Les aventures de Lisa
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harwey
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Re: Les aventures de Lisa
Ah ! penser au sexe de l'Autre...
Mon cocktail BDSM : Dom avec un zeste de switch
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galinstan
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Re: Les aventures de Lisa : Une chaude soirée de fête 1/2
Une chaude soirée : dans la cuisine...
Juliette, une bonne complice, a voulu organiser une grande fête pour sa promotion professionnelle en invitant une trentaine de personnes. Bien décidée à m’amuser et pour relever un défi, je décide de porter une petite robe rouge sans sous-vêtements, qui même si elle n’est pas du tout transparente laissera deviner que je suis nue en dessous.
La soirée démarre vite et s’annonce chaude : l’alcool coule à flot, les invités se laissent aller et beaucoup ne se gênent pas pour s’embrasser et se peloter sur le canapé, dans les fauteuils…
A peu près au milieu de la soirée, pour rendre service, je vais dans la cuisine pour ranger un peu et charger le lave-vaisselle, poussant comme toujours mes fesses très en arrière quand je me penche. Je regarde distraitement par-dessus mon épaule et voit s’approcher Julien, un ami de Juliette avec qui j’avais un peu flirté dans le salon en début de soirée.
Visiblement très éméché, il s’approche derrière moi et me dit directement, comme ça, que j’ai un beau cul, puis se plaque contre moi et commence à masser son sexe que je sens durcir contre mes fesses, en m’attrapant par les hanches en proférant « hummm hummm hummm ». J’ai aussi pas mal bu, cet homme me plait...
Je commence à me sentir excitée, je n’ai pas le temps de bien réaliser ce qui se passe et déjà Julien remonte brusquement ma robe sur ma taille me découvrant les fesses. Puis il sort son sexe en érection et me pénètre tout de suite. Je sens un frisson me parcourir et je me laisse aller, les bras appuyés sur le plan de travail, le dos cambré, les fesses poussées contre Julien.
Je tourne un peu la tête quand j’entends la porte de la cuisine s’ouvrir : une collègue entre par inadvertance dans la cuisine et pousse une petite exclamation. Clarisse a toujours été très bourgeoise tradi, elle est venue à la soirée en jupe crayon et collier de perles, je l’ai toujours imaginée coincée. Je ne me formalise pas vraiment de cette interruption, je me sens même plutôt amusée en pensant avoir nourri les fantasmes de cette brave Clarisse pour les années à venir.
Julien est encore plus excité quand il s’aperçoit que Clarisse, dans sa hâte, a mal refermé la porte de la cuisine. J’ai l’impression que plusieurs personnes jettent un œil par la porte entrouverte, on entend des chuchotements dans le couloir...
Je me sens gênée en pensant que des hommes nous regardent, mais Julien m'empêche de me dégager en me maintenant plus fortement en même temps qu'il relève complètement ma robe sur la tête pour me malaxer les seins nus tout en me prenant. De l’autre main, il rythme le mouvement de nos bassins en caressant mon clitoris. Je suis toujours plus excitée, je jouis. Julien est sorti pour éjaculer dans ma raie des fesses, ce qui me procure un nouveau spasme de plaisir.
On se sépare rapidement, sortons de la cuisine en entendant des pas précipités de voyeurs qui libèrent le passage. Je suis toute titubante, Julien remonte sa braguette dans le couloir. Nous retournons dans le salon, conscients d’avoir attisé désirs et convoitises.
Je fantasme encore sur Julien, tout compte fait j’aimerais bien remettre ça (un peu plus lentement et langoureusement) … Je le guette, mais le voilà absorbé dans une discussion qui semble le passionner. Je me mets à mon tour à papoter avec d’autres personnes.
Une demi-heure plus tard, je le cherche des yeux mais ne le vois pas dans le salon. Il ne serait quand même pas parti sans me dire au revoir ? Je décide d’aller vérifier dans la chambre d’amis si son manteau est toujours là, entassé sur le lit avec les affaires de tous les invités…
Juliette, une bonne complice, a voulu organiser une grande fête pour sa promotion professionnelle en invitant une trentaine de personnes. Bien décidée à m’amuser et pour relever un défi, je décide de porter une petite robe rouge sans sous-vêtements, qui même si elle n’est pas du tout transparente laissera deviner que je suis nue en dessous.
La soirée démarre vite et s’annonce chaude : l’alcool coule à flot, les invités se laissent aller et beaucoup ne se gênent pas pour s’embrasser et se peloter sur le canapé, dans les fauteuils…
A peu près au milieu de la soirée, pour rendre service, je vais dans la cuisine pour ranger un peu et charger le lave-vaisselle, poussant comme toujours mes fesses très en arrière quand je me penche. Je regarde distraitement par-dessus mon épaule et voit s’approcher Julien, un ami de Juliette avec qui j’avais un peu flirté dans le salon en début de soirée.
Visiblement très éméché, il s’approche derrière moi et me dit directement, comme ça, que j’ai un beau cul, puis se plaque contre moi et commence à masser son sexe que je sens durcir contre mes fesses, en m’attrapant par les hanches en proférant « hummm hummm hummm ». J’ai aussi pas mal bu, cet homme me plait...
Je commence à me sentir excitée, je n’ai pas le temps de bien réaliser ce qui se passe et déjà Julien remonte brusquement ma robe sur ma taille me découvrant les fesses. Puis il sort son sexe en érection et me pénètre tout de suite. Je sens un frisson me parcourir et je me laisse aller, les bras appuyés sur le plan de travail, le dos cambré, les fesses poussées contre Julien.
Je tourne un peu la tête quand j’entends la porte de la cuisine s’ouvrir : une collègue entre par inadvertance dans la cuisine et pousse une petite exclamation. Clarisse a toujours été très bourgeoise tradi, elle est venue à la soirée en jupe crayon et collier de perles, je l’ai toujours imaginée coincée. Je ne me formalise pas vraiment de cette interruption, je me sens même plutôt amusée en pensant avoir nourri les fantasmes de cette brave Clarisse pour les années à venir.
Julien est encore plus excité quand il s’aperçoit que Clarisse, dans sa hâte, a mal refermé la porte de la cuisine. J’ai l’impression que plusieurs personnes jettent un œil par la porte entrouverte, on entend des chuchotements dans le couloir...
Je me sens gênée en pensant que des hommes nous regardent, mais Julien m'empêche de me dégager en me maintenant plus fortement en même temps qu'il relève complètement ma robe sur la tête pour me malaxer les seins nus tout en me prenant. De l’autre main, il rythme le mouvement de nos bassins en caressant mon clitoris. Je suis toujours plus excitée, je jouis. Julien est sorti pour éjaculer dans ma raie des fesses, ce qui me procure un nouveau spasme de plaisir.
On se sépare rapidement, sortons de la cuisine en entendant des pas précipités de voyeurs qui libèrent le passage. Je suis toute titubante, Julien remonte sa braguette dans le couloir. Nous retournons dans le salon, conscients d’avoir attisé désirs et convoitises.
Je fantasme encore sur Julien, tout compte fait j’aimerais bien remettre ça (un peu plus lentement et langoureusement) … Je le guette, mais le voilà absorbé dans une discussion qui semble le passionner. Je me mets à mon tour à papoter avec d’autres personnes.
