[BcxCa2]

Nous ne sommes pas sûrs de la féminité d'Isabelle

ah ben zut alors ....

[Supprimé]

et en ayant lu les récits de Julien, je trouve certaines similitudes et c'est étrange

pas faux oO

[BcxCa2]

du copié/collé ?

[BcxCa2]

ben on ne la voit plus , " l'Isa-belle " ??

[Biquette]

Elle vient sur le chat le week-end !

[GVb6lO6]

Bonjour

Mercredi dernier, avec mon compagnon, nous étions en ville pour quelques achats.
En sortant du magasin d'équitation, nous sommes allés au petit parc voisin.
Je suis toujours vêtue d'un tailleur, d'une veste sur un chemisier, je suis chaussée de souliers à talons hauts, lorsque je vais en ville.
Cette tenue à la particularité de beaucoup séduire les hommes. Une tenue "Classique".
Dans le parc, mon compagnon, restant à l'écart, m'observait marcher derrière les fourrés, dans une des petites allées.
J'apprécie ces sentiers à l'écart, derrière les frondaisons. C'est là que l'insolite se dissimule le plus souvent.
Cela n'a pas raté. Je "tombe" sur un quinquagénaire à l'attitude "curieuse". Le type se touchait en me croisant.
Les messieurs d'âge mûr ne me laissent pas indifférente. Je sais que je ne les laisse pas indifférents non plus !
J'aime jouer de ces situations qui m'excitent.
Je repasse au même endroit, l'individu est à présent assis sur un banc, à l'écart.
Il me fait < Bonjour > en touchant la grosse bosse qui déformait sa braguette.
Je réponds poliment, avec un grand sourire. Amusée.
Un peu plus loin, descendant ma culotte aux genoux, m'accroupissant derrière un buisson, étant vue depuis le banc, je pissais.
Plusieurs petits jets, nets, précis. J'aime être cambrée et vue. Ainsi le jet vient se briser loin devant moi.
Juste avant que le type ne perde tous sens de la mesure, se levant du banc, son sexe à la main, je me redressais.
Me réajustant, je repris le chemin inverse pour croiser l'inconnu qui se masturbait dans les bosquets.
< C'était "super" > me fit-il. < Oui, je sais ! > répondis-je en lui faisant un sourire désarmant.
Je ralentissais un court instant pour bien regarder ce qu'il faisait. Ce qui lui fit accélérer son mouvement.
< Bonne journée > lui fis-je avant de rejoindre mon compagnon qui riait en me voyant arriver amusée.
Pour éviter tous problèmes mon compagnon, aux aguets, vient toujours à ma rencontre lorsque j'ai fini mon "show".
Les messieurs ont toujours une attitude "courtoise" et ne tentent jamais de m'aborder d'une façon "inquiétante".
Tout se passe toujours très bien.
Certes, il y a des "cas", beaucoup de messieurs raisonnent, dans ces situations, avec leur sexe.
Heureusement, il y a les autres, un peu moin primaires et plus cérébraux...

Encore un sublime moment vécu en parfaite complicité et en parfaite harmonie avec la nature.

Isa

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[Supprimé]

Je vais me mettre à fréquenter les parcs!!

[FqD0fi6]

Et voila qu'elle nous repond la même bouse qu'un peu plus haut... Toujours le même scénario, tu te promènes tranquillement, un mec te regarde en se tripotant, tu lui pisses au nez , il content et vous échangez des banalités...
et une nouvelle couche concernant les mecs qui ne pensent qu'avec leur bite...

Et bien sur jamais d'échange avec les autres forumeurs qui te parlent... juste des monologues identiques et inutiles semaines après semaines.

alors je te le redis, quand on s'exhibe comme une salope, on ne s'étonne pas qu'en face les mecs pensent avec leur bite et puis.... arrête de t'habiller comme une pute, ça évitera que tout le monde se tripote rien qu'en te regardant ou plutôt... arrête de fantasmer comme ça, t'es pas crédible une seule seconde

[GVb6lO6]

Je vais me mettre à fréquenter les parcs!!

