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Elle le regardait de haut, avec son regard sadique, comme toujours dans ces moments là. Elle venait de lui faire subir une séance de martinet, relativement courte mais intense, en réponse à son indocilité quasi permanente depuis quelque temps… « La frustration le rend vraiment hargneux… » songea t-elle.
Cela faisait maintenant 8 jours qu’il ne s’était pas vidé, 8 jours qu’elle le contraignait au port d’une cage de chasteté, accessoire anodin s’il en est mais diablement efficace pour quiconque souhaite exercer un pouvoir quasi permanent sur un soumis. En l’occurrence le soumis était allongé à ses pieds, les mains attachées dans le dos, dos qui était justement strié de fines lignes rouges, aussi vives que disparates. Elle avait épargné les fesses, ça sera la deuxième partie de ta punition lui avait elle promit.
Après tout, il apprendra qu’on ne désobéit pas impunément. Elle lui avait simplement demander d’utiliser un jouet sur elle, en se servant uniquement de ses mains, il devait la faire jouir plusieurs fois tandis que lui était condamné à la regarder prendre son pied et à participer d’une manière aussi sournoise que cruelle, emprisonné qu’il était dans cette cage de plastique.
Il avait refusé, prétextant que « c’était trop dur, qu’il aurait encore plus envie de jouir après ça ».
« Je ne vois pas de quoi il se plaint, je l’ai milké deux fois dans la semaine, il a même eu le droit de nettoyer ensuite… » se dit elle avec son petit sourire en coin… Pour le coup il se retrouvait donc à sa merci, allongé sur le tapis de la cuisine, sa place de chien quand il se faisait dresser.
Il avait le dos déjà bien entamé, le souffle court, les fesses offertes, comme une offrande à celle qui était à la fois sa copine, sa dresseuse, sa déesse. Elle reprit le martinet en main, et comme pour signifier la reprise des hostilités, le caressa gentiment sur la croupe et les cuisses avec les lanières de cuir, comme un présage innocent de ce qui allait suivre. Le premier coup s’abattit sur la fesse gauche, dans le gras de la chair.
Il se tendit, réprimant un gémissement de douleur, tandis qu’elle profitait du spectacle de voir cet homme, son soumis, gracieusement allongé à ses pieds, et absolument rien entre elle et lui pour l’empêcher d’en profiter.
Elle continua, multipliant les coups sur la croupe, les cuisses, les fesses, en évitant soigneusement les mains dans le dos, remontées autant que possible.
Au bout de 10 minutes de ce traitement il craqua. « S’il vous plait Mademoiselle, arrêtez… » Il était à bout de souffle et on pouvait très nettement voir les gouttes de sueur perler sur les épaules et sur son front. Son postérieur était cramoisi, ses cuisses d’une jolie couleur rose vif, et on voyait de ça de la des traces un peu plus marquées, ayant légèrement entamé le cuir du jeune homme.
Elle se baisse accroupie, le martinet toujours dans la main, et entreprit de caresser délicatement son œuvre, en ponctuant le tout de pincements et de griffures là où les marques étaient bien visibles. « Ma petite chienne en a eu assez ? Elle va être bien sage et docile maintenant ? » -Oui Mademoiselle, je ferais tout ce que vous voudrez, pardonnez moi de vous avoir désobéi tout à l’heure… »
Ces simples mots lui couta manifestement beaucoup, car il devint aussi rouge de visage que ses fesses, et il baissa les yeux vers le sol en signe de soumission.
« Absolument tout tu dis ? Et bien c’est ce qu’on va voir. »
à suivre
Frustration (deux parties)
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Re: Frustration (deux parties)
Elle lui détacha les mains, et avec une petite traction sur le collier lui signifia qu’il devait se mettre à 4 pattes. Elle lui présenta son pied et instinctivement il commença à lécher, parcourant sa langue sur les orteils, embrassa la peau si douce du coup de pied, lécha longuement et allègrement, pour bien montrer qu’elle était sa place et à quel point son dressage avait porté ses fruits.
« Maintenant je vais m’amuser en t’utilisant de la meilleure manière qui soit : en te frustrant et en te baisant… et si tu es sage tu aura peut-être le droit de jouir ensuite. »
Sur ces douces paroles, elle le poussa sur le dos, et en reprenant les menottes elle lui attacha les poignets à la boucle en métal de son collier, lui bloquant ainsi les mains à la hauteur du visage. Elle s’approcha de sa tête, et s’assit à califourchon sur lui, de manière à ce qu’elle ait ses fesses lui sur ses mains et son sexe à quelques centimètres de son visage.
