La voisine du dessus

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Supprimé

La voisine du dessus

Message par Supprimé »

Ca fait presque deux mois que ça dure ! Heureusement, je ne passe pas tout mon temps chez moi, dans mon appartement.
Mais que ce soit en journée, ou de nuit, je sais quand elle est chez elle ma voisine du dessus, et surtout quand elle est en bonne compagnie.
Ca s’entend. Elle pousse des hurlements continus de jouissance. Elle est expressive. Et ça résonne plein pot chez moi.
Et ça dure longtemps, pas le petit coup rapide, viens par le que je me soulage.

La nuit dernière, j’ai encore été réveillé par ses vociférations.
Alors, je me suis mis à fantasmer, eh oui, parfois, il m’en faut peu …
Mais comme ça durait ma curiosité a été aiguisée et je me suis rendu jusqu’à son étage, après avoir enfilé, pour seul vêtement, mon peignoir. Parce que je ne sais même pas qui c’est. Il y a plus de trente logements dans mon immeuble, et pas de numéro d’appartement sur les portes et les boîtes à lettres. Je me suis dit qu’en regardant l’étiquette sur la porte je pourrais au moins connaître son nom, et qui sait lui glisser un mot dans sa boîte, même si je ne sais pas quoi.
Bon, me voilà en peignoir montant par l’escalier de secours, pas par l’ascenseur, me rendant à l’étage du dessus. Après avoir poussé la porte donnant de l’escalier au hall de l’étage je m’attendais à entendre distinctement le bruit des ébats. Eh bien, quelle frustration, rien, plus rien, à croire que j’étais devenu sourd.
Je collais mon oreille contre la porte de l’appartement mais la retirait prestement en entendant des bruits de pas juste derrière. J’ai juste pris le temps de relever le nom figurant sur l’étiquette à coté de la porte, grâce à la lueur de la lumière de secours désignant l’escalier. Et j’ai filé, discrètement.

Ce matin au boulot, j’ai raconté mon histoire à un pote, qui m’a dit, ni une ni deux : vas la voir, trouve un prétexte, tiens par exemple, mon fils vend des calendriers pour son club de foot en ce moment, je t’en laisse quelques uns et tu vas chez elle pour lui en placer un !! »

Alors ce soir en rentrant du taf, avec ma dizaine de calendrier que mon pote avait récupérée dans sa voiture, je suis monté à l’étage du dessus, et ayant pris mon courage à deux mains, j’ai sonné. J’espérais voir surgir une charmante jeune femme, bien en formes.

Quelle surprise quand la dame d’un âge raisonnable m’ouvrit, et m’apostropha ainsi : « eh bien, charmant jeune homme, qu’avez-vous à me proposer, avec ces documents commerciaux dans les mains ? »

Arf, j’ai failli tout lâcher, et rebrousser chemin en courant. Mais elle poursuivit : « Ne vous inquiétez pas, si c’est ma fille que vous voulez voir, elle arrive, elle vient de sonner pour que je lui ouvre la porte en bas ». Et sur ce fait, c’est la porte de l’ascenseur qui s’ouvrit, laissant apparaître, waouh, … en jupe, bottes, veste entrouverte sur un corsage du même acabit, une plantureuse femme, qu’un parfum envoutant devançait.

La maman expliqua que je venais de sonner et qu’elle me laissait entre ses mains, parce que c’était l’heure de sa chorale, que le livreur du sèche linge était bien passé, et qu’il était bien séduisant d’ailleurs, que tout fonctionnait et qu’elle pouvait l’appeler pour la lui demander de venir à l’avenir mais en la prévenant suffisamment à l’avance parce qu’elle aussi avait un emploi du temps bien rempli, toute bonne maman qu’elle était. Ouf.
Sur ce, elle s’engouffra dans l’ascenseur, et disparut.
Miss canon m’invita à pénétrer dans son appartement. Gloups. J’ai senti la sueur perler dans mon dos.
Je lui ai expliqué que j’étais son voisin du dessous, que je parcourais l’immeuble pour vendre des calendriers pour le compte de mon filleul. Elle me proposa de m’asseoir sur le canapé et de me servir un verre, l’heure de l’apéro étant proche. Elle me versa une vodka, et elle prit un gin. La discussion s’orienta sur l’immeuble. Elle m’expliqua qu’elle avait emménagé depuis peu. Je souris intérieurement, et n’osai pas lui dire que je l’avais remarqué.
Elle enchaina en me disant qu’elle se plaisait ici, que l’immeuble était dans un quartier calme, et que dans l’immeuble il n’y avait pas de mauvais voisinage. Là je souris franchement.
Tellement qu’elle porta son regard sur le mien, et me fixa, en me disant : « Enfin, par moment, il y a des bruits très particuliers ». Un silence appuyé se fit entendre. Mon sourire se transforma en rire, et je dis : « La nuit dernière, par exemple. Les nuits sont parfois très agitées par ici ».

