Qu'est-ce qui te ferait plaisir en matière d'histoire ?obasT a écrit :Pas ma came, le simple prénom de Boris me donnant accessoirement des envies d'ultraviolence, mais rien de sexuel.
Les 'one shot'
Re: Les 'one shot'
Re: Les 'one shot'
Oh moi le genre d'histoire que j'aurais envie de lire c'est d'un jeune homme naïf et optimiste qui deviens malgré lui le captif d'une femme qui décide d'en faire sa chose. Le garçon étant fier ne se laisse pas faire et elle lui en fait voir de toutes les couleurs, jouant de lui comme d'un vulgaire jouet. Malgré tout une complicité finit lentement par s'insinuer entre les deux dans un long périple oscillant entre sensibilité/sensualité et intensité/bestialité qui les amène progressivement à se comprendre l'un l'autre et à conserver malgré tout une adversité certaine mais emprunte de respect et d'estime pour se considérer comme deux pièces singulières indépendantes et complémentaires à la fois.
Globalement un truc qui irait largement à contre-courant des diktats patriarcaux et des clichés sexistes habituels.
Globalement un truc qui irait largement à contre-courant des diktats patriarcaux et des clichés sexistes habituels.
Re: Les 'one shot'
Ah oui, y'a de quoi en faire une nouvelle carrément ^^ Je vois mal ça en "petit format".
T'as jamais eu envie d'écrire tiens ?
T'as jamais eu envie d'écrire tiens ?
Re: Les 'one shot'
Joli petit texte Patron, j'aime ta façon d'écrire !
Et si quelqu'un décide de mettre en mots le sinopsis de Tsabo, je kiffe aussi
Et si quelqu'un décide de mettre en mots le sinopsis de Tsabo, je kiffe aussi
Re: Les 'one shot'
Merci pour ce retour.coquine-mutine a écrit :Joli petit texte Patron, j'aime ta façon d'écrire !
Et si quelqu'un décide de mettre en mots le sinopsis de Tsabo, je kiffe aussi
Re: Les 'one shot'
Je me disais en le lisant, que j'avais eu un vrai bon a priori quand j'ai rapidement pensé que t'allais me plaire
Dernière modification par Ag7Wr10 le 25 mai 2014, 22:49, modifié 1 fois.
Re: Les 'one shot'
Up pour loulouPatron a écrit :Elle n'était pas vraiment belle, mais elle ferait l'affaire. Il l'avait trouvée dans ce bar-lounge, elle était déjà loin, son énième verre à la main.
Maquillée sans expérience, habillée sans décence, elle laissait son regard vide errer sur les chaussures des hommes alignés devant le zinc. Même pas le courage de les regarder dans les yeux. Parfait.
Il l'avait accostée en la bousculant au passage, faisant mine de vouloir s'asseoir sur la banquette derrière elle. Réflexes ternis, elle faillit en lâcher son verre. Il avait pressée ses deux mains d'un geste sûr, emprisonnant sa petite main féminine dans ses paluches fermes, emprisonnant le verre et son poignet. Il l'avait sentie frémir lorsqu'elle posa ses yeux sur son visage, dans un moment d'égarement. Face à son regard et ce qu'il s'en dégageait, elle avait rapidement baissé le sien, rougissant.
"Parfait", conclut-il. Il ne se trompait jamais . Elle rougit encore d'un cran ; ce "parfait" lui vrilla le coeur et lui réchauffa le bas-ventre, tant la voix était douce, grave et tellement ferme à la fois.
Le voilà maintenant, assis dans cette suite dans un des nombreux hôtels où il avait ses habitudes. Le fauteuil capitonné ne l'englobait même pas, c'était son aura à lui qui dominait ce modeste trône, simple support.
Elle est là aussi, hésitante sur le lit, à genoux. Une bretelle de sa robe a glissé, laissant son épaule dénudée. Elle semble si fragile, n'importe qui d'autre l'aurait rhabillée et raccompagnée chez elle. Lui esquisse juste un sourire en coin.
Elle regarde ses mains à lui, puissantes, chacune sur un accoudoir du fauteuil. Des pattes de lion dont on perçoit la puissance. Elle déglutit, commence à se lever sans quitter ces mains des yeux.
