Si seulement... (nostalgie power!)

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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cLEg7

Si seulement... (nostalgie power!)

Message par cLEg7 »

J'suis allée rechercher ça, pour le retour d'offerte. Ca rappelle des bons souvenirs (y compris Bikette en serveuse voyeuse :d )




Kirès...

J'ai les mains moites, chuis tendue, mais plutôt dans le bon sens du terme. Ca me rendrait presque euphorique cette rencontre. On a décidé ça sur un coup de tête, comme ça, à partir d'une bête plaisanterie... Depuis que je l'ai lue la première fois, j'ai eu cette envie soudaine de l'avoir à ma pogne et de l'en tendre couiner comme une souris sous mes coups de dents... Pourquoi? Aucune idée. Sans doute parce que dans le moindre de ses récits on sent son envie et son désir profonds qu'on la soumette en lui faisant mal, qu'on la rabaisse et qu'on la réduise à si peu de choses, à juste cette douleur qui la libère d'elle-même. Et que moi ma vocation ben c'est d'faire plaisir aux gens! D'abord.

Elle est là, elle attend, je la reconnais immédiatement, d'après les rares images qu'elle m'a envoyées. Je la regarde, je la serre contre moi et je l'embrasse :

Bonsoir toi! Tu sais? Ca me rend toute chose de te voir en vrai! Punaise... Tu vas bien, Offerte?


M-O

"Que de la gueule!"
non mais qu'est ce qui m'a prit de lui lancer ca??? pourquoi je n'ai pas compris que c'était serieux quand elle me disait qu'elle était capable de me faire vivre
mes récits?
je suis tendue. je ne sais pas ce qu'elle me réserve. je sais qu'elle adore mes textes, et a ses sous entendu, je sais qu'elle me fera vivre mes désirs.
je ne sais pas du tout ce qui m'attend, mais je compte sur elle pour m'amener de surprise en surprise.
j'ai fais un effort. petite jupe droite noire, un petit débardeur blanc, des sandales noires a talon compensés.et j'ai acheté spécialement pour l'occasion
un adorable petit ensemble de sous vetements blancsde dentelle. je suis sure qu'elle va adorer. j'ai relevé mes cheveux. une touche de maquillage discret, une goutte
de parfum, un dernier regard dans la glace et je suis prete.
nous nous sommes donné rendez vous devant un grand magasin, je suis en avance de cinq minutes, et déjà mon coeur commence a battre un peu trop vite.
c'est elle? non elle est trop grande. alors elle peut etre? non, je ne la vois pas du tout comme ca... j'ai l'impression que tout le monde sait, que tout le monde me regarde.
je vérifie ne pas avoir fait de tache sur mon petit haut, ajuste mon sac. Elle est la, devant moi. je ne l'ai pas vu arriver. elle me fixe droit dans les yeux, je me sens rougir et baisse les miens.
je suis tellement intimidée d'etre en face qui connait tous mes désirs secrets, qui sait si bien lire en moi...

- Bonsoir toi! Tu sais? Ca me rend toute chose de te voir en vrai! Punaise... Tu vas bien, Offerte?

- Bonsoir... je... oui... je...

quelle cruche alors! pourquoi je n'arrive pas alligner intelligiblement trois mots? elle doit me prendre pour une débile... elle va se détourner et partir...
mais non, elle a un petit rire, glisse ses doigts entre les miens, et m'entraine a sa suite.
je la suis dans la cohue de la rue, jusqu'à un petit bar, ou elle me conduit à une table tout au fond de la pièce.- ca alors! voila enfin Offerte. ca me fait vraiment plaisir de te rencontrer.

- moi aussi! ca me fait bizarre de t'avoir en face de moi, mais très plaisir aussi!

ouf j'ai enfin retrouvé ma voix!!
ses doigts caressent doucement les miens, ses pieds viennent frotter les miens, et un frisson me traverse tandis que le rouge me monte aux joues

Kirès

La mâchoire m'en tombe... Pourvu qu'elle ne sente pas mon trouble, mon trac qui monte en la voyant : elle est si...pfouuuuuuu...féminine, douce, élégante, aussi femme que je suis sa grossière copie. Elle s'est habillée de façon recherchée sans être ostentatoire, j'apprécie et je me doute qu'en dessous elle porte ces sous-vêtements aériens et délicats qu'elle adore. Elle sent bon, elle répand un nuage léger de cette odeur divine qu'on associe automatiquement aux femmes parfaites... Je rêve... Je lisse ma jupe, longue et fluide, prévue pour cacher mes satanés 10...bon...15 kilos en trop, machinalement, et mon pied vient la froler sous la table. J'ai gardé ma main sur la sienne, je veux qu'elle sente que je la couve comme un objet précieux. Je la détaille, d'abord pour me permettre de me calmer puis plus parce que je remarque qu'elle a rougi, et j'adore quand elle rougit.

Tu es largement plus... douce et sensuelle qu'en photo. La réalité dépasse de loin l'idée que je me faisais de toi tu sais?

Mes yeux glissent sur elle, son cou, ses épaules, ses seins sous son top blanc, j'insiste, je la mate en fait... et mince alors, elle m'excite.. Sans déconner, et je suis même pas lesbienne! Les bras m'en tombent... Je laisse mes yeux dériver sur ses courbes en parties cachées par la table... Je lève mon pied et doucement, je pousse sur sa chaise par dessous la table, je lui murmure :

Recule, je veux te voir...

M-O

je sens son regard sur moi, un regard insistant. ses yeux ont changés. ils refletent un désir puissant, et troublé de ce qu'elle ressent. cela m'excite encore plus.

