Comme j'ai les textes ailleurs, si des fois ça intéresse des gens d'avoir un (bref et partial) compte rendu de ce qui se passe ici ou là, votre serviteur, avec ses maigres petites mimines, peut de temps à autre se fendre d'un petit pensum sur le sujet.
Le principe : une soirée, un reportage, éventuellement quelques vues selon dispo.
Sans prétention aucune, et avant tout pour faire l'écho de sympathiques manifestations qui donneront, espérons le, envie à d'autres d'y participer.
V., renvoyé très spécial.
(Si ça gave de genre de trucs, vous le dites et on avisera).
Si les faits sont bien réels, les noms (souvent), lieux (rarement), et autres détails sont parfois modifiés pour respecter l'anonymat des participants, du cadre, etc.
La soirée que vous avez ratée...
Re: La soirée que vous avez ratée...
Samedi 4 Juin 2011 : Les éditions Tabous régalent !
Comme chaque année le même jour, les éditions tabous nous régalaient d'une petite fête émoustillante en diable, à l'aune de leurs activités. Activité qui consiste, rappelons-le à faire paraître au grand jour des ouvrages sérieux sur des sujets dérangeants, mystérieux et ainsi assouvir la soif de savoir d’un lectorat chaque jour plus grand, bien beau programme s'il en est. Notons que les éditions Tabous deviennent résolument l'un des leaders du secteur en matière de BD, pour le plus grand bonheur des mateurs et des amateurs.
Vous n'imaginez même pas que vos dignes représentants n'allaient pas faire partie des happy fews qui se devaient d'assister à pareil évènement totalement privé et franchement cul-turel, donc absolument indispensable.
Et bien nous en prit, car un vrai régal en effet ce fût.
(pas ce fût de bière Patrick, elle est trop facile, et d'abord je serais toi je la ramènerais pas de trop d'avoir joué les grands absents.. tsk tsk).
Leur chez eux => [Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;
C'est donc dans ce charmant loft de Montreuil que d'aucuns connaissent fort bien (non, pas celui ci, l'autre) et qui fermera hélas ses portes accueillantes pour cause de vente à prix d'or par son propriétaire ravi de sa mirifique plusvalue que se dirigèrent d'un pas accorte et le string bien tendu des hordes de personnages alternatifs divers et variés venus fêter comme il se doit l'évènement (ou événement, pour Vik).
Salués dignement par les populations indigènes locales "hé m'sieur il brille trop beau votr' falzard en cuir !" (normal c'est du vinyle double enduction petit con ! ) et autres "hé madame, vous allez à une fête du cuir ? J'peux venir aussi ?" (rêve, petit, rêve...).
Accueil sympatique et souriant, le jabot (de la chemise) de nôtre hôte virevoltant ici et là pour accorder sourires poignées de mains et autres fougueuses embrassades (bon, c'est bon là, mais tu vas la lâcher saligaud, r$ontûdjûûû !) aux invités.
Buffet fort sympathique, cocktails maisons dans une belle jarre qui changera de couleur au fur et à mesure de la soirée (non non en vrai, pas parce que votre envoyé spécial aura trop abusé des dits cocktails), magnifique assortiment de desserts, et autres breuvages à bulles largement apportés par les convives triés sur le volet. Fin, le volet.
Ouvrages des éditions tabous parsemant les murs et meubles, auteurs prompts à en discuter les mérites comparés, se fendre d'une petite et accorte dédicace, ou soulever le voile pudique de futurs projets.
Une surconcentration de doms divers au mètre carré qui n'avait comme équivalent que la concentration de soumis(es) et autres intermédiaires entre les deux dilués au milieu de curieux ou de familiers, donc quelques chiennes, même si une seule d'entre elles étét promenée à quatre pattes, la croupe toujours aussi joliment trousée. Bref un savant mélange dont tout le monde s'accommodât fort bien, comme en témoigne ces échanges entendus ici ou là
- alors vraiment, vous ne voulez pas essayer mes martinents ?
- non merci, ce serait volontiers mais jamais en public...
... ...
- qu'à cela ne tienne, allons donc de ce pas alerte et bien pesé vers un coin sombre aussi désert qu'accueillant !
- heu... Comment dire... Vous voulez une fraise ? Elles sont positivement délicieuses !
Ou ailleurs...
- Si si je vous assure, c'est du cuir Vuitton, touchez la douceur de cette lanière...
- Ha ben alors là d'accord, je veux bien essayer. C'est plus pratique si je relève ma robe n'est ce pas ?
- Oh, certes si vous voulez, quoiqu'au vu de votre "robe" très chère, je crains que ca ne fasse guère de différences... :-)
Etc. etc.
Vous voyez ce que je veux dire n'est ce pas...
