Marie Noelle

[fantas78]

Histoire vécue...

Je vais vous raconter maintenant une histoire vraie, qui m'est arrivée
il y a longtemps...
Un beau jour, que rien ne différenciait des autres, j'étais au restau d'entreprise (plus trivialement
appelé "cantine"), ou je déjeune tous les midis avec quelques collègues, hommes et femmes. La conversation
allait bon train, et comme d'habitude on regardait les collègues qui arrivaient pour faire des commentaires plus ou moins bienveillants sur leur tenue, l'allure générale, etc... Somme toute rien que de bien naturel...Quand nous avons vu entrer une femme dont la simple arrivée a provoqué un silence de quelques instants dans tout le coin de cantine que nous occupions. Imaginez, une femme d'environ 25/27 ans, brune aux cheveux courts encadrant un visage qui rappelle la fille de la publicité pour Gemey (celle du rouge à lèvres), des yeux verts, et une minirobe de laquelle sortaient les plus longues jambes que je n'avais jamais vues, et tendue en haut par une paire des seins qui ne demandaient qu'à jaillir de leur prison. J'en eus le souffle coupé, et franchement à voir les mâchoires tombantes et les yeux ronds de certains, je ne fus pas le seul. Ce moment de pure émotion passée, la conversation reprit, et j'appris incidemment de la bouche d'une de mes collègues qu'il s'agissait d'une secrétaire intérimaire qui devait travailler dans un service proche du mien, et que c'était elle qui l'avait accueillie le matin même. On la suivait du regard, et quand elle eût payé son repas, elle sembla un peu perdue, et regarda dans toutes les directions. Et tout naturellement, elle vint s'asseoir à notre table, vers la
seule personne qu'elle connaissait un peu, à savoir la collègue qui l'avait accueillie. Elle se présenta, on apprit -avec un peu de dépit- qu'elle était mariée, sans enfants. Je ne pouvais pas détacher mes yeux de son visage
pendant qu'elle parlait, et plusieurs fois elle regarda avec insistance dans ma direction. Le sourire qu'elle
m'adressa me retourna les sens, et le repas se termina comme dans un brouillard.
L'après midi, voulant en avoir le coeur net, je partis faire un "tour d'inspection" pour savoir où on l'avait installée, et en passant devant un bureau, j'entendis qu'on tapait au carreau. C'était elle qui me faisait des signes. Elle était dans un bureau qu'elle partageait avec une autre secrétaire, qui travaillait ici de longue
date. J'entrai dans le bureau, l'autre secrétaire n'était pas là, et nous commençâmes à parler un peu. Elle était
enjouée, très agréable à discuter, et je ne vis pas le temps passer. Elle s'était assise sur sa chaise légèrement tournée, et d'où j'étais j'avais une vue magnifique sur ses longues jambes qu'elle avait croisées. Je retrournai à mon bureau la tête pleine d'images dont certaines n'étaient pas tout à fait innocentes. Ce manège dura quelques jours, et au fil du temps notre complicité devenait de plus en plus évidente.
Je savais presque tout d'elle et elle en savait autant sur moi. Parfois quand l'autre secrétaire était absente, elle me montrait ses jambes un peu plus que la décence ne l'exigeait. Un jour elle me dit tout de go qu'elle aimait bien discuter avec moi, mais qu'elle aimerait aussi que nous ayions un peu plus d'intimité, que nous puissions discuter plus librement que dans ce bureau. Nous décidâmes de sortir ensemble le soir pour aller nous promener dans le parc du chateau de Rambouillet. Il faut dire que ce parc est très fréquenté quand il fait beau, et ce
jour là il faisait vraiment très beau...
Nous devions partir séparément, pour ne pas donner du grain à moudre à ceux et celles qui commençaient à trouver notre complicité un peu suspecte.
Nous nous retrouvâmes donc à l'entrée du parc du château....
Quelques minutes plus tard, nous étions en en train de nous promener côte à côte, et au bout d'un moment tout naturellement nos mains se joignirent. En fait de discussion, nous étions tous deux plutôt silencieux, appréciant la calme relatif de ce parc. Parfois on tournait la tête l'un vers l'autre, et nos regards suffisaient...
