Banlieue sud de Paris, 1986.
J'avais donc seize ans. Puceau et obsédé par tout ce qui portait soutien-gorge. Mais d'une timidité extrême.
Je découpais les pubs avec des filles sexy, je me masturbais dans les pages lingerie du catalogue de la Redoute. Je regardais les pornos de canal plus en crypté, mon imagination jouant le rôle de décodeur.
Aux beaux jours, je restais derrière la fenêtre de ma chambre pour voir la voisine, une robuste cinquantenaire, prendre le soleil dans son jardin. Je me dissimulais dans l'ombre et je me caressais. Elle s'installait dans une chaise longue, en maillot de bain. Grosses fesses. Seins énormes. Air renfrogné, mais un corps voluptueux, massif, fellinien.
Je fantasmais sur elle, comme un fou furieux.
Je m'imaginais la tête entre ses deux énormes nichons, mes mains sur son large postérieur. Je la voyais ouvrant ses cuisses m'invitant à une initiation bestiale, offrant son corps à toutes mes turpitudes.
Cette madame Planchard, amie de ma mère, m'avait donné beaucoup de plaisirs solitaires...
[à suivre]
Jeanne Planchard, initiatrice.
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Supprimé
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
"Tu voudras bien demander passer un moment chez Jeanne? Elle attend un colis, mais elle ne sera pas chez elle une partie de l'après midi... ?"
En bon garçon, et en bon curieux, je dis oui à ma mère. J'adorais l'idée d'aller chez Jeanne, surtout si elle n'y était pas. J'en profiterais pour explorer cette belle maison bourgeoise, découvrir son intimité. Me connaissant, je fouillerais ses tiroirs, cherchant sa lingerie, ses parfums, tout ce qui pourrait me rapprocher de son corps.
Jeanne était divorcée, et sa fille de vingt ans ne vivait plus chez elle. On lui prêtait, dans le quartier, de nombreuses aventures. Mais chez elle, pour l'avoir longtemps espionnée, jamais je n'avais vu d'homme.
A l'heure dite, je sonnai.
Elle m'ouvrit la porte avec un grand sourire.
Elle était superbe. Maquillée avec un peu d'excès, sa poitrine mise en valeur dans un chandail moulant, une jolie jupe et des collants de couleur chair. Juchée sur des escarpins, elle me fit une bise parfumée en me disant qu'elle ne rentrerait pas tard. "T'es mignon" crut-elle judicieux d'ajouter, ajoutant à ma confusion extrême. Cette confusion dut se voir, car elle me fit remarquer que j'étais tout rouge.
"Il ne faut pas avoir peur des femmes Michel..." gloussa-t-elle avant de partir. Alors qu'elle refermait son portail, elle m'adressa un joli clin d'oeil. Je m'empressai d'entrer.
Le livreur arriva rapidement. J'étais tranquille un bon moment.
Je montai dans la chambre. J'ouvris son armoire. Je caressai ses chemisiers, ses robes, toutes imprégnées de son parfum.
Je les caressais, imaginant son corps dedans. Rêveur.
J'ouvris un tiroir, culottes, bas, collants : un trésor.
Elle aimait la dentelle fine. Plus raffinée que je l'aurais pensé. Je connaissais mal les femmes en mon jeune temps.
Au pied de son lit, gisaient une paire de bas noirs. Au parfum, ils avaient été portés. Une prise de choix.
Il ne faut pas grand chose à un adolescent en rut permanent pour se mettre en transe. Je baissai ma braguette, empoignai mon sexe déjà bien tendu (16 ans...) et commençai à caresser la peau de ma verge avec le nylon. Je marmonnais des insanités. Je maitrisais mes gestes pour bien savourer la montée du plaisir. Dans mon cerveau enfiévré défilaient les images d'elle et moi. Elle me suçait, me prenait entre ses seins, m'accueillait entre ses cuisses. J'imaginais la douceur, la chaleur de son sexe.
