Post apocalypse.

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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Farfa
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Post apocalypse.

Message par Farfa »

Bon j'essaye un autre style ... je sais pas si ça va vous plaire... :jap:

Les ruines de ce qui fut jadis Prague, baignaient dans un silence obituaire. Le soleil déclinait doucement, donnant au ciel une teinte rose orangée. Quelques nuages s’étiraient, venant couvrirent l’azur de leurs formes onirique passant du blancs cotonneux à un embrassement d’or cuivré.
Le Chaos régnait en maitre dans les avenues, rues... les immeubles éventrés laissaient voir de appartements sinistrés, des bureaux retournés, des corps déchiquetés qui s’agitaient doucement sous la caresse du vent. Mais les charognards eux, avaient festoyés de cette orgie de chairs.
Sur la tourelle d’un char calciné, un corbeau finissait de picorer les restes d’une cervelle cuite du pilote qui n’avait pas eut le temps de s’extraire de son blindé. Ses orbites noircies par le feu, regardait le bec s’enfoncer avec ferveur dans la boit crânienne et ressortir avec des bouts séchés grisâtre.
Mais malgré tout, quelques humains avaient survécus et se terraient dans les décombres, dans les caves ; beaucoup avaient fuit vers l’est avant que l’enfer s’abatte ici, eux ceux qui n’avaient pas voulut croire le Prophète étaient morts… Personnellement, j’avais survécu car le matin même du jour J, j’avais été affecté à la maintenance électrique d’un grand parking souterrain du nouveau centre commercial. Oh j’avais bien sentis des vibrations et entendu un léger grondement, mais ne me doutais pas de ce qui s’était passé en surface. Ma stupeur fut totale quand je vis le 3eme niveau effondré, bloquant tout accès à la surface sous des tonnes de béton. Je ne devais mon salut, qu’a un petit escalier de service qui débouchait directement dans la galerie commercial…qui était totalement dévasté.
« Viens ! les Skrulls vont pas tarder à se pointer.. Le jour baisse dangereusement… et je veux pas finir entre leurs mains…si tu voies ce que je veux dire. » me dit Tania.
Sa voix légèrement rocailleuse m’arracha à ma contemplation de ce paysage de désolation…, je remis mon M16 en bandoulière et la rejoint près du Van. Elle mesurait 1.65, brune cheveux court, avec des yeux couleur de jade. Elle portait un pantalon de camouflage militaire et un tee shirt noir, sous le quel pointait ses seins bien galbés. Du haut de ses 25 ans, elle avait un corps sculpté, du au sport qu’elle pratiquait. « Courir et la gym, c’est ma drogue » m’avait elle confié. Moi c’était la baiser ma drogue. Oh nous nous connaissions pas avant le chaos ; nous nous étions rencontrés au hasard d’une rue, alors qu’elle ramassait des munitions abandonnées par l’armée… depuis nous étions les meilleures amies du monde et accessoirement nous baisions ensemble … juste pour déstresser.
Je contournais le véhicule, et ouvrit la porte afin de me hisser derrière le volant. Le Van avait été aménagé par Jorko, un mécano gras comme un cochon et à qui je ne confirai même pas ma propre pisse. C’était un immonde salopard, mais question mécanique, il était le meilleur. Il savait réparer et faire rouler tout ce qui avait un moteur. Un soir, dans notre plaque, il avait essayé de se faire Tania… pensant que son 1.76m et ses 98kg lui donnerait l’avantage… sauf que ce fut lui qui beugla le premier quand elle tenta de lui trancher les couilles avec son couteau de chasse.
Le trajet fut rapide jusqu’aux abords de Prague. Nous bifurquâmes vers la Nieztlechtic station, puis, le van cahota sur la petite route qui menait vers l’arrière de la gare de triage, vers le bâtiment de maintenance. « Le furet » nous ouvrit la porte coulissante pour que nous puissions nous garer à l’intérieur, et la referma une fois fait. Lui c’était plutôt l’opposé de Jorko, grand mince, blond, les yeux gris délaver, venant des Balkans… dont personne ne savait rien... si ce n’était que ce fils de pute était zoophile ! Grand bien lui fasse ! « Qu’il nique ses chèvres, du moment qu’il ne touche pas à Tania. » Bon accessoirement, il faisait aussi la bouffe et s’occupait de la cb et du générateur.
