Une aventure dont vous êtes le héros

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
cLEg7

Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

Pas encore de titre, mais ça viendra!

1

Seul… Seul tu l'es depuis longtemps, pas tant par choix, que parce que tu ne sembles pas fait pour ne pas l'être. Pourtant, tu as essayé, plusieurs fois, tu y as cru, tu t'es laissé emporter par la passion, l'envie de bien faire, mais au fond, quelque chose en toi demeurait insatisfait, solitaire, frustré. Tu déambules dans les rues froides, dans les caniveaux subsistent quelques traces de neige fondue. Comme souvent, après les cours, tu te promènes et tu te dis que si c'est ça, l'existence, ça craint… Un de tes endroits préférés, le métro… Une vieille station, Abesses, située au flanc de la Butte Monmartre. Tu aimes son air désuet, l'entrée en métal forgé, les marches innombrables qui descendent à 38 mètres sous terre, dans des décors d'un autre âge, paysages, fleurs, collines boisées, tu voyages à chaque fois loin du monde… Tu descends, vers l'inconnu, comme on descend en enfer, ça te convient bien, ça, de descendre, c'est tout à fait l'image de ta vie…

Ce qui te frappe tout d'abord, c'est le bruit : claquements secs, nerveux, mais légers néanmoins, puis tu sens le tissu de sa robe qui te frôle, tu distingues de la dentelle couleur crème à ras du sol quand elle te dépasse et quelque chose de pelucheux te chatouille le visage, de la fourrure sans doute. La silhouette est haute, et sous les plis de la rombe ample que le manteau blanc laisse deviner, tu aperçois les bottines précieuses, désuettes, et pourtant si élégantes… Elle court, et disparait très vite derrière l'arrondi de l'escalier, clac, clac, clac… les talons s'enfoncent dans l'enfer du métro, et tout ce qui reste de son passage, c'est son parfum… ça sent le foin coupé, les fleurs des champs, comme si le tableau printanier sur le mur venait de prendre vie…

Tu la vois disparaitre, mais tout en toi se révolte à l'idée de la perdre de vue, tu fonces, tu cours pour la rattraper, tu descends les marches quatre à quatre… Va au numéro 2

Tu l'appelles : «Madame! Madame! Attendez!» : Va au numéro 3

Tu continues à descendre les marches lentement… De toute façon, ça change quoi? Va au numéro 4


2

Tu descends les marches à toute vitesse, comme si ta vie en dépendait. La seule chose qui compte? Cette silhouette fine, ce parfum de printemps… Voir son visage… Mais avant que tu ne réalises ce qu'il se passe, tu heurtes un corps : elle s'était arrêtée, la main sur la rampe de l'escalier et tu viens de lui rentrer dedans… Elle pousse un cri, lâche son sac qui s'ouvre et le contenu roule sur les marches. Tout se fige, pendant que tu te traites intérieurement d'imbécile…

Tu te confonds en excuses, et tu te penches pour ramasser ses affaires, va au numéro 6

Tu te tournes vers elle et tu lui demandes pardon, avant de lui demander si elle va bien. Va au numéro 7


3

Tu espérais quoi? qu'elle se retourne? Elle est pressée, nigaud, c'est évident qu'elle ne t'a même pas entendu…

Tu cries plus fort. Va au numéro 5

Tu cours, pour la rattraper, va au numéro 2

Tu te dis : «à quoi bon?» et tu continues à descendre l'escalier lentement, après tout, ça n'est pas pour toi, tout ça… Va au numéro 4


4

Tu entends un cri étouffé, et quelque chose tombe, dans un cliquetis d'objets qui roulent sur le sol et rebondissent sur les marches. Un silence, puis, distinctement : «Flûte!»
Au détour de l'escalier, elle est là, debout, son sac est tombé, et son contenu répandu par terre…

Tu t'accroupis immédiatement pour ramasser ses affaires, va au numéro 6

Tu la regardes, et tu lui demandes si elle va bien, avant toute chose : va au numéro 7


5

Elle ne s'arrête pas pour autant, tu peux t'époumoner encore, ça ne servira à rien. Et tu vas lui dire quoi de toute façon : «bonjour Madame, je suis amoureux de vous»? Ca ne marche que dans les pubs pour le parfum ça…

Tu cours pour la rattraper, va au numéro 2

Tu abandonnes et tu continues à descendre lentement, elle n'était pas pour toi de toute façon… va au numéro 4


6

Un porte-feuille en cuir clair, un tube de rouge à lèvre en métal, et un poudrier assorti, ouvert par le choc, tu le refermes, d'un claquement sec. Un trousseau de clefs fixé à une…patte de lapin blanche? Il y a d'ailleurs une grosse clef, lourde, en fer forgé, le motif extrêmement travaillé de l'anneau se prolongeant sur la tige, un objet sans doute très ancien, tu te demandes vers où peut bien mener la porte que cette clef là ouvre… Puis tu descends deux marches de plus, pour ramasser la dernière des possessions qu'a perdues la dame. Tu distingues d'abord une poignée en cuir blanc tressé, que tu prends en main, et lorsque tu la soulèves, une multitude de fines lanières se déroule comme un nid de serpents qui s'égaye… C'est un martinet. Un étrange accessoire pour un sac de dame…

