Les 'one shot'
Re: Les 'one shot'
Il suffit les p'tites chiennes, vous en ferez des chiots à force d'en réclamer chez les autres
Re: Les 'one shot'
toujours aussi émouvantElle a écrit :Vendredi 01 juin, 18h30.
Ses mots percutants, ses mots qui me traversent le cœur.
Des larmes....mes larmes qui vont couler toute la soirée.
Il me surprend encore et encore, il sait me faire tourner la tête.
Mon coeur s'emballe, ma respiration devient difficile.
Étranglement? Breath control?
Non, ses mots tout simplement.
Je lui appartenais déjà corps et âme.
Demain, notre union sera encore et toujours plus forte.
Nous l avons décidé, rien ne nous arrêtera.
À ses pieds, dans ses bras, pour toujours et à jamais.
Des larmes, encore et encore, avant de pouvoir lui répondre,
Oui, je veux être votre femme.
Re: Les 'one shot'
C'est solib ou dust qui parle la ?Laphoenix75 a écrit : Il suffit les p'tites chiennes, vous en ferez des chiots à force d'en réclamer chez les autres
Re: Les 'one shot'
Tagada93 a écrit :
C'est solib ou dust qui parle la ?
C'est dust
Il n'aurait pas été aussi doux dans ses termes il dit pas p'tites chiennes hein
Re: Les 'one shot'
:jackie: :jackie:Laphoenix75 a écrit :
C'est dust
Il n'aurait pas été aussi doux dans ses termes il dit pas p'tites chiennes hein
Re: Les 'one shot'
Si j'avais pu j'aurai aimé être née entre vos mains
Nourrie à votre vice j'aurai grandie en reine des catins
Modeler, façonner, abreuver de votre perversité
Libre de vivre et de vous aimez
Petite chose je serais
Toute dévoué à votre plaisir
Aujourd'hui esclave je vivrai
Accédant au moindre de vos désirs
Mais la vie est autrement faite
et en rien je ne la regrette
car même si il a fallu du temps
notre rencontre a été le plus beau des présents.
Nourrie à votre vice j'aurai grandie en reine des catins
Modeler, façonner, abreuver de votre perversité
Libre de vivre et de vous aimez
Petite chose je serais
Toute dévoué à votre plaisir
Aujourd'hui esclave je vivrai
Accédant au moindre de vos désirs
Mais la vie est autrement faite
et en rien je ne la regrette
car même si il a fallu du temps
notre rencontre a été le plus beau des présents.
Re: Les 'one shot'
Aucun mot ne pourra décrire la lumière qui se dégage de toi depuis vendrediElle a écrit :Vendredi 01 juin, 18h30.
Ses mots percutants, ses mots qui me traversent le cœur.
Des larmes....mes larmes qui vont couler toute la soirée.
Il me surprend encore et encore, il sait me faire tourner la tête.
Mon coeur s'emballe, ma respiration devient difficile.
Étranglement? Breath control?
Non, ses mots tout simplement.
Je lui appartenais déjà corps et âme.
Demain, notre union sera encore et toujours plus forte.
Nous l avons décidé, rien ne nous arrêtera.
À ses pieds, dans ses bras, pour toujours et à jamais.
Des larmes, encore et encore, avant de pouvoir lui répondre,
Oui, je veux être votre femme.
Re: Les 'one shot'
Trés beauCedille92 a écrit :Si j'avais pu j'aurai aimé être née entre vos mains
Nourrie à votre vice j'aurai grandie en reine des catins
Modeler, façonner, abreuver de votre perversité
Libre de vivre et de vous aimez
Petite chose je serais
Toute dévoué à votre plaisir
Aujourd'hui esclave je vivrai
Accédant au moindre de vos désirs
Mais la vie est autrement faite
et en rien je ne la regrette
car même si il a fallu du temps
notre rencontre a été le plus beau des présents.
Re: Les 'one shot'
MerciTagada93 a écrit :
Trés beau
Il m'inspire Sire Éclipse, Il m'inspire...Eclipses a écrit :magnifique hommage ma lady
Re: Les 'one shot'
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Il patiente...
Dans la pénombre...
Elle dénote juste la blancheur de sa chemise...
Il sourit de son souffle qu'il entend...
