Rencontre ...

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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BjEd9a7

Rencontre ...

Message par BjEd9a7 »

Rencontre


Des aventures féminines de Leila, il en est une qui gardera une place importante, non pas dans notre vie de libertins, mais dans notre vie tout court.

Au hasard de ses surfs sur le net, Leila était tombée un jour sur un site de rencontres lesbien. Après divers contacts plus ou moins aboutis, l'un d'eux fut particulièrement marquant. Pourquoi ce pseudo et pas un autre ? Pourquoi cette femme et pas une autre ? Hasard, destin, chance, chacun choisira. Le contact passa bien, très vite d'ailleurs. Échange classique de photos, échange de téléphone et également d'adresse de messagerie, MSN pour ne pas le citer. Première discussion téléphonique, dans sa bulle, Leila assise à côté de moi est souriante, elle me regarde de temps en temps, ravie de la tournure que prennent les choses. Un seul bémol au tableau, A. habite à plus d'une heure de chez nous, à plus d'une heure de Leila. Leur relation, via le téléphone ou par chat, se développa doucement.

Un soir, sur un coup de tête, passant près de chez nous, A. s'invita et vint prendre un verre à la maison. A notre grande surprise, nous vîmes arriver A., écrivain connu et reconnu. A ma grande joie, je découvrais un personnage attachant, haut en couleur et un tantinet exubérant. Après à peine quelques minutes, un coup de foudre intellectuel m'avait frappé et je voyais bien dans le regard de Leila que A. ne la laissait pas indifférente. Nous discutions à bâton rompu durant plusieurs heures. Et A. fit en riant la promesse de ne jamais tomber amoureuse de Leila. Promis, juré c'est pas son truc avec les "bi". Mais bon Leila, c'est Leila. Souvent d'elle, je dis en plaisantant qu'elle doit avoir des phéromones spéciales qui font craquer les femmes. Cependant, je pris acte des promesses de notre nouvelle amie.

Tard, ce soir-là, Leila raccompagna son invitée jusqu'au parking. Son absence qui ne devait durer que cinq minutes, se prolongea plus longtemps. Au bout d'une vingtaine de minutes, je vis Leila revenir, le feu aux joues, les yeux pétillants, passant un bout de langue sur ses lèvres en un geste inconscient signe d'une grande excitation chez elle. Elle m'avoua qu'elles avaient craqué l'une pour l'autre et avaient échangé de longs baisers dans la voiture de A. Aux baisers avaient succédé les caresses. De l'avis de Leila, c'était une amante aux lèvres fougueuses et aux caresses expertes.

Quelques jours plus tard, Leila alla passer une nuit chez elle. Le lendemain, elle n'avait que des compliments aux lèvres sur sa nouvelle "amie" qui lui avait fait passer une soirée et une nuit magiques.

Plus tard, dans la semaine, A. et moi-même rediscutâmes et elle aussi ne tarit pas d'éloges sur la douceur de Leila et sur ses caresses pleines de sensualité et de féminité. Elle appréciait également mon attitude vis-à-vis des relations saphiques de Leila. Elle aimait cette façon d'être que nous avions tous les deux et trouvait la liberté que je laissais à Leila, rare et généreuse. Elles se revirent plusieurs fois par la suite et chose rare, je proposais à Leila de l'accueillir à la maison durant les nuits où je travaillais.

Quel plaisir d'ailleurs pour moi, en débauchant, de leur porter croissant, café et jus d'orange au lit. La chambre portant encore le parfum de leurs ébats.

Notre relation pris un tour nouveau quand A. me fit lire le manuscrit de la prochaine réédition de son roman. Je découvris un personnage déchiré par un passé douloureux, tant moralement que physiquement, rejet par les autres de son homosexualité, accident grave, et l'horreur un soir après un bal tranquille. Mais aussi des amours torrides, des relations fusionnelles d'un soir, d'un mois, d'un an des chemins qui se croisent se suivent un temps et se séparent. Elle m'offrait d'elle, par ce manuscrit, une vision que seules, certaines longues discussions avec des êtres très proches permettaient d'avoir.

Envie d'aller plus loin, envie de tout partager, un soir, au cours d'une autre de nos discussions, nous avons envisagé pour la première fois, de "partager" Leila dans le même lit. En rigolant au début, l'idée fit son chemin. Sans réelle stratégie, sans date fixée, mais toujours cette possibilité, excitante, dans le coin de nos têtes.