Tu te relèves, tu lui tends ses possessions, sans un mot, l'air de rien… Va au numéro 8

Tu laisses échapper un : «Ah ben ça alors», à la vue du martinet, va au numéro 9


7

Tu relèves la tête vers elle, une grimace de colère passe, fugitive, mais elle reprend vite un air plus serein, visiblement apaisée par tes mots. Son visage est fin, son teint de porcelaine rappelle les poupées de colletion, mais les boucles de ses cheveux courts sous le bonnet de laine bordé de fourrure, ne sont pas blondes, ou rousses, mais noires, de jai. Ses grands yeux presque aussi sombres font comme deux lacs brillants, intensément perturbants dans son visage si clair, si pâle. Sur son nez, une fine paire de lunettes rondes, et quelques taches de rousseur sur ses joues. Elle répond :

«Je n'ai rien, ça va. Mais mon sac…»

Tu te baisses pour ramasser ses affaires, va au numéro 6


8

Elle prend chaque objet pour le replacer dans son sac à mesure que tu les lui tends. Quand elle saisit le martinet, elle te scrute, un court instant, comme si elle te défiait de dire quelque chose, puis elle le range, lentement, son regard toujours fixé sur toi, mais plus évasif, comme si soudain elle pensait à autre chose. Elle glisse une main dans la poche en haut de son manteau, sur la poitrine, juste à côté de l'épais col de fourrure, et en tire une vieille montre à gousset en argent, qu'elle observe, avant de laisser échapper :

«Je suis en retard! Je dois me dépêcher. Merci de votre aide.»

Son sac se ferme en un claquement sec et elle repart, en courant, vers le bas des escaliers.

Tu la suis, hors de question de rater une occasion pareille d'en savoir plus, elle t'intrigue. Va au numéro 10

Tu la laisses partir, mais tu continues à descendre, malgré tout, moins vite. Va au numéro 11


9

Elle ne répond rien à ton interjection de surprise. Elle sourit, un simple rictus presque invisible sur sa bouche fine et rouge sang, avant de prendre l'objet dans sa main et de le ranger dans son sac, laissant les lanières glisser entre ses doigts, comme si elle les caressait. Elle récupère le reste de ses affaires, les glisse dans la pochette qu'elle referme d'un geste sec, et porte sa main à sa poche de poitrine, sous le col de son manteau, pour en tirer une montre à gousset en argent, qu'elle observe avant de dire :

«Je suis en retard! Je dois me dépêcher. Merci de votre aide.»

Elle repart, en courant, vers le bas des escaliers.

Tu la suis, hors de question de rater une occasion pareille d'en savoir plus, elle t'intrigue. Va au numéro 10

Tu la laisses partir, mais tu continues à descendre, malgré tout, moins vite. Va au numéro 11




10

Elle arrive sur le quai et tu la suis de près, lorsqu'un homme te bouscule, t'empêchant de la rattraper. Tu l'aperçois à quelques mètres de toi, elle s'arrête devant une porte de service, fouille dans son sac, en sort le trousseau… Elle a la clef, la porte s'ouvre et elle s'engouffre dans l'espace sombre, alors que le battant se referme lentement derrière elle. Tu n'as que le temps de bloquer le battant du bout du pied avant que le passage ne se referme totalement.

Tu ouvres la porte et entres, advienne que pourra. Va au numéro 12

Tu laisses la porte se refermer. Va au numéro 13


11

Lorsque tu arrives sur le quai, tu la vois à quelques mètres de toi, non pas en train d'attendre le métro, mais en train d'ouvrir une porte de service avec une clef de son trousseau. Elle s'engouffre dans le passage sombre et la porte commence à se refermer, tu n'as que le temps de bloquer le battant du pied…


Tu ouvres la porte et entres, advienne que pourra. Va au numéro 12

Tu laisses la porte se refermer. Va au numéro 13



12

Tes yeux ont du mal à s'habituer au manque de lumière après le quai bien éclairé. Le plafond est bas, des tuyaux y courent et de l'un d'entre eux s'échappe un jet de vapeur sifflant, qui te fait sursauter, alors que la porte claque derrière toi. De rares néons jaunâtres diffusent une lueur bien maigre, et une odeur de vieille machinerie poussiéreuse te fait plisser le nez. Devant toi, le bruit des pas de la femme commence à faiblir, il faut te hâter. Tu avances donc dans le couloir étroit, sur environ cinquante mètres, au jugé, avant de te retrouver face à un choix difficile : juste devant, trois couloirs… Par lequel a-t-elle bien pu passer? Tu as beau te concentrer pour tenter de savoir duquel te parvient l'écho étouffé de ses talons, mais le bruit résonne, et faiblit vite avant de laisser place au silence.

