les choix de Marie

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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Supprimé

les choix de Marie

Message par Supprimé »

Bien voilà un ancien récit, quelques fautes....Ben ça c'est ma signature, va falloir faire avec :sweet:

Il n'est pas aussi chaud que les autres ici mais, peut-être, vous plairas-t-il !!
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

LES CHOIX DE MARIE
******************


Oh la là je suis en retard, bon vite une douche, épilation ça va, le maillot aussi super j'y vais il est bientôt 22 heures, je vais me faire incendier qu'elle poisse, mais de toute façon y a d'autres filles elles passeront avant moi et voilà, on ne va pas se prendre la tête pour si peu.

-"Salut patron" passant en coup de vents devant le boss.

- "Salut Marie, encore en retard bon, dépêche toi, c'est ton tour dans 15 minutes".

-"J'y vole patron" je suis déjà au fond du couloir qui mène aux loges du club "les gambettes."

Il est beau mon chef, mais bon ça ne m'intéresse pas, il goutte à tous les minous qui passent sous sa langue, je ne veux pas être le n° chiffre inconnu, il y en a trop il ne peut plus les compter trop gourmand le monsieur..

- " ET MAINTENANT MARIE ! APPLAUDISSE LA "

La lumière s'allume et moi je suis là vêtu de ma tenue de scène aujourd'hui la diablesse.
La musique tourne et j'en fais de même autour de mon piquer, je me tortille glisse le long du mat, lèche son fer froid, le serre le prend entre mes cuisses l'encercle le fais glisser entre mes seins, tourne autour, enlève mon haut de diablesse, retire ma jupe de friponne et la lance sur le bord de la scène. Ils sont là tirant la langue les yeux exorbités, les billets à la main prêt à les glisser dans mon string a ils me dégoûtent ces porcs, ils pensent qu'a une chose me mettre dans leur lit. Pouah !!! Même pas en rêve, alors là ce mec n'est pas encore né, moi fini je ne veux que des puceaux, attention majeure je fais attention aux lois, les autres ras-le-bol, j'ai déjà donné.

C’est "Oh marie, je t'aime, tu verras je sais faire l'amour comme un dieu, je suis le meilleur" et que je t'en dis et que je t'en raconte, là stop je change de gibier.

-"Le soutif marie !! Le soutif marie !! Et la culotte !! Et la culotte !!"

Oh la, la !! Ça vient ils ne vont pas tarder d'éjaculer dans leurs futals et leurs femmes qui attendent à la maison les pauvres, j'espère qu'elles s'amusent aussi en attendant que pépère rentre enfin soulagé de quelques billets.

"Ah oui je ne vous ai pas dit, moi c'est Marie 27 ans et je suis stripteaseuse, je fais 1 m 70,
Longues et fines évidemment dans ce métier c'est préférable, je suis blonde, yeux verts, des fesses à damné un curé et des seins ferme et droit, la créature de rêve quoi !!! Mais bon avec un corps pareil les hommes veulent qu'une chose, me sauter. Mes copines sont moins belles, mais au moins elles sont heureuses mariées et ont des gosses. Moi, rien que des mecs qui courent après mes fesses et quand ils ont eu ce qu'ils veulent, ils se tirent.

Oh tient ! Tient ! Tient ! Celui-là, je ne le connais pas, je vais lui balancer mon string, il ne bouge pas, rougie, chic j'en ai un, bon quels âges 20 ans 22 tous au plus.

Alors, lui il est pour moi.
Invité

Re: les choix de Marie

Message par Invité »

Youhouuuuuuuuuuuuuu je m'installe
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Salut toi !!

j'espère qu'il te plaira
DeLsEp9

Re: les choix de Marie

Message par DeLsEp9 »

Mclm a écrit :Bien voilà un ancien récit, quelques fautes....Ben ça c'est ma signature, va falloir faire avec :sweet:

Il n'est pas aussi chaud que les autres ici mais, peut-être, vous plairas-t-il !!


Il est comme toi


tendre à souhait
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Miam !! ce soir je ne rentre pas bredouille, tu vois avec les puceaux la différence est incroyable, ils sont tendres, vous caresses, vous embrasses, ils ne sont pas pressés car ils ne savent pas comment faire, ils attendent tes ordres, tes conseilles donc ils font attention a toi, il ne viennent pas que pour se décharger, mais pour apprendre et ensuite courir les filles sans honte de ne pas, avoir encore couché.
Ça commence toujours comme ça :

-"Viens on va dans ma chambre, n'ai pas peur je ne vais pas te manger, si tu veux faire l'amour suis moi sinon va voir ailleurs"

-"Non Madame, je n’ai pas peur, mais je ne sais pas comment faire, j'ai lu des bouquins et vus des films X. Mais le faire c'est autre chose, en plus vous êtes si belle"

Si belle et si seule devrait-il dire, bon on monte enfin, là je pose mon chemisier, ma jupe me retrouve en petite tenu cette fois-là j'avais une guêpière, le pauvre ce n’est pas facile à ôter, je le plaint mais bon c'est la vie, comme ça la prochaine fois il sera tous de suite. Prend une capote dans ma table de nuit et lui sourit, celui-là a 20 ans tous rond l'âge m'indiffère totalement du moment qu'il me plaît c'est l'essentiel.

.
-"Viens approche"


Il vient me prend dans ces bras, commence à me caresser les fesses, essaie de m'embrasser, je recule.

-"Non, tout ce que tu veux mais on ne m'embrasse pas, ça, je le garde pour l'homme que j'aimerais profondément vois-tu !"

-"D’accord"

Il continue de me caresser (ça les puceaux ils aiment ce n'est pas difficile et ils se disent tiens le reste viendra tous seul).
Je lui retire son tee-shirt, l'embrasse en glissant le long de son torse, défait son pantalon descend son caleçon et voilà l'instrument pas très fier, mais pas mal ma fois, je le prends, la caresse doucement la malaxe encore plus fort l'embrasse le suce et madame fait la belle, je me relève lui est rouge écarlate qu'il est mignon un grand gars musclé a souhait, brun, yeux bleu, lui il va faire craquer les filles, déjà, moi je fonds. le prend par la main et le conduit sur le lit, il s'encanaille le coquin, cherche à défaire ma guêpière (ah oui pas facile, je sais) je l'aide quand enfin je suis nue il me regarde, sourit, caresse ce qui n’a jamais vue de prêt. Et là s'enhardisse toujours dans le feu de l'action il se jette à l'eau embrasse ma poitrine, la mordille, descend le long de mon corps et cherche le goût de mon minou.

-"C’est bien continu tu es sur le bon chemin, prends ton temps, ne te presse jamais, la fille est toujours plus longue à comparer d'un homme alors si tu veux que ça lui plaise va en douceur, oouuui comme ça t'a compris, oooh t'es sûr de n'avoir jamais fait ça ? "

Alors lui, j'en reste baba, iil a compris tous de suite, comment il fallait si prendre, et lorsque enfin, il me pénétra alors là j'envie sa copine, maintenant pas de problème il pourra la satisfaire.

-"Marie choisie en un !! Allez Marie choisie en un !! Crie les hommes de la salle.

Allez j'y vais, je suce mon doigt le passe entre mes seins et le tend vers le bel inconnu, aperçu auparavant, il rougit de plus belle.

La foule se tourne vers lui,
-"Vas-y ! Vas y !!!" crient-ils tous.



Enfin, il se lève, approche de la scène et monte et bien il est grand celui-là au moins 1,80.

-"Comment tu t'appelles"

-"Antoine"

hummm !! Avec un prénom pareil il ne peut que me conquérir, il est pas mal blond, yeux bleu une bouche ouuuh je la veux sur moi celle-là, vivement que je le déshabille il doit être pas mal là dessous !.

-"Allez Marie, Allez Marie !!!"

-"Apporter la chaise"

Fleur, me l'apporte elle ne porte qu'un sous-vêtement, me la pose juste devant moi, je le prends par la main et le conduit sur l'assise de la chaise, trop timide ce mec.

-"Musique"

Allez, je m'approche, lui passe les fesses sous le nez, ensuite promène mes seins, sur son corps, me tortille en face de lui et me lèche un doigt le promène entre ma poitrine descend le long de mon ventre contourne mon nombril, et fini a la lisière de mon sexe, m'assoie sur ces genoux. Mince on dirait que ça lui plaît bien.

-"Je te paye un café ensuite ?" lui dis-je doucement.

-"D'accord" me répond-il

Hum pas si timide que ça, ces doigts cherchent à faire une petite visite à mon clito, vicieux le puceau. Je lui tape sur le bout des doigts

-"Pas ici mon mignon, plus tard, attend moi à la sortie des artistes"

Je l'embrasse en le caressant jusqu'à son entre jambe.

"Fait le bander, fait le bander" hurlent-ils tous

Les lumières s'éteignent progressivement, mettant la scène dans l'obscurité.

"Tu peux reprendre ta place mon joli"

"Déjà ?"

"Oui, ici c'est du spectacle rien d'autre"

"Et ce soir ?"

"C'est toujours d'accord, si tu veux"

"OK, je serais là"

Je descends de la scène et me dirige vers ma loge, je me change met mon costume pour l'autre service obligatoire, en effet maintenant service table, toutes les filles on obligatoirement une heure de service à faire pour le bar, ça je n’aime pas, c'est les mains aux fesses, pincement des seins et j'en passe.

Il faut dire que le costume, laisse largement le choix au vicieux, string et soutien-gorge pigeonnant.

"Marie ! Deux bières et que ça saute"

Écoutez-les se marrer cette bande de crétins. Quelle blague idiote, je vous jure ça vole bas.
J’apporte les bières à ces chers messieurs.

"Viens pause ton cul, là sur mes cuisses"

Là il rêve, ça ne fait pas partie du contrat.

"Tu paies et tu mates c'est tous"

"Je mate et je touche, tu crois que vu le prix, je ne pourrais pas mettre mon doigt dans ta chatte ma salope, tu te goures".
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Déjà ses mains courent sur mes fesses, je lui assène une gifle. ces copains se marre lui et vexé, m'attrape par le bras.

"Viens la pétasse"

Il ouvre la fermeture de son pantalon et sort une queue qui bande dure. Il m'oblige à me mettre à genoux et me l'enfonce dans la gorge.

"Suce putain"

Je sers les dents sur son membre, je sens le goût de son sang sur ma langue, Il hurle et me lâche, je me relève et lui crache à la gueule.

"La prochaine fois je te la coupe en deux, connard piger ?

"ok, ok"

Les autres sont morts de rire.

"Laisse là, Arthur, celle-là ce n'est pas une facile, la prochaine fois choisie en une autre, Jessica par exemple elle, elle baise. Marie, non c'est juste pour la danse, tu t'en souviendras la prochaine fois"

Je m'éloigne, rends mon plateau au barman.

"Ça va Marie ?"

"Oui, celui-là, il n'est pas près de recommencer, je te le dis"

"Oui, j'ai vu, j'admire la capacité que tu as à gérer des mecs comme cela".

"Merci Philippe, mais j'en ai marre, je rentre"

"Ok, je t'excuserai auprès du patron, bonne nuit Marie"

"Bonne nuit Philippe et merci pour le patron, je te revaudrais ça"

Quelques vieux, pas méchant, me chope encore le long du chemin qui me conduit enfin vers la sortie des artistes, j'essaie de m'en débarrasser et c'est le garde du corps qui m'aide.

C'est du boulot, il ne faut pas les vexés pour qu'ils reviennent et leur faire comprendre que l'on n'est pas de la marchandise, heureusement il y a Momo le garde du corps il sait y faire celui-là, il te prend dans ses bras au- dessus de la foule et te pose comme une plume dans les loges, je compte plus combien de fois il m'a sauvé les fesses.

Allez mon manteau, je suis partie

-"Salut Marie !"

-"Quoi ? À oui, je t'avais oublié, on va boire un café ?"


-"D’accord c’est pour ça que j'attendais" dit-il en souriant.

-"Ah oui ! Tu es sûr ?" en lui faisant un clin d'œil.

"Alors, tes puceaux ? Et quels âges tu as ?"

-"J'ai 22 ans et non je ne suis pas puceau"

-"Tu rigoles" étonné de m'être trompé, faut dire que ce n'est pas facile de deviner à part la timidité il n'y a pas beaucoup de possibilité de savoir si c'est vrai ou pas.

-"Non, mais si tu veux j'ai quelqu'un pour toi, mon frère"

-"Ah oui ?" Alors, là je n'en reviens pas.


-"C'est pour lui que je suis là, je lui cherche une belle fille et qui connaît la chose"

-"Tu rigoles, tu me prends pour une pute ou quoi ? Tes dingues ?"

-"Non, je me fais du souci, il a 30 ans tu vois le genre, il n'aime que son boulot les filles il s'en fout. Je veux l'aider en s'en sortir, il n'est au courant de rien, pour lui tu seras une amie qui vient en vacances pendant 15 jours.
Il y a une maisonnette pas loin de chez lui, elle appartient à la famille, elle te plaira j'en suis sûr, en plus ça te fera des vacances payer, ne me dit pas que ça ne te plairait pas, un puceau de 30 ans ?. On n'en trouve pas à tous les coins de rue, prend le comme un challenge."

-"Faut que je réfléchisse vient demain matin devant le club, je te donnerais m'a réponse. D'accord, vers huit heures"

-"OK je serais là"

Bon 30 ans il doit être moche.

Je vais rentrer il est tard, je vais y aller à pied ça va me permettre de me détendre un peu et de réfléchir a tout ça, deux kilomètres ce n'est pas la mer à boire.

Et me voilà partie, tout brillent ici, c'est merveilleux et magique. Ah Paris !! C'est beau la nuit, ville lumière c'est son nom et ce n'est pas pour rien.

Voici mon pont préférer, j'y passe tous les jours et jamais ne m'en lasse, Alexandre III, sont architecture est fabuleuse, la Nymphe du sculpteur Georges Récipion et fantastique. La beauté de ce pont me fait oublier mes journées de galère.

Je m'arrête hume l'air de Paris, je ne peux m'empêcher d'admirer cette magnifique ville la nuit, la tour Eiffel au loin brille de mille feux, la seine sous mes pieds, est illuminé par tous les lampadaires. Vraiment j'adore Paris ces théâtres, ces jardins et ne parlons pas, des musées c'est mon dada. Allez je rentre mon petit appartement m'attend, une bonne douche et dodo, encore quelques années dans ce club et je change de boulot ra le bol de montrer mes fesses.


dring dring dring, flûte le réveil, que je suis conne, j'aurais pu rester au lit et voilà que j'ai donné rendez-vous à un mec pour un rencart mais, pour un autre que je ne connais même pas. Il n'y a que moi pour faire des conneries pareilles, bon allez j'y vais il va m'attendre.

Ah ! Il est là. Dommage qu'il ne soit pas puceau celui-là, il est mignon avec cette barbe naissante, est ses cheveux qui frisent sur son front, je lui fais signe.

-"Salut Antoine"

-"Bonjour Marie, alors ça va ce matin, bien dormi tu me sembles un peu fatigué non ? Nuit blanche".

Pouf, ces hommes tout de suite il ne pense qu'à ça !

-"Non, mais d'habitude quand je ne bosse pas, je reste au lit jusqu'à midi, ça me permet de récupérer, mais aujourd'hui, il fallait bien que je sois présente, à notre rendez-vous non ?"

-"Oui ! Oui ! Alors, tu as décidé quoi, pour mon frère ?"

Impatient, il me prie le bras et nous arpentons le trottoir juste devant les gambettes

-"Je ne sais pas, il est moche ou quoi ?"
Me tournant vers lui pour voir son expression

-"Non pas du tout, il plaît aux femmes, mais lui, n'est pas intéressé"

En haussant les épaules.

-"Ah bon ! Je ne comprends pas, quel boulot fait-il ?"

-"Il est chercheur dans l'aéronautique"

-"Quoi une grosse tête, je n'ai aucune chance alors, je ne fais pas le poids"

-"Pourquoi tu te trouves idiote," me dit-il en riant

-"Non mais quand même un chercheur"

-"Essaye de toute façon si ça ne passe pas entre vous, tu auras eu des vacances payer et ces tout, tu ne perds rien"

il regarde au loin, avec un petit air déçu d'un enfant qui ne peut avoir ce qu'il désire.

-" Oui t'a raison, d'accord, combien tu payes ?"

-" 1 000 euros la semaine et mille euros de plus si tu réussis" Il me jette un regard moqueur
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

-"Wouah t'est riche ma parole, bon j'ai besoin de pognon, ça marche, quand faut-il que j'y sois ?"

-"Mercredi, ça te fait cinq jours pour tout préparer, je te prends au train, gare de Richelieu

-"OK, à mercredi alors !

Et voilà les jeux son fait, je me suis embarquée dans une drôle d'affaire, un gamin de 20 ans puceau ça va mais, là 30 ans je me demande comment je vais faire, en plus super-intelligent alors là, je ne suis pas rassurée, bon on verra bien, de toute façon comme il dit je ne perds rien.

Allez j'ai plein de choses à faire avant mercredi je commence tous de suite d'abord le patron il ne va pas être content tant pis pour lui, ensuite quelques achats je n'ai plus rien à me mettre, l'esthéticienne, la coiffeuse, manucure, après, on verra.........



Ma valise vite ! Le train s'arrête c'est bien la bonne gare ?

Oui ça va, elle est jolie ancienne et petite elle sent le bois la fumée des locomotives, on est plusieurs à descendre, tiens cette fille est pas mal.

Le quai, ce vide rapidement, je sors le village est mignon et très fleuri, j'espère pouvoir le visiter pendant mon séjour.

-" AH Antoine"

Il s'approche et m'embrasse.

-"Eh bien Antoine on embrasse les inconnues maintenant"

Dit la belle fille en souriant

-"Elsa !! Que fait tu là"

Se précipitant vers elles et moi alors on me laisse en plan sympa.

-"Je vais rendre visite à ton frère, cela fait 10 ans que je ne l'ai vu et je veux savoir comment il va mon petit chéri"

-"Tu te rends compte ça va être un choc pour lui, tu parles, tu la plantés comme une vielle valise là sur le quai de cette gare, il a mis longtemps à s'en remettre tu sais"

-"Tant mieux, il ne m'a sûrement pas oublié alors" dit t'elle espiègle

-"Je veux le reconquérir"

Dit-elle en lui faisant un clin d'œil coquin

-"Et toi t'es devenue mignon, dit donc, elle, c'est ta fiancé"

En me montrant du doigt.

-"Non tu rigoles, pas elle, c'est une amie elle vient en vacances pour 15 jours.

Tu rigoles ça veut dire quoi je ne suis pas assez bien pour lui peut-être et bien ça commence fort et cette gonzesse qui me regarde de haut, je ne lui ai rien demandé mais, si elle veut le frangin, je crois que mes vacances finissent aujourd'hui tant pis je rentre à Paris et c'est tout.

-"Tu viens Marie, je te conduis aussi Elsa, tu veux que je te dépose, chez toi peut être ?"

-"Non, mon père vient me chercher il est un peu en retard c'est tous, à plus tard"

Elle tourne les talons, je la regarde s'éloigner une belle plante cette fille, grande rousse des cheveux descendant à la taille, des yeux verts comme j'en ai jamais vu, à côter je fais toute fade moi.

-"Elle est belle, hein ? C'était la fiancée de mon frère et au moment de ce marié, elle est partie, elle voulait parcourir le monde".

-"D'accord ! Donc moi je peux rentrer maintenant, tu n'as plus besoin de moi, elle va s'en occuper gentiment ton Elsa".

-"Elle va essayer c'est sûr, mais je préfère que tu sois là pour lui au cas où"

-"Attend ça veut dire quoi ça, au cas où ?"

-"Ce que je veux dire, c'est peut-être toi qu'il choisira, plutôt qu'elle, je la connais elle va essayer mais, si ça marche pas elle va repartir et il faudra tous recommencer. Donc je préfère que tu restes ici, de toute façon si rien ne se passe entre toi et mon frère tu seras payée quand même et toi ça te fera du bien loin de Paris et de sa folie non ?"

-"Oui ta raison, mais bon j'ai l'impression d'être une pute à qui l'on donne du boulot de luxe"

-"Non c'est un service que tu rends à mon frère et faire l'amour il y a plus désagréable en plus quand tu le verras il te plaira j'en suis sûr"

Il roulait depuis un long moment, les champs s'étaler à perte de vue, ils étaient de toutes couleurs, on dirait un patchwork c'est vraiment très beau et reposant dans quelques parcelles de terre des chevaux s'ébrouait et on apercevait la lisière de la forêt tous au fond. Le parfum de l'herbe mouillée chatouillée mes narines, l'air vivifiant de cette campagne française m'étourdissait.