Un soir, après un repas et quelques verres peut être qui avaient libéré nos esprits, A. s’approcha de Leila, l’embrasse tout en me prenant la main. Elle m’attira doucement vers leurs deux corps réunis. Instant de panique un instant, je fus rassuré par Leila et A qui me souriaient toutes deux. Chose inhabituelle pour moi, un soupçon de timidité m’étreint, et bêtement je me contente de caresser leurs dos, offerts à moi.

Alors que Leila l’embrasse dans le cou, A. tourne son visage vers moi et doucement ses lèvres, à quelques centimètres des miennes, s’entrouvrent. Ses yeux cherchent mon regard et moi le sien, comme cherchant un accord tacite, un acquiescement. Doucement nos lèvres se rejoignent dans un premier baiser. Choc d’images, des mots qui me reviennent en tête. De la douceur, de la sensualité, de la patience, mille précautions, être doux, être « femme ».

Oublier instantanément la bosse qui déforme mon pantalon. Ranger mon cerveau primitif dans la boîte à gants. Laisser venir, effleurer, ne penser qu’à elle, qu’à elles.

Leila, étonnée, nous regarde un sourire éclairant son visage, l’embrasse à son tour, passionnément, tandis que je prends le relais de son cou abandonné. Effleurer, je n’ai que cette idée en tête. Du bout des doigts, du bout des lèvres. Et surtout ne pas me coller à elle, ne pas l’effrayer, ne pas lui rappeler de douloureux moments au contact d’un sexe masculin sur sa hanche.

Eclipse de temps un instant, et je ne sais comment, nous nous retrouvons allongés sur le lit dans notre chambre où une lumière tamisée dévoile à peine nos corps. Surtout le mien, corps d’homme tant honnis. Leurs baisers continuent, A. cherche ma main et ses doigts enlacent les miens à nouveau. Du revers d’un doigt, je caresse sa joue, d’une main plus tard, je caresse ses cheveux et son cou.

Leila abandonnant sa bouche, glisse vers ses seins. J’effleure une épaule. Son regard me cherche, ses yeux me trouvent. Nouveau baiser. Elle pose ma main doucement sur son sein ferme et la recouvre de la sienne. Doux contact avec sa peau, un mamelon agace ma paume. Leila du coin de l’œil me questionne, je lui souris. Je glisse un court instant, et moment magique, je l’embrasse au dessus du ventre offert de A. Nos bouches se quittent enfin pour rejoindre le ventre qui nous appelle par mille contorsions. Nos chemins se séparent, Leila glisse plus bas, et au gémissement de A., je comprends que Leila a atteint son but.

Un court instant, je me retrouve bête. Que faire pour ne pas gâcher ce moment. Un souffle léger dans son cou précède mes lèvres qui s’attardent juste sous son oreille. Mes mains caressent ses épaules, ses seins, son ventre. Ma bouche rejoint ses seins que j’embrasse, lèche, suçote tant ils me plaisent. Soudain sa main se pose sur mon épaule, est-ce un geste de crainte ? En a t’elle assez de ma bouche d’homme qui parcourt son corps ? Je m’arrête et attends. Doucement elle pèse sur mon épaule en un geste doux qui me pousse vers son ventre. Je me laisse guider plus bas, toujours plus bas, couvrant au passage de dizaine de petits baisers et d’effleurements de langue ce ventre que je découvre.

Ma bouche rejoint enfin celle de Leila sur un sexe lisse et humide, offert à nos caresses. Nos langues, en un ballet, papillonnent autour d’un bouton tendu. C’est un baiser que nous adorons pratiquer avec Leila et peu de nos complices y résistent. Les cuisses de A. s’ouvrent encore et nous partageons ce fruit offert. Délices de nos langues qui se mêlent entre ses lèvres chaudes. Soudain un frisson de plus en plus fort fait trembler A. et un gémissement qui monte nous fait comprendre qu’elle est secouée par un orgasme violent.

Nous n’arrêtons les agacements que quand le plaisir devient douloureux et sous les suppliques de A., je remonte contre elle, l’embrasse à nouveau doucement. Elle se sert contre moi tendrement. Leila nous rejoint et nous restons enlacés tous les trois un long moment.

Les deux belles recommencent à échanger de multiples baisers, qui parfois s’échappent pour se perdre sur mes lèvres, tantôt de Leila, tantôt de A. aussi. Son corps se fait élastique et vient se coller à moi. Pour être tout à fait honnête, mon excitation est à son comble et A. ne peut que s’en apercevoir. Cela ne l’empêche pas de plaquer son corps encore plus contre le mien et d’y onduler agréablement pour nous deux.

