Sa nouvelle vie (bdsm)

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Loupdoux
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Loupdoux »

:cingle:
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Topmaso
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Topmaso »

Pretty Woman... ;)
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Biquette
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Biquette »

Adele a écrit : Elle s’abandonnait presque à ces pensées agréables lorsqu’il fit une halte.
Mais où s'arrête t'il ? :cingle:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

Topmaso : pas loin ;-)
Biquette, matériellement il s'arrête en ville, après de savoir "où il s'arrêtera avec elle" s'tune autre affaire ... :d
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

-descendez
Il passa de l’autre côté de la voiture et la pris par la main.
Prise de cours par ce geste inattendu elle se laissa guider, sa main était douce, il la tenait fermement.
-Entrez ! Dit-il en pointant la première boutique de vêtements.
De toute évidence il savait exactement où il allait.
Elle fit un pas puis deux, un peu intimidée par l’allure de l’établissement. Une armada de belles femmes se précipita sur eux.
-Nous souhaitons habiller mademoiselle ! Que nous proposez vous ?
Elle s’éparpillèrent dans toutes les directions et revinrent avec diverses propositions.
-Bien, venez par ici ! Il passa un bras derrière son coude et la conduisit vers le font de la boutique où s’alignaient de vastes cabines d’essayage. Entrez, ne soyez pas timide enfin ! Il la poussa gentiment.
Une vendeuse aligna un large échantillon de tenues sur les patères puis tira le rideau.
Enfin soustraite aux regards, elle commença à essayer machinalement, son esprit tout happé qu’il était par l’attitude de son patron décidément intrusif, autoritaire, mais tendre aussi… qu’en penser réellement… ?
-Et bien, sortez-vous ?!
Elle fut tirée de sa rêverie. Quoi, sortir ? S’attendait-il à un essayage public ? Elle n’avais même pas fais attention aux vêtements qu’elle avait choisit mais s’exécuta.

Elle se tenait au centre du magasin, le miroir lui renvoya le reflet d’une femme qu’elle ne reconnu pas. Une robe en fin coton « bleue de Minuit » lui tombait juste au dessus des genoux, un choix de couleur inhabituel pour elle, mais qui mettait curieusement ses cheveux châtains en valeur. La robe ne la moulait pas complètement, elle sentit qu’elle s’était amincie, pas étonnant avec les soucis de ces derniers mois, et la somme de travail qu’elle abattait chez son employeur.
Il tournait lentement, commentant la nouvelle tenue, chacun de ces pas venant ponctuer son propos. Cette petite bonne femme semblait changer sans cesse, la moindre tenue faisait évoluer sa silhouette, une simple paire d’escarpin l’élançait joliment, pas trop néanmoins, il aimait qu’elle ne fût pas grande. Son visage semblait légèrement émacié et des cernes d’un bleu très pâle lui donnaient un air quelque peu vulnérable assez émouvant, mais il devrait veiller à ce qu’elle ne s’épuise pas à l’avenir.
-Bien, très jolie ! Nous pouvons faire mieux, mademoiselle ! Aillât-il la vendeuse la plus proche qui s’empressa de trottiner dans leur direction.
-Monsieur ?
-Nous souhaitons les même escarpins, talons plus courts, elle doit travailler, se déplacer pour faire le ménage (elle rougit) ainsi qu’une paire de sandales à haut talons, pour les soirées « amicales » (il insista sur le mot amical et le diner de la veille se rappela furieusement à elle).
Celle ci serait parfaite, dit-il en désignant une élégante petite robe noire exposée en vitrine.
A chaque nouveau vêtement essayé elle se plus femme encore.
-A présent retournez en cabine afin d’essayer les ensembles.
Elle s’y rendit, insouciante, mais elle eu beau passer en revue les divers habits à sa disposition elle ne trouva pas d’ensemble à proprement parler à moins que… les remarques qu’il s’était permis à l’encontre de ses culottes n'étaient donc pas sans suite... Elle ajusta les pièces de lingerie en dentelle noire sur sa peau.
Le rideau fût brusquement tiré et elle se retrouva ainsi exposées, lui, dévorant ce spectacle du regard, les vendeuses prenant un air neutre et professionnel, s’efforçant sans doute de ne pas percevoir sa gêne.
-Parfait ! Un autre ! Il tira le rideau et elle attrapa un ensemble en coton et vert pastel, en tentant de s’abstraire à cette situation.
-Puis-je voir ?
Elle ouvrit prudemment le rideau.
-Sortez, que nous voyons cela sous toutes les coutures.
Elle ne pouvait s’y résoudre, si elle sortait le string dévoilerait une bonne partie de son intimité. Confuse elle rougie, baissa la tête et tint chastement ses main devant le petit triangle vert tendre; ce fût l’hésitation de trop : une claque appuyée sur sa fesse gauche la délogea de sa cabine, il la tira devant la glace :
-Cessez de faire l’enfant ! Cela vous va ravir. Nous prendrons ces modèles en différentes couleurs.
Au bout de deux belles mais longues heures d’essayage ils finirent par sortir de la boutique.
Soulagé, contente, mais désarçonnée aussi elle conservait le silence.
Topmaso
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Topmaso »

