Secret de famille

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées

Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte


66)


Elle me donne presque l’impression d’une mante religieuse attendant son mâle, pour le dévorer, tant ses yeux ne me lâchent pas, tant ils me dévorent en ce moment.

Je m’allonge à côté d’elle la prend dans mes bras. Elle pose sa tête sur mon épaule.

On se repose un peu mon amour, on s’est quand même un peu dépenser aujourd’hui, presque autant que cette semaine.

Elle rabat le drap sur nous, sa main se pose sur mon sexe, elle le prend délicatement entre ses doigts. Nous nous endormons, combler d’amour.

-/-

Je me réveille, je voie la puce, ma petite puce, qui est sur le côté, la tête sur sa main, en train de me regarder, les yeux humides.

Bonjour mon ange, bonjour mon amour.

Je lui tend les bras, elle se jette dans mes bras, je sens des larmes qui coulent sur mes joues pendant que nos lèvres se joignent dans un adorable baiser. Ma main caresse ses cheveux, descend le long de son dos, caresse ses fesses.

J’embrasse, ses joues, ses yeux, ne peut me retenir de l’embrasser, de la dévorer, de la couvrir de baisers, de me repaitre de sa peau, de son gout, de son odeur. Je sens ses larmes se calmer, son corps glisse sur moi, je sens sa poitrine qui se gonfle doucement, elle a l’air de se détendre, de se reprendre.


Mon amour je t’aime tant, je t’aime tout simplement, je t’aime comme un ado, comme un collégien qui aime pour la première fois.
Tu m’as fait redécouvrir une partie de moi qui était cachée, qui était enfouie, une part de moi qui m’effraie, mais bon sang que cela fait du bien.


Elle me souri tristement, m’embrasse, ses doigts caressent mes tempes en même temps, comme pour me relaxer.

Je t’aime, mais en te regardant dormir, avant, je me disais, que d’ici deux jours je me réveillerais seule, sans toi, sans mon amour a mes côtés, que toi tu seras dans les bras de ta femme, dans les bras de ma sœur.

Mes doigts caressent ses flancs, caressent ses fesses. Je la voie, je la sens frissonner.

Ma chérie, je t’aime, j’aime ta sœur, tu le sais. Je vous aime toutes les deux. Je ne veux pas que vous souffriez, je voudrais tellement que tout soit plus simple.
Nous avons, fait des choix, plutôt nos choix s’imposent à nous, il nous faut, il nous faudra les assumer.
Par moment ce sera dur, se sera douloureux, autant pour toi que pour moi, mon amour, autant pour l’un, que pour l’autre.


Elle me regarde me souri, elle m’embrasse dans le cou, sa bouche se fait gourmande, se fait dévoreuse. Elle descend le long de mon corps s’arrête brièvement sur mon nombril. Mon sexe qui s’est redressé, tout comme moi a envie de cette bouche gourmande qui se rapproche. Il bat doucement contre ses seins, se frotte à la peau si douce, si fragile de sa poitrine. Elle s’agenouille entre mes cuisses.

Tu es en forme ce matin mon chéri. Au faite, on est bien le matin ?

Elle regarde ma montre, sourie, sa main caresse ma doucement ma hampe, comme par inadvertance.

Je vais sous la douche, tu commandes le petit déjeuner et tu me rejoints mon amour.

Elle se penche, son regard ne me lâche pas. Ses lèvres s’approchent doucement de mon sexe qui frétille dan sa main. Mon bassin se relève, pour approcher plus vite, me rapprocher plus vite de ses lèvres qui tardent tant à me prendre en bouche. Elle sourie, embrasse mon sexe, se lève.

Ne soit pas si presser mon amour, tu en as envie, moi aussi, mais chaque chose en son temps.

Je regarde ma montre il est 8h00, je téléphone, et commande le petit déjeuner, du même style que hier matin pour 8h45.
Je me dirige vers la salle de bain, j’entrevoie Magalie qui me tourne le dos. Je rentre discrètement dans la douche, me colle à ma puce, mes mains empaument ses seins.
J’embrasse sa nuque, ses mains se plaquent sur les miennes, les dirigeants doucement vers son ventre.
Elle pose sa tête sur mon épaule, me regarde, elle exprime une telle tendresse, un tel amour dans son regard. Je souri, l’embrasse tendrement, tout en la serrant contre moi, J’aime tant sentir son corps contre le mien.


On se lave, on petit déjeune, et on va faire des courses mon amour. En passant avant-hier j’ai vue deux ou trois magasins où il y a de belles choses. Et il nous faut reprendre des forces, s’il ne tenait qu’à moi, nous passerions toute la journée au lit, mais, il faut aussi profiter du reste.

Elle se retourne dans mes bras, en souriant, on se lave, tendrement sensuellement. J’ai l’impression que nous voulons profiter du corps de l’autre, que nos mains veulent les caresser, qu’elles ne se repaissent pas de les toucher, de les caresser.
Magalie sort de la douche, me tend un drap de bain, commence doucement a me sécher. Je fais de même.
Nous entendons toquer à la porte, nous enroulons les draps de bains autour de nos corps, Magalie ouvre la porte. Les serveuses entrent avec les plateaux, la même profusion de nourriture que hier. Elles ressortent en souriant, cela fait deux jours pour ainsi dire, que nous ne sommes pas sortis de la chambre.
J’écarte une chaise Magalie s’assoie. Je m’assieds en face d’elle, lui sert un café, nous dévorons, pour ne pas changer.


Heureusement que nous n’avons pas tous les jours de pareils petits déjeuners, je deviendrais énorme. Tu me diras, que notre gymnastique presque intensive, me met en appétit, je dois le reconnaitre.

Nous finissons de le petit déjeuner, je me lève tend les mains à ma puce qui les prends et se lève, je ne sais pourquoi mais l’envie de l’embrasser me prend. Elle se colle à moi, nos serviettes tombent au sol, nos corps se collent, nos mains caressent nos corps, nos lèvres se retrouvent, nos langues se cherchent, se caressent sensuellement, doucement.