Une demi-heure plus tard, je le cherche des yeux mais ne le vois pas dans le salon. Il ne serait quand même pas parti sans me dire au revoir ? Je décide d’aller vérifier dans la chambre d’amis si son manteau est toujours là, entassé sur le lit avec les affaires de tous les invités…
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Re: Les aventures de Lisa
Toujours aussi excitants tes récits @Lisa
Hâte de lire la suite et bien d'autres encore.
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Mikadoc
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Re: Les aventures de Lisa
c'est quand la suite ... 
D'gé... tu égaies ma vie de lumière 
Que vos choix soient le reflet de vos espoirs et non de vos peurs (N. Mandela)
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galinstan
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Re: Les aventures de Lisa : En voiture
Une sortie en voiture
Un après-midi, Antoine m’a demandé de m’habiller sexy pour aller quelque part – sans me préciser où mais en me disant qu’il y aurait une surprise.
Sur ses instructions, je mets une jupe courte et évasée, gris clair, des bas blancs avec porte-jarretelles, un cache-cœur assorti qui moule mes seins, laissant transparaitre mes aréoles, et des escarpins. Pas de sous-vêtements, bien sûr…
Nous prenons la voiture. Avant de démarrer Antoine me bande les yeux et nous roulons une vingtaine de minutes. Pendant le trajet, il laisse sa main posée sur ma cuisse, s’amuse à passer de temps en temps sous ma jupe, frôle mon pubis… Il me demande de poser une main sur son sexe. Je sais qu’il est excité, je jouis de sentir son érection à travers son pantalon.
Antoine s’arrête, baisse un instant le bandeau qui couvre mes yeux. J’ai juste le temps de voir que nous sommes sur une sorte de parking désert un après-midi de semaine, puis il sort de la boite à gants des menottes sexy, les passe à mes poignets, et réajuste mon bandeau.
Il commence à me caresser les seins, me lève les bras, les mains menottées, et je dois les garder sur la tête, il jouit de me sentir en son pouvoir, même s'il suffit que je tire un peu fort pour briser la chaînette des menottes.
Je suis de plus en plus excitée, il passe doucement une main dans l’échancrure de mon cache-cœur, une autre sous la jupe qu’il relève, il pince un téton, puis l’autre, masse mon pubis, descend lentement vers le clitoris puis glisse ses doigts dans la fente humide… Je gémis, j’aurais envie de le caresser mais je ne peux rien faire… Je suis sur le point de lui demander de me pénétrer quand il me dit qu’un homme marche tranquillement sur le parking et semble intéressé par ce qui se passe dans la voiture, qu’il approche…
Je ne sais pas s’il bluffe ou si c’est vrai. J’ai le réflexe de baisser les mains mais Antoine me dit de les garder sur la tête, qu'il m'avait dit qu'il y aurait une surprise.
Il me découvre complètement les seins en ouvrant largement le cache-cœur. Il les masse, les soupèse, les caresse puis d’un doigt frôle un téton, puis l’autre. Il relève ensuite complètement ma jupe, le haut de mes cuisses, mon sexe, mon pubis sont offerts à leurs vues. Me dit que l’autre apprécie le spectacle, je suis gênée et excitée en même temps. Il masturbe à peine mon sexe mouillé.
J’entends la vitre qui s’abaisse, Antoine recommence à me masturber, se fraye un chemin entre mes cuisses, passe ses doigts doucement, lascivement, de mon clitoris à mon vagin, me soulève un peu les fesses pour pouvoir stimuler mon anus, puis recommence, en me massant les fesses avec l’autre main.
J’ai un mouvement de surprise quand je sens qu’une main commence à me masser les seins et comprends que ce n’est pas Antoine. Puis je me détends sous les mains chaudes de l’inconnu qui reprennent exactement les mêmes gestes qu’Antoine, massant les seins, puis de plus en plus légèrement, caresses, frôlements, jusqu’au contact d’un seul doigt qui glisse d’un téton à l’autre.
Je jouis une première fois, de la masturbation d’Antoine et des caresses de l’homme.
Antoine me demande de le sucer en me mettant à genoux sur le siège fesses vers la portière. Toujours menottée je saisis son sexe dur et doux dans ma bouche. Je lèche son pénis, sur les côtés, dessus, dessous, joue avec son gland que je fais tourner entre mes lèvres, puis engloutis son sexe tout entier, le lâche, lèche ses testicules, revient vers son sexe…
Sur l’indication d’Antoine l’autre a ouvert la portière, rabattu ma jupe sur mon dos découvrant mes fesses nues qu’il commence à caresser. Il me tire les fesses en arrière vers lui par le porte jarretelles et glisse ses doigts dans mon sexe, dans mon anus, alterne les va-et-vient alors que je continue ma fellation à Antoine qui jouit dans ma bouche. L'autre a sorti son sexe et le masse contre mes fesses, puis il le glisse entre mes cuisses tout contre mes lèvres et se masturbe ainsi.
Antoine me redresse, me fait assoir sur le siège et pose mes mains menottées sur le sexe en érection de l’homme. Je commence à le masturber, faisant glisser les doigts le long de son pénis, serrant à peine, puis plus fort, alternant caresses lentes et mouvements rapides.
Me voir masturber cet inconnu, dont j’ignore totalement l’âge et l’aspect, excite de nouveau Antoine. Il veut me voir sucer cet homme, voir ma bouche, dans laquelle il a éjaculé il y a quelques instants, recommencer
ses mouvements de va-et-vient sur un autre pénis. Il me guide pour que je prenne le sexe de cet
homme dans ma bouche. Tandis que je fais une fellation à l’inconnu, goûtant ce sexe
étranger, sa fomme, sa grosseur, le grain de sa peau, Antoine se rapproche de moi, me tire un peu les
fesses en arrière et me pénètre. L’inconnu se retire de ma bouche pour éjaculer sur mes seins. Je jouis en même temps que lui du sexe d’Antoine.
Le temps qu’Antoine m’enlève le bandeau des yeux, l’inconnu a disparu. Je me demande presque si j’ai rêvé, si tout cela n’était pas simplement un jeu à deux avec Antoine… Je pourrais presque le croire, si je n’avais encore sur les seins son sperme luisant, et la sensation de ses caresses chaudes sur mes fesses et mes seins.
Un après-midi, Antoine m’a demandé de m’habiller sexy pour aller quelque part – sans me préciser où mais en me disant qu’il y aurait une surprise.
Sur ses instructions, je mets une jupe courte et évasée, gris clair, des bas blancs avec porte-jarretelles, un cache-cœur assorti qui moule mes seins, laissant transparaitre mes aréoles, et des escarpins. Pas de sous-vêtements, bien sûr…
Nous prenons la voiture. Avant de démarrer Antoine me bande les yeux et nous roulons une vingtaine de minutes. Pendant le trajet, il laisse sa main posée sur ma cuisse, s’amuse à passer de temps en temps sous ma jupe, frôle mon pubis… Il me demande de poser une main sur son sexe. Je sais qu’il est excité, je jouis de sentir son érection à travers son pantalon.
