Piège au bureau.

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BjEd9a7

Piège au bureau.

Message par BjEd9a7 »

J'arrive au bureau en retard déjà fatiguée. La nuit fut trop courte, impossible de m'endormir tellement mes pensées tourbillonnaient … La raison : Demain je revois mon Maître... enfin! J’en meurs d'envie, je ne pense plus qu'à ça. Un mélange d'excitation et d'appréhension.... Excitation car il m'impose depuis plusieurs jours une chasteté absolue.... impossible de me toucher, me caresser... appréhension « positive » car je sais que j'en ressortirai marquée... mais une si plaisante douleur.

La pendule du hall indique 9h, dans 11h je serais physiquement à lui, rien que d'y penser je frémis entièrement. Je file dans l'ascenseur, la porte se referme et je me retourne face au miroir...
Ce fut difficile de m'habiller de matin, ne pouvant rentrer me changer avant de LE revoir.... j'ai du composer.... tailleur jupe noir cintré (parfait pour le travail), cheveux attachés (mais qui seront facile à détacher ce soir), bottes hautes lacées (je sais qu'IL adore ça). Voilà pour ce qui est de « l'extérieur »... Dessous est différent : guêpière avec porte jarretelle en dentelle noire bas noirs très fin... aucune petite culotte, IL me l'a demandé...
Soudain mon attention est détournée dans cette cabine d'ascenseur, mais quoi, je n'arrive pas à le définir. Quelque chose trouble ma concentration d'être à lui des ce soir.
Pour une raison que j'ignore, mon sang roule dans mes veines, et mes joues s'empourprent. Je n'arrive pas à savoir ce qui déclenche cela ....

