Wahou , quel suspens
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Elena
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Laphoenix75
Re: Elena
08
Anne glissait lentement ses mains le long des hanches d'Elena alors que leurs langues s'emmêlaient, collées l'une à l'autre dans une douce sensualité.
- Si vous commencez à vous amusez ici et sans moi aussi... Je me disais bien que tout était bien silencieux. Mais au moins vous êtes prêtes.
-Bien évidemment, répondent-elles en coeur, tournant juste la tête vers lui, alors que leurs corps ondulent lentement l'un contre l'autre..
-J'en étais sur !! Allez dépêchez-vous de finir de vous préparer, vous aurez tout le temps de vous amuser une fois arrivés.
Anne attrape un long manteau le glisse sur Elena, puis enfile le sien.
-Voilà !!! on peut y aller maintenant.
Le klaxon du taxi résonne à cet instant et ils se dépêchent de sortir pour s'y engouffrer. Tous les trois enserrés à l'arrière, Anne continue à taquiner Quentin par ses caresses envers Elena. Il lui murmure alors qu'elle ne perd rien pour attendre et glisse sa main sur nuque pour appuyer ses dire.
Derrière son masque de cuir, une coupe de champagne à la main, il observe les lieux....grands canapés de velours et cuir, murs en pierres, immense cheminée centrale...Entre moderne et baroque, le mélange des styles donne une certaine saveur à la pièce. Cependant aucune des femmes qu'il a croisé jusqu'alors ne lui donne envie de l'initier à certains jeux et plaisirs. Elles ne sont pas joliement faites, bien au contraire pour certaines, mais il lui manque un petit quelque chose. Ou peut-être est-ce lui tout simplement qui s'est trop fermé.
Finalement une rousse sulfureuse s'approche de son fauteuil, ondulations aguichantes, jolie lingerie de dentelles transparentes et ouvertes. Peut-être va-t-il se laisser tenter, après tout, il est là pour le plaisir. Elle se faufile à genoux entre ses jambes, glissant ses mains le long de ses jambes, cuisses, jouant de sa poitrine contre son entrejambe. Elle ne le quitte pas du regard, des yeux noirs transperçant qui ne le laissent pas indifférent ou est-ce simplement le frottement de sa poitrine généreuse qui lui fait monter l'envie de se lever, de la retourner et juste s'enfoncer jusqu'à la garde.
Elle défait sa ceinture, ouvre son pantalon et libère ainsi l'objet de sa convoitise. Elle joue de sa langue, l'avale entièrement...le suce...le taquine....elle se joue de son envie...
Un couple s'approche, l'homme venant glisser ses doigts le long du dos de celle-ci, atteignant sa raie...continuant son chemin...elle laisser certains gémissements trahir ce que ses doigts peuvent faire...
La femme, une blonde plutôt fine, s'approche de lui par le côté...sa robe de résille ne cache rien de son corps...Nathan vient glisser ses doigts le long de sa fente déjà bien trempée...elle gémit aussi...sous la caresse....Un bruit de plastique...tiens la demoiselle à genoux aurait-elle une envie derrière la tête...il sourit alors que deux de ses doigts vont et viennent dans l'antre bien coulante de la blonde à ses côtés...
- Allez Elena avance, n'aie pas peur, tout se passera bien. Nous sommes avec toi. Et n'oublie, tu ne fais que ce dont tu as envie d'accord ?
- Oui bon je crois que je vais m'abonner au buffet moi hein, plaisante-t-elle.
Anne et Quentin la saisisse chacun par un bras et l'entraîne dans le hall de l'immense manoir. L'entrée est immense, tout en marbre et un majordome vient les accueillir.
- Mademoiselle De Saintonge et M. De Latour, heureux de vous revoir par ici, vous êtes très attendus par Mademoiselle Sophie.
- Bonjour Henri, répondent tranquillement Anne et Quentin sous le regard ébahi d'Elena.
-Oui Sophie est toujours ravie parce qu'elle sait que nous savons mettre un peu d'ambiance. Et je vous ai déjà dis de m'appeler Anne !! je détete la consonnance de mon nom.
- Bien Mademoiselle Anne.
Ils lui laissent leur manteaux et sacs et se laisse conduire à travers les couloirs tout aussi grands et luxueux que le hall.
-Avant vous que ne rejoignez la grande salle, voici vos masques mesdemoiselles et voici le votre monsieur.
Henri leur tend à chacune un masque de dentelles, et un de cuir pour Quentin.