On s’habille mon amour, on va prendre un peut l’air, on va devenir des ermites sinon. Je suis d’accord, j’adore passer mon temps au lit avec toi, mais il faut aussi que l’on se ventile un peut.

Nous nous habillons, nous sortons de l’hôtel et prenons le véhicule.

Tu peux prendre le chemin du chantier, j’ai repéré deux boutiques avec des choses magnifiques.

A un feu rouge, elle se fait toute câline, me regarde avec ses yeux complètement énamourés.

Juste une petite question, mon adorable patron pourrait-il me faire une petite avance, je n’ai que des francs sur moi.

Je rigole, j’attendais sa demande, sachant qu’elle n’a pas de DM sur elle.

Elle me montre un magasin de chaussures. Je me gare. Magalie est excitée comme une puce. Je lui tend une liasse de DM.


Je reviens rapidement, j’ai une ou deux courses a faire, j’en ai pour une heure maximum.

Sans lui laisser le temps de répondre, je parts. Je m’arrête dans la bijouterie, où régulièrement je fais faire nos bijoux. J’achète un chainette en or, et je récupère le napoléon que j’ai fait monté en pendentif pour Sabine. Je fais faire deux paquets cadeaux.
Je retourne au magasin, ou Magalie est en train de faire tourner en bourrique les vendeuses. Elle essaye des chaussures, il y a je ne sais combien de boites ouvertes devant elle. Je rigole, devant la mine déconfite des vendeuses.


Ma puce tu as une heure, après je te laisse et tu te débrouilles pour retourner à l’hôtel.

Elle se décide pour une paire de dockers, et une paire de talons aiguilles, elle est choux avec son jeans qui est trop fois trop large et ses talons aiguilles. Je me retiens de rire. Elle fait un tour dans le magasin, je retrouve ma puce, ma Magalie, la belle plante qui se lâche dans sa démarche. J’ai l’impression qu’elle a complètement intégré cette façon de marcher. Je voie un client se prendre un coup de coude dans les côtés par la femme qui l’accompagne. Elle revient vers moi, elle accentue volontairement le chaloupé de sa démarche, tout en me fixant droit dans les yeux. Bon sang, rien que de la voir comme cela, j’ai envie d’elle. Elle s’arrête en face de moi, m’embrasse furtivement, en souriant. Elle me montre un sac à main.

Il plairait à Sabine, il irait bien avec un de ses ensembles.

Tu fais comme tu penses, ma chérie.

Elle fait emballer le sac dans un paquet cadeau.

Je paie la moitié, tu ne vas pas dépenser tout l’argent que tu n’as pas encore gagné.

Elle me sourit, acquiesce de la tête. Au passage en caisse, elle sort son argent, je règle la moitié du montant, elle me regarde surprise.

Je participe financièrement, quand j’ai dit je paie la moitié, je pensais au total de tout tes achats ma puce, c’est normal pour moi, ma chérie.

Elle me saute au cou, m’embrasse, si nous n’étions pas dans le magasin, je pense que je serais déjà complètement nu, vue comment elle est excitée. Je voie les vendeuses qui nous regardent, surprises. Je les entends penser, je lis dans leurs yeux, « Ah ces Français !!! » Vue la réputation des français, cela est tellement logique.

Nous sortons du magasin, déposons les sacs dans le fourgon, Magalie a gardé ses talons aiguilles. Elle est à quelques mètres devant moi, je la voie marcher, l’admire, elle refait comme le premier jour dans la galerie marchande, tous les hommes que nous croisons, se retournent sur son passage.
Deux jeunes de son âge, s’arrêtent, se retournent, la siffle. Elle s’arrête, fait demi-tour, passe entre eux en souriant, sous leur regard stupéfaits, elle passe ses bras autour de mon cou, et m’embrasse violemment.


Alors mon amour, comment se comporte ta femelle, comment se comporte ton amante. Je les allume assez ?

Elle ne me laisse pas le temps de répondre, se retourne, passe son bras sous le mien, elle rejette encore plus les épaules en arrière, pour mieux exposer sa poitrine qui pointe sous son teeshirt, trois fois trop grand. Nous passons devant les deux jeunes qui n’en reviennent toujours pas.

Nous arrêtons devant une baraque à frittes, et mangeons une « Curry Wurst, mit Fritten. » Nous déambulons dans les rues, nous passons devant un magasin. Sans me laisser le temps de réfléchir, Magalie m’entraine à l’intérieur. Elle va voir une vendeuse, qui revient avec elle, elle nous entraine à sa suite, vers le rayon des pulls.


J’ai envie de t’offrir une chemise ou un pull, à toi mon amant, à toi mon homme. Ce n‘est pas la saison, mais il y a un pull Irlandais en vitrine qui est magnifique.

La vendeuse revient avec le modèle que Magalie lui a montré. Il est magnifique. Je l’essaie.

Superbe mon amour. Il te va à merveille.

Je l’enlève, en même temps que mes bras redescendent, j’attrape ma puce, et l’embrasse. Elle à l’air si heureuse. Nous nous dirigeons vers la caisse, elle se retourne, me fait comprendre de ne pas m’approcher. Je souri, me dirige vers la sortie du magasin, où je l’attends. Elle arrive toute guillerette, avec son paquet sous le bras.

Mon premier salaire, le premier cadeau pour mon amant, pour l’homme a qui je donnerais ma fleur pour la première fois, pour l’homme que j’aime. Elle me tend le paquet, elle a presque les larmes aux yeux.