-"C'est agréable ça me change de la fumée des voitures et de la pollution de Paris"

-"C'est vrai tous ici respire le calme et la liberté"


Enfin on arrive, il entre dans une cour privatisé, franchie des barrières blanches et elle apparaît ma nouvelle demeure pour une petite quinzaine, elle est belle toute de bois un grand auvent avec table et chaises en rondin, un hamac. Oh je sens qu'il m'attire déjà pour de longues siestes, le jardin est plein de fleurs, d'aromates, c'est agréable et beau.

-"Vient je vais te faire visiter"

Je le suis, la maison ouvre directement sur le jardin, la pièce principale est une grande cuisine salon avec une énorme cheminer de pierre, elle doit bien avoir deux cents ans au moins. De grands fauteuils de couleur rouge et un tapis beige, l'encercle, à droite une grande table de chêne et deux immense bancs, dig dig oh super une ancienne horloge frappe les minutes, un grand buffet, complète cette pièce et là à gauche la cuisine toute équiper, je vais faire de ces dîner j'adore cuisiner. Peut-être, trouverais-je, des amis ici, pour leur faire goûter mes mets

-"Viens continuons"
Il me prend par la main et je le suis curieuse de découvrir la suite, une salle de bain magnifique et la chambre toute tendue de parme le lit à baldaquin et tellement grand que je vais m'y perdre, un fauteuil près de la cheminée me temps déjà les bras, je me vois ici avec un bon bouquin me faisant chauffer les pieds.

-"Alors ?"

-"Super, vraiment elle est magnifique"

-"C'était le refuge de notre mère, tous à côté de la forêt où elle aimait se balader"

-"J'en prendrais soin, promis"

J'aimerais qu'elle soit à moi, vivre ici éternellement quelle joie ça serait.

-"Antoine, tu es là ?"

Je sursaute. Antoine me sourit et me fait un clin d'œil.

-"Oui dans la chambre, viens, je vais te présenter quelqu'un"

Un pas rapide approche de la chambre mon cœur bat la chamade, mon dieu comment va-t-il être. Je suis sûr que c'est son frère, la voix est puissante et grave. Il apparaît à la porte, j'ai le cœur qui bat plus vite encore. Plus grand que son frère, mais aussi brun que lui est blond, des yeux bleus magnifique et un teint mat, un corps de dieu grec, mon dieu qu'il est beau, il m'examine de la tête au pied et sourit

-"C'est ta nouvelle copine"

-"Non, c'est une amie, elle vient passer quelques jours à la campagne"

-"C'est ça ! Toute celle que tu amènes ici tu les sautes, alors a d'autre, désoler mademoiselle mais c'est le lot de toutes celles, qui on passait cette porte"

Je rougis, non il ne pouvait pas être puceau, un homme comme celui-là devait avoir toutes les femmes à ses genoux, alors il a peut-être raison c'est un subterfuge pour m'amener ici et me baiser, non n'importe quoi il aurait pu le faire à Paris il lui suffisait de me dire que c'était sa première fois et je partais pour une longue chevauché.
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

-"Bon tu viens à la maison Antoine, il faut que je te parle"

-"D'accord je donne les clés à Marie et je te suis"

-"Marie"

En me regardant dans les yeux.

-"Joli prénom"

Il me trouble j'avais l'impression d'être la pucelle de service voilà que les rôles étaient inversés.

-"Dit moi, Mathieu, à la gare on a rencontré Elsa, elle veut te voir"

Lui dit son frère

-"Quoi, qu'elle ne se présente jamais à la maison, je ne veux plus la voir, toutes les mêmes ses femmes, il faut toujours faire leurs quatre volontés, elle est partie, qu'elle ne m'approche pas, tu lui diras"

Il tourne les talons et disparu dans les bois.

-"Et bien, ça, c'était à parier, bon il va se calmer marché dans la forêt la toujours apaiser, ensuite il réfléchira"

Je ne pouvais m'empêcher de le suivre du regard. Il a une démarche de félin, il respire la sensualité, j'en avais des frissons, je l'imagine déjà me serrant dans ses bras.

-"Alors, il te plaît le frangin, mignon, caractère pas facile, mais il a bon cœur. Je te laisse faire tu trouveras bien une façon de l'approcher" Me dit-il en me faisant un clin d'œil complice.

" Bon je rentre, installe-toi, à demain"

Mes affaires rangées, je visite le petit jardin, il embaume, je me couchais dans le hamac, j'avais retiré mes vêtements de voyage et avais enfilé une petite robe de coton bleu, les lassés du corsage laisse deviner ma poitrine, étendu de tout mon long à l'abri de l'auvent je m'endormais.

-"Mademoiselle ! Mademoiselle Marie réveillait vous, il faut que je vous parle, réveillez-vous" Cette voix au loin je la connaissais il me semble, j'ouvre les yeux, Mathieu il était là devant moi en train de regarder ma poitrine, son regard me caresse de la tête au pied, non gêner par ma présence, que je le voie faire, ne le perturbe pas le moindre du monde.

-"Heu oui qui a-t-il ?"

Je sentais le rouge me montait aux joues.

-"Vous êtes très belle Marie, j'ai un service à vous demander, ce n'est que pour quelques jours, voilà, voulez- vous passer pour ma fiancée"

-"Quoi, mais pourquoi ?"

Dans un sens ça m'arrange je n'aurai pas à faire le premier pas pour l'approcher.

-"Je veux qu' Elsa, comprenne qu'elle n'a aucune chance avec moi et que je suis avec une autre femme que j'aime. Vous !"

-"Je comprends, d'accord, mais elle m'a vue à la gare et je doute que cette fille marche dans votre stratégie.

-"Vous venez avec moi, je vous installe dans ma chambre, pour des fiancés cela se fait, il me semble ?, ensuite je m'occupe d'elle et je vous jure qu'elle ne pourra que le croire"

Il m'aidât, à me redresser, ses mains s'attardent sur ma taille et il les laisse doucement descendre sur mes fesses. Je me recule.

-"Heu oui, mais..."

-"Chut je vous respecterais, ne vous inquiétez pas"

Me dit-il en souriant devant mon air étonner. Je devais être rouge comme les coquelicots du jardin, mais bon sang, j'avais pourtant l'habitude aux hommes, j'en voie tous les soirs des beaux même des mieux que lui, des moches, des gros leurs expressions cavalières m'importe peu, mais lui, me troubler au plus au point.



Dans sa chambre j'aurai tout le loisir de le séduire, non pour le service demander, mais il me plaisait vraiment, puceau ou pas d'ailleurs.

-"Je viens vous chercher dans une demi-heure, faite votre valise et je vous conduis à la maison, d'ailleurs on se tutoie dès maintenant d'accord ma jolie Marie"

Il me sourit, mais ses yeux son froid comme un lac en hivers. Je recommençais à faire mes valises, fit un tour de la maison en soupirant, mais bon j'avais un boulot à faire.

La valise à la main j'attendais.

À enfin, seulement un peu en retard une demi-heure, pas ponctuelle ce monsieur.

"Excuse-moi Marie, un problème au boulot"

Il sort prend ma valise, ouvre la portière et me fait monter.

"J'aurais pu y aller à pied"

"Pourquoi ? Vu que je passais devant la maison et comme ça, on peut parler un peu"

"De quoi ?"

"Que faites-vous, dans la vie ?"

Flûte, ça commence bien.

"Je suis étudiante"

"À oui ? En quoi ?"

"Médecine spécialisation enfants"

"Futur Toubib alors, intéressant j'aime les femmes qui font carrière"

Je rougissais

"Et vous," Je le savais déjà mais bon, il fallait donner le change

"l'aéronautique, je suis chercheur"

"Eh bien, il doit y avoir plein de secret autour de vous ?"

"Autour de TOI chérie, oublie pas on se tutoie"

"Oui, autour de toi, je n'oublierais plus"

"Oui beaucoup de secret, tu n'es pas trop curieuse j'espère ?"

"Non, non"

Un peu quand même, mais ce n'est pas le moment.

"On arrive"

La bâtisse est immense et sombre, je ne l'aime pas. Je comprends leur mère qui aimait la maison dans la forêt

L'entrée était aussi grande que ma maisonnette au fond des bois, les meubles en chêne, bois du pays, assombrissait et laisser planer un malaise qui me pénétrait a fur et à mesure que j'avance. Il me conduisit vers l'escalier, il est immense.

Je ne compte pas les marches, mais il y en avait ! Tu montes deux fois t'a fait ton sport pour la journée.

Il s'amuse à énumérer toutes les pièces de son palais. Il y a dix chambres, un salon, une cuisine et salle a mangé, bien sûr salle de bain. Tout ce qui est ici m'appartient"

Me dit-il en me regardant sourire aux lèvres des frissons me parcourait, parle-t-il pour moi aussi, non je suis qu'un pion dans son jeu, de plus moi aussi je tissais ma toile autour de lui.

La chambre est immense, un grand lit majestueux faisait face à la fenêtre ouverte sur un jardin grandiose où les arbres bien aligner semblait être tous au garde-à-vous, des parterres de fleurs illuminées une pelouse fraîchement tondu, je me retourne, il me souriait, sa main prie la mienne et me conduisit vers une des deux armoires, il l'ouvrit, elle est complètement vide.

-"C'est pour toi range tes affaires ici, après nous iront dîner, il se fait tard et tu dois être fatigué avec ce voyage"

Il me sourit gentiment se retira et me laissa seule.
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

La salle a mangé familiale, grande évidemment je me sens perdu, il s'installe près de moi, son frère en face, me regarde en souriant et me fait un clin d'oeil. Qui, voilà la rouquine invitée par Antoine, Mathieu devient rouge de rage, elle tranquille s'installe juste en face de lui et me regarde d'un air insolent.

Le repas commence, soufflet d'asperges aux fromages, vraiment délicieux je le mange avec délice, personne ne parle tout le monde espionnes l'autre, cailles rôti avec garniture forestière accompagnée de pommes de terre sautées, vraiment il faut féliciter le chef c'est un as celui-là, j'apprécie, les autres chipote la rouquine ne mange rien, le fromage fait son entrée et le dessert suit une charlotte aux framboises, quand...

-"J'ai une grande nouvelle, à vous annoncer Marie et moi, nous nous sommes fiancés. Nous avons eu le coup-de- foudre et nous ne pouvons-nous passer l'un de l'autre. Le mariage sera donc dans quelques mois, nous n'avons pas encore décidé de la date."

Lance Mathieu fière de lui et du choc qu'il procure à l'assemblée, son frère me jette des regards furieux, la belle voudrait me poignarder et moi je suis très mal à l'aise j'ai failli en plus m'étouffer avec une framboise. Il me prend la main et glisse à mon doigt une magnifique bague or et diamant.

"Je ne te remercierais jamais assez petit frère de m'avoir présenté cette beauté, je suis désolé de te la souffler, mais c'est la femme de ma vie".

Il se tourne vers moi, tient toujours ma main dans la sienne.

-"Elle a appartenu à ma mère et seule la femme que j'aime peu la porter, toi mon amour"

Je deviens cramoisie, mon coeur tape de plus en plus fort dans ma poitrine, il me prend dans ses bras et m'embrasse avec fougue, néanmoins il me fait mal, mais je ne dis rien il faut jouer le jeu ? Mais je trouve qu'il devient de plus en plus dangereux pour moi. Cet homme m'attire et ça me fait peur.

Le repas ce fini, dans le silence complet, Mathieu passe son temps à m'embrasser plus tendrement j'aime mieux ça, il me caresse la joue, met sa main sur ma cuisse et la serre fortement, je le laisse faire, mais pour un puceau il a une approche plutôt viril

-"Viens on monte chérie, je veux rester seule avec toi, on à pleins de choses à faire"

En me déposant un baiser léger dans le cou.

-"Attend Mathieu". Lance Elsa, c'est yeux sont remplis de larmes.
-"Tu ne peux pas m'avoir oubliée comme ça, surtout pour une fille comme elle, rien qu'une fille facile".

-"Tait toi"

Hurle Antoine

"Il faut que je te parle, viens partons laissons les maintenant, bonne nuit les amoureux"

Ils partent, Antoine la pousse vers la porte, Mathieu me regarde il essaye de voir en moi, fronce les sourcils, me prend par la taille et me conduit à la chambre, ferme derrière nous.

-"Que voulait-elle dire par femme facile ?"

-"Je ne sais pas,"

Je me retourne faisant semblant d'aller à la salle de bain, extrêmement mal à l'aise.

-"Attend viens là"

Me dit-il en me prenant le bras ? C'est yeux me scrute.

-"Elle n'a pas dit cela hasard, je la connais, elle ne s'avance jamais sans raison"

Il était furieux, mais je ne vois pas pourquoi ?

Je ne suis rien pour lui qu'une excuse pour ne pas avoir à parler à son ancienne Julie alors pourquoi cette colère ?.

-"Elle pense ce qu'elle veut je m'en fiche, je vais prendre un bain, je suis crevée, bonne nuit, à oui ! Je dors où moi ?"

-"Ici dans mon lit, près de moi, ça te fait peur ? Il riait devant mon air déconfit

-"Rassure-toi, je ne te toucherai pas, ces au cas où les serviteurs rentreraient, ça la ficherait mal, si je dormais dans le fauteuil et toi dans mon lit, vu que nous sommes fiancés non ?"

Me dit-il en me fessant un clin d'oeil.

-"Allez dépêche toi, je te chauffe la place, tu vas être bien contre moi je te l'assure ma bichette aux yeux doux"

Il souriait fier de lui.

Ma bichette aux yeux doux, je t'en ficherai moi, puceau mon oeil, je ne peux le croire trop à l'aise avec les femmes se monsieur, mais bon je reste dans le doute ? Il me plaît tant.
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Il a quand même 30 ans et plus mature que les jeunes de Paris, tant pis on verra bien, vite un bon bain je vais rester le plus longtemps possible dans l'espoir qu'il se soit endormi quand je me coucherais, pour l'instant je veux tâter le terrain, je ne veux pas me faire avoir les hommes ra bol de leur baratin.

Ah je suis bien, ça détend, entre le voyage et tout ce qui s'est passé, depuis ce matin je n'en peux plus, bon ça fait bien 20 mm que je suis là, il dort peut être.


maintenant, allez encore dix minutes faut être sûr, je ferme les yeux et je ne pense plus.

Ce bain m'a fait un bien fou, il n'y a rien de mieux, j'enfile ma chemise de nuit et une robe de chambre, me mets un coup de brosse, me lave les dents et entre dans la chambre, la lumière est tamisée, il dort tant mieux, je n'ai pas envie de m'allonger près de lui, un fauteuil me tend les bras, je me blottis dans ses coussins moelleux, surveille encore s'il ne fait pas semblant de dormir, relève la couverture que j'ai prise sur le lit et ferme les yeux.

Je m'endors rassurer il ne bouge pas et si les domestiques rentre tant pis, je ne veux pas le sentir près de moi, il me faut le temps de m'habituer à lui, je ne suis pas à l'aise. Et cette rouquine qui lui tourne autour peut être que c'est elle qui choisira.

Le soleil m'éblouit, j'immerge, de mon sommeil réparateur, je m'étends de tout mon long pour remettre mon corps en mouvement, mais je ne suis plus dans le fauteuil, ?
je me retourne sur le côté, il me regarde souriant.

"Mais...

"Et oui, je t'ai transporté dans mon lit, tu dormais si profondément que cela ne t'a même pas réveillé, tu es si belle quand tu dors je n'ai pas pu m'empêcher de te regarder toutes la nuit".

Je me lève, prends ma robe de chambre et me dirige vers la salle de bain, je veux me cacher pour qu'il arrête de me regarder, comme si j'étais un sucre d'orge que l'on croque sans demander la permission.

"Attend, parlons et déjeunons on va nous monter une collation, jus d'orange café croissant ou autres choses si tu le désires. Vient près de moi, tu ne risques rien, je ne t'ai pas violé cette nuit et pourtant ce n'est pas l'envie qui m'en a manqué.

C'est bien ce que je me disais, il est sûrement pas puceau celui là, en me rapprochant de lui.
Il y avait une petite terrasse que je n'avais pas vue la veille, une table était dressée on pouvait admirer le parc et à cette heure matinale il sentait bon l'herbe humide, la brise matinale apportait à mes narines le doux parfum d'un printemps qui s'annonçait merveilleux, le chant des oiseaux nous faisais entendre la douce mélodie de leurs amours, je m'assois en face de lui, mais mon regard continuer de détailler ce paysage magnifique au loin on apercevait la forêt et ma petite maisonnette où je n'avais pas eu le temps de dormir, j'aurais bien voulu m'y réfugier je sentais son regard me parcourir, j'en avais des frissons et je n'osais le fixer, moi aussi.

On frappe

"Entrez"

L'odeur du café emplie la chambre, j'adore ce parfum le matin il met tous mes sens en éveille, cela me fait penser au petit noir dans les cafés de Paris, ou sur la terrasse on sirote tranquillement en regardant les gens pressées qui se bouscule pour gagner cinq minutes, c'est ce que j'aime dans mon métier pouvoir profiter de ma journée pour flâner tranquillement sans avoir a regardé ma montre, j'ai le temps je ne prends qu'à 22 heures.
Il nous pose les tasses, les croissants croustillants de ce matin et le jus d'orange au centre de la table, Se recule comme pour admirer son oeuvre.

"Bonne journée, Madame, Monsieur"

"Merci" lui répondit je lui faisais mon plus beau sourire. Il devait bien avoir une bonne cinquantaine, un peu rondouillard, mais pas trop, une figure amicale et souriante, des yeux noirs, il me plaît, je le trouvais sympathique.

"Je te sers Marie, un café ?"

"Oui, merci"

Il me tend une tasse pleine de ce breuvage noir, mes doigts touchent les siens, nos yeux se rencontrent, il me prend le poignet et m'attire vers lui, juste au-dessus de notre petit-déjeuner, il m'embrasse s'en me lâcher. contourne la table et me prend dans ses bras, son baiser et tendre je me laisse faire, mais ne faut-il pas attendre encore ? Il me relâche je suis toute étourdie.

"Marie, déjeunons ensuite nous irons faire un tour en ville"

"Je veux bien"

Le café me fait du bien et le jus d'orange très frais et délicieux.

Toute la journée, il me fit visiter les alentours de son domaine et ainsi que le petit village attenant.
Il était de pierre ancienne la plupart des maisons avait des petits balcons de bois tous portait de grands pots remplis de fleurs, il me faisait penser au village que l'on voit à la télé dans les films de cap et d'épée, mais les fleurs en plus.
Ses rues aussi très ancienne toute pavé avec des rigoles sur les côtés, vraiment il était romantique a souhait.

Mathieu prenait le temps de m'expliquer le rôle de chaque établissement à l'époque où il servait encore, maintenant la plupart servait de résidence secondaire à de riches vacanciers mais à l'extérieur les enseignes d'antan était toujours présente.
À midi, il me conduit dans un petit restaurant, truite aux amandes, fromage du pays et glace au citron c'était fabuleux, nous nous sommes bien amusés, il était temps de rentrer. La nuit s'annoncer nous montons directement dans la chambre exténuer, mais heureux de notre belle journée, les jours qui suivirent fur tous exceptionnels et jamais il ne tenta de me prendre autre chose que des baisers, je ne pouvais plus me passer de lui, de son côté il me semblait que je lui plais beaucoup aussi, j'étais heureuse Paris me semblait si loin, j'aimerais tant rester là près de lui.
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Son frère devenait de plus en plus distant avec moi, j'avais vu Mathieu lui parler. Son frère, c'était mis en colère, mais je ne savais pas pourquoi, toujours que depuis il me regardait méchamment et ne m'adressait plus la parole.

J'avais essayé plusieurs fois d'en parler a Mathieu, mais lui me répondait" laisse faire ça lui passera", mais moi j'avais peur qu'il parle de notre affaire d'une semaine auparavant. Je ne voulais pas le perdre, il faut qu'il me connaisse mieux pour que je puisse lui expliquer ;

Oui je crois que je l'aimais jamais je n'avais ressenti cela, mon coeur dansait à chaque fois qu'il apparaissait, je me sentais si légère lorsqu'il me parlait et m'embrassait.

Ce soir-là, dans notre chambre, je me dirigeais directement dans la salle de bain, nous avions parcouru une bonne partie de la forêt avec ces chiens et j'étais épuisée un bon bain me fera du bien.

Étendu, là les yeux fermés, je profitais de la douceur de la mousse, je n'avais pas fermé la porte à clé, jusque-là jamais il n'était rentré c'est donc tranquille que je me prélassée dans les bulles odorantes.

