L'anniversaire (suite piège au bureau) Challenge

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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BjEd9a7

L'anniversaire (suite piège au bureau) Challenge

Message par BjEd9a7 »

Voici donc mon challenge , j'avais commencé ce recit chez les roses, le scenario est de moi mais tous les éléments qui peuvent y figurer m'ont été proposé, imposé par des lecteurs de la premieres nouvelles.
Envoyer moi vos "suggestions" j'essayerai d'en intégrer le maximum
Attn : deux suggestions deja imposer :
Passage de Sofia ( le piege au bureau )
marquage de Camille (l'heroine) maisje sais pas encore comment (non pitie pas les anneaux d'O)

voila donc .....

Après « Piège au bureau », un rapide tour de table des lecteurs qui avaient appréciés, et voici la suite des aventures de Candice , attention … no limit :

Je retourne dans mon bureau complètement chamboulée. J'ai encore au fond de mon ventre la chaleur de ma jouissance qui se mélange à la crainte d'avoir bravé l'interdit... J'ai désobéi à mon Maître... volontaire ou involontaire, actrice ou spectatrice... un seul constat... j'ai joui! J'ai désobéi...

Les heures passent et l'angoisse m'envahit... cependant, je ne peux n'empêcher de repenser à Sophia... à ses mains, à ses doigts... à sa façon de me regarder dans les yeux en me giflant et en m'appelant petite chienne... Je repense à ses derniers mots « Et moi ton cadeau d'anniversaire »...

Après tout, il est vrai que c'est mon anniversaire... et si j'osais... non !!! Non !!! vite! Il faut que je m'enlève cette idée de l'esprit... Ce qui est relativement facile puisque pour cela je n'ai qu'à penser à mon Maître et me voilà entièrement subjuguée...

Il est 16h... dans 4h je serai face à lui... cette pensée fait jaillir une boule de feu dans mon bas ventre et humidifie mon sexe...
Mes pensées sont interrompues par un coursier qui me dépose un colis. Je l'ouvre et y découvre des escarpins talons hauts noirs, des bas à couture, un corset sein nu rouge à lacets et un bandeau de soie noire le tout accompagnés d'un petit bristol blanc et de ces quelques lignes :
« à 19h15 tu quittes ton bureau, tu te rends chambre 69 à l'hôtel Le Plazza... (Une carte t'attend à la réception). En entrant dans la chambre tu vas directement à la salle de bain et tu te changes. Je te veux avec ce corset, ces bas, ces escarpins et le bandeau sur tes yeux... une fois changée je veux t'entendre me dire « je suis entièrement et totalement à vous »....

Une excitation grandissante monte en moi le reste de l'après midi est interminable... Je suis dans un état second...
Voilà c'est l'heure... je quitte le bureau, je monte dans ma voiture, j'arrive à l'hôtel... j'ai une boule de feu, d'angoisse, de plaisir, d'envie … impossible à définir... dans mon cœur, mon ventre, mon sexe...
Je monte dans la chambre, je passe la carte, j'ouvre la porte, je vais dans la salle de bain... mes mains tremblent, je me change... me voilà comme IL le veut … Corset sein nu, bas couture, escarpins et bandeau... je toc légèrement sur la porte et dis « Je suis entièrement et totalement à vous »....
J'entends la porte s'ouvrir, une main saisir la mienne m'entraîner doucement hors de la salle de bain... nous nous arrêtons et deux mains sur mes épaules me forcent à m'agenouiller. Je sens un lien se mettre autour de mes chevilles, je me rends compte que je ne peux plus bouger...

Des mains sur mon visage, mes yeux, ma bouche, un doigt sur mes lèvres, dans ma bouche... un main qui attrape sauvagement mes cheveux pour me pencher la tête en arrière et une autre qui m'enfonce un bâillon dans la bouche...

