jeunesse

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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E7hyM5

jeunesse

Message par E7hyM5 »

Nouveau récit, peut être un peu trop ... osé? :timide: ..... j'espère qu'il a quand même sa place ici.





Il descendait du bus, somnolent, se promettant une fois de plus de se coucher plus tôt le soir même. Suivant le mouvement des personnes à ses côtés, il rejoignait l'enceinte du lycée puis attendrait patiemment la fin de journée. Avec un peu de chance, peut-être croiserait-il cette jeune fille qui depuis 3 mois nourrissait ses fantasmes de jeune adulte. Cette nuit encore il l'avait imaginée se caresser devant lui et s'était branlé en pensant à elle. Il faudrait qu'il pense à jeter tous les mouchoirs sales qu'il cache sous son lit, avant que sa mère ne se décide à venir faire du rangement dans son capharnaüm.

Que porterait-elle aujourd'hui? Encore un jean et une grande veste pour dissimuler sa silhouette? Ou bien laissera-t-elle enfin deviner une petite parcelle de peau, de ses jambes, de ses bras?
Le mois dernier, alors qu'il la fixait plus longtemps que d'habitude, leurs regards s'étaient croisés, et elle s'était immédiatement empourprée avant de se détourner. Depuis, elle semblait l'éviter, longeait les murs, sortait la dernière des salles de classes, y rentrait la première. Elle ne mangeait plus aussi souvent à la cafétéria et n'était jamais plus à l'arrêt de bus en fin de journée. Il regrettait presque d'avoir échanger ce regard. Pourtant ses yeux clairs avaient eux aussi alimentés ses fantasmes depuis ce jour. Il la voyait baisser les yeux sur lui, pendant qu'il s'agenouillait devant elle, soufflant sur sa fourrure de jeune fille, fourrant son nez entre ses cuisses pour découvrir l'odeur de son sexe, puis la léchant..... Ressasser ces envies n'était pas une idée très judicieuse, surtout en arrivant en cours! Il sentait son sexe enfler, serré dans son jean. Il fallait vite qu'il rejoigne sa salle de cours et s'assoit, pour cacher sa tumescence sous son bureau!

Les explications du prof d'éco ne parvenaient pas à son cerveau, malgré de réels efforts de sa part. Il se demandait où était cette fille en ce moment, et pourquoi elle l’obsédait tant. Les hormones? Ses grandes mains blanches? Son petit cul si tentant qu'elle dandinait malgré ses tentatives évidentes de discrétion? Ou ses longs cheveux roux où il serait si agréable d'enfoncer les doigts? Son voisin lui posa une question, ce qui coupa court à sa rêverie. Il enchaîna ainsi les différents cours de la matinée, comme dans un brouillard, comme chaque jour. Rien ne l’intéressait ici et si ses parents n'étaient pas derrière lui, le menaçant de lui couper les vivres, il laisserait tomber tout cela. Il aimerait partir, voyager loin. Rien ici ne le retenait. Son ami d'enfance et lui projetaient d'ailleurs de partir dés le bac en poche. Ils voulaient faire le tour de l’Europe, à moto. Bon, ni l'un ni l'autre n'avait de moto, ni même le permis, mais ça viendrait...Ils venaient justement d'en reparler pendant leur repas, et en sortant de la cafétéria, finissaient de se chamailler sur le parcours idéal, commencer par Amsterdam ou par Milan. Quand il la vit. Elle cherchait quelque chose dans son sac, à l'ombre d'un mur. Ses cheveux étaient encore lâchés aujourd'hui et ils la gênaient dans ses recherches car elle ne cessait de les remonter, mais ils retombaient encore et encore. Il s'était arrêter de marcher, de parler et immobile la fixait, comme hypnotisé. Son ami s'en rendit compte et le taquina, mais devant son absence de réaction, haussa les épaules et le laissa derrière lui, en lui criant «A ce soir!». Mais il ne l'entendit pas. Il la regardait toujours, se demandant comment l'aborder. Pendant qu'il réfléchissait, elle trouva ce qu'elle cherchait, un élastique avec lequel elle se fit une queue de cheval. Il vit alors sa nuque, blanche, laiteuse. Il s'imagina plaqué derrière elle, mordillant ce cou offert, frôlant ses tétons par dessus le fin tee-shirt qu'elle portait aujourd’hui, tirant sa queue de cheval en arrière pour avoir accès à sa gorge et instantanément sentit son membre durcir. Il avait chaud, sa bouche était sèche tout à coup, il ne pouvait détacher les yeux de la frêle silhouette de celle dont il ne connaissait même pas le nom. Elle se retourna alors et le regarda fixement comme si elle ressentait son désir puis s'engouffra dans le bâtiment derrière elle.