Pygmalion.
Loupdoux
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Loupdoux »

fantasme de l'exhibition ! :cingle: :jap:
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XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

-Allons faire les commissions pour la fin de semaine.
Après quelques achats de produits frais il commanda au boucher une pièce de viande suffisamment conséquente pour plusieurs personnes et répondit instantanément à son regard interrogateur :
-Pour demain soir, nous recevons encore.
Ce « nous » ne laissait pas de place au doute quand à l’identité des convives, la nature de la soirée ni même sur la tenue qu’elle devrait porter pour servir et… Inquiète, presque alarme quand à ce qui pourrait se produire cette fois ci son visage se ferma et elle ne leva plus les yeux de ses chaussures.
Sur le trajet du retour il lui lançait de fréquents regards.
-A quoi pensez-vous ?
-… Rien de spécial.
-Allons, dites moi. Vous semblez morose et soucieuse.
-Un peu de fatigue peut-être.
-Vous irez vous étendre un moment à notre retour.
-Je peux parfaitement assumer mes tâches de la journée je vous l’assure ! Elle devait coute que coute s’occuper, afin de ne pas penser à la soirée du lendemain.
-Bon, très bien. Il n’insista pas, passa le portail et les pneus crissèrent sur le gravier de la cours.
Tout deux portèrent les paquets à la cuisine.
-Si vous vous sentez en état de travailler, veuillez ranger tout cela, faire le ménage dans le salon et préparer le diner.
-Bien.
Il la dévisagea avec insistance.
-Bien monsieur.
Voilà qui était mieux. Il alla vaquer à ses occupations.
Elle rangea les courses nerveusement, passa l’aspirateur dans le salon, les scènes qui s’y étaient produites la veille lui réapparaissaient, troublantes.
Pour finir elle monta les paquets dans sa chambre et pris tout son temps pour disposer ses nouvelles acquisitions dans l’armoire. Les yeux dans le vague elle s’immobilisait régulièrement, « allaient-ils se contenter de se rincer l’œil et lui caresser les jambes ? », une jupe ou une robe suspendue dans ses mains, « ou bien désireraient-ils aller plus loin ? », elle sorti la lingerie du papier de soie, « exigeraient-ils qu’elle ne se dévête au milieu du salon ? Voir plus ? Voir pire ? »… Elle se leva subitement, les paquets éventrés dégringolèrent du lit, sans plus réfléchir elle dénicha le pantalon qu’elle avait « sauvé » de la purge matinale, enfila son seul pull et partit. Elle devait prendre l’air, urgemment, et se retrouver seule aussi.
Elle dévala les deux étages le plus silencieusement qu’elle put, traversa la cour et ouvrit le portail, juste assez pour se glisser dehors. Personne ne sembla remarquer son départ, son patron devait être dans son bureau, parfait. Après tout elle s’octroyait cette sortie en plein milieu de ses heures de travail, il aurait été en droit de ne pas la lui permettre.
Le paysage défilait, la marche l’avait toujours aidé à se calmer et à clarifier les situations délicates; elle pensa au salaire et au toit que lui offrait cet emploi. Le jour déclinait et elle commença à regretter de ne pas lui avoir parlé tout simplement de son besoin d’aller marcher un moment, elle se remémora la cave, les coups de ceinture… Son geste était résolument insensé. Quelle serait sa réaction lorsqu’il s’apercevrait qu’elle avait déserté son poste ? Ceci dit elle n’avait sur elle que ses propres vêtements et ne considérait donc pas avoir dérobé quoi que ce soit. Elle prit sa décision sur le champ : elle n’y retournerait pas. Avide mais trop inquiète de savoir ce qui se produirait le lendemain soir, et puis les coups aussi, la menace du fouet, sa manière de se montrer autoritaire avec elle, sa main ferme, tendre aussi… et sa façon bien à lui de prendre soin d’elle, lui fournir des vêtements qui la rendait plaisante à ses yeux, de lui intimer de se reposer... Tout cela était trop pour elle, trop d’un seul coup, trop nouveau, elle s’était habituée à la solitude et à son libre arbitre depuis trop longtemps et ne saurait assurément pas s’en remettre aux décisions d’une tierce personne, fussent-elles dirigiste, ou bénéfiques. Le froid s’insinua vicieusement sous ses minces vêtements « non, je ne ferais pas demi-tours ! ». La nuit tomba…
Loupdoux
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Loupdoux »