Apres avoir mangé et prit une « douche », je filais dans la pièce qui servait de chambre à Tania et moi, et me glissais nu sous la couverture en prenant le soin de planquer mon firestar entre le matelas et le mur, recouvert par l’oreiller. Un bruit d’eau me fit comprendre que la miss était sous la douche. Ma main droite fila sous la couverture et choppa mon sexe qui reposait tranquillement. J’attrapais le gland entre le majeur, l’index et le pouce et commençais à le secouer. Quelques instants plus tard, ma queue était raide et bien tendu… quand la porte s’ouvrit pour laisser entrer Tania, emmitouflé dans un peignoir de bain marron, les cheveux mouillés…
« Putain, tu pourrais m’attendre pour te branler ! Vous êtes vraiment des égoïstes les « frenchies » » me balança t elle en fermant la porte d’un coup de pied.
Je la regardai d’un œil amusé, tout en continuant doucement mon va et vient… Elle ne s’embarrassa pas de bienséance, et vira littéralement la couverture qui me recouvrait. Elle vira son peignoir et s’allongea en travers du lit, posant ses lèvres sur mes couilles. D’un geste un peu sec, elle vira mes mains et sa bouche avala ma bite dressée à l’extrême. Sa langue jouait merveilleusement sur mon gland gonflé de désir. Sa main droite chopa mes testicules et les malaxa fermement. Elle savait que j’adorai ce type de pipe… Je fermais les yeux et laissais l’experte faire. Elle alternait à merveille la pipe et la branlette, léchait divinement chaque cm de peau qui recouvrait mon service trois pièces. Encore 5 mn de ce traitement et j’étais sur de lui exploser à la gueule…ou dans la bouche au choix.
Elle du le sentir car elle s’arrêta et tourna sa tête vers moi.
« Toi me bouffer le cul sinon moi te castrer » me dit-elle en exagérant l’accent slave.
Avant que je n’eu le temps de répondre, elle me chevaucha rapidement, dans un impeccable 69. La vision idyllique qui s’offrait à moi aurait fait triquer un mort ! Ses fesses fermes, rondes qu’elle écartait volontairement, laissait apparaitre son anus exempt de toute pilosité (comme sa chatte dailleurs). Mon visage se plaqua entre ses deux vallées et ma langue vint chatouiller son petit trou offert. Puis je la poussais à l’intérieur, goutant ses fragrances, la douceur de cette peau, pendant qu’un doigt espiègle jouait avec sa fente. La salope…. Elle ne faisait plus rien, elle se laissait faire.
Je descendis ma bouche et léchait ses lèvres délicatement avant de les entrouvrir, et de m’attaquer au nacre rosé, luisant d’humidité. Par provocation, et surtout par plaisir, j’enfonçais la 1ere phalange de mon doigt dans son anus. Je la senti se contracter légèrement… Mais elle ne me repoussa pas ; un branlage de l’œil de bronze débuta donc pendant que ma bouche vorace se régalait de son clito. La mouille commençait à envahir sérieusement mon visage, avec cette odeur enivrante qui me rappelait celle d’une branche de pommier cassée. Elle rampa sur mes jambes, puis se mit en position de levrette, m’offrant un des deux accès ... à ma guise !
Je me mis à genoux derrière elle et frotta mon sexe contre ses fesses, puis le guida doucement vers l’entrée maintenant détrempé de sa chatte ; je poussai légèrement, et la pénétra dans un soupir de bien être. Ma main droite s’abattit sur sa croupe tendue, laissant une empreinte rosée. Elle se contracta.
« Tu vas bouger un peu ? Ou il faut que je te pilonne comme un mortier de 80 ? » lui demandais je.
Un souffle roque étranger à nos ébats, filtrait de derrière la porte.
« Jorko, enfant de putain ! Va te branler ailleurs !! Et dégage ton œil porcin de ce trou de serrure si tu ne veux pas que je te colle une bastos ! »braillais je tout en continuant à dessouder la donzelle.
