inattendu [hétéro]

[melleviolette]

Le jour venait à peine de se lever. Cela faisait déjà plusieurs heures qu'elle ne dormait plus. La chaleur des nuits d'été , le bruit du vent chaud qui ne suffisait pas à la rafraichir, avaient écourté son sommeil déjà bien agité. Elle se leva, et déambula nue dans sa maison, si grande et si vide. Cela faisait 6 mois qu'il était parti. Elle commençait à peine à l'accepter.
Son téléphone vibra. Il venait de lui écrire. il avait besoin d'outils qu'il avait laissé quelque part dans le garage. Il voulait son accord pour passer les récupérer ce matin.
Elle se figea. Son ventre se contracta et sa respiration s'accéléra. Elle fut submergée par les souvenirs de son visage, de son corps. Et le sien réagissait à ces évocations. Sa main vint caresser ses seins puis descendit sur son ventre qui frissonnait . Elle s'aventura plus bas, tout doucement, glissant jusqu'à son sexe qu'elle sentit humide et chaud. L'excitation montait très vite. Elle retourna jusqu'à sa chambre, ouvrit son tiroir de chevet, et en sortit un vibromasseur . Elle le mit en marche et le posa sur son clitoris déjà gorgé de sang et enflé. Elle poussa un petit cri, puis se détendit. elle s'allongea sur son lit et écarta les jambes doucement. Le vibromasseur glissa plus bas et rencontra ses lèvres . Elle su qu'elle n'aurait pas besoin de lubrifiant artificiel pour introduire en elle son jouet. Doucement elle le fit glisser en elle. les vibrations résonnaient jusque dans son ventre et son souffle devint court et plus rapide encore. De sa main gauche elle pinçait son téton pendant que la droite accélérait pour donner de plus d'amplitude au mouvement de va et vient du jouet dans son sexe. Elle ne pu se retenir longtemps de jouir et et cria sa jouissance sans se soucier de la fenêtre ouverte sur le voisinage. Lentement elle sortir le vibromasseur de son intimité et repris son souffle. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas réussi à se laisser aller comme cela.

Elle repris son téléphone et envoya une réponse.
" ok pour que tu passes ce matin, pas trop tard, doit m'absenter".

C'était faux elle n'avait rien prévu, mais voulait qu'il vienne vite. Il lui répondit qu'il serait là 1h plus tard.