Recule, je veux te voir...

sa voix est si douce... je ne peux qu'obéir en frissonnant. une douce chaleur envahit mon entrejambe, c'est bon, c'est excitant. elle sait que je sais que... je sais qu'elle sait que...
j'écarte légèrement les cuisses et releve un peu ma jupe. le bar est vide, il n'y a que la serveuse qui nous tourne le dos en essuyant un verre. je me redresse, en cambrant les reins, je lui offre mes seins, ma respiration se fait plus ample.
son pied caresse plus fortement ma jambe. ses yeux sont fixés sur la courbe de ma poitrine, mon décolleté ou la naissance de mes seins n'est pas un secret. puis doucement il descend, pour se fixer entre mes cuisses entrouvertes. je sais qu'elle peut voir mon petit string déjà mouillé d'excitation.
j'imagine son souffle sur ma chatte si humide, et un nouveau frisson me parcourt...
sans meme réfléchir, je me redresse, me penche et dépose un léger baiser sur ses levres...
cLEg7

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par cLEg7 »

K:
Elle s'est penchée et ses lèvres ont effleuré les miennes comme une aile de papillon, j'aurais pu flotter entre deux effluves de son parfum, je la fauche en plein vol, ma main agrippe sa nuque j'y plante mes ongles, que j'ai courts sans être ras, et qui lui laisseront quelques marques lunaires et ma bouche mord la sienne, avant que forçant le barrage de ses dents, ma langue s'engouffre pour puiser la source de son odeur douce. Je la baise profondément, au sens propre du terme, j'aspire, je m'enivre, avant de ronronner à son oreille :

Tu n'espérais pas t'en sortir avec un bécot de petite fille sage quand même hein? Tu m'allumes et tu espères que je me contente de ça?

Je la laisse se rasseoir, ses cheveux un peu défaits, une mèche ou deux frôlant l'ovale tendre de son visage. Ma bottine impatiente s'insinue sous sa jupe pour tâter du terrain... Je l'ai vue mouiller, je sais qu'elle mouille...

O:
- non... non c'est que... je ne savais pas si tu...
- tais toi. ne dis rien.
je sens sa bottine s'insinuer entre mes cuisses, je sursautes, jette un coup d'oeil a la serveuse qui nous tourne toujours le dos, puis me laisse mollir contre ma chaise, m'offrant a cette caresse en écartant un peu plus les jambes. je sens que je suis littéralement trempée, chaude comme la braise. ce baiser m'a complètement affolée. j'avais eu peur de la brusquer, et c'était elle qui m'avait eu par surprise. sa langue dansant contre la mienne, ses levres écrasées sur ma bouche...
la serveuse vient vers nous. dans un sursaut je fais mine de me redresser, de me rajuster, mais sa bottine se fait imperieuse entre mes jambes, son regard est clair.
"ne bouge pas"

:star1: :star1: :star: B : :star: :star1: :star1:
Je m'approche enfin de leur table, je les fixe, chacune leur tour, je ne suis pas dupe de leur petit manège..
J'en ai vu des choses se passer ici..
Mais deux femmes, si belles de surcroit, ça attise ma curiosité et mon voyeurisme...

- Bonsoir mesdames, que puis-je vous servir ??


Ma voix est assurée, mais mon regard lorgne vers leurs poitrines.
La femme de droite d'abord, une très belle poitrine, généreuse mais qui semble ferme...
Celle de gauche, plus menue, mais bien dessinée..
Je fixe mon regard sur ses tétons durcis..
Je la vois rougir un peu, elle baisse la tête, génée..

Son amie prend alors la parole et me dicte son choix..

K:
Deux Mojitos, et des glaçons à part dans un verre s'il vous plaît.

La serveuse nous regarde, pas vraiment choquée. Bon, elle en a sans doute vu d'autres. Je mate... Mon pied explore la jupe d'Offerte, la soulève, effleure ses cuisses, ses mollets, et je fixe ses yeux baissés, sa respiration plus lourde...

Tu aimes les glaçons pas vrai Offerte?

J'ai un sourire un peu dur...je sais qu'elle les craint et les déteste, qu'elle a souffert d'une expérience douloureuse et que depuis les glaçons c'est comme les aiguilles, ça la fait fuir. J'attends que la serveuse rapporte les verres, et je prends un des cubes de glace, avant de faire signe à Offerte :

Penche-toi vers moi.

O:
Mon coeur fait un bond dans ma poitrine. Qu'est ce qu'elle va faire? les glacons... voila bien le pire des sévices que j'ai eu a endurer... mais son regard n'admet aucun refus, et, docilement, je m'avance vers elle.
le glacon se pose doucement sur mon frond, a la lisière de mes cheveux, puis glisse doucement sur mon visage, sur mon nez, mes yeux, laissant derrière lui une trainée gelée qui me fait frissonner. j'ai fermé les yeux, me laissant faire, je m'offre, confiante malgré ma peur.
comme si elle tenait un rouge a levre, elle vient couvrir mes levres d'eau glacée, avant d'enfoncer la moitié du glacon dans ma bouche, mélange de chaleur et de glace. puis il descend sur mon menton, dans mon cou, sur ma poitrine, qu'elle frotte, afin qu'il fonde et que l'eau coule sur mes seins... je pousse un léger soupir, mes tétons bondissent en avant et pointent sous mon petit haut, insolents, la chair de poule apparait immédiatement. j'ai complètemnet oublié la serveuse, pourtant debout a coté de moi, juste concentrée sur les sensations que le glacon fondant sur mes seins m'apporte...