Elle déserte les lieux ? :??:
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Topmaso »

Elle va revenir. Ses démons la ramèneront. ;)
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

Une main qui la secouait la tira du sommeil, elle protégea ses yeux du soleil hivernal déjà haut.
-Que faites-vous là ? Un problème ?
L’homme l’aida à se relever. Un agriculteur ou un garde chasse peut-être…
-Je peux vous aider ? Vous avez des ennuis on dirait…
Encore ensommeillée et frigorifié elle répondit précipitamment :
-Non tout va bien je… me promenais et je me suis juste assoupie lorsque je faisais une pause tout va bien !
-Vraiment ? Je peux vous conduire quelque part si vous le désirez, ma voiture et là bas…
-Non ça ira ! Surprise par sa propre brusquerie elle s’empressa de rectifier : Je veux dire… je vous remercie mais je ne suis pas loin de chez moi.
-Vous plaisantez ?! Il n’y a pas une seule habitation dans les kilomètres alentours…
-Je vous dis que tout ira bien ! Merci et bonne journée à vous.
Sur cette sèche réplique elle partit dans la première direction qui s’offrait.
Encore quelqu’un qui voulait décider pour elle ? Ne semblait-elle pas en mesure de se débrouiller seule ?!
Elle marcha toute la matinée à travers la forêt ne parvenant pas à se souvenir le moment où, la veille, rompu de fatigue elle s’était assise et endormie. Elle émergea enfin hors des arbres, face à un chemin de campagne qui pouvait mener ailleurs et autre part…
A cet instant elle se rendit compte qu’il n’y avait qu’un seul endroit où elle envisageait inconsciemment de rentrer. « Rentrer » justement ce terme faisait toute la différence. Malgré les obligations, le travail éreintent, les sanctions, la tendresse dur aussi et presque maladroite de cet homme, elle s’était sentie comme « arrivée » dans cette maison, enfin « rendue », un sentiment rassurant et apaisé qu’elle n’avait pas eu depuis bien longtemps. Elle songea à ce regard qu’elle avait cru surprendre la veille alors qu’elle sortit de la cabine vêtue de la robe bleue… Elle fit demi tours et quelques heures plus tard, franchit le portail.
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Loupdoux »

Elle va se ramasser une raclée ? pour avoir déserté ? :cry:
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Topmaso »

Loupdoux a écrit :Elle va se ramasser une raclée ? pour avoir déserté ? :cry:
Oui. :)
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

Bon, puisque vous savez déjà tous, pas besoin que je ne publie la suite ... :d
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Loupdoux »

Adele a écrit :Bon, puisque vous savez déjà tous, pas besoin que je ne publie la suite ... :d
rhhhooooo mais non !!! pitié, je n'ai pas ton talent ! :ouimaitre:
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Mad'O »

c'est vraiment sympa à lire, merci :)
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

La flatterie ne vous mènera rien chèr Loupdoux :irene:


(bon allez, mais c'est vraiment parce que c'est vous hein :d
et que Biquette suit aussi le topic :bonjour: )

La suite est au présent, désolée, mais je n'ai pas pu me résoudre à changer la conjugaison d'origine, il s'agit ici du premier extrait que j'ai rédigé... :whistle: )

merci Mad'O :-)

P.S: bonne BDS amrpèM à tous :-)
Dernière modification par XjEd9a3 le 24 janvier 2016, 16:06, modifié 1 fois.
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

La grille en fer forgé est ouverte, les graviers bruissent sous ses pieds.

Tiré de sa torpeur par le grincement de la grille il se précipite dans l’entrée.

Lorsqu’il sort dans la cours elle s’immobilise. Lui aussi, sur le seuil de la maison, ils se dévisagent, elle baisse les yeux et fini par se diriger vers l’entrée.