Elle traîne la chaise sur cette scène...
Un vieux théâtre désaffecté...
Il se complait à l'observer se concentrer...
Elle se positionne près du cercle de lumière...
Ne dévoilant que ses jambes voilées de bas...
Il enclenche la musique...
Son corps ondule doucement...
Accentuant ses courbes...
Jolie danseuse entre ombre et lumière..
Il distingue parfois la volupté de ses lèvres rouges...
Elle joue à ne lui montrer que ce qu'elle veut...
Elle se cambre, s'abaisse, se relève, s'enflamme seule sur cette scène...
Dans ce ballet où elle l'imagine et l'entraîne contre elle...
Un corps à corps imaginaire...
Il est sur cette chaise lorsqu'elle l'enjambe...
Il est au sol lorsqu'elle s'y glisse en douceur...
Il est près d'elle dans chacun de ses gestes...
Elle brûle sa vie devant lui...
Elle lui offre son souffle infini...
Elle se dénude petit à petit...
Jusqu'à l'arrêt de la musique où elle s'interrompt...
Le souffle haletant...
Elle sourit...
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Il patiente...
Dans la pénombre...
Elle dénote juste la blancheur de sa chemise...
Il sourit de son souffle qu'il entend...
Elle traîne la chaise sur cette scène...
Un vieux théâtre désaffecté...
Il se complait à l'observer se concentrer...
Elle se positionne près du cercle de lumière...
Ne dévoilant que ses jambes voilées de bas...
Il enclenche la musique...
Son corps ondule doucement...
Accentuant ses courbes...
Jolie danseuse entre ombre et lumière..
Il distingue parfois la volupté de ses lèvres rouges...
Elle joue à ne lui montrer que ce qu'elle veut...
Elle se cambre, s'abaisse, se relève, s'enflamme seule sur cette scène...
Dans ce ballet où elle l'imagine et l'entraîne contre elle...
Un corps à corps imaginaire...
Il est sur cette chaise lorsqu'elle l'enjambe...
Il est au sol lorsqu'elle s'y glisse en douceur...
Il est près d'elle dans chacun de ses gestes...
Elle brûle sa vie devant lui...
Elle lui offre son souffle infini...
Elle se dénude petit à petit...
Jusqu'à l'arrêt de la musique où elle s'interrompt...
Le souffle haletant...
Elle sourit...
Re: Les 'one shot'
Bonjour...Laphoenix75 a écrit :[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]
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Il patiente...
Dans la pénombre...
Elle dénote juste la blancheur de sa chemise...
Il sourit de son souffle qu'il entend...
Elle traîne la chaise sur cette scène...
Un vieux théâtre désaffecté...
Il se complait à l'observer se concentrer...
Elle se positionne près du cercle de lumière...
Ne dévoilant que ses jambes voilées de bas...
Il enclenche la musique...
Son corps ondule doucement...
Accentuant ses courbes...
Jolie danseuse entre ombre et lumière..
Il distingue parfois la volupté de ses lèvres rouges...
Elle joue à ne lui montrer que ce qu'elle veut...
Elle se cambre, s'abaisse, se relève, s'enflamme seule sur cette scène...
Dans ce ballet où elle l'imagine et l'entraîne contre elle...
Un corps à corps imaginaire...
Il est sur cette chaise lorsqu'elle l'enjambe...
Il est au sol lorsqu'elle s'y glisse en douceur...
Il est près d'elle dans chacun de ses gestes...
Elle brûle sa vie devant lui...
Elle lui offre son souffle infini...
Elle se dénude petit à petit...
Jusqu'à l'arrêt de la musique où elle s'interrompt...
Le souffle haletant...
Elle sourit...
Si je puis me permettre... vous avez beaucoup de talents et je ne doute pas que celui qui vous accompagne soit des plus heureux et fier...
L'écriture ne permet-elle pas, d'ailleurs, une alliance des plus sensuelles entre les les "mots" et les "maux"... A vous lire... si ! et vous savez manier les "mots" tout comme je suis persuadé que vous savez aussi apprécier les "maux"... ceux qui vous amènent au plus profond de vous pour l'autre...
Quelqu'un qui passait...