L’énervement m’avait fait accélérer le mouvement et donner des coups de reins plus profonds et plus fort… si je continuais à taper dur, je m’attendais à voir mon gland ressortir par sa bouche. Un grognement animal et le pas lourdot qui s’éloigne me fit comprendre que Jorko n’avait pas prit mes menaces à la légères. Elle appréciait en attendant et à en croire ses râles qui montaient crescendo.
Je sentais le torrent de feu me monter des reins doucement… Mon index était entièrement enfoncé dans son cul, pendant que mon majeur tentait de si introduire aussi… ce qu’il fit superbement ! Je m’arrêtais un temps ; juste le temps de la branler analement. J’écartais son trou du mieux que je pouvais… « Vas y » me lâcha t elle, prête à jouir.
Ma bite quitta sa chatte inondée et poussa délicatement dans son cul. Putain qu’il est serré ce trou de balle ! Mais c’est que du bonheur. Je repris donc ma chevauché fantastique, mes couilles tapant allégrement contre son cul… Oh putain… je sentais que si je donnais encore trois quatre coups de reins, j’allais lui remplir la mine !!!Je poussais à fond, lui arrachant de petits cris. Elle se branlait furieusement de son coté ; avait elle l’intention de jouir en même temps que moi ???
« SKRULLS SUR ZONEEEEEEEEEE » beugla « le furet » au moment ou j’éclatais, inondant sa fabrique à Suchard de ma crème pâtissière.
« Putain de bordel de merde !!! Ils ont décidés de faire chier ce soir ou quoi »m’exclamais je.
Je ne su jamais si ce fut ma jouissance ou l’intrusion du Skrull qui déclencha son orgasme, mais elle enfonça ses doigts profondément en elle et se raidit, comme si elle prenait une décharge électrique. J’eu juste le temps de me dégager avant que ma queue se fasse broyer dans l’étau de son cul.
Je me levais rapidement, prit mon firestar, et fonça dans la salle de bain, enfin ce qui faisait office de salle de bain, pour nettoyer vite fait le matos. Puis je m’habillais rapidos et enfilais mes rangers.
« Le Skrull se rapproche du bâtiment… mais là, il … dévore un chat ?! Pas d’autre en vue » avertit « Le furet » le nez devant l’écran de contrôle des cameras de surveillances.
J’attrapais mon M16, enleva la sécurité, et armait ce dernier. Je déverrouillais la porte et l’ouvrit doucement. Dehors, la nuit était tombée depuis 2 heures environs. Seul l’éclairage extérieur du bâtiment diffusait une lumière jaune orangé. Je sortis doucement, sans bruit… Je le vis, à 15metres environ, agenouillé et penché vers le sol. Un bruit de sucions et de chaires qui se déchirent arrivèrent jusqu’à mes oreilles. Sa peau blafarde et tachée de crasse suintait une espèce de mucus huileux et nauséabond. Son crane ne portait que les vestiges de ce que l’on aurait pu appeler « des cheveux », d’une couleur gris sale. Il devait mesurer dans les 1.60m à tout casser… Mais le vent, aussi léger soit il, soufflait vers lui... et mon odeur me trahi. Il tourna lentement sa tête hideuse. Ses yeux entièrement noirs me fixèrent cruellement, ne voyant en moi, qu’un repas amélioré. La Particularité des Skrulls résidait aussi dans le faite qu’il n’avait pas de nez. Juste deux fosses nasales d’où s’écoulait un liquide sombre et visqueux. Sa bouche barbouillée de sang, s’ouvrit pour laisser sortir un cri strident, que filtraient des crocs jaunis et noirâtres. Je levais doucement mon M16 au niveau de mon visage et le mit en joue dans ma ligne de mire. Il sifflait, comme une vipère pris au piège. Mon doigt bascula le sélecteur en mode coup par coup. Sa langue léchait avidement ses lèvres quasi inexistantes pour se délecter des dernières gouttes de sang.
Mon doigt pressa la gâchette, le coup claqua, le Skrull s’effondra face contre terre. L’arrière de son crane s’était volatilisé. Déjà une mare noire se formait sous son corps. L’avantage avec les balles doum doum, c’est que ça vous fait un trou de la taille d’une pièce de 20 cts quand ça rentre et la taille d’une pizza senior quand sa ressort.
Je réenclenchais la sécurité de mon arme et rentrai, prenant le soin de verrouiller la porte derrière moi.
« Skrull explosé » dis-je simplement au « furet ».
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cLEg6