Antoine s’arrête, baisse un instant le bandeau qui couvre mes yeux. J’ai juste le temps de voir que nous sommes sur une sorte de parking désert un après-midi de semaine, puis il sort de la boite à gants des menottes sexy, les passe à mes poignets, et réajuste mon bandeau.
Il commence à me caresser les seins, me lève les bras, les mains menottées, et je dois les garder sur la tête, il jouit de me sentir en son pouvoir, même s'il suffit que je tire un peu fort pour briser la chaînette des menottes.
Je suis de plus en plus excitée, il passe doucement une main dans l’échancrure de mon cache-cœur, une autre sous la jupe qu’il relève, il pince un téton, puis l’autre, masse mon pubis, descend lentement vers le clitoris puis glisse ses doigts dans la fente humide… Je gémis, j’aurais envie de le caresser mais je ne peux rien faire… Je suis sur le point de lui demander de me pénétrer quand il me dit qu’un homme marche tranquillement sur le parking et semble intéressé par ce qui se passe dans la voiture, qu’il approche…
Je ne sais pas s’il bluffe ou si c’est vrai. J’ai le réflexe de baisser les mains mais Antoine me dit de les garder sur la tête, qu'il m'avait dit qu'il y aurait une surprise.
Il me découvre complètement les seins en ouvrant largement le cache-cœur. Il les masse, les soupèse, les caresse puis d’un doigt frôle un téton, puis l’autre. Il relève ensuite complètement ma jupe, le haut de mes cuisses, mon sexe, mon pubis sont offerts à leurs vues. Me dit que l’autre apprécie le spectacle, je suis gênée et excitée en même temps. Il masturbe à peine mon sexe mouillé.
J’entends la vitre qui s’abaisse, Antoine recommence à me masturber, se fraye un chemin entre mes cuisses, passe ses doigts doucement, lascivement, de mon clitoris à mon vagin, me soulève un peu les fesses pour pouvoir stimuler mon anus, puis recommence, en me massant les fesses avec l’autre main.
J’ai un mouvement de surprise quand je sens qu’une main commence à me masser les seins et comprends que ce n’est pas Antoine. Puis je me détends sous les mains chaudes de l’inconnu qui reprennent exactement les mêmes gestes qu’Antoine, massant les seins, puis de plus en plus légèrement, caresses, frôlements, jusqu’au contact d’un seul doigt qui glisse d’un téton à l’autre.
Je jouis une première fois, de la masturbation d’Antoine et des caresses de l’homme.
Antoine me demande de le sucer en me mettant à genoux sur le siège fesses vers la portière. Toujours menottée je saisis son sexe dur et doux dans ma bouche. Je lèche son pénis, sur les côtés, dessus, dessous, joue avec son gland que je fais tourner entre mes lèvres, puis engloutis son sexe tout entier, le lâche, lèche ses testicules, revient vers son sexe…
Sur l’indication d’Antoine l’autre a ouvert la portière, rabattu ma jupe sur mon dos découvrant mes fesses nues qu’il commence à caresser. Il me tire les fesses en arrière vers lui par le porte jarretelles et glisse ses doigts dans mon sexe, dans mon anus, alterne les va-et-vient alors que je continue ma fellation à Antoine qui jouit dans ma bouche. L'autre a sorti son sexe et le masse contre mes fesses, puis il le glisse entre mes cuisses tout contre mes lèvres et se masturbe ainsi.
Antoine me redresse, me fait assoir sur le siège et pose mes mains menottées sur le sexe en érection de l’homme. Je commence à le masturber, faisant glisser les doigts le long de son pénis, serrant à peine, puis plus fort, alternant caresses lentes et mouvements rapides.
Me voir masturber cet inconnu, dont j’ignore totalement l’âge et l’aspect, excite de nouveau Antoine. Il veut me voir sucer cet homme, voir ma bouche, dans laquelle il a éjaculé il y a quelques instants, recommencer
ses mouvements de va-et-vient sur un autre pénis. Il me guide pour que je prenne le sexe de cet
homme dans ma bouche. Tandis que je fais une fellation à l’inconnu, goûtant ce sexe
étranger, sa fomme, sa grosseur, le grain de sa peau, Antoine se rapproche de moi, me tire un peu les
fesses en arrière et me pénètre. L’inconnu se retire de ma bouche pour éjaculer sur mes seins. Je jouis en même temps que lui du sexe d’Antoine.
Le temps qu’Antoine m’enlève le bandeau des yeux, l’inconnu a disparu. Je me demande presque si j’ai rêvé, si tout cela n’était pas simplement un jeu à deux avec Antoine… Je pourrais presque le croire, si je n’avais encore sur les seins son sperme luisant, et la sensation de ses caresses chaudes sur mes fesses et mes seins.
Dernière modification par Invité le 20 juillet 2022, 14:45, modifié 5 fois.
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galinstan
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Re: Les aventures de Lisa
@Lisa cette histoire est hyper coquine ! Et tu as une jolie sensualité ! Merci et bisous !
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Re: Les aventures de Lisa
des récits très excitants... félicitations, j'aime bcp les situations érotiques que vous choisissez et votre manière de les raconter! c'est stimulant!
J'imagine souvent des scenarios ou ma compagne est désirée par un autre homme, on y pense ensemble, on se raconte... Et j'avoue que vos histoires m'inspirent! Merci @Lisa
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Ici, un exemple de ma modeste contribution
Cordialement
J'imagine souvent des scenarios ou ma compagne est désirée par un autre homme, on y pense ensemble, on se raconte... Et j'avoue que vos histoires m'inspirent! Merci @Lisa
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Cordialement
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Invité
Re: Les aventures de Lisa
MerciDesiderium a écrit : ↑02 juin 2022, 11:11 des récits très excitants... félicitations, j'aime bcp les situations érotiques que vous choisissez et votre manière de les raconter! c'est stimulant!
J'imagine souvent des scenarios ou ma compagne est désirée par un autre homme, on y pense ensemble, on se raconte... Et j'avoue que vos histoires m'inspirent! Merci @Lisa
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Cordialement
j'ai également apprécié votre récit me rappelant une situation que j'ai connu
Avez vous réalisé ce fantasme?
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Re: Les aventures de Lisa : Au bord du lac
Le banc
Antoine m’avait fait une demande très précise : m’habiller sexy et aller l’attendre sur un banc, dans le petit jardin privé près du lac, en jouant de tous mes atouts pour exciter les passants, en attendant qu’il me rejoigne…
Donc, vers 18h, je me suis habillée avec ma robe en voile de coton blanc, très léger et donc très transparent, un tanga en dentelle dessous, celui qui valorise bien mes fesses… Elle a un décolleté croisé, profond, qui s’entr’ouvre au moindre coup de vent pour dévoiler les seins, sans soutien-gorge, naturellement.
Et puis je suis allée dans ce jardin, qui dessert plusieurs hôtels et qui descend vers le lac. Ma tenue n’est pas passée inaperçue, d’autant que, selon les instructions d’Antoine, je marchais très lentement, nonchalamment, en ondulant doucement du cul…
En me retournant l’air de rien, j’ai vu plusieurs hommes me mater, deux qui m’ont emboité le pas…
Avant d’arriver au bord du lac, j’ai fait tomber ma pochette exprès, je me suis penchée, les fesses bien en arrière, pour la ramasser, mais un jeune serveur de l’hôtel, la trentaine, grand, mince, Nicolas qui vient du Sénégal, m’avait précédée, plongeant devant moi pour la ramasser et me la tendre, et plongeant au passage le regard dans mon décolleté….