Il réalisa enfin qu'il était planté là depuis un petit moment, les joues certainement écarlates et toujours cette érection qui devenait presque douloureuse, engoncée dans son jean. Il décida de la suivre et entra à son tour dans le bâtiment. Il y avait peu de monde à cette heure, la majorité des étudiants étant soit à la cafétéria soit dans le parc pour profiter des premiers rayons de soleil avant de reprendre les cours. Il croisa deux petits groupes de filles riant, bavardant, mais elle n'était pas parmi elles. Il monta alors à l'étage et l'aperçut au bout du couloir, puis la vit rentrer dans une salle. Sans hésiter, il la suivit. En ouvrant à son tour la porte, il la trouva, seule, dans une petite pièce qui n'était en fait qu'un débarras. Des étagères, des cartons, une vieille chaise qui ne tenait plus debout et elle, au milieu, plantée devant lui, immobile, qui le fixait.

Il se mit à respirer plus rapidement, sentit son sexe enfler encore. Il s'approcha pour la toucher, mais elle ne le laissa pas faire. Sans le quitter du regard, elle se laissa tomber au sol devant lui, à genou, et en passant sa langue sur ses lèvres, tendit les mains vers lui. Elle caressa la bosse dont elle était responsable, puis fit sauter les bouton du jean, pour libérer la queue dressée. Il ne pouvait pas bouger, incapable de savoir s'il rêvait ou bien s'il allait vraiment se faire sucer par cette fille qui occupait ses pensées jour et nuit. Elle le regardait encore, effleurant doucement de ses doigts la verge offert. De lents aller-retour d'abord, puis empoignant fermement le membre, montrant son empressement, elle se pencha, le fixant toujours intensément, puis engouffra sa queue dans sa bouche. Il inspira violemment, s’agrippa à l'étagère la plus proche et ferma les yeux. Elle arrêta pour lui chuchoter: « Regarde moi!» Ce qu'il fit, plus exciter encore. Alors elle retourna à son occupation, léchant, suçant, aspirant avidement. Il empoigna alors ses cheveux, arracha l'élastique qui les retenaient, pour enfouir ses doigts dans la masse rousse. Il accompagnait de ses bras les mouvements de va et vient de sa tête, grognant en tentant de retarder au maximum l'explosion finale. Il tirait de plus en plus fort sur ses cheveux:

« Vas y! Suce moi! Suce ma bite! Oh putain! J'en peux plus.»

Il vit un éclair de satisfaction dans les yeux clairs. Puis lui remplit la bouche dans un cri. Elle aspira goulûment, puis se lécha les lèvres en lui souriant. Elle le regardait toujours, se leva et quitta la pièce, le laissant là, le sexe à l'air, les bras ballants, essayant de comprendre ce qui venait de se passer.

Il se rhabilla, attendit quelques instants pour reprendre ses esprits et quitta à son tour le débarras. Il rejoignit sa salle de cours. La journée passa sans qu'il ne la recroise. Et cette nuit là, lorsqu'il se branla en pensant à elle, il n'eut rien à imaginer, revivant une à une chaque seconde de cette rencontre improbable.

Plusieurs semaines durant, il espéra la revoir, mais en vain. Il retournait au fond du couloir, ouvrait la porte de la petite pièce, croisant les doigts pour qu'elle soit là devant lui, mais il ne trouvait qu'un balais posé contre la vieille chaise. Il continuait à se masturber le soir en pensant à elle, d'ailleurs comment aurait-il pu penser à une autre?

Ce n'est que quelques jours après les vacances de printemps qu'il l’entraperçut à l'entrée du lycée, avant de descendre du bus. Lorsqu'à son tour il arriva devant les grilles de l'établissement, elle n'était plus là. Il se dit alors qu'une fois de plus il avait imaginé sa présence. Cela devenait de plus en plus fréquent d'ailleurs. Il croyait la voir à la cafétéria, ou entrer dans une salle. Mais ce n'était jamais elle, tout au mieux, une fille lui ressemblant un peu. Puis au moment de rentrer en cours, il comprit que c'était vraiment elle. Elle était à l'autre bout du couloir, et attendait en le fixant. Il n'hésita pas, reculant pour laisser entrer les autres en cours. Il se dirigea vers elle, ayant bien vite choisit entre un cours de math et un nouveau moment avec elle! Quand il fut arrivée à sa hauteur, elle lui prit la main sans un mot et l’entraîna vers leur pièce. Une fois la porte refermée derrière eux, elle se plaqua contre lui, écrasant sa petite poitrine contre son torse et lui murmurant contre les lèvres avant de l'embrasser:

« Aujourd’hui tu vas me baiser!»