Re: Post apocalypse.

Message par cLEg6 »

Pas du tout la même trame que le récit que tu m'avais consacré, néanmoins je te découvre dans un autre style et je m'avoue extrêmement conquise. Purement envoûtant. :love:
Farfa
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Re: Post apocalypse.

Message par Farfa »

Merci ma Luciole :) :)
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Supprimé

Re: Post apocalypse.

Message par Supprimé »

Ben moi j'aime :bounce:
BjEd9a7

Re: Post apocalypse.

Message par BjEd9a7 »

mes deux univers favoris reunis, la sf et l'erotisme, suis etooné de la qualité cest tres bon.
felicitations farfa.
Biquette
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Re: Post apocalypse.

Message par Biquette »

farfa a écrit :Bon j'essaye un autre style ... je sais pas si ça va vous plaire... :jap:
J'avoue que quand j'ai vu cet énorme pâté la première fois, j'ai pas eu envie de le lire..Mais je viens de le faire là et...J'A-DO-RE :cingle: :cingle:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Post apocalypse.

Message par Farfa »

Merci à tous :)
(désolé pour la longueur ma Bikette, mais je comprend que cela ne donne pas envie de ce lancer dans la lecture ;) :d )
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Re: Post apocalypse.

Message par Farfa »

J'avoue avoir repris plaisir à écrire, grace à vous :)
Souhaitez vous une suite à cette histoire? un autre chapitre quoi?
:)
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Re: Post apocalypse.

Message par Biquette »

Ah ben voui alors :clea: :clea: :clea:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
BjEd9a7

Re: Post apocalypse.

Message par BjEd9a7 »

je veux bien la suite aussi.
Supprimé

Re: Post apocalypse.

Message par Supprimé »

:cecyls: oui ça veut dire :o
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Re: Post apocalypse.

Message par Farfa »

heu j'ai fais une suite mais j'ai oublié de mettre du sexe dedans... je poste ici?
(attention gros pavé...)
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Re: Post apocalypse.

Message par Biquette »

Oui poste Farfou ;)
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Re: Post apocalypse.

Message par Farfa »

Ca va etre un putain de pavé je pense... je rajoute un peu de hot pour la fin et je poste :D
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Re: Post apocalypse.

Message par Farfa »

bon courage :bik:

Suite Post Apocalypse.

La matinée était fraiche en ce lundi de début juin. Je m’étais réveillé avec une gueule de bois comme cela arrive quand on abuse de la vodka frelatée… La nuit avait été calme et sans incident, ce qui m’avait permis de perfectionner mon endurance alcoolique, face à Jorko qui lui… puait la vodka par tout les pores de la peau. Mais ce fils de pute, aussi ivre soit il, avait réussit à me coucher.
Tania, avait quand à elle, passée sa soirée à nettoyer et huiler nos flingues, inventorier le stock de munitions, et réapprovisionner le van en médocs et armes. Un vrai bunker sur roue ! Jorko l’avait préparé en gonflant le moteur, renforcé les essieux, ajouté des tôles de 2cm pour du blindage…. Et il prévoyait d’installer une tourelle équipée d’une 12.7 si je lui en dégotais une lors de nos virées. Notre véhicule allait finir par ressembler plus à un panzer qu’à un Van.

Le « Furet » avait préparé le petit dej, soit un jus de chaussette dégueulasse au possible qu’il osait appeler « café » et des œufs brouillés avec une tranche de jambon. Je pris du paracetamol afin de combattre le troupeau de bisons qui galopaient joyeusement dans mon crâne.
« T’as débranché les alarmes ? » marmonnais-je au Furet d’une voix pâteuse.
« Ouais. Tout a été calme cette nuit. Faudrait que vous alliez chercher de la bouffe, car on commence à taper dans les fonds de bacs. » me répondit il en me fixant de ses yeux gris délavés.
J’opinais du chef, et attaquais mon assiette avec entrain. Une fois fait je partis faire un brin de toilette, histoire d’effacer toute trace d’une nuit d’ivresse. Je m’habillais et mis mon firestar équipé de munitions « Spéciale » dans le holster.
« Tania ! On va faire les courses. Départ dans 5 mn. » gueulais je en finissant de mettre mes rangers.
Elle m’attendait déjà dans le Van, et fus satisfait de voir qu’elle avait remit du gaz oil pour que nous soyons toujours opérationnel. Le Furet déverrouilla la porte coulissante et l’ouvrit.

Je mis le contact et le moteur ronronna. J’allumais notre CB et pris le micro :
« Test » dis-je simplement. Le Furet leva son pouce pour me signifier que cela fonctionnait bien. Nous avions choisit le canal 32 en 3fois inf. Peu de risque que quelqu’un nous écoutes, surtout à cette fréquence.
« C’est parti. » dis je en démarrant. Nous quittions la gare de triage pour rejoindre le centre de Prague. La ville était meurtrie, certain monuments avaient soufferts, d’autre complètement rasés, comme la vieille synagogue du quartier Juif, ou la tour Poudrière. Par contre, le pont Charles, véritable ouvrage d’art baroque qui enjambe la Vltava, était resté intacte, comme protégé par un bouclier géant et invisible… Pour le reste, les façades des bâtiments portaient les stigmates de combats acharnés.
« Tu optes pour le Palladium ou Nový Smíchov ? » lui demandais je tout en reluquant sa paire de nichons qui appelaient à des caresses enivrantes.
« Le Palladium est infesté et sans lumière… ce qui est risqué. Donc option N°2 ; Et puis on en est plus proche. » répondit elle, les yeux rivés vers le ciel.