Quand nous nous sommes redressés, en nous confondant mutuellement en excuses, c’est donc tout naturellement que nous nous sommes dirigés ensemble vers un banc. Avant de m’assoir, j’ai jeté des coups d’œil autour de moi, et j’ai fini par repérer Antoine, discrètement adossé à un arbre, un peu dans la pénombre : il n’avait donc pas perdu une miette de la scène…
Me voilà donc assise à côté de ce jeune homme, en congé ce jour là, à parler de tout et de rien, du lac, des hôtels, des vacances, mais j’ai vite remarqué qu’il me regardait rarement dans les yeux : il y avait de la brise, mon chemisier baillait, et il passait son temps à me regarder les seins… Sous son regard, mes tétons se sont mis à pointer, mes seins à durcir…
Je me suis amusée à croiser et décroiser mes jambes devant lui, on voyait nettement la dentelle du tanga sur mon pubis et j’ai noté que son regard descendait vers mon entrejambe… moi aussi j’ai regardé son entrejambe, le renflement toujours plus net de son pantalon…
Plusieurs fois, sous un prétexte ou un autre, il s’est levé pour passer derrière le banc : je n’étais pas dupe, j’avais bien compris que c’était pour mieux mater mes seins… un moment il était debout derrière le banc, sous prétexte de prendre une photo du lac (j’ai le fort soupçon qu’il en a profité pour prendre une photo de mon décolleté, voire pour l’envoyer à quelqu’un…).
J’ai décidé de faire ma coquine, je me suis levée pour ajuster la bride de ma sandale, le cul bien en évidence, tendu vers lui et vers Antoine aussi, le tanga surement très visible sous le voile de coton blanc transparent…
Il a bien dû comprendre que je l’allumais, il était resté debout derrière le banc et quand je me suis rassise il a posé ses mains sur mes épaules, puis a glissé une main sur mon sein gauche, très rapidement et furtivement. J’étais très excitée, j’aurais volontiers continué… et à ce moment-là Antoine est arrivé, a posé une main de propriétaire sur mon bras et s’est installé de l’autre côté de moi. Il était évident qu’on se connaissait, mais Nicolas s’est rassis comme il était auparavant. J’étais donc sur le banc, encadrée par ces deux hommes qui me désiraient.
Antoine a posé sa main sur ma cuisse, d’abord à peine au-dessus du genou, puis il a commencé à me caresser la cuisse nonchalamment, jusque très haut, des va et vient hypnotiques, descendant sur l’extérieur de la cuisse, remontant vers l’intérieur jusqu’à mon entrejambe faisant glisser le tissu de la robe en même temps
… Nicolas avalait souvent sa salive, le renflement de son pantalon avait augmenté…. Nous continuions de parler de tout et de rien, à trois maintenant, mais Antoine matait ostensiblement mes seins alors que Nicolas n’osait plus y jeter que des regards furtifs… jusqu’à ce qu’Antoine, d’un mouvement presque imperceptible, tire un peu sur mon décolleté, et que mes seins deviennent très visibles, le point de croisement du tissu s’étant déplacé vers le nombril…
La main d’Antoine a commencé à glisser à l’intérieur de ma cuisse, nous parlions du prix des hôtels mais Nicolas n’a pas perdu une miette du spectacle quand j’ai décroisé les jambes, que je les ai légèrement ouvertes, pour que la main d’Antoine puisse frôler mon pubis, se glisser dans mon entrejambe… Puis Antoine, toujours en parlant de tout et de rien, s’est rapproché de moi, et toujours en me caressant le sexe à travers le tanga, frottait doucement son sexe contre ma hanche…
je sentais son érection derrière moi (j’étais tournée de façon à voir Nicolas) et je voyais Nicolas qui bandait aussi… Je me sentais extrêmement excitée d’avoir ces deux hommes qui bandaient, me désiraient, leurs sexes en érection presque à portée de main… j’ai doucement porté ma main en arrière pour toucher le sexe d’Antoine… Nicolas a pris un prétexte, nous a souhaité une bonne soirée et s’est éloigné pour s’accouder sur la rambarde en bord de lac. Il était tourné de trois quarts, je voyais bien qu’il ne nous perdait pas de vue.
Antoine a commencé à m’embrasser, de façon très sexuelle, sa langue enroulée autour de la mienne, puis explorant ma bouche, puis mimant une pénétration. La pénombre commençait à tomber, il a commencé à me masturber, d’abord en caressant encore mon sexe à travers le tanga… puis il a fait glissé sa main sous ma robe, écarté la dentelle du tanga et ses doigts ont commencé à se glisser dans ma fente mouillée, faisant des petits mouvements circulaires autour de mon clitoris, puis se glissant à l’orée de mon vagin, puis descendant en direction de l’anus, puis recommençant…
Nous regardions discrètement Nicolas, qui avait vue sur mon pubis et mon sexe découverts, il avait sa main vers son sexe. La nuit tombait, le flash d’un bateau l’a illuminé un instant, j’ai vu qu’il avait sorti son sexe et se masturbait discrètement, à quelques mètres de nous…
Antoine a baissé sa fermeture éclair et sorti son sexe dur et luisant, j’ai léché ma main avec volupté puis j’ai commencé à le masturber, d’abord faisant langoureusement glisser mes doigts le long de sa queue dressée, descendant vers ses testicules, puis des frôlements furtifs de tous mes doigts sur tout son sexe, puis des caresses plus décidées, plus rapides. Au fur et à mesure que le rythme de ma main s’accélérait, serrant le sexe d’Antoine toujours plus dur, je voyais que Nicolas aussi avait accéléré son rythme.
Nous étions maintenant presque protégés par l’obscurité : quand j’ai senti qu’Antoine était sur le point de jouir, je me suis penchée vers lui et son sperme a éclaboussé mes seins.
Puis j’ai regardé Nicolas, le flash d’un autre bateau nous a tous illuminés, j’ai eu nettement envie de son sexe sorti.
Puis je me suis assise sur ses genoux en me penchant bien en avant pour que Nicolas voit bien mes seins, et Antoine a recommencé à me masturber, une main devant, entre mon clitoris et mon vagin, une main dans ma raie des fesses. J’ai joui en voyant Nicolas avoir un petit soubresaut, puis rentrer son sexe dans son pantalon.
J’ai cru le voir nous sourire avant de s’éloigner à grands pas ».
Antoine m’avait fait une demande très précise : m’habiller sexy et aller l’attendre sur un banc, dans le petit jardin privé près du lac, en jouant de tous mes atouts pour exciter les passants, en attendant qu’il me rejoigne…
Donc, vers 18h, je me suis habillée avec ma robe en voile de coton blanc, très léger et donc très transparent, un tanga en dentelle dessous, celui qui valorise bien mes fesses… Elle a un décolleté croisé, profond, qui s’entr’ouvre au moindre coup de vent pour dévoiler les seins, sans soutien-gorge, naturellement.
