Folie vengeresse

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Jundow

Folie vengeresse

Message par Jundow »

En plus de la poésie, j'aime aussi écrire des histoires. Je poste quelques chapitres de mon histoire un peu partout pour obtenir des avis voir des conseils.
Ceci, est une sorte de prologue:

Il devait être minuit, la lune projetait des ombres sinistres sur les tombes du cimetière, la pluie intensifiait encore ce spectacle macabre.
On se serai cru dans un film d'horreur et on s'attendait presque a ce qu'un fantôme fasse sont apparition.
Un homme se dressait dans ce décor lugubre, il était debout, devant une de ces tombes.
Il devait friser les 2 mètres, d'une silouhette plutôt athlétique, vêtu d'un jean et d'un impèrméable noir.
Il venait de perdre les 2 personnes qu'il aimaient: Sa femme et son enfant. Cet homme c'étais moi, Mike...
J'étais là depuis un bon bout de temps et malgré les trombes de pluies qui tombaient, ne daignait pas repartir.
Planté là, je me santais proche d'eux, de toute façon, personne ne m'attendait.
Un éclaire traversa le ciel et fit apparaître, l'espace d'une seconde, les noms affichés sur la pierre tombale. Je poussais un gémissement tout droit sortis de mes entrailles.
Le désespoir me fis tombé à genou.
Les larmes se mirent a coulées sur mon visage déja ruisselant de pluies.
Je restais là longtemp à pleurer mon chagrin et ma douleur.
Les pleurs cessèrent au bout d'une heure, je me redressais, trempé jusqu'au os; j'avais versés toute les larmes de mon corps.
Mon regard chaleureux avec lequel j'avais tant regarder les personne chères a mon coeur, avait laissé plaçe a un regard glacial, denué de tout expression. Le genre de regard qui vous transperce et vous paralysent de frayeurs.
Je venais de mourir au pied de cette tombe, il ne restait de moi qu'un corps habités par une haine froide et inhumaine qui ne vivait que pour une seule chose: la vengeance!
-Je retrouverais les hommes qui nous ont séparés et je leur ferai payé cher leur actes ignobles, je vous en fait la promesse!"
La foudre zebra le ciel et le tonnerre se fit entendre, comme pour appuyé mes dires.
Après un dernier regard sur la tombe familliale, je quittais le cimetière d'un pas lent mais désormais, déterminer.
Ma vegeance serais tèrrible!
Biquette
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Re: Folie vengeresse

Message par Biquette »

Une suiiiiiitttteee !!!!!
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Jundow

Re: Folie vengeresse

Message par Jundow »

Ce n'est pas la suite direct mais un des nombreux chapitre que j'ai déjà écrit et qui feront partie intégrante de mon histoire. le titre de ce chapitre est "l'interrogatoire"; très violent, pouvant choquer les personnes sensibles:

Ma voix était glaçiale:
-Alors Mr Milton, vous êtes sûr que vous ne voulez pas me donner le nom de votre contact?
-Vous savez qui je suis?
-Un pervers qui ne va pas tarder à regretter ce qu'il a fait!
-J'ai des amis haut placé! C'est vous qui aller regretter votre acte!
-Encore faut-il que vous sortiez vivant d'ici Mr Milton..." déclarai-je d'un ton froid et détaché.
J'avais soigneusement attaché André Milton nu sur une table d'opération. La pièce avait un aspect inquiétant avec son plafond noir, ses murs bruns décrépis, ses carrelages vieux comme le monde qui tenaient à peine et cette humidité qui rendait l'air suffoquant.
sur une petite table a côté de l'homme attaché, se trouvaient diverses choses comme: des ciseaux, un pot de sel, des pinces, de l'acide, un petit chalumeau et d'autres objets du même genre...
Le regard angoissé d'André se posa sur cet attirail pour le moins bizarre et celui-ci demanda d'une voix inquiète:
-C'est pour quoi faire tout ça?"
Il reçut pour toutes réponses, un sourire dénué de tout humour.
Je n'avais jamais pratiqué la torture, mais je n'avais jamais tué personne non plus avant le début de cette sordide histoire. C'était la seule solution. Je devais savoir!
J'enfilais une tenue de médecin flambant neuve par-dessus mes vêtements, un masque et des gants de chirurgien complétais ma transformation.
Habillé comme ça, avec mon regard glacial qui était tout ce que l'on voyait de mon visage, je ressemblais à un chirurgien fou! Ce qui n'était pas loin d'être le cas.
-On va commencer l'interrogatoire!" Déclarais-je avec détachement.
Je m'équipais d'une lame de rasoir et me rapprocha de ma victime...
Je fit une entaille sur toute la longueur de son pénis, le sang commença à couler et André poussa un cri de douleur déchirant et hurla:
-Mais vous êtes complètement fous?!
Ma voix glaciale lui répondit:
-En effet, je n'ai plus toute ma raison...
J'attrapais une poignée de sel et la jeta sur la blessure récente, la réaction ne se fit pas attendre. André hurla de toutes ses forces, des larmes lui coulaient le long des joues puis il perdit connaissances.
Je m'armais d'un taser et lui envoyais une décharge électrique sur les testicules. Le choc électrique réveilla instantanément André dans un autre cri déchirant!
Je continuais calmement ma sale besogne. Je prit une pince particulièrement coupante, attrapais la main de l'autre et coupais d'un geste sec son majeur dans un bruit écœurant. Le sang commençait à couler à flots. Je pris le chalumeau et brula le bout de la blessure qui s'arrêta instantanément de coulées.
André n'était plus que souffrances, il gueulait comme un possédé et on pouvait lire sur son visage, toute la douleur qui le traversait.
-Alors Mr Milton, c'est beaucoup moins excitant d'être la victime que le spectateur n'est ce pas?
-Je vous en prie! Arrêtez ça tout de suite!
-Qui te fournit ces vidéos?"
Il se mura aussitôt dans le silence.
Je sentis soudain la nausée me montée a la gorge, je quittais précipitamment la pièce et me rendit dans les toilettes pour remettre mon dînés. C'était plus difficile que prévu, ce n'était pas dans ma nature et j'avais du mal même si cet homme n'était qu'une ordure et ne méritait pas mieux.
Il fallait qu'il parle, je devais retrouver cet homme qui vendait ces vidéos ignobles et lui faire craché le morceau!
Mais avant tout, il me fallais son nom...
Je repensais à cette journée maudite ou ma famille avait été sauvagement assassinée. Un désespoir immense m'envahit, j'eus soudainement envié de pleurer et me demandais pourquoi je ne me mettait, tout simplement, pas une balle dans la tête pour mettre un terme à tout cela!
Je me rappelais alors la promesse faite au pied de la tombe de ceux que j'aimais, je ne pouvais pas abandonner! Cette pensée m'envoya une décharge d'adrénaline. Je me redressais et partis rejoindre ma victime avec la ferme intention de le faire avoué...
J'entrais dans la pièce avec une rage redoublée, j'avais perdu mon calme froid et détacher et mon regard brûlait de haine!
Je repris ma pince et quand j'arrivais devant le pervers, celui-ci me déclara avec un certain plaisir malgré la douleur:
-Alors, Monsieur perd son sang-froid?
-Réjouis-toi tant que tu le peut encore fumiers!! repondit Mike d'une voix pleine de hargne""
Je forçais la bouche d'André avec ma pince et lui arrachais 2 dents d'affillées puis, pour faire bonne mesure, lui envoya mon poing, équipé de mon outil, en pleine machoire a trois reprises!!
La colère et la haine montait en moi sans que je ne puisse les arrêter. M'étant équipé d'un couteau, je lui crevais l'oeil gauche et enchaînais en lui coupant l'oreille droite!
Je prit conscience que j'avais perdu le contrôle de moi-même et balançais le couteau de l'autre côté de la pièce! Je m'assit sur une chaise et éssayais de me calmer pendant que le supplicié hurlait a la mort. Je ne devais pas le tuer mais le faire parler.
Mon coeur battait la chamade et je me rendit compte que ces dernier actes ne m'avait, non plus dégouté, mais soulagés! A rien comprendre!
Je retournais près de la table, prit la bouteille d'acide et, au moment ou l'autre voulu parler, lui en déversais sur sa main encore intacte. L'acide fit son oeuvre et la main fondit en un magma dégoutant pendant que la victime s'époumonait en hurlement!
Je me retournais vers lui et lui demanda d'un ton à peine contrôlé:
-Alors, tu va me dire ce que je veut savoir?!"
Celui-ci avait du mâl a parler mais répondit d'une voix térrifiée:
-Oui! Oui! Je vais répondre à vos questions! Mais ne me faites plus de mal!!!
-D'accord! Mais si j'ai l'impression que tu me ment, je passe au découpage de ton service trois pièces, compris?
-Oui! J'ai compris, que voulez-vous savoir?!
-Qui te vends ces snuff movies?
-Il s'appelle Max!
-Max comment?
-Je ne sais pas, il se fait appellé Max et il est surnommé Le play boy!
-J'ai la bizarre impression que tu me ment...
-Non!! Je vous jure que c'est la vérité, prenez mon GSM, vous trouverez son numéro à "Play boy" d'ailleurs!
-Bien, je te crois. D'autres informations qui pourraient m'aider?
-Oui, il traine souvent dans les rues de Charleroi, vous le trouverez facilement mais si il ne vous connais pas, il niera tout en bloc.
-T'inquiète pas, je sais faire parler les gens...Pas vrai?"
Et il laissa échapper un rire qui faisait froid dans le dos. André demanda avec angoisse:
-Ca y est? C'est finis maintenant?
-En effet, c'est finis pour toi!"
Je sortis mon immense pistolet, appelé Automag 44, posais le canon sur la tempe de l'homme qui le regardait avec désèspoir maintenant, puis appuya sur la détente.
Le bruit assourdissant du coup de feu résonna dans la petite pièce et la moitié de la tête du type explosa en une gerbe de sang et de cervelle.
Je rangeais mon arme dans le holster plaçé a ma hanche. J'avais mon information. Maintenant, je devais trouver ce Play boy...
Je quittais les lieux et partis vers la prochaine étape de ma vengeance...
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Re: Folie vengeresse

