Luxure

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E7hyM5

Luxure

Message par E7hyM5 »

Plus que deux heures avant le week-end. Mégane ne cesse de regarder l'heure. Elle pense déjà à ce qu'elle va porter ce soir: sa nouvelle robe, achetée dans une friperie il y deux jours, ou son bustier à lacets avec une jupe? Ce dont elle était sûre, c'est qu'elle portera ses cuissardes, elle les aime tant. Ça y est, c'est l'heure. Elle échange son uniforme contre son jean slim, remet ses escarpins et file vers la sortie pour s'engouffrer dans le métro. En un petit quart d'heure, elle est devant chez elle, et monte rapidement jusqu'à son petit appartement. D'abord un bon bain, parfumé à la vanille, puis elle se rase consciencieusement aisselles, jambes et sexe. Elle veut être douce, toujours. Enfin elle vide sa penderie pour trouver les vêtements qu'elle portera. Finalement ce soir ce sera le bustier, avec sa jupe en cuir, trop courte, trop étroite, trop démodée, mais avec laquelle elle se sentait tellement elle-même! Rapidement elle avale un jus d'orange, un sandwich acheté sur le chemin du retour, puis voyant l'heure, elle s'habille et enfile enfin ses cuissardes. Voilà, elle est prête. Finis la comédie, la jeune femme discrète, bonne collègue, ponctuelle. Voici Mégane, la Mégane, provocante, sensuelle, aguichante. Encore le maquillage, soigné, comme toujours, et elle peut sortir. Mais où aller ce soir? Bar, Boite, ou simplement déambuler sans but? Non il a fait chaud aujourd'hui et c'est vendredi, les hommes veulent boire, alors direction un bar. Le SELENA, un nouveau bar dans le 3e qu'elle a vu il y trois semaines. Elle va enfin l'essayer.

Lorsqu'elle entre, il y a déjà du monde, mais surtout des filles. Les quelques hommes présents semblent là surtout pour se désaltérer rapidement avant de rentrer chez eux. Pas grave, elle attendra, il est encore tôt. Direction un tabouret de bar. Le barman lui tend sa consommation, avec un sourire entendu, il doit la prendre pour une professionnelle. Elle jubile. A chaque fois c'est la même chose, elle se fond parmi les putes, même allure, même comportement. Son opulente poitrine déborde de son bustier, ses bas résilles boudinent ses cuisses visibles entre la jupe et les cuissardes. Une fois elles ont été comparées à des saucissons dans leur filets, la chaire cherchant à s'échapper de leur carcan par chaque maille. Les mecs la trouvent vulgaire, mais elle aime ça. C'est ce qui les poussent à la brancher. Ils savent qu'elle ne les repoussera pas. Jamais. Alors ils peuvent la baiser, seul ou à plusieurs. Dehors, à genoux dans l'allée réservée aux poubelles, ou dans les chiottes, accrochée à la cuvette, la tête pratiquement dedans. Parfois ils veulent deux nanas en même tant, mais elle ne refuse pas, même si elle n'y trouve aucun intérêt. Elle veut être la seule à donner du plaisir, partager c'est pas son truc. Ce qu'elle aime c'est lire le désir dans leurs yeux avant, et la satisfaction après, avec une pointe de mépris pour cette traînée qui s'offre au premier venu. Qu'il soit gros ou maigre, petit ou grand, peu importe, elle les veut tous, elle veut leur bite, dans chaque orifice, il faut qu'ils la remplissent. Ce n'est que comme cela qu'elle existe.

Toute jeune déjà, elle allumait les puceaux au lycée,les dépucelaient rapidement dans la première pièce venue. Ils ne refusaient jamais, trop heureux de voir enfin une fille à poil et de pouvoir toucher. Et comme elle a toujours été bien foutu, elle sais qu'ils la regardait déjà avec envie. Y a que ses seins qui laissaient à désirer à l'époque, mais la chirurgie est passée par là. Passer d'un bonnet B à un bonnet D c’était son rêve, que les hommes puissent malaxer ses gros seins, enfouir leur visage ou leur queue dedans, se sentir encore plus désirer. Maintenant elle a le corps qu'elle voulait, son cul ferme et rebondi lui fait une superbe chute de rein, sa taille est restée fine grâce aux exercices physiques qu'elle s'impose. Il faut qu'elle soit parfaite pour que jamais un homme ne puisse glisser son regard sur elle sans s'y arrêter. Elle teint maintenant ses cheveux roux en un brun profond pour s'accorder à sa peau toujours bronzée qui lui coûte une fortune en UV. Bref tout son temps libre se résume en une seule chose, parfaire son apparence pour faire bander ses messieurs le soir dans les bars, et ne jamais passer une seule soirée seule. Le mieux c'est quand elle peut se faire baiser au moins trois fois le même soir. Et c'est bien ce qu'elle espère aujourd'hui.