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Cher "fred63970"

C'est une excellente idée.
Le Puy de Dôme reste toutefois loin de mon lieu de vie.
Nul doute que vous risquez fort de faire d'agréables rencontres dans les parcs de la région de Aydat.

Bonne chance

Isa

[Supprimé]

[Supprimé]

quoi?

[Supprimé]

Merci Isa,

[cLEg7]

j'aurais tendance à partager l'avis de smum là tout d'suite...

[Supprimé]

mais heu laissez moi fantasmer bordel!!

[Supprimé]

Je suis bi .... et je ne FANTASMERAI JAMAIS sur une femelle qui aime les bites qui puent entre autres

[Supprimé]

Alors il faudrait que chacun s'aligne sur tes goûts c'est ça?

[Supprimé]

Alors il faudrait que chacun s'aligne sur tes goûts c'est ça?

Non, mais imposer ses goûts de chiotte aux autres non merci

Pis voilà quoi

[Supprimé]

[GVb6lO6]

Récit No 6

L'inconnu de l'immeuble

Il était dix sept heure, j'étais dans l'ascenseur qui me ramenait au rez-de-chaussée de l'immeuble où mon amie louait un studio. Nous étions toutes les deux au début de notre seconde année de faculté. J'avais dix neuf ans. Nous étion au début novembre 2009. Je passais quelques fois chez Elodie pour lui apporter les cours qu'elle avait manqué. Travaillant pour payer ses études, il lui était souvent difficile de concilier son emploi et les horaires de cours. Je me faisais donc un devoir de l'aider un peu, ayant de mon côté le privilège social d'une existence préservée.

Son studio, situé au septième étage d'un immeuble résidentiel, offrait une vue magnifique sur la ville et sur la campagne environnante. J'étais donc à descendre dans l'ascenseur lorsque celui-ci s'arrêta au quatrième étage. La double porte s'ouvrit pour laisser entrer un homme de petite taille, vêtu de façon très élégante. Nous étions au début du mois de novembre, le port du manteau s'imposait pour se prémunir du froid. Le quidam en portait un noir, épais et très propre. Sans doute quinquagénaire et certainement en surpoids.

< Bonjour > me fit l'inconnu en pénétrant dans l'espace étroit de l'ascenseur. < Bonjour > lui fis-je avec un sourire. < Vous descendez au sous-sol ? > me demanda l'homme. < Non, non, je m'arrête au rez-de-chaussée > répondis-je. Il appuya sur le bouton "Sous-Sol". L'ascenseur s'arrêta au rez-de-chaussée, je m'apprêtais à quitter la cabine, lorsque l'homme me demanda : < Vous êtes de la région, vous connaissez un peu le quartier ? >. Je regardais dans sa direction pour m'apercevoir qu'il avait son sexe qui dépassait de la braguette.

< Non, je ne suis pas du coin ! Je ne peux pas vous renseigner ! > fis-je en quittant rapidement l'ascenseur. < Au revoir, mademoiselle, je descends au sous-sol, bonne fin d'après-midi. > me fit-il en secouant son sexe dans ma direction. < Au revoir !> répondis-je en tournant rapidement les talons. Arrivée dehors, devant l'immeuble, marchant sur l'étroit chemin qui menait à la rue, machinalement, je regardais vers le descente de la cave. J'essayais d'imaginer la psychologie d'un type qui descendait dans une cave avec son sexe à la main. Surtout après l'avoir montré à une jeune fille. J'avais dix neuf ans...

Arrivée sur le trottoir de la rue, je m'arrêtais. Un intérêt et une légère excitation commençaient à s'éveiller en moi. Je passais rapidement les évènements vécus dans ma mémoire. Ce type était descendu à la cave. Sa façon de me préciser qu'il y descendait n'était, en fait, qu'une sorte "d'invitation" à l'y rejoindre. Après un instant d'hésitation, ayant un peu de temps avant de me rendre à la gare toute proche, je decidais de retourner dans l'immeuble. L'ascenseur arriva sur mon appel, montant du sous-sol, ses portes s'ouvrirent. J'y entrais et j'appuyais sur "Sous-Sol"...

