Philip a eu ce jour là un de ses cours annulé, et pouvait donc rentrer plus tôt, m'a trouvée à la maison dans ma tenue habituelle (une paire de sandales:) ) et m'a donc prise sans discussion, mais après un bonjour et un baiser tout de même, sur la table de la cuisine, puis m'a dit de mettre des chaussures et un manteau, et nous sommes partis en voiture.
Pendant qu'il conduisait, il m'a dit d'ouvrir mon manteau et de me caresser.
Ce que j'ai fait bien sûr.
Nous avons traversé quelques villages et une ville un peu plus grande, mais vu le temps, il n'y avait de toutes façons pas grand monde dans les rues qui aurait pu voir quelque chose.
Il a alors pris l'embranchement pour l'autoroute et s'est amusé à doubler les camions en faisant attention de rester longtemps à coté de la cabine, et en ayant pris soin de faire un appel de phares juste avant.
Pendant ce temps, il me racontait ce que ces chauffeurs me feraient si on s'arrêtait sur une aire de repos.
J'avais alors enlevé complètement mon manteau, et les descriptions qu'il me faisait, ainsi que les regards des chauffeurs sur moi m'excitaient au plus haut point.
Au bout d'un long moment, il s'est enfin arrêté sur une aire de repos (sans magasin ou station), et je me suis mise à espérer qu'un grand groupe de chauffeurs se trouveraient garés là, prêts à descendre de leurs camions pour venir me baiser comme une pute.
Malheureusement, il n'y avait qu'une camionnette de garée sur le parking.
Philip s'est garé un peu plus loin, à une vingtaine de mètres devant, m'a fait descendre, remettre mon manteau mais sans le fermer, et nous avons remonté le parking tous les deux, en passant devant la camionnette.
Deux hommes étaient assis à l'intérieur, la petite trentaine.
Nos regards se sont croisés.
Nous avons continué à marcher un peu, puis fait demi-tour pour retourner vers notre voiture, en repassant devant la camionnette.
Arrivés à 5 mètres de notre voiture -et donc à quinze mètres devant les deux hommes toujours assis derrière leur pare-brise et qui ne pouvaient rien faire d'autre que de nous voir, puisque nous étions juste devant eux-, il m'a demandé de m'arrêter.
Il est allé seul vers notre voiture, a ouvert le coffre (c'est un break), et j'ai vu qu'un matelas était posé bien à plat dans le coffre.
Il avait donc préparé -ou au moins envisagé- ce qui allait se passer.
Il m'a regardée, m'a dit de me tourner face à la camionnette.
Ce que j'ai fait.
Et d'enlever mon manteau.
Ce que j'ai fait.
J'étais maintenant nue devant ces deux inconnus dont je voyais les visages stupéfaits derrière la vitre.
Philip est revenu vers moi, s'est placé juste derrière, m'a embrassé dans le cou, en posant une de ses mains sur mes seins, et l'autre sur ma chatte, en y enfonçant immédiatement un doigt, ce qui m'arracha aussitôt un râle de plaisir.
Il m'a pris la main pour m'emmener vers notre voiture, offrant ainsi aux deux inconnus pleine vue sur mon cul, que je faisais bien exprès de montrer en tordant des hanches en marchant.
Il m'a fait m'asseoir sur le matelas, et sans un mot, mais en jetant un coup d'œil par dessus son épaule en direction de la camionnette, a ouvert et baissé son pantalon, exhibant devant mon visage son sexe épais déjà dur et dressé, sur lequel je me suis immédiatement jetée, l'avalant le plus profond possible dans ma bouche, puis commençant à aller et venir tout en me caressant les seins.
Après à peine une minute de ce petit jeu, il s'est retiré à mon grand regret de ma bouche pour me faire m'allonger.
Il a posé mes jambes sur ses épaules, a dirigé son sexe luisant entre mes cuisses et d'un seul coup de reins, s'est enfoncé au plus profond de ma chatte, me faisant immédiatement crier mon plaisir.
Il était en train de me prendre comme ça quand nous avons senti la présence des deux hommes à proximité.
Philip les a regardé, s'est retiré de ma chatte, m'a soulevé un peu les fesses, et a déplacé son sexe un petit centimètre plus bas, et commença à enfoncer sa queue centimètre par centimètre dans mon cul, me provoquant un long orgasme.
Puis il s'est remis à aller et venir de plus en plus vite et de plus en plus brutalement dans mon anus, pendant que je l'encourageais à me défoncer entre deux râles de jouissance.
Il s'est retiré au dernier moment et a arrosé mon corps nu de longues giclées de sperme.
Il s'est reculé, et j'ai tout de suite recommencé à me caresser, sans regarder les deux hommes.
Je l'ai entendu leur donner un préservatif et leur dire de me prendre chacun à leur tour, comme ils voulaient, mais de ne chercher que leur plaisir le plus vite possible, et de finir sur moi comme lui l'avait fait.
Et tout de suite après, j'ai senti des mains écarter mes cuisses en grand et une queue inconnue me pénétrer sans douceur, et commencer à me pilonner régulièrement en ponctuant chaque coup d'un rein d'un grognement sonore, que j'accompagnais systématiquement d'un petit cri.
Il changea à un moment de ma chatte à mon cul, mais revint rapidement dans ma chatte trempée, avant de se retirer, d'arracher sa capote et de tout lâcher sur mon ventre et mes seins.
Quelque secondes plus tard, il était remplacé par son camarade, qui lui me sodomisa directement et uniquement, me faisant tout autant jouir que le précédent, avant d'à son tour venir jouir sur moi.
L'un s'était déjà éloigné et l'autre le rejoignit presque aussitôt.
Exténuée mais satisfaite, je m'appuyai sur les coudes en souriant à mon mari qui se tenait juste devant moi à se régaler du spectacle en se masturbant.
Je lui souris, et lui fît signe de s'approcher.
J'ai à nouveau pris son sexe tout aussi dur qu'avant et cette fois je ne le lâchai plus, le suçant avec vigueur et ardeur jusqu'à ce qu'il inonde ma bouche de son sperme chaud.
Je me levai alors, pour l'embrasser à pleine bouche.
La camionnette passa à ce moment là à coté de nous en klaxonnant et je leur fis un petit signe de la main en leur souriant, nue et le corps encore dégoulinant de leur sperme.
Je remontai dans la voiture sans m'habiller, et nous sommes repartis à la maison.
L'arrêt sur cette aire n'avait pas duré plus de 20 minutes...