Une odeur suave te parvient aux narines du tunnel de droite… Une volute de fumée bleutée porte une autre bouffée d'un parfum épais, chaud, sucré, épicé… Tu décides d'en découvrir l'origine, va au numéro 14 (version soft)

Un papillon volète dans le couloir central, attiré par un des néons… Ses couleurs riches, fauves, t'intriguent. Comment est-il arrivé là, sous terre? Tu t'approches et quand il s'éloigne dans le couloir, tu le suis, va au numéro 15 (version medium)

Un rire résonne un bref instant dans le couloir de gauche, et tu croirais presque entendre un ronronnement… Intrigué, tu bifurques et décides d'en savoir plus. Va au numéro 16 (version dure)

(ndlr : trois versions, comme les brosses à dents, pour les débutants, évitez la version dure, ça peut faire mal aux gencives! : D )


13

La porte se referme, et tu te demandes si tu n'as pas raté là une occasion… Mais de toute façon il est trop tard, et voilà ton métro qui arrive.

FIN


14

Le couloir bifurque, se tord comme un serpent, tu as presque l'impression de revenir sur tes pas pendant un moment, et soudain, une lumière plus vive te fait plisser les yeux. Devant toi s'ouvre une salle au haut plafond arrondi en coupole, soutenu par de grandes colonnes décoratives aux chapiteaux évasés, commeune forêt de gigantesques champignons. L'architecture art nouveau laisse à penser que l'ensemble est ancien et appartient aux plus vieilles ramifications du métro… Tu passes quelques colonnes, et à ta droite, tu aperçois une sorte de tente, un dais bleu roi tendu entre les piliers de métal torsadé, derrière un voile fin, tu devines une silhouette indubitablement féminine, allongée sur le coté dans un mœlleux divan. Une voix douce, riche, et teintée d'un léger accent oriental demande :

«Il y a quelqu'un? Qui va là?»

Tu soulèves un coin du voile et tu entres. Va au numéro 18

Tu préfères faire demi-tour, et retourner dans la salle précédente, va au numéro 17


15

Le papillon s'en vole à tire-d'aile et tu peines à le suivre. Contrairement à ce qu'on aurait pu supposer, le couloir n'est pas rectiligne, il ne cesse de changer de direction, qui à droite, qui à gauche, puis une volée de marches qui montent, une pente douce qui redescend encore plus bas, et soudain au détour d'un coude, tu pénètres dans une salle rectangulaire, au centre de laquelle une colonne de lumière inonde un petit bassin, une sorte de fontaine carrée, autour de laquelle poussent des fleurs, et de petits buissons, dans des bacs de pierre sculptée. Quand tu lèves les yeux, tu réalises que le plafond est si haut que tu n'arrives même pas à le voir et que la lumière vient sans doute d'une grille d'aération, à la surface. Le papillon s'est posé sur une des fleurs, une variété exotique que tu ne reconnais pas… Il fait chaud, comme dans une serre, et l'atmosphère est chargée d'humidité, et d'une odeur d'ozone comme l'air avant un orage.

Tu observes la pièce pour trouver une autre issue que celle d'où tu es arrivé, un passage, et tu sursautes, quand un jet d'eau tiède s'écrase en plein sur ton torse, trempant ton pull et ton t-shirt par le col ouvert de ta parka. Tu protestes et une voix joyeuse te répond :

«Désolée! Je n'avais pas vu que tu étais là! Lylias! Arrête le robinet! Nous avons un visiteur!»
Une femme tenant un tuyau d'arrosage qui goutte encore se révèle derrière un buisson, elle porte une longue robe de velours dans un camaieu de violet, bordée en bas de dentelle blanche. Ses cheveux forment une cascade de boucles autour de son visage et elle rit.
«Iridias? Ne me dis pas que tu as arrosé ce pauvre homme? Tu es incorrigible!»
«Je n'ai pas fait exprès, je ne l'ai même pas vu! Quoi que… Même si je l'avais vu…Je n'aurais pas pu rêver meilleure cible! Tu ne trouves pas?»
«Iridias! Cesse tes petits jeux! Il est trempé!»
Une seconde femme, vêtue d'une robe en dégradé de rose, mais au visage et aux cheveux identiques à la première, visiblement sa sœur jumelle, s'approche de toi. Son sourire chaleureux dément ses paroles désolées, elle semble trouver tout cela tout aussi drôle que sa sœur.
«Lylias tu as raison, il est trempé jusqu'aux os. Il faut lui retirer ces vêtements mouillés, il va attraper la mort!»

Toutes les deux sont à présent si proches que tu peux sentir leur souffle sur son visage, l'une d'elles a déjà attrapé la manche de ta parka.


Tu protestes, et recules, avant de retourner dans le couloir dont tu viens. Va au numéro 17

Tu te laisses faire : c'est vrai que tes vêtements sont mouillés, les essorer ça ne peut pas faire de mal, et peut-être que ces deux femmes savent par où est passée la mystérieuse jeune fille en blanc… Va au numéro 21


16

Le couloir s'enfonce rapidement plus profondément sous terre, tu descends une volée de marches, et tu dois baisser la tête pour passer sous une arche, d'où goutte de l'eau, dans un «ploc-ploc» régulier. A tes pieds, une flaque, qui se transforme en un fin ruisselet, courant le long de la paroi en béton brut à peine couvert d'une couche de peinture verte qui s'écaille. L'air est humide, froid, chargé d'une odeur fauve, il y a peut-être des rats?