K:

J'adore voir ses seins poindre follement sous le haut blanc, et l'auréole d'eau glacée qui se forme autour, j'imagine la coulée de lave glaciale descendre jusqu'à son nombril, je mordille ma lèvre d'excitation. Je lâche le glaçon dans son col, il tombera où il voudra, m'en fiche, chuis déjà passée à autre chose. J'attrape sa main, et je pose un second glaçon dessus, lui refermant les doigts frissonnants sur sa peur :

Glisse le dans ton string, ma chatte. Chuis curieuse de voir en combien de temps il va fondre!

Elle voudra pas. Elle déteste... Je ne lui demanderai d'ailleurs pas de le mettre dans son antre si fragile et sensible. Mais elle finira par le glisser juste sous le rebord du string, au bas de son ventre et c'est là qu'il va fondre, gouttant et ruisselant vers sa fente crispée sous le froid.



Elle l'a fait, elle n'a pas vraiment rechigné, juste ouvert de grands yeux et murmuré un "non" déjà vaincu d'avance. Elle en a envie, et elle sait que je n'irai pas plus loin que ce qu'elle désire, au fond. Ma pointe de botte vient par dessous la table tâter le cube glacé, et le titiller contre sa peau, entre ses cuisses ouvertes. Elle frissonne longuement, et j'adore sa peau qui se couvre de chair de poule. Je ne fais pas attention à la serveuse, qu'elle mate si elle en a envie, en fin de compte ça ne me dérange pas vraiment.

Offerte est trempée, mais cette fois c'est littéral. Son haut laisse voir les traces de nos petits jeux, et je sais que bientôt elle va avoir froid pour de bon. Je règle l'addition, et je n'ai même pas besoin de lui demander de se lever, elle a compris. Elle va me suivre, j'ai réservé une chambre dans l'hôtel, pas loin, "désolés nous n'avons plus que des chambres avec un seul lit", "Pas grave, on est entre copines, on se formalisera pas pour si peu" "gnagnagna"

J'ai pris les clefs et Offerte est entrée dans l'ascenseur, elle peut voir face à elle le miroir lui renvoyer l'image d'une femme jeune, bien habillée, quoi qu'un peu froissée et les cheveux comme soufflés par le vent. Sa veste s'ouvre sur son haut humide, dos à elle j'y glisse la main, et lorsque la porte de l'ascenseur se ferme, je la referme sur le téton, un court instant caressante, avant de le pincer fermement entre mes doigts, et de tirer dessus, en riant :

Alors comme ça on se met à aimer les glaçons? Tu les fais fondre à la vitesse grand V, ma parole, t'es qu'une chaudasse!


O:
ses doigts matraitants mes tétons toujours érigés se font de plus en plus dur au fur et a mesure que l'acenseur prend de la hauteur. je ressens de délicieux frissons parcourir mon ventre et ma chatte, et je lutte pour ne pas stoper la cabine. la chambre n'est plus très loin.
dans un soubresaut léger, nous arrivons a l'étage, et nous trouvons sans peine la chambre. a peine la porte refermée, kires me pousse sans ménagement contre le battant, écrase ses levres sur les miennes, tout en glissant a nouveau ses doigts sous mon débardeur pour malaxer mes petits seins gonflés d'envie. un petit grognement de plaisir s'échappe de ses levres.
"déshabille toi. j'ai trop envie de te regarder. dépeche toi, je n'ai déjà que trop attendu. "
ni une ni deux j'ote ma petite jupe, mon débardeur, mon string et mon soutien gorge, et je me retrouve nue devant elle. prise d'une subite pudeur, je glisse une main au creux de mes cuisses. aussitot je vois le regard de ma belle se durcire.
"t'ai je dis de me cacher ta chatte? retire moi cette main immédiatement."
l'infime hésitation que j'ai eu a obéir ne passe pas inapercue auprès de mon amie, sa main se leve dans les airs, retombe... pour glisser doucement sur ma joue et replacer une meche de mes cheveux.
- c'est bien, ma belle... va sur le lit, place toi a quatre pattes et fermes les yeux.
aussitot j'obéis.
"ne bouge pas"
le clac de la porte me fait sursauter. qu'est ce qu'elle fait? est elle partie ou bien est ce une farce, pour voir si j'obéis? je m'oblige a respirer profondément plusieurs fois, luttant contre la panique qui m'envahit.
" Kires? kires, t'es là??"
aucune reponse. je n'ose toujours pas ouvrir les yeux et je sens les larmes s'amasser sous mes paupières.
a nouveau j'entends la porte s'ouvrir puis se refermer, et le bruit d'un sac en plastique touchant le lit a coté de moi.
- tu n'as pas ouverts les yeux?
- non.
- tu as eu peur?
- oui.
- maintenant tu peux les ouvrir.
devant moi se trouve un sac jaune.
- tu veux savoir ce qu'il y a dedant, hein?? je l'avais pris au cas ou ca marcherai entre nous et que tu viendrais avec moi... oui, je suis sure que tu meurs d'envie de savoir ce qu'il contient... nous allons bien nous amuser...
Dernière modification par cLEg7 le 23 septembre 2011, 20:15, modifié 1 fois.
Supprimé

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par Supprimé »

Tellement réaliste que j'ai un doute sur la fiction ou pas de votre récit ? :)
cLEg7

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par cLEg7 »

écrit totalement en live sur le forum rose, à 4 mains avec Offerte, on ne s'est jamais rencontrées :bik:
cLEg7

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par cLEg7 »

K:

Tu sais, j'aime pas vraiment les accessoires... Chuis pas caoutchouc, latex, vinyle tout ça... Je préfère les matières naturelles...

Donc avec moi ce sera cuir, coton et pure laine, c'est Nathalie Pullfem qui serait fière de moi!