Message par Biquette »

Jundow, y a pas de suite ? :modo:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Jundow

Re: Folie vengeresse

Message par Jundow »

Si il y a une suite Bikette; mais j'ai été couper d'internet pendant quelque temps donc, je n'ai pas su venir poster :)
Donc, voici la suite:

3: l'attaque

Il était environs 1h du matin, la pluie avait cessée de tombée mais avait transformé la terre en boue. Les nuages cachaient la lune, l'obscurité raignait dans cet endroit perdu au milieu de nul part. Il n'y avait que des arbres et des champs a des kilomètres a la ronde, aucune habitation sauf ce grand batiment qui, de l'extérieur ressemblait a un entrepot abandonné. Seul les quelques véhicules garés sur ce qui avait du être un parking jadis démentaient cette impression de désolation.
J'avait caché ma voiture un peu plus loin et avait fait le reste de la route a pied. J'était accroupis dans les fourrés et scrutais ce batiment depuis 5 bonne minutes. Je savais ce qu'il s'y passait. Des hommes venaient ici et payaient chèrement pour avoir le droits d'assouvir leurs fantasmes pervers sur des enfants dont l'age variaient entre 5 et 14 ans en général, mes tripes se nouaient rien que d'y penser...
J'avait une très bonne connaisance des lieux car ma dernière victimes en dates m'en avait fait un plan détaillé. Le rez-de-chaussée était pourvus d'une énorme pièce, de deux ou trois autres plus petites et d'un escaliers qui menait a l'étage; c'était là que se trouvaient les chambres.

Je savait tout ça et j'était venu pour mettre un terme a ce commerce immonde; j'èspèrais attrapé par la même occasion une raclure du nom de Jack Delarue mais ce n'était que secondaire. L'important était de délivré ces enfants prisonniers, tant pis si ca n'apportait rien de plus a mes recherches.