-"Un petit massage Mademoiselle ma fiancée" posant les mains sur mes épaules heureusement la mousse cache ma nudité, il glisse ses mains jusqu'à mes seins les enfermes dans ses grandes mains.

-"Je ne sais, si ça vous est agréable belle demoiselle, mais pour moi ça l'ai"

Il se penche et me renverse la tête en arrière m'embrasse avec passion cette fois, c'est très agréable mon corps est parcouru de mille coups d'électricité, il me relâche reprend ma poitrine dans ses mains viriles, les caresses là sous la mousse de chèvrefeuille, me prend sous les bras et me met debout la mousse glisse sur mon corps, lui s'amuse a soufflé dessus, tout mon corps tremble non de froid, mais de plaisir.

Il me prend dans ses bras me pose sur le tapis de la salle d'eau prend une serviette et se mit à m'essuyer doucement, en caressant continuellement mes seins qui pointent orgueilleusement, il descend faire connaissance avec cet endroit féminin normalement inconnu de lui. Ses doigts cherchent l'ouverture du plaisir, moi je ne bouge pas, je ne parle pas, je suis étonnée de sa façon de faire, rien en lui ne laisse deviner que c'est la première fois.

Il me porte jusqu'au lit me dépose avec douceur, les draps sont doux sur ma peau humide, l'odeur du chèvrefeuille courre dans la chambre, je le regarde faire, moi qui d'habitude explique comme ils doivent si prendre là rien il se déshabille tous en me contemplant, souriant, il s'approche s'assoie sur le bord du lit laisse courir sa main sur mon corps offert, cherche les points qui peuvent me contenter, s'allonge à côté de moi et me regarde. Ses yeux me caresser et ça me fait rougir.

-"J'ai envie de toi, belle Marie, je veux que tu te laisses faire, non, ne fait rien, reste comme cela, ça me plaît de te prendre sans concession d'accord ?

-"Mais..." il ne me laisse pas finir

-"Chut, laisse-moi faire si te plaît, je veux apprendre tous ton corps, le parcourir de ma bouche, de ma langue, te prendre comme je le désire, tu apprécieras j'en suis sûr"

Je le laisse faire, il m'attire ses yeux me dévore, sa bouche me parcoure, il me donne des délices que je n'avais jamais ressentis jusqu'à ce jour, sa langue cherche dans mon intimité j'essaye de le caresser, mais il retire mes mains, les tiens éloigner de lui, je ne comprends pas il veut absolument tous faire et moi rien du tout bizarre ce mec, en principe ils adorent que l'on suce, aspire leurs membres raidis, le parcours de la bouche sur leurs torses virils, bon laissons faire je verrais par la suite.

Je sens mon corps se soulever a chaque baiser, je n'en peu plus, qu'il vient en moi maintenant, mais je n'ose lui demander, il remonte vers ma poitrine, cherche ma bouche m'embrasse avec fougue et me prend en même temps, je ne peux plus respirer j'ai l'impression que son baiser veut me manger entièrement pendant que son sexe tape fort en moi, il me fait mal par moments, mais je ne peux arriver à me défendre, contre ce corps qui me possède avec tant de force, je le sens de plus en plus loin dans mon ventre, il ne me lâche pas et tout mon corps répond je me sens partir, que c'est bon il me désire et moi aussi et voilà le ciel s'ouvre pour nous je l'écoute gémir de plaisir et se retrouve couché à côter de moi, me regarde souriant enfin libre d'avoir eu du plaisir, se retourne et s'endort contre moi.
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Le soleil caresse nos corps fatigués, appuyait sur mon coude je le regarde dormir, je l'aime, moi qui ne croyais pas au coup-de-foudre il m'avait totalement foudroyé dès le premier regard, lui avait l'air aussi attirer comme je l'étais, mais Elsa devait toujours être présente dans son coeur, on ne pouvait oublier une créature comme celle-là, je n'étais sans doute qu'un passe-temps agréable, profitons alors de cet instant inoubliable.

Ma main caresse son ventre il ouvre les yeux, me sourit, mon coeur chavire

-"Bonjour petite coquine" me dit-il en n'embrassant tendrement

-"Je vais prendre un bain" lui dit je

Il se lève me prend dans ses bras, ouvre la porte de la douche, me dépose dans le bac, me suit et referme derrière lui.

-"Que fait tu ?"

-"Tu verras"

Il ouvre la pomme de douche, l'eau délicieuse coule le long de nos corps, il prend un gant met une noisette de savon, il commence par un bras continu avec l'autre, me lave la poitrine doucement, le ventre ça m''excite dangereusement descend encore et toujours, cherche mon plaisir, je l'embrasse, caresse son sexe, le prend en bouche et la fait grossir de plus en plus, il se cambre fait grincer les parois de la douche avec les paumes de ses mains, son corps et coller aux parois, les bras en croix, je suis là à ses pieds, le masturbe comme je sais si bien le faire.

-"Oh Marie, j'aimerais que tu sois la seule et unique, épouse-moi, je t'aime"

Ces mots me rende folle de désir, alors lui aussi avait eu le coup-de-foudre, mon coeur n'en pouvait plus, je sentais son plaisir qui montait il me releva, me tourna et me caressa le dos, descendit sur mes fesses, ses doigts entrent en moi,

mon corps est déjà chaud, il n'attend que sa visite, n'en pouvant plus je me mets à genoux et le prie de me rendre heureuse, il ne se fait pas prier son membre généreux trouve le chemin sans difficulté et la dans l'aquarium de la douche il me fait l'amour encore et encore. Nous ressortons joyeux et heureux de nos ébats amoureux, je me sèche les cheveux tandis que lui part dans la chambre se changer, après avoir mis une touche de maquillage entourée d'une grande serviette moelleuse, je sors aussi.

Là dans la chambre ils sont tous les deux assis sur le lit, attendant que je sorte, Antoine souriant, Mathieu lui avait l'air hors de lui, il serre les dents, ses yeux me regardaient méchamment, je m'arrêtai net, que se passe-t-il, ai-je dis ou fait quelque chose qu'il ne fallait pas ? Oh mon dieu son frère a dû lui raconter notre petite combine j'en suis sûr, je baisse les yeux attendant, que sa colère se déverse sur moi.


-"Elsa avait raison, une fille facile, t'a pris ton pied au moins soit contente tu as gagné tes 1 000 euros supplémentaires, le travail est fait, un de plus à marquer dans ton calepin, fait ta valise, prend ton pognon et fout le quand dès maintenant, je te donnerais 500 euros en plus pour les coups sous la douche c'est à peu près le prix du passe non ? Si c'est plus dit le je ne voudrais pas te priver de ton gagne-pain"

Je ne répondais pas, il avait raison, de la façon dont cela avait commencé, mais ensuite je m'étais donné à lui entièrement, car je l'aimais, mais il ne pouvait comprendre pour lui ce n'était qu'un complot. Comment lui expliquer Antoine riait.

-"Tu crois peut-être que je t'aurais laissé épouser mon frère, alors que tu sors des bas-fonds de Paris, en plus le métier que tu fais montrer ton cul à toute la ville, te faire peloter à longueur de soirée et emporter dans ton antre tous les puceaux parisiens"

il se lève arrache ma serviette.

-"Tiens là ! C'est ta tenue habituelle il me semble, pourquoi te cacher, la plupart des hommes t'ont vu à poils non ? "

Il riait à gorge déployer

Mathieu le tira par le bras.

-"Laisse là, toi habille toi et vas tant"

-"Mais laisse-moi t'expliquer Mathieu"

-"Non, il n'y a plus rien à dire" me dit-il menaçant

À ce moment Elsa entre.

-"C'est quoi ce bruit ? Cela résonne dans toute la maison"

Elle m'aperçoit nue comme un vers.

-"Ben quoi, elle fait un streap-tease ?"

Et elle éclate de rire.

-"Non elle part, je ne veux plus jamais la voir, viens m'embrasser Elsa chérie"

Elle ne se fait pas prier, saute au cou de Mathieu et l'embrasse avec gourmandise.

Je prie ma valise après avoir mis un pantalon et un tee-shirt rapidement en me cachant comme je pouvais.

Et sans me retourner je prie le chemin du retour plus vite que prévue et le coeur brisé. Ils avaient raison je ne suis rien qu'une épave dans la capitale, je venais de le comprendre du fait de préférer les puceaux ne jouait pas en ma faveur mais bon les autres filles ou gars d'ailleurs préférer les blonds ou les ronds etc.,,, pourquoi moi je ne pourrais pas choisir, en attendant me voilà sur la route parcourant le chemin qui me menait à la gare du village.

Une voiture me coupa le passage, il en descendit, une enveloppe à la main.

-"Tient tu as oublié ça ! Prend là c'est ta paye" il me l'a tendit

-"Je n'en veux pas, garde là, au départ c'est vrai, je le faisais pour l'argent et tu étais un challenge, mais quand je t'ai vu j'ai su que je t'aimais."

-"Foutaise, prend et va tant, tu as dit à mon frère que tu avais besoin de cet argent, alors tient et que je ne te revoie plus"

Il me balança l'enveloppe à la figure, remonta dans sa voiture et fit demi-tour, je le regardais partir, en larmes, c'est la dernière fois que je le verrais il n'y avait pas de doute, je ramasse l'enveloppe elle contenait 5 000 euros une fortune pour moi, que faire la garder pour continuer mes études, car oui je danse pour payer mon doctorat en médecine mon rêve soigné les enfants malades, mon frère était mort d'un cancer et ma vocation s'en était trouvée immédiatement, sans famille il m'avait fallu travailler jeune pour continuer dans ma vocation et le seul cadeau que m'avait fait la destiner était mon corps alors j'avais trouvé normal de le montrer sans honte, mais aujourd'hui je voyais ça sous un autre jour, à cause de mon métier je perdais l'homme que j'aimais.
Supprimé

Re: les choix de Marie

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a suivre
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

DEUXIÈME ÉPOQUE

L'hôpital un centre de gens malheureux et pleins d'espoirs, une naissance, une mort, la vie en quelque sorte se trouve réuni dans un même endroit. Et c'est ici que je travaille depuis trois ans, l'éther les pansements, les cris les sourires sont mon lot quotidien, est j'aime ça, j'avais beaucoup sacrifié pour enfin exercer et je suis heureuse, je ne compte pas mes heures, de toute façon je n'ai rien d'autres pas de fiancé, pas d'enfants a par ceux qui passent ici, je les aime comme si c'était les miens, ils sont chers à mon coeur.

Enfin ce qui en reste depuis déjà cinq ans où l'homme que j'aime m'a mis dehors, mon coeur n'a cessé de pleurer, maintenait il est marié avec Elsa la belle rouquine ils ont un enfant, j'ai tous les magasines à la maison et cela me brise le coeur à chaque fois que je voie son visage sur les papiers glacer. Aujourd'hui, j'ai un appartement avec terrasse toujours vers mon pont préférer, mais en plus je le vois de chez moi ainsi que notre tour Eiffel toujours aussi belle la nuit je m'en lasse jamais,

Les puceaux, c'est fini maintenant lorsqu'un homme me plaît, il me faut longtemps avant de répondre à leurs avances, plusieurs ont tenté de me demander en mariage, mais je ne peux pas, non je l'aime toujours et mon coeur saigne à chaque fois. J'ai toujours la bague qu'il m'avait offert elle est dans mon coffre-fort, mais je ne me décide pas à lui rendre, j'ai été étonnée qu'il ne me la demande pas d'ailleurs, peut être ne m'avais-t-il jamais retrouvé, ou alors il ne veut absolument pas me parler ni me voir, il faudra qu'un jour je le lui envoie après tous elle ne m'appartient pas. C'est décidé demain il faut le faire, mettre une croix définitive sur mon passe, rencontrer un autre homme qui m'aimera et avoir des enfants j'en voudrais tant.

-"Docteur Guillaume, on vous demande à l'urgence un accident sur la voie rapide, ils ont demandé le meilleur des médecins de l'hôpital et c'est vous"



-"Merci Catherine, j'y vais c'est grave ?"

-"C'est un enfant, il est dans le coma, fracture des deux jambes, commotion cérébrale"

-"Oh mon dieu, quel âge ? " tous t'en mettant ma blouse et prenant mes affaires

-" trois ans je crois, chambre 12"

Je pars en courant vers la chambre, pousse la porte et je me précipite sur l'enfant, prend son pouls, l'examine, surveille les branchements installer.

-"Je vous écoute, Messieurs, pronostic s'il vous plaît" m'adressant à mon personnel sans regarder autour de moi comme d'habitude.

-" Elle a les deux jambes cassées tibia, péronière, égratignure sur tout le corps, visage tuméfier, mais le plus grave elle est dans le coma depuis son arrivée"

-"Oui je vois, bon le coma n'a pas l'air profond, vous me la montée tous de suite dans mon service, je vous suis dans un instant j'aimerais parler aux parents.

Le nez dans mon calepin je note mes impressions sur ce petit bout de choux

-"Dit moi, que c'est-il passer au juste ?, je vous écoute"

-"Je peux savoir exactement ce que ma fille à ?" Me dit une voix d'homme.

-" Fracture du péroné, tibia, égratignures diverses, mais ce qui m'inquiète c'est le coma, léger certes, mais il faut surveiller ça comme il faut, alors là, je n'ai pas le temps voulez-vous me répondre s'il vous plaît ? "

Toujours en écrivant sur mon aide-mémoire, il faut que je le donne à ma secrétaire qu'elle me monte un dossier assez vite que je puisse suivre cette gamine.

-"C'est de ma faute, je roulais vite et je n'ai pas vu la voiture qui arrivait en face, mon dieu dit-moi que ça va aller ?, je vous en prie"

-"Pouf, c'est chauffeur même avec des enfants, ce n'est pas vrai !"

je tourne les talons sans même les regarder.

-"Attendait, vous n'êtes guère aimable, vous savez ?" sa voix je la connais mais d'où ?

-"Je sais, mais je m'en fiche, l'irresponsabilité des parents me met hors de moi, je n'y peux rien, néanmoins je pense que ça se passera bien ne vous inquiétez pas"

-"Attendez qu'elle est votre nom docteur" je m'éloigne, ce n'est pas vrai il ne va pas me lâcher celui-là.

-"Docteur Guillaume, Marie Guillaume" je me retourne et je lui jette un regard furieux. Mon dieu Mathieu !!
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

-"Marie !!! Mais oui c'est toi, tu es médecin alors, je n'aurais jamais cru, je te croyais toujours dans les clubs, je les ai tous faits pour te retrouver."

-"Pourquoi, pour ta bague, ne t'inquiète pas elle dans mon coffre, je vais te la rendre dès demain maintenant excuse moi j'ai une enfant à soigner."

Je tourne les talons et m'éloigne, mon coeur tapait à tout va, moi qui le croyais totalement en miette, mais non il vit et tape, tape.
Mathieu toujours aussi beau, avec quelque ride maintenant, mais ça lui va tellement bien, mais sa femme je ne l'ai pas vu celle-là

Bon, j'ai du boulot pas le temps de penser et de toute façon ça fait trop mal. Allez je vais voir la gamine.

le soleil n'est pas encore levé nous sommes dimanche, nous sommes en plein hiver, Noël approche, les guirlandes courent sur la capitale, les magasins ont revêtu leurs tenues multicolores, des millions d'ampoules clignotent au son du petit papa Noël, ces féeriques, cette fête donne du baume au coeur et j'en avais besoin, ne pas le voir c'était déjà difficile, mais là pendant un certain temps je le croiserais tous les jours et sans pouvoir me jeter dans ses bras, il est vrai que pour lui je ne suis encore et toujours que la petite dévergondée qui dépucelle les mecs alors pas la peine de se prendre la tête, la chose à faire et de l'ignorer et de soigner sa fille, j'espère ne pas le rencontré trop souvent ni elle d'ailleurs, Elsa celle qui a tous gagner son amour un enfant, tandis que moi rien que le souvenir de nos quelques ébats amoureux voler une nuit enchanteresse et qui me suit et me suivra toute ma vie.

Bon je passe vite à l'hôpital, voir les progrès de la petite, ensuite vite aux autres enfants malades et je file faire mes courses, le réveillon approche et jean Philippe vient dîner à la maison, lui, je l'aime bien, il est tendre attentionné, mais je ne veux pas vivre avec lui, cela fait deux ans que nous nous fréquentons, mais je ne veux pas lui laisser l'espoir d'un mariage.
Non il le sait aujourd'hui pour moi "c'est je suis bien avec toi mais c'est tout", il fait avec et je l'en remercie d'ailleurs, parfois je m'en veux mais bon je ne peux ignorer mes sentiments, le coeur a ces raisons et ne bat vraiment que pour une personne.
Brouuu ! Il fait froid aujourd'hui, j'aurai dû mettre un pull plus épais je vais me geler tout à l'heure dans les magasins tant pis je ne remonte pas, je fais chauffer ma petite Clio,, j'aime les petites voitures ça passe-partout et à Paris c'est pratique, dix kilomètres me séparent de mon travail, mais à cinq heures les routes sont guère encombrée et je file sur l'avenue des champs Élysée vers mes petits malades, enfin j'y suis, ma place est gardée, je m'installe et descends

-"Bonjour docteur" m'interpelle l'infirmière de service,

-"Bonjour Isabelle" ça va ce matin, pas trop fatigué, je vous préviens ça fait rudement froid aujourd'hui couvrez vous bien, en sortant tous t'a l'heure".

J'aime beaucoup cette fille elle est d'une douceur avec les malades en plus on peut lui parler, elle est toujours à l'écoute.

-"Ces messieurs sont arrivés Isa ?"

-"Non docteur vous êtes la première comme d'habitude" me dit-elle en souriant.

-"Bon, je vais faire le tour des chambres, dit leurs de me rejoindre dans mon bureau"

Et je file, les petits malades dorment encore, je vais doucement pour ne pas les réveiller, Alexandre le petit d'un an qui ne prenait pas de poids va mieux, le nouveau régime alimentaire lui convient bien, il pourra sortir pour les fêtes super les parents vont être heureux, Sophie, bien, elle vient de se faire opérer de l'appendicite et ça c'est très bien passer, Antoine lui mon petit bout de cinq ans je dois encore le garder, maltraitance, fractures diverses le système social va le prendre en charge dans quelques temps et les autres Nathalie, Frédérique, Delphine, etc. qui sont là que pour quelques nuits, pour des problèmes passagers ou contrôle et enfin Clotilde j'espère qui l'y a du progrès, j'avance non toujours rien, il faut qu'elle se réveille le plus rapidement possible maintenant, il n'est jamais bon que les malades restent longtemps dans le coma, je regarde son carnet de bord, température normale c'est déjà ça, les fractures ont été soignés très bien. Je la regarde, un bouchon perdu dans ce grand lit des soins intensifs, brune comme son père, elle est mignonne, je lui fais un bisou sur le front et tourne les talons et me dirige vers mon bureau.

Les dossiers des enfants sont déjà installés, très bien, je les consulte aussitôt, écrit les fait de ce matin, range quelques documents, dicte pour la secrétaire, signe plusieurs papiers urgents et me dirige vers la fenêtre, il neige, un mince tapis couvre le sol, les gens baissent la tête et avancent vite, le ciel commence à s'éclairer par les premiers rayons du soleil, encore 15 jours avant l'avènement de Noël, bon je vais me faire un café, les médecins ne vont plus tarder maintenant.

Ah la porte s'ouvre, je ne me retourne pas, l'habitude quoi, j'ai toujours agi comme cela.

-"Bonjour messieurs, je vous attendais, j'ai fait un petit tour les enfants vont bien aujourd'hui, le seul cas qui me préoccupe à vrai dire, c'est la petite dernière Clotilde, toujours dans le coma, veuillez vous renseigner près des parents pour savoir quelle musique et lecture elle aime et je veux une infirmière à son chevet tous les jours pour lui faire la lecture et lui mettre ces chansons espérons que ça la face sortir de sa torpeur, il ne faut pas que sa dure trop longtemps sinon les séquelles seront irrémédiables. Allez messieurs au boulot, je sors je repasserai cet l'après-midi, le moindre problème vous me bipé d'accord"

En me retournant et ce n'était pas mes hommes, mais Mathieu appuyée contre la porte, il était inquiet son visage, semblait fatigué, mais qu'il était beau, ses yeux me fixes, semblait attendre que je lui parle, mais moi je n'ai rien à lui dire que "prend moi dans tes bras" mais je n'en avais pas le droit, il est marié depuis trois ans déjà et il a une fille là coucher dans mon service.

-"Désoler, mais ma fille, tu crois qu'elle va s'en sortir. Dit moi ?" en s'approchant et se laissa tomber dans le fauteuil trônant devant mon bureau.