Nathan saisit la blonde par les hanches au moment ou la rousse se redresse devant lui et vient l'empaler ainsi dos à lui....Celle-ci ondule, monte et descend sur son sexe qui l'emplit entièrement...L'autre femme vient alors glisser ses doigts, suivant le mouvement des deux sexes...Alors que l'homme vient à son tour de la prendre...
Le tableau rapproche les autres couples présents, où viennent se glisser d'autres mains...où des poitrines se caressent...où des sexes s'entremêlent....
La musique couvre à peine les râles, les gémissements qui se perdent dans la lueur de la cheminée....les corps s'emboitent et se caressent...tout en volupté et plaisirs....les souffles s'accélèrent....les à-coups se font plus forts...les gémissement se font cris....
Anne glissait lentement ses mains le long des hanches d'Elena alors que leurs langues s'emmêlaient, collées l'une à l'autre dans une douce sensualité.
- Si vous commencez à vous amusez ici et sans moi aussi... Je me disais bien que tout était bien silencieux. Mais au moins vous êtes prêtes.
-Bien évidemment, répondent-elles en coeur, tournant juste la tête vers lui, alors que leurs corps ondulent lentement l'un contre l'autre..
-J'en étais sur !! Allez dépêchez-vous de finir de vous préparer, vous aurez tout le temps de vous amuser une fois arrivés.
Anne attrape un long manteau le glisse sur Elena, puis enfile le sien.
-Voilà !!! on peut y aller maintenant.
Le klaxon du taxi résonne à cet instant et ils se dépêchent de sortir pour s'y engouffrer. Tous les trois enserrés à l'arrière, Anne continue à taquiner Quentin par ses caresses envers Elena. Il lui murmure alors qu'elle ne perd rien pour attendre et glisse sa main sur nuque pour appuyer ses dire.
Derrière son masque de cuir, une coupe de champagne à la main, il observe les lieux....grands canapés de velours et cuir, murs en pierres, immense cheminée centrale...Entre moderne et baroque, le mélange des styles donne une certaine saveur à la pièce. Cependant aucune des femmes qu'il a croisé jusqu'alors ne lui donne envie de l'initier à certains jeux et plaisirs. Elles ne sont pas joliement faites, bien au contraire pour certaines, mais il lui manque un petit quelque chose. Ou peut-être est-ce lui tout simplement qui s'est trop fermé.
Finalement une rousse sulfureuse s'approche de son fauteuil, ondulations aguichantes, jolie lingerie de dentelles transparentes et ouvertes. Peut-être va-t-il se laisser tenter, après tout, il est là pour le plaisir. Elle se faufile à genoux entre ses jambes, glissant ses mains le long de ses jambes, cuisses, jouant de sa poitrine contre son entrejambe. Elle ne le quitte pas du regard, des yeux noirs transperçant qui ne le laissent pas indifférent ou est-ce simplement le frottement de sa poitrine généreuse qui lui fait monter l'envie de se lever, de la retourner et juste s'enfoncer jusqu'à la garde.
Elle défait sa ceinture, ouvre son pantalon et libère ainsi l'objet de sa convoitise. Elle joue de sa langue, l'avale entièrement...le suce...le taquine....elle se joue de son envie...
Un couple s'approche, l'homme venant glisser ses doigts le long du dos de celle-ci, atteignant sa raie...continuant son chemin...elle laisser certains gémissements trahir ce que ses doigts peuvent faire...
La femme, une blonde plutôt fine, s'approche de lui par le côté...sa robe de résille ne cache rien de son corps...Nathan vient glisser ses doigts le long de sa fente déjà bien trempée...elle gémit aussi...sous la caresse....Un bruit de plastique...tiens la demoiselle à genoux aurait-elle une envie derrière la tête...il sourit alors que deux de ses doigts vont et viennent dans l'antre bien coulante de la blonde à ses côtés...
- Allez Elena avance, n'aie pas peur, tout se passera bien. Nous sommes avec toi. Et n'oublie, tu ne fais que ce dont tu as envie d'accord ?
- Oui bon je crois que je vais m'abonner au buffet moi hein, plaisante-t-elle.
Anne et Quentin la saisisse chacun par un bras et l'entraîne dans le hall de l'immense manoir. L'entrée est immense, tout en marbre et un majordome vient les accueillir.
- Mademoiselle De Saintonge et M. De Latour, heureux de vous revoir par ici, vous êtes très attendus par Mademoiselle Sophie.
- Bonjour Henri, répondent tranquillement Anne et Quentin sous le regard ébahi d'Elena.