J'était vétu tout de noir; un jeans, un tee shirt et une longue veste qui tombait jusqu'au genou.Un chapeau style gangster des années 60 lassait une partie de mon visage dans l'ombre. Seul mes yeux d'un bleu glacial percait a travers cette obscurité.
J'avait prit mon Automag 44, le plus puissant pistolet automatique au monde,et un Pistolet-mitraileur Uzi qui avait une cadence de tir très élevée; c'était suffisant, la plupart des hommes ne seraient pas armés car il venaient pour cherché du plaisir et non la guerre. Mais il allaient avoir une surprise. Un sourire macabre étira mes lèvres, ca allait faire mal!
Je me glissa silencieusement vers la porte d'entrée et y colla mon oreille pour écoutés. J'entendais differentes voix sans arrivés a déchiffrés ce qu'elle disaient.
J'inspira un grand coup, enfonça la porte d'entrée d'un magistral coup de pied et me rua a l'intèrieur, l'arme prête à tirer!
Deux gardes, alèrtés par le bruit, se levèrent brusquement de leurs chaises juste a temps pour écopés d'une balle dans la tête qui explosa sous la puissance du coup. Ils s'écroulèrent en renversant la tables au passage sans avoir compris ce qui leurs arrivaient.
Des cris et des bruit de pas affolés se firent entendre. Me dirigeant vers ces bruits, je tomba nez-à-nez avec un homme apeurés que je descendit sans réflechir tout en continuant a avancés.
La panique avait gagné tout le monde; certains tentaient d'atteindre la sortie, d'autres complètement terrifiés couraient dans tout les sens, sans arrivés a se décidés de la marche a suivre. M'équipant de l'Uzi, j'arrosa cette collection de pervers qui tombèrent par dizaines, répandant sang et tripes un peu partout. Les survivants criaient, les mourrants hurlaient, c'étaient l'horreurs! La nausée me montait mais je continua mon oeuvre de déstruction tout en me dirigeant vers les escaliers. Un pistolet tonna a ma gauche mais le tireur était trop appeuré pour faire mouche, je me tourna vers lui et lui envoya une rafale de plombs brûlant qui lui ouvrit le torse de bas en haut en faisant giclés le sang dans tout les sens. Un silence macabre s'abattit soudainement sur les lieux. Je balaya l'immense pièce du regard et ne vit que des dizaines de machabées démenbrés étendus un peu partout dans des positions insolites.Une odeur de mort et de souffres planait sur les lieux. Me détournant de ce spectacle nauséabond, je monta les marches de l'escalier d'un pas déterminés. J'entendit des pleurs venants de differentes pièces, cela me fit mal au coeur et me fit repensé a Alicia. Une larme brûlante coula le long de ma joue. Je me força a penser a autre chose, ce n'était pas le moment de s'écroulés.
J'entra dans une chambres au hasard et vit un gamin qui devait avoir environs 8 ans avec un slip comme seul vêtement. Il était prostré dans un coin de la pièce et me fixait d'un air terrifié.Son corps était remplis de bleus et de cicatrices, son oeil gauche était bleu et restait fermé en permanences. Je m'approcha légèrement de lui et lui dit d'une voix chaleureuse:
-Ne t'inquiète pas petit, je ne suis pas là pour te faire du mal.
-...
-Tu sait combien vous êtes ici?
-...Je...Je ne sais p..pas monsieur...
-Ce n'est pas grave, ne bouge pas de là, la police va venir vous cherchez pour vous ramenez chez-vous.
-..."
Je fit le tour de chaque chambres qui étaient toutes occupées par un ou plusieurs enfants complètement tèrorisés. En dehors des chambres, il y avait deux grandes pièces dans le fond, je m'introduisit dans la première, l'arme au poing.
C'était un grand bureau décorés de diverse photo pornographique et pédopornographique, parquet au sol, lambris de chêne au mur et au plafond. Un grand bureau en acajou trônait au centre et diers meubles en bois remplissait un peu la pièce; le grand luxe en somme.
Un homme se tenait debout et me toisait d'un air inquiet. La trentaine, un visage pas déplaisant a regarder, un costume noire très chic et des cheveux blond court plaqués en arrières par le gel. Ce type semblait sortir tout droit d'une soirée chic. Je le reconnu tout de suite et lui envoya d'un ton glacial:
-Salut Jack! Ton business est terminè, tes gardes et tes clients sont tous morts!
-Vous êtes qui? Qu'est ce que vous voulez? me demanda-t-il d'une voix tremblante.
-C"est toi que je veut Jack! Tu as 2 solutions: tu me suis gentiment ou je t'envoie rejoindre tes amis en enfer. Qu'est ce que tu choisis?
-Je vous suit! Mais pourquoi?!
-Tu l'apprendras bien assez tot. En route!"
Je le laissa passez devant et le suivit vers la sortie, pistolet braqué sur sa nuque.
Arrivé au rez-de-chaussée, il bloqua en découvrant le massacre.
-Avance fumiers!
-Vous êtes completement fous!!
-Je le sais, avance je te dit!"
Nous quittâmes les lieux et je le guida jusqu'à ma voiture.
Je le força a s'assoir du côté passager et le ligota avec une longue corde. Il ne savait plus bouger un doigt; très bien.
M'installant au volant, je prit le GSM qui trainait dans la poche de mon prisonnier et composa la numéro de la police:
-Police bonjour!
-Il y a eu des meurtres dans l'entrepot abandonnés se situant a peu près au sud de la ville de Marche, je suis sur que vous savez duquel je parle, il y a aussi des enfants a y récuperer qui ont besoins de soins.
-Et co..."
Je racrochai sans prendre la peine d'écouter la suite, je savait que la police trouverait l'endroit.
Je démarrai ma voiture, jettai le GSM par la fenêtre et reprit ma route...

4: suite direct de "l'attaque"