Et puis je suis allée dans ce jardin, qui dessert plusieurs hôtels et qui descend vers le lac. Ma tenue n’est pas passée inaperçue, d’autant que, selon les instructions d’Antoine, je marchais très lentement, nonchalamment, en ondulant doucement du cul…
En me retournant l’air de rien, j’ai vu plusieurs hommes me mater, deux qui m’ont emboité le pas…
Avant d’arriver au bord du lac, j’ai fait tomber ma pochette exprès, je me suis penchée, les fesses bien en arrière, pour la ramasser, mais un jeune serveur de l’hôtel, la trentaine, grand, mince, Nicolas qui vient du Sénégal, m’avait précédée, plongeant devant moi pour la ramasser et me la tendre, et plongeant au passage le regard dans mon décolleté….
Quand nous nous sommes redressés, en nous confondant mutuellement en excuses, c’est donc tout naturellement que nous nous sommes dirigés ensemble vers un banc. Avant de m’assoir, j’ai jeté des coups d’œil autour de moi, et j’ai fini par repérer Antoine, discrètement adossé à un arbre, un peu dans la pénombre : il n’avait donc pas perdu une miette de la scène…
Me voilà donc assise à côté de ce jeune homme, en congé ce jour là, à parler de tout et de rien, du lac, des hôtels, des vacances, mais j’ai vite remarqué qu’il me regardait rarement dans les yeux : il y avait de la brise, mon chemisier baillait, et il passait son temps à me regarder les seins… Sous son regard, mes tétons se sont mis à pointer, mes seins à durcir…
Je me suis amusée à croiser et décroiser mes jambes devant lui, on voyait nettement la dentelle du tanga sur mon pubis et j’ai noté que son regard descendait vers mon entrejambe… moi aussi j’ai regardé son entrejambe, le renflement toujours plus net de son pantalon…
Plusieurs fois, sous un prétexte ou un autre, il s’est levé pour passer derrière le banc : je n’étais pas dupe, j’avais bien compris que c’était pour mieux mater mes seins… un moment il était debout derrière le banc, sous prétexte de prendre une photo du lac (j’ai le fort soupçon qu’il en a profité pour prendre une photo de mon décolleté, voire pour l’envoyer à quelqu’un…).
J’ai décidé de faire ma coquine, je me suis levée pour ajuster la bride de ma sandale, le cul bien en évidence, tendu vers lui et vers Antoine aussi, le tanga surement très visible sous le voile de coton blanc transparent…
Il a bien dû comprendre que je l’allumais, il était resté debout derrière le banc et quand je me suis rassise il a posé ses mains sur mes épaules, puis a glissé une main sur mon sein gauche, très rapidement et furtivement. J’étais très excitée, j’aurais volontiers continué… et à ce moment-là Antoine est arrivé, a posé une main de propriétaire sur mon bras et s’est installé de l’autre côté de moi. Il était évident qu’on se connaissait, mais Nicolas s’est rassis comme il était auparavant. J’étais donc sur le banc, encadrée par ces deux hommes qui me désiraient.
Antoine a posé sa main sur ma cuisse, d’abord à peine au-dessus du genou, puis il a commencé à me caresser la cuisse nonchalamment, jusque très haut, des va et vient hypnotiques, descendant sur l’extérieur de la cuisse, remontant vers l’intérieur jusqu’à mon entrejambe faisant glisser le tissu de la robe en même temps
… Nicolas avalait souvent sa salive, le renflement de son pantalon avait augmenté…. Nous continuions de parler de tout et de rien, à trois maintenant, mais Antoine matait ostensiblement mes seins alors que Nicolas n’osait plus y jeter que des regards furtifs… jusqu’à ce qu’Antoine, d’un mouvement presque imperceptible, tire un peu sur mon décolleté, et que mes seins deviennent très visibles, le point de croisement du tissu s’étant déplacé vers le nombril…
La main d’Antoine a commencé à glisser à l’intérieur de ma cuisse, nous parlions du prix des hôtels mais Nicolas n’a pas perdu une miette du spectacle quand j’ai décroisé les jambes, que je les ai légèrement ouvertes, pour que la main d’Antoine puisse frôler mon pubis, se glisser dans mon entrejambe… Puis Antoine, toujours en parlant de tout et de rien, s’est rapproché de moi, et toujours en me caressant le sexe à travers le tanga, frottait doucement son sexe contre ma hanche…
je sentais son érection derrière moi (j’étais tournée de façon à voir Nicolas) et je voyais Nicolas qui bandait aussi… Je me sentais extrêmement excitée d’avoir ces deux hommes qui bandaient, me désiraient, leurs sexes en érection presque à portée de main… j’ai doucement porté ma main en arrière pour toucher le sexe d’Antoine… Nicolas a pris un prétexte, nous a souhaité une bonne soirée et s’est éloigné pour s’accouder sur la rambarde en bord de lac. Il était tourné de trois quarts, je voyais bien qu’il ne nous perdait pas de vue.
Antoine a commencé à m’embrasser, de façon très sexuelle, sa langue enroulée autour de la mienne, puis explorant ma bouche, puis mimant une pénétration. La pénombre commençait à tomber, il a commencé à me masturber, d’abord en caressant encore mon sexe à travers le tanga… puis il a fait glissé sa main sous ma robe, écarté la dentelle du tanga et ses doigts ont commencé à se glisser dans ma fente mouillée, faisant des petits mouvements circulaires autour de mon clitoris, puis se glissant à l’orée de mon vagin, puis descendant en direction de l’anus, puis recommençant…
Nous regardions discrètement Nicolas, qui avait vue sur mon pubis et mon sexe découverts, il avait sa main vers son sexe. La nuit tombait, le flash d’un bateau l’a illuminé un instant, j’ai vu qu’il avait sorti son sexe et se masturbait discrètement, à quelques mètres de nous…
Antoine a baissé sa fermeture éclair et sorti son sexe dur et luisant, j’ai léché ma main avec volupté puis j’ai commencé à le masturber, d’abord faisant langoureusement glisser mes doigts le long de sa queue dressée, descendant vers ses testicules, puis des frôlements furtifs de tous mes doigts sur tout son sexe, puis des caresses plus décidées, plus rapides. Au fur et à mesure que le rythme de ma main s’accélérait, serrant le sexe d’Antoine toujours plus dur, je voyais que Nicolas aussi avait accéléré son rythme.
Nous étions maintenant presque protégés par l’obscurité : quand j’ai senti qu’Antoine était sur le point de jouir, je me suis penchée vers lui et son sperme a éclaboussé mes seins.
Puis j’ai regardé Nicolas, le flash d’un autre bateau nous a tous illuminés, j’ai eu nettement envie de son sexe sorti.
Puis je me suis assise sur ses genoux en me penchant bien en avant pour que Nicolas voit bien mes seins, et Antoine a recommencé à me masturber, une main devant, entre mon clitoris et mon vagin, une main dans ma raie des fesses. J’ai joui en voyant Nicolas avoir un petit soubresaut, puis rentrer son sexe dans son pantalon.
J’ai cru le voir nous sourire avant de s’éloigner à grands pas ».
Dernière modification par Invité le 31 juillet 2022, 17:38, modifié 1 fois.
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Re: Les aventures de Lisa : Au bord du lac, la suite...