-Oui Sophie est toujours ravie parce qu'elle sait que nous savons mettre un peu d'ambiance. Et je vous ai déjà dis de m'appeler Anne !! je détete la consonnance de mon nom.
- Bien Mademoiselle Anne.
Ils lui laissent leur manteaux et sacs et se laisse conduire à travers les couloirs tout aussi grands et luxueux que le hall.
-Avant vous que ne rejoignez la grande salle, voici vos masques mesdemoiselles et voici le votre monsieur.
Henri leur tend à chacune un masque de dentelles, et un de cuir pour Quentin.
Nathan saisit la blonde par les hanches au moment ou la rousse se redresse devant lui et vient l'empaler ainsi dos à lui....Celle-ci ondule, monte et descend sur son sexe qui l'emplit entièrement...L'autre femme vient alors glisser ses doigts, suivant le mouvement des deux sexes...Alors que l'homme vient à son tour de la prendre...
Le tableau rapproche les autres couples présents, où viennent se glisser d'autres mains...où des poitrines se caressent...où des sexes s'entremêlent....
La musique couvre à peine les râles, les gémissements qui se perdent dans la lueur de la cheminée....les corps s'emboitent et se caressent...tout en volupté et plaisirs....les souffles s'accélèrent....les à-coups se font plus forts...les gémissement se font cris....
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Laphoenix75
Re: Elena
09
Ils enfilent leurs masques et se dirrigent vers le fond du couloir. Elena reste un peu derrière eux, respirant un maximum, se demandant ce qu'elle est en train de faire. L'alcool a beau embrumer un peu son esprit et enivrer son corps, elle n'en reste pas moins maître de ses pensées et interrogations. Plus le temps de penser, Quentin a déjà ouvert la porte. Anne s'engouffre à sa suite et Elena hésite quelques secondes, regardant une dernière fois derrière elle. Elle inspire et franchit la porte que Quentin referme juste après.
Elle reste ébahie, la pièce est juste magnifique et la cheminée l'hypnotise. De nombreux couloirs donnent accès à cette pièce, mais elle ne sait pas où ils mènent. Un grand buffet, de grands canapés et un tableau érotique qui ne la laisse pas indifférente. Elena ne distingue pas tous les visages, mais les corps enivrés qui ondulent en rythme et les râles qui s'en échappent lui donnent des bouffées de chaleurs.
Anne et Quentin se sont déjà rapprochés de tous ces couples, Elena décide de ne pas les déranger, après tout ils ont l'habitude et elle ne voudrait pas interférer tout ça parce qu'elle n'y connaît rien.
Elle s'avance donc vers le buffet où quelques personnes se servent tout en essayant de ne pas perdre une miette de la scène qui se déroule à quelques mètre d'eux.
Un homme au sourire charmant et au costume bien taillé, lui tend une coupe de champagne qu'elle vide d'une traite.
- Et bien jeune demoiselle, vous avez la descente facile.
Elena rougit et bafouille légèrement.
- Non...enfin oui mais juste pour me détendre un peu. Je ne bois pas aussi vite d'habitude.
- Ah vous êtes nouvelle, Mademoiselle..?
- Elena pardon, lui répond-elle en souriant.
- Donc Elena, reprend-il, comment es-tu venue ici ?
Quentin entraîne Anne au plus près des couples.
- Attends, le freine-t-elle, et Elena ?
Elle se retourne pour la chercher des yeux. Elle la voit en compagnie d'un homme que ses parents connaissent.
-Mais regarde, elle est avec le Duc, il n'y a pas de raison que ça se passe mal. C'est un homme très bien.
- Tu es sur ? pour sa première soirée je n'ai pas envie de la laisser seule.
- Arrête de t'en faire pour un rien, elle est adulte que je sache !!
- Oui mais c'est ma meilleure a...
- Je sais, et nous aurons un oeil sur elle. De plus je pense qu'elle ne bougera pas de la salle. Fais moi confiance.
- Bon très bien.
Ils se rapprochent, le regard engageant d'une jolie brune les y incite. Anne caresse déjà sa poitrine à peine cachée dans cette robe en dentelle en lui embrassant le cou, alors que Quentin glisse ses mains sous la robe, remontant sur ses cuisses. Celle-ci laisse échapper quelques gémissements de plaisirs.
- Je suis venue avec Anne et Quentin.
Elle s'arrête un instant les observant se mêler aux corps en mouvement.
- Ah mais je les connais très bien, enfin surtout leur parents. ajoute-t'il laissant échapper un petit rire.