Il s’efface pour la laisser entrer, elle hésite, puis d’un coup il l’empoigne par le bras et la tire à l’intérieur.
-Où étiez-vous?
-…
-Qui vous a autorisé à sortir ?
-…
-Comment osez-vous vous permettre de disparaître ainsi ?!
CLAC
La gifle est si violente et pleine de colère qu’elle se retrouve projetée au sol.
Il l’attrape et la remet sur ses pieds, l’immobilise sur la table et défais sa ceinture.
La correction est si violente qu’elle s’évanouie.
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Biquette »

Adele a écrit :Bon, puisque vous savez déjà tous, pas besoin que je ne publie la suite ... :d
Je ne connais pas moi :bicho:

Merci aux z'autres de ne pas spoiler le récit d'Adèle, c'est limite limite.. ;)
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Mad'O »

ouais purée taisez vous :o


:mdr:
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Topmaso »

Des détails sur la flagellation SVP. :D
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

"L’œil impassible il la plaque sur la table et défait sa ceinture; le son à présent familier lui coupe la respiration.
Il frappe, durement, sans concession.
Épuisée, les larmes lui viennent immédiatement aux yeux.
Il fouette la jeune femme sans modération, faisant fi de ses infimes gémissements,
il la corrige sévèrement, elle a osée conserver et revêtir un pantalon qui plus est, la punition est amplement méritée.
Il l'a sent tremblante et en sanglots sous ses mains, elle tombe par terre.
La ceinture reste en suspend juste le temps de prendre cette petite créature dans ses bras.
Il monte un étage et la couche doucement dans une jolie chambre attenante à la sienne; il fait trop froid dans les combles pour la loger de nouveau dans sa mansarde de domestique, désormais elle dormira ici, près de lui.
Il éteint la lumière et, sans regret mais affecté par la dureté de la correction qu'il vient d'infliger à cette petite femme, referme doucement la porte, sur son sommeil apeuré.
Dernière modification par XjEd9a3 le 02 février 2016, 11:24, modifié 2 fois.
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Topmaso »

C'est un sentimental. :o
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

c'est ça oui... :d enfin, ma version du "sentimental" :rouge:
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Biquette »

:clea: :clea:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Biquette »

La suuuiiittteeeeuuuuhhhhh :grogne:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Loupdoux
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Loupdoux »

:valfa:
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Topmaso »

C'est vrai, on attend !
è_é
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

Elle s’éveilla en sursaut dans une chambre qui n’était pas la sienne. Le lit était confortable, mais ses fesses et son dos la faisaient souffrir. Les évènements lui réapparurent par images, sa sortie discrète, la nuit glacée dehors, le retour et … Lui, qui l’avait corrigée sans concession. Une larme amère roula sur sa joue, elle se mit en chien de fusil pour soulager la douleur.
La porte s’ouvrit, elle lui tournait le dos mais entendit ses pas approcher, il s’assit sur le lit et posa une main sur sa taille. Elle tentait d’étouffer ses sanglots.
-J’ai été dur avec vous, je le sais. Déclara-t-til d’une voix impassible Mais vous devez comprendre : je me suis fais un sang d’encre. Vous n’auriez pas dû sortir pendant vos heures de travail et il aurait pu vous arriver n’importe quoi seule en pleine nuit, dans la forêt, vous ne recommencerez jamais cela Raphaëlle.
Un battement de cœur lui manqua. Il avait prononcé son prénom, pour la première fois. Elle su dés cet instant qu’elle voudrait qu’il la nomme encore.
Ses larmes coulaient à présent sans qu’elle ne puisse les retenir secouant légèrement son corps. Il posa sa main sur sa tête et caressa délicatement ses cheveux, descendant vers sa nuque qu’il entoura doucement.
-La journée est bien avancée, passez donc à la salle de bain, habillez vous et venez me rejoindre au salon.
Loupdoux
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Loupdoux »

:bravo:
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Topmaso »

Les rapports sont troubles.
Ag7Wr10

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Ag7Wr10 »

Séance de rattrapage pour moi, j'ai tout dévoré ! Bravo Mademoiselle, j'aime.
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

Sur la pointe des pieds elle traversa le vestibule, une voix douce et des résonnances instrumentales l’attirèrent et elle pénétra dans l’atmosphère feutrée du salon.
Il était dans son fauteuil, jambes croisées, de dos. D’un signe de la main il l’enjoint à s’approcher.
A cet instant elle reconnu le disque qui tournait… les Leçons de Ténèbres de Delalande.
Elle se tint droite à ses côtés, il la détailla un instant, elle avait revêtue sa « tenue », la jupe, les bas… déposés à son intention dans la chambre, et qui commençait à lui être familière.

