tout l or en moi

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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Ashanee/chance
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tout l or en moi

Message par Ashanee/chance »

Rien parait il ne prédéfinit les évidences d’ailleurs pendant que j’y pense la chance n’apparait vraiment que lorsque vous n’y prêter plus l’attention. Mon pseudo c’est ashanne chance, le ash pour les cendres desquelles je suis revenue le anne pour mon prénom la chance pour l’avoir même lorsque je n’y crois plus. Il est une heure de la nuit, c’est une heure sympathique ou vos songes peuvent être palpables. Pour certains c’est une hérésie que de croire en ces choses l’évidence, l’écho, la chance, le palpable des rêves ou des brumes.

(26) Quelque chose de bizarre - YouTube

Votre voix, votre souffle, le rire que j’y perçois, c’est de l’air frais, il y a presque le gout du souffle chaud contre la peau de novembre. Je ne sais à cette heure quel gout ça a, j’essaye de me faire des représentations, mais nous ne pouvons comparer ce qui est imperceptible.

(26) Big Daddy Wilson - Walk A Mile In My Shoes - YouTube

N est ce pas étrange toutes ces terres explorées et se sentir comme une nouvelle venue, comme une toute première fois. Être capable de se mettre nue, de vagabonder dans le confort de son propre territoire loin des yeux, ou d’un corps, et pourtant être à la fois tout à fait ailleurs, à vous, se dire que peut être même si vous n’avez pas le temps, d’y être une partie de vous est bel et bien là. Qu’aucun doute n’a été. Ce n’est pas la première fois que je me livre à ce genre de jeu qui en soit était tout à fait réalisable mais pourtant.

Vous êtes partout, tout le temps, à mon réveil, quand la nuit n’arrive pas quand enfin je me sens au chaud dans mon lit, quand je suis au travail, quand cela se passe bien quand cela se passe moins, vous êtes là dans mon esprit, dans mon sourire en coin. Partout tout le temps. Dans le gout des choses.

(26) Daniel Castro - I'll Play The Blues For You - YouTube

(26) Pink Floyd - Shine On You Crazy Diamond [Official Music Video] - YouTube

Vous êtes une source d’orgueil, Face au fade, au terne, face à ce temps qui semble à la fois m’échapper et s être arrêter. C’est drôle par ce que dans la soumission il y a comme une sorte de métamorphose de soi qui nous relit à qui nous sommes vraiment. Et ce soir dans cet entre-deux monde je vous sens derrière moi.

Vous avez surgi de nulle part. Et je vous imagine venir.
Un message m avertissant de votre départ, et durant tout ce chemin qui me semblera une éternité et une urgence je vérifierais, la fonctionnalité de l’appartement, l’état général, les affaires que je vous aurais préparées. La douche comme ablution, mes cheveux attachés les cents pas, le rythme cardiaque, la bouilloire et le thé. Est-ce qu’ici ça ne sent pas trop le tabac froid ? Aéré en urgence, on ne sait jamais et puis le froid c’est un peu un de vos première marque depuis ce jour. Alors. Le pull, du parfum ou pas ? votre arrivée, je descends un dernier doute si je mets ou non un pantalon et le temps de la sonnerie se décidé puis se ravisée puis finir par descendre les escaliers, et vous ouvrir. Vous sourirez, ne pas me jeter sur vous, vous montrer le chemin en montant les escaliers et vous laissez passer en premier. Puis vous rejoindre dans ce qui me sert de sas d’entrée. Vous voir refermer la porte et me coller contre, vos mains en vrai pour la première fois froide par ce que nous sommes en novembre. Vos mains froides contre ma peau brulante, la respiration qui se retient. Et votre prise des lieux, en homme consciencieux de mes genoux, à mes cuisses, mes hanches mon dos mon ventre mes seins, le pull vous gêne, vous me l ôtez « enlève moi cela »