Arrivé sur place, je coupais le moteur, prit mon M16 et descendit. Je n’avais pas encore fermé la porte que la CB grésilla :
« Furet pour Van, vous m’entendez ? ».
Je pris le micro et répondis : « Van pour Furet, qu’est ce qui se passe ? »
« Je viens de recevoir un appel de détresse sur l’autre poste. Une certaine Saskia, infirmière à l’hôpital Na Bulovce. Des Skrulls auraient pénétrés le bâtiment cette nuit et tués les deux gardes. Vous pouvez allez voir ? »
Et merde… adios le lèche-vitrine. Tania acquiesça et se réinstalla sur le siège passager.
« Ok.. on va voir ce qui se trame là bas…On y sera dans ½ heure… » lui répondis je .
Je démarrai en trombe et me dirigeais vers le pont Jiràskùv pour rejoindre la Wilsanova. Etrangement, ce grand axe routier était assez dégagé, pratiquement sans encombre, malgré des carcasses de voitures, camions, chars qui jonchaient les bords de la route. Ce qui me permettait de rouler à 150km/h.
L’hôpital était situé au nord est de la ville, dans une partie boisée .… Un endroit charmant avant l’apocalypse, où les maisons bourgeoises d’un lotissement cossue ce disputaient aux jardins fleuries ornés de piscines.
« On est arrivé. Préviens-les. Ils sont ou ? » demandais-je au Furet par CB
« Ok. Ils sont refugiés dans le bloc opératoire au 2eme étage. Soyez prudents. »
Un hélico calciné et éventré gisait derrière l’hôpital sur sa piste d’envole. Il n’avait pas eu le temps de prendre l’air visiblement. Des occupants, ne restait que leurs casques noircis et des chaussures.
Tania passa à l’arrière du Van et prit de quoi nous équiper. Elle me balança une ceinture de chargeurs, un gilet de combat portant deux grenades classiques et une incendiaire au phosphore blanc. Je dû ôter mon holster d’épaule et mettre mon Firestar dans mon étui de ceinture, ainsi que les chargeurs de rechanges. Elle portait la même chose que moi sauf qu’elle préférait le RiotGun au M16… et s’en servait divinement bien.

Le bâtiment était plongé dans une semi pénombre, les vitres avaient volées en éclats et un silence de mort régnait à l’intérieur. Nos pas crissaient sous les morceaux de verres, malgré les précautions que nous prenions. Le hall d’accueil ne craignait rien car les rayons du soleil éclairaient l’endroit. Le mobilier étaient renversé, des traces de bagarres, des flaques de sang séché…
« Escalier. » dis-je tout bas à Tania.
Nous nous engageâmes doucement, armes pointées vers le haut, les yeux scrutant chaque cm de béton, au fur et à mesure que nous montions. *2eme étage* : bloc chirurgie cardiaque / soins intensifs / réanimation.
Je poussais doucement la porte d’accès pour découvrir un couloir plongé dans l’obscurité. Une odeur fétide me fit comprendre que nous avions un comité d’accueil… Super. Je hochais la tête en direction de Tania qui comprit de suite ce que cela voulait dire. La fête allait commencer.
A l’entrée d’une chambre, un homme éventré fixait le plafond en cherchant de ses yeux morts une aide divine. Ses intestins trainaient sur le sol, son foie dévoré à 80% reposait sur le coté de sa cage thoracique. Nous progressions lentement, éclairant de nos lampes torches tous les recoins possibles.
Quelque chose bougea dans le coin droit. Nous nous figeâmes, tendu comme un string taille 38 sur une dame faisant du 42… Un sifflement caractéristique nous parvint, puis soudainement, une masse blafarde hurlante, toutes griffes sorties, bondie dans notre direction, comme un chat saute sur sa proie. Mais avant que la chose ne soit parvenue au zénith de sa courbe, Tania avait tiré, explosant la tête du Skrull, en une myriade de confettis de bouts de cervelle et de chairs. La détonation assourdissante avait empêché d’entendre le bruit sourd et mat du corps tombant à terre. Un torrent de sang noir s’écoulait librement. Mes tympans bourdonnaient joyeusement. Putain va falloir un moment avant que tout redevienne normal question audition ! Le problème, c’est que les Skrulls eux n’attendent pas que vous soyez d’attaque pour vous bouffer. Du bout de sa ranger, Tania tata la chose inerte pour s’assurer qu’elle était vraiment morte. Difficile de vivre avec la tête en moins, éparpillée sur les murs…. Nous continuons d’avancer, prudemment. Remarquez, avec le barouffe que l’on venait de faire, c’était grillé pour l’approche en douceur..Pourquoi la tête d’une sexagénaire, ornait elle un pied à perfusion ? Drôle de déco… D’autant plus qu’il lui manquait un morceau de joue…