"Merci pour le colis. Ho?...Pardon."
Je ne me retournai pas tout de suite. Je la vis dans la glace de son armoire. Elle avait ôté ses chaussures et était montée sans bruit. Elle me surprenait, ma queue blottie dans son bas, en train de me caresser. Elle m'avait certainement entendu murmurer son nom... J'étais fait. Mort.
Elle sourit.
"Continue... Ne te gêne pas pour moi..."
Mais je lâchais le voile noir et tentai de me rebraguetter.
Elle s'approcha. Tout contre moi.
"Faut pas rester comme ça Michel..."
Elle empoigna ma queue de ses doigts potelés aux ongles vernis. Elle me branla doucement en me regardant dans les yeux. Je ne soutenais pas son regard. Je n'osai même pas la toucher alors que j'avais une terrible envie d'attraper ses gros seins. C'est elle qui attrapa ma main et la posa sur volupteux globe. Je le caressai avec enthousiasme.
"Ne te retiens pas, Michel, vas-y..."
Enhardi, je tentai un geste maladroit pour soulever sa jupe. Elle me repoussa. Sans colère.
"Une autre fois. Pas maintenant... Sois patient..."
Elle accentua la pression de sa main sur ma verge. Elle accéléra les mouvements. Je posai mes mains sur ses épaules, fermai les yeux.
"Vas-y petit..." me glissa-t-elle à l'oreille.
Je jouis dans ses doigts. De longs jets de sperme chaud. Je soufflai dans son cou. Elle caressait ma nuque, maternelle... Elle continuait à me masser la queue avec douceur.
"C'est bien..."
Elle attrapa un kleenex et nous essuya. Sa jupe était tâchée de ma semence. Je sais maintenant qu'elle était très excitée. Ce que je prenais pour un air renfrogné était en fait un effort pour ne pas céder à d'autres attouchements.
"Reviens demain Michel. Dis à ta mère que... Je demande ton aide pour bouger des meubles. Demain à 10 heures."
Je partis. J'avais l'impression de voler.
En bon garçon, et en bon curieux, je dis oui à ma mère. J'adorais l'idée d'aller chez Jeanne, surtout si elle n'y était pas. J'en profiterais pour explorer cette belle maison bourgeoise, découvrir son intimité. Me connaissant, je fouillerais ses tiroirs, cherchant sa lingerie, ses parfums, tout ce qui pourrait me rapprocher de son corps.
Jeanne était divorcée, et sa fille de vingt ans ne vivait plus chez elle. On lui prêtait, dans le quartier, de nombreuses aventures. Mais chez elle, pour l'avoir longtemps espionnée, jamais je n'avais vu d'homme.
A l'heure dite, je sonnai.
Elle m'ouvrit la porte avec un grand sourire.
Elle était superbe. Maquillée avec un peu d'excès, sa poitrine mise en valeur dans un chandail moulant, une jolie jupe et des collants de couleur chair. Juchée sur des escarpins, elle me fit une bise parfumée en me disant qu'elle ne rentrerait pas tard. "T'es mignon" crut-elle judicieux d'ajouter, ajoutant à ma confusion extrême. Cette confusion dut se voir, car elle me fit remarquer que j'étais tout rouge.
"Il ne faut pas avoir peur des femmes Michel..." gloussa-t-elle avant de partir. Alors qu'elle refermait son portail, elle m'adressa un joli clin d'oeil. Je m'empressai d'entrer.
Le livreur arriva rapidement. J'étais tranquille un bon moment.
Je montai dans la chambre. J'ouvris son armoire. Je caressai ses chemisiers, ses robes, toutes imprégnées de son parfum.
Je les caressais, imaginant son corps dedans. Rêveur.
J'ouvris un tiroir, culottes, bas, collants : un trésor.
Elle aimait la dentelle fine. Plus raffinée que je l'aurais pensé. Je connaissais mal les femmes en mon jeune temps.