Les minutes paraissent des heures, impossible de me concentrer... Ah! Un sms de LUI, mes doigts tremblent en cherchant à le lire... « J'attends ma photo MA petite chienne »
J'avais complètement oublié! IL me l'a ordonnée hier... je devais lui envoyer, ce matin, une photo... IL me voulait assise sur mon fauteuil de bureau, jupe relevée, jambes écartées...
Entre ma mauvaise nuit, ma précipitation, mon impatience... j'ai laissé chez moi mon portable personnel! Le professionnel n'a pas d'appareil photo....
Je réfléchis vite.... aucune solution... je sais que je n'implorerai pas son pardon, je sais qu'IL ne sera pas clément.... Je range mon portable dans le tiroir de mon bureau.... Je sens une moiteur entre mes cuisses.... plus que jamais excitation et appréhension sont là.....
Depuis quelque semaine une nouvelle cadre est arrivée au bureau, je n’ai pas encore eu l’occasion de la croiser, et si ce matin j’osais allez la voir avec un peu de chance … Allez soyons folle, Il m’a demandé cette photo pour ce matin et l’heure avance, je n’aurai jamais le temps de retourner chez moi chercher le mien. Je pousse la porte de mon bureau, remonte le couloir et me présente devant la porte du sien. Soudain la même sensation que dans l’ascenseur m’assaille. J’identifie enfin la cause de ce qui fait s’emballer mon cœur … un parfum.
Je me ressaisi et cherche un prétexte pour entrer et lui emprunter son appareil si elle en a un au moins. Apres tout je ne la connais pas, c’est l’occasion de faire connaissance. Je frappe doucement à la porte et une voix ferme me dit d’entrer. Je pousse la porte, mon sourire le plus commerciale aux lèvres. Je m’avance dans son bureau et la découvre derrière son bureau. Elle me sourit à son tour et me demande ce qui m’emmène.
- Vous devez être Candice de la comptabilité, enchanté moi c’est Sophia.
Elle me tend une main finement manucuré aux ongles rouges vifs, je ne peux m’empêcher de les regarder tant le rouge est lumineux. Je dois garder sa main un peu trop longtemps car elle me dit en riant :
- Je peux la récupérer ?
J’ai du rougir en la relâchant, et je bafouille en lui répondant que son rouge est magnifique. Elle me rétorque que c’est son ami qui la choisit pour elle. Elle le met pour lui faire plaisir, car elle le rejoint ce soir et espère ne pas être en retard vu la circulation habituelle sur le périphérique. Il déteste les retards, ca pourrait lui couté cher ajoute-t-elle avec un clin d’œil.
Est-ce son clin d’œil ou son parfum qui me met le joue au rouge, mais elle doit sentir mon embarras et me demande pour qu’enfin je me débloque :
- Qu’est qui vous emmène alors ?
Je reprends mes esprits en un instant et lui demande si je peux lui emprunter son portable et si celui-ci fait des photos. Je me fais fort de lui ramener rapidement. Elle éclate de rire répondant :
Ca c’est un défi avec un petit chéri, d’accord alors mais si c’est moi qui fais la photo. J’espère que ce n’est pas trop coquin alors.
Je dois à ce moment être d’un part rouge écarlate et d’autre part avoir mon entrejambe complètement détrempé. Je ne sais trop quoi dire, mais je refuse rapidement m’offusquant presque de sa demande. Je quitte son bureau précipitamment l’entendant rire encore seule dans son bureau.
Quelques minutes plus tard, je reçois à nouveau un sms de Lui : « la matinée avance et je n’ai toujours rien reçu ».
Je tourne le problème dans tous les sens, je ne vois pas comment le résoudre. Je vais devoir céder à la demande de ma collègue mais je vais insister encore un peu, lui expliquer que je n’ai pas le choix, qu’il me faut absolument son téléphone. Je n’accepterai que si je n’ai pas d’autres choix.
Encore une fois je prends mon courage à deux mains, mais c’est beaucoup plus intimidé que je vais frapper à sa porte. Elle me dit d’entrer mais sa voix est plus dure il me semble et encore une fois son parfum trouble mes sens. Elle me regarde entrer et me dit de but en blanc :
Si c’est pour le téléphone, vous connaissez mes conditions, et si vous refusez une nouvelle fois ce n’est plus la peine de venir m’embêter avec sa plus tard ca sera non. Réfléchissez bien avant de répondre. Vous n’aurez pas d’autres chances.
Mon cœur fait des bonds dans ma poitrine, j’ai un gout amer dans la bouche. Je suis perdu un instant et sa voix vient me ramener à la réalité quand elle me demande quel genre de photo mon ami m’a demandé de faire. Je m’étonne de lui répondre :
- Un demi … un demi nue.
- C'est-à-dire.
- Je dois être assise sur mon bureau … jupe relevée … lui présenter … mon sexe nu.
Elle sourit en se levant et me dis de m’installer sur le bout de son bureau. C’est à ce moment que j’aperçois quand elle est devant moi qu’elle porte des talons immenses. Et surtout un fin ras de cou qui porte un anneau. Mon regard ne le quitte pas, elle s’en aperçoit et me demande si je sais à quoi cela correspond. Je baisse les yeux et lui réponds qui oui.