Les caresses et les baisers de Leila font monter son désir à nouveau et soudain se tournant lentement vers moi, sa bouche près de la mienne, dans un souffle, elle me murmure :

« Je veux essayer avec toi. »

Je la regarde, interpellé par cette demande inattendue. Je lui réponds que nous avons
le temps et qu’elle ne doit pas se forcer pour me faire plaisir ou faire plaisir à Leila. Mais elle me réitère sa demande en m’enlaçant. Elle le veut, oui, mais pour elle. Leila s’inquiète pour son amie mais devant sa certitude, l’enlace à son tour, l’embrasse puis se lève nous abandonnant seul un instant dans la chambre. Nos bouches se rejoignent à nouveau, jusqu’au retour de Leila, quelques secondes à peine après son départ.

Pourquoi cette escapade rapide ? Alors que nous continuons nos caresses, je sens la main de Leila presser mon sexe. Ah oui bien évidemment, un préservatif. Pour ne pas briser le charme, elle a été en attraper un et s’est occupé elle-même de me l’enfiler.

Dans ma tête, des dizaines d’idées se bousculent. Douceur, tendresse, fragilité. Peur pour elle, pour moi. Etre doux, comme avec une jeune fille vierge. Comme une nouvelle « défloraison », sans douleur ni violence, mais pour moi pire car elle devra passer outre la première, faire oublier l’horreur dont peuvent faire preuve certains qui se disent « homme ».


Alors que son corps se raidit un peu d’appréhension, Leila vient tout près d’elle et lui prend la main, lui caresse doucement le visage.
Moi au dessus d’elle, j’embrasse son ventre en la caressant et doucement mes baisers remontent sur ses seins. Je continue doucement, inlassablement ma remontée érotique vers sa bouche. Nos lèvres encore une fois se rejoignent et nos langues se mêlent.

D’un mouvement lent, mon sexe vient effleurer le sien et je la sens qui frissonne dans mes bras. Ses cuisses s’écartent. Avec délicatesse, je la pénètre le plus doucement et le plus lentement possible, cela semble durer un temps infini. Elle me serre très fort dans ses bras, et vient glisser son visage dans le creux de mon cou. Mon ventre vient enfin se coller au sien, elle croise les jambes dans mon dos. Je ne bouge pas encore, elle ondule sous moi, je la laisse faire un instant, cherchant son rythme. Elle râle doucement, sa bouche toujours dans mon cou, sa main dans celle de Leila.

Enfin je commence à aller et venir en elle. Surtout ne penser qu’à elle, à son plaisir. Je gémis aussi en me mordant les lèvres, tant elle est serrée. Son corps se relâche. Ses gémissements se font plus forts. Je dois résister quand elle me demande d’aller plus vite, d’aller plus fort. Malgré le risque, je cède à ses envies et manque d’exploser quand son sexe m’enserre tandis qu’un râle de jouissance lui échappe.

A ce moment là, pour être tout à fait honnête, je suis au bord de l’explosion mais heureusement elle me sauve en voulant changer de position. Court moment de répit pour moi, car se mettant à quatre pattes, elle implore une « levrette » que je lui concède avec plaisir. Cependant c’est pour moi une position incroyablement sexy, sexuelle et j’ai toujours eu beaucoup de mal à y résister longtemps.

Mes mains sur ses hanches, je reprends possession de son sexe toujours serré. Leila assise face à elle, couvre son visage de baisers. Dans un murmure, le souffle court, A. dit un mot à Leila dont le visage s’illumine instantanément. Je crois avoir compris. D’une contorsion habile, Leila se glisse sous le corps de A. Celle-ci en profite pour couvrir de baisers ce corps qui passe à porter de ses lèvres, jusqu'à enfin avoir le sexe de Leila offert sous ses doigts, ses lèvres, sa langue.

Malicieusement, la main de Leila commence à caresser l’intérieur de mes cuisses. Je la supplie d’arrêter, trop de sensations maintenant. Pitié, ne pas ajouter à mon doux supplice. Accédant à ma requête, elle glisse sa bouche à quelques centimètres, et sa langue vient ajouter au plaisir de A. qui a du mal maintenant à se concentrer sur ce sexe offert à sa bouche.