Tu entends de nouveau le rire, qui perle et rebondit sur les murs du couloir, tu continues à avancer dans la lumière faiblarde, te guidant d'une main sur la paroi moite et rugueuse. Soudain, plus de mur… Tu manques de trébucher et ralises que tu as pénétré dans une salle voutée, au plafond assez bas, soutenu par des colonnes de pierre tordues, l'une d'elle est même brisée… Et dessus, est assise une femme. Et quelle femme… Les cheveux courts, le visage fin, presque étroit, très clair, mangé par deux immenses yeux ambrés, perçants, ses lèvres rouges ouvertes sur un sourire narquois, sa fine langue perce entre des dents pointues et elle rit, encore… Elle t'observe, et se lève, dans un mouvement coulé, si fluide et rapide que tu la vois à peine bouger dans l'obscurité. Soudain elle est proche de toi, tu sens son souffle dans ton cou, elle émet un son étrange, ronronnant, et lève la main, posant un ongle terriblement long, laqué de noir, sur ton torse, avant de dire :

«Salut Chaton… T'es perdu mon minet? Tata Celina va s'occuper de toi mon petit, tu es entre de bonnes mains!»

Tu recules un peu, le souffle court, un rai de lumière l'éclaire et tu distingues ses courbes, serrées dans un gilet de cuir noir largement échancré sur une poitrine généreuse, par dessus un pantalon moulant fermé par un suggestif laçage. Alors qu'elle s'avance vers toi, tu entends ses bottes claquer sur le sol, presque menaçantes.

Tu continues à reculer, et tu fais demi-tour, sauve qui peut… Va au numéro 17

Tu restes là, réfléchissant au moyen de passer, il doit y avoir une autre issue, si la jeune femme en blanc est passée par là… Ca vaut la peine de vérifier… Va au numéro 22


17

Tu as fait demi tour, et tu te retrouves dans la même salle que précédemment, devant toi, trois couloirs…

Une odeur suave te parvient aux narines du tunnel de droite… Une volute de fumée bleutée porte une autre bouffée d'un parfum épais, chaud, sucré, épicé… Tu décides d'en découvrir l'origine, va au numéro 14 (version soft)

Un papillon volète dans le couloir central, attiré par un des néons… Ses couleurs riches, fauves, t'intriguent. Comment est-il arrivé là, sous terre? Tu t'approches et quand il s'éloigne dans le couloir, tu le suis, va au numéro 15 (version medium)

Un rire résonne un bref instant dans le couloir de gauche, et tu croirais presque entendre un ronronnement… Intrigué, tu bifurques et décides d'en savoir plus. Va au numéro 16 (version dure)


18

C'est bien une femme qui est allongée là, sur le divan. Elle est vêtue d'une sorte de caftan très léger, en tissu translucide, et dessous, tu devines ses formes généreuses, et des sous-vêtements richement ornés de perles et de sequins. Ses poignets, ses cheville,s même ses cheveux, sont chargés de bijoux de perles, et alors qu'elle se relève pour te faire face, son mouvement, si léger soit-il, provoque un concert de tintements, et un bruissement envoutants, comme si de son corps émanait de la musique. L'odeur qui t'a alléché et amené ici est plus forte, et tu réalises qu'elle émane d'une pipe à eau qui trône sur un petit guéridon, tout près de là où la femme avait posé sa tête sur des coussins bleus brodés de motifs dorés. Des volutes de fumée bleutée s'enroulent autour d'elle, chargées de l'odeur suave.

«Bonjour, jeune étranger. Je ne t'ai jamais vu ici… Je vois que tu cherches… tu cherches… non, tu crois chercher, une femme, une ombre, une lueur dans le noir, mais je pense que tu cherches autre chose, en fait…»

La voix tinte comme un millier de clochettes à tes oreilles, délicatement exotique, et les paroles te sembles bien mystérieuses…

Tu te présentes, poliment.Va au numéro 19

Tu demandes si la femme a vu une jeune personne vêtue de blanc passer par là. Va au numéro 20




________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

19

La femme te regarde, sans dire mot… Elle te détaille, de haut en bas, puis doucement, du bout de l'index, te fait signe d'avancer, tout en se rallongeant dans les coussins. Tu obtempères, tandis qu'elle continue son examen, avant de lancer, de sa voix si saisissante :

«J'ai rarement de la visite… Mais cela valait le coup d'attendre. Ôte donc cet épais manteau, il fait chaud chez moi. Et viens t'asseoir, que nous parlions un peu, avant que je ne te révèle ce que tu veux savoir, ce qui t'a poussé à venir ici… Tends moi donc ma pipe, jeune visiteur, et va fouiller dans le coffre là-bas, il y a des loukoums, dans une petite boîte. Tu me les apporteras.»