-"Je l'espère, pour l'instant il ne reste qu'à attendre et surveiller, je ne comprends pas, rouler aussi vite avec une gamine, pourquoi ? Regarde le résultat maintenant et encore tu as de la chance il n'y a pas eu de mort".

-"Je sais, j'avais rendez-vous avec Elsa chez Dior et elle n'aime pas attendre, j'étais en retard alors j'ai accéléré, mon dieu ma fille, c'est de ma faute"

Il se pris la tête entre les mains et pleurer doucement, je m'accroche, mis ma main sur son épaule.

-"Ça va aller, Mathieu, elle va s'en sortir, en partant donne les informations que je désire à ma secrétaire s'il te plaît"

Il releva la tête, me regarda, matiras vers lui et posa sa tête contre mon ventre ses bras encerclés ma taille, je restai là sans bouger, mon corps le désirer depuis si longtemps, non il ne fallait pas, je le repousse, il se leva me prit dans ses bras et m'embrassa tendrement, au début je ne répondis pas à son baiser. Mais ensuite je ne pouvais résister plus longtemps et se baiser tendre se transforma en un brasier déferlant dans tout mon corps. Il me relâcha tourna les talons et disparu me laissant là perdu et les lèvres enflées par se baiser enflammé.

Enfin chez moi toute la journée je n'ai pensé qu'à ce baiser, pourquoi a-t-il fallu que ce soit dans mon hôpital, qu'ils conduisent cette petite, mon dieu, il a changé je trouve qu'il est moins sûr de lui, plus touchant peut-être, il faut dire qu'il doit se faire un souci pas possible, je le comprends mon enfant serait dans cet état et par ma faute je ne crois pas, que je m'en remettrais.

Ses yeux lorsqu'il me regardait je fondais littéralement, ses mains sur moi j'avais presque oublié le contacte que cela me procurait, j'aimerais qu'il soit là prêt de moi et que la petite soit le fruit de notre amour

Non ! Mais bon sang, j'ai ma vie maintenant, jean François m'aime je le sais, il faut que je cuisine que je fasse un petit repas, rien que pour nous deux je vais mettre mon plus beau déshabille, rien que pour lui ou peut-être rien qu'un tablier. Oui je vais faire la coquine qui attend son amour dans le coin cuisine, je suis sûr qu'il me consommera d'abord plutôt que le repas? d'ailleurs je vais faire plutôt des petits sandwichs que nous grignoterons avec du champagne lorsque nous serons totalement épuisés.

Voilà tous est prêt il n'a plus qu'à rentrer normalement il ne va pas tarder, j'ai pris une bonne douche, épiler tout le cartier même le bas il est passé on dirait une jouvencelle qui n'a pas encore eu sa puberté, mais je sais que ça l'excite de voir mon sexe aussi dénuder que ma personne, il faut avouer que moi aussi, je ne peux m'empêcher de toucher c'est doux on dirait une peau de bébé, mes doigts pénètre si facilement entre mes grandes lèvres que ça m'excite. zut faut absolument me contenir pour mon homme, à lui de découvrir l'ouverture sans forêt, qu'il rentre enfin, je suis pressée de voir sa tête.

Ah le voilà, vite je vais mettre le champagne dans la glace, il rentre je l'entends s'approcher

-"Bonsoir chérie"

"Bonsoir mon amour"

"Où es-tu ?"

"Dans la cuisine"

"D'accord, tu veux que je t'aide ?"

"Je veux bien"

Il vient, je sens mon entrejambe mouiller, mon coeur tape, c'est vrai j'aime bien jean François il me fait l'amour si tendrement, d'accord Mathieu c'est plus violent, plus sauvage, plus au zut pas maintenant je ne veux plus penser à lui non, non et non.

"Chérie tu nous prèpa... mais oh ! ma diablesse, je crois que je vais commencer par le dessert ce soir".

Il s'approche me prend dans ses bras, me couvre de baiser, ses mains coures sur ma croupe, remonte doucement le long de mon dos, me prend par les épaules et retire mon pauvre tablier, il me détail et sourit

"Ah une surprise on dirait" dit-il en s'approchant de mon sexe, sa main gourmande prend en charge cet endroit découvert, caresse, je me courbe sous ses visites, il me pousse contre le plan de travail, embrasse mes seins, descend le long de mon ventre, des milliers de petits baisers parcourt mon corps, j'aurai encore des poils ils s'hérisserait de plaisir, sa langue cherche le nectar de mon corps, je suis totalement excitée, je ne peux plus attendre

"Chéri déshabille toi"

"Non, j'ai ma petite idée, laisse-moi faire"
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Il me soulève me couche sur le plan de travail laisse seulement mes jambes dans le vide, il me caresse de nouveau, défait sa fermeture et sort son sexe, le rentre en moi et me prend avec une force que je ne lui connaissais pas, je suis obligée de m'accrocher au bord de la table pour ne pas glisser ces coups sont si dur, que je le regarde avec étonnement, lui me sourit, il ne me caresse plus, se contente de me tenir les jambes bien écartées et tape tape de plus en plus vite, il vient je le sens, mon plaisir est divin, il s'écroule sur moi épuiser.

"Alors, ça ta plus chérie"

"Oh oui, mais pourquoi est tu aussi violent ?"

"J'en avais envie c'est tous"

"Mais je ne te reconnais pas"

"Ah oui et celui qui t'embrassait dans ton bureau, lui, tu le connais bien ?"

Il me tenait, coucher sur le marbre du plan de travail, les bras retenus par ses mains au-dessus de ma tête son visage tous près du mien c'est yeux noisette remplis de douleur et de colère, il était toujours coincé entre mes jambes et je ne pouvais bouger, j'étais prisonnière d'un homme qui d'ordinaire était si doux, tout ça à cause d'un baiser que je n'avais pas demandé, mais il est vrai désirer.

"C'est Mathieu, c'est lui qui m'a embrassé pas moi, je l'ai connu il y a bien longtemps maintenant, sa fille est dans mon service en soin intensif, ça ne se reproduira pas, c'était un moment d'égarement de sa part, tu sais qu'il est marié à une fille splendide, je ne crois pas que ma personne l'intéresse et de toute façon lui, je ne veux pas le revoir sauf pour sa fille, ne t'en fais pas chéri, c'est avec toi que je suis, pas avec lui".



son étreinte se relâcher, il m'embrassa, laissa courir ses mains sur mon corps, je me retrouve à califourchon sur ses hanches, ses mains sous mes fesses et ses doigts eux cherchent plus une ouverture que le maintient de ma position, mon ventre se serrer contre sa poitrine lorsque ses doigts aventureux trouver le chemin déjà bien préparer par l'ébat d'avant, je ne le reconnaissais plus, il était aventureux, imprévisible mon corps en redemander avec délice, sa bouche malmener ma poitrine et dans cette position étrange je sens en moi le membre bien raide de mon amant me pénétrer, je ne sais pas dire l'effet que cela me fit, il me semblait que j'allais m'empalée sur un pieu et me déchirer tellement il allait loin en moi, il gémissait de plaisir moi j'haletée de plus en plus, jamais il ne m'avait fait l'amour aussi passionnément, il me soulevait et me ramène vers lui lentement doucement et à chaque fois son sexe me déchirait de plaisir, je ne pouvais plus me retenir, il dut sentir sur ses doigts le plaisir qu'il me donnait, car il me sourit à cet instant même et m'enbrassa tous en m'inondant de son amour.

Il me gardait un instant contre son coeur, puis me déposa doucement dans la douche avec lui et mutuellement nous nous caressions en nous lavant et riant de cette soirée d'amour que nous venions de connaître.

Le lendemain, je parcourais le chemin qui m'emmenait vers mes malades le coeur léger, j'aimais Jean-François je n'avais pas de doute, d'un amour tendre et confiant, je n'avais pas peur de revoir Mathieu, non, car chez moi maintenant un homme m'attendait, la jalousie qui avait fait sauter son coeur en voyant le baiser de mon ancienne connaissance, lui avait fait comprendre qu'il fallait qu'il se batte pour me retenir et moi je savais maintenant qui m'aimait par-dessus tous, oui il m'aimait et jamais il ne me ferait de mal.


"Bonjour docteur guillaume, vous resplendissez de bonheur aujourd'hui"

"C'est vrai ! Je suis heureuse"

"C'est Jean-François j'en suis sûr, quand il vient vous voir ici, il est toujours d'une humeur joyeuse cela se voit qui vous aime, vous avez beaucoup de chance"

"Oh oui ! Je sais Isabelle"

"Il y a un homme qui vous attend, dans votre bureau, il semble perturbé, je crois qu'il s'agit du père de la petite d'hier, il n'a pas voulu dire qui il était, je suis désolée je n'ai pas pu l'empêcher de se rendre chez vous".

"Ce n'est pas grave Isa, je m'en occupe, merci"

Que fait-il ici dans mon bureau, qu'il demande à me voir pour sa fille d'accord, mais a forcé l'entrée de mon lieu de travail, alors là je vais lui demander des explications à ce monsieur qui se croit tous permis.

Il est là, assis tranquillement à mon bureau regardant les photos poser ici et là, il lève la tête au moment où je referme la porte, me regarde, me détails même.

"Bonjour Marie"

"Que fait tu ici ? Lui répond dit-je en colère, tu n'as pas à rentrée dans mon bureau comme un territoire conquis, ici c'est mon lieu de travail et toute personne pénétrant dans mon domaine doit avoir mon autorisation, je pourrais te faire sortir de l'hôpital accompagné par deux vigiles, tu comprends ce que je te dis ? Au lieu de passer ton temps à me regardée de la tête aux pieds"

"Bien sûr que je comprends, mais c'était la seule solution pour que je puisse te parler sans témoin".

"Que veut tu ?"

"D'abord, qui sais celui-là ?"

Il me tendait la photo de Jean François, nous étions tous les deux au bord de la Seine enlacé et regardant les bateaux-mouches glisser tranquillement surchargé de voyageur curieux de voir Paris d'une autre façon que la voiture.

"Ça ne te regarde pas"

Il s'approche de moi, toujours armé de ma photo, me la met sous le nez et, me souffle à la figure, je ne peut pas reculer je suis déjà bloquée par le mur où se trouve mes diplômes.

"C'est qui ?"

"Mon fiancé, maintenant recule et laisse-moi travailler, je te ferais remarquer, que ta fille se trouve en ce moment dans mon service et qu'il faut que je fasse mon tour d'inspection".

"Je sais j'ai déjà pris des nouvelles de ma fille, il n'y a toujours pas d'amélioration, tu vois je m'en inquiète, mais maintenant ça fait longtemps que tu vis avec lui ?".

"Mais ce n'est pas vrai, que veut tu as la fin"

"Toi"

Il me tient là, contre ce mur, son haleine chaude, souffle dans mon cou, il s'est débarrassé de notre portrait et les deux mains appuyer de chaque côté de mon visage il me scrute, je suis mal à l'aise, ses yeux son mauvais, il dépose un baiser léger sur mes lèvres, cherche avec sa langue a entrouvrir ma bouche mais, je résiste, non il ne peut pas m'obliger, d'une main il cherche sous ma blouse le contacte de mes cuisses il remonte, doucement jusqu'à mon sexe, il cherche à travers mon pantalon la chaleur que peut me procurer ses caresses, mais non je ne veux pas, je repousse sa main.

"Va-t-en"

"Pourquoi ? Tu aimes ça non ? Moi je te veux alors qui peut nous en empêcher"

"Non, je ne le désir pas. Part rejoindre ta femme et laisse-moi travailler"

"Embrasse moi et je pars"

il s'approche, ses lèvres cherchent les miennes, son corps m'écrase et, je sens le désir qui monte en lui, j'entrouvre la bouche et nous nous embrassons, il me cherche, sa langue attire la mienne l'entremêlement de nos organes charnues nous rapproche de plus en plus, mes mains entour son cou et l'attire encore, les siennes prennent ma taille et ne veulent plus me lâcher, il me soulève et me conduit sur le sofa mit dans un coin pour mes jours de garde, il m'allonge et commence à déboutonné ma blouse, il glisse ses doigts dans mon soutien-gorge et malmène la pointe de mes seins, je me cambre sous ses caresses lorsqu'il descend doucement vers mon pantalon et défait la fermeture de celui-ci, je me rends compte que je suis toujours accros à cet homme.

"Je le savais, tu m'aimes encore n'es pas ?"
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Cette réflexion agit sur moi comme une douche glacer, je lui mis un grand coup de pied dans le ventre pour le faire reculer et, me lève comme un clown sorti de sa boîte, me rhabille vite et me réfugie derrière mon bureau.

"Sort ou je crie"

"Marie...

"Non, tu sors et tous de suite, je ne veux te voir que dans les couloirs pour prendre des nouvelles de ta fille, c'est tous, sort".

Il me regarde, sourit et se dirige vers la porte

"On se reverra, ma Marie et tu en redemanderas lorsque je t'aurai fait l'amour".

Il sort en m'envoyant un baiser du bout des doigts

Ouf, enfin il faut que j'aille faire ma ronde, une nouvelle petite malade, Noémie vient d'arriver pour une pneumonie, je vais voir comment elle va.

"Docteur on vous demande au téléphone"

"D'accord, faite la patienter je vais voir la petite nouvelle d'abord"

Bien tous ont l'air d'aller, les médicaments font leur travail, la température est encore très élevée, mais elle descend progressivement.

"Bonjour Noémie"

"Bonjour madame"

"Appelle-moi Marie, dit-moi que veux-tu que le père Noël t'apporte sous le sapin ?"

"Moi je veux une poupée qui marche"

"Ah oui, moi j'ai toujours voulu en avoir une"

"Et ! T'en n'as une ?"

"Non ma chérie, mais toi je suis sûr que tu en auras une et je te laisse te reposer et je passerai ce soir te faire un bisou, d'accord ?"

"Oui, d'accord"

Je l'embrasse et retourne à mon bureau

"Allô docteur guillaume, je vous écoute"

"Allô, Marie, c'est Jean François, chérie je passe te chercher ce soir vers 19 heures après ton travail nous irons au restaurant tu veux ?"

"D'accord ou allons-nous ?"

"Tu verras, je t'aime à ce soir chérie"

"Je t'aime" et je raccroche, oui je crois que je l'aime vraiment, je suis bien avec lui, j'ai l'impression que la vie à ses côtés s'écoule comme un grand fleuve tranquille et si parfois un courant plus fort apparaît, l'instant d'après tous redevient calme et reposant, je me vois bien avec lui et deux enfants au moins, il en veut je le sais nous pourrions les élever à la campagne libre de courir dans les champs, il y a sûrement des hôpitaux assez importants pour me prendre dans leur service et lui dans son travail le lieu importe peu, j'espère un jour concrétiser ce destin qui me plaît tellement.

La journée passa vite, l'arriver d'enfants pour des petites grippes et oui c'est la période, angine, otite et bien d'autres petit problème de l'enfance, occupa tous mes pensées et lorsqu'il arriva l'heure de partir, après bien sûr une visite à tous mes petits pensionnaires, je n'ai nullement pensé à Mathieu.

Je me change, dans mon bureau j'ai toujours une tenue pour une occasion, un rendez-vous d'affaire ou bien une sortie entre amis prévus comme aujourd'hui au dernier moment. J'enfile une robe de soie rose poudré cintres à la taille le jupon tourbillonne a chaque mouvement et mon décolleté met mes seins en valeur, je savais que cette tenue lui plairez, d'ailleurs à Mathieu aussi, heu non non pas lui.

pas maintenant ni pensons plus. Des escarpins blancs compléterons cette tenue ainsi qu'une étole en fausse fourrure, mais pour sortir dans le froid j'emportais aussi mon manteau noir qui me tiendrait bien chaud pour la route. Enfin parée, je sors de mon bureau et rejoignis le hall de l'hôpital j'avais encore un peu de temps il avait dit 19 heures il était tout juste 18 heures 15 je pouvais aller discuter avec Isabelle qui prend son service.

"Bonsoir Isabelle"

"Bonsoir Docteur"

"Ah non Marie, si tu veux bien j'aimerais que l'on se tutoie l'une et l'autre"

"D'accord, vous sortez, heu tu sors ce soir, avec Jean François ?"

"Oui, il veut me sortir au resto, c'est une surprise, que penses-tu de ma robe ?"

Je me mets à tourner sur moi-même, fessant tourbillonnait la jupe de ma robe et dévoiler la longueur de mes jambes, laissant apercevoir le début d'un slip de dentelle

"Moi elle me plaît beaucoup surtout ce qui y a dessous"

Je m'arrête aussitôt, ce n'est pas vrai, Mathieu, je ne peux pas faire un pas s'en tomber dessus.

"Bonsoir, tu viens voir ta fille ?"

"Oui"

"Elle va bien, son coma devient de moins en moins profond, je pense qu'elle ne va pas tarder à se réveiller, ne te fait pas de soucis, je veille sur elle et je ferais tout mon possible pour que tous se passe bien"

"Je le sais, j'ai confiance en toi. Tu sors ce soir ?"

"Oui"

"Avec qui ?"

"Je ne vois pas en quoi ça peu t'intéressait"

"D'accord, c'est ce Jean François"

"Tu devrais peut-être te rendre auprès de ta fille, tu ne crois pas ?"

"Si tu as raison, je vais m'y rendre mais, avant pourrais-je te voir ? j'aimerais parler avec toi un instant".

"Non"

Il est dingue j'ai bien vu le résultat tous t'a l'heure, il ne va pas remettre ça déjà, en plus je n'ai pas le temps, mon amoureux ne va pas tarder, je me tourne vers Isabelle.

"Tu voudras bien prévenir le docteur Marijonie, que monsieur veut un rendez-vous"

"Non c'est avec toi que je veux parler"

"Moi je n'ai pas le temps, tu vois cela avec mon collègue lui aussi s'occupe de ta fille il pourra répondre aussi bien que moi"

"Mais...

"Excuse-moi, voilà jean François, Bonsoir Mathieu"

"Ah, je le savais, c'est bien avec lui"

Il me prend le bras, me tire vers lui et me prend par la taille

"Lâche-moi !, on est dans un hôpital les crises de jalousies, nous n'en voulons pas ici ni ailleurs non plus".

"Non je ne te lâcherais pas, qu'il vient te chercher s'il l'ose"

Jean François passe la porte, s'arrête, nous regarde et s'approche

"Tu as un problème chérie ?"

"Non, non il me disait au revoir, viens partons" tous en essayer de me dégager de l'emprise de Mathieu.

"Alors, vous êtes Jean François le soit disant amoureux de la femme que je désire"

Je n'en revenais pas de son culot, là dans le hall de l'hôpital, il osait sortir une chose aussi personnelle,

"Tais-toi Mathieu, il n'y a plus rien entre nous, je vis avec lui, toi tu as ta vie, laisse nous maintenant".

"Oui laissez là, vient Marie partons"

Il me pris la main et me tira vers lui, je me retournais vers Isabelle

"Pardon Isa, pour ça, bonne soirée à demain"

"Bonne soirée les amoureux"

Mathieu se tourna vers elle et lui jeta un regard de désapprobation, elle devint rouge comme un coquelicot.

Nous sortîmes de ce lieu surcharger électricité et nous partîmes pour notre rendez-vous amoureux.

"Il ne sait absolument rien passer avec cet homme ?, il se comporte comme si tu lui appartenais".

"Non, je te le jure, il m'a seulement embrassé, mais je lui ai demandé de ne plus recommencer".

"J'ai l'impression que pour lui c'est loin d'être fini, peut-être devrai-je avoir une discussion avec ce monsieur, ensuite il te foutra la paix".

Je le regardais rouler les yeux fixer sur la route, les guirlandes éclairer son visage crispé de colère, mais il se contenait, c'est vrai qu'il est beau blond, des yeux noisette, un visage bronzer par ces voyages et un corps alors là j'en rougissais.

Je pose, ma main sur sa cuisse, il me regarde.

"Ça ira, ne t'en fais pas, de toute façon sa femme va bien finir par se montrer et alors il nous fichera la paix".

Il me sourit

"Si tu le dis, allons ne gâchons pas notre soirée, pensons d'abord à nous, d'accord ?"

"Oui !"

Pensez à nous, moi je pense aussi à lui, là-bas dans le couloir de l'hôpital "celle que je désire" avait-il dit, moi aussi je le désire, mais la vie n'est pas faite que de désir

Il fallait faire un choix et le mien c'était jean François, Mathieu ne pouvait rien m'apporter à part ses bras, oui c'est bras, sa bouche, sa façon de me faire l'amour même si cela faisait déjà quelques années, je ne pouvais m'empêcher de sentir encore son membre dans mon corps son odeur qui dégageait pendant le plaisir, ses mains courir sur mon corps.