Mais Elena ne l'écoute pas réellement, elle est troublée, excitée par tout cette 'ambiance'. La femme qui ondule sur cet homme assis au centre de tous ces plaisirs. Il semblerait en être son épicentre.
Elle le voit la manier de ses mains, la faire accélerer, ralentir, se courber. Il se joue de son plaisir comme de celle qui le chevauche. Amazone certes mais complètement dépendante de ce qu'il veut.
- Très joli tableau n'est-ce pas ? glisse le Duc en lui frôlant la joue de sa main.
Elle sursaute légèrement et recule un peu, elle s'était laissé enivrer par ce 'couple' sur le fauteuil.
- Oo.. oui..hum..arrive-t'elle à articuler.
- C'est la première fois que tu viens dans un tel lieu ?
- Non, euh si oui..
Il rit légèrement, se rapprochant d'elle.
- Il va falloir être un peu plus explicite Elena. Ah et moi c'est Pierre, au cas où tu aimerais connaître mon nom.
- Je suis désolée, je suis un peu déroutée. Alors oui Pierre, effectivement c'est ma première fois, disons que j'ai l'imagination qui se laisse très facilement porter.
Il lui tend une autre coupe de champagne.
- Je comprends, et la curiosité t'as donc fait accompagner tes amis c'est ça.
- Non, ils m'ont poussée à les suivre oui mais ce n'est pas grave. C'est très beau comme lieu, alors même si je ne fais qu'observer cela me permet de m'imprégner de l'ambiance et voir si j'ai envie d'y retourner.
- Que dirais-tu de venir t'asseoir sur le sofa ? celui juste en face de cette délicieuse scène, tu pourras me poser autant de question, tout en te régalant d'un si beau spectacle.
- Pourquoi pas, une discution n'engage à rien, sourit-elle.
L'alcool diminue ses propres fonctions de défenses. Elle qui n'aurait jamais discuté avec un inconnu, enfin inconnu après tout il connait Anne et Quentin, la salle est remplie de monde. Elle le suit donc, il passe très près du groupe, caressant quelques femmes au passage.
Elena regarde à nouveau l'homme assis. La femme a changé de position. Elena se sent hypnotisée, excitée et coulante par ce qu'elle voit. La femme se trouve à genoux, posés sur chaque acoudoir, l'homme la tient d'une main par la taille fermement, alors que la deuxième glisse entre ses lèvres, inserrant parfois un ou deux doigts, déclenchant les gémissement parfois de plaisir lorsqu'il la pénètre, parfois de frustration lorsqu'il se retire. Elena voit son excitation couler le long de ses mains, alors que la sienne inonde son string. Une pensée la traverse, elle viendrait bien y goûter. Sa langue glisse lentement sur sa bouche. Son bas ventre la brûle. Elle se retient de ne pas les rejoindre.
Nathan joue de ses doigts, les faisant parfois lécher par une femme à côté. Il passe à trois doigts, puis quatre, la femme gémit plus fort alors que sa cyprine lui coule encore plus sur les doigts. Son autre main enserre sa hanche, plantant ses doigts pour mieux la tenir alors qu'il vient d'enfoncer sa main sans effort au creux de la femme qui tente de descendre sur sa main.
Il penche légèrement la tête et voit cette jeune femme à la longue chevelure, bien évidemment les obsever. Ou plutôt observer sa main entrer et sortie sous les râles de plaisir.
Il la sent troublée, terriblement excitée mais bloquée derrière sa porte. Il continue de la détailler, cette robe satinée met ses courbes en valeur, la finesse de sa taille, la rondeur de ses seins pointant sous l'envie, laissant apparaître la jarretière des bas.
Il croise son regard quelque seconde, il essaie de capter son attention pour arriver à la faire venir mais elle est encore trop en retrait et fermée. Il ira la voir plus tard si elle ne s'est pas sauvée entre temps. Il sourit intérieurement, elle semble légèrement différente de toutes ses femmes présentes, elle l'intrigue.
Elena se dépêche de rejoindre le Duc, déstabilisée par le regard de l'homme, ou peut-être encore plus excitée. Elle a cru déceler qu'il voulait la faire venir, mais elle n'y a pas cru, cela ne devait pas être elle. Surement l'alcool, un peu frustrée au fond de ne pas avoir oser se rapprocher.
Elle s'assoit sur le sofa laissant une petite distance avec le Duc qu'elle trouve un peu opressant mais correct malgré tout. Il lui tend à nouveau un verre, il a déjà une bouteille à disposition posée sur un guéridon près d'eux.
