mon bon plaisir....

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Morseum
Modeste
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mon bon plaisir....

Message par Morseum »

Un soir d’été, un lieu, un rendez-vous.

Ce soir, 23 h 00, 2 rue du château, tu seras ma chose.

Une maison vide, abandonnée… le panneau à vendre encore sur la grille, les meubles recouverts de draps blancs, le temps semble s’être arrêté. Même la vieille pendule du salon ne fait plus entendre son tic-tac. Il est pourtant 23 h 00. La porte fenêtre du salon était ouverte et elle est entrée facilement comme elle avait lu sur le message anonyme qu’elle avait trouvé ce matin sur son pare brise. Elle est entrée, l’angoisse et la curiosité qui lui tenaillaient le ventre. Attentive au moindre bruit, doucement et prudemment elle s’est avancé dans le salon. La pièce était plongée dans le noir. Seule la lune dessinait de grandes ombres fantomatiques. Un moment, elle eut d’ailleurs peur de sa propre ombre. Elle s’est arrêté quelques secondes, le cœur prêt à exploser, puis a continué d’avancer.
Elle le devina, assis dans un canapé. Forme noire sur fond blanc. Elle s’arrêta, tétanisée, prête à s’enfuir quand il lui parla…

Lui : Bonjour
Elle : Bonjour
Lui : Comment vas-tu ?
Elle : bien… dit-elle, étonnée par la question.
Lui : Peu importe…Sais tu pourquoi tu es là ? demanda t’il d’un ton ferme
Elle : oui…pour toi, murmura t’elle, essayant de deviner qui il était
Lui : oui, tu es là pour moi, pour mon plaisir, mon bon plaisir…
Elle : … tout ce que tu veux… osa t’elle.
Lui : décris moi ce que tu portes…
Elle : je suis en robe d’été, un imprimé à petites fleurs rouges…
Lui : mais encore ?
Elle : j’ai une petite étole sur les épaules, des souliers blancs à talons..
Lui : et ? dis moi tout, ne te fais pas prier
Elle : j’ai un soutien gorge rouge.
Lui : rien d’autre ?
Elle : non … rien, répondit elle hésitante
Lui : approches…soulève ta robe
Alors qu’elle soulevait sa robe, surprise mais excitée par la situation, elle sentit sa main sur son pubis, vérifiant si effectivement elle ne portait rien. Sa main chaude vérifia aussi la douceur de ses cuisses.
Elle commença à lâcher sa robe, jugeant la situation excitante mais étrange, quand il lui dit
Lui : reste comme ça, écartes les cuisses
Elle commençait à ne plus s’inquiéter de savoir qui lui parlait, en tout cas, la situation l’émoustillait franchement et se laissa faire.
Il promena sa main encore plus sensuellement sur l’intérieur de ses cuisses, puis passa plusieurs fois la tranche de sa main sur sa fente qui commençait déjà à réagir à ces caresses intimes.
Il humidifia un doigt dans sa bouche puis continua, en étant de plus en plus insistant sur son sexe, jusqu’à passer son doigt sur son petit bouton tout rose d’excitation.
Elle : mais…
Lui : ne bouge surtout pas …ne parles pas
Elle : ou..oui, essayant de cacher l’émoi qui l’envahissait
Il continua à passer ses doigts, de plus en plus précisément, de plus en plus rapidement, qu’elle ne put réprimer un mouvement de plaisir.
Lui : je t’avais dit de ne pas bouger, dit-il en même temps qu’il enfonça son doigt d’un geste ferme entre ses lèvres qui commençaient seulement à s’humidifier de désir
Elle ne put s’empêcher d’étouffer un petit cri en sentant ce doigt curieux et soudain dans son sexe.
Lui : puisque tu ne peux pas t’empêcher…
Il retira sa main de son entrejambe, posa ses mains sur ses hanches et la fit s’agenouiller brutalement. Elle tomba à genoux, et se retrouva devant lui. Elle se rendit compte qu’il se déboutonnait et qu’il sortait son sexe de son pantalon. Il l’attrapa par la nuque…
Lui : fais moi durcir avec ta bouche !