Asseyez-vous mademoiselle, dit-il en désignant le canapé à sa gauche.
Elle réalisa que c’était la première fois qu’elle s’asseyait en la présence de son employeur, également la première fois dans ce divan, confortable, mais il était déroutant de se trouver assise à une place d’ordinnaire réservée aux invités.
-Détendez-vous je vous prie.
Plusieurs secondes s’écoulèrent avant qu’elle ne saisisse la signification de cette demande :
Elle décroisa les jambes.
Il s’était servit du champagne et en fit couler dans une deuxième flûte qu’il lui tendit en la dévisageant.
Hypnotisée elle prit la flûte entre deux doigts et la maintint en suspend.
Sans la quitter du regard il saisit la sienne et approcha son verre: le Crystal tinta :
-Buvez, je vous prie, il est rosé et frappé.
Il sourit.
Dérouté par ce traitement nouveau, et par ce sourire elle porta le verre à ses lèvres et gouta,
c’était si délicieux et approprié qu’elle vida la moitié du verre lentement mais d’un trait.


Son regard la transperce. Il détaille sa petite langue qui vient lécher les dernières goutes sur ses lèvres et ce geste lui évoque le réflexe émouvant d’une jeune fille curieuse.
D’un coup d’un seul il l’attrape et elle se retrouve assise sur ses genoux, hébétée et ravie,
Sa main tiède autour de sa taille, son autre main glisse sur sa poitrine puis son coup et… il dépose un long, léger et amoureux baiser sur ses lèvres.
Les yeux fermés elle savoure toute sa stupeur langoureuse, presque habituée à présent à se montrer docile dans un premier temps, envers cet Homme.
Un doigts vient caresser ses lèvres, puis un autre ses fesses, accélérant puis vigoureusement,
Elle se retrouve rempli, les yeux toujours fermés.

-A présent je vous tiens, mademoiselle. Et je ne vous lâcherais pas.
Que n’eut-elle donné pour que cela fût vrai.
-Je vous tiens je vous rempli… et vous m’appartenez !

Cette injonction fit écho en elle, une ruade la tend, le visage vers le ciel et le con contracté.


-a présent nous allons diner !
vidée en un instant, et toute désarçonnée elle ose:
-Mais Monsieur je n'ai pas faim !
Il la saisie par le menton
-Osez-vous émettre une protestation mademoiselle ? la fusille-t-il
-...
-Bien, car je ne vous ai pas demandé si vous aviez faim, je vous ai dis que nous allions diner; vous n'avez rien avalé depuis presque trois jours, et bien que je puisse vous priver de nourriture afin de vous discipliner si le besoin s'en fait ressentir, vous avez besoin de vous restaurer. Vous m'obéirez.
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Biquette »

:cecyls: une suite enfin :cecyls:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

La porte s’ouvre brusquement et elle se redresse d’un coup sur son lit
-Où vous croyez vous ?
CLAC
-Vous avez vu l’heure ?
Encore dans les brumes du sommeil et secouée par la gifle elle répond d’une petite voix :
-sept heure moins le quart
-vous avez cinquante minutes de retard
Il déboucle sa ceinture, la tire des passants, empoigne la jeune femme et la retourne sur le ventre, il relève sa nuisette.
-qui vous a demandé de porter une culotte pour dormir ?
Il la lui retire avec rage et cingle ses fesses puis ses cuisses, les premiers coups de ceinture pleuvent, elle enfoui son visage dans les draps pour étouffer ses pleurs ; les coups sont de plus en plus appuyés, n’y tenant plus elle supplie entre deux sanglots :
-Monsieur, je vous en prie ! J’ai compris la leçon…
-c’est moi qui décide quand la leçon est suffisante, vous allez apprendre qui commande ici !
Comme elle crie presque et se tortille de plus en plus sous cette cuisante correction, il immobilise ses mains dans son dos et fouette la jeune femme encore et encore.
La douleur se propage, elle sert les dents, crispe le visage et appelle la cessation du châtiment de tous ses vœux.
Soudain il jette la ceinture sur l’édredon et l’attrape par les chevilles pour l’attirer à lui, elle l’entend ouvrir sa braguette, il colle ses fesses brûlantes contre son sexe dur la maintient par les hanches et la rempli, une claque résonne sur ses fesses, elle se cambre un peu plus
-parfait ma petite, je vois que vous commencez à comprendre
Il la pilonne durement, possessivement
-vous allez… CLAC… apprendre… CLAC… à vous montrer docile… CLAC… envers moi… CLAC !
Dans un râle il jouit, la serrant plus fort dans ses mains.
Ils ont le visage rouge, la sueur perle, ils halètent et reprennent leur souffle, il se retire lentement.
-habillez-vous rapidement, du travail vous attend !
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

