La ou tu n’es pour moi, pour nous, qu’une amie je te reve mon amante… Je ne vais pas me cacher sous de faux pretextes mais d’avoir renoué avec toi avait aussi pour but de te guider sous mes doigt. On a une certaine complicité, une esquisse du jeu du chat et de la souris, quand tu m’avoues certains details personnels je serais en droit de penser, la folie d’imaginer que tu partagerais peut etre l’idée de t’abandonner a moi…
Je profite de chaque occasion qu’il m’est présentée pour passer du temps avec toi, comme des potes, a rigoler pour des conneries et meme se faire des restos. Je ne tente rien pour ne pas qu’il y ai d’ambiguité mais ce n’est pas l’envie qui me manque, tu n’es pas un top model ou un canon, moi non plus d’ailleurs, mais j’ai un desir inexplicable qui m’habite quand je suis en ta présence…
L’autre fois j’avais un pretexte en or pour te demander de dormir chez toi, sauf que j’avais omis un detail, detail qui a toute son importance car c’était la presence de cet homme chez toi… ton toy boy que tu ne veux meme plus sous ton toit, qui ne te desire meme plus et que tu gardes pourtant car il te plait mais que tu supportes de moins en moins, et je l’envie juste pour le fait de pouvoir faire de toi ce qu’il veut …
Je m’etais imaginé cette soirée entre nous, apres notre sortie resto, te proposer un massage apres la dure journée que tu as passée. Ce massage aurait surement dérapé, j’aurais tout fait pour… pour que tu cedes a mes envies (aux tiennes ?), que tu t’abandonnes a moi et que je puisse exercer sur toi toutes les envies qui me traversent, toutes les pervertions que je m’etais imaginé te faire, tout ce qui puisse te guider sur le chemin du plaisir, etre en toi et lire sur ton visage les signes de la jouissance, sentir tes mains m’empoigner a chaque coup de langue ou de rein, t’entendre crier comme jamais tu n’aurais crié et finalement jouir en toi, comme un point final a mon fantasme… et recommencer encore et encore jusqu’à epuisement de nos corps, epuisement de nos idées, epuisement de nos sens…
Je ne desespere pas partager ces instants un jour avec toi, en attendant ce fantasme s’attise en moi et grandira encore et encore jusqu’à me pousser a faire ce qui pourrait gacher notre amitié ou bien peut etre s’avouer l’un a l’autre un desir commun mais inavoué… Qui vivra verra