"Ne bouge pas." Le ton est aimable, mais agréablement ferme, horriblement décidé. Elle se fige, puis sursaute en entendant une porte claquer derrière elle. Elle n'ose pas se retourner, et fixe son regard sur ses chaussures à lui, du cuir de qualité, beau modèle, marque italienne. Elle l'aurait su si elle n'était pas aussi paniquée à ce moment précis. Son esprit se fige lorsqu'elle sent deux mains s'abattre sur ses épaules, puis glisser vers son cou.
"Tu vas être gentille avec Boris, n'est-ce pas ?" Sa voix la vrille à nouveau. Elle halète maintenant, sous la pression de la voix et des mains qui se resserrent. Sa culotte est trempée maintenant.
Boris ne dit rien, mais il agit. Rapidement, il la débarrasse de cette robe de mauvais goût. Il n'est pas tendre lui. Il ne dit toujours rien quand il la retourne sur le lit, mais elle imagine une voix rauque, un accent peut-être... un contraste avec la voix de l'homme, qu'elle voit du coin de l'oeil embué de larmes.
Il est assis là, souverain, les jambes légèrement écartés, cette aura d'assurance qui émane de son être. Il ne bouge pas, mais il voit tout.
Elle a mal, il lui fait mal. Pas seulement Boris, même s'il la malmène en la prenant sans la préparer. Elle sent son regard de feu lui brûler la peau, salir son âme, tandis que Boris se fraye un chemin. Elle gémit, elle a peur, mais il la laisse s'exprimer. Elle pousse des petits cris à chaque coups de reins que lui inflige la brute en écartant ses fesses de ses mains calleuses.
Boris finit sa besogne dans un râle, se retire en claquant une dernière fois sa paume sur la croupe de la fille. Il la laisse s'écrouler sur le lit, la tête cachée dans l'oreiller. Elle entend une porte claquer, puis le silence. Elle se met à sangloter doucement, étouffée par l'oreiller.
Il est assis là, dans la pénombre. Il n'a pas bougé. Seul son visage s'anime d'un sourire éclatant, laissant voir sa dentition de carnassier. Ses mains se resserrent, forment des poings, sur lesquels il s'appuie pour se relever. Dans la pièce, on n'entend plus que les pleurs discrets de la jeune fille, vaincue.
Il sourit toujours.
Il est debout.
Il est le Patron.
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Re: Les 'one shot'
Ce soir, je sors mon chien,
Sans le savoir tu me rejoins
Dans ce petit coin noir,
Tu te gares.
un moment câlin,
un moment coquin,
tu passes ta main
Sur mes seins
Un baiser profond,
tu ouvres mon pantalon
tu décides alors
de faire frémir mon corps
Et me masturbe , comme çà
jusqu'à jouir deux fois,
dans le creu de ton cou,
mon dieu tu es fou
Comme çà, en plein milieu du village
Peu importe les commérages
tu as décidé de me faire plaisir.
Demain , à mon tour de te faire jouir ...
Sans le savoir tu me rejoins
Dans ce petit coin noir,
Tu te gares.
un moment câlin,
un moment coquin,
tu passes ta main
Sur mes seins
Un baiser profond,
tu ouvres mon pantalon
tu décides alors
de faire frémir mon corps
Et me masturbe , comme çà
jusqu'à jouir deux fois,
dans le creu de ton cou,
mon dieu tu es fou
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Re: Les 'one shot'
Wouah, magnifiquement écrit
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Les 'one shot'
Cela n'aurait pas dû se passer ainsi.
Tout avait bien commencé pourtant : elle s'était présentée à l'heure pour l'entretien, il n'y avait personne d'autre dans la salle d'attente, et son futur (espérait-elle) patron avait une poignée de main franche et un sourire avenant. Légère appréhension tout de même.
Cette même main nouée autour de sa gorge, qui l'empêche de respirer. Et cette expression : froide, glaciale. Absente. Comme s'il ne se passait rien, comme si elle n'était rien.
Elle avait répondu à ses questions, et avait commencé à parler d'elle, comme il le lui avait demandé. "Tais-toi", la coupa-t-il. Ton sec et autoritaire. Interloquée, elle avait replongé son regard dans le sien, afin de vérifier que ce n'était pas une hallucination due au stress. Il ne souriait plus. Du tout. Figée, elle arbora un sourire de circonstance (espérait-elle) et exprima son étonnement : "Vous souhaitiez une précision sur mon cursus ?" Il claqua des doigts, puis tendit l'index dans la direction de ce sourire un peu niais : "Tais. Toi."