Elle portait une délicieuse petite culotte blanche en coton, et de sa position il voyait très bien le doux tissu mouler la fente de son sexe, lui arrachant un gémissement de dépit et une érection aussi soudaine qu’impressionnante. « Tu aimerais bien lécher hein ? Je sais que tu en meurs d’envie et pourtant ce n’est pas du tout de cette manière que je vais prendre mon pied… »
D’une main elle dégrafa son soutien gorge, et commença à masser délicatement son téton droit, tandis que de l’autre elle écartait le coton de sa culotte et avec un doigt, imprima un léger mouvement de va et vient sur son sexe, qui présentait manifestement les premiers signes de plaisir. Et alors qu’elle se caressait ainsi, il ne pouvait s’empêcher de remuer et de gémir, terriblement excité par le spectacle qui s’offrait devant lui et auquel il lui était interdit de participer.
« Tu peux gémir si ça te chante, dit d’elle d’une voix rendue rauque par la masturbation, ça m’excitera d’autant plus… » Il n’en pouvait plus. Assister ainsi, impuissant, aux mouvements rapides des doigts de sa dresseuse, le frustrait d’une telle manière qu’il couinait de plus en plus, fort, et tandis qu’elle se crispait en atteignant l’orgasme, il tendit vainement la langue comme un chien, dans le faible espoir de pouvoir lécher ce mont de Vénus, luisant de mouille et gonflé de plaisir.
Elle sortit lentement ses doigts de son sexe ardent, et avec un petit sourire sardonique, les présenta à quelques millimètres de la bouche de son soumis, qui se tendit encore plus pour essayer de les atteindre avec sa langue. « Tiens suce ça si tu veux, tu l’a bien mérité. Par contre c’est tout ce que tu aura. Pour le moment… » Il lécha goulument et avec avidité ces doigts empreints de cyprine, savoura longuement ce gout si particulier qui était celui de sa maitresse, cette odeur si enivrante qu’il adorait et vénérait.
« Maintenant que je me suis bien amusé avec mes doigts, je vais m’amuser avec ta queue, je suis sur que tu n’attends que ça . » Elle pivota de façon à se retrouver en 69, ses fesses et son sexe juste devant le visage de son chien, sa bouche à portée du membre maintenant érigé comme jamais, preuve irréfutable de l’état dans lequel il était.
Elle commença par le décalotter, puis d’un mouvement expert, parcouru le gland avec sa langue. Il frissonna de plaisir tout en redoutant ce qui allait suivre. En effet, la stimulation du gland sans mouvement de va et vient sur le pénis lui donnait toujours plus d’excitation mais sans lui permettre d’aller jusqu’à l’éjaculation et donc la jouissance.
Elle le savait bien et adorait voir ses réactions dans ces moments la. En l’occurrence, il gémissait de plus en plus, se crispant et s’arc boutant, stimulé au possible par cette langue sadique qui le torturait en léchant parfois le gland rendu si sensible par la salive et surtout par 8 jours d’abstinence forcée.
« Je crois que tu es prêt pour la suite, je suis sure que ma petite salope va adorer ce qui va suivre, gourmande comme elle est… » Sur ces mots, elle se dégagea et attrapa un préservatif qu’elle enfila d’une main sure sur toute la longueur du pénis.
Elle commença alors à le masturber doucement, mais elle n’eu pas à attendre bien longtemps avant qu’il éjacule avec force bruits, remplissant le réservoir de la capote d’une importante quantité de sperme, résultat de plusieurs jours de frustration et d’excitation réprimée. Tout en pinçant la base du réservoir, elle retira délicatement le plastique du sexe de son soumis, qui attendait maintenant la suite, pétrifié de comprendre ce qui allait suivre. « Maintenant que tu as mouillé comme une bonne chienne, tu va pouvoir apprécier et savourer longuement le gout d’une bonne giclée de foutre, comme si tu venais de sucer une autre queue et qu’elle se vidait dans ta bouche… »
Joignant le geste à la parole, elle retourna la capote au dessus de la bouche de sa victime et regarda couler le liquide gluant et chaud sur les joues, les lèvres et dans la bouche de son chien. Ecrasé de honte, il ne disait rien et gardait les yeux baissé, attendant la suite. Ce fut elle qui rompit le silence : « Je crois que tu oublies quelque chose ma petite chienne… » Il répondit d’une voix balbutiante « Merci de m’avoir autorisé à mouiller comme une salope Mademoiselle, et de m’avoir permit de lécher mon sperme comme une bonne putain… » Elle sourit, se pencha vers lui et lui susurra à l’oreille « Mais c’est la moindres des choses, je sais à quel point tu aimes ça… »
« Maintenant je vais m’amuser en t’utilisant de la meilleure manière qui soit : en te frustrant et en te baisant… et si tu es sage tu aura peut-être le droit de jouir ensuite. »
Sur ces douces paroles, elle le poussa sur le dos, et en reprenant les menottes elle lui attacha les poignets à la boucle en métal de son collier, lui bloquant ainsi les mains à la hauteur du visage. Elle s’approcha de sa tête, et s’assit à califourchon sur lui, de manière à ce qu’elle ait ses fesses lui sur ses mains et son sexe à quelques centimètres de son visage.