L'ascenseur s'arrêta et ses portes s'ouvrirent. J'étais dans un sous-sol propre, bien éclairé, silencieux. Les murs, fait de parpaings de béton, étaient aussi gris que le ciment du sol. Devant moi, il y avait un couloir. Sur les côtés, nombre de portes en bois qui devaient êtres les entrées des caves individuelles. Soudain, sur la droite, d'une porte en fer, l'homme de l'ascenseur apparut : < Eh bien, vous vous êtes trompée de bouton dans l'ascenseur ? > me demanda t-il en riant. Il agitait son sexe dans ma direction. Je restais là un peu stupide, ne sachant que répondre.

< Là, c'est le local poubelles, je viens régulièrement y jeter des trucs dont je n'ai pas besoin. Vous voulez voir ? > me fit-il encore en m'invitant, d'un geste de la main, à le suivre. Je m'approchais de la porte en fer ouverte. Je regardais à l'intérieur d'une petite pièce dans laquelle étaient disposées plusieurs grandes poubelles grises. L'inconnu se plaça entre deux de ces poubelles et descendit son pantalon. < Je vous donne cinquante euros pour une pipe. Ca vous dit ? > me fit-il encore. J'étais consternée par l'aplomb et le culot de l'individu. Après un instant de silence, vexée, je répondis : < Je ne suis pas une pute, je suis étudiante et je viens dans cet immeuble pour voir une copine. Vous vous trompez de personne ! >.

Le type se masturbait dans le silence. J'observais la scène avec curiosité. Je m'apprêtais à quitter les lieux, lorsqu'il me lança : < Vraiment, j'aimerais bien me faire sucer. Ca ne vous tente pas un peu ? >. Je regardais cet individu, assez minable, son manteau ouvert, son pantalon sur les chevilles. L'homme me semblait pitoyable et me faisait presque pitié. < Vous n'avez pas une femme pour vous faire ça ? > lui demandais-je naïvement. < Elle ne fait pas ! > me répondit-il, cambré sur ses jambes, le dos contre le mur en se masturbant énergiquement.

Excitée par la situation. Une fois encore, attirée par cette opportunité vicieuse, je me laissais aller à mon instinct. Je posais mon cartable sur le sol, devant le type. Je m'approchais pour m'accroupir devant lui. Son sexe était propre et n'avait aucune odeur. Mon visage à une trentaine de centimètres de son membre, je le scrutais avec attention. Reniflant, tentant d'en savoir plus, je m'approchais encore davantage. A l'extrêmité de son membre, perlait une goutte de liquide. Cette goutte ne tarda pas à tomber au sol après avoir coulé le long de la grosse veine.

L'inconnu, se cambrant encore un peu plus, approcha son sexe de mon visage. Je m'approchais pour le prendre en bouche. Les yeux fermés, soudain secouée de frissons, à la fois excitée et dégoûtée, je suçais une nouvelle fois. Curieusement, le goût de ce nouveau sexe m'enivra rapidement. Chaque sexe d'homme a un goût différent. Mon attirance pour la fellation m'en a fait goûter de nombreux spécimens. Celui-ci me laisse, encore aujourd'hui, un souvenir particulier. C'était le sperme d'un non-fumeur. Et il y a une différence notable, il faut le préciser. Je déteste la fumée !

Le liquide séminal arrivait en grande quantité dans un flot presque continu sous l'effet de ma suçion. Je tombais à genoux sur mon cartable. Je me régalais de cette substance. Chaque fellation me passionne davantage. Là, je savourais à la fois le liquide et la situation. C'est comme si, située à l'extérieur de mon corps, je m'observais. J'étais là, à genoux, entrain de pomper. Cela m'excitait au point que je sentais mon sexe devenir chaud. Je n'avais encore jamais été pénétrée par un homme. Là, pour la première fois, cela m'en donnait l'envie folle.