Là, sur ma gauche, tapis dans en une pièce qui servait à stoker les draps et chemise de nuit, un autre Skrull finissait de dévorer le cœur de ce qui fût avant un docteur, à la vue de sa blouse rougit de son propre sang. Ses lunettes rondes brisées, barraient son visage sanguinolant, dont les yeux avaient été arraché et probablement manger.
Trop absorbé à se repaitre de sa victime, le monstre ne me vit pas. Epauler, viser.. tirer. Une balle, une tête en moins. Explosée comme un fruit trop mure qui tomberait du 7eme étage.
Des voix se firent alors entendre : « C’est vous ??? C’est Saskia !!! Répondez-moi ! »
« Oui c’est nous. Ouvrez nous ! » gueulais je à travers les épaisses portes du bloc.
Un bruit de serrure, puis la porte s’ouvrit et nous nous engouffrions dans une salle éclairée par un générateur de secours. Nous clignâmes des yeux, afin de nous réhabituer à la lumière.
Deux hommes étaient là, un rondouillard d’une cinquantaine d’année, le crane dégarnit sur le dessus, le visage quelconque, dont le badge indiquait qu’il était anesthésiste et un plus jeune, cheveux coupé ras, une montagne de muscles qui lui était aide soignant. Je détaillais enfin Saskia, blonde, des yeux marron rougis par les larmes ou le manque de sommeil, et des seins comme des melons ! Plutôt bien gaulé. Elle portait le pyjama vert, ce qui ne la mettait pas à son avantage… mais sans ça, elle était bandante. Tania du penser la même chose, car elle me décrocha un petit sourire un coin. (Vous aie je déjà dis qu’elle était bi à ses heures perdues ?). Elle l’a trouvait aussi à son gout visiblement.
Une fois les présentations faite, nous tentions d’élaborer un plan de sortie pour fuir cet hôpital, mais le brouhaha qui nous parvenait du couloir, me fit dire qu’au moins une dizaine de Skrulls nous attendaient de pied ferme.
« Y a-t-il d’autre personnes vivantes ici ? » demandais-je aux trois intéressés.
« Non, nous sommes les derniers. Les autres sont partis il y a deux jours. Malheureusement, il reste ce vieux monsieur là, et il est intransportable… Nous avions deux gardes avec nous… mais… » la phrase de Saskia mourut dans un souffle… n’osant prononcer le sort funeste qui leur étaient arrivé.
Je regardai la table d’opération ou le patient reposait dessus… sa poitrine montait et descendait au rythme d’une machine.
« Il est dans le coma profond… irréversible » me dit Jorgen, l’aide soignant.
« Y a-t-il une autre sortie ? »demandais-je en étudiant la salle du sol au plafond.
« Il y a le vestiaire là, à coté, qui lui donne sur le couloir. »me dit Andreï en désignant du doigt une porte dans le fond de la salle.
« Ok. Prenez vos affaires, et des médicaments, instruments.. et mettez vous dans le vestiaire. »ordonnais je.
Les trois me regardèrent surpris, sauf Tania qui pensait avoir comprit .Elle les embarqua dans la pièce voisine après qu’ils eurent récupérer ce qu’ils pouvaient et me fit signe.
Je m’approchais de la table d’opération et me penchais vers le monsieur :
« Désolé grand-père… Je vais vous libérer de votre prison de chair. Grace à vous, cinq vies vont être sauvées. Reposez en paix. » chuchotais je à son oreille.