Je la sers contre moi, inconsciemment je suis émue. Est-ce de ce geste qui pourrais sembler si anodin, ou est ce, ses mots, sa déclaration d’amour qu’elle vient de faire.
Je passe mon bras sur son épaule, elle prend ma main dans la sienne, nous sortons. Nous nous promenons, nous flânons, j’apprécie de me promener avec ma petite puce collée contre moi. Ma petite puce, qui tout comme moi, affiche ici devant tout le monde, l’amour que nous avons l’un pour l’autre sans nous cacher.
Nous nous asseyons sur un banc, dans un parc. Je regarde discrètement ma puce, elle rayonne de bonheur. Elle me donne l’impression de se sentir libre, libre de profiter, libre de montrer son amour, libre de faire ce qu’elle veut, sans l’appréhension que quelqu’un de nos connaissances ne nous surprenne. Elle s’allonge sur le banc, pose sa tête sur ma cuisse. Elle prend ma main entre les siennes, les posent sur son ventre. Je la sens qui s’endort. Je ne bouge plus.
Je dois m’être endormi aussi, je regarde ma montre il est vingt et une heures. La puce dort toujours. Je me penche, l’embrasse doucement, elle remue, ses mains qui en dormant ont lâchée la mienne, me caresse les joues. Elle s’assied, s’étire comme une chatte qu’elle est.


J’ai dormi comme un gros bébé que je suis mon amour. On rentre, j’ai faim, je meurt de faim mon chéri.

Elle souri en disant cela. Nous nous levons, et nous dirigeons tranquillement vers l’endroit où le fourgon est garé. Nous rentrons à l’hôtel, pendant que Magalie va ranger les paquets, dans la chambre, je vais m’installer à une table, dans un coin du restaurant. Je cache le paquet avec la chainette en or dans sa serviette, qui est roulée sur son assiette. Elle revient avec sa démarche qui me provoque une poussée d’adrénaline, comme à chaque fois. En s’asseyant elle se penche et m’embrasse. Elle prend sa serviette sent le paquet, me regarde. Elle déplie la serviette, voie le petit paquet, commence à papilloter des yeux.

Mon dieu que j’aime la voir quand elle comme cela, nature, presque candide.

Elle ouvre fébrilement le paquet. Voie la chainette, me regarde, je me lève, prends la chainette qu’elle me tend, la lui passe autour du cou.

Un modeste cadeau pour une femme que j’aime, plus que ma vie.

En même temps je l’embrasse dans la nuque, elle gémit de plaisir. Je me rassies en face d’elle, ses doigts jouent avec la chainette, elle me regarde, je me noie dans son regard. Je réalise que la serveuse est là, depuis un moment, nous regardant, son regard passant de l’un à l’autre.

Ma puce tu manges quoi ?

Comme toi mon chéri.

Je commande des escalopes de veaux aux champignons, avec des légumes.

DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :stp jak encore une suite ou deux meme
1+2=3



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67)


Mon dieu que j’aime la voir quand elle comme cela, nature, presque candide.

Elle ouvre fébrilement le paquet. Voie la chainette, me regarde, je me lève, prends la chainette qu’elle me tend, la lui passe autour du cou.

Un modeste cadeau pour une femme que j’aime, plus que ma vie.

En même temps je l’embrasse dans la nuque, elle gémit de plaisir. Je me rassies en face d’elle, ses doigts jouent avec la chainette, elle me regarde, je me noie dans son regard. Je réalise que la serveuse est là, depuis un moment, nous regardant, son regard passant de l’un à l’autre.

Ma puce tu manges quoi ?

Comme toi mon chéri.

Je commande des escalopes de veaux aux champignons, avec des légumes.


-/-


Nous mangeons, je voie souvent les doigts de Magalie prendre la chainette entre ses doigts, tout en me regardant. Elle a l’air si heureuse en ce moment.

Je règle la facture, nous nous levons.


J’aimerais marcher un peu, on va se promener mon amour ?

Nous partons main dans la main, comme deux ados, limite si on ne sautille pas, si on ne saute pas de joie. Nous comportons comme tout à chacun, comme n’importe quel couple d’amoureux, librement. Magalie toujours avec la même démarche, avec cette démarche qui fait intégralement partie d’elle, même avec les talons aiguilles qu’elle assume totalement maintenant,

Même quand nous étions sur le chantier, plusieurs fois je me suis surpris à l’admirer, a la regarder marcher, de cette démarche qui me provoque toujours un si bel effet, qui me transporte de bonheur, qui me donne presque envie de la prendre, de lui faire l’amour.

Je me souviens la tête des ouvrier qui intervenaient dans le même secteur que nous, quand Magalie passé devant eux, pour aller chercher ce que je lui avait demandé, ou faire ce qu’elle devait.

La rentabilité de leur chantier s’effondrait. Au fur et à mesure qu’elle passait près d’eux, les ouvriers s’arrêtaient pour la regarder passer, se rincer les yeux, de sa silhouette, de sa démarche si provocante. Il faut bien le reconnaitre, que je le reconnaisse, elle faisait tout pour les aguicher. Même en tennis, ou en chaussure de chantier, elle était, enfin elle est dans une provocation continue avec les hommes.

Le chef de chantier des peintres et même venue me demander si je n’étais pas payé par un de ces concurrents, pour qu’il ne finisse pas le chantier dans les délais.

Quand je l’ai raconté à ma petite puce, elle a éclaté de rire.


Que veux tu mon amour, au départ ils ont blagué sur ma poitrine, tu m’as dit si je me souviens bien.

«S’ils ne voient que ta poitrine, ils ne te méritent pas.

Même s’ils trainent la langue par terre, s’ils en bavent d’envie, qu’ils se roulent à tes pieds tu es et tu reste inaccessible, pour ce genre de personne.
J’image ce que je te dits pour que tu comprennes bien. Tu les ignore. »

Donc je les ai bien allumés, et je leur ai bien fait trainer la langue par terre. Ils ne méritaient pas plus.

Tu m’as appris à être femme, à être une femelle, je l’applique mon amour. Le femelle que je suis, est tienne, les autres n’ont le droit de la toucher, que des yeux, seulement des yeux.


Maintenant, que nous nous promenons, Magalie rayonne, elle est heureuse, cela se voie tant. Elle l’affiche, elle souri à tout le monde. Nous voyons même un couple de personnes âgées, qui sourient en nous regardant, presque avec nostalgie, comme si nous leur rappelions de doux souvenirs, des souvenirs de leurs jeunesse.

Qu’est ce que l’on est bien. Nous pouvons nous promener, faire ce que nous voulons, personne ne nous connait. C’est magnifique.