Elle hésita, mais subjuguée et excitée, elle présenta ses lèvres à son sexe, sentant la douce moiteur d’un sexe frémissant. Elle commença par donner quelques coups de langue sur ce sexe dans lequel le désir arrivait. Elle le sentit durcir petit à petit, jusqu’à pouvoir deviner son gland gorgé, elle le prit alors entier dans sa bouche et s’enhardit à esquisser quelques va et vient pour ensuite le sucer goulûment. Elle avait posé ses mains sur ses genoux et lui, continuait à lui maintenir la nuque, parfois en lui passant une main dans les cheveux.
Lui : voilà un talent intéressant, tu suces divinement bien.
Il la taquinait, la provoquait, semblant l’humilier même, ce qui suscitait en elle l’envie de lui montrer qu’elle était la meilleure à cet exercice.
Il lui fit comprendre d’arrêter en lui maintenant la tête en arrière par les cheveux.
Lui : enlève ta robe et ton soutien gorge, mets toi nue, laisse moi te baiser.
Elle s’exécuta aussitôt, complètement désinhibée, en laissant tomber au sol le peu qu’elle portait, se tenant toujours à genou devant lui.
Il se leva, lui plaqua de nouveau son visage sur son sexe et dit : encore.
Elle ne put que s’exécuter de nouveau, fragile et sans défense, complètement nue devant lui.
Ensuite il l’allongea à même le sol, un carrelage dur et froid, malgré la chaleur de l’été. Elle entendit le zip de la fermeture éclair, la boucle de ceinture, puis le glissement de son pantalon tomber au sol. Elle vit, grâce aux grandes ombres dans la pièce, qu’il déboutonnait sa chemise, la pliant sur le fauteuil. Elle vit aussi que son sexe continuait lui aussi à projeter de grandes ombres. Ce sexe tendu, turgescent et avide de son corps.
Il s’agenouilla lui aussi et embrassa avec passion, presque fougue, ses jambes, ses genoux, ses mollets, ses chevilles, puis il remonta embrassant son ventre et ses seins tendus par le désir. Il les mordilla, les tritura, les suçota. Elle était folle de désir et espérait qu’il déposerait un baiser sur ses lèvres. Mais il n’en fit rien, il l’embrassa dans le cou, entre les seins, entre les cuisses aussi goûtant ainsi à son humidité intime, mais jamais il ne l’embrassa tendrement. Elle était là pour lui et lui n’était pas là pour elle.
Il frotta son sexe sur ses chaussures. Alors elle serra les jambes et il put faire glisser son sexe entre ses pieds chaussés. Il semblait fortement apprécier.
Lui : déchausse toi !
Elle enleva la boucle de ses talons et les laissa tomber, pour ensuite resserrer à nouveau ses pieds pour qu’il se branle entre. Elle sentait ce sexe durci par la maladroite masturbation qu’elle lui prodiguait de ses pieds. Elle aurait presque supplié pour qu’il remonte sur elle, la prenne sèchement et la baise comme une pute, une salope ou tout simplement comme le jouet sexuel qu’elle était pour lui ce soir. Mais avant, il farfouilla de longs instants de sa langue agile mais aussi de ses doigts inquisiteurs, son sexe gourmand et humide. Des minutes interminables pour elle mais sources d’un tel plaisir, qu’elle avait du mal à contrôler son bassin qui cherchait les adroits coups de langue.
Lui : tu es prête maintenant…
Il l’a releva alors, la fit se pencher en avant sur le fauteuil, passa une main entre ses cuisses pour lui écarter les lèvres, pendant que de l’autre il dirigeait son sexe vers le sien. Il l’a prise alors soudainement, son sexe coulissa directement dans le sien ouvert de désir. Elle sentit ce coup de butoir au plus profond de son corps, comme une délivrance, elle attendait ce sexe en elle depuis de si longues minutes.