Je me dirigeais vers la porte, allumais ma torche et coupais la lumière du bloc. Puis, prenant une inspiration, mon M16 en main, je déverrouillai la porte. Derrière celle-ci, j’entendais les respirations sifflantes, les griffent cliquetant sur le sol. Sans perdre de temps je courus rejoindre les autres dans le vestiaire en prenant le soin de bloquer la porte avec un casier métallique. Puis nous entendîmes les Skrulls s’engouffrer dans le bloc opératoire en hurlant de leurs cris aigus. Avec d’infimes précautions, j’entrouvris la porte du vestiaire et jetais un coup d’œil dans le couloir. La voie est libre. J’ordonnai à tous de se mettre à terre et de se boucher les oreilles.
Je sortie prudemment et m’approchais du bloc. Comme prévu, ils étaient tous sur la table, une douzaine, à se disputer le corps sans vie du papi… je dégoupillais ma grenade et la lançait dans la salle. Je refermais précipitamment la porte, m’éloignais de quelques pas et m’aplatis sur le sol. Trois secondes plus tard, une explosion secoua le bâtiment, puis la fumée et la poussière envahir l’espace.
Je toussais et ouvris les yeux. La porte du bloque avait volé en éclat et le feu finissait de réduire en cendre les corps calcinés des Skrulls.
La porte du vestiaire s’ouvrit à la volée et tous coururent vers la sortie de secours. Mais avant que je n’eu le temps de me relever, un Skrull retardataire, se jeta sur Andreï, enfouissant son visage dans son cou. L’anesthésiste hurla de douleur quand la chose arracha la chair et l’avala d’une bouchée. Ils s’écroulèrent et roulèrent , enlacé dans une étreinte mortelle. Les mains griffues arrachèrent les vêtements du pauvre bougre, et s’enfoncèrent entre ses cotes. Une rafale de M16 cloua le skrull et son repas au sol.
Sans attendre de savoir s’ils étaient morts, je bondis de mon coin et couru vers l’escalier. Les détonations avaient alertées Tania, qui déjà, avait rebroussé chemin.
« Tania ! C’est moi ! Tires pas ! » hurlais je en dévalant l’escalier.
Nous sortîmes de l’hôpital sous un ciel bleu, où le soleil avait reprit ses droits.. Nous ne craignons plus rien.
« On vous emmène à notre QG… on aura besoin de vous.. si vous voulez bien, bien sur. Montez. » dit Tania en ouvrant les portes du Van.