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Biquette
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Biquette »

:tombe:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

Raphaëlle, assise à la table de la cuisine fixait le vide.
Il vint s’asseoir à ses côtés et fit glisser une tasse de thé devant sa petite employée.
Elle était pâle et semblait hagarde.
Le réveil avait été brutal, mais il n’y tenait plus et avait cédé à ses envies,
il avait également eu la main leste avec son ceinturon, mais il ne tolérait le retard en aucun cas.
- buvez.
La gorge nouée, elle porta la tasse à ses lèvres et avala tant bien que mal une gorgée.
- bien. J’espère que vous commencez à comprendre ce que j’attends de vous. Et rappelez vous que je n’aurais jamais aucune indulgence pour le moindre retard, je vous ai administré aujourd’hui cinquante coups de ceinture, la prochaine fois ce sera cent, puis cent cinquante et ainsi de suite.
A ces mots la brûlure de la correction matinale la saisie et elle bondit brusquement de son siège, confuse et éhontée elle baissa alors le regard vers son bas ventre et sentit couler un liquide tiède entre ses cuisses, son patron, à qui rien n’avait échappé regarda un instant la jupe de la jeune femme, puis se découvrit une pointe de sadisme à se délecter de son visage rougissant de honte. Reprenant contenance il adopta son expression la plus méprisante et sévère :
- qu’est-ce que c’est que ça mademoiselle ? Ainsi vous ne savez pas vous contenir ? Vous allez monter vous nettoyer et vous changer en vitesse, cinq minutes !
Ravalant une des pire humiliation de sa vie elle s’engouffra dans les escaliers ; tout en se passant un gant de toilette puis changeant de sous-vêtements le doute la submergea, effectivement la frayeur à l’idée d’une nouvelle correction l’avait tant décontenancé qu’elle n’avais pas pu contenir sa vessie… mais l’humidité persistante entre ses cuisses lui fit comprendre que la ceinture en cuir et l’attitude tyrannique de cet homme ne l’avais pas laissé indifférente.
Elle entra dans la cuisine la tête basse. Il l’attendait, debout.
Le regard glacial il pointa les quelque gouttes tombées sous sa chaise, elle eu presque un mouvement de recule à cette idée, excédé il pointa ensuite le placard sous l’évier, elle se précipita pour y prendre une serpillère et se mit en devoir de nettoyer le carrelage, à quatre pattes.
Il profita de la vue de ses fesses à peine recouvertes de dentelle, sa croupe cambrée qui dans son affairement faisait remonter sa jupette. Avait-elle cru un instant qu’il lui ordonnait de lécher le sol ? Tiens donc… Un coin de sa bouche remonta, mais elle se relevait pour rincer la serpillère, et il repris une expression neutre.
Presque attendri par les gestes fébriles de cette petite créature il aurait presque souhaité qu’elle commette une bévue, simplement pour faire durer l’attente et pour admirer un peu plus sa confusion, mais l’heure de la punition était venue.
D’elle même elle se tint droite à ses côtés, les mains jointes, tortillant ses doigts et le regard baissé.
- approchez. Sa voix calme ne laissait rien présager de bon.
Elle avança à petits pas timides mais trop lents à son goût : il la saisi par la nuque et la colla face au mur.
- puisque vous vous comportez comme une salle gamine, je vais vous punir en tant que tel, une bonne fouettée au martinet vous apprendra la propreté.
Si elle n’avait été paralysée par la honte elle se serait débattue.
- retirez votre culotte.
Comme elle ne bougeait pas il décida de l’aider et releva sa jupe pour l’épingler dans son corsage.
- retirez- votre- culotte !
Cette fois elle dût obéir, les joues en feu elle fit glisser le sous-vêtement le long de ses jambes.
Il tendit la main.
- donnez-la moi.
Buttée elle conserva presque jalousement ce dernier morceau de fierté dans son poing.
Il saisi la jeune femme brusquement et la coinça sous son bras lui assénant quelque claques
- vais-je devoir vous donner la fessée à chaque fois pour vous faire obéir ?
Il la fessa vivement et la redressa. Elle céda instantanément, sans un mot.
Il mit le bout de tissu dans sa poche et reposa la main sur sa nuque.
- posez vos mains de chaque côté de votre tête.
Il leva le martinet et l’abattit sur ses fesses. La brûlure se raviva instantanément.
- aïe ! Gémit-elle déjà au bout de sa résistance.
- silence !
-il recommença, encore et encore.
Elle haletait et tentait de bouger pour se défiler, ou tout du moins pour ne pas recevoir les coups sans arrêt au même endroit, se qui se révélait insupportable.
Il s’interrompit quelque seconde et elle cru son calvaire terminé mais c’était juste le temps de relever le martinet pour l’abattre derrière ses cuisses. Les coups lui devenaient insoutenables et elle tapait ses jambes contre le sol, un cri muet la secouant de toute part, il resserra sa prise, elle tenta de se protéger de ses mains mais il les lui immobilisa dans le creux du dos.
- hé bien ? Que signifie ce geste de rébellion ? Vous n’acceptez pas la punition ?
Elle reprit son souffle mais n’osa pas piper mot.
Il la relâcha et recula d’un pas pour contempler la peau cinglée et rougie de sa punie.
- mettez vos mains derrière la nuque. Vous resterez face au mur, immobile et en silence jusqu’à ce que je vous autorise à bouger.
Il sortit.
Elle resta seule, dans le silence. La douleur avait vidé toute pensées et toutes émotions en elle.