Elle le sentait déchaîné, bestial, autoritaire et en même temps plein de respect pour ce corps qu’elle lui offrait volontiers. Elle se sentait chose, jouet, exutoire, objet. Elle était à la merci de chacune de ses envies, de ces décisions. Il était un rustre qui se faisait obéir et qui se servait d’elle pour assouvir son fantasme. Elle était sa chose, et elle aimait. Elle aimait ce sexe dur en elle qui allait et venait entre ses lèvres, elle aimait ce sexe qui s’enfonçait en elle et lui donnait tant de plaisir, elle aimait ces mouvements et le râle qui les accompagnait. Elle aimait, non pas l’homme qui était derrière elle mais ce sexe d’homme qui l’honorait et faisait de son corps un objet sexuel.
Lui : laisse toi faire….
Il sortit son sexe du sien et elle sentit un doigt se perdre entre ses fesses. Elle comprit ce qu’il voulait, elle en avait peur, mais l’espérait en même temps, car elle voulait qu’il la possède totalement, et impudiquement aussi. Elle sentit ce doigt qu’il avait humidifié de sa salive, forcer son intimité la plus secrète. Elle le sentait contre elle, essayant de s’introduire par petits coups, par petits mouvements pour qu’il se détende. Elle faisait tout son possible pour se détendre elle aussi, pour que son corps puisse accueillir ce sexe. Il arriva à glisser un doigt puis deux. Elle souffrait un peu, mais en silence, elle ne devait pas parler, ni lui faire sentir qu’elle appréciait la douce morsure de cette légère douleur. Il fit ses doigts plus durs pour bien écarter cet orifice si secret. Puis il alla chercher quelque chose près du fauteuil, il lui sembla qu’il prenait un objet dans un sac. Il est alors revenu derrière elle qui se tenait toujours appuyée sur le fauteuil, les seins pendants et ses fesses en arrière prête à le recevoir. Elle sentit alors un liquide visqueux entre ses fesses, elle comprit qu’il avait pensé à un lubrifiant. Ce n’était pas pour qu’elle n’ait pas mal, elle le savait, c’était pour qu’il puisse la prendre à fond. Il s’en enduit lui-même le sexe et commença à l’appuyer entre ses fesses, là où elle s’était un peu dilaté. Il fit quelques mouvements de bassin pour tenter d’introduire son gland en douceur, lequel se faufila assez aisément il faut dire. Puis il fut moins doux et l’empala d’un coup sec et sans fioriture, sans penser à elle mais juste à lui. Il voulait lui prendre le cul, et bien, voilà ce qu’il était exactement en train de faire. Elle sentit ce membre chaud dans son ventre, ce membre qu’il lui provoquait et douleur et plaisir. Il n’arrêta pas de la pénétrer, alternant mouvements plus doux ou plus virils. Elle était haletante…
Lui : tais-toi, je ne veux pas t’entendre.
Elle : …
Lui : tu vois que tu peux…j’aime ton cul tu sais, j’aime tes fesses, tu sens comme tu me fais bander ? Tu sens comme j’honore ton cul ?
Elle : …
Lui : à qui est ce bon cul, dis moi ?
Elle : à toi, rien qu’à toi, lâcha t’elle entre deux coups de butoir, malgré l’interdiction de parler.
Elle sentait ses seins ballotter sous les mouvements du sexe qu’elle avait entre les fesses.
Elle sentit même une main venir fouiller de façon rustre son sexe non pris mais tout humide de la précédente pénétration.
Elle ne pouvait s’empêcher de gémir, elle avait mal et en même temps elle sentait le désir monter par un endroit assez inhabituel pour elle. Une douce chaleur l’envahit alors, une étrange sensation…elle s’était déjà fait prendre par là mais n’avait jamais joui. Elle laissa cette sensation monter sans pouvoir la retenir de toute façon. Et gémit soudainement. Un long gémissement provoqué par ce plaisir qui lui ravageait le corps et l’esprit. Il força de tout le poids de son corps sur elle pour qu’elle se retrouve le visage sur le dossier du fauteuil, elle mordit alors le drap blanc pour étouffer cet orgasme, elle savait ce qui lui en coûterait de montrer le plaisir qu’elle avait à l’instant même.