Elle portait une délicieuse petite culotte blanche en coton, et de sa position il voyait très bien le doux tissu mouler la fente de son sexe, lui arrachant un gémissement de dépit et une érection aussi soudaine qu’impressionnante. « Tu aimerais bien lécher hein ? Je sais que tu en meurs d’envie et pourtant ce n’est pas du tout de cette manière que je vais prendre mon pied… »
D’une main elle dégrafa son soutien gorge, et commença à masser délicatement son téton droit, tandis que de l’autre elle écartait le coton de sa culotte et avec un doigt, imprima un léger mouvement de va et vient sur son sexe, qui présentait manifestement les premiers signes de plaisir. Et alors qu’elle se caressait ainsi, il ne pouvait s’empêcher de remuer et de gémir, terriblement excité par le spectacle qui s’offrait devant lui et auquel il lui était interdit de participer.
« Tu peux gémir si ça te chante, dit d’elle d’une voix rendue rauque par la masturbation, ça m’excitera d’autant plus… » Il n’en pouvait plus. Assister ainsi, impuissant, aux mouvements rapides des doigts de sa dresseuse, le frustrait d’une telle manière qu’il couinait de plus en plus, fort, et tandis qu’elle se crispait en atteignant l’orgasme, il tendit vainement la langue comme un chien, dans le faible espoir de pouvoir lécher ce mont de Vénus, luisant de mouille et gonflé de plaisir.
Elle sortit lentement ses doigts de son sexe ardent, et avec un petit sourire sardonique, les présenta à quelques millimètres de la bouche de son soumis, qui se tendit encore plus pour essayer de les atteindre avec sa langue. « Tiens suce ça si tu veux, tu l’a bien mérité. Par contre c’est tout ce que tu aura. Pour le moment… » Il lécha goulument et avec avidité ces doigts empreints de cyprine, savoura longuement ce gout si particulier qui était celui de sa maitresse, cette odeur si enivrante qu’il adorait et vénérait.
« Maintenant que je me suis bien amusé avec mes doigts, je vais m’amuser avec ta queue, je suis sur que tu n’attends que ça . » Elle pivota de façon à se retrouver en 69, ses fesses et son sexe juste devant le visage de son chien, sa bouche à portée du membre maintenant érigé comme jamais, preuve irréfutable de l’état dans lequel il était.
Elle commença par le décalotter, puis d’un mouvement expert, parcouru le gland avec sa langue. Il frissonna de plaisir tout en redoutant ce qui allait suivre. En effet, la stimulation du gland sans mouvement de va et vient sur le pénis lui donnait toujours plus d’excitation mais sans lui permettre d’aller jusqu’à l’éjaculation et donc la jouissance.
Elle le savait bien et adorait voir ses réactions dans ces moments la. En l’occurrence, il gémissait de plus en plus, se crispant et s’arc boutant, stimulé au possible par cette langue sadique qui le torturait en léchant parfois le gland rendu si sensible par la salive et surtout par 8 jours d’abstinence forcée.
« Je crois que tu es prêt pour la suite, je suis sure que ma petite salope va adorer ce qui va suivre, gourmande comme elle est… » Sur ces mots, elle se dégagea et attrapa un préservatif qu’elle enfila d’une main sure sur toute la longueur du pénis.
Elle commença alors à le masturber doucement, mais elle n’eu pas à attendre bien longtemps avant qu’il éjacule avec force bruits, remplissant le réservoir de la capote d’une importante quantité de sperme, résultat de plusieurs jours de frustration et d’excitation réprimée. Tout en pinçant la base du réservoir, elle retira délicatement le plastique du sexe de son soumis, qui attendait maintenant la suite, pétrifié de comprendre ce qui allait suivre. « Maintenant que tu as mouillé comme une bonne chienne, tu va pouvoir apprécier et savourer longuement le gout d’une bonne giclée de foutre, comme si tu venais de sucer une autre queue et qu’elle se vidait dans ta bouche… »
Joignant le geste à la parole, elle retourna la capote au dessus de la bouche de sa victime et regarda couler le liquide gluant et chaud sur les joues, les lèvres et dans la bouche de son chien. Ecrasé de honte, il ne disait rien et gardait les yeux baissé, attendant la suite. Ce fut elle qui rompit le silence : « Je crois que tu oublies quelque chose ma petite chienne… » Il répondit d’une voix balbutiante « Merci de m’avoir autorisé à mouiller comme une salope Mademoiselle, et de m’avoir permit de lécher mon sperme comme une bonne putain… » Elle sourit, se pencha vers lui et lui susurra à l’oreille « Mais c’est la moindres des choses, je sais à quel point tu aimes ça… »
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Biquette
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Re: Frustration (deux parties)
Hé bien, bravo Pady 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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