Il la maintient toujours contre le mur, avec sa poigne qui lui enserre le cou. De l'autre mains, il défait la boucle de sa ceinture, et tire sur un bout de celle-ci pour la libérer des passants du pantalon. C'est une belle ceinture, en cuir sombre, pas noir, mais assez foncée.
Il s'était levé, lentement, et était monté sur le bureau. Il ne l'avait pas contourné, non. Une fois sur le bureau, il n'eut plus qu'à appuyer son pied fermement contre sa poitrine pour la renverser de sa chaise. Elle n'avait même pas eu le temps de réagir, éberluée, et se retrouva à se relever péniblement. Des larmes commençaient à couler, elle ne le vit donc pas arriver par derrière. C'est à ce moment qu'il l'empoigna et la plaqua contre le mur.
La ceinture enfin libérée, il fait de même pour la gorge qu'il serrait depuis un moment. Elle suffoque, elle s'écroule à terre. A genoux, elle reprend sa respiration.
Qu'espérait-elle ?...
.......................... à suivre ?
Tout avait bien commencé pourtant : elle s'était présentée à l'heure pour l'entretien, il n'y avait personne d'autre dans la salle d'attente, et son futur (espérait-elle) patron avait une poignée de main franche et un sourire avenant. Légère appréhension tout de même.
Cette même main nouée autour de sa gorge, qui l'empêche de respirer. Et cette expression : froide, glaciale. Absente. Comme s'il ne se passait rien, comme si elle n'était rien.
Elle avait répondu à ses questions, et avait commencé à parler d'elle, comme il le lui avait demandé. "Tais-toi", la coupa-t-il. Ton sec et autoritaire. Interloquée, elle avait replongé son regard dans le sien, afin de vérifier que ce n'était pas une hallucination due au stress. Il ne souriait plus. Du tout. Figée, elle arbora un sourire de circonstance (espérait-elle) et exprima son étonnement : "Vous souhaitiez une précision sur mon cursus ?" Il claqua des doigts, puis tendit l'index dans la direction de ce sourire un peu niais : "Tais. Toi."
Il la maintient toujours contre le mur, avec sa poigne qui lui enserre le cou. De l'autre mains, il défait la boucle de sa ceinture, et tire sur un bout de celle-ci pour la libérer des passants du pantalon. C'est une belle ceinture, en cuir sombre, pas noir, mais assez foncée.
Il s'était levé, lentement, et était monté sur le bureau. Il ne l'avait pas contourné, non. Une fois sur le bureau, il n'eut plus qu'à appuyer son pied fermement contre sa poitrine pour la renverser de sa chaise. Elle n'avait même pas eu le temps de réagir, éberluée, et se retrouva à se relever péniblement. Des larmes commençaient à couler, elle ne le vit donc pas arriver par derrière. C'est à ce moment qu'il l'empoigna et la plaqua contre le mur.
La ceinture enfin libérée, il fait de même pour la gorge qu'il serrait depuis un moment. Elle suffoque, elle s'écroule à terre. A genoux, elle reprend sa respiration.
Qu'espérait-elle ?...
.......................... à suivre ?
Re: Les 'one shot'
Paisible chose
Ce rêve où
S'envole une rose
Eternelle et éclose elle
Fuit au vent
L'hiver arrivant
S'envole une rose au coeur changeant
\o/Ce rêve où
S'envole une rose
Eternelle et éclose elle
Fuit au vent
L'hiver arrivant
S'envole une rose au coeur changeant
Re: Les 'one shot'
Je vais t'éclater la rondelle,
dit une hirondelle.
ça m'ira comme un gant,
répond un pélican.
ainsi le troufion écarté,
le pélican partit de promener
Oh votre plumage est rutilant,
lui dit un paysan.
Merci, mais voyez plutôt ma rondelle,
lui dit la péronnelle.
Ainsi s'achève la ritournelle,
car le paysan excité comme une puce,
prit le pélican et lui fait un high-kick retournelle.
dit une hirondelle.
ça m'ira comme un gant,
répond un pélican.
ainsi le troufion écarté,
le pélican partit de promener
Oh votre plumage est rutilant,
lui dit un paysan.
Merci, mais voyez plutôt ma rondelle,
lui dit la péronnelle.