Lui : vas-y jouis ma belle, jouis mais en silence, jouis comme une salope qui se fait baiser. Ce sera mon tour ensuite…
Son tour vint aussitôt, ne laissant que peu de répit à sa propre jouissance.
Il se retira soudainement de son cul, lui laissant comme une sensation de manque entre ses fesses.
Lui : assieds toi maintenant.
Elle se retourna et s’assis dans ce fauteuil, elle se retrouva encore face à son sexe.
Il prit sa main et l’avança vers ses bourses, elle les prit bien dans la paume de sa main, jouant avec ses doigts sur la naissance de son rectum.
Lui : je vais me branler sur ton visage… dit-il pendant qu’il se masturbait juste sous son nez.
Elle approcha son visage près de ce sexe tendu et prêt à la souiller. En entendant un petit gémissement, elle sût qu’il allait venir, elle ferma alors les yeux. Et dans un râle contenu mais bien perceptible, elle reçut sur son visage un puis un deuxième autre long jet de foutre, chaud, visqueux, de cette queue qui venait de lui honorer le sexe et le cul. Elle sentit même les spasmes libérateurs de ses bourses au creux de sa main.
Elle sentait ce sperme couler sur son visage et dans son cou, puis couler sur ses seins. Mouillant, souillant ce corps, ou plutôt cet objet qu’elle était.
Il continua à se caresser le sexe, laissant échapper quelques petits jets, puis gouttes, puis perles au bout de ce gland qui déjà se dégorgeait de sang.
Lui : ne bouges pas…
Il ramassa le tube de lubrifiant, enfila son boxer, ses chaussettes, remit son pantalon et sa chemise, trouva ses chaussures, très rapidement, en à peine plus de deux minutes.
Elle, elle restait là, pantelante, harassée, le sperme commençant à se figer sur sa peau puisqu’elle ne pouvait pas bouger.
Il se dirigea vers l’extérieur, et au moment de sortir, il alluma la pièce tout en refermant la porte. Elle ne vit qu’une forme s’enfoncer dans la nuit car aveuglée par la lumière crue et soudaine, elle fut un instant incapable de discerner quoique ce soit autour d’elle. Après quelques secondes, elle se vit face à un miroir. Et elle se regarda plusieurs minutes, elle se voyait nue, assise au fond du fauteuil, les jambes légèrement écartées, son sexe et sa toison visibles. Le sperme l’ayant souillée de son visage jusqu’à sa poitrine, le maquillage coulant sur ses joues rouges du plaisir qu’elle venait de vivre. Décoiffée, ses vêtements au sol, seule dans une grande pièce toute blanche, une lourde mais piquante odeur de sexe flottant dans l’air. Le miroir lui renvoyait l’image d’une femme impudique qui venait de prendre du plaisir sans pudeur.
Elle se leva. Prit des mouchoirs dans son sac pour s’essuyer, ramassa son soutien gorge, le mit, enfila sa robe, reprit son étole, remit ses talons. Elle passa ses mains dans ses cheveux pour se recoiffer tant bien que mal. Elle était presque redevenue la même femme qu’elle était en arrivant ici, jeune, jolie, souriante, élégante. Elle avait juste un truc en plus se dit elle en refermant la porte derrière elle.
Elle : et oui, je suis une vraie salope maintenant…
Elle prit la route pour rentrer chez elle, rejoindre son mari et ses enfants. Peut-être réussirait-elle à rentrer sans le réveiller, à moins qu’il ne soit sorti lui aussi ?
Il me semble avoir reconnu son parfum, son odeur sur la chemise …pensa t’elle le sourire aux lèvres.
Elle avait accepté cela parce qu’elle savait qu’il n’était pas que cela. Il y avait eu d’autres fois où il avait été le plus tendre et le plus délicats des amants.
https://vimeo.com/67197229

j aime la musique, j aime l'atmosphère, j 'aime les miss du clip
cLEg6

Re: mon bon plaisir....

Message par cLEg6 »

Un délice. :cingle:
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