Les pas dans son dos la tirèrent de sa torpeur.
- relâchez vos mains, et tournez vous vers moi jeune fille
Calmement, elle s’exécuta. Une impression de fatalité sereine la possédait entièrement,
elle se sentait cotonneuse et guidée par cette voix, sans plus de questions à se poser.
- il est presque 8h. Vous allez accomplir vos tâches du jour et nous irons à l’église.
« A l’église ?? Il ne comptait tout de même pas lui imposer une quelconque confession religieuse ? Et puis le temps qu’elle accomplisse tout son travail il serait bien trop tard pour assister à l’office, peu importe, elle n’avais pour l’heure pas de temps à perdre »
Sans demander son reste elle déguerpit hors de la cuisine.
XjEd9a3

Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par XjEd9a3 »

Raphaëlle, assise à la table de la cuisine fixait le vide.
Il vint s’asseoir à ses côtés et fit glisser une tasse de thé devant sa petite employée.
Elle était pâle et semblait hagarde.
Le réveil avait été brutal, mais il n’y tenait plus et avait cédé à ses envies,
il avait également eu la main leste avec son ceinturon, mais il ne tolérait le retard en aucun cas.
- buvez.
La gorge nouée, elle porta la tasse à ses lèvres et avala tant bien que mal une gorgée.
- bien. J’espère que vous commencez à comprendre ce que j’attends de vous. Et rappelez vous que je n’aurais jamais aucune indulgence pour le moindre retard, je vous ai administré aujourd’hui cinquante coups de ceinture, la prochaine fois ce sera cent, puis cent cinquante et ainsi de suite.
A ces mots la brûlure de la correction matinale la saisie et elle bondit brusquement de son siège, confuse et éhontée elle baissa alors le regard vers son bas ventre et sentit couler un liquide tiède entre ses cuisses, son patron, à qui rien n’avait échappé regarda un instant la jupe de la jeune femme, puis se découvrit une pointe de sadisme à se délecter de son visage rougissant de honte. Reprenant contenance il adopta son expression la plus méprisante et sévère :
- qu’est-ce que c’est que ça mademoiselle ? Ainsi vous ne savez pas vous contenir ? Vous allez monter vous nettoyer et vous changer en vitesse, cinq minutes !
Ravalant une des pire humiliation de sa vie elle s’engouffra dans les escaliers ; tout en se passant un gant de toilette puis changeant de sous-vêtements le doute la submergea, effectivement la frayeur à l’idée d’une nouvelle correction l’avait tant décontenancé qu’elle n’avais pas pu contenir sa vessie… mais l’humidité persistante entre ses cuisses lui fit comprendre que la ceinture en cuir et l’attitude tyrannique de cet homme ne l’avais pas laissé indifférente.
Elle entra dans la cuisine la tête basse. Il l’attendait, debout.
Le regard glacial il pointa les quelque gouttes tombées sous sa chaise, elle eu presque un mouvement de recule à cette idée, excédé il pointa ensuite le placard sous l’évier, elle se précipita pour y prendre une serpillère et se mit en devoir de nettoyer le carrelage, à quatre pattes.
Il profita de la vue de ses fesses à peine recouvertes de dentelle, sa croupe cambrée qui dans son affairement faisait remonter sa jupette. Avait-elle cru un instant qu’il lui ordonnait de lécher le sol ? Tiens donc… Un coin de sa bouche remonta, mais elle se relevait pour rincer la serpillère, et il repris une expression neutre.
Presque attendri par les gestes fébriles de cette petite créature il aurait presque souhaité qu’elle commette une bévue, simplement pour faire durer l’attente et pour admirer un peu plus sa confusion, mais l’heure de la punition était venue.