Tu obéis… C'est toi l'invité, mais il semblerait que ce soit à toi de faire le service. Va au numéro 23

Tu n'as aucune envie de servir la dame… Tu trouves une excuse pour ne pas rester… Va au numéro 24


20

«Je répondrai à toutes tes questions mon cher ami, mais 'jai si rarement l'occasion de voir de nouvelles têtes, ne me prive pas de mon plaisir si innocent! Viens, plus près, et partageons la douceur de cette journée, ôte ton manteau, et va me chercher du loukoum dans mon coffre. Tu verras c'est une boite en métal…»

Tu obéis… C'est toi l'invité, mais il semblerait que ce soit à toi de faire le service. Va au numéro 23

Tu n'as aucune envie de servir la dame… Tu trouves une excuse pour ne pas rester… Va au numéro 24


21

Elles n'y vont pas de main morte! Tu te retrouves illico-presto torse nu dans ton boxer, tandis que Lylias accroche tes vêtements dans les branches d'un buisson. Pendant ce temps, Iridias te traîne vers un banc en fer forgé laqué de blanc, où elle te fait asseoir. Tu te fais la remarque que le métal n'est même pas froid, tellement il fait chaud ici…

«Je n'ai jamais vu de garçon comme toi! Tu n'es pas d'ici c'est évident! Tu ne devrais pas te promener comme ça, seul, c'est dangereux ici, tu pourrais rencontrer des gens… malfaisants. Tu as eu de la chance de tomber sur nous deux, nous allons bien nous occuper de toi.»

«Iridias! Du thé, des biscuits! On ne peut décemment pas laisser ce jeune homme repartir le ventre vide après l'avoir arrosé comme une salade!»

«Tu as raison Lylias! Du thé, des biscuits, et une serviette pour sécher ses cheveux!»

«Ah oui, une serviette!»

Ta tête tourne, tu es submergé, par le babil des deux femmes, par le froufrou virevoletant de leurs robes qui te frôlent, par leur parfum de fleurs. On te sert une tasse de thé aux fragrances délicates, et des petits canapés, sablés à la confiture, bouchées au chocolat, et… des sandwichs au concombre? Les deux femmes te laissent à peine te servir, elle te fourrent plutôt les douceurs dans la bouche, de leurs longs doigts fuselés, tout en continuant à papoter à qui mieux-mieux.

Tu en as assez, tu réclames tes vêtements et tu veux te lever. Va au numéro 26

Tu te laisses faire, après tout tu as bien faim et les canapés sont délicieux, et tellement délicieusement servis aussi… Va au numéro 27


22

Tu es poli, extrêment poli, alors que tu demandes si elle a vu une jeune femme en blanc passer par là. Tu ne sais pas trop pourquoi mais la politesse la plus humble te semble de mise, d'un coup. Sans doute à cause du sourire carnivore qu'affiche la femme, ou à cause de ses ongles acérés… ou encore à cause du …fouet? Oui, c'est bien un fouet qu'elle arbore attaché à sa ceinture, et qui pend sur sa hanche, enroulé bien serré… Un fouet court, certes, mais un fouet… Mais où es-tu tombé encore?

Elle ne te laisse pas le loisir de te le demander longtemps. Sa main agrippe ton cou, le serre, à t'étouffer, et tu vacilles :

«C'est pas comme ça qu'on demande, chaton, quand on est un petit matou bien élevé! Allez, à genoux, et montre moi que tu sais qui est le patron ici, chéri, avant que je ne me fâche.»

Elle a de la poigne, tu suffoques… Son autre main est posée sur ta joue, et tu sens ses ongles appuyés contre ta peau, menaçant d'y tracer de sombres griffures sanglantes.

Tu tentes de reculer dans un dernier sursaut, va au numéro 32

Tu t'avoues vaincu, et tu te laisses glisser au sol, il vaut mieux éviter d'argumenter avec les fous, ils peuvent devenir vraiment violents… Va au numéro 37


23

Tu te penches pour tendre l'embout de la pipe à eau à la femme allongée sur les coussins, puis tu fais comme elle a dit, tu vas fouiller le coffre pour en sortir la boîte de loukoums, une délicate boite en métal repoussé, brillante. Ca sent le sucre, et l'eau de rose, le parfum se mélange à celui du tabac fruité et te tourne la tête. La femme te sourit, et t'encourage du geste. Tu poses la boîte sur la petite table, tu l'ouvres…

«Donne-moi donc une sucrerie…»

Tu aimerais lui demanderoù est passée la femme en blanc, mais elle réclame à nouveau sa pipe, te pose mille et une questions sur toi, ta vie, tes études… Tu réponds, étonné de te voir si docile, presque apathique, tu tends un loukoum vers elle, agenouillé,mais elle ne tend pas la main, le saisitssant du bout des lèvres, qui effleurent tes doigts. Tu sens sa langue lécher le sucre qui colle au bout de tes phalanges, elle rit, et en veut encore, tu lui tends encore une douceur, puis encore une, vaguement excité, par la langue qui se fait vicieuse, s'enroule autour de ton index pour le lapper. Elle reprend la pipe à eau, en aspire une bonne bouffée, puis souffle doucement le filet de fumée vers tes lèvres, se rapprochant de toi jusqu'à effleurer ta bouche de la sienne. Elle se redresse, avant que tu aies pu saisir l'occasion, et pose son pied nu sur tes genoux, dans un tintement obsédant :

«Masse moi le pied mon petit, j'aime les caresses.»

Tu te saisis du pied si fin, et commences à le masser du bout des doigts. va au numéro 28

Tu te redresses, dans un effort qui te parait surhumain, ta tête tourne… va au numéro 24


24

Elle rugit quand tu t'opposes à sa volonté, tu sens comme une bourrasque de vent te frapper, le tintement des clochettes devient vacarme, tu vacilles comme un fétu de paille, tu t'effondres, les oreilles transpercées par le bruit, à genoux. Elle est debout devant toi, et pose son pied sur ton torse, te repoussant en arrière, tu tombes, incapable de te défendre, désorienté. Tu sens le fin talon appuyer sur ton cœur, chassant l'air de tes poumons, puis elle se met debout au dessus de toi, les pieds de part et d'autre de ton corps.