Par ce geste je sais et je sens que ça va être torride, sauvage, asservissement, servitude mais tout cela dans le silence....
Qui est la ? Est-ce lui ? Je n’ai pas reconnu le parfum qu’il porte habituellement Au travers de mon bâillon et malgré les consignes induites par ma condition de soumise offerte, j’ose à ce moment dans un borborygme à peine compréhensible :
- Maitre ? C’est vous ?
Je n’ai pas le temps d’être surprise par mon impudence ni de finir ma phrase qu’une claque énorme viens me frapper au visage. Je suis projeté au sol, ma joue me brule et des larmes coulent à l’abri du bandeau. Elles sont là autant par la brulure cuisante à mon visage que par la honte qui arrive et dont je me rends compte. Comment avoir pu douter de lui, quoiqu’il m’ait réservé ce soir.
L a brulure est cuisante, mon oreille siffle, je suis étourdie encore, quand des doigts viennent saisir mes cheveux. Un conciliabule m’indique qu’il y a plusieurs personnes derrière moi. La poigne toujours sur moi m’attire encore une fois et me lâche enfin. Je sens des liens en cuir venir enserrer mes poignets pour enfin les réunir et les bloquer. On écarte mes chevilles et de nouveaux liens viennent également les immobiliser par ce que je devine être une barre de contrainte.
Les bruits des objets dans la pièce ne m’indiquent pas qu’elles seront les outils de mon tourment. Mais soudain un claquement sec en l’air me fait sursauter. L’opération semble être renouveler afin de tester ou mesurer la distance, et soudain sans avertissement le premier coup tombe sur le hauts de mes reins suivi rapidement par une suite de cinq ou six autres, moins forts ceux-là. Je gémis au travers de mon bâillon, mais je ne leur ferais pas le plaisir de crier si vite.
Une main sans aucune délicatesse viens enduire mes orifices d'une substance lubrifiante et n’hésites pas à introduire deux doigts au creux de mon intimité. Remontant ensuite, les doigts impudents s’immiscent dans cette partie que je réserve habituellement à mon Maître. Je me débats dans mes liens mais un coup de cravache à nouveau plus violent vient calmer toute velléité de rébellion en moi.
Soudain une voix :
- Mais c’est qu’elle est souple du cul cette salope, on v……
Un concert de « chut » de réprobatoire fait alors taire mon tortionnaire.
Un souffle sec de dépit semble indiqué que l'individu n’apprécie pas ce jeu en silence. A ce moment, une pensée me fait presque sourire, un souvenir de mes jeux d'enfants qui s'adresse au violeur de mes intimités
- Et toc, bien fait pour toi.
Une main vient caresser mes fesses et le haut de mes reins qui me lance. Elle est douce recouverte d’un gant et le tissu léger calme la douleur. La deuxième la rejoint et ensemble elle écarte les deux lobes de mes fesses d'un geste rapide et violent qui contraste avec la douceur précédente. Je sens se présenter à l’entrée de mon anus, un objet que j’imagine être un Plug. Sans hâte, mais inexorablement, on le pousse et il force l’entrée de mes reins. Il ne finit pas de glisser en moi et me semble énorme. Je suis dilaté comme jamais il ne m’a dilaté dans nos jeux ensemble.
De mes sphincters, je pousse sur l’objet, comme mon Maître m’a appris à le faire pour en facilité l’intromission. Enfin je sens contre mes fesses le contact de la base qui vient s’y appuyer. J’en ai le souffle coupé. Ma respiration est saccadée et le bâillon complice absorbe un filet de bave qui doit couler de lèvres. La première étape de mon si doux calvaire vient de finir et malgré cela je sens mon sexe brûlant et trempé. Qu'on me baise vite hurle-je en silence. Prenez la chienne qui vous est offerte.
Des frôlements prés de moi, des frottements au sol comme quelqu’un qui rampent, ou à quatre pattes. Un court instant, la panique s'empare de moi pensant avoir affaire à des chiens, mais Il sait mon refus de ce genre de jeux, jamais d'animaux, c'est une chose sur laquelle nous nous somme entendu des le début. Reconnaissant des respirations et des halètements humains, je suis rassuré, mais je me demande le sens de ces mouvements autour de moi.
J'entends de légers sifflements qui semblent diriger les mouvements autour de moi. Une légère modulation différentes dans le sifflet, et on hume, ou renifles chaque partie de ma peau, aucune zone n'y échappe pas même mon intimité.