Et d’un coup elle s’esclaffa, me demandant si moi aussi je profitais des ébats de la voisine du dessus ? Parce qu’elle s’en donne à cœur joie la nana du haut, cette nuit elle m’a réveillée, à tel point que j’ai failli monter lui demander son secret. »
Alors là, mon bec a été cloué !!! Et je repartis après quelques secondes dans un rire puissant, en lui expliquant que moi j’étais monté, parce qu’à force, j’en étais assez excité et que depuis le temps que cela durait il fallait agir !! Et que cette nuit je m’étais collé contre sa porte à elle, et non pas celle du dessus, car j’étais persuadé que c’était elle la bruyante voisine !

Nous nous regardâmes à nouveau fixement, intensément, sentant chacun un désir naitre chez l’autre. Sans doute la frustration accumulée depuis que cette nouvelle voisine, pas celle que j’avais à mes cotés, s’était installée. Surtout, pour moi, l’envie de plonger dans ce décolleté offrant des seins généreux, et de vérifier si ses jambes étaient couvertes de bas.

Nous posâmes en même temps nos verres sur la table basse devant le canapé, et inévitablement nos lèvres se sont rapprochées d’un coup, attirées, nos langues s’entremêlant avec force. Mes mains glissèrent l’une sous son corsage, l’autre sous la jupe.
Le bonheur, découvrir le haut d’un bas, et caresser cette cuisse, ferme, gainée pour partie, lisse et douce pour l’autre. Je me suis attardé sur cette partie de son corps, avant de remonter sur le coté de la cuisse vers la fesse ; celle-ci était dénudée et laissait augurer la présence d’un string.
Mon autre main arpenta les seins, en prenant connaissance du relief bien rebondit, à travers le soutien gorge. Je ressortis cette main en commençant à déboutonne le corsage, nos lèvres toujours enlacées, nos langues continuellement en mouvement.

J’ai été obligé d’abandonner ces lèvres, lorsque je me mis à genoux devant elle, une fois que le corsage complètement déboutonné pu être débarrassé. Je me mis à écarte ces cuisses, relever légèrement sa jupe et à goûter à ses autres lèvres, toutes aussi humides, légèrement salées, si bonnes à caresser avec ma langue, passant du clitoris aux lèvres, remuant les miennes, aspirant les siennes avec précaution, et enfonçant ma langue dans son vagin par moment, et sentant son plaisir aller et venir, et sentant aussi ses mains tirant sur ma chemise après avoir retiré ma veste, au point qu’elle failli m’étrangler parce qu’elle tirait quand même brusquement.

J’ai dégagé complètement son string, que j’avais écarté préalablement, en même temps que j’ai lancé ma chemise à l’opposé du salon. J’ai replongé de plus belle entre ses cuisses, promenant mes mains et sur ses seins et sur ses fesses. Elle me tenait par les cheveux, enfin, ce qu’il en reste.

Elle eut envie de bouger, et de varier son plaisir. Elle me provoqua en me disant qu’elle supposait que j’étais bien incapable de la faire hurler comme notre voisine du dessus.

C’est que je suis fier moi ! Elle allait voir ce qu’elle allait voir : « allonge toi sur ton tapis et prépare toi, j’arrive » que je lui ai dis en enlevant mon pantalon, et le reste de mon attirail.
« Ridicule » qu’elle a osé me dire en apercevant la bosse de mon boxer. Bon, son regard a été différent lorsqu’une fois ôté, elle a fixé le sexe dressé qui s’est présenté face à elle. J’ai même cru voir ses cuisses s’écarter un peu plus.

Je me suis placé sur elle, la pénétrant avec douceur, pour commencer, puis d’un coup j’ai enfoncé mon sexe au plus profond de ce qu’elle m’offrait, lui arrachant un cri, quand même bruyant.

Elle me griffa le dos, pas trop fort cependant, et m’a dit : « Alors montre-moi de quoi tu es capable ». Je me positionnai les jambes tendues entre les siennes, et mes bras en appui sur mes mains à la hauteur de ses épaules, comme pour faire des pompes, mon corps étant seulement en contact avec le sien lorsque je faisais tomber mes épaules. De la sorte elle pouvait voir mon sexe en totalité lorsque je me trouvais en position relevée et surtout je pouvais donner encore plus d’élan et ainsi pénétrer bien en profondeur, pour répondre à sa provocation.

Elle s’est laissée aller à des cris significatifs, prolongés, et non équivoques.

L’assaut final fut l’occasion pour moi de me libérer, avec un cri léger comparé aux siens.

Je m’avachi sur elle, posant ma tête dans le creux de son épaule, et en récupérant, parce que je m’étais bien donné, fier que je suis.

La concurrence allait se faire entendre dans l’immeuble, désormais.
Supprimé

Re: La voisine du dessus

Message par Supprimé »

Et laquelle sera la plus bruyante ? Ne me dis pas que tu ne vas pas viser un peu plus haut... histoire de... :diable:
Supprimé

Re: La voisine du dessus

Message par Supprimé »

Je vise et je tire :d :d :d
Supprimé

Re: La voisine du dessus

Message par Supprimé »

:groan:
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