Je sors d'ailleurs un martinet en cuir, une vieillerie usée, aux lanières douces et crémeuses à force d'avoir servi sur mon postérieur et celui de ma cousine, chez ma grand-mère, plutôt vieux jeu coté éducation. Je caresse le cul tendu vers moi, avec tendresse, je frôle les flancs offerts, j'enroule les lanières doucement autour des seins que la pesanteur allonge un peu, je lui fais sentir l'odeur de vieux cuir et de bois de l'objet, je relève son visage avec le manche, la forçant à se cambrer davantage.

Tu voudrais vraiment que je te ménage, ma petite? Tu sembles un peu indécise, je vais t'aider à te décider pour de bon, ma chatte. Soit tu abdiques toute pudeur, toute retenue et tu deviens mienne, soit je te forcerai à le faire... Tu n'auras aucun autre choix, c'est trop tard, fallait pas monter dans cet ascenseur, petite salope. Tu l'as voulu, tu assumes, ou tu apprendras à la dure!

Je ponctue par un coup sur les fesses, puis deux autres, trois c'est toujours mieux qu'un seul... Je ne frappe pas fort du tout, je veux doser l'effet, saisir la viande sans la bruler, si je puis dire... Puis je laisse à nouveau le cuir caresser les fesses, s'insinuer entre elles, chatouiller les cuisses... Avant de frapper encore, sans prévenir.
Cette fois je vise la fente offerte, par au-dessus, histoire de bien ajuster les coups, je sais que personnellement c'est ce que j'aime, quand le coup est précis et que la lanière s'enroule doucement entre mes cuisses, pour venir brûler mon sexe. Puis je frappe les fesses à nouveau, l'une puis l'autre, je n'intensifie que très peu le mouvement, je ne veux pas la marquer mais juste la faire délicatement rougir, uniformément, rendre sa peau sensible, et apte à recevoir plus que le martinet.

Alors? ta décision est prise? Réponds, ma chienne... Tu sais que je te frappe avec le martinet qui a servi à corriger mon chien quand il mordait les chaussures? Tu vois à quoi tu en es réduite? Si tu es sage, tu auras sa laisse aussi... En imaginant que tu saches en être digne...

Je ris, et je repeins ses fesses en rose saumon fumé, inlassablement, sans véritable douleur que celle cuisante et lancinante d'un coup de soleil.

O:

je sens le rouge me monter aux joues. je me sens humiliée par ses paroles, mais tellement excitée aussi!! ma chatte doit etre noyée de ma liqueur.
- oui, oui je veux en etre digne.
- digne de quoi?
- d'etre à toi, de porter la laisse de ton chien, d'etre fouettée avec le martinet qui a servi a le dresser...
les mots m'en coutent, mais je me sens fière de les avoir dits.
les lanières fouettent mes levres, et lechent insidieusement mon clitoris, pas assez pour me faire réellement mal. les coups ne sont pas très forts, je sens qu'elle ne fait que me chauffer un peu la peau. je commence doucement a onduler du bassin, portée par le plaisir que me procure la brulure de l'instrument. doucement, les lanières viennent frotter ma fente innondée, avant de claquer a nouveau mon cul tendu. j'adore ce traitement. et je sais qu'elle adore me l'infliger.
mais d'un coup, plus rien, jattend, le coeur battant, la suite des évènements...

K:
Il commence à faire nuit j'y vois plus rien. Bouge pas je vais allumer la lumière.

Elle ne verra pas la lumière s'allumer mais une douce lueur ondoyante s'approcher d'elle, la frôler, la contourner pour s'arrêter au dessus de son dos, fluctuante. Je ne sais pas si elle aura réalisé avant que la première goutte ne s'écrase au bas de son dos à la limite de la zone que j'ai pris tant de temps à rougir, que c'est une bougie que je tiens en main. Je la tiens haute, la cire qui coule sur Offerte est réduite à un gel tiède quand elle touche sa peau déjà chaude, et c'est sans doute presque une caresse, plutôt qu'une torture.

Mais je m'enhardis, je rapproche la bougie de la peau luisante et brillante de douce chaleur, jolie pomme rouge à croquer. La prochaine goutte se transforme en filet liquide et brûlant qui coule sur sa fesse.

Ah ben, t'es si chaude que la cire te coule dessus sans solidifier! J'aurais dû m'en douter tiens avec cette histoire de glaçon...

O:



je pousse un cri, plus de surprise que de véritable douleur, et me tortille sur le lit pour échapper a la brulure. une claque energique sur ma fesse ne se fait pas attendre.
- tais toi. je ne veux pas que tu ameutes tout le quartier!
je me saisis alors d'un oreiller pour mordre dedant, et y etouffer mes plaintes, tandis qu'un nouveau filet de feu coule au creux de mes reins.
la cire brulante coule presque sans répit sur mon dos, mes homoplates, mes fesses, mes reins, le haut de mes cuisses... mes mains s'accrochent à la couverture.
j'ai l'impression que la torture dure des heures. tantot très proches de ma peau, tantot plus éloignées, les coulées tombent et couvrent peu à peu ma peau d'une couche plus ou moins épaisse de cire rouge.
- redresse toi.
aussitot j'obéis, et m'assieds sur mes talons.
- souffle.
au moment ou je vais pour éteindre la bougie, elle la retire brusquement, et fait claquer une taloche sur le coin de ma tete.
- pas si fort! t'es pas une brute, si? sois plus délicate enfin! bon, continua t'elle une fois que j'eus souffler la meche, va te placer contre le mur, je ne vais pas te laisser comme ca. maintenant que tu as bien été chauffée, nous allons pouvoir passer a la vitesse superieure.
alors que je me positionne face au mur, je la vois prendre le martinet d'un air décidé, et comprend a quoi il va servir...mais elors qu'elle se rapproche de moi, je la vois s'arreter, puis secouer la tete.
- Non mais regarde toi un peu, espèce de cochonne! t'as pas honte!
elle passe le bout du doigt a l'interieur de ma cuisse et je sens a quel point je suis excitée.
-eh ben ma salope...

