Le cabanon , au bas des falaises , au bout de la plage ...

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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Supprimé

Le cabanon , au bas des falaises , au bout de la plage ...

Message par Supprimé »

:sol:

Une très agréable découverte ...

En 2005 , comme tous les étés , je passais mes vacances dans le Finistère . Chaque année , je loue le même studio , dans un immeuble , en bord de mer , durant les mois de juillet et août .


Ce matin-là , comme tous les matins , vers sept heure trente , j'allais marcher sur la plage , depuis la jetée jusqu'aux falaises . Environ deux kilomètres de sable fin , soyeux et encore tout emprunt de la fraîcheur de la nuit .

Arrivé au bas des falaises , il y a de vieux cabanons de pêcheurs , alignés , comme ces cabines de plage , à Dauville . Entre les cloisons des cabanons et la roche , il y a environ dix mètres de sables , de roches et , il faut le souligner , pas mal de déchets et détritus divers ...


Je passais devant ces cabanons . Certains avaient leur porte ouverte . Je pouvais donc constater que ces vétustes baraques de planches , peintes d'un vieux bleu "passé" , contenaient du matériel de pêche . Vieux filets , vieilles rames , canoés gonflables , vieilles nappes , vieilles tables , vieilles chaises . Que du vieux .

Il y avait là une vingtaine de ces constructions de bois . Je m'assis sur une caisse en plastique gris . Je regardais l'océan . La marée était montante . La plage était presque déserte . Au loin , deux femmes marchaient , les pieds dans l'eau . A environ deux cent mètres , une jeune fille lançait un morceau de bois que lui ramenait son chien .

Je me levais . M'apprêtant à retourner au studio . En passant devant l'avant dernier cabanon , j'avisais la porte entre-ouverte et des coquillages épars , sur les planches du sol . Je poussais la porte et entrais dans la cabane .

Sur la droite , contre la cloison , il y avait quelques caisses en plastique , empilées . Sur la gauche , quelques chaises pliantes , adossées .

Ce qui attira mon attention , sur la cloison du fond , c'est le trou , de six ou sept centimètres de diamètre , parfaitement rond , qui laissait voir l'ocre clair des falaises . Situé à une hauteur d'environ quatre-vingt centimètres , je m'accroupissais pour regarder au travers .

Quel ne fut pas ma surprise de voir la jeune fille que j'avais entraperçu , tout à l'heure , jouant avec son chien . Elle était à présent à deux trois mètres du trou ou je regardais . Elle semblait même regarder vers le trou avec une certaine insistance . Âgée d'environ vingt deux , vingt trois ans , les traits de son visage étaient plutôt agréables .

J'avais l'intime conviction que la jeune fille connaissait ma présence , derrière la cloison ! Au bout de deux ou trois minutes , elle s'approcha . S'accroupissant tout près du trou .

Parlant avec son chien , elle se mit face au trou . Nous nous observions . J'avais un frisson qui parcourait mon échine . Je commençais à sentir la sueur couler sur mon front . Je surmontais la "gêne" qui m'envahissait . Je me redressais .

Je pouvais voir les doigts de la jeune fille qui passaient par l'orifice . Elle les faisait bouger ...

Un signal ?

J'entendais le chien s'enfuir en aboyant .

J'ouvrais mon pantalon . Je passais mon sexe dans l'orifice . J'étais à la fois "mort de trouille" et délicieusement excité .

Presque immédiatement , je sentais une douceur et une chaleur humide se refermer sur l'extrémité de mon sexe . Cela dura un moment d'un bonheur sans nom . Tous mes sens aux aguêts , cambré contre la cloison , couvert de sueur , je vivais un des moments les plus torides de mon existence ...

A cause de la position contraignante , mon dos commençait à me faire légèrement souffrir . La région des lombaires ...

Je me faisait sucer avec un plaisir indiscible . Je sentais la suçion de la jeune fille . Je sentais sa langue jouer sur le méat . Je me sentais couler . J'aime à faire durer . Mais là , avec l'excitation de la situation , je lâchais mon sperme en trois saccades et une longue coulure . La jeune fille n'en perdait pas une goutte . Restant à sucer un petit moment après l'éjaculation ...

Lorsque tout fût terminé , je restais haletant , essouflé , les coudes collés contre la cloison . Ma tête posée dessus .

Au bout de quelques minutes , je sortais du cabanon . Je me massais le dos . Je regardais , au loin , partir la jeune fille . Elle courait après son chien qui , pendant notre "aventure" , était partit s'amuser le long des vagues ...

Ma journée , se passa dans une sorte de délicieuse torpeur .

Je suis revenu chaque jour , mais , je n'ai jamais revu cette délicieuse complice d'un moment .

Ce souvenir de vacances restera dans ma mémoire d'une façon "extraordinaire" .

La simple évocation de cette douce souvenance est un véritable "déclencheur" ...

Un merveilleux souvenir .

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