Il continue à lui parler, expliquant sa vision mais elle ne l'écoute pas, continuant de regarder le couple au centre.
Ils enfilent leurs masques et se dirrigent vers le fond du couloir. Elena reste un peu derrière eux, respirant un maximum, se demandant ce qu'elle est en train de faire. L'alcool a beau embrumer un peu son esprit et enivrer son corps, elle n'en reste pas moins maître de ses pensées et interrogations. Plus le temps de penser, Quentin a déjà ouvert la porte. Anne s'engouffre à sa suite et Elena hésite quelques secondes, regardant une dernière fois derrière elle. Elle inspire et franchit la porte que Quentin referme juste après.
Elle reste ébahie, la pièce est juste magnifique et la cheminée l'hypnotise. De nombreux couloirs donnent accès à cette pièce, mais elle ne sait pas où ils mènent. Un grand buffet, de grands canapés et un tableau érotique qui ne la laisse pas indifférente. Elena ne distingue pas tous les visages, mais les corps enivrés qui ondulent en rythme et les râles qui s'en échappent lui donnent des bouffées de chaleurs.
Anne et Quentin se sont déjà rapprochés de tous ces couples, Elena décide de ne pas les déranger, après tout ils ont l'habitude et elle ne voudrait pas interférer tout ça parce qu'elle n'y connaît rien.
Elle s'avance donc vers le buffet où quelques personnes se servent tout en essayant de ne pas perdre une miette de la scène qui se déroule à quelques mètre d'eux.
Un homme au sourire charmant et au costume bien taillé, lui tend une coupe de champagne qu'elle vide d'une traite.
- Et bien jeune demoiselle, vous avez la descente facile.
Elena rougit et bafouille légèrement.
- Non...enfin oui mais juste pour me détendre un peu. Je ne bois pas aussi vite d'habitude.
- Ah vous êtes nouvelle, Mademoiselle..?
- Elena pardon, lui répond-elle en souriant.
- Donc Elena, reprend-il, comment es-tu venue ici ?
Quentin entraîne Anne au plus près des couples.
- Attends, le freine-t-elle, et Elena ?
Elle se retourne pour la chercher des yeux. Elle la voit en compagnie d'un homme que ses parents connaissent.
-Mais regarde, elle est avec le Duc, il n'y a pas de raison que ça se passe mal. C'est un homme très bien.
- Tu es sur ? pour sa première soirée je n'ai pas envie de la laisser seule.
- Arrête de t'en faire pour un rien, elle est adulte que je sache !!
- Oui mais c'est ma meilleure a...
- Je sais, et nous aurons un oeil sur elle. De plus je pense qu'elle ne bougera pas de la salle. Fais moi confiance.
- Bon très bien.
Ils se rapprochent, le regard engageant d'une jolie brune les y incite. Anne caresse déjà sa poitrine à peine cachée dans cette robe en dentelle en lui embrassant le cou, alors que Quentin glisse ses mains sous la robe, remontant sur ses cuisses. Celle-ci laisse échapper quelques gémissements de plaisirs.
- Je suis venue avec Anne et Quentin.
Elle s'arrête un instant les observant se mêler aux corps en mouvement.
- Ah mais je les connais très bien, enfin surtout leur parents. ajoute-t'il laissant échapper un petit rire.
Mais Elena ne l'écoute pas réellement, elle est troublée, excitée par tout cette 'ambiance'. La femme qui ondule sur cet homme assis au centre de tous ces plaisirs. Il semblerait en être son épicentre.
Elle le voit la manier de ses mains, la faire accélerer, ralentir, se courber. Il se joue de son plaisir comme de celle qui le chevauche. Amazone certes mais complètement dépendante de ce qu'il veut.
- Très joli tableau n'est-ce pas ? glisse le Duc en lui frôlant la joue de sa main.
Elle sursaute légèrement et recule un peu, elle s'était laissé enivrer par ce 'couple' sur le fauteuil.
- Oo.. oui..hum..arrive-t'elle à articuler.
- C'est la première fois que tu viens dans un tel lieu ?
- Non, euh si oui..
Il rit légèrement, se rapprochant d'elle.
- Il va falloir être un peu plus explicite Elena. Ah et moi c'est Pierre, au cas où tu aimerais connaître mon nom.
- Je suis désolée, je suis un peu déroutée. Alors oui Pierre, effectivement c'est ma première fois, disons que j'ai l'imagination qui se laisse très facilement porter.