K:
J'ai pour habitude de châtier par là où on a pêché!

Elle a écarté les cuisses un peu, je fouette son sexe ouvert, puis ses fesses de nouveau. Cette fois je ne retiens pas mes coups, je fais voler des bouts de cire de sa peau, je m'applique pour la rendre aussi lisse qu'avant, mais certaines traces me résistent... Je râle, et je fouille mon sac pour trouver un outil plus adapté, plus rigide : je trouve une branche de noisetier que j'ai taillée et polie soigneusement après l'avoir débarrassée de son écorce. Je cingle l'air une fois ou deux avant de fouetter la peau des fesses puis du dos d'Offerte, deux coups, elle se crispe et se tortille, je joue les énervées :

T'as pas fini de gigoter comme ça? Arrête de bouger ou j't'attache! 'Tain tu l'auras voulu! Quelle chochotte!

J'attrape ses cheveux et je la traine dans la douche, avant de sangler ses mains serrées à la barre qui porte le pommeau. Elle est à moitié debout, un peu trop petite pour que ses genoux touchent par terre totalement. Je mets en marche l'eau, qui commence par couler très froide avant de se réchauffer, elle pousse un cri d'orfraie sous le jet glacial.

T'as froid? Atta, je vais te chauffer moi!

La badine la cueille en plein cri, elle s'étrangle, je fouette avec régularité, sans forcer, assez doucement, je sais qu'il n'en faudra pas plus tant elle a du mal à supporter le cinglant de la badine. Elle aura beau essayer de se redresser, elle dérapera sans cesse dans le bac de douche mouillé, aucune prise pour ses pieds, aucun équilibre... Elle finit par s'abandonner à la douleur, immobile, la peau tout juste frissonnante, sous le jet d'eau que j'ai fini par régler sur tiède.

Là, je cingle la plante de ses pieds, juste un coup.

Ah ben voilà, tu vois que tu y arrives!

O:
l'eau est maintenant tiède. après avoir manqué de perdre l'équilibre trois fois dans cette satanée baignoire, je me laisse aller. la force des coups est somme toute assez supportable, et je m'en veux d'etre aussi faible. je ne veux pas qu'elle me prenne pour une mauviette. je veux au contraire qu'elle soit fière de moi. je veux lui prouver que je sais subir.
après avoir cinglé la plante de mes pieds, kires pose la badine pres d'elle, et ce sont ses mains qui viennent tater ma peau. que c'est bon... je me laisse aller, allant jusqu'à poser ma tete contre son ventre.
ses doigts glissent jusqu'à mes seins, qu'ils effleurent, puis descendent entre mes cuisses. je suis toujours abondamment trempée.
- mets toi a genoux, ma belle.
sa voix est si douce... maladroitement j'obéis, et tends mes fesses. commence alors une fessée, d'abord légère, puis de plus en plus forte. l'eau coule toujours sur moi, et les claques qui tombent sur mon cul tendu font gicler des goutelettes un peu partout. rapidement, le petit haut de mon amie est trempé, je peux apercevoir grace à un petit coup d'oeil sa jolie poitrine recouverte d'un voile de dentelle et une nouvelle bouffée de désir s'empare de moi.
- non mais tu me reluques, ma parole!
elle s'est écartée de moi, mais loin de se cacher, elle se cambre légèrement en arrière, offrant à ma vue son décoletté vertigineux dans lequel j'ai soudain envie de me perdre...

K:
Elle me regarde... J'hésite entre gêne et plaisir, avant d'en jouer: à quoi bon la pudeur, on est pas vraiment là pour ça: son épreuve à elle c'est de la perdre comme on se débarrasse d'un vieux manteau, ce sera donc la mienne aussi. Je la gifle, un peu :

T'es vraiment qu'une cochonne! Tu mouilles de voir mes seins? Tu voudrais les toucher? Les sucer ptête?

Je m'approche, juste assez près pour frôles ses joues de mes seins lourds, le tissu trempé ne cache plus grand chose de mon anatomie, on voit parfaitement mon soutien-gorge se découper dessous. Je recule à nouveau, faudrait pas qu'elle ait ce qu'elle veut trop vite, non mais oh!

Sors de là, t'es propre! Allez, dégage!

Je cingle ses fesses pour la faire sortir de la douche, sans douceur, si elle veut éviter les coups elle a intérêt à bouger et vite. Elle couine, je crois que là elle a vraiment eu mal. Je ricane, et je cingle une fois encore

Assise sur la chaise! Tes mains sur tes cuisses et t'as pas intérêt à bouger... Ferme les yeux...

Je laisse traîner ma voix, menaçante, comme quand je réprimande mes élèves après une connerie, je m'énerve pas, je charge juste sur le sous-entendu... Si elle ferme pas les yeux, elle va déguster. Elle a vite pigé, elle les ferme et plutôt deux fois qu'une, bien pincés, je la vois faire le geste de poser ses mains dessus, pour mieux faire, et elle se rattrape au dernier moment, pour les crisper sur ses cuisses, dans l'attente.

Je saisis un foulard dans mon sac, pas un truc en soie tout fin, non, un vieux foulard bien opaque, un grand carré de tissu façon grand-mère, d'une teinte vert sombre, et je le noue sur ses yeux, très large, je ne veux vraiment pas qu'elle y voie, ni même qu'un rai de lumière puisse percer vers ses prunelles.