Elle s’arrête, me saute dans les bras, m’embrasse. Je ressent tout l’amour qu’elle a pour moi, qu’elle peut exprimer en ce moment, librement à la vue de tous.

On rentre mon amour, c’est notre dernière nuit libre, notre dernière nuit avant de devoir faire attention, de devoir nous croiser comme si de rien n’était, comme si nous n’étions que beau frère et belle sœur.
Notre dernière nuit d’amant, libre de toute préoccupation, libre de nous aimer comme nous le voulons. Tout simplement de nous aimer comme des fous que nous sommes tous les deux.


Elle se colle à moi, passe mon bras sur son épaule. Ma main se pose sur son sein, elle me regarde et souri. Elle caresse ma main, tout en prenant la chainette entre ses doigts.

Tu sais mon amour, c’est le premier cadeau qu’un homme me fait. Quand je le prend dans mes doigts, quand je joue avec cette magnifique chainette, que tu m’as offerte, cela me remémore nous deux, elle me prouve que je ne rêve pas, que nous deux c’est réel.

Cela fait trois ans que je suis folle amoureuse de toi, que je rêve de toi et là on se promène tous les deux, comme deux amoureux. Jamais je n’aurais pensé cela faisable, jamais je n’aurais pu me l’imaginer.

Oui je l’ai rêvé, oui je l’ai voulu, et mon dieu que je suis heureuse de ces petits moments volés à la vie, de ces moments de bonheur que je vole à ta femme.


Nous arrivons à l’hôtel, nous rentrons dans la chambre qui a était faite entre temps. Les fenêtres sont ouvertes, il fait si doux en cette fin juillet.

Je commence à me déshabiller quand je sens les mains de Magalie qui s’est glissée derrière moi, se poser sur mes épaules. Elle fait doucement glisser ma chemise, tout en embrassant mes épaules, mon dos. Ses mains caressantes, me provoquent des frissons. Bien agréable je dois le reconnaitre.
Ses deux mains, glissent le long de ma taille, ouvre ma ceinture. Je sens son corps se plaquer contre mon dos, sa poitrine, ses tétons qui pointent à travers son tee-shirt. Elle ouvre le bouton de mon jeans, fait descendre le zip, mon pantalon glisse au sol. Je soulève mes pieds pour m’en dégager.
Ses mains caressent mes cuisses, je sens sa respiration qui s’accélère. Je me retourne, en la prenant dans mes bras. Elle me souri quand elle sent mes mains attraper le bas de son tee-shirt et le faire remonter le long de son corps. Mes mains en profitent pour caresser ses flancs. Elle m’embrasse, ses seins nus, ses tétons qui pointent, se plaquent contre mon torse. J’en profite pour ouvrir le bouton de son jeans, qui glisse au sol. Mes mains caressent ses fesses nues. Les siennes se glissent sous mon boxer, en le faisant glisser.
Elle me prend par la main, m’entraine vers le lit. Elle se glisse sous le drap, en m’entrainant avec elle.


Je n’ai même pas envie de faire des folies, mon amour, simplement d’être dans tes bras, d’être contre toi, de sentir ton corps, mon corps l’un contre l’autre. De savoir que je suis dans les bras de l’homme qui m’aime, que j’aime comme une folle me suffit.
Je suis si heureuse que l’on soit ensemble, si heureuse de ces moments de bonheur que tu m’as offert, de ces moments de bonheur que tu me donnes.


Il est vrai que j’apprécie aussi ce moment, c’est comme si nos corps communiaient, si nos corps respiraient ensemble, vivaient l’un pour l’autre.
Nous nous endormons, dans les bras l’un de l’autre. Je me réveille sentant bouger ma petite puce contre moi, sentant sa bouche qui m’embrasse, ses mains qui me caressent. J’apprécie tellement, que je ne bouge pas, égoïstement j’apprécie le plaisir qui monte en moi, ce plaisir qu’elle est en train de faire apparaitre.

Sa bouche, glisse le long de mon corps, sa main caresse mon sexe, qui ne peut cacher bien longtemps, le plaisir que sa douce main éveille. Sa bouche goulue, embrasse mon sexe. Ma main caresse tendrement ses cheveux. Je m’assied dans le lit, tentant d’attirer Magalie, qui me regarde avec son petit air mutin. Elle écarte mes mains, sa bouche s’empare de mon sexe. Elle se déchaine, sa langue se déchaine. J’ai l’impression qu’elle veut me dévorer. J’essaie encore de l’attirer vers moi.


Non mon amour comme tu ne veux pas de ma fleur, je te donne ma bouche, je veux ton plaisir, je veux te sentir jouir en moi, te sentir encore tressauter, te sentir vibrer entre mes lèvres.

De l’entendre me dire ce qu’elle veut, exprimer ses envies, ses désirs, elle assume, elle s’assume comme femme, comme maitresse, comme amante. En si peut de temps, accepter, exprimer ses envies, ses désirs, elle n’arrête pas de m’étonner, de me surprendre.

Elle m’aspire, me lèche, me mordille, elle monte et descends avec sa bouche, se sert de sa bouche comme si s’était un vagin.
Son regard pétille, ses yeux brillent. Elle sort mon sexe da sa bouche le lèche comme une glace.
Elle se donne complètement, sa bouche se donne.
Elle me reprend en bouche, ses mouvements s’accélèrent, je butte dans le fond de sa gorge, je sens mon gland heurter sa glotte, je suis complètement en elle, elle me veut totalement en elle.
Ses yeux brillent de la folie de ce qu’elle ressent, du plaisir qu’elle veut me donner.
Elle me donne l’impression, tant elle a l’air excité, qu’elle ne se maitrise plus.

Je sens les prémices de ma jouissance arrivé. Elle sent mes contractions, les contractions de mon corps. J’essaie de me retenir, ne pas jouir maintenant, pas encore. Ne pas arrêter ce moment sublime qu’elle me donne en ce moment.