Re: Les 'one shot'
Peurs irraisonnées, peurs que j’ai tant de mal à oublier,
Mais peurs que j’aimerais tant pouvoir effacer…
Et pourtant chaque jour je les combats ;
Les chassant un peu plus loin, blottie à l’abri dans tes bras.
Un bonheur qui se construit, une envie de croire que l’autre va rester ;
ça fout la trouille quand on y est pas habituée…
De moins en moins, mais encore je reste parfois à l’affût ;
Du moindre signe que tout ça va disparaître ; mon amour, me pardonneras-tu ?
Mes silences ne sont souvent que protection ;
J’ai tellement dû taire mes émotions.
Grâce à toi, doucement j’avance ;
Un pas après l’autre, je réapprends à faire confiance.
Mais parfois une petite voix se refait entendre :
Son bruit étouffé, comme des pas dans la cendre ;
Celle qui dit « bonheur pas mérité, bientôt envolé » ;
Et je guette le moment où on va venir me l’enlever…
Mon amour, j’ai si peur de ne pas être assez forte pour la repousser ;
Je me bats contre elle tu sais, je lutte comme une acharnée.
Parce que je veux pour nous une bulle de douceur,
Juste un avenir qui commence par le « b » de bonheur.
Mais peurs que j’aimerais tant pouvoir effacer…
Et pourtant chaque jour je les combats ;
Les chassant un peu plus loin, blottie à l’abri dans tes bras.
Un bonheur qui se construit, une envie de croire que l’autre va rester ;
ça fout la trouille quand on y est pas habituée…
De moins en moins, mais encore je reste parfois à l’affût ;
Du moindre signe que tout ça va disparaître ; mon amour, me pardonneras-tu ?
Mes silences ne sont souvent que protection ;
J’ai tellement dû taire mes émotions.
Grâce à toi, doucement j’avance ;
Un pas après l’autre, je réapprends à faire confiance.
Mais parfois une petite voix se refait entendre :
Son bruit étouffé, comme des pas dans la cendre ;
Celle qui dit « bonheur pas mérité, bientôt envolé » ;
Et je guette le moment où on va venir me l’enlever…
Mon amour, j’ai si peur de ne pas être assez forte pour la repousser ;
Je me bats contre elle tu sais, je lutte comme une acharnée.
Parce que je veux pour nous une bulle de douceur,
Juste un avenir qui commence par le « b » de bonheur.
Re: Les 'one shot'
merciDomimur29 a écrit :
Bonjour...
Si je puis me permettre... vous avez beaucoup de talents et je ne doute pas que celui qui vous accompagne soit des plus heureux et fier...
L'écriture ne permet-elle pas, d'ailleurs, une alliance des plus sensuelles entre les les "mots" et les "maux"... A vous lire... si ! et vous savez manier les "mots" tout comme je suis persuadé que vous savez aussi apprécier les "maux"... ceux qui vous amènent au plus profond de vous pour l'autre...
Quelqu'un qui passait...
Re: Les 'one shot'
Je relance les one shot, sans que ça soit "sexy" pour celui-ci :
Douces notes mélancoliques
Mélodie attachée,
A mon cœur, à mon âme chevillée
Un, deux, trois, s’efface
Rayon de soleil éphémère
Quatre, cinq, six, refait surface
Et résonne à nouveau, ô le doux enfer
Fidèle, envoûtante amie
Terrible, insidieuse ennemie
Je lutte mon amour, je te le jure,
De toutes mes forces je tente de la repousser
Je me débats pour ne pas la laisser me submerger
Donne-moi tes bras pour refuge
Paisible asile pour s’endormir
Terre d’accueil d’où je ne veux plus partir
Murailles inattaquables qui m’entourent
Bercée par la chaleur de ton corps
Apaisée par ta voix, je m’endors
Douces notes mélancoliques
Mélodie attachée,
A mon cœur, à mon âme chevillée
Un, deux, trois, s’efface
Rayon de soleil éphémère
Quatre, cinq, six, refait surface
Et résonne à nouveau, ô le doux enfer
Fidèle, envoûtante amie
Terrible, insidieuse ennemie
Je lutte mon amour, je te le jure,
De toutes mes forces je tente de la repousser
Je me débats pour ne pas la laisser me submerger
Donne-moi tes bras pour refuge
Paisible asile pour s’endormir
Terre d’accueil d’où je ne veux plus partir
Murailles inattaquables qui m’entourent
Bercée par la chaleur de ton corps
Apaisée par ta voix, je m’endors
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Re: Les 'one shot'
C'est très beau
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Les 'one shot'
Il lui a dit : « change-toi maintenant, vas te préparer ! »
Sans un mot, elle obéit.