«Demande pardon, enfant indigne! Demande pardon de ton outrecuidance, de ta vanité, toi qui oses venir chez moi et dédaigner mon hospitalité! Sur mon honneur, demande pardon ou tu pourras dire adieu à ta virilité si ténue soit-elle!»

Elle recule, pose le pied pile sur ton entrejambe, tu sens qu'elle ne rigole pas, la pression se fait de plus en plus forte…

Tu résistes, tu veux te relever, va au numéro 25

Tu demandes humblement pardon, va au numéro 29


25

Elle te piétine sans vergogne, tu cries, elle te fait mal! Elle s'arrête, se penche vers toi et souffle :

«Tu ne veux donc pas obéir, mon petit? Tout serait si simple si tu te laissais faire… Tu ne trouveras aucune des réponses que tu cherches si tu ne donnes pas un peu de ta personne en échange, c'est comme ça ici.»

Ainsi, il faut obéir pour qu'elle réponde? Si tu ne la satisfais pas, elle ne te dira pas où est la femme en blanc… Tu n'as pas le choix… tu hoches la tête, vaincu. Elle appuie son pied encore une fois entre tes jambes, à t'en faire grimacer, puis rit. Va au numéro 29


26

«Il veut s'en aller! Mais tes vêtements ne sont pas secs, voyons, quelle idée! Iridias? Il est fou, il faut l'empêcher de partir avec ses habits tout mouillés, il va mourir d'une pneumonie!»

«Tu as raisons Lylias, il faut le retenir, à tout prix, sa santé en dépend!»

Les deux femmes sont passées derrière toi, l'une des deux te maintient par les épaules, alors que l'autre, dénouant le ruban qui décore sa robe à la taille, t'attache les poignets à travers lesvolutes de fer forgé du banc. Tu es fait, comme un rat! Le ruban t'enserre comme une liane et les deux femmes rient, très satisfaites de leur plaisanterie.

«Ah, voilà, il ne peut plus partir à présent. Il va bien falloir qu'il mange, et qu'il attende que ses frusques aient séché!» Elles dansent autour de toi, avant de revenir à leurs canapés, qu'Iridias t'enfourne dans la bouche sans ménagement :

«Mange! Tu es tout frêle, tout maigre, tu dois manger pour devenir grand et fort!»

Le ton est ironique, elle glousse et s'écarte alors qu'Iridias tend la tasse à thé devant tes lèvres…

Tu détournes la tête, et tentes de la repousser, de te libérer. Va au numéro 30

Tu bois une gorgée, peu convaincu… Va au numéro 31


28

Tes doigts frôlent et effleurent la peau douce, tu masses la plante du pied à la peau si fine qu'on dirait du satin, en cerles, exerçant une pression calculée, pour ne pas courroucer la belle. Elle a fermé les yeux, tu la scrutes, à la moindre crispation de son visage, tes gestes se font encore plus précautionneux. Soudain, elle lance :

« Tes mains sont sèches… Ce n'est pas très agréable. N'as-tu pas mieux que tes doigts pour me masser?»

Elle n'attend pas ta réponse, et pose la pointe de son pied sur tes lèvres, en frôlant le contour, joueuse. L'autre pied rejoint ton entrejambe et le frotte tout doucement, tu ne peux plus lui cacher ton émoi de plus en plus visible. Elle glousse :

«Et puis tu es bien trop habillé… Ôte donc tes vêtements, et profite de la chaleur de ma tente…»

Tu ouvres les lèvres et tu lèches le pied tendu vers toi, tu te surprends à fermer les yeux, alors qu'elle continue ses savantes caresses du siège de ta virilité. Va au numéro 33

Tu es hypnotisé, sans doute, ou drogué… Tu te déshabilles et t'agenouilles, nu, au pied du divan, tandis qu'elle caresse ton torse de son pied nu. Va au numéro 34


29

«Je te pardonne… Mais c'est bien parce que je suis de très bonne humeur aujourd'hui. A présent, masse moi les pieds, et sois doux, je n'aime pas les gestes brusques.»

Tu te redresses, elle pose son pied sur tes genoux, et tu commences à le masser du bout des doigts, va au numéro 28


30

«Oh! Le vilain! Il mange salement ce petit garçon!»

La femme ricane, alors que le thé gicle sur ton torse et coule le long de ton menton. elle pose la tasse et regarde son méfait avec un sourire narquois.

«Tu vois tout ce thé gâché Lylias? C'est domamge tout de même, un thé de si bonne facture, nous le faisons venir tout droit des Indes, même la Reine Rouge n'en a pas de meilleur!»

«Hors de question de laisser ce thé se perdre Iridias!»

Lylias s'est assise à côté de toi, et se penche sur ton torse, qu'elle commence à…à lapper, si, si, tu sens sa langue furtive s'activer pour lécher les gouttes de liquide qui trempent ta peau, jusque sur ton ventre. Iridias rouspète :

«Laisse m'en un peu Lylias! Moi aussi je veux goûter!»