Je quittai le chemin de terre et m'engagea sur la route qui devait m'amener à l'une de mes planques. L'attaque c'était bien déroulée et j'avait obtenu ce que je voulais: J'avait tué un paquets de pédophiles, libèrés une trentaine d'enfants de ce commerce ideux et j'avait même réussis a attrapé ma cible en vie.
Les sirènes de police au loin me firent savoir que mon appel avait été prit au sèrieux; très bien, les enfants seraient prit en charge par les forçes de l'ordre, c'était une bonne chose.
La route était désèrte a cette heure de la nuit et je roulai d'une allure tranquille. Il n'y avait aucune lampes sur cette route et je ne distinguait que ce que mes phares éclairait. La pluie continuait a tombé et le vent sifflait fortement.
Je jettai un oeil sur mon prisonnier et m'apercus qu'il me fixait de ses yeux calculateur:
-A quoi tu pense Jack? Tu cherche un moyen de me faire changé d'avis?
-Pourquoi m'avoir emmené avec vous? Qui vous as payé pour ça?
-Payé? Je croit que tu n'as pas compris. Je ne fait pas ça pour l'argent...
-Ah! C'est personnel alors?
-C'est cela, tu comprend vite Jack.
-Que vous ai-je fait?
Tout d'abord, le fait que tu "loue" des enfants pour te remplir les poches. Ensuite, tu as des informations dont j'ai besoins.
-Et qu'est ce que je gagne a vous les donnez?
-Ca t'évitera de souffrir, ordure!
-Souffrir? C'est censé me faire peur?
-On verra si tu as toujours autant de geule quand la douleur te deviendra inssuportable, maintenant ferme-là!
-Sinon?"
Je prit mon énorme pistolet par le canon et lui envoya un coup de crosse en plein visage, j'entendis des dents craquées et un jet de sang s'échappa de sa bouche.
Je lui répondit ensuite:
-Sinon, ton dentiste risque de renoncer en voyant les dégats..."
Jack se mura dans le silence et je put me concentrer sur ma route.
J'aimais beaucoup les Ardennes, la nature était présente partout, les foret y étaient nombreuses, certains paysages étaient très beaux. J'y étaient souvent venus avec ma femme et ma fille pour décompressé et profité du soleil.
Je chassai ces beau souvenirs pour revenir au présent. Ma planque n'était plus très loin.
Je m'engagai dans une petite route boueuse qui s'enfoncai dans la foret. Je continuai ma route pendant dix minutes environs et arrivai a destination.
Je me garai devant un chalet de taille moyenne et plutot vétuste.
Je quittai mon véhicule, en fit le tour et sortit mon prisonnier de là. Le pistolet braqué sur sa nuque, je l'obligeai à avançé vers le chalet.
J'ouvrit la porte, le poussa a l'intérieur et le força a s'asseoir sur un fauteuil ou je l'attachai soigneusement de nouveaux.
Je me servit un coca et m'assit dans un des fauteuil libre.
L'endroit sentait le renfermé, une poussièré grasse s'était déposée sur tout les meubles en vieux chènes, divans en cuir et plancher.
La bruit de la pluie battant sur les fenêtres et le toit était tout ce que l'on entendait. Il faisait très froid et je décidai d'allumer le feu a bois pour me réchauffer.
Une fois que ce fut fait, je décidai de porter mon attention sur mon captif. Le coup de crosse lui avait fait perdre quelque dents, du sang avait un peu coulé de sa bouche, et il me regardait calmement, visiblement, il n'allait pas me faciliter la tache.
Je lui dit de ma voix glacial:
-Tu a vendu une vidéo à un mec s'appellant André Milton, je veut que tu me dise ou est ce que tu l'as obtenue.
-Désolé, je connait pas d'André Milton. Me repondit-il d'une voix assurée.
-Joue pas au plus fin avec moi Jack, ou tu va le regrètté!
-Je vous dit que je ne connais personne qui se prénomme André!
-Ok, tu est sur que tu ne veut rien dire?
-Je ne sais pas de quoi vous parlez.
-Ok, je vait donc te rafraichir la mémoire."
Je me doutais bien qu'il n'allait pas me dire ce que je voulais aussi raidement. J'allais donc, pour la deuxième fois, me servir de la torture pour faire parler quelqu'un. Bizarrement, je ne ressentis pas ce dégout et cette appréhension que j'avait eu la première fois.
J'emmena mon prisonnier dans la chambre et, après l'avoir entierement dénudé, je l'obligeai a se couché dans le vieux lit grincant ou j'attachai ses mains et ses jambes au barreaux a l'aide de menottes.
-Qu'allez-vous me faire? me demanda-t-il d'une voix ou l'on sentait poindre un début de panique.
-La même chose que j'ai fait a cette pourriture de Milton. Tu vas comprendre pourquoi il m'as donné les informations que je désiraient si vite.
-Vous allez me tabassé? Il faudra plus que ça pour me faire parlé savez-vous!
-Le verbe "torturer" serai plus adapté a ce qui va suivre..."
Un rire macabre s'échappa de me lèvres. Je me demandais comment j'allais faire pour tenir le coup avec ce qui allait suivre, la dernière fois, j'avait déja eu du mal quand j'avait torturé Milton mais hélas, encore une fois, c'était la seule solution. Je mit mon dégout et mes états d'âmes de côtés et me prépara pour la suite.
J'enfila la combinaison de chirurgien de la dernière fois, je n'avait pas prit le temps de la lavé et le sang de ma dernière victime était encore dessus. Je vit Delarue qui me fixait avec inquiètude, il me demanda d'une voix déja moins sur:
-C'est du sang humain?
-Oui, c'est le sang de ton copain Milton, le tient va aussi finir dessus. Sauf si tu te décide a me dire ce que je veut entendre. "
Il détourna la tête et retomba dans le silence; tant pis, je devait donc remettre ça...
J'ouvrit un placard dont les portes, ravagées par les mites, tenaient a peine. J'observai les differents outils qui s'étalaient devant moi en me demandant par quoi j'allait commençé.
Je jettai mon dévolu sur un fin burrin et un marteau et, m'approchai de ma victime calmement, avec un sourire inquiètant au lèvres.
Je posa la pointe du burrin a l'entrée de son oreille gauche et, dans un élan calculé , donna un coup de marteau dessus. Le burrin s'enfonça de quelque centimètres dans l'oreille, éclata le tympan et tout ce qui se trouvai sur son passage. Jack se mit à hurlé de toute ses forçes et des larmes de douleurs coulèrent de ses yeux.
Satisfait de mon acte, je laissai tombé les deux outils pour ensuite retourné dans le placard cherché une batte de base-ball...
Je retourna près de Jack et lui demanda de ma voix froide et détachée:
-Alors, ca te plait mon petit Jack?
-Vous êtes complètement malade!!
-Tu va me dire ou tu as trouvé cette vidéo?!
-Ecoutez, je trouve et vends des centaines de vidéo par moi. Je ne peut me souvenir de toutes!
-Bien. Continuons dans ce cas!"
Je le forçai a se mettre sur son ventre en ignorant les bruits atroçes que firent se poignets et ses chevilles en se brisant sous l'éffet de la torsion. Le playboy hurla a s'en arraché les cordes vocales et moi, je lui dit avec un certain plaisir:
-Tu peut hurlé autant que tu veux, personnes ne t'entendra ici."
J'empoignai correctement la batte et lui envoya un violent coup sur l'une de ses chevilles déja brisées. La douleur lui fit perdre connaisance avant même qu'un cris arrive au niveau de sa gorge.
Ca ne m'arrangeai pas ça, je le fit revenir a lui en lui envoyant une décharge au niveau des testicules. Il reprit connaisances dans un cris déchirant. "C'est mieux" me dit-je.
Je lui envoya un coup violent au niveau des testicules, cela lui coupa le souffle momentanément, la souffrance transpirait sur chaque centimètre de sa peau. Quand il eu repris son souffle, Il me cria désèspèrément qu'il me dirait tout ce que je voudrai entendre en me suppliant de céssé ces tortures insupportables. "Bien" me dis-je en reposant la batte.
-Alors, tu est prêt à passer au aveux?
-Oui! Mais arrêté cela, par pitié!
-Pitié? Tu as vendu de pauvres gosses innocents sans la moindre scrupules et tu ose imploré ma pitié?!"
La colère et la haine me monta d'un coup, mes yeux s'injectèrent de sang et je perdit le contrôle de mes actes. Je reprit la batte et l'employa de nouveau pour donner de violent coup sur les jambes de Jack, on entendait les os craqué a chaque nouveau coup portés. Je continuai a frappé pendant au moins deux minutes, prit dans une sorte de frénésie donc ma colère en était le moteur.
Je finis par retrouvé un peu de lucidité et balança la batte de l'autre côté de la pièce. Les jambes du Playboy n'étaient plus que plaies et douleurs, il avait renoncés à criés sa souffrance mais elle se lisait sur son visage grimaçant. Il laissait échappé des gémissement douloureux et pleurait comme un enfant. Mais toute compassion m'avait quitté pour ce genre de personnage...
D'une voix tremblante de rage, je lui dit:
-Maintenant, tu as interêt parlé si tu veut que je laisse le reste de ton anatomie entière...
-Je vous ai déja dit que je parlerai.
-Ok, Ou a tu obtenu la vidéo que tu as vendu a Milton?"
Sa voix était devenue très faible et lente, j'avait du provoqué une hémoragie interne au niveau de ces jambes, il fallait qu'il parle avant de succomber.
-Répond!
-Je lui en ai vendus plusieurs. De laquelle parlez-vous?
-Celle ou une femme au long cheveux noir et une gamine blonde de 8 ans se font violée et assassinée par trois types cagoulés.
-Ah celle-là...
-Alors, tu te décide fumier?!
-C'était une commande spécial pour un client, qui m'as demandé d'en faire un double et de le vendre à Milton.
-C'est toi qui l'as produites?
-En quelque sorte, je ne suis que vendeur moi. J'ai contacté des personnes qui faisaient ce genre de truc.
-Je veut les nom du client et des trois types qui se sont occupés de tourné la vidéo.
-Je ne peut vous donné que le nom du gars que j'ai contactés pour ça. Je n'ai pas été présenté au groupe. Et je ne connais pas le client, c'est Milton qui m'as passé commande...
-Essayerai-tu de me berné Jack?
-Non! Je vous jure que c'est la vérité. Je sais juste que ce client est une personne qui connaissais bien les victimes. Car Milton m'as dit "Il veut ces deux là et uniquement elles, il fantasme dessus depuis longtemps"
-Tu veut dire que c'est l'un de ses proches?
-Je ne sais que ce que Milton m'as dit, mais cela me semble logique."
Je sentis mon coeur se serré, qui dans mon entourage, aurai pu vouloir une tel horreur?
-Ok, le nom du mec que tu a contacté?
-Il s'appelle Alberto Calvini.
-Ou est ce qu'on le trouve?
-Il va souvent dans un café appellé "Le rustic" à Charleroi, dans la rue Turenne.
-Bien, autre chose a ajoutés?
-Une petite question...
-Je t'écoute.
-Pourquoi faite-vous cela? Cette femme et cette gamine n'avait plus de famille au moment des faits sauf le mari qui s'est suicidé après coup.Que représentai-t-elle pour vous?
-Tu veut vraiment le savoir? Je suis le mari sois disant suicidé, j'ai changés de visage pour pouvoir vous retrouvés sans me faire repèré."
-Non! c'est impossible!
-Ca ne sert pas qu'as s'acheter de belle voiture l'argent Jack...
-Alors, vous allez me tué?!
-Belle déduction, tu fera mes amitiés a Milton en arrivant en enfer, et ne t'inquiète pas, tes autres amis vont bientot te rejoindre."
Et, sans un mot de plus, je partit cherché un bidon d'essence dans le placard et revint près du lit ou je déversa la totalité du carburant. Jack commenca a supplié et a hurlé de ne pas faire ça. Je n'en eu cure et craqua une allumette que je lança sur le lit. Le feu s'embrasa d'un coup et les hurlements reprirent de plus belle. Je resta là a fixé les flammes, comme hypnotisé, pendant une minutes puis je me détournai de ce spectacle macabre.
Je ramassai les cléfs de mon véhicules et quitta les lieux rapidement. Mais, au moment d'entrer dans mon véhicule, j'entendit un bruit qui attira mon attention; un cris de femme...
Le bruit venait de la petite route de terre qui menait a un chalet abanonné depuis des années. Je prit mon Automag et me dirigea vers les cris.
Ayant parcouru une cinquantaine de mètre, une femme nue et tèrrorisée me percuta de pleins fouets, elle tenta de repartir aussitôt mais je l'attrapa par le bras.
-Je vous en prie! Laissez-moi tranquille! Me cria-t-elle d'une jolie voix malgré la peur dont elle était empreinte.
-Calmez-vous mademoiselle. Je ne vous veut aucun mâl. Quel est le problème?"
Mais avant qu'elle ai eue le temps de me répondre, je vit trois individus a la mine patibulaire se rapproché en courant. La situation n'avait pas besoins d'éclaircissement.
Je levai mon arme et appuya a trois reprise sur la détente, la première balle atteignit l'un des homme en pleine tête qui explosa sous l'impact, la deuxième se perdit dans la nature et la troisième fit éclaté le genou d'un des survivants. Le seul encore debout tenta de faire demi-tour mais fut ratrappé par un autre tir qui lui fit un trou gros comme une balle de golf dans la poitrine.
Je m'approchai du dernier homme vivant et braqua calmement mon arme encore fumante sur son visage.
Je lui dit d'une voix glacial:
-Ca te plait de violé les femmes?
-Va te faire foutre fils de pute!"
J'appuya fortement sur sa blessure au genou avec mon pied, il laissa échappé un cris de douleurs:
-Achève-moi enculés!
-Tu as raison, je n'ai plus de temps a perdre."
Je lui fit sauté la cervelle d'une balle et laissai cette scène macabre dèrrière-moi. Je retournai a mon véhicule sans trouvé de traçe de la jeune femme appeurée. Le chalet était maintenant ravagé par les flammes, une odeur de bois brulés se dégagait de se spectacle. Il était temps de partir. Je m'installai dèrrière le volant de ma BMW, la démarrai et quittai définitivement les lieux...
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Re: Folie vengeresse