Il lui tend une autre coupe de champagne.
- Je comprends, et la curiosité t'as donc fait accompagner tes amis c'est ça.
- Non, ils m'ont poussée à les suivre oui mais ce n'est pas grave. C'est très beau comme lieu, alors même si je ne fais qu'observer cela me permet de m'imprégner de l'ambiance et voir si j'ai envie d'y retourner.
- Que dirais-tu de venir t'asseoir sur le sofa ? celui juste en face de cette délicieuse scène, tu pourras me poser autant de question, tout en te régalant d'un si beau spectacle.
- Pourquoi pas, une discution n'engage à rien, sourit-elle.
L'alcool diminue ses propres fonctions de défenses. Elle qui n'aurait jamais discuté avec un inconnu, enfin inconnu après tout il connait Anne et Quentin, la salle est remplie de monde. Elle le suit donc, il passe très près du groupe, caressant quelques femmes au passage.
Elena regarde à nouveau l'homme assis. La femme a changé de position. Elena se sent hypnotisée, excitée et coulante par ce qu'elle voit. La femme se trouve à genoux, posés sur chaque acoudoir, l'homme la tient d'une main par la taille fermement, alors que la deuxième glisse entre ses lèvres, inserrant parfois un ou deux doigts, déclenchant les gémissement parfois de plaisir lorsqu'il la pénètre, parfois de frustration lorsqu'il se retire. Elena voit son excitation couler le long de ses mains, alors que la sienne inonde son string. Une pensée la traverse, elle viendrait bien y goûter. Sa langue glisse lentement sur sa bouche. Son bas ventre la brûle. Elle se retient de ne pas les rejoindre.
Nathan joue de ses doigts, les faisant parfois lécher par une femme à côté. Il passe à trois doigts, puis quatre, la femme gémit plus fort alors que sa cyprine lui coule encore plus sur les doigts. Son autre main enserre sa hanche, plantant ses doigts pour mieux la tenir alors qu'il vient d'enfoncer sa main sans effort au creux de la femme qui tente de descendre sur sa main.
Il penche légèrement la tête et voit cette jeune femme à la longue chevelure, bien évidemment les obsever. Ou plutôt observer sa main entrer et sortie sous les râles de plaisir.
Il la sent troublée, terriblement excitée mais bloquée derrière sa porte. Il continue de la détailler, cette robe satinée met ses courbes en valeur, la finesse de sa taille, la rondeur de ses seins pointant sous l'envie, laissant apparaître la jarretière des bas.
Il croise son regard quelque seconde, il essaie de capter son attention pour arriver à la faire venir mais elle est encore trop en retrait et fermée. Il ira la voir plus tard si elle ne s'est pas sauvée entre temps. Il sourit intérieurement, elle semble légèrement différente de toutes ses femmes présentes, elle l'intrigue.
Elena se dépêche de rejoindre le Duc, déstabilisée par le regard de l'homme, ou peut-être encore plus excitée. Elle a cru déceler qu'il voulait la faire venir, mais elle n'y a pas cru, cela ne devait pas être elle. Surement l'alcool, un peu frustrée au fond de ne pas avoir oser se rapprocher.
Elle s'assoit sur le sofa laissant une petite distance avec le Duc qu'elle trouve un peu opressant mais correct malgré tout. Il lui tend à nouveau un verre, il a déjà une bouteille à disposition posée sur un guéridon près d'eux.
Il continue à lui parler, expliquant sa vision mais elle ne l'écoute pas, continuant de regarder le couple au centre.
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Laphoenix75
Re: Elena
10
Elle est hypnotisée par leur sensualité mêlée de bestialité, peut-être envie-t-elle cette femme qu'il manipule entre douceur et fermeté. Oui se dit-elle, elle aimerait qu'il s'occupe d'elle ainsi. Pourtant elle ne le connaît pas, mais cette chaleur qui naît au creux de son ventre, se propageant lentement mais intensément dans tout son corps, elle a juste envie de...
Le Duc interrompt ses pensées,il caresse doucement ses jambes, remontant le long des bas. C'est agréable, mais elle n'a pas du tout envie de lui. Elle retire doucement ses jambes en les rapprochant vers elle et se concentre à nouveau sur le couple.
Anne et Quentin se faufilent avec un autre couple dans un dans couloir, Elena sourit en les voyant s'échapper avec discrétion pour ne pas déranger le mélange des corps en fusion. Elle s'imagine traversant cette 'foule' ressentant parfois quelques mains glisser sur sa peau, pour rejoindre celui qui l'intrigue et qui semble manier ses mains avec subtilité et dextérité.