Et maintenant, tu vas ouvrir tes cuisses, ma salope, et bien comme il faut! Allez!

Elle s'exécute plutôt en hâte, pas vraiment timide, elle a passé ce cap là je pense. Je la force à poser ses mains sur l'intérieur de ses cuisses pour les écarter plus en les soulevant un peu, la posture est parfaitement indécente. Je saisis ses cheveux, la faisant se cambrer en arrière...

Elle ne voit rien. Mais elle entendra le déclic de l'appareil photo.

O:
l'appareil crépite. complètement aveugle, je ne vois meme pas les flashs se déclencher. les cuisses grandes ouvertes, complètement offerte, le cul encore cuisant de la badine, je ne peux qu'obéir aux ordres de mon amie.
un doigt glisse brièvement entre mes cuisses, juste pour vérifer mon excitation. puis je les sens saisir mes tétons.
- si je t'entends couiner... si je te vois bouger...
elle travaille mes seins en silence, plutot doucement. je la laisse faire, sentant ma chatte couler sur le bois de la chaisse. puis d'un coup sans prévenir, elle tords mes bouts de seins sans pitié, les pincants en meme temps entre ses ongles. je lachais une longue plainte et tente de me dégager. visiblement elle attendait ma réaction car sans attendre une gifle tombe, seche sur ma joue droite, suivie par son revers sur la gauche, et je me calme instantanément, saisie. puis elle empoigne mes cheveux.
- qu'est ce que je t'avais dis?
- pardon...
- reprend la position, ouvre les cuisses, dépèche toi.
ne pas réfléchir, ne pas la mettre en colère... je me rassied, ouvre a nouveau les cuisses, tremble d'apréhension. elle passe derrière moi, ramene mes poignets derrière le dossier de la chaise et les attache a l'aide d'un autre foulard.
- j'ai bien fais d'en prendre deux. j'étais sure qu'ils allaient me servir tous les deux... je t'avais dit de ne pas bouger, et de ne pas crier... cela mérite donc une punition. non?
- si.
- tu as intéret a garder les cuisses ouvertes!
- oui, je ne bougerai pas...
a peine ai je finis de parler qu'un coup de badine cingle l'intérieur de ma cuisse droite. je bloque mes chevilles aux pieds de la chaise pour tenir le coup et etouffe un léger cri. la badine tapote ma cuisse plusieurs fois, avant de siffler et de s'abattre sur celle de gauche. les coups ne sont pas tellement forts, mais ne sont pas non plus facile a supporter.
cependant je reste confiante. je sais que ca n'est pas a proprement parler une punition. je comprend que c'est un prétexte, et qu'elle cherche juste a me familiariser avec cet instrument que je crains tellement. et ca réussis.
dix coups sont tombés, cinq sur chaques cuisses, et malgré la douleur, je sens que je n'en ai plus aussi peur qu'avant.
- c'est bien, c'est bien ma douce...
sa main se pose sur ma cuisse, et frotte doucement les marques pour aider a en chasser la douleur. je sens son épaule contre moi et y pose ma tete...

K:
Elle n'a pas vraiment mal... pas au point d'en perdre les pédales en tout cas: c'est ce que je pensais, elle est comme moi, elle flippe. C'est la peur qui la fait étouffer, pas la douleur... J'ai cinglé ses cuisses en douceur tout d'abord, jusqu'à ce qu'elle se sente plus à l'aise, au bout de quatre, cinq coups... Et puis plus fort, et elle n'a même pas frémi à la différence entre les deux. Je caresse ses cheveux à présent, la laissant reprendre son souffle. Enfin, j'ôte le bandeau de sur ses yeux, mais lui laisse les mains attachées : je porte à son regard l'écran de mon appareil photo, les joies du numérique... Elle peut s'y voir, juste son buste, en noir et blanc, nue et cambrée, luisante de sueur, de l'eau de la douche, les cheveux dégoulinants, les seins tendus, la gorge offerte... Photo suivante, j'ai reculé, on voit ses cuisses ouvertes, un peu à contre jour, on ne fait que deviner son sexe ouvert comme un fruit mûr, mouillé... Gros plan ensuite, ses seins, tétons durs... sa fente, ses mains sur ses cuisses, crispées, cette fois le flash ne laisse aucun recoin dans l'ombre, elle est révélée au grand jour, son excitation se voit dévoilée, indécente, impudique...

Dommage qu'on puisse pas la poster sur le forum celle-ci, ça illustrerait bien combien tu es une petite chienne lubrique!

Je lui laisse le temps de regarder, à défaut de s'admirer, elle a rougit... Je pose l'appareil sur le lit, encore allumé..

J'ai encore quelques photos à faire, t'es pas encore assez offerte là... Ecarte, plus que ça! Je vais t'aider, va, si tu sais pas écarter les cuisses comme il faut...

Je fouille mon sac et j'en sors une corde, que je replie en quatre longue boucles, qui s'abattent sur les cuisses encore rouges, variant les sensations de douleur, moins cinglante, plus large, elle s'enroule autour de la cuisse nue, comme une liane elle l'enserre, la dévore, la douleur, la brûlure, je la sens bloquer sa respiration, je frappe encore, à tour de rôle sur chaque cuisse, elle se force à écarter du mieux qu'elle peut.

C'est mieux! Mais je ne te permettrai pas de refermer tes jambes. Tu vas rester comme ça, je te le garantis.