Message par Biquette »

Ayé, j'ai pris le temps de lire et je suis définitivement fan :clea: :clea: :clea:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Jundow

Re: Folie vengeresse

Message par Jundow »

Bikette a écrit :Ayé, j'ai pris le temps de lire et je suis définitivement fan :clea: :clea: :clea:
Ravis que cela te plaise :)
Tu saurais me dire ce que tu apprécie dedans et ce que tu aime moins (histoire de voir ce que je dois améliorer).
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Re: Folie vengeresse

Message par Biquette »

En fait, c'est la trame de fond que j'aime beaucoup, l'histoire me plait vraiment beaucoup, la vengeance d'un homme qui a tout perdu toussa :)


Par contre, s'il y a une seule chose à améliorer, c'est la conjugaison des verbes, ça pique les yeux :sweat:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Jundow

Re: Folie vengeresse

Message par Jundow »

Bikette a écrit :En fait, c'est la trame de fond que j'aime beaucoup, l'histoire me plait vraiment beaucoup, la vengeance d'un homme qui a tout perdu toussa :)


Par contre, s'il y a une seule chose à améliorer, c'est la conjugaison des verbes, ça pique les yeux :sweat:
En effet, je ne suis plus très douer pour la conjugaison :lol:
Merci pour ton avis, je posterai la suite demain ;)
Jundow

Re: Folie vengeresse

Message par Jundow »