D’elle même elle se tint droite à ses côtés, les mains jointes, tortillant ses doigts et le regard baissé.
- approchez. Sa voix calme ne laissait rien présager de bon.
Elle avança à petits pas timides mais trop lents à son goût : il la saisi par la nuque et la colla face au mur.
- puisque vous vous comportez comme une salle gamine, je vais vous punir en tant que tel, une bonne fouettée au martinet vous apprendra la propreté.
Si elle n’avait été paralysée par la honte elle se serait débattue.
- retirez votre culotte.
Comme elle ne bougeait pas il décida de l’aider et releva sa jupe pour l’épingler dans son corsage.
- retirez- votre- culotte !
Cette fois elle dût obéir, les joues en feu elle fit glisser le sous-vêtement le long de ses jambes.
Il tendit la main.
- donnez-la moi.
Buttée elle conserva presque jalousement ce dernier morceau de fierté dans son poing.
Il saisi la jeune femme brusquement et la coinça sous son bras lui assénant quelque claques
- vais-je devoir vous donner la fessée à chaque fois pour vous faire obéir ?
Il la fessa vivement et la redressa. Elle céda instantanément, sans un mot.
Il mit le bout de tissu dans sa poche et reposa la main sur sa nuque.
- posez vos mains de chaque côté de votre tête.
Il leva le martinet et l’abattit sur ses fesses. La brûlure se raviva instantanément.
- aïe ! Gémit-elle déjà au bout de sa résistance.
- silence !
-il recommença, encore et encore.
Elle haletait et tentait de bouger pour se défiler, ou tout du moins pour ne pas recevoir les coups sans arrêt au même endroit, se qui se révélait insupportable.
Il s’interrompit quelque seconde et elle cru son calvaire terminé mais c’était juste le temps de relever le martinet pour l’abattre derrière ses cuisses. Les coups lui devenaient insoutenables et elle tapait ses jambes contre le sol, un cri muet la secouant de toute part, il resserra sa prise, elle tenta de se protéger de ses mains mais il les lui immobilisa dans le creux du dos.
- hé bien ? Que signifie ce geste de rébellion ? Vous n’acceptez pas la punition ?
Elle reprit son souffle mais n’osa pas piper mot.
Il la relâcha et recula d’un pas pour contempler la peau cinglée et rougie de sa punie.
- mettez vos mains derrière la nuque. Vous resterez face au mur, immobile et en silence jusqu’à ce que je vous autorise à bouger.
Il sortit.
Elle resta seule, dans le silence. La douleur avait vidé toute pensées et toutes émotions en elle.

Les pas dans son dos la tirèrent de sa torpeur.
- relâchez vos mains, et tournez vous vers moi jeune fille
Calmement, elle s’exécuta. Une impression de fatalité sereine la possédait entièrement,
elle se sentait cotonneuse et guidée par cette voix, sans plus de questions à se poser.
- il est presque 8h. Vous allez accomplir vos tâches du jour et nous irons à l’église.
« A l’église ?? Il ne comptait tout de même pas lui imposer une quelconque confession religieuse ? Et puis le temps qu’elle accomplisse tout son travail il serait bien trop tard pour assister à l’office, peu importe, elle n’avais pour l’heure pas de temps à perdre »
Sans demander son reste elle déguerpit hors de la cuisine.
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Re: Sa nouvelle vie (bdsm)

Message par Biquette »

Et bien, la pauvre enfant, quelle dure vie il lui fait mener le bougre :o

:clea:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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