Oh non, je sentais mon intimité s'humidifiait, je ne pouvais continuer comme ça, il faudrait qu'un autre docteur s'occupe de sa fille pour que je ne le revoie plus, ou alors prendre quelques semaines de vacances j'en ai encore quelques unes, oui je crois que c'est la meilleure solution.

"Ça va chérie ? Tu sembles toute drôle"
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

"Hein ! Non ça va je me demande où tu me conduis, j'essaie de deviner c'est tous".

"Eh bien regarde, c'est là devant toi"

"La tour Eiffel, on mange ici dans le restaurant de la tour Eiffel ?"

J'étais comme une enfant a qui, on venait de donner un super-cadeau attendu pendant bien longtemps, je me jette dans ses bras et l'embrasse fougueusement.

"Eh bien chérie, je ne savais pas que ça te ferait autant plaisir, j'en suis heureux que ma surprise t'enthousiasme autant".

"Oui j'ai toujours voulu y aller, oh merci, merci"

en l'embrassant encore et encore, je l'ai déjà dit il savait tellement combler mes désirs alors pourquoi chercher ailleurs l'amour qu'il me donnait avec tant de générosité.

La nuit avait été merveilleuse, nous avions fait l'amour jusqu'au matin. Aujourd'hui je ne travaille pas, je décide donc de me rendre sur les champs Élysée à la recherche de cadeaux pour mes petits malades. Une poupée qui marche, un camion de pompier, une boîte de magie, ensuite une barbie et son ken, une voiture de courses et bien d'autres que les petits voulaient sous leurs arbres de Noël, Les pauvres chérubins étaient obligés de rester pour les fêtes je voulais qu'ils aient un bon Noël aussi.

Pour Jean François je n'ai pas encore d'idée, il faut que je le questionne pour lui faire plaisir, je ne sais pas on verra, j'ai fait tous les magasins bijouterie, cuir, mode...

Je n'en sais vraiment rien, je me demande si en fin de compte je le connais si bien que ça, il va falloir que je fasse plus attention à ces désirs et préférence.

Bon, ce n'est pas la peine, je vais boire un café à la terrasse de ce café, il y a du monde, tout le monde veut se réchauffer aujourd'hui, je m'assieds, c'est joli ici, on n'a vu sur l'arc de triomphe il est grandiose, toutes les sculptures sont éclairées, les passants traînent, profite malgré le froid au spectacle que leur procurent les fêtes.

-" Mademoiselle, que désirer vous ?"

-"Un cappuccino s'il vous plaît "

-"Ça sera tous ?"

-"Non, une part de gâteau au chocolat aussi, merci"

Le serveur s'éloigne, il revient presque aussitôt et bien le service et rapide ici

-"Je m'excuse mademoiselle, mais ce monsieur, là-bas vous demande de le rejoindre si cela vous plaît"

-"Quoi ?", me retournant, que faisait-il ici, la dans le même café, le hasard parfois se mêle des choses, qui ne le regarde pas,

-"Non, je reste là vous pouvez lui dire, merci"

Il s'éloigne, un petit moment passe et mon café se trouve devant moi ainsi que mon gâteau, je me retourne pour régler, mais le serveur avait changé de visage, Mathieu encore et toujours il s'acharnait moi je veux l'oublier pas le revoir à chaque trottoir c'est une torture à la fin.

-"Laisse-moi, rejoint ta femme et ta fille ici je ne bosse pas"

Prenant ma tasse pour siroter un peu mon café et surtout pour me donner un prétexte pour ne plus lui parler.

Il est chaud, je souffle sur le liquide bouillant, il se penche sur moi et souffle lui aussi, La mousse atterrit sur mon nez, il sourit, s'approche et lèche toute la crème qui s'est enfuie de ma tasse ;

Descend et prend ma bouche que je ne sais lui refuser, notre baiser dur si longtemps que les gens autour de nous applaudisse, rouge de honte, je le repousse, me lève et sort.

Il paye ma consommation et me suit, me prend la taille et nous mêlons à la foule environnante,

-" Viens avec moi à mon hôtel Marie je te veux, je ne pense qu'à ça depuis que je t'ai revue avec ta blouse blanche et ton regard furibond."

-"Et après, tu retournes voir ta femme, d'ailleurs où est-elle sa fille est dans le coma, elle devrait se trouver prêt d'elle non ?"

-"Je sais, elle ne sait jamais intéresser à la petite, en fait c'est en Angleterre qu'elle se trouve après avoir pris des nouvelles de Clotilde elle a pris l'avion aussitôt"

-"Ah oui drôle de mère !"

-"On est arrivé Marie",

Pendant toute notre conversation il m'avait dirigé vers son hôtel, j'avais tellement envie de rentrée de sentir ses mains sur mon corps plein de désir pour cet homme, il me sera contre lui m'embrassa avec fougue, sa langue me chercher, elle me retient prisonnière, mon désir s'accentuer de plus en plus, mon corps répondait déjà à sa demande, une feuille de papier n'aurait jamais pu passer entre nous d'eux et nous retrouvâmes dans sa chambre la porte verrouiller.

Il me regarde, nos yeux ne font que s'admirer réciproquement.

Il vient vers moi retire son manteau, son pull et sa chemise qui suit le même chemin son torse nu m'attire, je retire mes vêtements doucement pour le faire languir, ma veste envoyer à la voler atterris sur le divan de sa suite, mon pull fini par terre, ainsi que mon soutien-gorge, il m'attire dans ses bras embrasse mon cou.

Descend le long de mon ventre tendu par le désir, je cherche le bouton de son pantalon fait glisser la fermeture. Il repousse son jeans du pied, lui retire le mien de la même façon et nos slips suivent le chemin de non désirer.

Sa main s'approprie mon sexe, ses doigts courent en moi, cherche la chaleur de mon corps, je gémis, l'embrasse, il me tire vers son lit me couche et me rejoint, je me tourne vers lui, cherche son membre vigoureux le prend en bouche, le caresse, mon amour gémit, il me tire par les cheveux pour que je vienne l'embrasser, quitte son sexe durci par mes caresses, sa langue me prend, ses mains courent sur mon corps, il prend possessions de mon être m'ensorcelle, son envie de moi je le ressens si fort.

-"Chérie, je te prends maintenant, mais avant je veux que tu saches, que je ne quitterais jamais ma femme et que ce que nous faisons maintenant et tant que ma fille restera à tes bons soins, nous nous reverrons mais, ensuite je partirais."

Je ne voulais pas penser à demain, aujourd'hui me suffisait et de toute façon j'en étais au non retour, il fallait qu'il m'aime et maintenant tant pis pour plus tard, pour moi le moment était venu de lui prouver que je l'aimais et malgré la façon dont il m'avait traité il y a cinq ans je voulais remettre ça, dans un sens je me dis que je suis une idiote, je devrais lui faire payé et chers ses années de souffrances, mais ce n'était pas que sa faute après tous.
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

-"Pour l'instant aimons nous, demain est un autre jour mon chéri"

Je l'attirais vers moi, c'est yeux bleu me couve du regard, il me sourit, m'embrassa, son corps chaud, se détendait devant ma réponse, il me prit dans ses bras et me déposa vers la cheminée, son feu nous réchauffait et nos ébats devenais encore plus torride, ses mains cherchait les miennes nos jambes s'entremêlaient, couché sur le dos nos mains au-dessus de ma tête, il m'embrassa je ne pouvais que le suivre dans son plaisir. Avec son genou il écartât mes cuisses se faufilait dans mon entre jambe et me prit avec douceur, d'une main il retint mes mains et de l'autre la fessait courir sur ma poitrine, le vas et viens de ses hanches se faisais de plus en plus rapide, mon corps s'échauffait je sentais l'extase me prendre, il me lâchât enfin les mains, je le repoussais, surpris il se retira et me regarda.

-"Qui a-t-il chérie ?"

Je ne répondis pas, je le fis basculer et c'est lui qui se trouva sous ma domination, je m'assois sur lui, lui présenta ma chatte et m'occupa de son membre en érection, sa langue me chercher, mon dieu il avait fait beaucoup de progrès pendant ces cinq ans, je sentais son sexe tressaillir au fond de ma gorge.

Un doigt deux doigts chercher l'ouverture de mon endroit, entre sa langue qui me lèche tout au fond de moi et ses doigts qui viennent et revenez tous mon corps trésaille de bonheur.

-"Je te veux chérie, viens monte moi, ma pouliche adorée"

Je ne me retournais pas, seulement me relevait et c'est le dos tourné à son visage aimé que je le chevauchée les mains appuyées sur ses cuisses je montais et descendait avec un mouvement régulier, d'une main je malaxée ces testicules, lui gémissait de plaisir, ses mouvements devenaient plus rapide, il tapait contre mon clitoris de plus en plus fort, je sentais en moins le jet brûlant de son amour.

-"Chérie, viens vers moi,"

je me couchais sur ce beau tapis qui en aurait à raconter au prochain locataire, le fantasme et le délire de deux amoureux que la vie ne pouvait réunir.

Mon bip se déclencha, vite je me lève cherche mon bipeur dans ce fouillis de vêtements.

-"Que fait tu Marie ?"

-"Tu n'entends pas c'est mon bipeur, ça doit être l'hôpital, il faut que j'appelle vite, cherche mon bip, je téléphone"

Il se lève et cherche à son tour

-"Allô ici le docteur guillaume, oui, d'accord, j'arrive tous de suite, dans 20 mm je suis là"

Je me rhabille rapidement, prends mon bip qu'il tenait à la main, courre vers la porte, sans un mot, ni un regard, pour l'homme qui venait de me faire l'amour comme un fou.

Claque la porte et file à l'hôpital,

-"Isabelle, où est-il ?" la regardant suppliante

-"Il est au bloc du docteur Réanaut, ils ont dû le stabiliser dans l'urgence"

-"D'accord, je vais dans mon bureau, préviens-moi dès qu'ils ont fini"

Mon dieu, on me punit, de ce que j'ai fait et c'est Jean François qui paye mes pots cassés, s'il s'en sort je promets de l'épouser, adieu Mathieu, de toute façon il ne m'aime pas assez pour quitter sa femme, alors il faut absolument que je change de vie, l'homme qui se bat pour sa vie, lui m'aime et depuis toujours, il est toujours la pour moi et moi rien, je n'ai rien fait pour lui et en plus je le trompe.

Mon dieu, que c'est long, que font-ils, je comprends les parents qui attendent là, sans rien savoir et nous qui ne nous en préoccupons pas, il faudra que je change ma façon de faire.

À on frappe,

-"Oui entrer !"


J'attends, je suis anxieuse, mon dieu, pourvu que ce soit bien passée l'intervention, mais que fessait-il dans cette bijouterie à cette heure de la nuit et vlan en plein dans un cambriolage et c'est lui qui a pris la balle, mais ce n'est pas vrai je ne peux le croire.

-"Alors, doc... Que fait tu là ?"

-"Tu ne m'as rien dit en partant j'ai cru que c'était ma fille, que se passe-t-il ?"

-"Non elle va bien, je suis passé la voir, elle sort progressivement de son coma, je pense que cela sera éminent maintenant"

Il était heureux, sa fille revenait vers le commun des mortelles, tout allé bien pour lui et j'en étais ravi aussi.

-"Mais alors que se passe-t-il pour que tu sois dans cet état chérie ?"

-"Non ne m'appelle plus chérie, Jean-François est en salle d'ope et je ne sais s'il va s'en sortir"

Je m'écroule en larmes, je les avais retenus jusque-là, mais je n'en pouvais plus, je comprenais maintenant que Jean-François était cher à mon coeur pas autant que Mathieu mais, lui n'avait pas besoin de moi.

-"Encore ce Jean-François, qu'à-t-il ?"

Me prenant par les épaules et me fixant de ses yeux interrogateurs.

-" Oh mon dieu je l'ai trompé avec toi, je suis qu'une pauvre idiote, jamais je n'aurai dû faire ça, jamais."

Il me lâcha, pris possession de mon fauteuil,

-"Alors, tu l'aimes, mais tout à l'heure, je croyais..."

Il semblait écrasé de chagrin, mais je m'en fichais mes pensées aller vers mon blessé.

-"Les hommes tous des égoïstes, il est peut-être en train de mourir et toi, tu penses qu'à mes sentiments que j'ai envers toi, mais bon sang tu t'es posé la question il y a cinq ans lorsque je t'ai dit que je t'aimais, mais toi tu m'as balancé ton argent à la figure et laisser seule sur la route avec 20 kilomètres à faire avant d'atteindre la gare, tu t'es occupé de mes sentiments à ce moment ? Non c'est ton amour-propre que tu as laissé monter en toi pas ton amour.

-"Qu'importe son métier, ou sa vie d'avant si tu l'aimes, pour une personne l'autre peut faire bien des choses. Mais toi, qu'à tu fais pour moi me baiser ça c'est sûr tu as fait d'énorme progrès, j'ai pris un pied d'enfer, je n'ai jamais fait l'amour comme ça qu'avec toi, mais ça ne me suffit pas, même si je t'aimerais toujours, toi tu n'es pas prêt pour moi, reste avec ta femme tu as raisons, elle te convient froide et égoïste comme toi, tu es ma drogue, je peinerais certainement à t'oublier mais, il y a des cures pour ça et la mienne sera Jean-François lui m'aime pour moi, pas pour mon corps ou mon métier, mais pour moi, mon esprit, mon coeur même en mille morceaux il l'aime, toujours présent dans mes joies et mes malheurs, tandis que toi pas plus tard que tous t'a l'heure que m'a tu dis "je vais te prendre là maintenant mais, je veux que tu saches que je ne quitterai pas ma femme et lorsque ma fille ira mieux je partirais" bien ! Et bien part maintenant laisse, moi,, repars dans ton village et ne revient plus me torturer désormais je ne t'attendrai plus jamais".

-"Mais je t'aime Marie, je veux que tu sois à moi, rien qu'à
moi" en me prenant dans ses bras.

-"Non, tu ne penses qu'à toi c'est ton souhait, mais moi tu me demandes à qui je veux appartenir, tu t'en fous, rien qu'à toi toujours toi, lâche moi, il faut que j'aille voir si l'opération est finie"

-"Marie, je ne te lâcherai pas, jamais"

Il tourne les talons et part...

Deux jours, deux jours à attendre qu'il sorte du coma artificiel où Jean-François est plongé et ils ne savent pas s'il va s'en sortir la balle a touché les poumons actuellement il ne fonctionne pas sans l'aide de la machine, le risque si on le débranche et qu'il se noie donc pour l'instant on attend, mon dieu fait que tous se passe bien, je ne veux pas le perdre, pas lui il a toujours été présent pour tous, il ne mérite pas un sort pareil.

La petite Clotilde, est complètement sortie du coma, je dois encore la garder deux bons mois, mais je n'ai pas revu Mathieu ni sa femme d'ailleurs, elle n'est même pas venue voir sa fille, quelques coups de téléphone pour voir si tous allez bien mais, ces tous, pauvre gamine elle aurait bien besoin de la voir quand même. Nous sommes devenus amies toutes les deux, faut dire qu'elle est gentille, adorable cette petite, je lui lis des histoires elle adore le petit chaperon rouge.

-"Papa me la lie tou tem" Me dit-elle dans son langage d'enfant.

-"Et maman elle te lit des histoires elle ?" je suis curieuse de savoir.

-"Non, elle est zamet là ma maman, elle m'aime pas d'abord" dit-elle en reniflant.

Pauvre petit bouchon, je la rassure.

-"Mais si chérie, c'est qu'elle est très occupée tu sais, mais je suis sûr qu'elle t'aime très fort"

Lui fessant un gros bisou sur son front.

-"En effet je l'aime beaucoup, autant que vous vous aimez mon mari il me semble n'est-il pas, Mademoiselle la stripteaseuse ?

Vous avez trouvé des vêtements depuis notre dernière entrevue on dirait."

Je me retournais brusquement, la voilà toujours aussi belle, mais elle avait coupé ses cheveux ça lui allait très bien ma fois, ses yeux verts me détailler, il est vrai que le jeans que je portais et le pull-over bleu m'allais à ravie, mes formes en étaient encore plus avantageuse, mais elle dans sont ensemble de marque n'avait rien à m'envier elle était splendide.

-"Ah bonjour Elsa, comment allez-vous, votre petite fille va beaucoup mieux je pense que dit si deux mois elle pourra rentre avec vous, elle à du vous manquer depuis quinze jours déjà ?"

-"Maman bisous, bisous maman" lui dit Clotilde en tendant ses petits bras dodus.

-"Oui ! Je parle avec la dame qui n'a rien à faire ici, foutait le quand, c'est ma fille pas la vôtre, vous ne me volerez ni mon mari, ni cette gamine".

Je me lève, fit un gros bisou à cette petite fille qui séchée une larme parce que sa maman ne l'embrasser pas, me dirige vers la porte et me trouva nez à nez avec Mathieu qui venait faire sa visite comme tous les jours à sa fille, une semaine sans se croiser et voilà que c'est aujourd'hui évidemment que l'on se voit, il y a des jours vraiment ou tout vas mal.

-"Bonjour Marie" me dit-il en me souriant.

-"Bonjour Mathieu, excuse-moi je te laisse en famille, j'ai à faire et il faut que j'aille voir Jean-François maintenant"

-"Encore, comment va-t-il, ? Je voudrais te parler aussi, j'irai te voir dans ton bureau tous t'a l'heure d'accord, je t'en prie...

-"Ça va je ne vous dérange pas j'espère ?"

Dit la rouquine en colère et prenant son mari par le bras, lui devint cramoisie, se tourna vers moi, me regarda l'air abattue.

-"Oh chérie, tu es rentré d'Angleterre ?"

-"Oh chérie, tu es rentré d'Angleterre,, ben oui et j'ai bien fait il me semble tu t'es de nouveau tapé cette garce, j'espère que t'a pris ton pied, car elle est chère il me semble, mais que fait-elle ici, parler à ma fille comme si c'était la sienne, tu peux m'expliquer ?"
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

-"Je t'en prie, calme-toi, Marie est le médecin de Clotilde, c'est grâce à elle que tout se passe bien aujourd'hui"

-"Quoi elle est médecin, tu rigoles, pas cette fille qui montrait son cul a tout le monde, tu te fous de moi, ou quoi ?, c'est une tac-tic pour me faire gober que tu couches avec c'est sa ?"

Elle aurait pu me tuer, elle l'aurait fait, mais ce qui m'étonne c'est qui lui obéisse sans rien dire comme un petit toutou, lui si fier cela m'intriguait, pourquoi laissait-il sa femme lui parler comme ça, Enfin ce n'est pas mon problème après tous".

-"Bon, je vous laisse, j'ai des rendez-vous importants, je repasserai plus tard pour voir si tout va bien"

-"Attend combien te doit mon mari pour la partie de jambe en l'air c'est moi qui paye toutes les putes qu'il s'envoie depuis deux ans"

Je hausse les épaules et m'en vais j'avais autre chose à faire que d'écouter cette folle,

après tout, qu'il s'engueule entre eux, moi je vais voir mon malade et je rentre à la maison, je suis crevée, la journée à était très longue aujourd'hui.

Ce soir réveillons de Noël, comme d'ab toute seule, je vais me faire une soirée TV, avec du foie gras sur pain d'épice, plateau de fruits de mer, un bon petit bout de fromage et de la bûche de chez mon pâtissier tout cela arrosé de champagne, petit café et vers minuit j'irai me promener dans les rues toutes illuminer pour me sentir moins seule.

Ah enfin à la maison, pour Jean-François ce n'est pas la joie, c'est résultat pulmonaire son pas fameux, je ne pouvais pas rester avec lui le temps et limité malheureusement.

Je le regarde dormir paisiblement au moins il ne souffre pas c'est déjà ça, il est beau.

L'infirmière me dit c'est l'heure il faut que je parte mais bon c'est pour tout le monde pareil, médecin ou pas.

Alors, ce soir à la télé, je vais me passer une cassette et manger mon petit repas de fête, de toute façon je n'ai pas le coeur à m'amuser.

dring dring

Eh bien qui sonne à cette heure-là vingt-trois heures, ce n'est pas vrai pour une fois que je ne suis pas de service. J'ouvre,

-"Quoi que veut tu ?"

-"Je veux te parler, Marie, laisse-moi entrer sinon j'hurle ici sur le palier"

-"Bon entre"


Je me pousse et le laisse entrer, mon appartement est tout juste allumé, c'est le sapin et toutes les guirlandes qui tamisent la pièce, mon repas est installé sur la table du salon et un gros coussin me sert de chaise improviser juste devant la cheminée qui crépite joyeusement.

-"Tu attends quelqu'un ?"

-"Qui te fait dire ça ?"