Elle se prépara donc, douche, et vêtements, même si elle aurait préférer le recevoir nue. Elle mis un jean et un tee-shirt légèrement décolleté. Elle laissa ses cheveux lâchés et resta pied nu. Le temps lui paru interminable, jusqu'à ce qu'enfin elle entende le moteur d'une voiture dans la cour. Discrètement elle vérifia, c'était bien lui. Elle ne savait pas comment agir. Quoi lui dire. Les émotions la submergeaient.
Elle lui ouvrit la porte et ne pu s'empêcher d'avoir le souffle coupé lorsqu'elle croisa son regard. Il était tel que dans ses souvenirs et son corps aussi se souvenais de lui. Elle senti l'humidité qui de nouveau inondait son entre jambe. Elle baissa les yeux, pensait qu'il pourrait lire son trouble sur son visage, dans son regard. Elle l'entendit lui parler avec un sourire dans la voix.
"Salut, ça fait longtemps..."
Elle réussi à reprendre son calme et répondre.
puis les banalités s'enchainèrent.
Elle l'accompagna jusqu'au garage pour qu'il récupère ses outils. Pour pouvoir récupérer la caisse où ils se trouvaient elle du monter en équilibre sur un bric à brac de caisse et de cartons. Par reflexe il lui tint les hanches pour ne pas qu'elle chute. Ce contact la fit se figer net. Ils se regardèrent, et elle compris que le même trouble les envahissait tous les deux.
Elle pu redescendre la caisse avec son aide, mais il ne la lâcha pas. Quand elle fut près de lui, il l'embrassa brutalement, ce qui lui fit lâcher la caisse des mains. Leurs langues s'emmêlaient en se cherchant éperdument, et il la poussa contre le mur, pour la bloquer contre lui. Ses mains remontèrent sous son tee-shirt et trouvèrent ses mamelons dressés et douloureux, qu'il pinça simultanément la faisant crier dans sa bouche. Elle fit courir ses mains le long de son corps et trouva rapidement le haut de son jean, et le renflement de son sexe qui poussait contre le tissu. Elle le déboutonna et descendit vivement la fermeture pour libérer son membre doux et chaud. Ce contact avec ce sexe raide et enflé de désir pour elle accentua la chaleur de sa vulve qui palpitait et s'humidifiait encore dans l'attente des délices de la pénétration. Elle réussit à échapper à sa bouche vorace, pour se laisser glisser le long du mur et atterrir à genoux devant lui. en le regardant droit dans les yeux, elle sorti sa langue pour laper le bout de son gland et se délecta de sa réaction de plaisir. il gémit en fermant les yeux et bascula la tête en arrière pour accueillir ces sensations. elle attendit qu'il la regarde à nouveau pour effleurer encore son sexe de sa langue puis l'engloutir doucement au fond de sa bouche. Elle jouait de sa langue en descendant et montant le long de sa verge. Elle prenait plaisir à sucer doucement , aspirer plus fort, au rythme des coups de reins qu'il s'appliquait à lui infliger. Quand elle le senti se tendre de plaisir, elle su qu'il allait l'interrompre. Ce qu'il fit rapidement pour qu'elle se remette debout.
Il se baissa à son tour pour lui ôter son jean, et sa culotte trempée d'excitation. Il passa doucement les doigts le long de sa fente pour apprécier sa lubrification naturelle, et lécha ensuite ses doigts avant de les introduire lentement en elle, en la regardant à son tour savourer les caresses qu'il lui prodiguait. Le va et vient de ses doigts dans son sexe la rendait folle. Mais il cessa rapidement, remontant une de ses jambes sur son épaule pour que sa bouche est enfin accès à la source de son désir. Il prit tout son temps pour la lécher, l'aspirer et faire gémir et se tordre sous les assauts de sa langue. Quand elle le supplia de la faire jouir, il se redressa et la retourna contre le mur. L'attrapant par les hanches il la recula vivement pour qu'elle s'incline et lui présente son cul qu'il aimait tant. Il inséra de nouveau ses doigts dans sa fente humide puis les remplaça par sa queue vibrante et impatiente. Elle gémit en sentant ses chairs s'ouvrir sur son passage. Les sensations étaient tellement plus forte qu'une heure plus tôt avec ce vibromasseur qui n'était qu'un substitut bien froid à côté de la chaleur d'une queue vivante et chaude.
il commença doucement à bouger contre elle, plaqua son corps contre ses fesses tendues de désir. Elle senti ses doigts s'agripper dans la chair de ses hanches. Il commençait à imposer un rythme de plus en plus soutenu, de plus en plus rapide, tapant contre ses cuisses et gémissant à chaque poussée. Elle haletait en rythme avec les va et vient qui lui écartait la vulve, et qui faisait monter le plaisir au fond de son ventre. Quand elle le sentit se tendre, elle su qu'il allait se vider en elle, qu'il allait la remplir de ce plaisir charnel qui lui manquait tant. La jouissance la submergea alors et elle cria, le visage écrasé contre le mur, les hanches enserrées entre ses grandes mains à la poigne si ferme, et le cul plaqué contre lui, le sexe rempli de sa queue. Il jouit juste après elle. Et elle apprécia de sentir le sperme chaud la remplir à son tour puis couler doucement le long de ses cuisses.
Elle avait revécu pendant quelques instants ce qui lui manquait tant, être l'objet du désir de cet homme qu'elle aimait tant et lui apporté la jouissance.
Ils se rhabillèrent et sortir du garage avec la caisse d'outils qu'ils portèrent à la voiture. il la remercia pour sa disponibilité, et en lui souriant , les yeux rieurs il lui dit qu'il espérait ne rien avoir oublié d'autre chez elle......

[Invité]

Joli récit @melleviolette

[Carlmausolaye]

Bonjour,

Merci beaucoup pour ce récit ! C'est comme si vous utilisiez les cartes du tarot, il y a vraiment une touche de mystère dans cette histoire.

[Mikadoc]

Jolie récit

[Mikaellla]

J'aurais plutot terminé le récit en disant " il lui dit qu'il espérait avoir oublié d'autres outils chez elle...... "
et surtout mais là c'est pour la suite de l'histoire " ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants "

[Mikaellla]

c'était quoi l'intérêt de spécifier "hétéro" dans le titre ?