Au pied de son lit, gisaient une paire de bas noirs. Au parfum, ils avaient été portés. Une prise de choix.
Il ne faut pas grand chose à un adolescent en rut permanent pour se mettre en transe. Je baissai ma braguette, empoignai mon sexe déjà bien tendu (16 ans...) et commençai à caresser la peau de ma verge avec le nylon. Je marmonnais des insanités. Je maitrisais mes gestes pour bien savourer la montée du plaisir. Dans mon cerveau enfiévré défilaient les images d'elle et moi. Elle me suçait, me prenait entre ses seins, m'accueillait entre ses cuisses. J'imaginais la douceur, la chaleur de son sexe.
"Merci pour le colis. Ho?...Pardon."
Je ne me retournai pas tout de suite. Je la vis dans la glace de son armoire. Elle avait ôté ses chaussures et était montée sans bruit. Elle me surprenait, ma queue blottie dans son bas, en train de me caresser. Elle m'avait certainement entendu murmurer son nom... J'étais fait. Mort.
Elle sourit.
"Continue... Ne te gêne pas pour moi..."
Mais je lâchais le voile noir et tentai de me rebraguetter.
Elle s'approcha. Tout contre moi.
"Faut pas rester comme ça Michel..."
Elle empoigna ma queue de ses doigts potelés aux ongles vernis. Elle me branla doucement en me regardant dans les yeux. Je ne soutenais pas son regard. Je n'osai même pas la toucher alors que j'avais une terrible envie d'attraper ses gros seins. C'est elle qui attrapa ma main et la posa sur volupteux globe. Je le caressai avec enthousiasme.
"Ne te retiens pas, Michel, vas-y..."
Enhardi, je tentai un geste maladroit pour soulever sa jupe. Elle me repoussa. Sans colère.
"Une autre fois. Pas maintenant... Sois patient..."
Elle accentua la pression de sa main sur ma verge. Elle accéléra les mouvements. Je posai mes mains sur ses épaules, fermai les yeux.
"Vas-y petit..." me glissa-t-elle à l'oreille.
Je jouis dans ses doigts. De longs jets de sperme chaud. Je soufflai dans son cou. Elle caressait ma nuque, maternelle... Elle continuait à me masser la queue avec douceur.
"C'est bien..."
Elle attrapa un kleenex et nous essuya. Sa jupe était tâchée de ma semence. Je sais maintenant qu'elle était très excitée. Ce que je prenais pour un air renfrogné était en fait un effort pour ne pas céder à d'autres attouchements.
"Reviens demain Michel. Dis à ta mère que... Je demande ton aide pour bouger des meubles. Demain à 10 heures."
Je partis. J'avais l'impression de voler.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
J'aime 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
J'espère bien et tu mettras une majuscule à Madame je te prie 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Y a presque plus que ça de gratuit alors.. 
Ah, Baschung, un grand artiste
Ah, Baschung, un grand artiste
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Supprimé
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Bon... Hum. Je continue. Vaut mieux un pornographe vivant qu'un artiste mort.
Pouf Pouf...
Le lendemain, à l'heure dite je sonnai chez Jeanne.
Lorsqu'elle m'ouvrit, elle avait troqué le chandail contre un chemisier très échancré et sa jupe était au dessus du genou.
Toujours ses bas. Ses jolies chevilles, ses chaussures à talons... Petite femme apétissante.
Je pensais que dans un quart d'heure, je la baiserais sauvagement. Je me trompai.
Elle me fit assoir dans un fauteuil capitonné et s'installa en face de moi, sur le canapé également de style vieille.
Elle croisa ses jambes. Et entama une conversation plutôt anodine. J'attendais, rongeant mon frein, qu'elle ouvre les hostilités.
Subitement : "Tu as beaucoup à apprendre pour conquérir les femmes. C'est normal, tu es si jeune... Tu veux que je t'enseigne les bases de cet art si délicat ?"