Le banc, la suite
Le lendemain je suis allée lire sur un grand canapé dans le jardin, dans le coin un peu sauvage au fond du parc. En remontant de la piscine j’avais enlevé mon maillot mouillé et j’étais nue sous ma petite robe noire à bretelles, celle qui a des triangles devant les seins et un décolleté très profond. Je lisais donc tranquillement quand tout d’un coup j’ai senti une main sur mon épaule nue, je me retourne, c’était Nicolas…
Il s’est assis à côté de moi, près, très près... J’étais un peu gênée, on a commencé à parler de tout et de rien, du livre que je lisais… Il passait souvent sa main dans ses cheveux crépus, sa langue sur ses lèvres charnues. Il faisait semblant de s’intéresser à la conversation mais je voyais qu’il regardait surtout mes tétons pointer contre les petits triangles de ma robe et qu’il lorgnait mes jambes – ma petite robe arrivant à mi-cuisses. Je voyais nettement son érection sous son pantalon en toile légère.
Après un petit silence, Nicolas s’est lancé : « c’était très excitant l’autre soir… ». Il m’a raconté son excitation quand nous étions seuls lui et moi, surtout quand je me suis levée du banc, me suis baissée en avant, et qu’il a pratiquement vu mes fesses bien en évidence sous mon tanga… Il m’a dit qu’il a été très frustré quand Antoine est arrivé… qu’il s’était masturbé en m’imaginant le masturber, et pas seulement l’autre soir devant nous…
J’étais moi aussi excitée de le sentir si près de moi, inconsciemment j’ai remonté ma robe plus haut sur mes jambes, il m’a demandé si j’attendais quelqu’un et quand je lui ai dit que non, il a posé sa main, sûr de lui, sur ma cuisse et commencé à me caresser, reproduisant exactement le geste de l’autre soir, descendant sur l’extérieur de la cuisse, remontant sur l’intérieur, de plus en plus haut…
Il a commencé à me peloter les seins avec son autre main, les malaxant d’abord à travers le tissu puis glissant deux doigts négligemment dans l’échancrure, excitant mes tétons, puis revenant sur le tissu, me pelotant à pleine main, un sein, puis l’autre…. Son autre main remontait de plus en plus haut sur ma cuisse, je crois qu’il a été surpris quand il a compris que cette fois je n’avais pas de tanga...
Il d’abord à peine frôlé mon sexe, puis s’est redressé pour ouvrir sa braguette, sortir son sexe et ses testicules.
Il a saisi ma main et l’a posé dessus. J’ai été surprise de la taille de son sexe, que je n’avais pas bien vu hier soir : un pénis très épais avec un gland très proéminent...
J’ai léché ma main de façon très suggestive, en le regardant dans les yeux, puis j’ai commencé à le masturber, il était déjà très dur, c’était presque difficile tant son sexe était large, je ne pouvais même pas l’entourer complètement de ma main. J’ai commencé par faire glisser mes doigts le long de son sexe, le frôler, descendre vers ses testicules, dont la peau était étonnamment douce, puis le masturber de façon plus rythmée.
Je le sentais de plus en plus excité, son sexe gros et dur dans ma main. « Maintenant suces moi », a-t-il susurré en appuyant sur ma tête. Il était presque trop large pour ma bouche, j’ai eu du mal à aller plus loin que son gland, son sexe m’emplissait la bouche même si je crois que je ne l’engloutissais pas plus qu’à moitié. « Je sais que je suis large », m’a-t-il dit, continuant à impulser le rythme en m’appuyant sur la tête mais sans aller trop fort ni trop loin.
Puis il m’a dit de me mettre à 4 pattes sur le canapé pour le sucer, il a remonté le bas de ma robe sur mes reins, mes fesses nues en évidence, mes seins ballottant légèrement dans les triangles au rythme de la fellation. Il a commencé à me masturber, j’étais déjà très mouillée, il a enfoncé d’un coup son doigt dans mon vagin, puis il a fait des va et vient au rythme de la fellation, glissant de mon clitoris à l’ouverture des lèvres puis à mon anus, remontant, enfonçant de temps en temps ses doigts profondément dans mon vagin ou dans mon anus puis reprenant son va et vient.
Alors que nous étions tous les deux très proches de la jouissance, il m’a ordonné de le chevaucher, face à lui. J’ai eu un moment d’hésitation, je crois que je n’avais jamais été pénétrée par un si gros pénis, mais en m’empalant sur lui j’ai gémi de plaisir. Il avait ses mains sur mes hanches, puis une de ses mains a glissé dans ma raie des fesses et à chaque fois que son sexe rentrait en moi il m’enfonçait en même temps deux doigts dans l’anus. Il m’a suffi de quelques va et vient pour jouir intensément.
Nicolas n’avait pas encore joui, ses mains sur mes hanches m’ont soulevée puis il m’a retournée, m’a ordonné de poser mes mains sur la petite table basse pas très loin du canapé, mes fesses tendues en arrière vers lui comme dans la position du chien qui s’étire, ma petite robe remontée presque jusqu’aux épaules.
Nicolas m’a pénétrée d’un coup, très profondément, ses mains sur mes hanches continuant à impulser le rythme de la pénétration et en même temps m’écartant et me resserrant les fesses au rythme de ses coups de boutoir, mes seins ballottant de nouveau. Il s’est retiré pour éjaculer sur mes fesses, pratiquement sur mon anus, puis, m’empêchant de me redresser, il a recommencé à me masturber en faisant glisser son sperme de mon anus à mon clitoris, jusqu’à ce que je jouisse une deuxième fois. Je me suis redressée pantelante, il était déjà en train de remonter sa braguette et il s’est éloigné très vite.
Le lendemain je suis allée lire sur un grand canapé dans le jardin, dans le coin un peu sauvage au fond du parc. En remontant de la piscine j’avais enlevé mon maillot mouillé et j’étais nue sous ma petite robe noire à bretelles, celle qui a des triangles devant les seins et un décolleté très profond. Je lisais donc tranquillement quand tout d’un coup j’ai senti une main sur mon épaule nue, je me retourne, c’était Nicolas…
Il s’est assis à côté de moi, près, très près... J’étais un peu gênée, on a commencé à parler de tout et de rien, du livre que je lisais… Il passait souvent sa main dans ses cheveux crépus, sa langue sur ses lèvres charnues. Il faisait semblant de s’intéresser à la conversation mais je voyais qu’il regardait surtout mes tétons pointer contre les petits triangles de ma robe et qu’il lorgnait mes jambes – ma petite robe arrivant à mi-cuisses. Je voyais nettement son érection sous son pantalon en toile légère.
Après un petit silence, Nicolas s’est lancé : « c’était très excitant l’autre soir… ». Il m’a raconté son excitation quand nous étions seuls lui et moi, surtout quand je me suis levée du banc, me suis baissée en avant, et qu’il a pratiquement vu mes fesses bien en évidence sous mon tanga… Il m’a dit qu’il a été très frustré quand Antoine est arrivé… qu’il s’était masturbé en m’imaginant le masturber, et pas seulement l’autre soir devant nous…
J’étais moi aussi excitée de le sentir si près de moi, inconsciemment j’ai remonté ma robe plus haut sur mes jambes, il m’a demandé si j’attendais quelqu’un et quand je lui ai dit que non, il a posé sa main, sûr de lui, sur ma cuisse et commencé à me caresser, reproduisant exactement le geste de l’autre soir, descendant sur l’extérieur de la cuisse, remontant sur l’intérieur, de plus en plus haut…
Il a commencé à me peloter les seins avec son autre main, les malaxant d’abord à travers le tissu puis glissant deux doigts négligemment dans l’échancrure, excitant mes tétons, puis revenant sur le tissu, me pelotant à pleine main, un sein, puis l’autre…. Son autre main remontait de plus en plus haut sur ma cuisse, je crois qu’il a été surpris quand il a compris que cette fois je n’avais pas de tanga...