Elle me regarde sa bouche reste collée à mon sexe, sa bouche m’aspire comme si elle voulait aspirer mon sexe. Elle continue en me regardant dans les yeux. Nos regard sont accrochés l’un à l’autre, ne se lâchent pas. Ses lèvres se resserrent sur ma verge quand j’explose, quand je joui dans sa délicieuse bouche.
Elle sort mon sexe de sa bouche, le lèche. Sa langue virevolte, comme si elle voulait récupérer la moindre parcelle de ma semence. La pointe de sa langue joue avec mon sexe. Elle tête mon sexe. Je sens ma jouissance revenir au triple galop. Sa main remplace sa bouche, elle me masturbe, joue avec ma verge. Sa langue s’amuse, excite mon gland. Ses lèvres se posent sur mon gland au moment ou je vais jouir, je la sens aspirer, elle aspire ma semence, mon gland.
j’ai l’impression qu’elle m’aspire, qu’elle m’aspire toute mon énergie, tant je me sens vide, vider de toute substance.
Elle me regarde en souriant, en se léchant les lèvres. Son regard espiègle pétille, je prends sa tête entre mes mains l’embrasse tendrement.


J’avais envie, j’en mourrais d’envie, j’adore me donner, te donner du plaisir. Ton plaisir est mon plaisir, tu m’as tant apporté, tant donné. Jamais je n’aurais cru pouvoir autant aimer, autant aimer donner du plaisir a un homme, arrivé à te donner ce plaisir mon amour.

Il est quelle heure, n’oublie pas que ce matin tu as la réception du chantier avec Peter.


Je regarde ma montre il est 7h30. Je me lève tout en entrainant la puce. Nous prenons notre douche, nous habillons.

On range nos affaires, et on y va.

Tout étant rangé, nous allons prendre notre petit déjeuner. Ils sont encore plus copieux en salle. Je règle la note, range la facture, avec les autres. Nous rangeons nos affaires dans le fourgon, direction Salamander.

La puce est songeuse, elle semble réaliser que plus le sablier du temps s’écoule, plus l’heure de rentrer à la maison approche. Cela ne va pas être évident, après ces journées à travailler ensemble, à être 24/24 tous les deux, rien que nous deux. Il y a une telle complicité entre nous deux maintenant, j’espère que tout se passera bien quand on rentre, que Sabine ne se douteras de rien.

Nous arrivons sur le chantier, avec dix minutes d’avance. Je fais le tour des armoires serveurs, remets les fusibles de protections en place. Tout fonctionne.

Peter arrive, à l’heure comme toujours, je lui remet le dossier des mesures de l’installation. Il rigole en voyant Magalie à côté de moi. Il me parle du patron des peintres qui est venue le voir.
Nous allons dans son bureau, il signe mes factures, la réception du chantier. Il me remet l’appel d’offre suivant, ainsi que la copie du transfert des 50% qu’il vient de faire. Il me confirme que les 10 % restant seront virés dans les quinze jours, et que la nouvelle tranche, sera à effectuer en septembre. Nous nous saluons.
Arrivé au fourgon, j’attire l’attention de Magalie sur le fait qu’elle n’a rien acheté pour sa maman.
Elle rigole.


Regarde la facture dont tu as payé la moitié, il y a deux sacs, un pour Sabine, un pour maman. Il ne faut jamais payer les yeux fermés mon amour. Ne jamais faire confiance à une femme qui achète.

J’attèle la remorque, nous prenons la route pour rentrer. Aucun souci sur la route. Nous arrivons à 13 h à la maison.
Suzanne nous accueille, elle est heureuse de nous voir.

DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Et le bonus

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
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Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

La suite étant trop longue
je l'ai scindé en deux.
68)

69/1)



Nous allons dans son bureau, il signe mes factures, la réception du chantier. Il me remet l’appel d’offre suivant, ainsi que la copie du transfert des 50% qu’il vient de faire. Il me confirme que les 10 % restant seront virés dans les quinze jours, et que la nouvelle tranche, sera à effectuer en septembre. Nous nous saluons.
Arrivé au fourgon, j’attire l’attention de Magalie sur le fait qu’elle n’a rien acheté pour sa maman.
Elle rigole.


Regarde la facture dont tu as payé la moitié, il y a deux sacs, un pour Sabine, un pour maman. Il ne faut jamais payer les yeux fermés mon amour. Ne jamais faire confiance à une femme qui achète.

J’attèle la remorque, nous prenons la route pour rentrer. Aucun souci sur la route. Nous arrivons à 13 h à la maison.
Suzanne nous accueille, elle est heureuse de nous voir.


-/-

Cela s’est très bien passé avec le petit. Il est adorable, tout sa maman.

Elle éclate de rire, en me regardant, en voyant la tête que je fais.

Oui je sais Jacques, tu étais aussi un gentil bébé, à ce que l’on m’a dit.
Sabine travaille au magasin, elle a une bonne nouvelle, mais c’est elle qui vous le dira. Bon je réchauffe ce qui reste de hier soir, et à table.


Nous déjeunons, Suzanne nous regarde dévorer. Arrivé au dessert je fais signe à la puce. Qui ne comprend pas.

Suzanne, tu pourrais me faire un café s’il te plait, Magalie à part avoir envie de jeter la machine à café par la fenêtre n’arrive à rien avec.

Pendant que Suzanne prépare le café, je fait signe à Magalie. Qui se lève. Je lui dit discrètement d’aller chercher le cadeau qu’elle a acheté pour Suzanne. Elle revient cinq minutes plus tard, et lui tend le paquet.

De notre part à tous les deux, Jacques et moi.

Suzanne ouvre le paquet, et nous saute au cou.

Merci Jacques et Magalie, mais il ne fallait pas, il est magnifique, il a couté une fortune Jacques.

Magalie a payé la moitié, avec une avance sur son salaire, que je lui ai faites. C’est elle qui l’a choisi.

Je bois mon café, Magalie en prends un aussi.

Bon Suzanne, on doit passer au bureau, avec Magalie, et après on va voir Sabine.

Si on va chez Martine, je me change, je ne vais pas y aller habiller comme cela. Jacques tu m’as dit que je dois toujours être au top chez Martine.