Ou vous ne voyez pas, en fait... Ha quel dommage :-)
Quelques jouets firent donc vite leur apparition sitôt la nuit tombée, lanières de cuir tombant sur les croupes tendues de créatures généreuses ici, cordes colorées tombant du plafond et s'enroulant autour de créatures de rêve là, corps suspendus oscillant élégamment sous les balcons, agrémentant de charmante manière le ballet des soubrettes assurant la logistique au milieu des convives visiblement ravis.
Le tout porté par le rock and roll for ever du redoutable DJ Francis Loup le sournois, du genre à te coller Highway to hell enchainé avec Nirvana juste après un OMD... c'est vil, comment imaginer pouvoir se reposer dans un coin tranquille avec ce genre de stimuli endiablés, n'est ce pas ?
De cette magnifique fête dont je ne dévoilerais rien, même si vous m'en tiendrez rigueur, le déroulement, et certainement pas quelle paire de magnifiques chaussures à enchevêtrement de liens noirs écrabouillèrent quelle paire de burnes apparemment plus solides qu'on n'aurait cru, ni non plus quels culs furent délicieusement rosis sous l'actions de cuirs divers et variés, parfois conjuguées, voire mélangés à des peaux de lapin chères à l'hôte de ces lieux lui même (bon, la soirée était bien avancée à cette heure là, il faut bien l'avouer !).
Vous ne saurez rien non plus des figures locales qui passèrent soutenir de leur présence cet évènement mondain du meilleur aloi, ni même quels studieux photographes lâchèrent quelques instants qui leurs coupes, qui leurs binouzes (oui ami lecteur, sache que le photographe alternatif à tendance déjantée picole de la bonne grosse bière, et boude le Ruinard, mesdames et messieurs, ce qui vous donne une idée, fût-elle bien maigre, de leur niveau de perversité !), pour s'emparer de leurs gros engins et tirer le portrait à de magnifiques créatures, à défaut sans doute de les tirer tout court. Ha cette race toujours si étonnamment perverse que les photographes, n'est ce pas ?
C'est à peine si j'oserai vous mentionner une séance de martinets sur une croupe garantie teutonne d'origine incontrôlée rythmée par Should I stay or Should I go. Conseil du jour : ne JAMAIS associer cette chanson célébrissimme et une séance de martinets, sauf pour un public très averti, pas pour les pistes vertes ou même rouges le duo de choc, piste noire au moins, voire hors piste tous terrains idéalement.
Une petite pluie fine loin de décourager les intoxiqués fût cependant tout à fait opportune pour aider à l'abattage des sons pour préserver les bonnes relations de voisinage autant qu'à rafraichir une atmosphère intérieur il faut bien le dire particulièrement torride, et pas seulement à cause de la météo.
Les cerises étaient délicieuses. Et la décence m'interdit de citer les noms de ceux (oui TOI !) qui reprirent goulûment au moins (j'ai pu en rater !) trois fois des petits gobelets de mousse fondante au chocolat. En même temps, elle était juste... rhâââ... PResqu'aussi fondante que les fromages, en tout point à point.
Un seul reproche s'il devait y en avoir un. L'absence, cruelle, de framboises, pour jeter dans la coupe de Ruinard. Un must pour les connaisseurs. Mais bon. Ca laisse entrevoir de quel bois était fait ces magnifiques réjouissances (oui il y a bien Ré devant, obsédés !) et de quoi améliorer encore l'an prochain n'est ce pas, qui sait ?...
Le service impeccable, et je ne dis pas cela par autosatisfaction ayant moi même contribué à fournir le personnel compétent adéquat. Quoique. :-)
Même si l'on aura vu certaines soubrettes de blanc vêtues finir les fesses offertes à des morsures de cadeau d'anniversaire désormais composante indispensable de toute bonne soirée réussie entre les mains de leur heureuse et chaque jour un peu plus dextre propriétaire. Ha l'entraînement, quelle belle chose n'est ce pas !
Les figures en suspension égrenaient les heures, corps offerts tournoyants dans les airs avant de redescendre, graines de beauté plus que grains de sables dans cette magnifique clepsydre nocturne.
Bref, en un mot comme en cent, on s'y amusât bien, on s'y culturât bien, on s'y lâchât bien dans les coins (ainsi qu'en plein milieu de la piste pour certains !), en nombre variable parfois supérieur à deux. Bon, ok, souvent, la déontologie du rapport exact m'oblige à l'avouer.
Et donc... Vivement l'année prochaine, et longue vie aux éditions tabous et à leur maître à bord ! (n'hésitez pas à lui parler boutique lors d'un prochain Munch !).
N'oubliez pas de cliquer sur le lien et faites vous plaisir pour les prochains cadeaux, merci pour eux !