Quinze jours s’étaient écoulés depuis le sauvetage de l’hôpital. Jorgen & Saskia vivaient avec nous, n’ayant plus d’endroits ou aller, ni de famille… Nous avions décidés de les accueillir.
Tania était avachit dans le canapé, habillée d’un tee-shirt noir ou trônait une tête de mort fumant un cigare, et d’une culotte en coton blanc avec de petites fleurs bleues. Elle écoutait son mp3 en observant les fissures qui lézardaient le plafond. Saskia sortie de la douche et la rejoignit, vêtue d’une robe légère, jouant sur la transparence… Elle déposa un baiser sur son front et lui sourit. Tania releva les yeux et l’attrapa par le cou.
« Se pourrait il que tu m’embrasses ailleurs que sur le front ? » ronronna t elle en s’étirant comme une chatte. Saskia déposa un autre baiser sur ses lèvres pendant que ses mains rampèrent vers la poitrine de Tania. Elle descendit doucement sa bouche en suivant la ligne de son menton et de son cou. La blondinette bougeait son corps avec la grâce d’un félin, tant et si bien, qu’elles se retrouvèrent tête bêche. Tania releva la robe sur les reins de Saskia, découvrant ses fesses dans un écrin de dentelles rose. Elle enfouit son visage entre ses cuisses et respira goulument l’odeur intime de sa camarade de jeu. Elle caressa la peau velouteuse du bout des doigts, puis l’embrassa délicatement. La blonde appréciait visiblement… et n’était pas en reste. Elle aussi avait sa tête enfouie entre les cuisses bien écartées de Tania. Sa langue léchait le minou à travers la culotte, puis l’écartant, elle enfouit un doigt dans la chatte brulante de désir. Tania se contracta et soupira :
« Doucement sauvage ! » murmura t elle.
Mais déjà, la bouche vorace de Saskia s’attaquait au clito gonflé de sa partenaire. Elle le suçotait, le faisait rouler sur sa langue, le pinçait avec ses lèvres tout en tirant dessus. Son index fouillait allègrement son intérieur ; sans se concerter, elles s’ôtèrent respectivement leurs fringues et reprirent leur position initiale. Cette fois, la langue de Tania s’activa entre les fesses écartées de Saskia, comme si elle voulait la boire jusqu’à la lie.
Je me tenais dans l’embrasure de la porte, jouissant de ce spectacle en tant que seul spectateur. Jorko, le Furet et Jorgen réparant une jeep militaire, ramenée du centre ville dernièrement.
Sans gène, j’allais me vautrer dans un des fauteuils qui faisait face au canapé. Je baissais ma braguette et sortis ma queue, devenue raide par le show des deux miss. Je commençais donc une branlette, tout en ne quittant pas du regard leurs corps enlacés. Saskia eut un petit mouvement de recule en me découvrant en face d’elle, en train de m’agiter joyeusement le cyclope. Tania elle m’avait topé du coin de l’œil, mais avait continué comme si de rien n’était.
Le rouge au joue envahit le visage de Saskia, qui s’était immobilisé, un doigt enfoncé jusqu’à la garde dans la chatte de ma copine.
« Quoi ? J’ai une verrue sur le nez ? »lui demandais je l’air aussi innocent qu’un zoophile planté dans le cul d’une chèvre.
Tania se releva sur les coudes et me sourit : « Viens te joindre à nous, j’ai envie d’une queue qui bourrine pendant que je lèche se délicieux minou. » gloussa telle.
Je me levais et ôtais mes frusques aussi vite que possible. Le canapé passa par le mode couchage ce qui permit d’avoir plus de confort. Pas le temps de dire amen, que déjà, Saskia enveloppait ma bite de sa bouche. Elle aspirait fortement tout en faisant de mouvement de va et viens. Ses doigts continuèrent à fouiller Tania… qui elle continuait à la lécher et lui fourrager le cul d’un index curieux. Je chopais ses seins et les malaxèrent fermement. Ses tétons dressés étaient un appel à s’occuper d’eux. Je les pris entre le pouce et l’index et les pincèrent légèrement. Voyant que la belle aimait ça, j’accentuais la pression et tirais dessus.
Elle se tortillait tout en s’activant plus énergiquement sur ma queue. Sa langue jouait avec le méat de ma verge, puis descendait sur mes couilles, avant qu’elle ne les gobe.
Tania se dégagea de dessous Saskia et m’offrit sa chatte trempée. Je relevais la blonde du bout des doigts et me plaçais sur ma brune. Je pris mon sexe bien raide et frotta mon gland contre son clito, ce qui la fit soupirer d’extase. Puis je le plaçais à l’orée de son puit d’amour et le poussais à l’intérieur. Elle écarta plus largement les jambes pour une meilleure pénétration, et je me mis à faire des va et viens. Saskia se plaça dans mon dos et m’embrassa dans la nuque. Ses mains dansaient dans mon dos, sur mes fesses, puis attrapèrent mes couilles à la base et les malaxèrent sans gêner mes mouvements. Elle se déplaça et se mit en levrette à coté de Tania, de façon à ce qu’elles puissent se rouler des pelles à tout va. La vue de son cul tendu et offert, me donna envie d’autre chose. Je me dégageais et vint me placer derrière la blonde. Mon dieu… son anus était bien ouvert et… accueillant.
Je fis couler un peu de salive dessus et poussa mon gland à l’intérieur. Elle étouffa un petit cri et poussa son cul vers moi pour que je m’engouffre bien dedans. Je repris mes coups de reins avec douceur puis plus rapidement au fur et à mesure que son cul se dilatait. Tania rampa derrière nous, se replaça en 69 et j’eu la délicieuse surprise de sentir sa tête se mettre sous nous, entre nos cuisses. Sa langue alternait entre la chatte détrempée de Saskia et mes couilles. Je vis la tête de la blonde plongée entre les cuisses ouvertes de Tania.
« Je vais pas tenir longtemps avec ce traitement.. . » dis-je entre deux coups de reins.
A peine avais je finis ma phrase, que je déchargeais dans le cul de Saskia, pendant que mes couilles disparaissaient dans la bouche de Tania.

Même après l’apocalypse, la vie avait bon.


(Pour info, les lieux, routes et batiments cités existent réellement à Prague :) )
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Supprimé

Re: Post apocalypse.

Message par Supprimé »

:cecyls:
cLEg6

Re: Post apocalypse.

Message par cLEg6 »

Même sans l'ajout trioliste, ton texte demeure réellement captivant. Tes mots ne cessent de me ravir.
Supprimé

Re: Post apocalypse.

Message par Supprimé »

J'adore !
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Re: Post apocalypse.

Message par Farfa »

Merci :rouge: :altazen:
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Biquette
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Re: Post apocalypse.

Message par Biquette »

Ayé, j'ai fini le pâté, c'était délicieux, un vrai régal :cingle: :miam:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Post apocalypse.

Message par Farfa »

merci ma bikette :)
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