-"Je ne sais pas, la cheminée, la lumière et ce repas de fête qui attend qu'on le déguste"

-"Non c'est pour moi, que veut tu ?, je t'ai dit que je ne voulais plus que l'on se voit, ta femme est là, tu devrais être avec elle ne croit tu pas ?""

-"Elle réveillonne avec ces amis"

-"À bon et pas toi ?"

-"Non je ne suis pas invitée et je ne les aime pas de toute façon alors"

-"Bien je vois, donc tu as l'intention de t'inviter ici alors ?"

-"Si tu le désires d'accord"

-"Non, je veux que tu partes maintenant"

Il s'approche de moi comme un félin c'est yeux me fixant dangereusement sa proie, je recule et me trouve coincer contre le vaisselier, il me prend par la taille me serre contre lui.

-"Marie, je t'en prie ne me chasse pas, je ne te toucherai pas si c'est ce que tu désires mais laisse-moi encore près de toi, bientôt il faudra repartir, elle a demandé que la petite, soit transféré à l'hôpital de Toulouse dans deux jours, il me reste très peu de temps pour te voir je veux les passer avec toi".

-"Quoi, vous voulez transférer Clotilde, non mais vous n'êtes pas bien, elle est fragile, c'est os ne sont pas guéris, même plâtrer, je ne veux pas qu'elle bouge encore, de plus ça fait seulement quelques jours qu'elle a quittée le coma, pourquoi fait-elle ça?

Que je suis bête c'est à cause de moi évidemment, écoute moi bien !, je veux que tu restes avec ta femme et ta fille que tu lui fasses comprendre qu'elle ne doit absolument pas la bouger de sa chambre pour l'instant s'il le faut c'est un autre médecin qui prendra soin d'elle et elle ne me verra plus ni toi d'ailleurs dit lui c'est pour la santé de ta fille".

-"Elle ne m'écoutera pas de toute façon, elle se fout de ce que je pense, si elle là décidé, rien ni changera"

-"J'irai la voir, mais bon sang tu lui obéis, comme un petit chien ma parole, que se passe-t-il entre elle et toi ?"

-"Je t'en prie, laisse-moi t'embrasser, laisse-moi t'aimer, je ne pense qu'à toi, je veux te prendre, te faire l'amour, te..."

-"Arrête, toi, que se passe-t-il ?"

-"Bon d'accord, lorsque je t'ai chassé, j'ai compris tous de suite après que je t'aimais et je t'ai cherché partout, j'ai laissé tomber mon boulot et j'ai tout perdu, c'est Elsa qui a tous acheter pour que la propriété reste dans ma famille il a fallu que je l'épouse, si je divorce elle reprend tous plus ma fille donc je n'ai pas le choix, je supporte toutes ses frasques, la maison maintenant je m'en fous mais, ma fille jamais je ne lui laisserai tu comprends maintenant"

-"Oh mon chéri je suis désolée, pardon mais, tu dois te battre, il y a des lois, ta fille elle ne peut pas te la prendre comme ça, tu as repris ton travail, je le sais. J'ai tous lu dans les magazines et en plus tu as eu le prix des meilleurs chercheurs alors tu ne risques rien, racheté ta propriété il doit bien avoir une solution prend un avocat, cherche une solution, bat toi, je t'ai connu tu étais un être fier redresse toi"

-"Oui promis, alors tu m'attendras, tu n'épouses pas ton Jean-François ?"

-"Non tu as fait ta vie, je dois faire la mienne, il a besoin de moi et je l'aime"

-"Tu mens tu as pitié de lui c'est tous, ton corps, ton âme, m'appartient et je vais te le prouve"

Il m'attrape par un bras, me tire à lui, parcoure mon corps de ses mains, me mordille l'oreille sa langue parcours ma nuque c'est baiser brûle ma peau.

-"Arrête, je t'en prie"

-"Oh non, ma jolie, je vais te prouver que tu me désires autant que moi"

Il me soulève, me porte dans la chambre, me lance sur le lit et se précipite à ma suite pour m'empêcher de me relever, là au-dessus de moi il me guette, son sourire est conquérant, mais je n'ai pas dit mon dernier mot.

Lui sur mon corps je ne peux pas bouger, mais un moment ou un autre il faudra qu'il se relève et alors tu verras mon coco, il se penche sur mon décolletée ouvre mon chemisier, la courbure de mes seins apparaît il y glisse sa langue cherche mon mamelon qui malgré moi se durcit.

Ah bon sang, ce n'est pas vrai il m'attire, mais je ne dois pas, non je ne veux pas il faut que ça s'arrête, voilà qu'il fini d'ouvrir mon chemisier sa langue suit le chemin qui descend vers le plaisir divin, un obstacle ? Mon pantalon, peut importe il s'y attelle le bouton saute, là pour me le poser il faudra bien qu'il bouge cette fois, en effet à peine c'est-il pousser que je me lève et me dirige vers mon salon pour m'y enfermer, mais il est plus rapide que moi et se trouve presque en même temps dans la pièce.

-"Ah tu veux t'échapper c'est ça, que non ma chérie, je te tiens je te garde"

Il me coince, me couche sur le tapis et m'ôte mon pantalon, maintenant la seule barrière ce sont mes simples sous-vêtements eux ne vont pas faire long feu.

-"Arrête tu ne peux pas faire ça, réfléchie tu as ta femme, moi, Jean-François qui m'attend dans sa chambre d'hôpital"

-"On y pensera plus tard, pour l'instant j'ai autre chose à faire"

Me dit-il en me regardant fier de m'avoir coincé de nouveau, ma simple barrière finie dans le feu de cheminer, lui se déshabilla en un tour de main, bon sang je me demande quand il a pu faire ça ?

Il reprend la visite de mon territoire, le parcourt par mille baiser chaud et sensuelle, je peine de plus en plus à lui résister, mon bassin ce mouvais de plus en plus au rythme de ses caresses, je me déteste de ne pas pouvoir mieux lui résister et lui le sens il sourit, rie même, houuu je le hais de me faire comprendre que j'aime ses caresses, sa tendresse, mais il faut que ça finisse, je ne peux continuer comme ça, il n'y a pas d'issue, on finira tous les deux malheureux entraînant dans notre chute nos conjoints réciproques et lui sa fille.
-"Arrête, je ne veux plus, je t'en prie, il faut reprendre nos vies où elles se sont arrêtées avant ton accident, tout cela nous mènera nulle part" Je le repousse attrape sa chemise et l'enfile sur mon corps tremblant encore de ces caresses.

-"Non, tu ne peux pas dire ça, je viendrais tous les week-end pour te voir, on ne se quittera pas, je ne veux pas"

Il s'approche me temps la main, mais non non et non cela suffit.

-"Quoi, le week-end comme une pute, qui a le droit de voir son régulier, mais m''a parole tu es dérangé ou quoi, moi je te parle d'une vie, construire et non détruire, ta famille est peut-être mal faite, mais ça c'était ton choix, fais avec moi c'est vrai je t'aime à la folie, néanmoins je ne peux continuer comme ça, je veux une vie à moi, un mari des enfants, pouvoir construire quelque chose autour d'eux, vieillir avec un homme qui m'aime et qui n'aime que moi, toi tu ne peux me le donnée alors va temps et ne reviens plus"

Je me dirige vers mon coffre, l'ouvre en retire une petite boite et lui tend.

-"Tiens, elle t'appartient, prend là et va-t-en"

Il me regarde, là nu et beau, oh oui si beau, mon dieu pourquoi c'est si compliquer alors qui suffirait de me jeter dans ses bras, de l'embrasser et de faire comme il le désire le voir toutes les fins de semaine, mais au moins le voir, en le mettant dehors je ne le reverrais sûrement jamais.

Ouf, le téléphone, je lui tends la boite qu'il prend sans rien dire, il ne bouge pas et me regarde faire.

-"Oui, Isabelle ! Que se passe-t-il ?"

Je suis totalement paniquée, mon dieu "Jean-François ?"

-"Quoi ? D'accord j'arrive tous de suite, je suis contente, je m'habille et je pars"

Je raccroche me précipite dans ma chambre, prend le premier pantalon et pull qui me tombe sous la main, enfile une paire de baskets et me dirige vers la porte en chantonnant.

-"Marie, où vas-tu ?"

Me dit-il, au milieu de mon salon, la bague à la main, il n'avait pas bougé d'un pouce.

-"Je vais à l'hôpital, Jean-François c'est réveillé et il a l'air d'aller bien, je vais le voir tous de suite, habille-toi et en partant claque la porte"

-"Mais, quand nous reverrons-nous, ça ne peut s'arrêter là, je t'en prie Marie"

-"Adieu, Mathieu" je tourne les talons et me sauve avant de Ne plus avoir le courage de le quitter.
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Je continuerais de mettre la suite pour les invisibles
Merci néanmoins de lire
kiss
S comme

Re: les choix de Marie

Message par S comme »

Je lis moi...
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Merci

je ne le met pas pour rien !! ça fait plaisir
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

TROISIEME EPOQUE



Cela fait six mois que j'ai adopté le petit Antoine après bien des difficultés l'administration à enfin accepter, il n'ira plus en foyer, maintenant c'est mon fils et je l'aime énormément, depuis la première fois où je l'ai vu, j'ai su que je le prendrais avec moi.

Aujourd'hui je vis à Etretat, c'est un ancien village de pécheurs, maintenant c'est une station balnéaire de renom, elle se trouve au nord du Havre en normande sur le littoral de la manche.

J'ai une jolie petite maison ancienne, un grand jardin, de nombreux arbres nous protègent des éventuels curieux, nous sommes environ à deux km de la mer et nous y sommes très bien.

Paris, parfois me manque, toutes les activités surtout, mais ici nous reconstruisons une vie, Jean-François. Va beaucoup mieux et cet endroit y a beaucoup contribué, l'air pur, le calme de notre maison. Oui, il est heureux et moi aussi.

La maison me semble bien vide ces temps si, son travail le retient souvent loin de nous, il est avocat dans un grand cabinet à New-york, il voyage beaucoup, je ne l'ai pas revue depuis deux mois, mais tous les jours sont coup de téléphone me fait sauter de joie ;

La plage d'Etretat, commence à se vider c'est bientôt la rentrée des classes et les vacanciers rentre chez eux, le calme revient progressivement, nous pouvons de nouveau profiter de nos baignades dans les vagues de la manche. Mais plus pour longtemps, le vent déjà commence à se lever, bientôt il fera trop froid.

"Maman, c'est bientôt je vais à l'école ?"

"La semaine prochaine, chéri"

"Ah super, là on va se baigner"

"D'accord, va chercher ton maillot"

Il n'arrive pas, à celui-là jamais pressé, il a toujours le temps.

"Dépêche-toi, ta soeur est déjà dans la voiture"

"Oui maman, j'ai pris un jouet pour Laura"

"T'es gentil, allez grimpe que je t'attache"

Et voilà, ma petite famille partie faire trempette, Antoine adore l'eau, il s'est déjà nagé, mais faut surtout, ne pas le lâché, car il va toujours trop loin du rivage. Laura, a tout juste six mois, c'est un petit bouchon souriant avec des cheveux châtains et des yeux bleus comme une source fraîche des montagnes.

Plusieurs couples ont déjà installée leurs serviettes, je cherche un endroit confortable, Ici, c'est bien un peu éloigné des autres la contre le rocher en plus l'eau est calme, je pourrais surveiller mon monstre chéri, il y a déjà une petite fille, qui fait trempette mon fils la rejoint, ils ont l'air de bien s'amuser ces petits coquins. Je les regarde barboter, leurs rires font du bien à mes oreilles, j'aime lorsqu'il s'amuse il a tant souffert que toutes les joies que je peux lui donner, je ne lui en prive pas, mais sans le pourrir non plus.
Ça fait bien une heure qu'il joue tous les deux, je me demande qui sont les parents de cette petite fille, je ne la distingue pas beaucoup de si loin, elle semble plus jeune que Thomas, brune, fine et mignonne. Je les surveille du coin de l'oeil en donnant le biberon à Laura.

Un homme les rejoints, la petite lui saute au cou, il la soulève et lui mange son bedon tous mouillé, mon fripon rit aux éclats, frotte les cheveux de mon fils et part avec sa fille toujours accrochée au cou de celui-ci, je ne vois pas son visage, mais il est grand musclé son corps me rappelle tellement une personne de mon passer, mais non il est loin, la dernière interview disait qu'il se rend aux états Uni pour une recherche importante et top secrète, je ne suis pas prête de le revoir, de toute façon ma vie est là avec ma petite famille.

"Antoine, viens on rentre, c'est l'heure demain on a plein de choses à faire et jean François rentre pour la semaine, je veux que tous soient parfaits à la maison".

"Il ne reste pas longtemps"

"Je sais chéri, mais bientôt, il viendra bien plus souvent tu verras"

Après les avoir baignés, je les mets au lit, leur raconte une histoire et les embrasses tendrement.

Je m'installe devant la télé, les photos de ma petite famille trône sur le buffet de la salle à manger.

Antoine et Laura, Jean-François et moi, nous quatre et aussi Isabelle l'infirmière de garde où je travaillais avant, nous sommes devenues de très bonne amie et elle vient souvent nous voir d'ailleurs elle va surement demandé sa mutation pour l'hôpital où je suis actuellement.

Oui ils sont tous là, ce que j'aime.

Vingt-deux heures, il ne va pas tarder maintenant, une voiture remonte l'aller c'est lui, je me précipite, je lui saute au cou et l'embrasse tendrement.

"Doucement Marie, tu m'as manqué chérie"

"Oh toi aussi, ça était ton boulot ?"

"Oui, mais là je veux rentre et te prendre dans mes bras, les petits sont on lit ?"

"Oui"

"Viens alors j'ai trop envie de toi, ça fait bien trop longtemps que je ne t'ai pas embrassé, caresser, fait l'amour je n'ai pensé qu'à ça tout le long du voyage, maintenant chérie, je veux que nous nous rendions dans notre chambre"

Il y fait bon dans notre chambre, faut dire que j'y ai mis tous mon coeur, un grand lit en pin, deux armoires identiques, deux chauffeuses près de la fenêtre et une petite bibliothèque, Un grand tapis moelleux qui pourra en raconter.
Oui nous étions bien tous les deux ici, l'un contre l'autre, on s'est marié il y a un an déjà, lorsqu'il c'est rendu dans cette bijouterie la veille de Noël c'était pour m'acheter une bague de fiançailles et me l'offrir sous le sapin de Noël, dernière tentative de sa part pour me faire accepte enfin sa demande, mais tout ce qui s'était passé ensuite, l'en avait empêché et c'est quelques mois plus tard qu'il me fit sa demande.
Je n'ai jamais regretté, même si parfois au début les bras de Mathieu me manquer, la flamme de son amour si intense qui me faisait brûler. Aujourd'hui il y a Jean-François et je l'aimais, il est l'opposé de Mathieu, mais avec lui j'avais l'amour exclusif, la sécurité pour moi et les enfants.

Son corps près de moi, me faisait l'impression d'être enfin complète, sa main qui courrait entre mes reins, me donner des frissons de plaisir, il me caresse, doucement, simplement comme s'il avait peur de m'abîmer.
Dernière modification par Supprimé le 29 juin 2011, 19:26, modifié 1 fois.
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

"Chéri, viens tu m'as trop manqué vient fait moi l'amour"

Il se penche sur moi, embrasse ma nuque, le lobe de mon oreille, me susurre des mots d'amour, mon corps cherche son contact, je le prends par la taille et l'embrasse avec frénésie, ses mains on déjà pris mon sexe en charge et ses doigts tendre font un bien fou à mon clitoris, mes jambes s'ouvrent devant le plaisir qui m'attend déjà et son sexe me prend doucement pour faire durer cet instant magique, la nuit entière nous nous amusons à nous donner tous les délices que l'être humain peu inventé, oui j'aimais cet homme pour sa douceur, sa façon de faire l'amour. Je veux que sa dure toujours.

Le lendemain au petit-déjeuner les enfants étaient fous de joie de voir leur père, ce n'était que rire et chanson dans la maison, bien sûr la petite ne courrait pas partout évidemment, mais son contentement était bien présent aussi, La semaine passa à une vitesse folle, j'aurais bien voulu qu'il soit présent pour la rentrée des classes, mais le travail le rappelait déjà.

"Ça va aller chérie, je rentre dans 15 jours d'accord"

Il m'embrasse, je le serre contre moi, il me prend par les épaules et me sourit, embrasse les enfants et monte dans sa voiture, oh le bruit du moteur lorsqu'il s'éloigne me fait mal et voilà je ne le vois plus, je rentre à la maison avec les enfants.

Aujourd'hui, je vais faire les courses, il me manque quelques bricoles pour l'école et puis ça va nous sortir, nous irons aussi faire un tour sur la vielle voie ferré entre Etretat et les loges, en cyclo draisine ça devrait amuser Antoine, ensuite j'irai dépenser quelques sous pour les enfants. Une glace, un joujou ça leur fera oublier le départ de leur Papa, les enfants c'est comme ça, ils vivent l'instant présent et ces très bien.

Le jour le plus difficile pour les mamans. Là rentré des classes, je n'en avais pas dormi de la nuit, je me suis levée tôt, pris ma douche pour effacer les cernes que j'ai sous les yeux grâce à cette nuit blanche, un coup de brosse, léger maquillage et direction la cuisine. Bon, je vais me faire un bon petit noir bien serré, mais rien d'autre j'ai l'estomac tout noué. Quand même ce n'est pas la fin du monde, mon petit bout et tous heureux et moi j'en pleurerais.

"Antoine lève toi, c'est l'heure d'aller à l'école, mon chéri"

"Oui maman"

En peu de temps, lui qui d'habitude traîne, le voilà prêt, petit-déjeuner avaler vitesse, grand V, il se dirige déjà vers la voiture.

"Attend chéri, ta soeur n'est pas prête"

"Ben maman, on va être en retard"

"Mais non, on a encore le temps"

"Je ne veux pas arriver en retard moi"

"On est parties, on est parties"

J'installe, Laura dans son siège auto, vais pour attacher Antoine il l'avait déjà fait.

"Eh bien, tes vraiment presser dit donc" lui dit-je en riant

On arrive. Oh là là il y a un de ces mondes, faut dire que la maternelle est dans la même cour que les primaires alors forcements ça fait du peuple, mon petit bonhomme rentre en Cm 1, je cherche sa maîtresse, lui me lâche la main et court déjà parmi les autres enfants il y en a qui pleurent à chaudes larmes, mais le mien, lui veut se faire des amis, moi j'ai mal au ventre de le laisser ici, lui il s'en fout il se dirige droit vers une petite fille.

Mais c'est la petite de la plage, on dirait bien que oui, il la prend par la main et la conduit vers moi.

Je l'ai déjà vue, mais où ?

"Maman, c'est ma copine, elle s'appelle cl....

"Clotilde, que fait tu ?"
Je lève la tête, regarde l'homme là devant moi, mon sang s'enfuit de mon corps, j'ai la tête qui tourne, je sers plus fort mon bébé dans mes bras pour ne pas l'échapper, tellement je me sens mal.

"Marie"

Oui c'est lui Mathieu.

"Mais que fait tu ici ?" arrivait-je à lui dire

"Ça se voit, j'emmène ma fille à l'école, mais toi tu habites ici ?"

"Oui"

Il me détail, regarde mon fils, ensuite Laura et son regard revient vers moi.

"Tes enfants ?"

"Oui, Antoine et Laura"

"Ah ! Et Jean François, comment va-t-il"

"Très bien"

"Ah bon a bientôt"

Il prend la main de sa fille et reprend la direction de la maternelle, moi après mettre reprise, je conduis Antoine dans sa classe.

Tout le trajet du retour je ne pense qu'à lui, mon dieu, mais que fait-il ici, exactement ou non habitons, je ne peux y croire, ce n'est pas possible il devrait être aux Etats Unie aujourd'hui.

Je risque de le voir tous les jours, oh, non, je ne veux pas.

La journée sans Antoine me paressa d'une longueur interminable, pourvu que tous ces biens passez, je vais aller le chercher il va avoir un tas de trucs à me raconter.

Bon, le portail n'est pas encore ouvert, il faut attendre, nous sommes bien environ 30 à patienter, j'espère pouvoir moi aussi me faire des amies.
Mathieu ! Le voilà, il ne me voit pas tant mieux, moi je peux le détailler, toujours aussi beau même les quelques cheveux blancs qui ont fait leur chemin dans ses beaux cheveux ne le vieillisse pas. Il a quelque chose de changer, quelques rides aux coins des yeux pourtant cela ne fait, combien ? Deux ans tous au plus que je ne l'ai pas vu. J'ai l'impression qu'il est plus sur de lui, comme la première fois où je l'ai vu, peut-être que tous c'est finalement arrangé avec sa femme, je l'espère pour lui.