J'enroule la corde autour d'une cuisse marbrée, je serre, je la ligote à la chaise, forcée dans la position d'écart, pour bien faire j'attache aussi le bas de la jambe au pied de la chaise. Une seconde corde, et l'autre jambe se retrouve bloquée de la même façon. J'ai pris garde à ne pas la lier aux chevilles, je le suis pas assez sûre de moi encore pour risquer d'entraver sa circulation sanguine...


Bien, ça c'est mieux! Et maintenant, on va voir à quel point tu es une vraie chienne en chaleur. C'est bien de se prétendre telle, mais j'en veux la preuve.

Je fourre un doigt dans sa chatte trempée, je l'enfonce jusqu'à la garde, assez brutale, et je la regarde se crisper, en faisant des va-et-vient de plus en plus rapides. Mon autre main s'est à nouveau emparée d'un sein que je malaxe, pinçant le téton mollement, je ne veux pas qu'elle ait mal, je la veux juste au bord du plaisir.

O:
son doigt me fait mal, mais rapidement la douleur s'enfuit pour laisser place au plaisir. son doigt se recourbe pour trouver mon point G et je me cambre dans un souffle. son doigt entre et ressort de plus en plus vite et fort, le plaisir prend rapidement de l'ampleur, mes halètements font place a des gémissements, mon bassin ondule. les yeux fermés, je me laisse porter par ce que je ressens, je m'abandonne complètemnet, oubliant mes mains ligotées dans mon dos.
un deuxième doigt prend place en moi, puis un troisième, je n'en reviens pas comme ils entrent facilement, moi qui suis tellement serrée. ma chatte fait des bruits d'eau tellement je suis excitée.
mon plaisir est si fort que ce sont de vrais cris que je pousse, encourageant mon amie a me prendre plus fort, encore et encore... le plaisir est tellement fort que je sens mon vagin se contracter autour de ses doigts, de plus en plus fort, a tel point que ca me coupe le souffle.
et avant meme que je ne puisse me rendre compte de quoi que ce soit, un jet s'échappe de mon vagin et gicle sur la moquette. cela faisait des années que ca ne m'était pas arrivé.
je reprend brusquement conscience de ce qui m'entoure et en tremblant j'attend la réaction de mon amie.

K:
Je regarde ma main, passablement perturbée. J'ai jamais vu ça de ma vie, mais je sais qu'elle peut y être sujette, même si c'est relativement rare. J'ai senti son excitation nourrir la mienne, je suis trempée, et mon coeur bat comme un sourd, comme si j'avais joui moi-même. Mais ça? Ca dépasse mes espoirs les plus fous! Je voudrais la serrer dans mes bras pour lui faire sentir à quel point ce don certes involontaire, mais néanmoins, me trouble et m'émeut. Je n'en fais rien... Le moment n'est pas encore venu, elle doit franchir encore d'autres limites que celles de son plaisir pour être réellement satisfaite...

Ah ben, voilà qu'elle se prend pour un pommeau d'douche...

Je lui fourre ma main dégoulinante sous le nez :

Lèche. Et applique toi, j'vais pas retourner sous la douche et gaspiller d'la flotte alors que j'étais propre... Applique toi j'ai dit!

J'attrape ses cheveux et je la force à sucer un à un mes doigts, les fourrant loin dans sa gorge. Sa langue sur mes mains me fait frissonner. Et elle le sent, en plus, à quel point ça me fait de l'effet... Elle en rajoute, se délecte...

Petite trainée... Tu veux quoi? M'exciter, c'est ça? C'est pas ton rôle! T'es là pour m'amuser, pour être mon jouet, pas pour me séduire ou un truc de ce genre, alors arrête tout de suite tes petits jeux!

Je lui colle une taloche sur le crâne, puis je retourne à mon sac, pour en sortir un gode en métal noir, froid, je l'ai voulu objet, absolument pas réaliste, juste un objet...

Tu vois, j'aime jouer... J'aime pas du tout qu'on utilise ces trucs là sur moi mais j'adore les utiliser sur les autres, c'marrant non?
Puis t'es dans une position parfaite pour faire joujou avec... Et c'est pas comme si j'allais avoir besoin de lubrifiant hein?

Je fais glisser l'objet sur sa joue, qu'elle sente le froid, puis sur son cou, sa nuque, sa joue de nouveau, sur ses lèvres dont je force l'entrée, pour qu'elle le suce... Je vais le frotter sur tout son corps, lentement, ravie de sa chair de poule, et des soubresauts de sa peau heurtée par le froid. Je prends mon temps... Parce que c'est drôle et parce qu'à force il va chauffer dans ma main et que ce sera finalement moins grave que ce à quoi elle doit s'attendre quand j'irai le loger dans son antre. Là, la peau frissonne sur sa hanche, sa taille, j'insiste, la découvrant chatouilleuse, j'en rajoute, je frôle, je titille, je ris, elle couine, j'adore...

O:
le métal est glacé, je frissonne et sens la chair de poule envahir ma peau et courir le long de mon dos. elle joue avec, le fait glisser sur ma peau juste en la frolant avec le bout, le long de mes seins, sur mes cotes, mes hanches, ma taille, le creux de mon ventre.j'ai envie de rire, je me tortille pour éviter le vibro, peine perdue. avec un petit rire sadique elle continue a me torturer, remonte jusqu'a mes aisselles.
noooonnn... s'il te plait... nooooon... arrêêêêête!!! pité!!!

ce sont de véritatable éclats de rire qui me secouent, j'en ai mal au ventre. Kires s'agenouille a coté de moi, et je sens alors ses doigts venir gratter la plante de mes pieds.
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!!!!!