Avant, que je n’ai le temps de dire quoi que ce soit, Magalie fonce vers sa chambre, pour se changer. Suzanne, souri. J’en profite pour lui demander de ne pas prévenir Sabine que nous sommes rentré.

Pas de soucis, Jacques, je ne lui téléphonerais pas.
Magalie est une catastrophe avec les habits, tout est bon pour qu’elle se change à tout bout de champs. Elle n’a pas changé à ce niveau là.


Magalie, revient en ayant enfilé le tailleur, qu’elle avait le premier jour, ainsi qu’un chemisier. Suzanne a toujours l’air surprise de la voir ainsi habillé, elle fait si femme. Nous descendons, sortons nos affaires de voyages, Magalie cache les cadeaux à la cave.

J’arrive au bureau, Magalie me suis. Je rentre dans mon bureau, Yolande arrive avec une tasse de café, me la tend avec un énorme sourire, en voyant Magalie avec des talons aiguilles.
« C’est elle l’ouvrière, l’arpette ? Vous êtes encore en vie, il parait que c’est un vrai tyran notre patron sur les chantiers. »


Bon yolande…

Jacques est peut être un tyran, mais il bosse comme un fou et le chantier est fini.

Je regarde Magalie, elle comprend qu’elle aurait mieux fait de se taire.

Magalie, va te servir un café à l’accueil.

Magalie me regarde tristement, sort du bureau, les épaules baissées. J’ouvre ma mallette.

Bon Yolande, voilà la réception, du chantier, les doubles des virements, mes factures pour 1500 DM, la différence soit 500 DM, tu les déduiras des frais de Magalie, je lui ai fait une avance, d’ailleurs tu lui fait signer une quittance, pour cette avance.
Voila le nouvel appel d’offre. Il faut y répondre pour le 20 août au plus tard. Tu voies cela avec Patrick.


Je demande à Yolande de préparer le chèque de Magalie, ainsi que sa fiche de paie. Elle va à son bureau, reviens avec une chemise cartonné, me tend la fiche de paie qui était déjà prête, le chèque que je signe, ainsi que le reçu pour les 500 DM qu’elle vient de préparer. Elle glisse le tout dans une enveloppe A5, qu’elle me tend.

Je vais au dépôt avec Magalie, je te ramène les papiers ce soir avant que tu ne partes.

En passant je voie Magalie, qui attend assise dans un des fauteuils de l’accueil. Elle se lève, me rejoint.

Je sais, j’aurais du me taire. Excuse moi.

Je ne dis mots, mon regard doit être assez éloquent. Nous arrivons au dépôt, le magasinier m’aide à dételer la remorque, il bloque quand il voie Magalie descendre du fourgon. Il me regarde avec un petit sourire en coin.

Oui c’est l’arpette qui es venu bossé en Allemagne, il ne faut pas se fier aux apparences.

Nous vidons le fourgon, le magasinier range et pointe le matériel, rien ne manque. Je récupère les clefs de la voiture, nous partons, direction le magasin de Martine. Dans la voiture, je regarde la puce, elle joue avec sa chainette. Dans ma poche, je sens la boite avec le pendentif de Sabine.

Bon Martine ne va pas râler, tu es entière, juste les ongles, mais eux ils repoussent.

Je rigole, Magalie, me regarde, tristement.

La chainette, je la garde ou pas ? Sabine va se poser des questions.

Ma chérie, je t’ai toujours dit que j’assume, que j’assumerais. Tu gardes la chainette, je te l’ai mise moi-même autour du cou, personne d’autre que moi ne te l’enlèvera.

Magalie papillote des yeux, sa main se pose sur ma cuisse. Je gare la voiture dans le parking souterrain. J’ouvre la porte à Magalie, lui tend la main, elle sort, passe son bras sous le mien. Nous marchons à son rythme, elle me donne l’impression de sa pavaner en étant à mon bras, tant elle est fière.
Nous arrivons au magasin, nous rentrons comme deux clients, Martine nous voie, souri, Sabine qui nous tourne le dos, est occupé, avec une cliente, nous nous approchons. Sabine se retourne, un énorme sourire, éclaire son visage. Elle se retiens de me sauter au cou, Martine intervient pour prendre le relais, avec la cliente.
« Sabine, tu peux prendre cinq minutes de pose, allez boire un café tous les trois. »
Sabine me saute au cou, m’embrasse. Elle passe son bras sous le mien et c’est encadré de mes deux amours que nous nous dirigeons vers le café à proximité du magasin. Un des serveurs qui nous voient arrivés, fait la moue. J’écarte à tour de rôle les chaises, les puces s’assoient.


Vous avez l’air en forme, alors tout est bon, pas de soucis sur le chantier.

Tout va bien, on a bouclé hier en fin d’après-midi, on s’est couché très tôt, debout à 7 heures, et nous voilà. On est même passé au bureau. Au faites Magalie (Je lui tends l’enveloppe que je viens de sortir de ma mallette).

Ton salaire pour les dix jours.

Elle prend l’enveloppe, sort la fiche de paie, son regard me dit qu’elle cherche, et ne comprends pas grand chose. Elle tend la fiche de paie à Sabine, qui me regarde avec des yeux exorbités, après l’avoir parcourue. Magalie qui a sorti le chèque me regarde de la même manière.

Magalie tu as travaillé dix jours entre douze et quatorze heures par jour, ce qui correspond environ à un mois en horaire normal, donc tu as la paie d’un mois. Plus les frais de déplacement. Ce qui va te permettre de passer de bonnes vacances, et de t’acheter des vêtements pour la rentrée. Il reste un papier, dans l’enveloppe, tu le signes s’il te plait, ainsi que Sabine, c’est le reçu des 500 DM que je t’ai avancé en Allemagne.

Sabine et Magalie se regardent avec des yeux ronds, elles n’en reviennent pas. Magalie me tend le chèque, en me demandant de le garder jusqu’au moment où nous irons à la banque.

Vous me cherchez ce soir, je suis descendu avec le bus, j’ai quelque chose à vous annoncer. Je retourne travailler, les cinq minutes sont plus que dépassé.