"Maman"

"Ah ! Mon chéri, tu t'es bien amusé ?"

"Oh oui, super avec Clotilde on veut aller à la plage t'es d'accord ?"

"Ben je ne sais pas ? Son papa, que dit-il ?"

"Il est d'accord"

"Bon va avec eux alors"

"Tu viens aussi maman !"

"Je ne sais pas chéri"

"Allez maman pas longtemps"

Je soupire, ah les enfants, mais, je n'ai pas tellement envie de me trouver en présence de Mathieu.

"Allez maman, si te plaît, viens aussi"

"Viens avec nous Marie, tu ne risques rien, je ne vais pas te manger"

Je ne l'avais pas entendu arriver derrière moi

"Bon d'accord, je passe à la maison et on se rejoint là-bas"

"Oui d'accord on se rejoint" me dit-il en souriant, oh se sourire, ce visage, j'avais l'impression de ne jamais l'avoir quitté, je sentais pleins de petites fourmis qui courraient sur mon bas-ventre, je me sentais rougir j'avais l'impression que tout le monde se rendez compte de l'effet qu'il avait encore sur moi, lui me souriait de plus belle, avait-il compris le message que mon corps envoyer.

"Bonjour Mathieu, on dîne toujours ensemble ce soir ?"

Une belle brune plantureuse s'était approchée, ses yeux me détailler après avoir vu les enfants, elle me sourit d'un air (bon je ne risque rien avec elle, marier et gosse tout vas bien).

Elle s'approche, lui prend le bras et l'embrasse, lui le lui rend, la prend par la taille et la repousse gentiment.

"À ce soir Mirabelle" elle ricane et monte dans sa voiture en lui lançant un baiser qu'il lui renvoie de la main et lui sourit.

C'est qui celle là ? Il trompe sa femme, il m'a vite oublié, je rage à ces hommes, il la suit du regard, lorsque la voiture est loin, il se penche vers moi.

"Alors, jalouse ?" ricane et part en prenant sa fille par la main

"Je t'attends à la plage Marie à tous de suite chérie"

Je rentre chez moi d'une humeur de chien, ce n'est pas vrai le premier jour que je le vois et je suis dans tous mes états.

"Maman on y va ?"

"Non, je reste là"

"T'a promis, Clotilde va m'attendre, si te paît maman" il pleurniche, oh non, je ne veux pas y aller, pas après ce qu'il m'a dit.

"Maman" me dit mon petit bout en pleurnichant, je craque.

"Bon d'accord"

La plage de galet est vide, forcement les parents sont à la maison avec leur progéniture, il n'y a que moi pour céder au caprice d'un enfant, le temps est splendide, c'est vrai les enfants pourront se détendre après cette première journée.

Il est là, il me fait signe.

"Vient Marie, assis toi vers nous" il se pousse et me laisse une place près de lui.

Non mais j'ai ma serviette moi aussi, je l'étends à une distance que je trouve respectable, installe Laura près de moi et donne l'autorisation à Antoine de rejoindre la grande bleue.

Les deux enfants barbote joyeusement, je les surveille tous en donnant le biberon à Laura.

"Elle te ressemble, je peux la prendre ?"

"Si tu veux"

Je lui passe mon bébé, nos mains se frôlent, nos regards se croisent, je baisse les miens, je ne veux pas lire ce qu'il pense.

"Bonjour jeune demoiselle, vous êtes aussi belle que votre maman que j'aime"

Ce n'est pas vrai, il ne va pas remettre ça, je ne réponds pas, me contente de surveiller les enfants qui se pourchassent dans les vagues.

"Marie, tu es toujours avec Jean-François et cette petite est sa fille dis-moi ?"

"Oui, pour les deux questions, d'ailleurs regarde" je lui tends ma main.

"Nous sommes mariés depuis un an et je suis comblée, je ne pouvais trouver un mari aussi aimant, il adore ces enfants et m'aime à la folie".

"Ah ! Bien"

"Et toi que fait tu là, je croyais que tu devais partir aux états Unis ?"

"Oui, mais après l'accident de Clotilde, elle est restée fragile, je n'ai pas voulu, partir si loin, j'ai donc fait un dill, je travaille chez moi et les résultats sont expédiés directement par courrier spécial".

"Chez toi, mais comment tu fais et où ?"

"Ils ont monté un labo et depuis un an je vis ici, avec Clotilde"

"Ta femme, n'est pas là ?"

"Non, elle vient de temps en temps, elle voyage toujours autant, mais nous sommes séparés, elle voudrait bien que l'on recommence, mais pas moi".

"Ah ! Bon"

"C'est pour ça la fille, devant l'école, c'est t'a nouvelle copine ?"

Lui riant aux éclats,

"Je le savais, tu es jalouse"

"Non, n'importe quoi !"

"Oh ! Si tu es jalouse et moi ça m'arrange, je sais maintenant que j'ai encore une chance de te récupérer".

Je me lève, récupère Laura, prends mes affaires et appelle Antoine

"Viens chéri on rentre"

"Oh, non maman, pas tous de suite"

"Dépêche toi, je n'ai pas le temps de discuter, viens"

Je me dirige déjà vers ma voiture, installe Laura et attends énervé que Monsieur mon fils daigne se dépêcher, enfin je l'attache aussi, fait le tour de la voiture et ouvre ma portière.

"Marie, si te plaît, laisse-moi une chance"

"Non, j'aime Jean-François, je ne le quitterai jamais, tu entends ?"

"D'accord, mais alors on peut se voir quand même, je te rassure en tant qu'ami, simplement, je t'en prie, Marie, rien que pour les enfants, ils s'entendent à merveille, je ne te parlerai pas d'amour, s'est promis, Clotilde adore ton fils et moi, je veux te voir aussi, promis je serais sage, on pourra se baladé faire visiter ce village et les alentour aux enfants tu vois avec eux tu ne risques rien, je ne te toucherais pas, s'il te plaît"

"Bon, je verrais, je vais y réfléchir, promis"

"D'accord alors samedi, on ira visiter les halles ça plaira aux enfants"

"Je n'ai pas encore dit oui"

"Tu ne risques rien il y a plein de monde là-bas"

Je réfléchis, ces vrais les enfants adoreraient, d'ailleurs, Antoine me fait oui de la tête. Après tout, qu'est-ce que je risque et moi aussi j'aime sa compagnie, peut-être que nous pourrions devenir amis, qui peut savoir.

"Bon d'accord, vers 14 heures ça te va ?"

"OK !" Il retourne sur la plage en sifflotant. Oh là là ! ai-je eu raison.

"Allô, oui Jean-François, ça va et toi ?"

"Moi ça va chérie, mais je trouve ta voix étrange, que se passe-t-il ?"

"Rien, rien tout va bien, je n'inquiète pas"

"Je sais que quelque chose te tourmente, les enfants ?"

"Non, bon c'est Mathieu, il habite ici maintenant.

Aucune réponse, il a raccroché ?

"Jean-François ?, répond moi"

"Tu l'aimes toujours n'est-ce pas ?"

"Pourquoi tu dis ça ?"

"Sinon cela ne te poserait pas de problème qu'il soit près de nous"

"Non, je ne l'aime plus, c'est toi que j'aime tu devrais le savoir depuis tous ce temps".

"Je n'en suis pas sûr, quelque chose existe entre vous deux, cela, se voit, dès que vous êtes ensemble, il faut que tu fasses ton choix, je rentre mercredi, on en reparlera".
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

"Mon choix est déjà fait, c'est toi à mercredi chéri, je suis pressée que tu rentres, tu me manques".

"Bonsoir chérie, toi aussi tu me manques, à mercredi"

"Attend chéri"

"Oui que veut tu ?"

"Je voulais te dire aussi, que je vais visiter les halles avec lui et les enfants"

"Ok, si c'est ton choix chérie, je m'incline"

"Hein ? Non, non Jean-François. C'est juste pour les enfants, ils sont amis et nous ne voulons pas les priver, mais il n'y a rien d'autre"

"Tu es sûr ?"

"Oh oui j'en suis sûr. Je t'aime Jean-François"

"Moi aussi, à mercredi, fait bien attention à toi et aux enfants. Merci de me prévenir pour la balade. Je t'adore Marie"

Je raccroche, mais ces paroles font leur chemin en moins douloureusement, "il existe en lien entre vous", que voulait-il dire ? Moi je ne veux qu'une seule chose vivre heureuse avec mes enfants et mon mari, il faut que Mathieu comprenne, je suis sûr que tout ira bien. Mais les paroles de mon mari, continue de me torturer. "Si tu ne l'aimais plus, il ne dérangerait pas", c'est vrai j'ai peur de me trouver près de lui, mon corps désire qu'il me touche. Mais cela ne nous mènera à rien, c'est Jean-François que j'aime.

samedi, les enfants sont prêts, le week-end et à nous, il faut rejoindre Mathieu, je loge les enfants dans la voiture et nous voilà partie aux halles.

Il est là sur le parking à nous attendre, il nous fait signe je place la voiture près de la sienne, il m'ouvre la porte, je descends.

"Bonjour marie"

"Bonjour"

Je fais le tour ouvre pour Antoine, lui sort Laura et la porte jusqu'aux halles ou attend déjà Clotilde.

"Bonjour Clotilde, tu vas bien ma puce ?"

"Bonjour Madame"

"Non appelle-moi Marie, ma chérie"

"D'accord, on peut aller jouer avec Antoine, là-bas ?"

Près d'un café, il y a des toboggans et des balançoires.

"D'accord"

"C'est un parc payant pour enfants, comme cela les parents peuvent faire leurs courses tranquillement" me dit Mathieu.



"Ah oui, alors ils ne peuvent pas y aller ?"

"Mais si, je vais aller régler, pour une heure, après nous verrons"

Il s'éloigne, paye et confit Laura aux mains de la personne présente, puis me rejoint.

"Mais Laura....

"Chut, laisse là, je connais cette femme, il ne lui arrivera rien et ça nous fera un peu de repos, j'ai payé pour deux heures, je vais te faire visiter le musée d'Arsène lupin et ensuite le manoir de salamandre.

"Attend, ce n'était pas prévu comme ça"

"Pourquoi, t'a peur ?" Me dit-il en souriant.

"Non, mais je ne vais pas laisser les enfants et partir tranquillement avec toi"

"Pourquoi pas ? Nathalie prendra soin des enfants c'est une perle, je t'assure et de toute façon les musées ne vont pas les intéresser, mais nous oui"

"Je sais, mais on peut rester là au café et les regarder jouer"

J'essaie tout pour ne pas allez avec lui. Malgré tout j'avais envie, mais je ne suis pas sûr de pouvoir lui résister s'il essaye de m'embrasser.

"Arrête de faire ton idiote, je sais ce que tu penses. Je te jure que je ne te violerais pas, je veux seulement faire visiter ce qui m'a plu ici"

Il me souriait, je savais que je finirais par dire oui, en plus j'avais vraiment envie de visiter le coin et ensuite j'y amènerais Jean-François.

"Bon d'accord, on y va, mais pas touche d'accord ?"

"Oui, j'ai promis" me dit-il avec un clin d'oeil.

Il me fit monter dans sa voiture et pris la route en direction du clos lapin, rue Guy de Maupassant, c'est où Maurice Leblanc en avait fait son cabinet de travail, un ermitage a colombage entouré d'un jardin à la française, il contenait une foule de bibelot, d'oeuvre d'art concernant Arsène Lupin d'ailleurs un des livres de Maurice Leblanc se passait à Etretat.
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

"ça te plaît ?"

"Oui c'est incroyable tout ce que contient ce musée sur Arsène Lupin on a l'impression qu'il va sortir d'une de ces portes".

"Oui c'est l'effet, que j'ai ressentie la fois où je l'ai visité pour la première fois, viens continuons".

Nous parcourions le jardin, il y faisait bon et le peu de promeneur qui s'y trouve ne nous déranger en rien, nous étions seuls au monde, sa main chercha la mienne, je ne dis rien et le laissa faire, un trouble m'envahit, je regardais autour de moi comme si de rien était.

« Marie »

« Oui »

« On est bien tous les deux »

Je ne réponds pas, mais ces vrais. Vraiment nous étions bien »

« À quoi tu penses ? » me dit-il

« À rien »

Il s'arrête se tourne vers moi, me prend le visage, nous nous regardons, ses bras m'encercles et il m'embrasse son corps ce serre contre moi, je ne dis rien, le sentir là contre moi, ce corps si fort son parfum enivrant, je réponds à son baiser avec envie de poursuivre plus loin.

Mon dieu, Jean-François, avait raison, je ne sais pas lui résister, mon âme ne demande que ça, qu'il m'embrasse, qu'il me prenne dans ses bras.

« Viens allons boire quelque chose »

« Où va-t-on ? »

« Au manoir de la Salamandre, c'est tout près des halles ensuite nous récupérerons les enfants ».

« D'accord »

Nous roulons en silence, entre nous le courant était électrique, le paysage défilait à une vitesse vertigineuse, nous arrivions tout près de la rue principale près des halles.

Le voilà le manoir dont il me parlait, un hôtel-restaurant, magnifique, la façade offre un bestiaire fantastique et une galerie de personnages mystérieux ou se côtoient mythes et symboles alchimiques

« Quand pense tu Marie ? »

« C'est incroyable vraiment, cette maison est fantastique »

J'étais pressée de voir l'intérieur.

« Ici, c'est la suite de notre visite, on dit que Arsène Lupin, n'a jamais pu dérober un trésor la pierre philosophale et le parchemin qui indique l'endroit où elle se trouve serait ici au manoir de la salamandre.

Je l'écoute, en examinant cette bâtisse d'un autre âge, j'imagine Arsène Lupin, cherchant ce morceau de papier cacher dans les murs de cet établissement.

Il me prend la taille et me conduit à l'intérieur ;

« Bonjour, monsieur maréchale »

« Bonjour Éric »

« vous désirer ? »

« une table, pour boire un bon chocolat chaud s'il vous plaît Éric »

« suivez-moi. Madame, Monsieur »

Nous entrons dans une grande salle, pleine de grande poutre, des dizaines de table étaient dressées près à recevoir une multitude de clients, elle avait toutes une nappe à carreau blanc et rouge, cette salle était très accueillante.

« Cela vous convient ? »

« Oui, parfaitement, merci »

La table est dans un coin tranquille sur le balcon de restaurant, l'air iodé et frais de la mer nous frapper au visage, mais le paysage est à vous couper le souffle, une vue imprenable sur la plage, les vagues se fracassé sur les rochers, les mouettes criant juste au-dessus de nous.

« alors tu ne regrettes pas de m'avoir suivi ? »

« Non c'est vraiment très beau »

Il regardait dans le lointain, qu'il est beau. Une mouette nous survole de trop prêt, il sourit, me regarde sans rien dire. Comme il me plaît, je ne m'en sortirais jamais, comment vais-je faire ?

On nous apporte deux chocolats bien chaud, que nous dégustons avec plaisir. Nous ne parlons pas, mais nos regards ne cessent de se croiser, à quoi pense-t-il, ? Il faut que je casse de silence pesant.

« il faut aller chercher les enfants »

« On a encore le temps »

« Mais ça fait déjà plus de deux heures »

« Je sais j'ai payé la demie journée»

« Quoi ? »

« Excuse-moi chérie, mais je te voulais pour moi »

« tu es malade, je croyais que l'on s'était mis d'accord ? »

« Oui, je sais, mais je ne peux pas, je rêve que de toi, je veux te prendre dans mes bras, te faire l'amour et encore l'amour jusqu'à ce que nos corps n'en puissent plus. Ne me reproche pas de tenter ma chance, je ne veux pas te voir tous les jours sans pouvoir t'approcher. Oh Marie laisse une chance à notre amour, je t'en prie...

Je l'interromps

« Arrête, tu m'avais promis, je t'ai fait confiance, je m'en vais chercher mes enfants et je rentre, ne m'approche plus jamais ».

Il me suit, j'ai déjà pris le chemin des halles, là où nos enfants nous attendant.

"Marie attend »

« Fous-moi la paix »

« Je sais j'ai promis, d'accord je ne dirais plus rien, j'attendrai seulement »

« Attendre quoi ? »

« Que ce soit toi qui viens vers moi, j'attendrais le temps qu'il faudra »

« tu vas attendre un moment »

J'entre dans la crèche, récupère mes bébés heureux de me revoir, lui récupère Clotilde et me suit.

J'installe, les enfants dans ma voiture, fait le tour ouvre ma portière, fait un bisou à Clotilde et monte dans ma voiture sans un mot de plus a Mathieu.

« Marie »

Je claque la portière de mon véhicule. Il s'approche de ma voiture.

« Pardon, marie, je ne veux pas que l'on se quitte comme ça, revoyons-nous, rien que pour les enfants, ils s'adorent, on ne peut pas les séparer comme ça, Marie, moi non plus je ne peux vivre sans te voir, même si je ne peux pas te toucher, laisse-moi te voir

« Non »

Je démarre et file le long de la route pour rejoindre mon domicile, je ne veux plus penser à lui, il me hante, c'est vrai que je suis en colère, mais pas qu'après lui, mais aussi contre moi, car j'ai un moment désiré qu'il loue une chambre dans cet hôtel, qu'il me porte dans les draps du lit pour me déshabiller, sentir son corps nu contre le mien, le sentir me pénètre avec toute la puissance de son amour. Oui je l'ai pensé si fort que cela m'a fait peur, je n'aurais pas résisté s'il me l'avait proposé.

Un mois que je ne l'avais vu, nous étions mis octobre les enfants partaient en vacances chez leur grand-parent paternel, quinze jours à passer avec Jean-François en amoureux lui aussi en congé pour une quinzaine de jours. Néanmoins, il devait rester disponible car actuellement ils étaient sur une affaire importante et pouvaient repartir d'un moment à l'autre. Moi j'avais posé aussi trois semaines de vacances, quinze jours à passer avec mon homme et une semaine pour récupérer ma petite troupe et tous remettre en place avant de repartir à l'hôpital

Nous avions discuté et j'avais réussi à lui faire comprendre que c'était avec lui que je voulais vieillir et notre couple allait à merveille, j'avais pu éviter Mathieu à l'école s'était leur nounou qui l' amenait et allez le chercher, quelquefois j'y allais moi-même, mais je restais dans la voiture et Antoine venait me rejoindre.

J'avais aperçu Mathieu plusieurs fois, tenant la main de Mathilde et parfois la brune était avec eux, j'en avais mal au ventre de le voir la tenir par la taille ou l'embrasser mais j'avais fait mon choix, il fallait m'y tenir, un point c'est tous.

« j'ai une surprise pour toi mon chéri »

« Ah oui c'est quoi ? »

« Quinze jours à l'hôtel, balade, visite, chambre et chambre » lui dis-je en l'embrassant.

« Hummm tentant ma jolie, mais tu sais qu'il faut que je ne m'éloigne pas trop ».

« Oui, oui je sais, l'hôtel c'est la salamandre, c'est juste a quelques kilomètres en plein centre-ville, d'Etretat, ça te plaira, j'ai déjà demandé au facteur de nous poser le courrier là-bas, ça ne le dérange pas m'a-t-il dit, donc on part tous t'a l'heure. J'ai déjà fait les bagages »

Enfin la salamandre, je pousse la porte

« Bonjour Madame enchanté de vous revoir »

« Bonjour Éric, j'ai loué une chambre »

« Oui madame suivez-moi »

« Voilà c'est ici »

Il nous ouvre la porte, super elle est pleine de lumière, un mur fait que de fenêtre donnant sur la mer, une terrasse pour les petits-déjeuners en amoureux, un grand lit a baldaquin, un coin salon et un pour le repas lorsque l'on ne veut pas dîner au restaurant de l'établissement. J'étais sous le charme le parquet de bois craquer sous mes pieds, j'adore ce bruit qui me rappelle mon enfance lorsque j'avais encore mes parents, leur maison entièrement couverte de parquets à la française et on ne pouvait se lever la nuit sans qu'ils ne l'entendent

« Alors, Jean-François, tu en penses quoi ? »

Il était à l'embrasure de la porte et me regarder virevolter dans la chambre en laissant échapper ma joie, mais il semblait préoccuper surement son boulot, je vais faire en sorte qu'il n'y pense plus au moins un moment.

Je m'approche, lui dépose un baiser et le prend par la main, pour le conduire au centre de la pièce.

« Alors ? »

Lui disant en lui montant toute la pièce de la main

« T'en pense quoi ? »

Il ne me répond pas. Je le regarde étonner. Il détourne son regard et interpelle Eric.