la surprise me fait faire un bond, j'entraine la chaise avec moi et je me sens basculer en avant. je pousse un cri de frayeur. mais les reflexes de mon amie sont extrèmement vif et elle retient la chaise au moment ou je croyais m'affaler par terre.
non mais vas y, casse toi le cou je te dirais rien!
un peu abasourdies toute les deux par la frayeur que nous venons d'avoir, nous cessons la le jeu des chatouilles, et je sens le vibro venir frotter dans le sillon trempé de mes levres. milimètre par milimetre je le sens entrer dans ma chatte, se frayer un passage dans mes chairs, ouvrir mon vagin lentement. une fois complètement entré, kires fait tourner progressivement le bouton et l'objet se met a vibrer en moi, m'arrachant un cri. elle commence alors un rapide va et vient, m'amenant au bord du plaisir, pour le retirer brusquement et le pointer sur mon étoile.
il rentrera jamais... gémis je.
je t'ai rien demandé! tais toi! il va rentrer, crois moi. tu as ma parole que tu finiras par l'avaler en entier!
tandis que son pouce vient masser mon clitoris, le vibro force l'entrée de mon cul et commence sa progression...

K:
Elle craint ça... Elle s'est contractée, totalement figée de peur d'avoir mal. Je me rappelle la première fois, pas tendre, pas agréable, et pourtant j'ai le cul facile moi, pas contrariant. Mais j'avais peur.

Je m'arrête, retire le métal à présent tiède de son cul, et décide d'y aller plus en douceur... et de détourner son attention.

En fait non, te tais pas va... Tu vas me le dire à quel point tu le veux, petite chienne. Dis le! Dis le que tu veux que je te remplisse le cul!

Les mots seront durs à sortir, je la sens se braquer, rougir, suer, balbutier, je veux qu'elle les dise ces mots, la honte de les dire, la honte d'avoir à parler, à supplier pour que je l'encule, ça lui fera oublier de se contracter comme un hérisson. Elle parle, je la pousse plus loin, ma main caresse son clitoris tout doucement, je l'abreuve à la mouille de son sexe chaud. Puis mes doigts vont vadrouiller entre ses fesses, s'insinuer dans son creux serré, l'écarter tout doucement, je les tourne un par un, l'index, le majeur, les deux, je joue avec comme quand gamine je jouais avec des élastiques... Puis je me penche et ma langue vient lécher ses fesses, jouer avec l'idée de titiller son anus déjà plus détendu, elle soupire, à nouveau à la recherche du plaisir, se tend, je la goûte, puis j'enfonce mes doigts qu'elle avale goulument. Elle est prête pour le vibro, elle l'attend, mais je fais durer... Puis je retire mes doigts, et je la détache, avant de poser l'engin par terre, devant elle, et de m'asseoir sur le lit, appuyée en arrière sur mes coudes.

Mets-le toi. Vas-y, je veux te voir faire, écarte bien les jambes, je veux le voir rentrer...

O:
le vibro noir brille sur le parquet, comme pour me narguer. "arriveras tu a m'enfoncer profondément dans ton cul?" semble t'il me dire.
"oui. oui j'y arriverai!"
"qu'est ce qeu tu dis??"
"euh... rien, kires. "
"qu'est ce que tu attends alors?"
sans le quitter des yeux, je m'approche de lui, m'agenouille au sol et descend lentement le bassin, tout en m'encourageant mentalement.
le bout métallique frolle mes fesses. d'une main je le tiens fermement, de l'autre je frotte mon bassin, puis, non sans apréhension, je le fais pénétrer lentement mon cul.
avec surprise, il rentre comme dans du beurre, sans la moindre douleur ni la moindre gène. et avant meme que je n'ai le temps de réagir le voila profondément fiché en moi.
"eh bien tu vois, quand tu veux... viens me voir maintenant. et garde ton gode en toi."
je me leve et maladroitement vient sur le lit. kires me fait me mettre a quatre pattes, puis elle caresse longuement tout mon corps, laissant intentionnellent le gode de coté, jusqu'à ce que je sois vibrante d'excitation. alors elle sort un autre vibro de son sac, plus petit et l'enfonce sans douceur dans mon vagin innondé. commence alors une double pénétration énergique, la première de toute ma vie...
Supprimé

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par Supprimé »

Kireseth a écrit :écrit totalement en live sur le forum rose, à 4 mains avec Offerte, on ne s'est jamais rencontrées :bik:
Comme quoi, la puissance de l'imaginaire !

Euh...je repasserai lire la suite plus tard. Pfff, vous étiez/êtes prolifiques. :bounce
cLEg7

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par cLEg7 »

C'est inachevé malheureusement, pour diverses raisons, mais on s'marrait bien. et en guest star la bikette c'est pas tous les jours hein? :bik:
Supprimé

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par Supprimé »

Dommage : l'idée était excellente et vous vous complétiez parfaitement. :)
J'ai eu du mal à "voir" où Bikette avait laissé sa papatte. :lol:
cLEg7

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par cLEg7 »

j'ai mis des tites étoiles! :love:
Supprimé

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par Supprimé »

:lol: En voilà, une idée quelle est bonne. Tout en discrétion. :lol:
Biquette
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Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par Biquette »

Kireseth a écrit :j'ai mis des tites étoiles! :love:
T'es trop un coeur toua :amoureuse: :amoureuse:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
cLEg7

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par cLEg7 »

mes guest stars moi je les soigne! :o
Biquette
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Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par Biquette »

Je vois ça :o
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Biquette
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Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par Biquette »

Vais quand même tout relire, verra bien si l'inspiration revient, on sait jamais :whistle:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
BateauIvre

Re: Si seulement... (nostalgie power!)

Message par BateauIvre »

tout simplement ...... :love: :love: :love:
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