(26) Jamiroquai - Cosmic Girl (Video) - YouTube

Mes mains sont au-dessus de ma tête, ma respiration encore en apnée, le rouge déjà aux joues. Vos mains prenants l’ampleur de mes dimensions, mes seins, ma nuque, mes jambes, mes bouches s’entrouvrent, vous êtes de ceux qui entendent même dans les silences. De ceux dont le corp et attitude parlent pour eux. D’une main vous venez découvrir la zone. (Vous souriez à la lecture de ce mot) de votre autre main ma bouche qui est déjà ouverte, vous me félicité d’être chaleureuses en me récompensant de vos doigts, je les suce avec délectation, vos yeux ont ce que je cherche, comme des étoiles dans une immensité. Je respire en vous léchant en vous suçant en tournant ma langue autour de vous. C’est trop tentant n est ce pas tout de corps qui est déjà bouillonnant, vous me caressé mieux que moi je ne saurais le faire et je vous suce d’autant plus qui sait peut-être réussirais je à ne pas défaillir de suite si je me concentre assez. Vous ôtez votre main de ma bouche, et venez m empoigner mon sein. Le droite ou le gauche en fonction de votre main choisie. Je me mords les lèvres et vous riez. Vous arrêtez vos caresses et revenez à ma bouche pour que je vous lave de ma faiblesse. J’ai un gout sucré j’ai bien fait de manger tout ce sucre. Puis n’y tenant plus et comme c’est la vôtre plaisir vous venez m embrasser me prenez par pression je me raidis, a présent j’ai vos germes en moi pendant ces 4 prochaines années.

(26) Tina Turner live in Wembley Rolling on the river 1080p klara - YouTube

Vous avez le sourire carnassier, c’est un compliment, vous restez contre moi, est ce que je trouve l’audace de vous dire
Vous comptez ne rester que dans l’entrée ?
Pas sûr mais qui sait peut-être… vous vous écarterez et baisserez votre index, je glisserai de la porte au sol de la position d humaine debout à celui de soumise a 4 pattes. Vous me féliciteriez par une petite claque aux fesses, afin que je vous serve d’éclaireur, je vous aurais indiqué le ceintre que j’ai mis à la porte pour votre manteau afin qu’il soit à l’abri des poils de Storm, puis vous réussiriez à atteindre le divan, sur la table l’eau bouillante et le thé est prêt, pour que je puisse ne pas être a plus d’un pas de vous. Tant de temps à vous espérer et imaginer, je veux rester à proximité...
(26) Tina Turner Proud Mary Live 2009 - YouTube

Le temps de vous réchauffer de votre passage au dehors, le temps de vous immerger dans ce lieux qui sera votre. Le temps surtout que moi je me souvienne de ce que ça fait la métamorphose, vous pianotez des pieds je viens y mettre mon nez mes mains bien à plat contre le sol, contre vous mon nez je le frotte, c’est animal j’ai besoin de m imprégné on va dire que vous avez gardé vos chaussures, on va les imaginé en cuir, ou alors non en chaussette, épaisse confortable. Mon nez de vos orteils a votre cheville un long instant des allées retour, suis-je entrain de vous rencontrer ou suis-je entrain de vous retrouver ?


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Mon corps nu mes seins lourds mon dos en courbe et mon cul a porté de bras, par ce que vous avez le bras long. Vous me l’avez dit répété prévenu, vous être un être de chair et de contact, un être de proximité. Et pourtant vous m accordez ce temps, ou vous ne dites rien, vous ne faites rien.