Elle parcourt sa garde-robe, choisissant ce qui Lui plaira:
Elle sait que le noir captera Son regard, que la dentelle attirera Son attention… et Ses mains ; que sa mini-jupe Le fera bander chaque fois qu’elle passera nonchalamment devant Lui, accentuant sa cambrure qui Le rend fou…
Elle enfile soigneusement tout ce que Lui enlèvera tout à l’heure avec gourmandise.
Un frisson la parcourt : elle espère qu’Il viendra lui murmurer à l’oreille ce que Sa petite chienne Lui donne envie de faire, que tout en murmurant ces mots, Il lui maintiendra le visage avec Sa main, Ses lèvres effleurant son cou, la rendant fiévreuse... et peut-être que, alors qu’elle sera allongée à Ses pieds, sa chaîne reliée au canapé, Il promènera Ses pieds sur son corps, venant s'appuyer un peu plus fermement vers ses cuisses… les faisant s’écarter lentement, comme pour la faire languir…
Elle se sent devenir humide. Rien que d’imaginer qu’Il saisira sa poitrine et la maintiendra dans Sa main tout en promenant l’autre main le long de ses fesses… jusqu’à l’abattre violemment sur la peau qui rougira aussitôt… elle sait qu’elle sera déjà perdue les yeux dans Les siens, abandonnée corps et âme à toutes les envies qui traverseront Son esprit pervers, victime consentante de Sa délicieuse perversion… alors, se sera le signal : le jeu commencera.
Elle reprend ses esprits, termine d’ajuster ses bas… et franchi la porte d’une démarche lascive…
Sans un mot, elle obéit.
Elle parcourt sa garde-robe, choisissant ce qui Lui plaira:
Elle sait que le noir captera Son regard, que la dentelle attirera Son attention… et Ses mains ; que sa mini-jupe Le fera bander chaque fois qu’elle passera nonchalamment devant Lui, accentuant sa cambrure qui Le rend fou…
Elle enfile soigneusement tout ce que Lui enlèvera tout à l’heure avec gourmandise.
Un frisson la parcourt : elle espère qu’Il viendra lui murmurer à l’oreille ce que Sa petite chienne Lui donne envie de faire, que tout en murmurant ces mots, Il lui maintiendra le visage avec Sa main, Ses lèvres effleurant son cou, la rendant fiévreuse... et peut-être que, alors qu’elle sera allongée à Ses pieds, sa chaîne reliée au canapé, Il promènera Ses pieds sur son corps, venant s'appuyer un peu plus fermement vers ses cuisses… les faisant s’écarter lentement, comme pour la faire languir…
Elle se sent devenir humide. Rien que d’imaginer qu’Il saisira sa poitrine et la maintiendra dans Sa main tout en promenant l’autre main le long de ses fesses… jusqu’à l’abattre violemment sur la peau qui rougira aussitôt… elle sait qu’elle sera déjà perdue les yeux dans Les siens, abandonnée corps et âme à toutes les envies qui traverseront Son esprit pervers, victime consentante de Sa délicieuse perversion… alors, se sera le signal : le jeu commencera.
Elle reprend ses esprits, termine d’ajuster ses bas… et franchi la porte d’une démarche lascive…
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Re: Les 'one shot'
Y a une suite Callie ??
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Les 'one shot'
j'espère qu'il y aune suite parce que pour l'instant ,c'est formidablement écrit!
Re: Les 'one shot'
C'est un one shot, y'a pas de suite vu que c'est pas un récit.
Je pense pas être assez douée pour écrire un récit complet, et puis j'ai peur de commencer et de ne pas avoir l'inspiration pour terminer.
Je pense pas être assez douée pour écrire un récit complet, et puis j'ai peur de commencer et de ne pas avoir l'inspiration pour terminer.