Elle s'asseoit de l'autre côté et léche ton menton, qu'elle tient entre deux doigts. Alors que le thé vient à manquer, Lylias gromelle :

«Ca devenait drôle comme jeu. Remets-en un peu Iridias! J'ai envie de continuer!»

Aussitôt dit, aussitôt fait, Iridias verse une bonne rasade de thé sur ton visage, ça dégouline sur ton nez, ta bouche, ça goutte de ton menton, tu sens que ça coule sur ton cou, et les langues des deux femmes s'affairent, Lylias nettoie tes tétons d'un air concentré, Iridias en profite pour grignoter tes oreilles… Tu sens une chaleur étrange t'envahir, ton entrejambe se fait dur…

Tu leur demandes d'arrêter, gêné par ton érection naissante, va au numéro 35

Tu fermes les yeux et tu te laisses aller au plaisir de ces langues avides, va au numéro 36


32

Tu as à peine esquissé ton mouvement que les ongles déchirent ta peau, tu voudrais hurler mais la main sur ton cou se serre. Ta vue se brouille et tes oreilles te semblent pleines de coton, tes genoux cèdent malgré toi, tu t'effondres sur le sol humide et froid, tes genoux heurtent quelque chose de dur, ça fait comme un choc électrique qui te paralyse, tes mains agrippent celle qui t'empêche de respirer, en vain, elle a plus de force que toi, sa poigne est d'acier. Sa main libre vient attraper tes cheveux, tu songes que tu as négligé d'aller chez le coiffeur et tu te maudits de lui laisser une telle prise à disposition. Elle t'agrippe et te tire, brutalement, se penche vers toi, et grogne dans ton oreille :

«Je t'avais prévenu, chaton, de ne pas me chercher… Tu vas être bien sage, à présent, hein?»

Elle lèche les griffures de ton visage, d'un long coup de langue appuyé, et te traine sur le sol derrière elle, vers un recoin sombre derrière une forêt de tuyaux rouillés et de conduites glougloutantes…

Va au numéro 38



A suivre...
Dernière modification par cLEg7 le 15 mai 2011, 19:46, modifié 3 fois.
LVb6gO8

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par LVb6gO8 »

La suite merde! :o
BjEd9a10

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par BjEd9a10 »

c'est vrai ça que fait l'auteur.. ?? :o
cLEg7

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

elle sort du bain et se fait à bouffer! :o
cLEg7

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

Premier post édité
BjEd9a10

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par BjEd9a10 »

on se laisse prendre au jeu.. j'adore ça... :love:
LVb6gO8

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par LVb6gO8 »

Jle sens vachement ciblé ton bouquin quand même :bik:
cLEg7

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

Pada a écrit :Jle sens vachement ciblé ton bouquin quand même :bik:

Ah bon? :bik:

ben, disons que j'aime bien écrire inspirée par et pour les copains. J'ai toujours fait ça, d'une façon ou d'une autre. :)
BjEd9a10

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par BjEd9a10 »

aurait-on le choix dans l'aventure.. à la version vanille ou sm :bik: ou entre les deux... une initiation :bik:
cLEg7

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

c'est pas con comme suggestion... j'y songe, j'y songe. c'est pas facile d'écrire comme ça, en devant penser à tout à l'avance, moi j'écris en général au feeling et à la suite, sans me demander où je vais, en me laissant porter, là c'est plus complexe.
BjEd9a10

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par BjEd9a10 »

je vois.. je disais juste comme ça.. histoire de toucher un large public... comme ça.. les vanilles pourraient aussi avoir le choix d'aller vers une initiation, peut-être que ça les a tenter en réel.. et de le "vivre" en jeu de role.. c'est peut-être le petit plus ou déclic qui fera que...

mais bon.. je sais que ça ne doit pas être facile.. fait comme tu le sens... :jap:
Supprimé

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Supprimé »

faut pas non plus effrayer les non-initiés qui sont trop gentil à la base :hornet:
BjEd9a10

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par BjEd9a10 »

Jeanjean a écrit :faut pas non plus effrayer les non-initiés qui sont trop gentil à la base :hornet:
justement je suis comme toi.. douce et câline.. :hornet: mais voilà... j'ai ouvert la boite de pandore.. :rouge:
Supprimé

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Supprimé »

Yuna a écrit : justement je suis comme toi.. douce et câline.. :hornet: mais voilà... j'ai ouvert la boite de pandore.. :rouge:
J'ouvre une parenthèse pour me permettre de te demander d'où tu sais qu'il est doux et calin? :mmff: :d
Supprimé

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Supprimé »

Smum a écrit : J'ouvre une parenthèse pour me permettre de te demander d'où tu sais qu'il est doux et calin? :mmff: :d
fin de la parenthèse, sujet clos :o
Supprimé

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Supprimé »

Jeanjean a écrit :fin de la parenthèse, sujet clos :o
:d
BjEd9a10

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par BjEd9a10 »

Smum a écrit : J'ouvre une parenthèse pour me permettre de te demander d'où tu sais qu'il est doux et calin? :mmff: :d
j'ai juste supputer smum juste supputer.. :hornet:
cLEg7