Je n'eu pas le temps de méditer davantage sur l'éventualité de faire l'amour, l'inconnu éjacula en trois saccades. J'ai toujours beaucoup de peine à déglutir la quantité de sperme que lâchent les hommes que je suce. Cela semble toujours ne plus finir. Là encore, le flot semblait intarissable. J'avalais avec peine. J'ai une préférence pour le liquide séminal plutôt que pour le sperme. Aussi, l'éjaculation me laisse toujours une sorte d'amertume en bouche. Encore présente quelques heures après.

L'inconnu se vida longuement. Toujours désireuse de ne pas en perdre la moindre goutte, je pompais avec force. L'homme, doucement, avec tendresse, me repoussa en soufflant fortement. Il remonta son pantalon pendant que je me relevais. Je m'essuyais le menton et la bouche avec un mouchoir en papier. < C'était vraiment superbe, mademoiselle. Savez-vous que cela ne m'était plus arrivé depuis plus de quinze ans ? > me fit-il en me déposant une bise sur le front. < Merci monsieur. C'était super pour moi aussi ! > répondis-je, plutôt amusée. < Cela vous tente de vous arrêtez au quatrième étage, chez moi, lors de votre prochaine visite ? > me fit-il encore en me tendant sa carte de visite.

En sortant du local poubelles, je me tournais vers l'homme pour lui dire : < Je passe chez mon amie, mardi prochain. >. < Superbe ! Venez boire le café alors, d'accord ? > me fit-il, la voix pleine de désir. < Peut-être bien, j'aime aussi le café ! > lui fis-je avant d'appuyer sur le bouton d'appel de l'ascenseur. Celui-ci arriva rapidement, sans doute stationné au rez-de-chaussée. L'homme y entra avec moi et me fit : < Je m'appelle André, je vous souhaite une bonne soirée. >. < Enchantée, moi c'est Isabelle. > fis-je avant de partir. Je suis toujours préssée de me retrouver seule après mes fellations "sauvages".

Je quittais l'immeuble, un peu émue par mon aventure. Je prenais un chewing-gum et, juste avant de la porter à la bouche je le remballais. je voulais garder le goût du sperme jusqu'au repas du soir...

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Tous droits réservés - 2014

[Supprimé]

Merci Isa, ça devrait plaire, le sexe est propre!!

[cLEg7]

c'est quand même étonnant le nombre de gusses qu'elle croise la queue sortie du froc. j'ai vécu dans des coins assez bof, et j'en ai croisé qu'un seul en tout c'temps. A croire qu'ils la suivent à la trace...

[Wooki]

c'est quand même étonnant le nombre de gusses qu'elle croise la queue sortie du froc. j'ai vécu dans des coins assez bof, et j'en ai croisé qu'un seul en tout c'temps. A croire qu'ils la suivent à la trace...

il me semblait t'avoir déjà vu quelque part ...... !!!!!

[cLEg7]

Ahhh c'était toi qui allumais les gamines du collège au volant de ta supercinq rouge alors? C'est malin...

[Wooki]

Ahhh c'était toi qui allumais les gamines du collège au volant de ta supercinq rouge alors? C'est malin...

me voilà demasqué !!!!!

[Mad'O]

na, c'était une vieille golf III avec un palmier dessus, en adhésif

[cLEg7]

Ah nan nan! C'était bien une supercinq, et j'me rappelle qu'il t'appelait une fois que t'étais passée et il te demandait la route pour aller au centre commercial et il avait sa quéquette à la main! Même que j'avais noté le numéro, en partie, pour les flics! (parce que mes parents et moi on a porté plainte... t'as fait combien de taule en fin de compte? )

[Supprimé]

c'est quand même étonnant le nombre de gusses qu'elle croise la queue sortie du froc. j'ai vécu dans des coins assez bof, et j'en ai croisé qu'un seul en tout c'temps. A croire qu'ils la suivent à la trace...

Put'ain je me disais la même chose !!!!!
Un seul mec croisé la bite à la main de toute ma vie aussi et il a fini en taule

[Mad'O]

pareil, j'en ai vu que 1 dans ma vie... j'étais dans le bus à Strasbourg, et le gars était en bagnole à côté.... ahhhh le dégueulasse avec son kiki-pourri dans la main