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Re: Les 'one shot'
On ne se déprécie pas
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Les 'one shot'
Malmenez-moi,
Brisez-moi,
Marquez-moi,
Enivrez tous mes sens de vous.
Soûlez-moi de votre foutre,
Assourdissez-moi de votre voix,
Aveuglez-moi de trop vous dévorer de mes yeux,
Essoufflez-moi de vos mains qui se resserrent,
Étourdissez-moi de vos coups, de vos caresses,
De votre violence, de votre tendresse.
Frappez-moi,
Dirigez-moi,
Souillez-moi,
Et surtout rappelez-moi,
Que je suis Votre chienne, et que vous êtes Mon Maître.
Brisez-moi,
Marquez-moi,
Enivrez tous mes sens de vous.
Soûlez-moi de votre foutre,
Assourdissez-moi de votre voix,
Aveuglez-moi de trop vous dévorer de mes yeux,
Essoufflez-moi de vos mains qui se resserrent,
Étourdissez-moi de vos coups, de vos caresses,
De votre violence, de votre tendresse.
Frappez-moi,
Dirigez-moi,
Souillez-moi,
Et surtout rappelez-moi,
Que je suis Votre chienne, et que vous êtes Mon Maître.
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C’était un rêve
Sur ses courbes mes doigts ont volés
De ses cuisses à son visage
Mes mains l’ont déshabillé
Mes lèvres l’ont caressé,
De son cou à ses cuisses de ses cuisses à sa nuque.
Son soutien gorge dégrafé, mes majeurs caressent ses tétons.
Son dos plaqué contre mon torse mes mains massent ses seins.
Ma main droite est descendue
Sur son ventre son nombril son bas ventre
Elle a passé la lisère de sa culotte doigt après doigt.
Mon majeur a glissé le long de sa fente
De haut en bas il est allé
Sur son clitoris il c’est arrêté pour le caressé.
D’un coup je l’ai retourné
Dans son regard mon regard c’est planté.
Sa culotte je lui ai enlevé
Et je me suis réveillé.
De ses cuisses à son visage
Mes mains l’ont déshabillé
Mes lèvres l’ont caressé,
De son cou à ses cuisses de ses cuisses à sa nuque.
Son soutien gorge dégrafé, mes majeurs caressent ses tétons.
Son dos plaqué contre mon torse mes mains massent ses seins.
Ma main droite est descendue
Sur son ventre son nombril son bas ventre
Elle a passé la lisère de sa culotte doigt après doigt.
Mon majeur a glissé le long de sa fente
De haut en bas il est allé
Sur son clitoris il c’est arrêté pour le caressé.
D’un coup je l’ai retourné
Dans son regard mon regard c’est planté.
Sa culotte je lui ai enlevé
Et je me suis réveillé.
L'amour est une illusion que je ne connais pas
calinours nichonphile
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Re: Les 'one shot'
je l'ai mis ici Nours, c'est plus un one shot qu'un récit effectivement
Et c'est très beau
Et c'est très beau
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Les 'one shot'
Le cœur battant à cent à l’heure, elle attend.
Elle regarde les minutes s’égrener lentement… trop lentement à son goût.
Elle repense à Son regard, à son odeur qui traîne encore sur elle et qui l’enivre à chaque respiration ; à la douceur de Sa peau qu’elle ne peut s’empêcher de caresser encore et encore, à Sa voix quand il lui murmure ses ordres à l’oreille et aux frissons que ça lui donne instantanément.
Elle sourit… sait-Il seulement à quel point Il a de l’effet sur elle ; A quel point Il l’a désinhibe, à quel point son plus cher désir est juste d’être Sa petite chose, Sa chienne, Sa pute, Son jouet… A ses pieds elle n’a plus aucun amour-propre, plus aucun orgueil, plus aucune autre volonté que la Sienne ; juste l’envie de Le rendre fier, comblé, d’entendre Ses râles de plaisir et de voir Sa satisfaction sur le visage… Sait-Il à quel point elle est fière de Lui appartenir ; à quel point toutes les fibres de son corps soupirent après Ses marques juste pour qu’Il s’imprime encore un peu plus sur elle … Sait-il à quel point elle est Sienne ?