V., envoyé spécial petite vitesse ce matin, toute petite, toute petite... :plage:
PS : quelques clichés pour vous donner d'éternels regrets sous peu probablement, sous réserve de disponibilité et de respect des conditions de publications.
Comme chaque année le même jour, les éditions tabous nous régalaient d'une petite fête émoustillante en diable, à l'aune de leurs activités. Activité qui consiste, rappelons-le à faire paraître au grand jour des ouvrages sérieux sur des sujets dérangeants, mystérieux et ainsi assouvir la soif de savoir d’un lectorat chaque jour plus grand, bien beau programme s'il en est. Notons que les éditions Tabous deviennent résolument l'un des leaders du secteur en matière de BD, pour le plus grand bonheur des mateurs et des amateurs.
Vous n'imaginez même pas que vos dignes représentants n'allaient pas faire partie des happy fews qui se devaient d'assister à pareil évènement totalement privé et franchement cul-turel, donc absolument indispensable.
Et bien nous en prit, car un vrai régal en effet ce fût.
(pas ce fût de bière Patrick, elle est trop facile, et d'abord je serais toi je la ramènerais pas de trop d'avoir joué les grands absents.. tsk tsk).
Leur chez eux => [Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;
C'est donc dans ce charmant loft de Montreuil que d'aucuns connaissent fort bien (non, pas celui ci, l'autre) et qui fermera hélas ses portes accueillantes pour cause de vente à prix d'or par son propriétaire ravi de sa mirifique plusvalue que se dirigèrent d'un pas accorte et le string bien tendu des hordes de personnages alternatifs divers et variés venus fêter comme il se doit l'évènement (ou événement, pour Vik).
Salués dignement par les populations indigènes locales "hé m'sieur il brille trop beau votr' falzard en cuir !" (normal c'est du vinyle double enduction petit con ! ) et autres "hé madame, vous allez à une fête du cuir ? J'peux venir aussi ?" (rêve, petit, rêve...).
Accueil sympatique et souriant, le jabot (de la chemise) de nôtre hôte virevoltant ici et là pour accorder sourires poignées de mains et autres fougueuses embrassades (bon, c'est bon là, mais tu vas la lâcher saligaud, r$ontûdjûûû !) aux invités.
Buffet fort sympathique, cocktails maisons dans une belle jarre qui changera de couleur au fur et à mesure de la soirée (non non en vrai, pas parce que votre envoyé spécial aura trop abusé des dits cocktails), magnifique assortiment de desserts, et autres breuvages à bulles largement apportés par les convives triés sur le volet. Fin, le volet.
Ouvrages des éditions tabous parsemant les murs et meubles, auteurs prompts à en discuter les mérites comparés, se fendre d'une petite et accorte dédicace, ou soulever le voile pudique de futurs projets.
Une surconcentration de doms divers au mètre carré qui n'avait comme équivalent que la concentration de soumis(es) et autres intermédiaires entre les deux dilués au milieu de curieux ou de familiers, donc quelques chiennes, même si une seule d'entre elles étét promenée à quatre pattes, la croupe toujours aussi joliment trousée. Bref un savant mélange dont tout le monde s'accommodât fort bien, comme en témoigne ces échanges entendus ici ou là
- alors vraiment, vous ne voulez pas essayer mes martinents ?
- non merci, ce serait volontiers mais jamais en public...
... ...
- qu'à cela ne tienne, allons donc de ce pas alerte et bien pesé vers un coin sombre aussi désert qu'accueillant !
- heu... Comment dire... Vous voulez une fraise ? Elles sont positivement délicieuses !
Ou ailleurs...
- Si si je vous assure, c'est du cuir Vuitton, touchez la douceur de cette lanière...
- Ha ben alors là d'accord, je veux bien essayer. C'est plus pratique si je relève ma robe n'est ce pas ?
- Oh, certes si vous voulez, quoiqu'au vu de votre "robe" très chère, je crains que ca ne fasse guère de différences... :-)
Etc. etc.
Vous voyez ce que je veux dire n'est ce pas...
Ou vous ne voyez pas, en fait... Ha quel dommage :-)
Quelques jouets firent donc vite leur apparition sitôt la nuit tombée, lanières de cuir tombant sur les croupes tendues de créatures généreuses ici, cordes colorées tombant du plafond et s'enroulant autour de créatures de rêve là, corps suspendus oscillant élégamment sous les balcons, agrémentant de charmante manière le ballet des soubrettes assurant la logistique au milieu des convives visiblement ravis.
Le tout porté par le rock and roll for ever du redoutable DJ Francis Loup le sournois, du genre à te coller Highway to hell enchainé avec Nirvana juste après un OMD... c'est vil, comment imaginer pouvoir se reposer dans un coin tranquille avec ce genre de stimuli endiablés, n'est ce pas ?