Il d’abord à peine frôlé mon sexe, puis s’est redressé pour ouvrir sa braguette, sortir son sexe et ses testicules.
Il a saisi ma main et l’a posé dessus. J’ai été surprise de la taille de son sexe, que je n’avais pas bien vu hier soir : un pénis très épais avec un gland très proéminent...
J’ai léché ma main de façon très suggestive, en le regardant dans les yeux, puis j’ai commencé à le masturber, il était déjà très dur, c’était presque difficile tant son sexe était large, je ne pouvais même pas l’entourer complètement de ma main. J’ai commencé par faire glisser mes doigts le long de son sexe, le frôler, descendre vers ses testicules, dont la peau était étonnamment douce, puis le masturber de façon plus rythmée.
Je le sentais de plus en plus excité, son sexe gros et dur dans ma main. « Maintenant suces moi », a-t-il susurré en appuyant sur ma tête. Il était presque trop large pour ma bouche, j’ai eu du mal à aller plus loin que son gland, son sexe m’emplissait la bouche même si je crois que je ne l’engloutissais pas plus qu’à moitié. « Je sais que je suis large », m’a-t-il dit, continuant à impulser le rythme en m’appuyant sur la tête mais sans aller trop fort ni trop loin.
Puis il m’a dit de me mettre à 4 pattes sur le canapé pour le sucer, il a remonté le bas de ma robe sur mes reins, mes fesses nues en évidence, mes seins ballottant légèrement dans les triangles au rythme de la fellation. Il a commencé à me masturber, j’étais déjà très mouillée, il a enfoncé d’un coup son doigt dans mon vagin, puis il a fait des va et vient au rythme de la fellation, glissant de mon clitoris à l’ouverture des lèvres puis à mon anus, remontant, enfonçant de temps en temps ses doigts profondément dans mon vagin ou dans mon anus puis reprenant son va et vient.
Alors que nous étions tous les deux très proches de la jouissance, il m’a ordonné de le chevaucher, face à lui. J’ai eu un moment d’hésitation, je crois que je n’avais jamais été pénétrée par un si gros pénis, mais en m’empalant sur lui j’ai gémi de plaisir. Il avait ses mains sur mes hanches, puis une de ses mains a glissé dans ma raie des fesses et à chaque fois que son sexe rentrait en moi il m’enfonçait en même temps deux doigts dans l’anus. Il m’a suffi de quelques va et vient pour jouir intensément.
Nicolas n’avait pas encore joui, ses mains sur mes hanches m’ont soulevée puis il m’a retournée, m’a ordonné de poser mes mains sur la petite table basse pas très loin du canapé, mes fesses tendues en arrière vers lui comme dans la position du chien qui s’étire, ma petite robe remontée presque jusqu’aux épaules.
Nicolas m’a pénétrée d’un coup, très profondément, ses mains sur mes hanches continuant à impulser le rythme de la pénétration et en même temps m’écartant et me resserrant les fesses au rythme de ses coups de boutoir, mes seins ballottant de nouveau. Il s’est retiré pour éjaculer sur mes fesses, pratiquement sur mon anus, puis, m’empêchant de me redresser, il a recommencé à me masturber en faisant glisser son sperme de mon anus à mon clitoris, jusqu’à ce que je jouisse une deuxième fois. Je me suis redressée pantelante, il était déjà en train de remonter sa braguette et il s’est éloigné très vite.
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Re: Les aventures de Lisa
Très très quoi ?
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Sadiquement masochiste, mais une masochiste sadique
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Re: Les aventures de Lisa
Le mois dernier nous sommes allés avec Antoine en vacances dans un village club au bord de la mer. Nous avons découvert une petite plage isolée, pas très loin de la plage du club mais difficile d’accès : il faut serpenter dans un petit chemin qui semble ne mener nulle part, puis descendre vers la mer en sautant sur les rochers… une plage parfaite pour batifole au soleil et là...
Je vous le raconte prochainement
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Re: Les aventures de Lisa : Sur la plage
Sur la plage...
Sur la demande d’Antoine je n’ai pas pris de maillot : j’ai simplement mon tanga blanc en dentelle sous une petite robe de plage transparente.
Juste avant d’arriver on croise un homme d’une soixantaine d’années qui doit remonter de la plage. Il est petit et trapu, une serviette sur l’épaule, qui lorgne mes seins nus sous ma robe.
Sur la plage il n’y a personne, vite j’enlève ma robe, ma culotte et on se jette dans l’eau.
Antoine malaxe mes seins, tantôt sous l’eau, tantôt à la surface, tandis que je commence à le masturber. D’abord petit, fripé par le froid, son pénis frémit, durcit, gonfle sous mes caresses expertes pendant je me masse en même temps le pubis contre sa jambe.
Notre petit manège ne passe pas inaperçu : Antoine a surpris le regard d’un paddliste passé à dix mètres de nous… ça l'excite encore davantage : il laisse glisser une main vers mon sexe, prenant plaisir à deviner mon clitoris sous l’eau, à ouvrir mes lèvres dont la consistance semble différente sous l’eau, à glisser ses doigts du mont de Vénus jusqu’à l’anus, puis à porter son sexe tout près de mon sexe. Nous continuons à nous masturber, le gland presque en contact avec l’orée du vagin.
On a un peu froid maintenant on s’apprête à retourner sur la plage pour continuer.
Surprise, l’homme qu’on a croisé en arrivant s’est installé là, nu, à deux mètres de nos serviettes. Depuis quand est-il là ? Qu’a-t-il vu ?
Antoine est ravi, il me rappelle mon gage suite à un pari perdu: ”allumes le”.
Pas d’autre choix que de sortir de l’eau à quelques pas de lui, qui me mate clairement derrière ses verres fumés.
Je me redresse face à la plage, un bras en travers de ma poitrine et une main devant mon sexe, comme pour me cacher, puis fait semblant de trébucher sur les galets et me redresse, coquine, la poitrine à l’air, les tétons qui pointent, le sexe bien visible.
Presque arrivée sur le rivage, je me retourne vers le large puis me penche pour plonger ses mains dans l’eau, les fesses tendues vers l’arrière, puis fais semblant de ramasser des galets et des coquillages en bordure de l’eau, plusieurs fois, de dos, de trois quarts pour que l’inconnu puisse regarder mes fesses, surprendre la courbe de mes seins, un bout de mon pubis…
Je reviens enfin sur la plage, Antoine m’enveloppe d’une serviette, que je garde pendant quelques secondes autour de moi avant de la laisser nonchalamment glisser à terre.