De ma grosse voix enrouée d'adolescent au bord de la rupture de slip, j'acquiessai. Tout pourvu qu'elle me laisse la prendre.
"Alors je vais t'apprendre. Mais, Michel, il faudra être patient..."
Je promis.
"Viens t'assoir à côté de moi."
Je bondis et lui posai aussitôt une main sur le sein. Qu'elle retira aussitôt fermement.
"C'est moi qui commande Michel. Sinon, tu n'auras rien de plus qu'hier."
Penaud.
"Viens m'embrasser..."
Je posai ma bouche sur la sienne. J'étais à genoux contre elle. Je n'avais jamais roulé une pelle à quiconque. Je sentis sa langue, douce, tiède, rugueuse pénétrer dans ma bouche. C'était doux. Nos langues dansèrent, se cherchèrent... Longtemps.
Je sentais la main de Jeanne appuyer sur mon sexe. Elle me massait par dessus mon pantalon. J'allais jouir tout habillé. Ma mère aurait gueulé si j'avais taché mon slip.
"Deuxième leçon. Le cunnilingus."
Elle me repoussa doucement. S'allongea sur le canapé. Ecarta ses cuisses en relevant sa jupe. J'eus la révélation de son sexe offert, non dissimulé par une quelconque culotte. Son pubis était bouclé. Sa fente arrogante, presque entr'ouverte. Ses belles cuisses et ses porte-jarretelles beiges. Vision obscène, pornographique, extraordinaire. Elle s'offrait, cuisses largement ouvertes, comme une chienne qui attend la saillie.
Arrogante, elle caressait ses poils et me lançait des regards de provocation.
J'adorais.
Je caressai ses pieds, ses chevilles, goutant le contact du nylon. Ses genoux, ses cuisses. Je baisai chaque centimètre carré de ses jambes. Elle se caressait doucement. Ma bouche parvint à la lisière de ses bas et de sa peau. Le parfum de son sexe était déjà sensible.
"Lèche Michel, lèche ma chatte..." murmura-t-elle.
Je posai de délicats baisers sur sa jolie toison. Je parcourus, du bout des lèvres, le tour de son sexe. Mes baisers se firent plus insistants.
Ma langue arpenta la belle fente et parvint à ouvrir cette vulve délicieuse. Au début hésitant, brusque, je me laissai guider par mon inspiration et, visiblement, devenais plus adroit à chaque coup de langue sur cette chatte. J'entendais Jeanne gémir. Elle guidait ma tête avec ses mains.
"Lèche mon clito... lèche moi bien..."
Je léchai son gros bouton. Passant dessus avec le plat de la langue, puis avec le bout, le titillant.
"Mon salaud... " cria-t-elle.
Elle posa ses jambes sur mes épaules. J'adorais être prisonnier de ses cuisses, de son ventre flasque, de son sexe fatigué. Quand ma langue abandonnait son clitoris pour s'aventurer aux confins de son sexe, elle se caressait le bouton avec deux doigts. Je voyais le mignon organe tordu, écrasé, malaxé...
Je repris ma douce exploration. J'avais le visage moite de son liquide intime.
Bientôt, j'entendis sa respiration s'accélérer. Elle appuyait fort mon visage en bas de son ventre. Elle gémissait des Oui sans équivoque.
Elle jouit. En poussant un long cri extasié. Se crispa longuement. Puis se détendit brusquement. Laissa tomber sa tête en arrière. Rit. J'étais à genoux face à son sexe ouvert. Entre ses cuisses dont je ne voulais plus jamais sortir.
Quelques minutes plus tard, dans le silence, elle se rassit.
Elle voulut un profond baiser où elle aimait sentir, goûter le parfum de sa vulve dans ma bouche.
"Debout face à moi..." murmura-t-elle.
Elle resta assise et, comme je l'espérais, déboutonna ma braguette. Elle saisit ma verge qui se déplia instantanément dans sa main. Elle la caressa en la regardant de près.