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A mon corps qui bougent, a ma peau qui a froid, a mon souffle, a la pression que j’exerce contre vos pieds, vous entendez mon écho. Vous posez votre tasse sur la table basse, et vos mains viennent découvrir votre nouvelle acquisition. Comme je suis moi je me raidis un instant, votre main agrippe mes cheveux fermement mais tendrement, vous m expliquez
-Je sais, je sais, ça va aller.
Vous lâchez ma chevelure passez ma nuque, en prenez à nouveau les mesures, vos mains avancent sur mon dos et je me sers a vous, me laisse touché, arrivé près des reins, j’ai peur que vous les saisissiez parce que je suis fragile de la, mais vous poursuivez en me faisan pivoté,
-Offre-moi ton cul
Je me tourne comme un chat, je me concentre sur la respiration, vos mains toujours font le tour de moi, vous effleurez, vous posez a plat vos mains, vous frottez doucement puis de plus en plus vite, je creuse mon dos pour m’offrir, vos mains m agrippés, je fais un bruit, ma peau devient de la farine, vous pétrissez, caressez chauffez , je reste en position, même si je suis bcp plus bruyante que dans mes souvenirs, et bcp plus douillette, j ai l impression d être une caisse de résonnance. Une petite joueuse. Vous plaquez mon postérieur contre votre pantalon et j oublies, je veux me frottez contre vous, une fraction de seconde s’écoule.
Et durant cette fraction je sens…
Je me suis soumise, déjà, je me suis donnée déjà, fan de mythologie j’ai fais de certains êtres des dieux et j’ai eu la foi, j’ai eu des assaillants, des seigneurs, j’ai eu des adversaires, j’ai eu des complices, j’ai eu des signes des cheminements des égarements, j’ai surmonté des peurs j’ai guéris des choses en embrassant les flames. J ai eu tout cela, Vous n’êtes pas cela. J’ai eu des hommes a femmes, et des hommes qui n’aimaient que les minces, des hommes perdus comme moi j’ai pu l être, des hommes libres, souvent, des hommes manuels, des hommes qui pensent, des hommes grand mince musclé des petits des gros, des brillants, des blanc, des noirs, des cafés. Vous n êtes pas cela.
J’ai eu peur si longtemps peur d’être engloutis, oubliées, de disparaitre, si jamais je ne protégeais pas. Alors j’ai mis des règles, des alternatives, des dispositifs, allant même jusqu’à de la poudre aux yeux, pour qu’aucun jamais vraiment ne sache tout a fait qui je suis entièrement, l’un avait ma bouche, l’autre avait mes prières l’un avait mes écrits, l’autre mes rire, l’un avait mon quotidien, l’autre mes voyages. Ainsi lorsque cela s achevait il persistait toujours de moi une partie que l’autre n’avait même pas soupçonnés. Une fraction de seconde, et pourtant je sais déjà. Vous aurez tout, je me fonds déjà en vous, je me liquéfies de vous à cette seconde alors que rien ne se passe que vous êtes en plein inventaire, je vais me fondre en vous, vous avez déjà tout sans même peut être en être pleinement conscient…
La seconde est passée, votre main vient en moi, c’est mouillé chaud déjà tout accueillant, je vois une voie lactée, je suis là et ailleurs, mais c’est trop, trop rapide trop soudain trop, vous sortez vos mains et amener mon visage a vous j’ai la bouche grande ouverte alors que je nettoie vos doigts j’ai mes mains sur le bas de vos jambes je m’accroche à votre jean. Je suis déjà loin bcp trop loin pour ce qui vient de se passer.

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Vous placez mon visage, afin de percé mes yeux, ne m’en voulez pas mon regard perdu est plutôt vers le bas, vous séchez vos doigts dans mes cheveux je sourie rapidement discrètement, je suis toujours la bas comme flottante dans une galaxie, ma peau est froide, mais mon corps chaud. J essai de me réincarne en pincent a plusieurs reprise l ourle de votre pantalon, mais je n’y arrive pas. Vous venez me parler a l oreille
- Rassurez vous ma très chair je sais vous ramener

Vous passez votre main sur mon visage, tant de douceur et de fermeté à la fois. Vous vous apprêtez a me giflé c’est très personnel cela. La première fait comme une secousse la deuxième comme un effleurement, vous vous appliquez pour le moment a alterner gauche et droite, droite et gauche c est la première partie, a un moment donner vous alternerez aléatoirement, il y a plusieurs écoles.. mais vos gifles, me font pensé a Ravel intense, volontaire, rythmé, crescendo… si nous avions commencé par cela peut être vous aurais je déjà demander de faire autre chose, mais comme vous m’avez projeté loin dans une galaxie laiteuse, je m accroche avec mes mains a votre jean, et a vos mains pour revenir, un peu lorsque l eau vous a emporter au loin et que le flux et le reflux vous ramené, vos gifles se sont le vent et les flux…
Je n’ai pas encore trouver votre musique, peut être simplement parce que vous n’en êtes pas une, mes joues sont rouges, mes yeux perlent, ma respiration va, je pinces votre jean de plus en pus fort. Vos frappes sont aléatoire, forte moins gauche ou droite, rien n y fait rien ne saurait prédire. Mais vous devez me ramener, parce que je serai capable de rester la bas dans cet endroit incroyable ou je ne suis plus rien et pourtant tout a la fois. Comme cette scène magnifique de la série American god avec biloquais