Me voilà nue, debout, face à la mer, comme pour finir de me sécher au soleil. « Notre invité a l’air très intéressé par ton cul », me susurre Antoine à l’oreille, tout en me pelotant les fesses comme d’une main distraite.
On s’allonge sur nos serviettes, toujours à quelques mètres de l’homme.
Le regard de l’inconnu sur moi excite le désir d’Antoine qui prend ma main et la pose sur son sexe. J’hésite un peu mais Antoine insiste. Je me retourne de profil, face à lui et dos à l’inconnu, et me mets à le branler.
Comme l’inconnu est placé, il ne peut pas vraiment voir ce que je fais, mais peut surement le deviner.
« Suce-moi », m’ordonne Antoine assez fort pour que l’homme puisse entendre. Je me mets paresseusement à genoux puis me penche vers son entrejambe, mes fesses en direction de l’homme, mon anus entrouvert.
Je commence à le sucer, le pénis grossit et durcit dans ma bouche, puis je le masturbe, puis alterne, suce, lèche, crache sur son sexe pour le lubrifier, mieux faire glisser mes doigts…
Antoine me dit que l'homme est excité par mes fesses. Je lève un instant la tête comme pour enlever une mèche de cheveux de mon visage, et jette un coup d’œil coquin à l’inconnu, qui me fixe en bandant et lentement commence à se masturber.
Puis je retourne au sexe d’Antoine. Celui-ci lui a mis une main sur ma tête, de temps en temps il impulse un rythme, le reste du temps il se laisse faire, il est très excité, sait qu’il va jouir dans ma bouche. L’homme halète bruyamment en se masturbant, son excitation stimule encore plus Antoine et m’excite aussi. Antoine jouit dans ma bouche.
Il s’allonge sur sa serviette. Je m’allonge à côté de lui, lui prends la main que je pose sur mon pubis en fermant les yeux. Antoine commence à me masturber. Je gémis, bouge mon bassin, je n’en peux plus, je prends sa main pour la guider les jambes écartées. J’entrouvre les yeux, l'inconnu est debout à mes pieds fixe mon sexe en se masturbant. Antoine a à peine glissé deux doigts dans ma fente, massant d’un même mouvement mon clitoris et mon anus. J’ai un puissant orgasme. L’inconnu éjacule presque en même temps sur moi.
Je reste les yeux fermés jusqu’à ce qu’il s’éloigne sur les rochers.
Sur la demande d’Antoine je n’ai pas pris de maillot : j’ai simplement mon tanga blanc en dentelle sous une petite robe de plage transparente.
Juste avant d’arriver on croise un homme d’une soixantaine d’années qui doit remonter de la plage. Il est petit et trapu, une serviette sur l’épaule, qui lorgne mes seins nus sous ma robe.
Sur la plage il n’y a personne, vite j’enlève ma robe, ma culotte et on se jette dans l’eau.
Antoine malaxe mes seins, tantôt sous l’eau, tantôt à la surface, tandis que je commence à le masturber. D’abord petit, fripé par le froid, son pénis frémit, durcit, gonfle sous mes caresses expertes pendant je me masse en même temps le pubis contre sa jambe.
Notre petit manège ne passe pas inaperçu : Antoine a surpris le regard d’un paddliste passé à dix mètres de nous… ça l'excite encore davantage : il laisse glisser une main vers mon sexe, prenant plaisir à deviner mon clitoris sous l’eau, à ouvrir mes lèvres dont la consistance semble différente sous l’eau, à glisser ses doigts du mont de Vénus jusqu’à l’anus, puis à porter son sexe tout près de mon sexe. Nous continuons à nous masturber, le gland presque en contact avec l’orée du vagin.
On a un peu froid maintenant on s’apprête à retourner sur la plage pour continuer.
Surprise, l’homme qu’on a croisé en arrivant s’est installé là, nu, à deux mètres de nos serviettes. Depuis quand est-il là ? Qu’a-t-il vu ?
Antoine est ravi, il me rappelle mon gage suite à un pari perdu: ”allumes le”.
Pas d’autre choix que de sortir de l’eau à quelques pas de lui, qui me mate clairement derrière ses verres fumés.
Je me redresse face à la plage, un bras en travers de ma poitrine et une main devant mon sexe, comme pour me cacher, puis fait semblant de trébucher sur les galets et me redresse, coquine, la poitrine à l’air, les tétons qui pointent, le sexe bien visible.
Presque arrivée sur le rivage, je me retourne vers le large puis me penche pour plonger ses mains dans l’eau, les fesses tendues vers l’arrière, puis fais semblant de ramasser des galets et des coquillages en bordure de l’eau, plusieurs fois, de dos, de trois quarts pour que l’inconnu puisse regarder mes fesses, surprendre la courbe de mes seins, un bout de mon pubis…
Je reviens enfin sur la plage, Antoine m’enveloppe d’une serviette, que je garde pendant quelques secondes autour de moi avant de la laisser nonchalamment glisser à terre.
Me voilà nue, debout, face à la mer, comme pour finir de me sécher au soleil. « Notre invité a l’air très intéressé par ton cul », me susurre Antoine à l’oreille, tout en me pelotant les fesses comme d’une main distraite.
On s’allonge sur nos serviettes, toujours à quelques mètres de l’homme.
Le regard de l’inconnu sur moi excite le désir d’Antoine qui prend ma main et la pose sur son sexe. J’hésite un peu mais Antoine insiste. Je me retourne de profil, face à lui et dos à l’inconnu, et me mets à le branler.
Comme l’inconnu est placé, il ne peut pas vraiment voir ce que je fais, mais peut surement le deviner.
« Suce-moi », m’ordonne Antoine assez fort pour que l’homme puisse entendre. Je me mets paresseusement à genoux puis me penche vers son entrejambe, mes fesses en direction de l’homme, mon anus entrouvert.
Je commence à le sucer, le pénis grossit et durcit dans ma bouche, puis je le masturbe, puis alterne, suce, lèche, crache sur son sexe pour le lubrifier, mieux faire glisser mes doigts…
Antoine me dit que l'homme est excité par mes fesses. Je lève un instant la tête comme pour enlever une mèche de cheveux de mon visage, et jette un coup d’œil coquin à l’inconnu, qui me fixe en bandant et lentement commence à se masturber.
Puis je retourne au sexe d’Antoine. Celui-ci lui a mis une main sur ma tête, de temps en temps il impulse un rythme, le reste du temps il se laisse faire, il est très excité, sait qu’il va jouir dans ma bouche. L’homme halète bruyamment en se masturbant, son excitation stimule encore plus Antoine et m’excite aussi. Antoine jouit dans ma bouche.
Il s’allonge sur sa serviette. Je m’allonge à côté de lui, lui prends la main que je pose sur mon pubis en fermant les yeux. Antoine commence à me masturber. Je gémis, bouge mon bassin, je n’en peux plus, je prends sa main pour la guider les jambes écartées. J’entrouvre les yeux, l'inconnu est debout à mes pieds fixe mon sexe en se masturbant. Antoine a à peine glissé deux doigts dans ma fente, massant d’un même mouvement mon clitoris et mon anus. J’ai un puissant orgasme. L’inconnu éjacule presque en même temps sur moi.
Je reste les yeux fermés jusqu’à ce qu’il s’éloigne sur les rochers.