5: la recherche

Je passais le seuil de la porte de cette taverne nommée "le rustic". Une taverne comme tant d'autres où regnaient une odeur de cigarettes et d'alcool renversés. Les murs étaient décorés de lambris de bois qui avaient dû être beaux un jour, des carrelages usés par le temps faisaient figures de sol et le plafond, autrefois blanc, était jauni par la nicotine. Les tables et chaises étaient aussi en bois et aussi usées que tout le reste dans cet endroit.
Plusieurs paires d'yeux me fixèrent quand j'entrais. Il faut dire qu'il était rare que des types habillés en costumes impeccables comme moi viennent dans ce genre d'endroit.
Je me rendis au comptoir sans prêter attention aux visages patibulaires qui me regardaient.
Le barman, un homme d'une cinquantaine d'années un peu enrobé, qui n'avait plus de cheveux, dont le regard blasé se posa sur moi me demanda d'une voix indifferente:
-Qu'est ce que je vous sers?
-Un café s'il vous plait."
Une fois servi, je m'installais à l'une des tables libres et commençais a boire tranquillement mon café.
En fouillant sur internet, j'avait obtenu une photo d'Alberto Calvini, d'après les dires de Jac Delarue, il venait souvent dans cette taverne donc, je n'avait plus qu'à attendre qu'il se montre pour lui tomber dessus.
J'en étais à mon troisième café quand un homme vint s'installer à ma table. Il était de taille moyenne, de style maghrébin avec des yeux noir et vif, les cheveux courts et noirs aussi. Il engagea la conversation avec une voix mi-ironique, mi-menacante:
-Alors le bourge, on a perdu son chemin?
-Absolument pas, et vous? Que voulez-vous?-lui répondis je de ma voix la plus froide.
-Tu es chez moi ici, et je n'aime pas les mecs dans ton genre.
-Je ne comptais pas vous proposer un rencard.
-Tu fait le malin connard? Tu veut que je te montre ce que je fais aux tapettes dans ton genre?!
-Je ne cherche pas les ennuis, alors veuillez me laisser tranquille. Il y a surement d'autres personnes qui seraient ravies de se battre avec vous."
Mon ton froid et calme lui fit hésiter sur la conduite à tenir, en général, quand ce genre de mec profèrait des intimidations, la personne en face de lui montrait des signes de peur ou faisait preuve de violence. Mon attitude ne correspondait pas a ce qu'il attendait et cela le rendit méfiant. D'une voix plus calme mais malgré tout inquiètante, il demanda:
-Pourquoi un mec dans ton genre vient-il se perdre ici?
-On a plus le droit de venir boire un café tranquille?
-Me prend pas pour un con.
-Ecoutez, quoi que je vienne faire ici, ca ne vous regarde pas alors, allez jouer ailleurs je vous prie.
-Tu cherche Alberto?"
Sa question me surpris mais je n'en laissa rien paraître:
-Qu'est ce qui vous fait dire que je cherche quelqu'un?
-Un autre mec qui puait le fric est venu ici et a demandé après Alberto. Je me dit que tu es peut-être là pour la même raison.
-Et si c'était le cas, qu'est ce que ca pourrait bien te faire?
-Je pourrai te le trouver, en échange de quelques billets.
-Je vois, et qui me dit que tu ne cherches pas a m'emmener dans un traquenard?
-Si j'avais voulu te vider tes poches, j'aurai simplement attendu que tu quittes le café pour te sauter dessus.
-On m'a dit qu'Alberto venait souvent ici.
-"Venait", mais il ne traîne plus dans le coin depuis quelque temps.
-Et pourquoi ça?
-Il a essayé de me vendre de la camelote et je lui ai conseillé de ne plus venir traîner dans les parages."
Il avait l'air sincère, et puis au pire, je lui mettrai une balle entre les deux yeux si il essayait quoi que ce soit.
-C'est d'accord. Amène-moi a lui et je te récompenserai. Mais si tu m'as monté une embrouille, tu le regretteras.
-Du calme cousin, si tu payes, il n'y aura pas de problème."
Son ton était devenu amical mais je restai malgré tout sur mes gardes. Je réglais ma note auprès du bar-man et quittais la taverne accompagné de mon associé temporaire.
On marchait d'un pas tranquille dans les rues de Charleroi, l'homme a mes côtés avait l'air d'être bien connu dans le coins car beaucoup de personnes lui faisaient des signes amicaux ou lui disaient bonjour.
-Au fait, moi c'est Kharim.
-Appel-moi Mike.
-Ok Mike, tu vas me suivre, je vais aller poser quelques questions a plusieurs personnes, on devrait retrouver Alberto comme ça.
-Je croyais que tu savais ou il se trouvait...
-Je t'ai dit que je t'aiderai a le retrouver, pas que je connaissais son adresse. Ne t'inquiète pas, on va le trouver ton gars.
-Ok, je te suis.
-Que lui veut tu a ce mec?
-Ca kharim, c'est pas ton problème.
-Ok, peu importe."
Charleroi était une ville plutot sale, les batiments étaient gris et beaucoup d'entre-eux étaient a l'abandon, les rues étaient très abîmées aussi. Mais la ville avait malgré tout un certain charme avec son petit parc, une belle place avec des jet d'eaux au centre, les differentes statues a l'éfigie des héros de bande déssinée signée Dupuis et ses nombreux magasins.
Après dix minutes de marche, on arriva dans une petite rue de la ville-basse ou quelques prostituées faisaient le trottoirs. Kharim s'adressa a l'une d'elle, visiblement, ils se connaisaient bien:
-Salut Andréa!
-Salut Kharim.
-Tu as vu Alberto ces derniers temps?
-Justement, Val est occupée avec. Pourquoi, il te doit encore du fric?
-Non, j'ai un pote qui le cherche.
-C'est toi qui le cherche? -dit elle en s'adressant a moi.
-En effet, ou puis-je le trouver?
-Là il est au lit avec une de mes copines, si tu veux, je peux te faire patienter.
-Non merçi madame, je n'ai pas le temps pour ça. Dites-moi où il est je vous prie.
-Comme je te l'ai dit, il est au lit pour le moment.
-Certes, mais ou?
-Pourquoi? Tu veut participer?
-Je suis assez pressé, dites-le moi s'il vous plait.
-Il faudra attendre beau gosse."
Il était inutile d'insister, je décidai de prendre mon mal en patience.
Je me tourna vers Kharim et lui dit:
-Tient, voilà 200 euro pour ton aide. Si on te pose des questions, tu ne m'as jamais vu et tu ne sais pas comment je m'appel. Ok?
-Ok cousin, c'est cool de faire du business avec toi! Si tu as encore besoin d'aide, tu me trouveras au même endroit que tantôt.
-J'y penserai,merçi a toi et à la prochaine Kharim."
Il me repondit d'un clin d'oeil et repartit en marchant tranquillement.
Je m'adossais au mur et commençais a attendre.
Andréa se rapprocha de moi et me dit:
-Je ne sais pas ce que tu veux a Alberto mais si c'est une question de business, je te conseille de faire attention. C'est un véritable escroc et un malade en plus de ça.
-Malade? C'est à dire?
-Je l'ai déja eu comme client, il aime la violence pendant le sexe, il a même voulu utilisé le fouet sur moi mais je l'ai remballée. Ca l'a mit très en colère, il a tout retourné dans la pièce, m'a envoyé un coup de poing au visage et est reparti.
-Une belle ordure en somme...
-Comme tu dit."
A ces mots, la fin atroce de ma famille me revint en mémoire; les coups de fouets, les blessures au couteaux, les coups de pieds et tout ça pendant qu'ils les violaient...
Les larmes me montèrent aux yeux, mon coeur se serra et je me mit a pleurer en silence. J'avait assisté a tout ça et jamais ces images horribles ne me quitteraient, elles m'empêchaient de dormir et quand j'arrivais a trouver le sommeil, elles venaient hanter mes cauchemards. Les larmes redoublèrent et Andréa me demanda d'une voix ou l'on sentait la pitié:
-Qu'est ce que tu as?
-Cherchez pas à comprendre.
-Je peux faire quelque chose pour t'aider?
-Non. Tout ce qu'il me faut, c'est cette ordure d'Alberto!
-Que t'as-t-il fait?
-Posez pas de question."
Au bout de deux minutes, mes pleurent cessèrent et la haine avait repris le dessus, je me tourna vers Andréa et mon regard glacial lui fit peur.
-Ok, je ne dit plus rien..."
Soudain, Alberto apparut sur le seuil d'une porte accompagné d'une autre prostituée qui saignait de la bouche et avait un oeil au beurre noirs. Pas besoin de se demander qui lui avait fait.
Je me ressaisis et marcha vers lui...