Je sentis le délicieux contact de ses lèvres sur mon gland. Joli baiser.
Puis, sa langue, sur mon bout rose. Délicatement, comme un chat qui lape. Petites douceurs de la langue si délicatement prodiguées.
Pouf Pouf...
Le lendemain, à l'heure dite je sonnai chez Jeanne.
Lorsqu'elle m'ouvrit, elle avait troqué le chandail contre un chemisier très échancré et sa jupe était au dessus du genou.
Toujours ses bas. Ses jolies chevilles, ses chaussures à talons... Petite femme apétissante.
Je pensais que dans un quart d'heure, je la baiserais sauvagement. Je me trompai.
Elle me fit assoir dans un fauteuil capitonné et s'installa en face de moi, sur le canapé également de style vieille.
Elle croisa ses jambes. Et entama une conversation plutôt anodine. J'attendais, rongeant mon frein, qu'elle ouvre les hostilités.
Subitement : "Tu as beaucoup à apprendre pour conquérir les femmes. C'est normal, tu es si jeune... Tu veux que je t'enseigne les bases de cet art si délicat ?"
De ma grosse voix enrouée d'adolescent au bord de la rupture de slip, j'acquiessai. Tout pourvu qu'elle me laisse la prendre.
"Alors je vais t'apprendre. Mais, Michel, il faudra être patient..."
Je promis.
"Viens t'assoir à côté de moi."
Je bondis et lui posai aussitôt une main sur le sein. Qu'elle retira aussitôt fermement.
"C'est moi qui commande Michel. Sinon, tu n'auras rien de plus qu'hier."
Penaud.
"Viens m'embrasser..."
Je posai ma bouche sur la sienne. J'étais à genoux contre elle. Je n'avais jamais roulé une pelle à quiconque. Je sentis sa langue, douce, tiède, rugueuse pénétrer dans ma bouche. C'était doux. Nos langues dansèrent, se cherchèrent... Longtemps.
Je sentais la main de Jeanne appuyer sur mon sexe. Elle me massait par dessus mon pantalon. J'allais jouir tout habillé. Ma mère aurait gueulé si j'avais taché mon slip.
"Deuxième leçon. Le cunnilingus."
Elle me repoussa doucement. S'allongea sur le canapé. Ecarta ses cuisses en relevant sa jupe. J'eus la révélation de son sexe offert, non dissimulé par une quelconque culotte. Son pubis était bouclé. Sa fente arrogante, presque entr'ouverte. Ses belles cuisses et ses porte-jarretelles beiges. Vision obscène, pornographique, extraordinaire. Elle s'offrait, cuisses largement ouvertes, comme une chienne qui attend la saillie.
Arrogante, elle caressait ses poils et me lançait des regards de provocation.
J'adorais.
Je caressai ses pieds, ses chevilles, goutant le contact du nylon. Ses genoux, ses cuisses. Je baisai chaque centimètre carré de ses jambes. Elle se caressait doucement. Ma bouche parvint à la lisière de ses bas et de sa peau. Le parfum de son sexe était déjà sensible.
"Lèche Michel, lèche ma chatte..." murmura-t-elle.
Je posai de délicats baisers sur sa jolie toison. Je parcourus, du bout des lèvres, le tour de son sexe. Mes baisers se firent plus insistants.
Ma langue arpenta la belle fente et parvint à ouvrir cette vulve délicieuse. Au début hésitant, brusque, je me laissai guider par mon inspiration et, visiblement, devenais plus adroit à chaque coup de langue sur cette chatte. J'entendais Jeanne gémir. Elle guidait ma tête avec ses mains.
"Lèche mon clito... lèche moi bien..."
Je léchai son gros bouton. Passant dessus avec le plat de la langue, puis avec le bout, le titillant.
"Mon salaud... " cria-t-elle.