Elle retira son tee-shirt après avoir caresser son torse, puis ôta le sien. Elle prit ses mains pour les porter à sa poitrine, le forçant à écraser ses seins, gémit puis le laissa continuer pendant qu'elle s'attaquait à son jean. Il força alors le fin tissu qui retenait les tétons pour les libérer, puis les pinça et sourit en l'entendant gémir de plus belle. Elle prit alors brusquement en main sa queue dressée et la branla au même rythme que celui qu'il assénait à ses mamelons. Il lâcha ses derniers pour retrousser sa jupe et empoigner son cul, découvrant alors qu'elle n'avait pas de culotte. Il la poussa vers le seul mur libre de la pièce, se plaqua contre son corps et relevant une de ses cuisses, se fraya un passage jusqu'à son sexe humide. De ses doigts inexpérimentés, il caressa ses lèvres, son clitoris, savourant cette exploration, puis s'enfonça doucement en elle. Ses doigts la faisait geindre et elle se mit à bouger en cadence, allant à la rencontre de sa main. Elle avait toujours sa queue en main, accompagnant le mouvement. N'y tenant plus, il lui prit pour la glisser dans son vagin offert, et la pris part les poignets pour l'immobiliser en lui plaquant les mains au dessus de la tête. Il la pilonnait avec énergie, découvrant sa moiteur, sentant les mouvement de son bassin contre le sien. Il lui mordillait enfin la peau du cou, la léchait. Elle haletait près de son oreille puis d'une voix étouffée le supplia:

«Plus vite! Défonce moi la chatte!
-Tu voulais que je te baise, petite salope. Dis le moi encore!
-Oui, baises moi. Fais moi jouir avec ta grosse queue. Mmmm, je l'ai goûtée ta queue, elle est si bonne.»

En entendant ces mots, il su qu'il ne tiendrait guère plus longtemps et lui lâchant les mains, la prit par les hanches pour la soulever et s'enfoncer encore plus profondément en elle. Il la maintenait fermement tout en la collant au mur, accentuant ses coups de boutoir pour la faire jouir. Elle enfonça ses ongles dans son cuir chevelu en criant, puis reposa sa tête sur les larges épaules, se laissa aller pendant qu'il continuait ses rapides va et vient avant de jouir à son tour.
Au bout de quelques instants, il la reposa au sol et se retira, épuisé. Son sperme s'écoula sur les fines cuisses blanches. Elle lui sourit et l’essuyant avec les mains, porta ses doigts à sa bouche pour les lécher.

«J'adore ton jus.»

Il la regardait ébahi, se nettoyer ainsi puis redescendre sa jupe. Il se rhabilla lui aussi.

«Est-ce que je te reverrais?
-Non c'est fini. Tu m'as baisé.»

Elle l'embrassa et parti.

Il ne la revit jamais.
Biquette
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Re: jeunesse

Message par Biquette »

:groan: :gigi: :groan:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Ag7Wr5

Re: jeunesse

Message par Ag7Wr5 »

:ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: superbe :love: :love: :love:
E7hyM5

Re: jeunesse

Message par E7hyM5 »

Merci!

j'avais peur que ça soit un peu trop....
Biquette
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Re: jeunesse

Message par Biquette »

On est sur sexy récits Violette hein, y a rien de "trop" ;)

Et puis même si un jour, y avait un "trop", ben on trouverait une solution :)
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Ag7Wr5

Re: jeunesse

Message par Ag7Wr5 »

Plutôt que trop je dirais que je n en ai pas assez...
Des récits comme ceux la tu peux en écrire autant que tu veux
Oui je sais je suis insatiable ;)
Supprimé

Re: jeunesse

Message par Supprimé »

J'aurai pas dû lire :cry:
E7hyM5

Re: jeunesse

Message par E7hyM5 »

Oh ben Smum, je suis désolée, je voulais pas te mettre dans cet état là :/
c'est toujours Mr qui veut pas?
E7hyM5

Re: jeunesse

Message par E7hyM5 »

On est sur sexy récits Violette hein, y a rien de "trop" ;)

Et puis même si un jour, y avait un "trop", ben on trouverait une solution :)
Effectivement! mais ça c'est mon manque de confiance en moi.... ça va passer :modo:
Plutôt que trop je dirais que je n en ai pas assez...
Des récits comme ceux la tu peux en écrire autant que tu veux
Oui je sais je suis insatiable ;)
:jump: un jour j'en écrirais un spécial Philgood !! :sol:
Ag7Wr5

Re: jeunesse

Message par Ag7Wr5 »

Chic chic un spécial pour moi :p
cLEg6

Re: jeunesse

Message par cLEg6 »

Bon, je n'aurais pas à faire trop travailler mon imagination ce soir. :cingle:
LVb6gO8

Re: jeunesse

Message par LVb6gO8 »

Putain on veut la suite bordel :o :o :o
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