Je sens une des mains de A. se crisper sur ma hanche et sa bouche sur le ventre de Leila, souffle un râle de plaisir qui va crescendo semblant ne vouloir jamais finir. Je sens son sexe qui se fait plus étroit encore, semblant vouloir m’aspirer, m’enserrer au point de me faire exploser dans les secondes qui suivent. Je ralentis mon mouvement en lui précisant que je ne pourrais continuer sans exploser à mon tour. Sa main presse ma hanche plus fort et pensant qu’elle veut que j’arrête je ralentis encore plus mon mouvement. Mon plaisir est si proche que je me mords les lèvres si fort qu’un goût de sang envahi ma bouche. De sa main qui guide à nouveau mes mouvements, elle me demande de continuer et de jouir en elle, de jouir d’elle, de jouir avec elle. Leila glisse un peu sur le côté pour nous regarder tout deux. Une de ses mains se perd entre les cuisses de A. mais l’autre doucement lui caresse le dos. Je n’entends pas ses mots, mais elle lui souffle quelque chose auquel sa douce amie ne répond pas, concentrée sans doute sur les émotions et les sensations qui la parcourent.

Reprenant mes mouvements je calque mon rythme à sa respiration. Je ne tiens plus et un frisson violent me parcourt quand dans de rapides va-et-vient je finis par exploser.

Ai-je crié mon plaisir ? Oui sans doute. Ai-je pressé ses hanches plus fort ? Possible. Ai-je cherché le regard de Leila dans cet instant de plaisir ? Sans aucun doute.

Mon plaisir n’en finit pas, des frissons à la base de la nuque, des étoiles dans les yeux, J’en ai les jambes et le souffle coupés. Mon cœur bat la chamade. C’est fort, violent, mais si doux à la fois. Je sens la palpitation de son sexe serré sur moi qui aspire jusqu'à la dernière goutte de mon plaisir si masculin. Je me penche doucement sur sa nuque et j’embrasse son cou, ses épaules, son dos. N’en finis plus de la couvrir de baisers et de caresses.

Nous nous écroulons sur le côté. Leila vient se blottir contre A. couvre son visage de petits baisers. Pour ma part je caresse toujours ses épaules tout en embrassant son cou. Nous restons quelques instants ainsi, sans bouger, profitant de l’instant, aucun de nous ne voulant rompre le charme.

Pensant qu’elle souhaite échanger quelques mots entre filles, je me retire doucement et me dirige pour un passage rapide vers la salle de bain. Un brin de toilette, un peu d’eau fraîche sur le visage me ramène un peu à la réalité. Me regardant dans le miroir, je me demande si j’ai rêvé cet instant, cette fusion de deux, de trois corps.

Je retourne doucement vers la chambre, vers elles et du pas de la porte, je les vois enlacées et soudain, moment d’effroi pour moi :

A. pleure.

De longs sanglots la secouent, son visage dans le creux de l’épaule de Leila. Enfin celle-ci m’aperçoit. Elle voit le désarroi quand je l’interroge du regard mais d’une dénégation de la tête et d’un grand sourire, elle me rassure. Mais malgré cela, mille pensées se bousculent dans ma tête.

Que se passe-t-il ? Ai-je réveillé d’anciennes douleurs. Je n’ose m’approcher d’elles. Je me sens fautif, coupable d’un acte qui me révulse soudain. L’image d’une scène de son roman m’assaille. A nouveau je me mords la lèvre déjà douloureuse. Je serre les poings, la gorge serrée. Je me sens ridicule dans ma nudité, une simple serviette autour des hanches.

Leila les yeux brillants de larmes elle aussi, tend vers moi une main secourable que je n’ose saisir un court instant. Je m’assois enfin près d’elles. Je les écoute, je l’écoute.

Elle me décrit, me raconte le trouble qu’a déclenché cette étreinte. La douleur qui ressurgit malgré elle. Mais très vite effacée par la douceur de nos gestes à tout deux, par la complicité qui nous a unis tous les trois à ce moment là. Grand moment d’émotion pour nous, pour moi. Je la prends dans mes bras, l’enlace la serre sur mon cœur. A. me remercie de ma douceur, d’avoir quelque peu exorcisé ses démons. Je me tais, je l’écoute encore. Elle n’en finit pas de nous remercier. Leila à son tour, pour avoir partagé cet instant, pour m’avoir partagé.

Même s’il est des cicatrices, des blessures qui jamais ne guérissent, peut-être avons-nous aidé en partie la sienne à être un peu moins douloureuse, moins présente. Dans ma vie d’homme, j’ai eu cette honneur, comment ne pourrais-je pas, moi, la remercier de la confiance qu’elle m’a accordée, qu’elle nous à accordée. Plus jeune, moi qui pensais que mon plus grand exploit c’était d’avoir « dépucelé » une belle et jeune vierge d’encore vingt cinq ans, comment comparer cela à l’instant que nous avons partagé tous les trois.