Une nouvelle stridulation, et on me lape un cours instant. Soudain, deux notes plus aiguës et rapides. Après quelques secondes, je sens couler un liquide chaud sur mon dos et sur mes mollets. J'en identifie sans peine la source. Je suis révolté, il m'avait juré de ne jamais faire ce genre de chose. Je suis prise pour un urinoir par deux inconnus.
Je veux me rebeller et je m’agite dans mes liens, je tire sur mes poignets mes les attaches en cuirs sont trop solides et je ne fais qu’irriter la peau fine de mes poignets. Mes assaillants m’abandonnent à un rapide coup de sifflets, le silence se fait autour de moi, me laissant seule avec moi-même. Je n’entends que leurs souffles dans la pièce. L’attente, la peur me tordent les entrailles. Ça recommence à bouger près de moi.
Mille doutes m’assaillent. Et si ce n'était pas lui l'instigateur de cette soirée, si ce n'était en fait que des inconnus profitant de ma situation de soumise, qui aurait ... Et s'il m'avait vendu ... Et si j'avais été vendu à un réseau de traite des blanches. Mon excitation retombes très vite, quand dans cette jungle de bruit qui m'entoure, je reconnais l'un d'entre eux. Un très léger tintement, malgré tout les autres bruits, ce fait entendre.
Ce sont, accroché à sa fine chaîne en or, une médaille et un anneau qu'il porte tout le temps autour du cou. Je reconnaîtrai entre mille la note qu'ils font lorsqu'il s'entrechoque. Combien de fois les a t'il écartés, lorsqu'il porte ses lèvres aux miennes, intimes celle là. Ce simple tintement fait tomber toute mes craintes, toutes mes peurs.
Il est là pour moi. Pour me voir, m'observer, étudier mes réactions, à ces nouveaux sévices qu'il m'impose par le biais de ses « complices ». Je serai à la hauteur de tes attentes mon ami, mon Amour, mon Maître. Soyez fier de votre petite salope soumise, comme vous aimez tant m'appeler.
Aussitôt, malgré la douleur cuisante sur mes fesses, et l’humiliation de la scène précédentes, un sourire radieux m’illumine, heureusement que le bâillon le masque à mes bourreaux. Mais je suis sur que Lui seul sais pour la petite fossette sur ma joue quand je souris.
Sourit –il à son tour ? Bande-t-il pour moi ? Mon intimité réagis à cette pensée et je sens mon sexe couler du nectar de mon plaisir. S’il est là, prêt de moi, je serai digne de Lui. Rien ne pourra entraver mon envie d’être à la hauteur de ce qu’il attend de moi. Ces longs mois passé ensemble, ou il m’a petit à petit emmené à me dépasser, à me surpasser. Depuis le temps que je lui demande si je suis enfin une soumise parfaite, sa soumise. Et lui avec son grand sourire me répondant que j’y étais presque, que bientôt le moment arriverait. Est-ce aujourd’hui, est-ce une sorte de mise en scène ? Est-ce enfin ma présentation à son monde, à son milieu dont il à toujours pris soin de m’écarter ?
Mes pensées divaguent, je me vois telle O, lorsque sir Stephen la présente enfin à ses amis. Aurait –il choisi mon anniversaire pour ce moment. En tout cas j’en suis à ce genre de rêveries quand une voix androgyne lance un ordre sec :
- Elle put. Les chiens, allez la laver sans lui enlever son bandeau et silence sinon vous n’aurez pas votre récompense.
En un instant, mes chevilles sont libérées et une main ferme m’attrape par les cheveux pour me relever. Courbée en deux, je sens qu’on me ramène jusque dans la salle de bain, on m’enlève le corset, les bas et les escarpins, on ne me laisse que les deux bracelets en cuir qui enserrent mes poignets. D’un mouvement lent, on retire le Plug de mes reins. Je suis emmenée par une main cette fois fine et légère aux ongles fins jusque sous la douche.
L’eau fraiche commence à couler sur ma gorge, et je les remercie de cette attention car cela épargne ma coiffure et mon maquillage que j’ai mis si longtemps à faire. Mais au bout d un instant, l’eau me semble très froide et je frissonne, je sens une poitrine féminine venir contre mon dos et m’enlacer doucement. Un vrai moment de douceur dans ma soirée qui commence à peine. Un entracte plein de sensualité avant une suite que je crains et que j’espère aussi torride que la précédente.