Sabine m’embrasse, ce n’est pas un simple baiser, elle se colle a moi, me faisant bien comprendre que la maitresse, la femme, est bien de retour, que la femme qu’elle est, a enfin supplanté la maman qu’elle avait été pendant ces derniers mois. Elle retourne au magasin, je règle la note, et nous retournons au bureau, je ramène le reçu à Yolande. Elle me souhaite bonne vacances.
Nous partons nous promener, comme il nous reste une bonne heure nous allons boire un café, dans un salon de thé. Le temps passe si agréablement, quand on est en compagnie de son amour. Magalie, rayonne de plaisir, de ces petits moments où nous sommes encore que nous deux, plus pour longtemps elle le sait, tout comme moi.

Nous revenons au magasin, Martine, et Sabine, sont en train de fermer le magasin, en plaisantant comme deux bonnes amies. Elles nous font rentrer dans le magasin, tirent le rideau. « Bon Sabine tu le leur dis, ou c’est moi qui le fait. »


Bizarre on dirait deux amies, comme si elles travaillaient depuis toujours ensemble.

D’accord Martine, calme toi, je vais le leur dire. J’ai deux bonnes nouvelles, et une mauvaise, et cela vous concerne tous les deux, mes chéris.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

La suite du bonus
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées

Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte


69)

69/2)FIN



Sabine m’embrasse, ce n’est pas un simple baiser, elle se colle a moi, me faisant bien comprendre que la maitresse, la femme, est bien de retour, que la femme qu’elle est, a enfin supplanté la maman qu’elle avait été pendant ces derniers mois. Elle retourne au magasin, je règle la note, et nous retournons au bureau, je ramène le reçu à Yolande. Elle me souhaite bonne vacances.
Nous partons nous promener, comme il nous reste une bonne heure nous allons boire un café, dans un salon de thé. Le temps passe si agréablement, quand on est en compagnie de son amour. Magalie, rayonne de plaisir, de ces petits moments où nous sommes encore que nous deux, plus pour longtemps elle le sait, tout comme moi.

Nous revenons au magasin, Martine, et Sabine, sont en train de fermer le magasin, en plaisantant comme deux bonnes amies. Elles nous font rentrer dans le magasin, tirent le rideau. « Bon Sabine tu le leur dis, ou c’est moi qui le fait. »


Bizarre on dirait deux amies, comme si elles travaillaient depuis toujours ensemble.

D’accord Martine, calme toi, je vais le leur dire. J’ai deux bonnes nouvelles, et une mauvaise, et cela vous concerne tous les deux, mes chéris.

-/-


Elles nous regardent toutes les deux en riant, devant notre air surpris.

La mauvaise nouvelle, pour toi mon chéri, est que cela va te couter très, très, très cher.

La mauvaise nouvelle pour toi Magalie, c’est que tu n’as pas le choix, pas d’autre choix, tu dois avoir, tu te dois de réussir ton CAP.

Je voie Martine et Sabine qui nous regardent en riant, alors que Magalie et moi ne comprenons pas grand-chose.

La première bonne nouvelle, Martine, m’a embauchait définitivement.

je les voie toutes les deux excité, elle sautillent presque sur place, Martine regarde Sabine, la poussant du coude à parler.

La deuxième bonne nouvelle………….

Comme Martine n’a pas d’enfant, qu’elle est veuve, elle voudrait et seulement si Magalie réussit son apprentissage, que Magalie et moi reprenions le magasin dans les cinq années à venir.
Elle est prête à nous faire des facilités, elle resterait pendant les cinq années pour faire la transition avec les clients, et les fournisseurs.
Le banquier est d’accord, pour financer, du fait que Martine restera.

Sans ta caution Jacques, je ne voulais pas que tu sois engagés, dans notre affaire. Les tiennes te suffisent.
Il ne me manque plus, que l’accord des deux personnes que j’aiment le plus au monde après notre fils. L’accord de mon homme et ma petite sœur.

Magalie tu en penses quoi ?


Je voie Magalie qui est effondrée, qui se retient au comptoir du magasin. Elle a les larmes aux yeux, son regard, est un appel au secours.

Martine, et Sabine nous regardent, leur regard est pétillant, elle ont l’air excitées, impatientes, d’entendre nos réponses, elles sont aussi impatiente l’une que l’autre, des vrais gamines.


Pour moi il n’y a aucun soucis, ma chérie. Te connaissant, tu as du faire le tour de tout. Si tu m’en parles, c’est que, tu as déjà vue Raoul notre notaire, Pascal mon comptable, Pierre notre banquier commun à nous tous.

Ta décisions est prise. Maintenant c’est à Magalie de faire ses preuves.
Je sais déjà qu’elle fera tout pour réussir, je l’ai vue travailler en Allemagne, elle a compris ce qu’est la vie de chantier, ce qu’est la vie d’un arpette. Elle a vue ce que s’était de travailler avec un tyran.

Bon elle a eut un salaire conséquent, mais c’est du fait du travail, et des heures qu’elle a fait. Elle sait aussi, qu’elle n’aurait jamais eut ce salaire en travaillant, pendant toutes les vacances, chez un autre patron.


Magalie me regarde, elle est paniquée, bon sang, j’ai envie de la prendre dans mes bras, de la consoler, de lui dire, « ne t’en fait pas tout ira bien. » mon regard le lui dit d’ailleurs en ce moment, elle l’air de le comprendre, elle se calme.

Magalie nous regarde.

Jacques et Sabine, je vous ai promis de réussir, de bosser comme une folle. Je le redis, et cela devant les trois personnes qui croient en moi. Je réussirais, raison de plus maintenant. Je n’ai plus le choix. Je me dois de réussir.

« On va manger tous les quatre. Sabine on va fêter tes retrouvailles, et l’accord de tes deux amours.