De ce jour, nous avons gardé avec A., une grande complicité et même si cette soirée ne se reproduisit pas par la suite, nous en garderons à jamais, un doux souvenir. Nous sommes heureux pour elle, sincèrement, de sa nouvelle histoire d’amour avec V. Nous la voulons, nous les voulons heureuses. Et même si nous nous sommes un peu éloignés d’elle, nos pensées l’accompagnent.

Dernièrement, nous retrouvant autour d’un repas pour la présentation « officielle » de sa compagne, nous nous sommes retrouvés naturellement comme si nous ne nous étions quittés que la veille. V. qui craignait les retrouvailles a passé une superbe soirée je l’espère, c’est ce que j’ai ressenti.

De nos autres aventures, j’ai remarqué que l’amitié entre femmes, qu’elles soient hétéros, bi ou homosexuelles, était très forte, et encore plus quand elles ont partagé des moments intimes. J’ai découvert la même intensité dans les liens qui nous unissent tous les trois. C’est sans doute la première fois qu’avec Leila, nous avons partagé une telle « complicité ». Et je sais qu’elle comprendra et m’approuvera quand je dis :

« A., nous t’aimons, nos moments ensemble nous manquent.
A. ………on t’aime, A., ……… je t’aime »



Petite precision A est le "pseudo" de notre amie, elle n'a pas voulu que je le mette car le milieu "intello-homo" ou elle evolue n'aurait pas compris cette soiree. Et aussi par simple discretion
Leila, c'est le prenom de mon Ex, cest l'origine de mon pseudo eric-de-L à l'origine, je l'ai toujours gardé.
Vous risquez trouver parfois des L à la place du A, j'ai essayer de modifier mais j'en ai peut etre oublier certains.
Enjoy
Farfa
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Re: Rencontre ...

Message par Farfa »

Franchement? tu écries vraiment bien. :jap:
Un plaisir de te lire Eric.
Dresseur de cafards, branleur de la main droite, culotte addict, voyeur irrécupérable... à ne pas fréquenter, vous voila prevenu!
BjEd9a7

Re: Rencontre ...

Message par BjEd9a7 »

merci farfa, celui la j ai mis du temps à l'ecrire, je voulais que ce soit erotique, mais pas que ... et javais ma muse lol
E7hyM5

Re: Rencontre ...

Message par E7hyM5 »

splendide!!
ta façon d'écrire est incroyable!
ce texte est si doux, si pur.
Waouhhh!!
BjEd9a7

Re: Rencontre ...

Message par BjEd9a7 »

merci les filles
et c'est une rarete le seul ou le JE c'est moi lol
cLEg6

Re: Rencontre ...

Message par cLEg6 »

Je n'ai même pas songé à être émoustillée. Sur le coup, j'ai même été plutôt indifférente à l'aspect sexuel du récit ; il me faudra sûrement une prochaine relecture. Tes lignes m'ont juste foutu les larmes aux yeux, en fait. Merci pour ce partage, j'en reste sans voix.
BjEd9a7

Re: Rencontre ...

Message par BjEd9a7 »

pfiou merci toi
chihiro76

Re: Rencontre ...

Message par chihiro76 »

Tout pareil que Emily c'est pas l'aspect sexuelle qui me marque, mais l'histoire.
Merci Eric :)
Supprimé

Re: Rencontre ...

Message par Supprimé »

Vraiment excellent Eric, tu as une bien jolie plume, qui nous plonge vraiment dans le récit, nous prodigue des émotions très fortes :jap:
La grande classe ;)
BjEd9a7

Re: Rencontre ...

Message par BjEd9a7 »

merci encore
Wakeford

Re: Rencontre ...

Message par Wakeford »

CA ferait bien bander un peu quand même...

Sérieusement, c'est bien écrit. très subtil.
cLEg4

Re: Rencontre ...

Message par cLEg4 »

Une petite merveille ce récit...
Merci Eric!
BjEd9a7

Re: Rencontre ...

Message par BjEd9a7 »

plus qu'une rencontre, ca a ete un moment difficile à oublier, et cest cette amie qui ma convaincu de me remettre à l'ecriture , meme si jai zapper depuis qlq temps (2 ans)
cLEg4

Re: Rencontre ...

Message par cLEg4 »

Il faut continuer. C'est un régal!
BjEd9a7

Re: Rencontre ...

Message par BjEd9a7 »

je vais regrouper mes recits, j'ai en projet d'en lier une partie pour faire un recueil de mes nouvelles plus sm
cLEg4

Re: Rencontre ...

Message par cLEg4 »

Tu as trouvé une fan!Je serai très heureuse de te lire^^
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