Ma douche se termine et le corps chaud contre le mien m’abandonne, on me fait sortir de la douche, et on me sèche, me tamponne dans les moindres recoins y compris de mon intimité. Je sens qu’on me parfume à nouveau et je reconnais mon parfum « Coco Mademoiselle » de Chanel. Il a vraiment pensé à tous. On me remet mes escarpins. Une main relève mon menton doucement, et on passe à mon cou un collier qu’un geste habile resserre sur ma nuque. Un déclic sous mon menton et une tension m’indique qu’on y a attaché une laisse. On m’invite à me mettre à quatre pattes par une traction et on me guide jusqu’au salon. Me revoilà devant eux, propre parfumé dans la position d une chienne dévoué.
On me promène dans le salon comme à une exposition canine, je tortille des fesses pour accentuer le balancement de mes reins. Le spectacle doit leur plaire car j’entends de sifflements admiratifs et des chuchotements. J’espère que c’est une jolie femme qui me tient ainsi en laisse, le tableau n’en sera que plus beau. J’entends les déclics d’un appareil photographique. Mon Maitre aura de beaux souvenirs de cette soirée. J’écarte mes genoux au sol ouvrant plus encore mes fesses, la vue leur plait-elle ?
La promenade semble terminée car on me relève et tire mes mains vers le haut. On me hisse sur la pointe des pieds. La position est inconfortable et je ne pense pas pouvoir y résister longtemps. Une main relève mes pieds et un objet qui me surélève un peu. Mes jambes sont ouvertes et je sens qu’on place entre mes cuisses un support. Je n’ose imaginer ou ils veulent en venir.
Déjà mes cuisses commencent à tirer et mes muscles s’endolorissent. Je me relève un peu mais la tension sur mes poignets est douloureuses je suis obligé à nouveau de me laisser choir pendue par les poignets. Je sens une nouvelle présence, on a placé un objet entre mes cuisses sur le support, il pénètre doucement entre les lèvres de mon sexe.
Je crois deviner de quoi il s’agit à la pression énorme qui dilate mes lèvres. Mon Maitre m’avait montré la vidéo d une soumise liée par les mains au dessus d’un Plug énorme, j’espère qu’Il me regarde avaler ce monstre, même si je sais que je n’y arriverai pas entièrement, c’est impossible. La tension est intolérable, je tire sur mes poignets pour relâcher cette pression mais le lien qui me maintien plus haut à été abaissé et je suis obligé de tirer sur les muscles de mes bras n peu plus que la fois précédente. N’en pouvant plus, je relâche la pression et retombes sur ce pal sexuelle.
Il glisse encore entre mes lèvres et pénètres plus profondément cette fois. Je me sens remplis comme lors de mon premier fist, une tension énorme ouvre mon vagin mais devant ces gens je n’ai pas envie de céder. Soudain mon instinct me dit que quelque chose se trame car les chuchotements se sont tus autour de moi. Tout au plus j’entends quelques respirations haletantes. Soudain dans l’air un claquement sec se fait entendre.
Le claquement se répète deux ou trois fois encore et soudain je sens une brulure sur mes reins. La surprise est tel que j’en oublie le Plug qui glisse encore de quelques millimètres en moi. Les coups tombent régulièrement sur mes reins et mon dos, la brulure est cinglante à chaque coup et la pénétration s’accentue. Lors d’un répit, je tire sur mes poignet pour diminuer encore une fois la pénétration mais mon bourreau ne me laisse pas de répit, un coup nouveau viens cingler mon ventre et de surprise je choix à nouveau sur le monstrueux objet qui écarte mes lèvres. Les coups continuent sur mes reins et mon ventre. Le cuir tressé vient s’enrouler autour de mes hanches. J’ai la peau en feu. Parfois le cuir s’enroule plus bas sur mes cuisses. J’ignore combien de temps dura la séance de flagellation mais je dois avouer que quand elle cessa je n’étais il me semble qu’une plaie.
Mon sexe semblait complètement ouvert, le Plug provoquait des lancements dans mon bas ventre, la douleur laisser place doucement à des vagues de plaisirs. Les pulsations de mon cœur rythmaient les vagues qui montaient en moi. Me relevant une dernière fois, une ondulation m’arracha un gémissement et glissant à nouveau sur mon pal monstrueux, une boule de chaleur explosa dans mon ventre alors qu'il me pénétrait à nouveau. Un orgasme terrible me faucha les jambes poussant plus encore en moi ce sexe de plastique géant. Mille étoiles brillaient dans mes yeux toujours bandées, mes tempes bourdonnaient et chaque millimètre gagné m’envoyait de nouvelles vagues de plaisir. Un filet de bave coulait au coin de mes lèvres. J’étais K.O., empalée dans mon intimité
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