6: suite direct de "la recherche"

Il était comme sur la photo: De taille moyenne, large d'épaules avec des muscles bien dessinés. Cheveux noirs rasés comme à l'armée, la barbe rasée de près, le teint bronzés, sa mâchoire carrée, ses yeux noirs très froids, sa marche droite et assurée trahissait ce qu'il était ou avait été : un militaire.
Ma première idée fût de lui sauté dessus et de le massacré à coup de pied jusqu'à ce que mort s'en suive. Mais, mort il ne me servirait à rien. Je décidai donc de le suivre discrètement pour voir où il allait, peut-être retrouverais-je les deux autres ordures impliqués dans la mort brutale de ma famille.
Je le suivis donc de loin sans pour autant le perdre de vue.Le ciel s'était assombris et la pluie se mit à tombés soudainement, mais peu m'importais. Je marchais d'un pas tranquille pour ne pas attirer l'attention tout en éssayant de ne pas trops m'éloignés de ma cible. Ses pas le menèrent d'abords au parc que j'avais entre aperçus en marchant avec Kharim, il s'arrêta près d'un homme de couleur noir qui l'acceuillis avec une certaine crainte dans le regards. Il engagèrent la conversation et le ton monta très vite entre les deux hommes. Je ne put comprendre leurs paroles étant trops loin pour ça mais Alberto avait l'air furieux. La conversation s'acheva quand celui-ci envoya un coup de poing au visages de l'autre homme qui tomba sous la force de l'attaque. Ensuite, Alberto lui plaça trois coup de pied rageur au niveau des côtes puis repartis comme si de rien n'était. Je me remis à le suivre en me disant que je devrais faire attention à lui, il ne faisait pas partie des mauviettes que j'avais rencontrés jusque là, c'était un dur et je devais restés sur mes gardes.
Il remonta une rue qui le menèrent à la place des jet d'eaux où il s'arrêta de nouveaux pour parler à une jeune femme blonde cette fois-ci. Je m'installais sur un banc à quelque mètres de lui en donnant l'air d'admiré la place. De nouveaux, Alberto fit preuve de violence et je du me contenir pour ne pas lui sauté dessus quand il gifla violemment cette femme qui le suppliai de se calmé. Il reprit sa route de son pas assurés et je me remit à le suivre discretement avec une certaine impatience. J'espèrais qu'il ne comptait pas faire le tour de la ville car plus longtemps il traînait dans la rue, plus j'avais de chance de me faire repèrés.
Heureusement, après dix longues minutes à parcourir les rues et ruelles sales de Charleroi, il entra dans un immeuble donc il avait la clef. J'attendis deux minutes puis m'y approcha, j'entrais dans un hall qui n'avait pas du être néttoyé depuis des lustres vu la crasse qui y reignait. J'étudiais les noms sur les sonnettes jusqu'à trouver celle que je cherchais, c'était bien ici qu'il vivait. Je sonnais à un autre appartement au hasard et attendit, au bout d'une minutes, une voix de femme visiblement âgée me répondit:
-Oui, qui est ce?
-J'habite au premier madame et j'ai oubliés mes clefs à l'intérieur. Pourriez-vous m'ouvrir je vous prie? Répondit-je poliment.
-Bien sur messieur, mais faite attention la prochaine fois.
-Je vous remercie madame, bonne journée à vous."
La porte s'ouvrit à mon grand plaisir et je me rendit au troisième étage à la porte d'Alberto. Je tournais la poignée et à mon grand étonnement, la porte s'ouvrit sans résistance. Je passait le seuil de la porte prudemment et me retrouvais dans un petit hall donc les murs blanc étaient décorés de médaille militaires. J'avancais en faisant le moins de bruits possibles, arrivés dans le salon, je vit Alberto qui me regardais en souriant. Je n'eu pas le temps de me posés des questions car un violent coup sur ma tête me fit tombés et je perdit connaissance...