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Vous me saisissez et m amenez à vos lèvres, je suis déjà bcp trop loin pour résister, et vous m embrassez, je sens la fièvre, je suis a califourchon sur vous, comment ais je fais cela avec mon corps ? vous m embrassez sans langue vous aspirez mes lèvres, vous les mordillez même. Mes mains saisissent votre pull. Je suis réincarné, j’ai tout votre corps contre moi, et votre bouche votre appétit, vos mains. Aucun mot ne saurait décrire ce qu’il se passe. Vous entendez le boléro ?

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J’aimerai vraiment que ce tableau du baisé soit ressemblant à ce qu’il va se passer mais je ne puis rien vous certifier
Je suis a califourchon sur vous humide, bouillonnante et froide à la fois, votre bouche vient me saisir la peau m offrant votre première morsure, alors que vos mains me pincent, m’agrippe, je mords mes propres lèvres et j agrippe le divan. A force d’être ainsi je vais vous salir, et je sais que je ne peux me le permettre pas de marque sur vous je serais celle sur laquelle nous dessinerons, pas de salissure non plus, j’oses pas vous dire vous prévenir, en même temps je ne me connais pas comme cela. Vous me faites redescendre à terre grâce à la pression que vous exercé sur ma nuque, vous vous levez. Vous desserré votre ceinture, mais ne l ôter pas de votre jean, vous faites un tour sur vous-même sans doute pour découvrir en bref les lieux, j’ai penser à fermer les volets les lumières tamisées sont allumées, votre sac est prêt sur la table et mon chat est enferme dans la chambre parce que je ne sais pas vraiment comment elle peut réagir puisqu’à ce jour, ici en ces lieux il n y a pas eu d’amant, enfin sauf si une pipe vite fait dans l’entrée ca compte... vous êtes a deux pas et c est déjà trop loin pour moi, pourtant, vous riez et m ordonner de pas bouger. Les toilettes sont en face de la porte d’entrée, je vous déconseille fortement d ouvrir le placard, dit a « bordel », le chat miaule vous lui ouvrez elle se frotte a vos jambes en miaulant, je vous entend faire un tour dans la chambre et vous me gratifier d’un
-bien les cordes
Vous allez plus loin dans la salle de bain, je vous entends au lavabo.
Vous revenez vous vous arrête au seuil de la chambre, vous me regardez. J arrive pas a savoir, de quoi vous avez envie, par ce que chez vous tout forme un tout, tout est mélange et improvisation, et ca c’est un truc qui va me bouleversé, par ce que jusqu’ici je compartimentais. Vous riez, sans doute par ce que vous savez, que si moi je suis la mer vous êtes le vent. Tantôt brise tantôt tornade.
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vous tapez dans vos mains vous vous êtes décidé,
-Allez sur le lit et allongez vous.
Je me levé, et m’exécute quand j arrive a votre hauteur vous m attraper les cheveux et me serre contre vous, je souffles fort, alors que je me dirige vers le lit, vous allez au frigo. Je déglutis sachant ce que vous comptez y prendre, j’entends aussi que vous attraper votre sac. Vous arrivez vous me regarde sur le coté. Vous souriez de toutes vos dents. A nouveau votre main sur ma cuisse vous remonter jusqu’ a mon cou. Mes jambes sont toutes écartées. Vous avez collé ma tète a votre entrejambe, que ne donnerais je pas pour vous sucé…
-Je sais ma chair, vous y gouterez patience. J’ai d autre envie pour le moment. Je sais que vous serez sage, mais je sais aussi que votre corp va lutter, c’est pourquoi je vais vous attachés.
Vous me remettez sur le dos, crucifier au lit, en X. je glapis, tout est toujours entre la dance de l inquiétude et Du désir.
Vous avez mit les glaçons sur le ventilateur qui vous sert de chevets. Vous fouillez le sac, après une seconde
-Ou les avez-vous mit ? Vous comptiez faire un cache cache ?
Sur le chevet a votre droite mon seigneur.
-Ah mais quelle bonne lubrique nous avons la.
Par ce que j ai deviner que vous avez parler des vibreurs.
Je déglutis a nouveau, les cordes en soie, et votre grandeur..