Le bar commence à se remplir maintenant. Il est plus de vingt-trois heure, et ce soir un groupe de gamins d'à peine vingt ans sont dans un coin fêtant sûrement un anniversaire ou un examen. Il y a aussi quelques hommes solitaires encore en costume. Et celui près de l'entrée, beau gosse, sûrement la cinquantaine, en jean et tee-shirt. Il la fixe depuis un moment, en savourant son verre. Mégane le sent, il est pour elle. Même si elle n'est pas la seule à aguicher accoudée au bar, c'est elle qu'il regarde. La partie commence. Elle ne le regarde plus, le regard loin, pensif, et doucement croise et décroise ses jambes à plusieurs reprises, se dandine sur le tabouret, comme pour frotter sa chatte et son cul sur le simili cuir du tabouret. Puis elle balance négligemment son pied, tout en cherchant à attraper un glaçon dans son verre pour le lécher puis le sucer délicatement. A présent elle tortille une mèche de ses cheveux entre ses doigts en inclinant la tête sur le côté, pour offrir son cou à la vue de cet homme qui observe intensément la scène. Elle se penche dans sa direction pour toucher sa cheville à travers sa cuissarde, ce qui dévoile la profondeur de sa poitrine au spectateur attentif. Un regard furtif vers lui confirme qu'il ne la quitte pas du regard. Il est ferré. Encore quelques instants et il sera près d'elle.

Philippe est entré dans ce bar par hasard, pour boire un verre avant de rentrer à son hôtel. La journée a été longue, il a fait chaud, il fallait qu'il se change les idées avant d'aller se coucher. Demain à huit heures, il reprend le train pour rentrer enfin. Cette femme était là avant lui, accouder au bar, scrutant la salle à la recherche de quelque chose, de quelqu'un. Et depuis plusieurs minutes, il le sent, c'est vers lui qu'elle dirige son attention, c'est pour lui qu'elle bouge, qu'elle tortille ses cheveux et suce son glaçon. Elle va le rendre dingue. Ses vêtements la serrent tellement que tout son corps cherche à en sortir. C'est pire que si elle était nue. Philippe a envie de libéré ses chairs prisonnières, de les voir surgir hors de leur gaine de tissus. Sa peau halée doit être douce, et elle doit savoir bouger, à en juger par son déhanchement sur le tabouret. C'est sûrement une pro, en quête de client. Elle n'est pas très raffiner, plutôt vulgaire même. Seuls ses cheveux et son maquillage sont raffinés, le reste, vêtements et allure, confirme que c'est une pute. Que va-t-il faire ? L'ignorer, finir son verre et partir ? Rester la regarder puis craquer et claquer du fric avec une pute pour un moment éphémère ? C'est sûrement ce qu'il va faire. Il bande déjà, et serait bien trop frustrer de simplement se branler dans sa chambre en s'imaginant avec elle. Elle a dû le sentir car elle accentue sa gestuelle pour qu'il se décide. Pivotant légèrement vers lui, elle décroise de nouveau les jambes en les écartant légèrement. Il n'a pas vu si elle avait des sous-vêtements et d'un coup sa décision est prise. Il doit aller voir sous cette jupe. Elle lui sourit, elle sait. Alors il se lève et s'avance vers elle.

Ça y est, il est debout, Mégane savoure sa victoire, encore une queue pour elle. Pendant qu'il s'approche, elle réfléchit. Que va-t-il lui faire ? Voudra-t-il une pipe ou préférera-t-il la baiser ? Voudra-t-il son cul ? Elle mouille déjà en pensant à ses mains sur elle. Il a l'air soigné, sa démarche est souple. Sera-t-il doux ou violent ? Il est là face à elle.....