Je revint peu à peu à moi, ma tête me faisait un mal de chien et je mis un certain temps à me rendre compte de ma situation. J'était attachés solidement à une chaise et un homme que je ne connaissait pas, probablement celui qui m'avait asommés, était assis sur une autre chaise devant moi. J'était dans une cuisine où la couleur blanche était partout, les meubles, les murs, le sol, tout était d'une blancheur impeccable et rien ne trainait. Je ne m'était pas trompés sur le fait que j'avais affaire à un soldat.
L'homme qui était devant moi était fort laid, son visage déja pas très gracieux était parsemés de cicatrice, de taille moyenne, il était aussi très maigre et son regard me fit comprendre qu'il ne devait pas être un tendre non plus.
Quand il remarqua que j'étais réveillés, il appella d'une voix forte Alberto qui nous rejoignit dans la cuisine. Celui-ci posa ses yeux où se mélangeait l'amusement et la colère sur moi et déclara:
-Tiens, voilà notre invités qui s'est réveillé. Bien dormis?
-J'ai connu mieux...
-Tu te croyais très discret hein? Je t'ais repèrés dès le début, tu n'es pas très doué pour l'infiltration."
J'avais maintenant repris tout mes esprits et le fixais froidement, je m'en voulais d'être tombés dans ce piège car j'aurais du me doutés que ce genre de mec était toujours sur ses gardes. Maintenant, j'était dans de sales draps, l'un des responsables que je recherchais était devant moi mais je ne pouvait rien faire, j'étais à sa merci...
Il s'installa sur une chaise façe à moi et me demanda de sa voix désagréable où pointait la colère:
-Maintenant, tu vas me dire qui tu es et pourquoi tu me cours après.
-...
-Tu vas me répondre ou tu risque de souffrir, je suis très doués pour infligés la souffrance."
A ces mots, je revis la douleur dans les yeux de ma femme et de ma fille alors que ce fumier et ses deux complices les violaient tout en les massacrants. Malgré mon état actuel, la colère et la haine prirent le dessus sur ma raison et je lui cracha avec hargne:
-Je sais que tu est doués pour ça fumiers! Dès que j'en aurai l'occasion, je te montrerai comment je traite les ordures de ton espèces!
-Oh! Une vengeance personnel si je comprends bien. Que me reproche tu?
-Tu le saura en temps voulus."
Il éclata d'un rire mauvais avant de me dire:
-Au cas où tu ne l'aurait pas compris, tu est attachés et donc, tu n'est pas en mesures de me faire quoi que ce soit."
Et il avait bien raison, pour le peu que je connaissais de lui, je savais qu'il n'avait aucune pitié et que mon sort était scellé. J'allais mourir ici et il balancerai mon cadavre dans à la flotte. J'avais échoués et ne pourais pas tenir la promesse faites à ma famille.
-Alors tocards, tu me dit qui tu es ou je doit te tabassé un peu pour te délier la langue?
-J'te pisse à la raie, fumiers!
-Ok, puisque tu insiste..."
Il m'envoya cinq coup de poing violent aux visages, je sentis ma lèvres éclatés et l'une de mes dents se déchaussa sous la puissance des coups. Le gout du sang emplis ma bouche mais pour toute réponses, je lui crachais au visages avec hargne. Il l'essuya et m'envoya un coup de pied magistral au niveaux des côtes, le souffle me manqua pendant une secondes ou deux qui me parut une éternité. Alberto avais l'air de prendre plaisir à ce petit jeu et me renvoya une série de coup de poings qui amochèrent un peu plus mon visages et me fit tournés la tête. Il me regarda, amusé, et reprit:
-Alors, tu me donne ton nom petite merde?
-Je m'appelle Mike Jundow...
-Te fout pas de ma geule, j'ai vu ta carte d'identité et étant doué pour en faire des fausses, je sais que la tienne est bidon! Alors, Quel est ta véritable identité?
-Je suis Jaime Patageule. Lui repondit-je avait un sourire forçés."
Il attrapa un couteau dans l'un de ses tiroirs et me le planta dans la jambe avec colère. Je hurla ma douleur et reçu un autre poing dans le visages pour ma peine.
-Tu vas arrêté de jouer au malin avec moi ou tu vas mourir!
-Peu m'importe, rien ne me retient en ce monde.
-Et je suppose que c'est graçe à moi?
-En effet...
-J'ai tué des gens auquels tu tenaient?
-C'est cela.
-Et je peut savoir qui sont-ils?
-Non.
-Tu veut aller les rejoindres?
-Pas encore, j'aurais aimer te le faire regrettés avant.
-Mais c'est ratés pauvre con, tu va parler, ou tu vas mourir. Que choisis tu?
-Tue-moi pauvre merde, je ne dirai rien de plus."
Il sortis un pistolet équipés d'un silencieux de sa veste et me plaça le canon entre les yeux.
-Tu est sur que tu ne vas plus rien me dire?
-Presse la détente fumiers!"
Il fit une moue de contrariétés et s'apprêtais à le faire quand ont frappa à sa porte énergiquement. Il rangea son arme et se dirigea vers le hall.
-Qui est ce?
-C'est Kharim, tu m'ouvres?"
Kharim? il m'avait dit qu'il ne connaissait pas l'adresse de cette ordure!
-Je suis un peu occupé là, repasse plus tard.
-Je doit te parler, c'est urgent.
-Quel est cette urgence?
-Il y a un mec qui te cherchait tantôt, il avait l'air de t'en vouloir énormément.
-Je sais, et en quoi cela te regarde-t-il?
-Je sais qui c'est, c'est important, crois-moi."
Je compris que je m'était fait avoir comme un bleu. C'en était finis de moi...
La porte s'ouvrit et quelque instant plus tard, les deux hommes se retrouvèrent devant moi.
-C'est bien lui. Déclara Kharim.
-Espece de merde!
-Allons Mike, il ne faut pas le prendre comme ça. Me dit-il."
Puis, à ma grande surprise, il attrapa une chaise et l'éclata sur le crâne d'Alberto qui s'écroula sans un mot. Le bruit l'ayant attirés, l'homme qui m'avait assomé se pointa dans la cuisine juste à temps pour encaissé un coup de genou dans le ventre qui le plia en deux. Kharim l'empoigna par les cheveux et lui écrasa le visage à plusieurs reprise contre le murs jusqu'a ce que l'autre tourne de l'oeil. Il le laissa tombé et se tourna vers moi:
-Alors terreur, je n'arrive pas à temps?
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Re: Folie vengeresse

Message par Biquette »

Haaannn, j'adore, j'adore j'adore :wee: :wee:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Folie vengeresse

Message par Biquette »

Y a pas de suite ? :modo:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Jundow

Re: Folie vengeresse

Message par Jundow »

Désolé bikette, je n'ai pas encore écris la suite; et vu qu'en ce moment, j'écrit surtout des poèmes, je ne sais pas pour quand sera la suite :??:
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Re: Folie vengeresse

Message par Biquette »

Ben y sont où les poèmes ?
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Jundow

Re: Folie vengeresse

Message par Jundow »

Bikette a écrit :Ben y sont où les poèmes ?
Je les poste sur un autre site; j'en ai poster quelque uns ici mais j'ai eu l'impression qui ne plaisaient pas beaucoups alors, j'ai arrêter.
Mais, si ça t'intéresse, je peut les poster ici dès que j'en écrit un.
Je tiens a prévenir que c'est rarement des poèmes joyeux; j'y décris des souvenirs ou je parle de chose qui me révoltent en général, même si certain poème sont plus joyeux.
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Re: Folie vengeresse

Message par Biquette »

Si tu veux bien en poster un ou deux ? :)
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Jundow

Re: Folie vengeresse

Message par Jundow »

Bikette a écrit :Si tu veux bien en poster un ou deux ? :)
Ok, je vais te faire ça ;)
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