« Merci, Monsieur, nous gardons la chambre » dit-il

« Bien, Madame, monsieur bon séjours parmi nous »

J'attends qu'Éric se retire, ferme la porte et me tourne vers Jean-François

« Qu'y a-t-il chéri ?»

Il s'approche, me prend par les épaules et me regarde droit dans les yeux

« Avec qui es-tu déjà venu ici ? »

« Quoi, mais avec personne »

« Menteuse, il te connaissait et toi aussi »

« je t'assure »

« Arrête, ne me prend pas pour un idiot, répond, sinon je rentre à Paris tout de suite"

« Non, je t'en prie, viens, je vais t'expliquer »
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

Il s'approche, me prend par les épaules et me regarde droit dans les yeux

« Avec qui es-tu déjà venu ici ? »

« Quoi, mais avec personne »

« Menteuse, il te connaissait et toi aussi »

« je t'assure »

« Arrête, ne me prend pas pour un idiot, répond, sinon je rentre à Paris tout de suite"

« Non, je t'en prie, viens, je vais t'expliquer »

Je le conduis sur le canapé de la chambre, m'assois près de lui, mais il se lève et se place en face de moi et attend, il ne me quitte pas du regard, je me sens mal à l'aise, pourtant je n'ai rien fait de mal, mais le fait de l'avoir pensée j'avais l'impression de l'avoir fait.

« j'écoute, raconte, j'espère que ce n'est pas ce que je crois, sinon on se quitte je te préviens je ne pardonnerais pas et les enfants tu pourras leur dire adieu ».

« Non, t'a pas le droit »

« Oh que si, j'ai le droit, donc c'est-ce que je crois alors ? »

« non »

« ah oui, alors j'attends »

« je suis venue avec Mathieu, il y a un peu plus d'un mois »

« Tiens ! Tiens ! Aurais-je bien deviné ?»

Il se lève, se dirige vers la fenêtre et regarde vers l'extérieur.

« Ça, c'est passé ici, dans cette chambre ? »

« Non...

« Où alors ? » me dit-il hors de lui

« Nulle part, on a visité le musée d'Arsène lupin puis nous sommes venus ici boire un chocolat chaud, ensuite je suis allée chercher les enfants et je suis rentrée à la maison, je te l'avais dit que je sortais avec lui et les enfants.

« Où a tu laissés les gosses, pendant que tu traînés avec lui ? »

J'étais totalement paniquée, il ne me croyait pas.

« Aux halles, il y a une garderie, Mathieu a payé la demie journée, les enfants se sont bien amusés, je suis sûr que la promenade ne leur aurait pas plus de toute façon, mais je t'assure je n'étais pas au courant ».

« tu n'étais pas au courant, mais tu l'as suivi en laissant les enfants à une inconnue"

« Mathieu la connaissait, je t'assure ils ne risquaient rien, »

Il s'était approché, me pris par le bras et me conduisit sur le lit, me poussa et s'assied sur mon bas-ventre.

« je t'assure il ne sait absolument rien passer, je t'en prie chéri il faut me croire ».

Il me caresse la poitrine, descendait sur mon ventre, mais ses yeux ne me quittait pas, il était furieux.

« je t'en prie, chéri parle moi ? »

« Pourquoi, lui, il te parle quand il te baise ? »

« Arrête, il n'y a rien eu, je t'assure »

« je ne te crois pas, je t'ai déjà vu avec lui et je sais ce que tu ressens pour lui, alors arrête de me mentir »

Il poursuit le chemin de mon corps m'enlève mon chemisier, arrache mon soutien-gorge, se penche et il mord violemment la poitrine, ça me fait mal, mais je ne dis rien.

« tu aimes ça ? » Me dit-il méchamment

« Non arrête-toi, je t'en prie »

« tu rigoles tu es ma femme, moi aussi je veux ma part de gâteau, »

Il soulève ma jupe, me retire mon slip et les mains appliquer sur mon ventre pour que je ne puisse bouger, il me lèche avec avidité, mon corps répond tous de suite sa langue pénètre au plus profond de moi, je n'en peux plus, la tête sous ma jupe il me fait l'amour avidement, je pose ma main sur sa tête, il arrête aussitôt.

« Non me touche pas » me dit-il rageusement

« Mais pourquoi ?»

« je veux te baiser, mais sans te regarder tu me dégoûtes et je ne veux pas que tu me touches avec tes mains sale de lui ».

Je me mets à pleurer.

« je t'assure il ne s'est absolument rien passé »

« Tait toi »

Il reprend son manège, lorsque mon corps lui fait comprendre que je suis prête à le recevoir, il me retourne comme une crêpe. Et me prend, je ne peux que recevoir ce membre douloureusement en moi,

« tu me fais mal »

« tu te demandes si moi j'ai mal, alors endure ça te fait voir la douleur que moi je supporte de savoir que tu couches avec un autre ».

Il m'appuie entre les omoplates, je me retrouvais la croupe en l'air et la tête écraser dans l'oreiller, son doigt parcourait le chemin de mon petit trou et il le viola sans considération.

Lorsqu'il finit la découverte de tout mon corps que sa semence se trouva expulser de son sexe sur le bas de mon dos, il me lâcha et je m'écroulais sur le lit en larme, j'avais mal partout, mais mon coeur était en mille morceaux, il ne voulait pas me croire, pourtant je n'avais absolument rien fait.

« je pars, je rentre à Paris, je t'envoie mes avocats pour le divorce et je demanderais la garde exclusive des enfants. »

« Non, t'a pas le droit, je n'ai rien fait, je te le jure je n'ai pas couché avec lui, bon sang il faut que tu me crois chéri.

« Oh la ferme, tu n'es qu'une menteuse, salut »

Il claque la porte et part.

Je ne comprends pas, pourquoi n'a-t-il pas voulu m'écouter, pourquoi tant de violence, lui qui est toujours pour la discussion, je ne sais plus quoi pensée et mon corps qui me fait si mal, j'ai la poitrine qui me serre, je ne peux plus respirer.

Les enfants il faut que j'aille les chercher, sinon je ne pourrais pas les récupérer, vite il faut que je téléphone tous de suite.

Je me lève, mon corps et tout endolorie, je me rends dans la salle de bain et m'examine j'ai les seins couverts de bleu et mon entre jambes et douloureux, mon petit endroit me brûle. Mais le pire, c'est mon coeur jamais je n'ai ressentie une douleur aussi intense.
Je prends un peignoir et me dirige vers le téléphone

« Allo, c'est Marie, je viens demain récupérer les enfants. Quoi ? NON, vous n'avez pas le droit, comment ? C'est Jean François qui désire que vous les gardiez pendant quelques temps, mais je suis leur mère, vous ne pouvais pas. »

Elle me raccroche au nez, il faut que j'appelle Jean François

« Allo Jean-François, ta mère ne veut pas me rendre les enfants......

« je sais, tu les récupéreras plus tard, je veux qu'il reste où ils sont le temps que l'on règle notre problème »

« Mais je t'assure il n'y a rien entre moi et Mathieu »

« je m'en fous c'est trop tard, je divorce, tu as loué la chambre pour la semaine reste là, je vais vendre la maison »

« Mais c'est la mienne aussi »

« Non elle est à mon nom, je l'ai acheté avant notre mariage et nous sommes sous séparations de bien, donc rien n'est à toi, désoler chérie, mais, là tu es à la porte, profite bien de ta belle chambre. Ensuite j'ai vidé les comptes donc t'a plus rien sur ton carnet de chèques, tu aurais dû réfléchir avant de me tromper »

Il raccroche, je reste la le combiner à la main, je ne pense plus, je ne vois rien j'avais l'impression de me noyer, mes enfants, mon mari, tout m'échapper, que vais-je faire maintenant.

« Madame ça va » m'interpelle derrière la porte la voix d'un homme.

« Oui, oui ça va, merci »

« C'est moi madame Eric, ouvrez-moi, s'il vous plait »

« Non ça va je vous assure »

"J'ai vu votre mari partir furieux alors je me fais du soucis"

"Merci, mais ce n'est rien"

« Bien d'accord »

Il s'en va je me laisse tomber sur le lit et mes larmes s'écoulent doucement sur mon visage, je ne sais combien de temps je restais là a pleuré, mais dehors le soir tombe dans un coucher de soleil merveilleux dire que j'aurai pu le partager avec mon mari,

« Marie ouvre moi »

« Jean François ? » mon coeur tapé la chamade, il est revenu

« Non c'est Mathieu »

« Non va temps tout ça, c'est de ta faute»

« Non ouvre moi tout de suite »

« D 'abord que fait tu là ? »

'Ces Eric qui m'a prévenue ouvre je te dis, je ne bougerais pas d'ici »

Je me lève, ouvre la porte et le laisse entrer je retourne sur mon lit sans le regarder

« ça va chérie ? »

« Non, Jean-François croit que je l'ai trompé avec toi, il demande le divorce et aussi la garde des enfants »

« Quoi ? Donne-moi son numéro je l'appelle tous de suite »

« Là dans mon sac »

Il fouille dans mon sac, trouve le numéro et l'appelle.

« Met le haut parleur si te plait Mathieu »

« OK »

« Oui, Allo ? »

« Monsieur, herstabel ? »

« Oui, qui êtes vous ? »

« Monsieur maréchal »

« Bien on se connait ?

« non, enfin oui je suis Mathieu, je vous appelle au sujet de Marie »

« Eh bien, elle n'a pas perdu de temps dit-moi, son amant déjà dans son lit, pourtant elle ne devrait pas pouvoir supporter un autre homme avant un moment »

« Que dit vous ? »

Se tournant vers moi, l'oeil interrogateur

« elle vous racontera, mais faut dire que ça lui a plus, elle a pris son pied et moi alors comme jamais » il ricanait à l'autre bout du fils, Mathieu me regardait de plus belle il mit sa main sur le combiner du téléphone

« Que veut-il dire ? »

Je baisse la tête, je ne le regardais plus, je serre de plus belle mon peignoir sur mon corps meurtrie

« rien »

« on verra plus tard »

« allo, je ne sais pas ce qui s'est passé, mais je veux que vous compreniez une chose je n'ai pas touché votre femme même si c'est ce que je désire le plus au monde »

« c'est ça je te crois connard »

« je vous le jure, vous ne pouvez pas l'abandonner dans cet état, elle vous aime. Marie n'a jamais voulu du moi et pourtant j'ai tous essayer, mais ces avec vous qu'elle veut vivre »

" C'est trop tard, je vous en fais cadeau, je demande le divorce et la garde des gosses, de plus je vends la maison, dite lui que je lui verse sur son compte perso l'argent qui lui appartient, mais je ne veux plus entendre parler d'elle »

Je m'écroulai au pied du lit, il n'y avait plus rien à faire, tout était perdu, terminer, les genoux plier sous le menton je pleurais toutes les larmes de mon corps

« je vais vous descendre, espèce de salop lorsque je vous l'ai laissé il y a deux ans, c'était son choix, elle voulait faire sa vie avec vous et m'a laissé tomber, je me suis dit que vous l'aimiez peut-être plus que moi donc je me suis effacé si j'avais sût, je l'aurais amené avec moi, j'aurai insisté encore plus, vous me dégouter »

Je l'entendais rire, ça me fessait si mal

« à ce que je comprends, elle couchait déjà avec vous super j'étais déjà cocu, vous comprendre sans doutes, que mon choix est irrévocable, je suis avocat et je vous jure qu'elle va me le payer très cher, mon vieux, allez je me casse je vous laisse mes restes amuser vous bien »

Il a raccrocher sur un éclat de rire, je sais que c'est un exceptionnel avocat, je ne pourrais jamais revoir mes enfants il allait tous faire pour m'en empêcher, je me mie à pleurer de plus belle, Mathieu raccroche et me prend dans ses bras, je me love contre lui et mes sanglots finissent sur son épaule.

"ça va aller chérie, je suis là »

« Oui je sais »
Supprimé

Re: les choix de Marie

Message par Supprimé »

« Que vais-je faire, maintenant, il va me prendre mes enfants, je n'aurais jamais crue qu'il soit ainsi, il était si doux, je ne comprends pas ce qui lui arrivent, il n'a pas voulu me croire, n'a pas voulu en parler. Il m'a jugé et condamné sans vouloir m'entendre "

« CHUT, calme toi »

Il me sert encore plus fort contre lui,

« Doucement, tu me fais mal »

« Quoi ? Fait voir »

"Non ce n'est rien" je sers mon peignoir et recule.

Il me rattrape par le bras et pose mon peignoir et là sous ses yeux ébahit, il constate les dégât, mon corps plein de bleu, ma poitrine si douloureuse, mon corps meurtrie par l'attaque de ses dents de son sexe.

« mon dieu que t'a-t-il fait, ce n'est pas vrai, je t'emmène à l'hôpital »

« Non, ce ne sont que des bleus, ce n'est pas grave, je vais me mettre de la pommade c'est tout cela ira je te jure »

« vas prendre une douche, je vais chercher de la pommade et des calmants, je reviens tous de suite »

L'eau coulait sur mon corps meurtrie, je ne savais que faire maintenant mais, Mathieu est là prêt de moi, pour m'aider et je me sentais un peu rassuré, je sorts met une chemise de nuit, celle que j'avais choisir pour mes nuits d'amour avec mon mari, maintenant, elle ne fessait que cacher mon corps meurtrie.

« Marie, viens j'ai ce qu'il te faut »

Je m'approche, prend le sac sort les calmant en avale deux, prend la pommade et commence en m'en appliquer sur les jambes.

"Donne je vais le faire couche toi »

je m'allonge sur le lit

« Non pose ta chemise de nuit chérie »

« Non, je ne veux pas »

« je t'en prie il le faut je dois te mettre de la pommade"

Je me retourne et lentement je retire ma chemise, chaque mouvement me fait faire la grimace, je me retourne vers lui en cachant ma poitrine.

Il me retire les mains doucement, soupir en voyant les dégâts et étale délicatement la crème sur la totalité de mes blessures, le froid calme le feu qui me fait souffrir.

« je vais le tuer, te quitter est une chose, mais là il est dingue, t'a-t-il déjà fait du mal ?»

« Non jamais, je ne comprends pas d'habitude on parle, mais là il n'a rien voulut entendre on aurait dit un autre homme »

Je t'emmène chez moi, tu seras en sécurité » Me dit-il en me rhabillant.

« Non je reste là, peut être changera-t-il d'idée »

« Non mais tu ne vas pas bien, t'a vu ce qu'il t'a fait, je l'empêcherai de t'approcher »

"Je reste c'est tout"

"Bon alors je reste aussi"

"Non rentre chez toi"

"ce n'est pas la peine, je dors dans le fauteuil et je ne bouge pas"

Il s'installe, je le laisse faire je n'ai pas envie de discuter.

"D'accord reste, je vais me coucher. Bonne nuit Mathieu"

" essaie de passer une Bonne nuit chérie"

Je n'avais plus de nouvelle de Jean François, seulement son avocat pour parler des papiers pour le divorce.

j'ai loué, un petit appartement pour moi et les enfants que j'avais pu récupérer, jean françois avait enfin compris que les petits avaient besoin de moi.

Notre vie reprenait le cours des choses, mais sans mon mari, déjà deux mois que je ne l'avais vu, pas un coup de fil rien le silence, Mathieu passez quelquefois, mais ne tentait ni de m'embrasser, ni de me toucher, ce qui m'arrange il faut le dire, en fait le moindre frôlement de ma personne m'effarouche, la brutalité de jean François m'avait laissé des marques cuisante qui heureusement j'étais médecin j'avais pu soigner moi-même, sans avoir eu recours a quiconque



La maison fut vendue en peu de temps, il faut dire qu'elle était splendide, de plus ici tous partait comme des petits pains, j'en avais mal au coeur, j'avais aménagé notre nid d'amour avec passion et il avait tous laisser je n'avais rien pu récupérer, que quelques photos des enfants, mais aucune de nous deux il avait tous brûler, c'est sa mère qui s'était empressé de me le raconter, au téléphone elle avait une voix mauvaise, j'avais beau lui expliquer que je n'avais pas trompé son fils elle n'en avait que cure.

"Maman, pourquoi papa il ne t'aime plus ?"

me dit Antoine

"Il dit que tu as fait quelque chose de mal et qu'il ne veut plus jamais te voir, c'est quoi que tu as fait dit-moi ?

"Non rien mon chéri, je n'ai rien fait, mais des fois les papas et les mamans se quitte parce qu'il ne s'aime plus c'est tous"

"Ah bon, comme le papa et la maman de Clotilde ?"

"Oui c'est ça mon chéri, aller file prendre ta douche et va te coucher, je viendrais te faire un gros bisou"

"Oui"

Et il se sauve en chantonnant, moi je le regarde passer la porte de la salle de bain et m'effondre en larmes sur le divan, que va-t-il raconter aux enfants en plus, il ne lui a pas suffi de me faire du mal, maintenant il leur raconte des sornettes, il faut que j'arrive à lui parler et que l'on trouve un accord

« Allô, Jean-François ? »

« C'est toi Marie ? »

« Oui, je t'en prie ne raccroche pas, je veux te parler des enfants »

« Quoi ? Tu les as que veux-tu ? »

« je voudrais que tu ne leur racontes pas n'importe quoi sur moi, je sais que tu ne veux plus me voir, mais ce n'est pas une raison pour me démolir plus que tu la déjà fait ».

« D'accord, j'ai eu tort, je ne dirais plus rien, comment vas-tu chérie, tu vis avec ton amant maintenant ? »

« Non, je te l'ai déjà dit, je n'ai pas d'amant, crois ce que tu veux ".

« je ne te crois pas «

« je m'en fiche tu m'as fait trop de mal, peut importe ce que tu penses, dorénavant je ne ferais plus jamais confiance à un homme, grâce à toi, soit content, pour l'instant je ne supporte plus que l'on me touche, j'espère que tu jubiles, je t'aurais confié ma vie et je me rends compte, que j'avais tort tant pis pour moi ça me servira de leçon »

« OK, je voudrais te rencontrer, demain à 23 heures sur les falaises d'Amont, ne soit pas en retard, il faut que je te parle c'est important, je t'aime Marie, je t'aime à la folie, pardonne-moi je t'en prie ».

« Quoi ? »

Il a raccroché, je n'en reviens pas pourquoi ? Je ne sais plus quoi penser, il me dit qu'il m'aime et me demande de lui pardonner, oh mon dieu, je suis perdue, que faire, lui pardonner ?

La journée se passa plutôt bien, je conduis Antoine à l'école le laissa à la cantine, Laura je la confiai chez la nounou, pour que je puisse aller chez la coiffeuse et ensuite l'esthéticienne je voulais être parfaite pour rencontrer Jean-François je ne voulais pas qu'il me voie complètement abattue, je voulais qu'il me trouve belle.

Il fait froid aujourd'hui, je me presse, le vent souffle la tempête s'annonce, les rues sont vide maintenant, il y a quelques mois, on se bousculait et moi j'étais aimée.

Voici la porte de la coiffeuse, je suis en retard.

« Bonjour Marie » Je sursaute.

« Ah bonjour Mathieu »

« Ça va ? »

« Oui et toi ? »

« Ça va aller pour les politesses, que fait tu aujourd'hui ? Si on allait se promener, ça te fera du bien et moi je voudrais passer un peu de temps avec toi "

« Oui, je comprends, mais je dois aller chez le coiffeur et l'esthéticienne, j'ai un rendez-vous ce soir ».

Il m'attrape le bras.

« Hein, tu as un rendez-vous ? Mais c'est qui, tu as rencontré quelqu'un ? »

"Non »

« Bien » me dit-il soulager

« Alors ? »

« Bon, c'est Jean François...

Il me prend par les épaules, me dévisage.

« tu plaisantes, ce n'est pas vrai ? »

« C 'est seulement pour parler des enfants et de nous, il m'a dit qu'il m'aimait et me demande pardon, donc je vais le voir et on parlera ».

"Et tu vas le croire, mais bon sang tu ne te rappelles pas ce qu'il t'a fait ?"

"Je m'en fiche, je veux le voir. Lâche-moi"

« Non, je vais avec toi «

« Surement pas, excuse-moi, mais là j'ai rendez-vous, à plus tard Mathieu »

Je l'embrasse sur la joue, il me prend par le bras m'attire à lui et tente de m'embrasser

'Non »

il me relâche et je me sauve, sans me retourner

vingt-deux heures, je prends ma voiture et me dirige le coeur battant vers la falaise, je ferme ma voiture et montent sur le chemin qui grinpe vers le haut de la falaise aperçoit la chapelle, que j'ai visité avec Mathieu, il fait si noir, j'ai pris une lampe de poche, je me retourne j'ai l'impression que l'on me suit, non personne ça doit être le stress sûrement. Ah enfin j'y suis......
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