Ainsi s'achève la ritournelle,
car le paysan excité comme une puce,
prit le pélican et lui fait un high-kick retournelle.
Dernière modification par Pirhouette le 06 novembre 2014, 01:38, modifié 1 fois.
Re: Les 'one shot'
Berçant la terre de son essence,
Elle virevolte au grès du vent.
Les pieds dressés, la tête abaissée,
Tranquillement, se balance inversée.
Sa vie perlant avec voluptée,
Jaillissante d'une gorge révélée,
Abreuve cette belle nuit étoilée,
De doux rêves éveillés.
Surgit de cet amour ambigüe
Ce fantasme malheureux:
Un oeil flétrit, vitreux,
Reflet d'une vie perdue.
Elle virevolte au grès du vent.
Les pieds dressés, la tête abaissée,
Tranquillement, se balance inversée.
Sa vie perlant avec voluptée,
Jaillissante d'une gorge révélée,
Abreuve cette belle nuit étoilée,
De doux rêves éveillés.
Surgit de cet amour ambigüe
Ce fantasme malheureux:
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Re: Les 'one shot'
Je suis morte de rire par le one-shot de Pirhou et l'instant d'après, saisie par celui de Own !
Bravo vous deux !
Bravo vous deux !
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Les 'one shot'
OuiiiiiiiiiiiiPatron a écrit :Cela n'aurait pas dû se passer ainsi.
.......................... à suivre ?
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Les 'one shot'
Merci ma biquette, je t'en ferais d'autres rien que pour toi!Biquette a écrit :Je suis morte de rire par le one-shot de Pirhou et l'instant d'après, saisie par celui de Own !
Bravo vous deux !
Et ouais il rox le Ownounet
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Re: Les 'one shot'
J'ai presque peur de dire "jai hâte"
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Les 'one shot'
merci pour l'explication du one shot de own, Pirhouette, j'avais pas fais le lien...
Re: Les 'one shot'
Biquette a écrit :J'ai presque peur de dire "jai hâte"
En alexandrins, démerde toi avec les diérèses
par une douce et chaude nuit émoustillée,
Une petite chèvre qui se prénommait biquette
partit en promenade vers un lac réputé
chercher une satisfaisante bistouquette.
caché derrière un buisson de petites baies
un lapin lurkait déjà le cul de la bêle. (oui c'est fait exprès, envoyez moi des fleurs pour cette pirhouette jeudmotesque)
mais par le sourd bruissement des feuilles, effrayée,
Elle prit alors ses pattes à son cou, la femelle.
Allumeuse! lui hurla le lapinou frustré.
Mais il continuait à astiquer son vit.
Et la peureuse ne s'est jamais retournée,
Et plus jamais dans ce coin glauque, on ne la vit.
Une petite chèvre qui se prénommait biquette
partit en promenade vers un lac réputé
chercher une satisfaisante bistouquette.
caché derrière un buisson de petites baies
un lapin lurkait déjà le cul de la bêle. (oui c'est fait exprès, envoyez moi des fleurs pour cette pirhouette jeudmotesque)
mais par le sourd bruissement des feuilles, effrayée,
Elle prit alors ses pattes à son cou, la femelle.
Allumeuse! lui hurla le lapinou frustré.
Mais il continuait à astiquer son vit.
Et la peureuse ne s'est jamais retournée,
Et plus jamais dans ce coin glauque, on ne la vit.
Dernière modification par Pirhouette le 06 novembre 2014, 16:08, modifié 1 fois.
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Re: Les 'one shot'
oh punaise j'adore
J'pourrais jamais te rendre, je ne sais pas faire ce genre de choses, mais un grand merci pour cette rigolade
J'pourrais jamais te rendre, je ne sais pas faire ce genre de choses, mais un grand merci pour cette rigolade
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Les 'one shot'
Biquette a écrit :oh punaise j'adore
J'pourrais jamais te rendre, je ne sais pas faire ce genre de choses, mais un grand merci pour cette rigolade
je t'en prie madame! mais siiiiii je suis sûre que tu peux faire de très jolis poèmes.
Je t'en priefred63970 a écrit :merci pour l'explication du one shot de own, Pirhouette, j'avais pas fais le lien...
Et je ne sais pas si tu l'as fait exprès, mais bravo pour le jeu de mots