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C’est jour de fêtes pour vous, vous continuez de découvrir votre sac, et vous en êtes enthousiaste. Mais vous ne vous laissez pas distraire, lorsqu’il est question de glaçons, il y a la question du temps à ne pas oublier. Je suis tellement excitée que du surplus glisse sur mes jambes, et cela vous l’avez bien vu. Rien ne vous échappe. J ai peur de vous être trop facile. Alors que rien n a commencer, j essai déjà de fermer mes jambes. Choses impossible lorsque vous êtes ligotée. Vous vous munissez des gants en latex que je vous ai préparer et vous me frapper l intérieur des cuisses, ferme, pour me rappelé a l ordre que je connais déjà. J’ai les yeux fermés.
-Ouvrez les yeux je veux les voir.
Je ne sais pas d ou me vient la force de les ouvrir, je fixe le plafond.
-Ca ne durera pas longtemps Ma damoiselle.
Le premier glaçon se pose sur mes tentons je me mord les lèvres, je ne suis pas sure que j’y arriverais, il y a tant de chose, d émotion, je déborde. Le premier téton puis le deuxième, puis le laisser glissé parce que je bouge mon intimité est en alerte, s entrouvre et se ferme, comme un appel de phare. Vous m exposer le vibreur, et l actionner juste au dessus de ma tête. Vous êtes a la fois enthousiaste, réjouit, amusé, excité, décidé, vous jouer avec le vibreur comme si cela était un micro.
-vous allez chanté
Je me raidi. Je sais déjà que je suis perdue d avance, ce n’est même pas le contrôle que j’espère, je sais que je n’en aurais aucun auprès de vous, c’est ainsi, mais je suis tiraillée, parce que je ne sais pas ou vous allez m’amener, ni comment je vais en revenir, y’a pas de longe pour ces cas là.

Le deuxième glaçons, vous le passé tout autour de mes lèvres et sur mon clito juste avant d y placé le vibreur et je me cabre, je respire fort, mes yeux se révulse. Je ne sais pas ou vous allez m amener mais je sais que je vais partir très loin..
Elle avait toujours au coin de la bouche
Ce petit sourire qui faisait mouche
Elle laissait le vent emporter tout

*la baraka
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Ray-J
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Re: tout l or en moi

Message par Ray-J »

Et bien quel récit ! J'ai bien aimé et ai bien kiffé certaines musiques qui accompagnent le texte :pouce:
TSM
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Re: tout l or en moi

Message par TSM »

J'ai bien aimé le récit pour son originalité mais aussi pour certaines expressions amusantes. En un mot : merci.
Mikadoc
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Re: tout l or en moi

Message par Mikadoc »

Bien écrit, on voyage. Et par curiosité j'ai cliqué sur les musique que je ne connaissais pas.😉
D'gé... tu égaies ma vie de lumière :love: :coeur:

Que vos choix soient le reflet de vos espoirs et non de vos peurs (N. Mandela)
Ashanee/chance
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Re: tout l or en moi

Message par Ashanee/chance »

merci a vous d avoir pris du temps pour lire, et pour me donner des encouragements ;)
Elle avait toujours au coin de la bouche
Ce petit sourire qui faisait mouche
Elle laissait le vent emporter tout

*la baraka
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