Elle laisse ses pensées enfreindre ses interdits, elle s'engouffre lentement dans ses envies les plus enfouies. Elle écarte les jambes, se moquant du Duc présent, se moquant de ce que la bienséance voudrait, sa main vient rejoindre son entre-cuisse, glissant, caressant agrippant le peu de tissus qu'elle porte. Atteignant ainsi ses lèvres, ses doigts s'emparant de son petit bouton déjà bien gorgé d'envie, le tordant, l'enserrant, le titillant. Elle soupire, sa respiration s'emmêle plus fort, plus vite, elle gémit par moment, elle imagine juste cette main la pénétrant lentement, surement, intensément.
Elle en oublie le lieu, elle en oublie les personnes. Il est revenu, celui qui hante ses pensées, ses fantasmes les plus inavoués, toujours aussi flou mais cette aura si enivrante.
Le Duc l'observe se donner du plaisir ainsi, il aimerait pouvoir y participer, il aimerait bien y mêler ses doigts. Mais elle l'a déjà repoussé alors gentleman il se fait juste spectateur de la beauté qui s'offre à son regard ainsi.
Mais cela n'a pas échappé à d'autres couples, venant s'approcher d'elle, du sofa sans toucher, juste à regarder et se mêler entre eux.
Nathan l'avait déjà vu au loin, nouvelle venue, il ne l'avait jamais vu avant par ici mais il avait décelé quelque chose chez elle, une curiosité un peu voilée, qui se cache derrière des barrières. Une envie le traverse, il la veut sienne, il veut la posséder corps et âme. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas ressenti ce besoin au fond de lui. Comme si elle réveillait la bête tapis dans l'ombre.
Un liquide chaud s'écoule le long de son avant-bras. Il vient de la faire jouir, les spasmes de cette femme enserrent sa main, elle tremble et vient lentement s'asseoir sur lui. Elle lui lèche la main, partout où sa jouissance s'est écoulée.
Il sourit, il connaît sa façon de le remercier. Elle avait failli être sienne il y a peu de temps, mais il y avait quelque chose chez elle un besoin de prendre le dessus par moment, de contrôler, dont il savait que ça ne pouvait aller à long terme.
Un chuchotement le sort de ses pensées.
- A quoi songes-tu Nathan ? N'as-tu pas envie de mes lèvres enserrant ton sexe, ma langue glissant le long.
Ses doigts glissent lentement vers son pantalon, vers cette proéminence qui la fait déjà saliver. Sa main se plaque et frotte un peu plus intensément, laissant l'objet de son désir gonfler sous ses caresses appuyées. Elle se fait lascive, aguicheuse. Elle ondule contre lui, toujours plus assoiffée. Ses mains habiles détachent sa ceinture et son pantalon, libérant l'objet de sa convoitise. Elle se laisse glisser entre les corps mélangés, pour se retrouver à genoux devant lui et venir lécher sa queue plongeant son regard dans le sien. Elle enroule, elle bave, elle referme ses lèvres dessus puis le fait lentement coulisser jouant de ses aspirations, de ses mouvements de langue, mêlant ses doigts.
Nathan vient agripper ses cheveux, imprimer son mouvement, son envie, alors qu'elle gémit de le sentir buter au fond de sa gorge, l'avalant petit à petit encore plus profondément. Il savoure de la sentir le sucer ainsi, resserrant sa prise. Son regard vient se poser sur la jeune fille sur le sofa. Il observe sa main caresser son petit bouton, augmentant sa vitesse par moment, ralentissant, elle se joue elle-même de sa propre envie. Alors que son autre main s'est emparé d'un de ses seins au travers de la dentelle et le malmène quelque peu, venant chercher son téton, le pincer. Il voit sa poitrine se soulever de plus en plus vite, il se laisse porter par son rythme, comme s'il la caressait, comme si ses doigts s'enfonçait lentement, prenant possession de son intimité.
Elle est hypnotisée par leur sensualité mêlée de bestialité, peut-être envie-t-elle cette femme qu'il manipule entre douceur et fermeté. Oui se dit-elle, elle aimerait qu'il s'occupe d'elle ainsi. Pourtant elle ne le connaît pas, mais cette chaleur qui naît au creux de son ventre, se propageant lentement mais intensément dans tout son corps, elle a juste envie de...
