C'était dans un service administratif que j'auditais, dans une province que je ne citerai pas.
Mon job, c'était de poser des questions, d'enquêter sur des processus réglementaires bien austères.
Je le faisais sans passion, mais j'aimais bien le contact avec les collègues.
Ce jour là, je m'interrogeais sur la gestion d'un improbable formulaire. Mon interlocutrice était une forte femme, la cinquantaine rayonnante, brune. Comme toujours dans ces cas, mes fonctions de bœuf-carottes entraînaient de la méfiance chez Mme Leroux. Je m'efforçais de détendre atmosphère avec des petites blagues innocentes. Ca ne marchait pas trop mal avec cette femme qui commençait à se décrisper un peu, tout en gardant le contrôle pour ne pas passer pour une fayotte devant les autres agents.
Mme Leroux n'était pas le genre de femme sur laquelle se retournent les hommes habituellement. Mais ses formes plus que généreuses, son décolleté ahurissant donnant un aperçu de ses énormes seins, ne me laissaient pas indifférent. Je devais trop loucher sur ses appâts, car elle tenta, sans succès, de remonter son encolure pour mieux cacher sa poitrine. Peine perdue Mme Leroux, j'étais excité. Très excité. Lorsqu'elle se levait, sa lourde et large croupe me donnait des pulsions de violente levrette. Je bandais à mort.
Et ce fut le drame. Il nous manquait des documents, qu'il fallait chercher aux archives.
Je suivis la forte femme au sous-sol, empruntant l'étroit et sombre escalier de service. La pièce était petite et assez mal éclairée. Nous étions seuls, dans un silence impressionnant. Elle s'accroupit pour chercher la boîte d'archives n°55-BZ-0002. Elle était à mes pieds, son visage à hauteur de ma virilité. Elle s'adressa à moi et put constater que j'avais les yeux rivés sur ses gros seins. Elle esquissa un sourire.
En se relevant, son bras frôla mon bassin et elle ne put pas ne pas sentir la grosseur dure de ma braguette prête à exploser. Quelque chose me dit, qu'elle le fit exprès.
Elle posa la boîte sur une étagère et en sortit les documents. J'étais derrière elle. Je n'avais qu'une envie : soulever sa jupe d'été et la prendre comme une chienne sans lui demander son avis. La baiser férocement.
Prendre son gros cul.
"Regardez, le tampon dateur est bien présent sur le formulaire. Regardez..."
Mais pour voir ledit formulaire, il fallait me presser contre elle.
"N'ayez pas peur, je ne vais pas vous manger..." dit-elle en se moquant de moi.
Je me collai donc contre elle. Elle s'appuyait sur l'étagère, dévoilant presque totalement sa colossale poitrine. Je regardais sans plus me cacher ses gros seins se soulever quand elle respirait. Je n'en pouvais plus.
"Ca ne va pas arranger vos affaires, ça..." fit-elle en désignant son décolleté.
Je protestai mollement de ma bonne foi. Mais je sentis ses doigts caresser la bosse sur ma braguette.
"Si tu crois que je n'ai pas senti ça..."
Je pris cette dernière phrase pour un feu vert. Je posai ma main sur ses volumineux nichons. Elle pressait doucement ma queue. Nos regards étaient intenses. Nous ne parlions pas. Je lui retirai son corsage. Ses seins étaient magnifiques, ses tétons bruns pressés sous une délicate dentelle grise. Mes deux mains pressaient ses seins, je lui otai son soutien-gorge, elle était félinnienne. Sublimement belle.
Je sortis ma queue de ma braguette avec difficulté, mon membre étant fortement rigidifié. Elle le saisit de ses gros doigts et me branla doucement. Nous nous roulâmes de vigoureuses galoches bien mouillées.
Je l'invitais à s'accroupir à nouveau, et lui collai ma verge dans la bouche.
Sous ses dehors peu glamour, Mme Leroux était une redoutable suceuse. Très douce, très intense. Elle connaissait sur le bout de la langue les zones préférées des membres masculins. Elle léchait, suçait avec une délicatesse que je ne soupçonnais pas. Elle passait ma bite entre ses globes humides de sueur et me branlait entre ses seins chauds. J'avais juste envie de lui jouir dans la face, voir mon sperme dégouliner sur ses énormes mamelles.
Mais elle se releva, me tourna le dos et s'appuya contre les rayonnages. Elle écarta ses jambes, l'invitation était claire. Je soulevais sa jupe et me plaquai contre elle. Ma verge dans ma main, j'écartai une pauvre culotte et trouvai son sillon moite et offert. Je lui mis tout mon membre d'un coup. Elle soupira.
Je l’attrapai par ses larges hanches et commençai un pilonnage bien senti.
Je sentais son corps lourd secoué par mes assauts. Elle retenait ses gémissements et ses cris pour ne pas attirer l'attention. Je la baisais comme une chienne. Elle cacha son visage dans ses bras.
Je me retirai et glissai ma verge entre ses fesses.
J'attendais un signe de refus. Mais rien ne vint, au contraire, elle écarta un peu plus ses jambes dodues.
Je présentai mon gland à l'orée de son trou du cul et m'y enfonçai lentement mais fermement. Dans l'étroitesse de son derrière, ma queue se faisait un divin chemin.
Je repris mes aller-retours, de plus en plus fort. Je la défonçai sans réserve. Elle prenait tout en se mordant les lèvres. Doucement, je lui disais qu'elle était une bonne salope. Je lui disais qu'elle prenait bien la queue, comme une belle femelle... Elle répondait des "oui" gémissants.
Elle avait joui deux fois. Je me répandis dans son derrière large.
Nous restâmes un long moment immobiles, ma verge au fond de ses fesses.
Puis, en silence, nous redevînmes de paisibles fonctionnaires.
Nous remontâmes au bureau et tentâmes de reprendre nos travaux.
C'était le début d'après-midi d'hier.
J'y retourne demain.
Madame Leroux
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Wakeford
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Wakeford