Pour moi c’est d’accord, Sabine, depuis que, je t’ai vue te faire plaisir, car tu ne travailles pas, tu te fais plaisir. Et notre petite Magalie, qui y met toutes ses tripes ; elle en veut ta petite sœur.
Donc depuis que vous êtes apparues toutes les deux, cette idée n’arrête pas de me trotter dans la tête.
Je préfère laisser mon magasin, à des personnes qui me plaisent, qui sauront apprécier, qui feront fructifier ce que je leur laisse, même si j’y perd, vue les offres que j’ai déjà eut, de rapaces qui feraient n’importe quoi de mon magasin.

Jacques je peux ? »
Martine s’approche, me prend dans ses bras, m’embrasse. Elle se retourne, tend les bras vers Magalie, qui hésite une seconde en me regardant et la prend également dans les bras en l’embrassant.
« Pour moi, cela vaut signature. Bon on va manger. »
J’embrasse Sabine, qui rayonne de joie. J’ouvre le volet roulant, nous sortons, je le redescends, Martine le verrouille. Sabine à mon bras gauche, je tends mon bras droit, à Martine, qui souri, et pousse Magalie, à la place. « Je n’ai plus l’habitude Jacques, mais c’est adorable comme attention. On va à la Vigne, j’ai réservé.»

Le repas se passe merveilleusement, Martine est heureuse, mes deux puces aussi, je voie juste par moment, Magalie qui à l’air un peut paniqué.

Nous nous quittons, Martine habitant juste à côté, nous la raccompagnons, avant de rentrer.

Suzanne étant couché, nous faisons de même. Pendant que Sabine prends sa douche, je glisse sous son oreiller, la petite boite avec le napoléon que j’ai fait monté en pendentif.
Elle se couche, trouve la petite boite, me regarde en souriant.


Tu as quelque chose à te faire pardonner mon amour ?

Tout en me regardant avec un petit sourire, elle défait le nœud qui entoure la petite boite, l’ouvre, regarde le pendentif qui est à l’intérieur. Elle papillote des yeux. Elle me tend le pendentif, se penche. Je le lui passe autour du cou, elle se lève, va se regarder dans la glace. Elle revient se coucher, m’embrasse. Sa main commence à glisser le long de ma cuisse. Elle me regarde.

Il est plus joli que celui de Magalie. C’est toi mon amour, qui lui a offert, cette magnifique chainette.

Oui, elle n’a jamais eut de cadeau, et elle a tellement travaillé, s’est tellement donné, en Allemagne, que je me suis dit que…

Sabine, pose un doigt sur mes lèvres.

Chut mon amour, tu la lui as offert, c’est très bien. Je comprends.

Juste une chose mon chéri. Ne joue pas avec elle, ne joue jamais avec ses sentiments, je ne te le pardonnerais jamais. Je vous aime tous les deux. Maintenant on dort, tu dois être épuisé par ton chantier et demain, je me lève tôt.


Le matin, nous nous levons, Sabine est radieuse, Nous prenons notre petit déjeuner, Magalie nous rejoint. Elle boit son café, je voie une étincelle dans ses yeux.

Je reviens tout de suite ne bougez pas.

Sabine me regarde, en souriant, comme si elle se doutait de quelque chose. Magalie arrive avec deux paquets.

Vous êtes si gentils, si adorables qu’avec mon premier salaire, j’ai tenue à offrir quelque chose aux deux personnes que j’aime le plus, et qui m’aiment. Aux deux personnes qui ont tout fait pour que je sois heureuse.
Pour toi ma grande sœur, que j’adore.


Elle lui tend le paquet cadeau, que Sabine s’empresse d’ouvrir. Elle saute au cou de sa petite sœur, en l’embrassant, en la traitant de folle.
Magalie se tourne, vers moi me tend le dernier paquet.
J’ouvre aussi vite le paquet, et je sorts le pull irlandais. Je me lève et embrasse Magalie, qui pleure.
Sabine se lève, nous prends dans les bras.


Calme toi ma petite sœur, c’est magnifique ce que tu nous as offert, c’est adorable. Les journées qui restent, tu te reposent, tu es épuisée. Ton beau frère préféré, ce tyran, a du t’exploiter, te pomper toute ta sève, toute ton énergie. Tu ne fais rien, tu te reposes, tu l’as grandement mérité.
Et toi mon homme, tu la laisses tranquille, et tu te reposes aussi.
Le docteur Sabine a parlé.
Pas envie d’avoir deux zombies avec moi en vacances.


Suzanne, arrive, elle nous voie, tous les trois dans les bras l’un de l’autre, les cadeaux sur la table.

Elle vous a gâtés aussi, tu verrais le sac qu’ils m’ont offert tous les deux. Ils sont fous.

Maman, Magalie et Jacques se reposent, je m’excuse de t’imposer cela, mais ils sont épuisés. Te connaissant tu va adorer les bichonner, tu vas adorer t’occuper d’eux.

La semaine avant le départ en vacances, passe très vite, Suzanne est une perle, elle est aux petits soins pour les deux patients de Sabine. D’un autre côté il y a tant de choses à préparer.


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Re: Secret de famille

Message par Biquette »

Ben putain, j'avais un sacré retard moi :ouch: :ouch:


Mais ayé, j'ai tout lu :bik:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Bikette a écrit :Ben putain, j'avais un sacré retard moi :ouch: :ouch:


Mais ayé, j'ai tout lu :bik:

Je te laisse te remettre

avant de passer à
Vacances en Corse



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Re: Secret de famille

Message par Invité »

merci jak pour ses suites tj aussi accrocheuse ^^
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Re: Secret de famille

Message par Invité »

une suite ???? ou plusieurs?
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Re: Secret de famille

Message par Biquette »

Jak ? :whistle:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

je vais mourir de manque moi
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Vacances en Corse, la suite
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Supprimé

Re: Secret de famille

Message par Supprimé »

Alors franchement elle m'accroche ton histoire! Encore tout lu d'une traite! D'ailleurs faut que j'pense à souper là :lol:

J'adore le fait que ce soit une histoire plus que juste du sexo...bon j'avoue j'ai ragé au changement de couleur et j'ai mis le temps à capter les 2 morceaux sous spoiler mais franchement SUPERBE, très bien écris!!!

J'attaque Vacances en Corse dès que possible!

Encore MERCI
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