Le Duc interrompt ses pensées,il caresse doucement ses jambes, remontant le long des bas. C'est agréable, mais elle n'a pas du tout envie de lui. Elle retire doucement ses jambes en les rapprochant vers elle et se concentre à nouveau sur le couple.
Anne et Quentin se faufilent avec un autre couple dans un dans couloir, Elena sourit en les voyant s'échapper avec discrétion pour ne pas déranger le mélange des corps en fusion. Elle s'imagine traversant cette 'foule' ressentant parfois quelques mains glisser sur sa peau, pour rejoindre celui qui l'intrigue et qui semble manier ses mains avec subtilité et dextérité.
Elle laisse ses pensées enfreindre ses interdits, elle s'engouffre lentement dans ses envies les plus enfouies. Elle écarte les jambes, se moquant du Duc présent, se moquant de ce que la bienséance voudrait, sa main vient rejoindre son entre-cuisse, glissant, caressant agrippant le peu de tissus qu'elle porte. Atteignant ainsi ses lèvres, ses doigts s'emparant de son petit bouton déjà bien gorgé d'envie, le tordant, l'enserrant, le titillant. Elle soupire, sa respiration s'emmêle plus fort, plus vite, elle gémit par moment, elle imagine juste cette main la pénétrant lentement, surement, intensément.
Elle en oublie le lieu, elle en oublie les personnes. Il est revenu, celui qui hante ses pensées, ses fantasmes les plus inavoués, toujours aussi flou mais cette aura si enivrante.
Le Duc l'observe se donner du plaisir ainsi, il aimerait pouvoir y participer, il aimerait bien y mêler ses doigts. Mais elle l'a déjà repoussé alors gentleman il se fait juste spectateur de la beauté qui s'offre à son regard ainsi.
Mais cela n'a pas échappé à d'autres couples, venant s'approcher d'elle, du sofa sans toucher, juste à regarder et se mêler entre eux.
Nathan l'avait déjà vu au loin, nouvelle venue, il ne l'avait jamais vu avant par ici mais il avait décelé quelque chose chez elle, une curiosité un peu voilée, qui se cache derrière des barrières. Une envie le traverse, il la veut sienne, il veut la posséder corps et âme. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas ressenti ce besoin au fond de lui. Comme si elle réveillait la bête tapis dans l'ombre.
Un liquide chaud s'écoule le long de son avant-bras. Il vient de la faire jouir, les spasmes de cette femme enserrent sa main, elle tremble et vient lentement s'asseoir sur lui. Elle lui lèche la main, partout où sa jouissance s'est écoulée.
Il sourit, il connaît sa façon de le remercier. Elle avait failli être sienne il y a peu de temps, mais il y avait quelque chose chez elle un besoin de prendre le dessus par moment, de contrôler, dont il savait que ça ne pouvait aller à long terme.
Un chuchotement le sort de ses pensées.
- A quoi songes-tu Nathan ? N'as-tu pas envie de mes lèvres enserrant ton sexe, ma langue glissant le long.
Ses doigts glissent lentement vers son pantalon, vers cette proéminence qui la fait déjà saliver. Sa main se plaque et frotte un peu plus intensément, laissant l'objet de son désir gonfler sous ses caresses appuyées. Elle se fait lascive, aguicheuse. Elle ondule contre lui, toujours plus assoiffée. Ses mains habiles détachent sa ceinture et son pantalon, libérant l'objet de sa convoitise. Elle se laisse glisser entre les corps mélangés, pour se retrouver à genoux devant lui et venir lécher sa queue plongeant son regard dans le sien. Elle enroule, elle bave, elle referme ses lèvres dessus puis le fait lentement coulisser jouant de ses aspirations, de ses mouvements de langue, mêlant ses doigts.
Nathan vient agripper ses cheveux, imprimer son mouvement, son envie, alors qu'elle gémit de le sentir buter au fond de sa gorge, l'avalant petit à petit encore plus profondément. Il savoure de la sentir le sucer ainsi, resserrant sa prise. Son regard vient se poser sur la jeune fille sur le sofa. Il observe sa main caresser son petit bouton, augmentant sa vitesse par moment, ralentissant, elle se joue elle-même de sa propre envie. Alors que son autre main s'est emparé d'un de ses seins au travers de la dentelle et le malmène quelque peu, venant chercher son téton, le pincer. Il voit sa poitrine se soulever de plus en plus vite, il se laisse porter par son rythme, comme s'il la caressait, comme si ses doigts s'enfonçait lentement, prenant possession de son intimité.
Belle phoenix j'ai deja hate de la suite!!!!