En s’approchant de moi, elle me demande si c’est pour un Maitre la photo. Je glisse dans un murmure plutôt qu’une vraie réponse un oui timide à nouveau. Elle me pousse contre son bureau, place une chaise à proximité et m’encourage à prendre la pause.
- Allez petite chienne, faite plaisir a votre Maitre, mettez vous en place.
Je pose un pied sur la chaise à coté de moi, attrape timidement ma jupe et la relève un peu.
- Plus haut petite chienne, jusqu’à la ceinture, et ouvrez bien vos cuisses. C’est mieux la oui. Penchez vous un peu en arrière maintenant.
Je ne sais pourquoi je m’exécute, un mélange de honte et d’excitation se diffusent jusqu’au plus profond de mes entrailles. Je la vois qui s’incline un peu et me cadre dans son appareil. Le déclic me fait presque sursauter et alors que j’allais me relever, sa voix claque
Ne bouges pas chienne, regardons ensemble le résultat.
Elle s’approche de moi, elle semble marcher au ralenti, j’ai la jupe toujours relevé. Sa main vient se poser sur le haut à l’intérieur de ma cuisse. Ses doigts caressent la peau fine. Mes jambes s’ouvrent doucement, je ne peux les retenir. Elle attrape mes petites lèvres de ses doigts et les pincent violemment, elles les tirent durement.
- Tu n’as pas honte petite chienne, être trempe alors que tu as eu des consignes de ton Maitre.
- Je n’ai rien fait, c’est vous qui avez ….
Elle me gifle violemment, et reprends mes nymphes entre ses doigts plus doucement cette fois.
- Oui c’est moi qui ai … la photo sur mon téléphone.
Elle me caresse doucement, je suis tellement en manque depuis quelques jours que je ne vais pas résister longtemps, je sens ma liqueur couler entre mes cuisses, me pose ma main sur la sienne :
- Non il ne faut pas, il m’a interdit de … de me caresser, abstinence totale, pas de jouissance.
- Qui t’as dis que je voulais te faire jouir ? Tu veux ta photo, n’est ce pas?
- Oui mais …
- Il n’y a pas de mais alors, laisse toi faire petite chienne. Tu n’auras qu’à moitié manqué à ton devoir, tu ne t’es pas caressée, c’est moi qui le fait.
Soudain alors que le plaisir monte en moi, une de ses phrases me revient en tête, « vous avez des consignes de votre maitre » comment peut elle savoir alors que je ne lui en ai pas encore parlé. J’ai du mal à me concentrer, ses doigts sont habiles et je ne pourrai résister plus longtemps. Soudain une vague de chaleur envahie mon ventre et je resserre mes cuisses sur sa main, je ne peux retenir un gémissement de plaisir quand alors que des vagues n’arrêtent pas de m’envahir, elle glisse ses doigts au plus profond de moi. Et un orgasme encore plus fort encore viens me scier les jambes, je me raccroche à elle pour ne pas chuter. Cette caresse, seul Lui connait l’effet qu’elle a sur moi. Comment aurait elle pu savoir ?
J’ai encore le souffle coupé et je relève le visage vers elle, je la vois qui sourit le téléphone à l’oreille. Mon sang se glace dans mes veines. Et soudain des larmes coulent sur mes joues. Il m’a piégé, mais comment. Je l’écoute en pleurant, sa main toujours sur moi.
- Oui tu avais raison, mais elle n’a rien fait d’elle-même, je l’ai poussé tu me connais.
- C’était un bon plan l’intérim, merci du tuyau et j’étais sur que ca allait marcher, tu connais mon Cv, c’était facile de remplacer l’autre en congé maternité. Oui je te la passe.
Elle me tend le téléphone, et j’entends Sa voix douce et chaleureuse :
Alors ma petite chienne, c’était difficile de résister encore quelques heures.
Je reste sans voix, je ne peux pas lui répondre les pensées se bouscule toujours dans ma tête.
- Rassure toi, je ne t’en veux pas tu as résisté quand même tu n’as rien fait ou demandé, je sais comme tu aime les brunes, mais tu me payeras quand même cette orgasme. C’était une surprise en avance pour ton anniversaire, je t’aime ma petite chienne.
- Je … je …
Et j’éclate en sanglots. Tendrement Sophia me prends contre elle, et me reprends le téléphone des mains.
- Ne t’inquiète pas ma belle, ce soir je serai la, et je lui interdirai d’être trop sévère. Viens sèches tes larmes, tu n’as pas encore finis ta journée.
Je retourne avec elle jusqu’à mon bureau, elle me tend le téléphone et me glisse à l’oreille
- En fait ce n’est pas le mien, c’est le sien, il a subtilisé le tien dans ton sac lorsque tu finissais de te préparer. On se retrouve chez lui ce soir, on se vengera toute les deux. Apres tout, c’est ton anniversaire …
Et elle me glisse à l’oreille :
Et moi ton cadeau d’anniversaire.


Fin de la première partie
Eric
E7hyM5

Re: Piège au bureau.

Message par E7hyM5 »

Décidément, j'aime ton style. :cingle:
BjEd9a7

Re: Piège au bureau.

Message par BjEd9a7 »

merci lis la suite et propose une suggestion
kiss
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