Elle posa ses jambes sur mes épaules. J'adorais être prisonnier de ses cuisses, de son ventre flasque, de son sexe fatigué. Quand ma langue abandonnait son clitoris pour s'aventurer aux confins de son sexe, elle se caressait le bouton avec deux doigts. Je voyais le mignon organe tordu, écrasé, malaxé...
Je repris ma douce exploration. J'avais le visage moite de son liquide intime.
Bientôt, j'entendis sa respiration s'accélérer. Elle appuyait fort mon visage en bas de son ventre. Elle gémissait des Oui sans équivoque.
Elle jouit. En poussant un long cri extasié. Se crispa longuement. Puis se détendit brusquement. Laissa tomber sa tête en arrière. Rit. J'étais à genoux face à son sexe ouvert. Entre ses cuisses dont je ne voulais plus jamais sortir.
Quelques minutes plus tard, dans le silence, elle se rassit.
Elle voulut un profond baiser où elle aimait sentir, goûter le parfum de sa vulve dans ma bouche.
"Debout face à moi..." murmura-t-elle.
Elle resta assise et, comme je l'espérais, déboutonna ma braguette. Elle saisit ma verge qui se déplia instantanément dans sa main. Elle la caressa en la regardant de près.
Je sentis le délicieux contact de ses lèvres sur mon gland. Joli baiser.
Puis, sa langue, sur mon bout rose. Délicatement, comme un chat qui lape. Petites douceurs de la langue si délicatement prodiguées.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Nan mais j'adore quoi, c'est franchement super bien écrit, décrit, la ponctuation, les mots choisis, rien à redire 
Enfin si : LA SUITE !!!!!
Enfin si : LA SUITE !!!!!
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
L'excuse est valable
A plus tard alors
A plus tard alors
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Tu as été initié par la voisine ou bien tu étais jeune puceau et terriblement timide à 16 ans ?
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Bah puceau à 16 ans ou même plus, ça me choque pas plus que ça moi, pour la personne, ça peut faire chier oui, je veux bien comprendre !
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ca, j'en doute pas
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Supprimé
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Je te vois venir...
Non, je n'ai pas de photos de moi tout nu en train de...
Nononon!
Non, je n'ai pas de photos de moi tout nu en train de...
Nononon!
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Spa mon genre de vouloir voir ce genre de photo
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ca va viendre, j'arrête pas de te le dire
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Je ne comprends pas. Avec ce regard de braise, avec ces mots brûlants, avec ces histoires à faire mouiller mère Thérésa, rien. Pas une touche. Pas un MP enflammé, pas de harcèlement, pas de culottes souillées envoyées par la poste. Rien.
C'est étonnant non ?
C'est étonnant non ?
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Les filles, elles prennent leur temps de nos jours 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ben oui, sans doute, mais tu fais partie du bon gout p't'être
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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DeLsEp9
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Bikette a écrit :Ben oui, sans doute, mais tu fais partie du bon gout p't'être
Pour l'instant le bon gout, serait de poster une suite.
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Supprimé
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Je le prends comme un compliment... Mais pas aujourd'hui. Je n'aurai pas le temps... Soyez patient.
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DeLsEp9
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ripolino a écrit :Je le prends comme un compliment... Mais pas aujourd'hui. Je n'aurai pas le temps... Soyez patient.
Effectivement, cela en est un.
Mais j'aime confirmer,
voir infirmer mes premières impressions.
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DeLsEp9
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ripolino a écrit :Faudra être patient.
J'essaie ce week-end.
C'est quoi être patient.......
c'est déjà terminé, pour moi.
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Eclipses
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
j'adore, ça me rappelle trop ma jeunesse.... mais sans la voisine.. si enfin en fantasme
merci
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
:bounce :bounce
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ouais bon, n'exagère pas non plus hein
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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DeLsEp9
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Bikette a écrit :Ouais bon, n'exagère pas non plus hein
Ou chat ?
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Je compte bien en abuser...Bikette a écrit :Ouais bon, n'exagère pas non plus hein
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Errare humanum est, sed persevare diabolicum...
Think about it
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