«Bonsoir. Puis-je vous offrir un verre mademoiselle ?
-Bonsoir. Merci mais j'ai déjà beaucoup bu ce soir, j'ai plutôt besoin de prendre l'air.
-Dans ce cas puis-je vous accompagner dehors ? Vous offrir une cigarette ?
-Merci, avec plaisir ;»

Mégane se lève, tirant négligemment sur le bas de sa jupe à l'avant, relevant un peu plus celle -ci à l'arrière. Philippe, derrière elle, peut alors apercevoir le haut de ses bas et un peu sa chair jusqu'alors dissimulé par le vieux cuir de la jupe. Il lui tarde de peloter ce cul qui se tortille sous son nez. Dois-t-il lui demander ses tarifs ? Qu'est-il prêt à dépenser pour ce corps encore jeune ? Arrivés dehors, Mégane se retourne vers lui en s'inclinant légèrement pour que les yeux masculins n'aient d'autre choix que de plonger dans son décolleté. Philippe a la gorge sèche et son entrejambe enflé. Il veut la toucher, elle le sait et passe sa langue sur ses lèvres puis mord négligemment sa lèvre inférieur en le regardant de manière suggestive. Puis elle passe une main sur un sein en le remontant comme pour le remette à sa place dans le bustier. Il ne peux regarder ailleurs. Elle s'approche.

«  Tu as besoin de compagnie ce soir ?
Oui.
T'as une voiture ?
Non. Mais mon hôtel est tout près.
Pas d’hôtel. Y'a une ruelle derrière.
Combien tu prends ?
….. rien, à part ton foutre !

Philippe bande à présent comme jamais. Cette nana veut juste de la baise. Elle pourrait se faire payer, et bien en plus avec un tel corps, mais elle veut seulement se faire sauter ! Il est bien décidé à en profiter. Il la suit alors dans la ruelle. Quand elle se retourne, il l'attire à lui en enserrant sa taille et lui pelote un sein avec sa main libre. Il est comme il l'imaginait. Volumineux et ferme, il déborde de sa main. En tirant sur le haut du bustier, il les libère tous les deux. Sans soutien-gorge, ils se retrouvent à l'air libre, les tétons pointant vers le ciel nocturne. Philippe se penche pour en prendre un entre les dents et le mordiller.

Mégane rejette sa tête en arrière pour savourer la délicieuse torture des dents de cet homme. Elle a aimé voir sa surprise quand il a compris qu'elle n'était pas une pute ! Elle sent contre son ventre la queue raidie de désir, les doigts qui s'enfoncent dans sa taille pour la presser contre l'entrejambe bombé confirme le désir de cet inconnu pour elle ! Il suce maintenant son téton, frotte son visage contre sa poitrine. Elle descend sa main jusqu'à son jean et caresse le sexe à travers le tissu. L'homme gémit, appuyant un peu plus contre sa main . Il lâche sa taille pour malaxer son cul à travers le cuir, puis remonte la jupe pour sentir enfin la peau douce des fesses sous ses doigts.

Pas de culotte, il le savait! Elle veut être prête rapidement la salope! Philippe pétrit ce cul ferme et chaud puis caresse la raie avant de l'écarter doucement pour la parcourir du doigt. Il rencontre enfin son petit trou qu'il effleure de la pulpe de son index. Elle se courbe sous cette caresse, comme pour se rapprocher encore du doigt explorateur. Il en introduit alors le bout et fait quelques va-et-vient avant de poursuivre son exploration, plus bas encore, vers cette chatte qu'il devine humide. Ses doigts glissent sur ce sexe moite, pincent les lèvres enflées et pénètrent l'orifice dilaté, faisant gémir la femme offerte. Elle est en train de libérer sa queue et la branle. Il veut qu'elle le suce, alors sortant rapidement ses doigts de sa chatte, il appuie fermement sur ses épaules pour la faire mettre à genoux.

Mégane obéit rapidement, ravie de goûter cette bite. A peine ses genoux ont ils touché le sol sale et humide de cette ruelle encombrée d'ordures, qu'elle enfourne le sexe de l'homme dans la bouche et le pompe vigoureusement, léchant et aspirant en rythme. Elle tourne sa langue autour du gland avant de l'engloutir de nouveau au fond de sa gorge. La respiration de l'homme s'accélère et ses hanches se balancent pour suivre le rythme de Mégane. Il lui tire alors les cheveux en arrière en la fixant dans les yeux, puis lui fait lâcher prise avant de lui pousser les épaules en arrière pour la déséquilibrer. Elle atterrit les fesses par terre nues sur le goudron, et il s'agenouille devant elle en lui écartant les jambes.