De cette magnifique fête dont je ne dévoilerais rien, même si vous m'en tiendrez rigueur, le déroulement, et certainement pas quelle paire de magnifiques chaussures à enchevêtrement de liens noirs écrabouillèrent quelle paire de burnes apparemment plus solides qu'on n'aurait cru, ni non plus quels culs furent délicieusement rosis sous l'actions de cuirs divers et variés, parfois conjuguées, voire mélangés à des peaux de lapin chères à l'hôte de ces lieux lui même (bon, la soirée était bien avancée à cette heure là, il faut bien l'avouer !).
Vous ne saurez rien non plus des figures locales qui passèrent soutenir de leur présence cet évènement mondain du meilleur aloi, ni même quels studieux photographes lâchèrent quelques instants qui leurs coupes, qui leurs binouzes (oui ami lecteur, sache que le photographe alternatif à tendance déjantée picole de la bonne grosse bière, et boude le Ruinard, mesdames et messieurs, ce qui vous donne une idée, fût-elle bien maigre, de leur niveau de perversité !), pour s'emparer de leurs gros engins et tirer le portrait à de magnifiques créatures, à défaut sans doute de les tirer tout court. Ha cette race toujours si étonnamment perverse que les photographes, n'est ce pas ?
C'est à peine si j'oserai vous mentionner une séance de martinets sur une croupe garantie teutonne d'origine incontrôlée rythmée par Should I stay or Should I go. Conseil du jour : ne JAMAIS associer cette chanson célébrissimme et une séance de martinets, sauf pour un public très averti, pas pour les pistes vertes ou même rouges le duo de choc, piste noire au moins, voire hors piste tous terrains idéalement.
Une petite pluie fine loin de décourager les intoxiqués fût cependant tout à fait opportune pour aider à l'abattage des sons pour préserver les bonnes relations de voisinage autant qu'à rafraichir une atmosphère intérieur il faut bien le dire particulièrement torride, et pas seulement à cause de la météo.
Les cerises étaient délicieuses. Et la décence m'interdit de citer les noms de ceux (oui TOI !) qui reprirent goulûment au moins (j'ai pu en rater !) trois fois des petits gobelets de mousse fondante au chocolat. En même temps, elle était juste... rhâââ... PResqu'aussi fondante que les fromages, en tout point à point.
Un seul reproche s'il devait y en avoir un. L'absence, cruelle, de framboises, pour jeter dans la coupe de Ruinard. Un must pour les connaisseurs. Mais bon. Ca laisse entrevoir de quel bois était fait ces magnifiques réjouissances (oui il y a bien Ré devant, obsédés !) et de quoi améliorer encore l'an prochain n'est ce pas, qui sait ?...
Le service impeccable, et je ne dis pas cela par autosatisfaction ayant moi même contribué à fournir le personnel compétent adéquat. Quoique. :-)
Même si l'on aura vu certaines soubrettes de blanc vêtues finir les fesses offertes à des morsures de cadeau d'anniversaire désormais composante indispensable de toute bonne soirée réussie entre les mains de leur heureuse et chaque jour un peu plus dextre propriétaire. Ha l'entraînement, quelle belle chose n'est ce pas !
Les figures en suspension égrenaient les heures, corps offerts tournoyants dans les airs avant de redescendre, graines de beauté plus que grains de sables dans cette magnifique clepsydre nocturne.
Bref, en un mot comme en cent, on s'y amusât bien, on s'y culturât bien, on s'y lâchât bien dans les coins (ainsi qu'en plein milieu de la piste pour certains !), en nombre variable parfois supérieur à deux. Bon, ok, souvent, la déontologie du rapport exact m'oblige à l'avouer.
Et donc... Vivement l'année prochaine, et longue vie aux éditions tabous et à leur maître à bord ! (n'hésitez pas à lui parler boutique lors d'un prochain Munch !).
N'oubliez pas de cliquer sur le lien et faites vous plaisir pour les prochains cadeaux, merci pour eux !
V., envoyé spécial petite vitesse ce matin, toute petite, toute petite... :plage:
PS : quelques clichés pour vous donner d'éternels regrets sous peu probablement, sous réserve de disponibilité et de respect des conditions de publications.
Re: La soirée que vous avez ratée...
Pour celles et ceux qui veulent en savoir plus.
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V., toute la presse en parle.
(PS il y avait aussi des gens qui n'ont pas de blogs, de ceci ou de celà ou qui n'ont faire d'être cités, et qui étaient forts présents néanmoins, merci à eux - et elles-
).
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V., toute la presse en parle.
(PS il y avait aussi des gens qui n'ont pas de blogs, de ceci ou de celà ou qui n'ont faire d'être cités, et qui étaient forts présents néanmoins, merci à eux - et elles-
).