Et alors, comme si nous étions l'un et l'autre des aimants de polarité contraire, nous fûmes attirés l'un contre l'autre et nous nous embrassâmes passionnément. L'envie nous prit de faire l'amour là, immédiatement, sans attendre, et nous trouvâmes un coin, que je savais fréquenté par les amoureux en quête d'un peu d'intimité. Après une rapide inspection, nous vîmes qu'il n'y avait personne, et n'y tenant plus nous nous jetâmes l'un sur l'autre avec violence, et pendant qu'elle vérifiait avec une de ses mains l'effet qu'elle me faisait en la plaquant sur mon entrejambe, ce qui ne fit qu'augmenter mon excitation, de l'autre elle déboutonnait fébrilement son chemisier pour que je m'occupe de ses seins, qu'elle avait très fermes, mais qu'au bout de quelques secondes
je trouvais d'une infinie douceur....Vu l'endroit, nous avions peu de temps, aussi j'entrepris de baisser son pantalon, ce qui ne fut pas facile, il était très serré, et le galbe magnifique de ses hanches faisait obstacle, mais j'y arrivai, pendant qu'elle arrivait à son but et sortait de mon slip mon sexe qui me faisait presque
mal à force de tension. Je baissai son slip et mit ma main entre ses jambes pour la retirer trempée. Elle était arrivé au stade du désir sexuel pur, elle n'attendait plus qu'une chose c'est que je la pénètre sauvagement, et je ne la fis pas plus attendre.
Elle s'allongea sur le dos dans les herbes. Malgré la difficulté due à nos pantalons simplement baissés et au fait qu'on pouvait nous surprendre à tout instant, mon sexe trouva instantanément son chemin et je la labourai sauvagement, devenant d'un coup insensible à tout cet environnement. Elle poussait sans arrêt des petits
cris qui ne faisaient qu'augmenter mon désir. Au bout d'un temps que je ne peux pas évaluer, pendant lequel nous fûmes comme reliés par nos sexes en folie, n'y tenant plus je me dégageai comme dans un rêve pour répandre de longues giclées de sperme sur son ventre nu, agité par les spasmes de la jouissance.
Il nous fallut plusieurs minutes pour retrouver nos sens, et ce fut comme si nous émergions d'un état second dans lequel notre communion sexuelle nous avait plongé. Je crois bien que même avec ma femme je n'avais jamais connu ça...
Toujours allongée sur le dos elle sortit un mouchoir pour essuyer son ventre, et je vis enfin sa toison très courte qui ne cachait pas grand chose de sa fente, de laquelle coulait quelques gouttes de sa jouissance. Elle se releva, et flatta mon sexe de la main avant de l'essuyer lui aussi avec des gestes très doux. Nous nous rajustâmes et sortîmes du bosquet qui avait abrité nos ébats. Nous passâmes devant deux couples assis sur un banc, et je suis sur qu'il nous avaient vus ou entendus, car les hommes me jetèrent des regards envieux.
Il faut dire qu'elle était superbe, et que sa beauté était magnifiée par le fait qu'elle venait de jouir intensément. Nous nous quittâmes la mort dans l'âme pour rejoindre nos vies respectives, en nous promettant de recommencer à la moindre occasion.
Cette occasion se représenta bien sur!
Je précise encore que cette histoire est véridique, qu'elle m'est arrivée il y a longtemps, mais qu'elle m'a tellement marqué que je pense toujours à cette femme même si je ne l'ai pas revue depuis plus de 30 ans!

[Biquette]

C'est une bien belle histoire Fanta, joliment décrite et écrite, merci de la faire partager

[fantas78]

Pourtant depuis, j'ai eu des tas d'autres histoires, certaines trèèèès hot, avec hommes ou femmes, mais elle...C'est mon souvenir le plus marquant, peut-être parce que dans la suite les sentiments s'en sont mêlés, et qu'on a mis un terme à notre histoire d'un commun accord.

[yahourt]

tres belle histoire

[aghora]

Superbe récit, merci

[Supprimé]

laisse moi deviner, elle voulait que tu quittes ta femme pour vivre avec elle et lui faire des enfants c'est ça....

[ma-marmotte]

Pourtant depuis, j'ai eu des tas d'autres histoires, certaines trèèèès hot, avec hommes ou femmes, mais elle...C'est mon souvenir le plus marquant, peut-être parce que dans la suite les sentiments s'en sont mêlés, et qu'on a mis un terme à notre histoire d'un commun accord.

D'un commun accord mais avec un goût amer...

[Supprimé]

Ah ?