Elle pourrait se soulager, ses jouets traînent… mais elle se veut toute entière pour Lui, ardente, n’en pouvant plus de ce désir presque insupportable ; elle veut qu’Il ait tout, qu’Il possède la moindre parcelle d’elle.
Sa peau la brûle à l’envie de Son contact, de celui de Ses mains qui agripperont ses hanches, ses seins, son cou… son entre-cuisse s’humidifie du désir de Sa queue qui la prendra violemment, profondément, qui lui arrachera encore des cris de plaisir qu’elle tentera vainement de réprimer pour les voisins… puis qu’elle libérera n’y tenant plus sous Ses mouvements en elle, Ses vas-et-viens profonds, puis plus rapides, plus forts à mesure que Son plaisir montera… jusqu’à entendre Ses râles de plaisir, jusqu’à sentir Son foutre couler en elle, mouillant ses cuisses au passage, lui faisant tourner la tête par Son odeur qui, loin de l’apaiser, ne fera que lui redonner envie qu’Il recommence à la prendre, là tout de suite, violemment, comme la petite chienne en chaleur qu’elle est… Elle sait que l’odeur de Son foutre sera encore sur elle des heures après, qu’elle fermera les yeux sous le désir qui remontera d’un coup, comme une vague déferlant dans tout son corps.
Vivement qu’il rentre…
Elle regarde les minutes s’égrener lentement… trop lentement à son goût.
Elle repense à Son regard, à son odeur qui traîne encore sur elle et qui l’enivre à chaque respiration ; à la douceur de Sa peau qu’elle ne peut s’empêcher de caresser encore et encore, à Sa voix quand il lui murmure ses ordres à l’oreille et aux frissons que ça lui donne instantanément.
Elle sourit… sait-Il seulement à quel point Il a de l’effet sur elle ; A quel point Il l’a désinhibe, à quel point son plus cher désir est juste d’être Sa petite chose, Sa chienne, Sa pute, Son jouet… A ses pieds elle n’a plus aucun amour-propre, plus aucun orgueil, plus aucune autre volonté que la Sienne ; juste l’envie de Le rendre fier, comblé, d’entendre Ses râles de plaisir et de voir Sa satisfaction sur le visage… Sait-Il à quel point elle est fière de Lui appartenir ; à quel point toutes les fibres de son corps soupirent après Ses marques juste pour qu’Il s’imprime encore un peu plus sur elle … Sait-il à quel point elle est Sienne ?
Elle pourrait se soulager, ses jouets traînent… mais elle se veut toute entière pour Lui, ardente, n’en pouvant plus de ce désir presque insupportable ; elle veut qu’Il ait tout, qu’Il possède la moindre parcelle d’elle.
Sa peau la brûle à l’envie de Son contact, de celui de Ses mains qui agripperont ses hanches, ses seins, son cou… son entre-cuisse s’humidifie du désir de Sa queue qui la prendra violemment, profondément, qui lui arrachera encore des cris de plaisir qu’elle tentera vainement de réprimer pour les voisins… puis qu’elle libérera n’y tenant plus sous Ses mouvements en elle, Ses vas-et-viens profonds, puis plus rapides, plus forts à mesure que Son plaisir montera… jusqu’à entendre Ses râles de plaisir, jusqu’à sentir Son foutre couler en elle, mouillant ses cuisses au passage, lui faisant tourner la tête par Son odeur qui, loin de l’apaiser, ne fera que lui redonner envie qu’Il recommence à la prendre, là tout de suite, violemment, comme la petite chienne en chaleur qu’elle est… Elle sait que l’odeur de Son foutre sera encore sur elle des heures après, qu’elle fermera les yeux sous le désir qui remontera d’un coup, comme une vague déferlant dans tout son corps.
Vivement qu’il rentre…
Re: Les 'one shot'
Excellent callie, j'ai l impression de retrouver Cam mon perso de "PIege au bureau", des images de manara me traverse l'esprit ... j'adore
Re: Les 'one shot'
Merci Eric.
Tout ça c'est ce que je ressens, mais j'ai du mal à parler en "je" dans mes écrits donc je préfère employer la troisième personne.
Tout ça c'est ce que je ressens, mais j'ai du mal à parler en "je" dans mes écrits donc je préfère employer la troisième personne.