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

et voilà la suite, post premier édité. :o
Biquette
Administrateur
Messages : 66143
Inscription : 12 mars 2011, 16:03
A remercié : 3078 times
A été remercié : 3877 times
Contact :

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Biquette »

Mais où vas-tu chercher tout ça ?? :o


J'aime bien :o
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
cLEg7

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

Chez Lewis Carroll! :o

(quoi, j'ai toujours dis qu'alice au pays des merveilles c'était une histoire cochonne! :bik: )
Supprimé

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Supprimé »

Si je peux me permettre, Kireseth, je veux pas faire mon chiant, hein, mais vu que tu édites à chaque fois le 1er post, ben on a du mal à retrouver ou on en était ;)
Donc, une tite marque, un chgt de couleur ou tout autre chose pourrait etre utile, car j'avoue ne pas réussir à retenir les n° d'un jour sur l'autre :d

d'avance merci :jap:
LVb6gO8

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par LVb6gO8 »

Raaaaaaaahh je veux mon 22! :o :cinglé:
Supprimé

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Supprimé »

et le reste aussi :ange:
Laphoenix75

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Laphoenix75 »

fan :clea: :clea: :love:
Sharmat

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Sharmat »

Pas de suite ?

[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false; avait pourtant du succès
Dernière modification par Sharmat le 15 mai 2011, 18:35, modifié 2 fois.
Supprimé

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Supprimé »

[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir cette image]
Tenro78

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Tenro78 »

Tonton Zayr a écrit :[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir cette image]
juste trop bon :ptdr:
cLEg7

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

putain, les mecs on ouvre une maison d'édition là! J'écris, Zaza illustre et sharmat se charge de l'impression! :o
LVb6gO8

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par LVb6gO8 »

Et moi je teste :bik:
Tenro78

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Tenro78 »

Après avoir lu ca je n'oserai jamais écrire :pfff: en tout cas bravo :o
cLEg7

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

Tenro78 a écrit :Après avoir lu ca je n'oserai jamais écrire :pfff: en tout cas bravo :o

faut se lancer chou... Des fois t'as cette idée qui te trotte dans la tête, qui te colle, qui te lâche plus, et le seul moyen de la faire sortir c'est de l'écrire. Perso je me relis quasi jamais, j'aime aps ce que j'écris... Mais j'écris parce que j'ai besoin. Pas parce que je serais douée ou quoi, non, parce que j'en ai simplement besoin.
Sharmat

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Sharmat »

Kireseth a écrit :putain, les mecs on ouvre une maison d'édition là! J'écris, Zaza illustre et sharmat se charge de l'impression! :o
Et comme tout éditeur ... je m'arrache les cheveux (façon de parler en ce qui me concerne) pour inciter l'auteur à livrer la suite :cinglé:
cLEg7

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

L'auteur est crevée, elle se débat avec la bouse sans nom qu'est le socle commun des connaissances, espèce d'usine à gaz dont l'état prétend que ça va sauver l'école, et elle s'est foutu sur la gueule avec son mec et a hâte qu'il ramène son cul ici pour les réconciliations.... alors l'auteur elle vous dit : MERDEUH! :o

(désolée, mais là j'peux po, chuis trop nase, trop énervée, trop dégoutée... :( )
Sharmat

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Sharmat »

J'avais retiré la page du site mais je l'ai remise.
Dernière modification par Sharmat le 15 mai 2011, 18:40, modifié 2 fois.
LVb6gO8

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par LVb6gO8 »

Kireseth a écrit :L'auteur est crevée, elle se débat avec la bouse sans nom qu'est le socle commun des connaissances, espèce d'usine à gaz dont l'état prétend que ça va sauver l'école, et elle s'est foutu sur la gueule avec son mec et a hâte qu'il ramène son cul ici pour les réconciliations.... alors l'auteur elle vous dit : MERDEUH! :o

(désolée, mais là j'peux po, chuis trop nase, trop énervée, trop dégoutée... :( )
Garde la pêche hein :bounce
Sharmat

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Sharmat »

A moins que quelqu'un ne prenne la suite ?
Pas facile sans éditer le premier message mais j'ai remis la page en ligne.
Je peux y insérer les textes qu'on m'envoie.
[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;
Dernière modification par Sharmat le 15 mai 2011, 18:51, modifié 1 fois.
LVb6gO8

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par LVb6gO8 »

Euuuh perso jme sens pas d'écrire derrière Kires quoi, sans compter que ça ne se fait pas sans son avis :heink:
Sharmat

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Sharmat »

Ca fait implicitement partie de ma question.
cLEg7

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par cLEg7 »

T'es gentil, mais

Primo : c'est MON récit, pas un feuilleton de l'été.

Secondo : j'écris quand je suis inspirée, et pas trop fatiguée pour écrire. Malheureusement ça ne se commande pas, vois-tu?

Je ne t'ai pas spécialement demandé de mettre ce récit en forme, j'apprécie ton effort, je trouve ça sympa, ludique, et tout et tout, mais je ne changerai pas ma façon d'écrire pour autant.
Sharmat

Re: Une aventure dont vous êtes le héros

Message par Sharmat »

Ok, je n'insiste pas.
Et je cache la page. Inutile de frustrer ceux qui la consultent.
Répondre