Philippe veut prolonger la rencontre, alors pour ne pas jouir dans la bouche de cette femme, il interrompt sa pipe pourtant délicieuse, et la force à se mettre à terre, les jambes écarter. Il veut lécher sa chatte et voir sa fente humide. Il s'agenouille alors à son tour, et s'approche de la vulve pour écarter les chaires et sentir l'odeur de cette putain qui ne veut pas d'autre paiement que le plaisir. Alors il va payer. Elle va jouir. Il commence à lécher doucement une lèvre, puis l'autre avant de les sucer. Puis sentant la réaction satisfaite de leur propriétaire, fait subir le même traitement au petit bouton enflé. Sa langue s'introduit ensuite dans le vagin et ressort rapidement pour pouvoir mieux y pénétrer. Après de nombreux va-et-vient, et sentant que la demoiselle apprécie, il remplace sa langue par trois doigts, pour retourner lécher le clitoris. Le bassin féminin commence à onduler sous ses caresses, alors Philippe sait qu'il est temps de la baiser. Se redressant vivement,il rapproche son bassin du sien et la pénètre enfin en lui tenant fermement les cuisses écartées. Il est plaqué contre elle, l’empêchant de bouger. Ses cheveux gisent contre un sac poubelle, et elle se laisse baiser comme une traînée.

Mégane sent enfin la bite de l'homme en elle. Elle sent qu'il a essayé d'être doux, au début, mais son désir était trop fort, son envie de la baiser a pris le dessus. Et maintenant il la pilonne à même le sol, poussant des grognements bestiaux à chaque coups de queue en elle. Il accélère le rythme, et elle reçoit ses coups de boutoirs avec plaisir, remplit de cette queue. De sa main libre elle essaie d'attendre son propre cul et y glisse un doigt. L'homme s'en apercevant se retire, la force à se retourner pour prendre sa chatte par derrière. Mégane se retrouve alors de nouveau à genoux, les mains au sol cette fois, de petits gravillons éraflant ses paumes, ses ongles manucurés griffant le bitume. Il la pénètre de nouveau vigoureusement puis glisse son index dans son anus déjà dilaté. Elle aime cette sensation d'avoir ses deux trous remplis. Mais reste la bouche de vide. Alors, en équilibre sur un bras, elle suce deux de ses propres doigts, pendant qu'elle se fait baiser la chatte et le cul par cet inconnu énergique. Elle aime être enculer même si ce n'est que par un doigt. La cadence s'accélère, elle sent le plaisir augmenter dans son ventre et jouit avant l'homme qui la pilonne toujours.

Philippe accélère le mouvement de son bassin avec l'envie de défoncer cette chatte, puis entendant la femme jouir sous lui, il se retire et remplace son doigt dans son cul par sa bite. Elle se retrouve serrée quelques instants mais l'anus se dilate rapidement et il peut reprendre ses va-et-vient. Il peut rarement sodomiser ses partenaires, alors là il en profite. Rapidement, se sentir à l'étroit augmente son excitation et il jouit à son tour bruyamment dans ce cul ferme. Se retirant, il voit son sperme dégouliner sur la chatte, à peine éclairée par un vieux lampadaire dans cette ruelle déserte. Il ne peut s’empêcher de remercier la femme pour cette baise salace et tardive.

« Tout le plaisir était pour moi. Tu sais te servir de tes attributs. J'envie ta femme.
C'est qu'un si beau cul, il faut l'honorer....

Après s'être rhabiller, ils se dirigent tous deux vers l'entrée du bar. D'un regard se saluent, et Philippe tourne les talons pour rejoindre son hôtel. Mégane regagne sa place au bar, espérant qu'un autre homme, ce soir, voudra la baiser, dans la ruelle ou ailleurs.
Ag7Wr5

Re: Luxure

Message par Ag7Wr5 »

Tu es décidément très douée
Et je fais comment maintenant pour passer mes envies hein ? ....
E7hyM5

Re: Luxure

Message par E7hyM5 »

Y apas Mme dans le coin? ;)
Ag7Wr5

Re: Luxure

Message par Ag7Wr5 »

Si et 3 petits monstres. ...
E7hyM5

Re: Luxure

Message par E7hyM5 »

ah oui!! forcément.... :lol:
Aspartam_
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Re: Luxure

Message par Aspartam_ »

Juste :cingle: :bave1:
"She looks like an angel, but she's all sin Now you're so pathetic, you're never gonna get it Here's the situation, she's your medication Like white lines on a mirror"
E7hyM5

Re: Luxure

Message par E7hyM5 »

:whistle:
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