Piégée en selfbondage sur un parcours santé

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TSM
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Piégée en selfbondage sur un parcours santé

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Les aventures d’une femme adepte de l’auto bondage au gîte fétichistes

Pour une femme, la peur du dérapage sexuel voir plus, freine les rencontres et les aventures. Je me suis donc tournée vers le selfbondage, cela me permet de vivre des moments de BDSM. Personne ne sait que je pratique l’auto bondage, la self servitude car, comme beaucoup, j’aurai trop honte que cela se sache et de passer pour une folle.

Vivant dans un appartement en plein centre de Paris, je ne dispose pas de jardin et aller cacher des clés quelques part, puis aller les chercher de nuit est trop risqué. Malgré tout, j’ai un petit côté aventurière. Depuis plus d’un an, je suis de près le développement du gîte des fétichistes, les récits publiés sur ceux qui y vont en vacances et y font du selfbondage sécurisé me font rêver. J’ai donc fini par les contacter.

Imaginez un instant mes craintes :

Une femme qui se rend seule à l’étranger pour faire du selfbondage, chez des inconnus qui lui serviront de personne de confiance ! En clair qui pourraient tout aussi bien profiter de la situation au lieu de me secourir ! ! !

On lit tellement d’histoire dans la presse sur les femmes disparues que cela n’aide pas à oser. Après X échanges, nous avions tissé des liens de confiance avec le boss du gîte des fétichistes. J’ai donc fini par me dévoiler un peu. Marc est la seule personne à qui j’en ai parlé une fois de vive voix, quand je l’ai eu au téléphone. Pour me rassurer, il m’a même passé son épouse qui m’a confirmée qu’ils ne sont pas libertins, que je ne risquais pas de me faire agresser sexuellement puis, qu’ils savaient être discrets.

Pour finir de me rassurer, il m’a rappelée que j’aurai une adresse puis que j’aurai réglé la location par virement bancaire et que j’avais leur numéro de téléphone. A cela se rajoutent les emails échangés me permettant de faire un dossier de traçabilité sur ma table de cuisine, si je venais à disparaître. Suite à ses promesses de ne faire que me sécuriser, j’ai fini par réserver pour une semaine. Comme je faisais étape chez ma soeur à Bordeaux, j’y suis donc allée en voiture. Kamikaze la fille.

A l’arrivée, je n’étais pas tranquille du tout, j’ai même failli faire demi-tour. Mes craintes n’ont pas duré. En effet, le sourire et l’accueil chaleureux ont permis à mon coeur de se remettre à battre normalement. Après m’avoir aidée à déposer mes affaires au gîte, Marc m’a proposée de me faire visiter les lieux. Méfiez-vous si vous y allez, ce mec est un agitateur de fantasmes bourré de mauvaises idées. Que ce soit dans leur donjon, ou dans leur parc ou dans le verger et même sur le parcours santé privé, si il connaît vos fantasmes, il les alimente tellement lors de cette visite, que dans votre culotte il se passe des choses !

- Pour la sécurisation c’est très simple. Vous devez nous prévenir que vous allez faire du selfbondage et nous donner une fourchette horaire du type « si vous ne me voyez pas ce soir » venez me secourir. Malgré tout, si nous ne vous apercevons pas de la journée, nous ferons un passage au donjon et dans votre gîte. Rassurez-vous, nous sommes respectueux et taperons à la porte avant d’entrer. Si nous n’avons pas de réponse, ayant les doubles des clés, nous entrerons. Si nous devons vous sauver, vous nous serez redevable d’un café ou d’un coca, c’est le tarif syndical. Après, si vous avez besoin de matériel, il suffit de vous servir au donjon ou de demander sans rougir ni avoir peur d’être jugée, si nous avons tout ce matériel, c’est parce que nous nous en servons aussi.

La visite terminée, je ne savais pas par où commencer. Et quand je ne sais pas ou que je ne suis pas bien, je fais du rangement ou du ménage. Jamais avant ma venue au gîte fétichistes, mes affaires n’ont été aussi rangées lors de mes voyages et séjours dans un hôtel. J’ai donc fini par me rendre au donjon. Le gag est que mes fantasmes étaient contre toute logique et à l’opposé de mes craintes !

Allongée sur le lit de la chambre Love, j’ai écarté les bras et les jambes pour les attacher en X sauf ma main droite qui tenait simplement un des bracelets de bondage. Et là, je me suis imaginée être piégée et qu’ils profitaient de moi. Illogique ! Idem sur la croix de Saint André, sur la banc à fessée. Ce n’est que sur le sling que j’ai retiré ma culotte avant de ... J’ai fait deux tours, pour le deuxième j’étais intégralement nue avec des pinces sur les seins.

Les ficelles du donjon pour le selfbondage

Marc me les avait faire voir en me disant que si je me menottais, je pourrai attachez les clés des menottes à différentes ficelles. Certains faisant plusieurs mètres, cela peut prendre du temps pour parvenir à se libérer. J’étais donc assise seule au bar du donjon en train de boire un coca, quand j’ai été rejointe par mon amie « Madame Fantasme » qui est parfois une très mauvaise conseillère. J’ai fini par installer le matériel nécessaire pour me faire un selfbondage.

Oh rien de compliqué. Juste être couchée et entravée bras et jambes en croix sur le lit avec leur Magic Wand Massager dans la culotte. La longue ficelle était attachée à la chaîne avec les menottes qui ne s’ouvrent pas sans clé, à l’autre bout se trouvaient donc les clés. Ainsi, quand j’aurai assez joui, il ne me resterait plus qu’à tirer cette ficelle pour récupérer les clés et me libérer. Tout était donc prêt pour ma soirée de célibataire disjonctée.

Alors que j’étais revenue à mon gîte me préparer à manger, Marc et venu toquer à ma porte pour que nous fassions les papiers et m’offrir le pot de bienvenue. C’est là que j’ai rencontré Malicia, une femme adorable super sympa. Les papiers terminés, l’apéro a duré et la première embrouille est arrivée. Etant pianiste et chanteur, Marc a décidé de me faire chanter. (Chanter pour de vrai LOL) Si j’aime ça, c’est plutôt dans l’intimité... Il a été très sympathique avec moi et n’a jamais râlé, même si il a pris le risque de déclencher un ouragan et des inondations diluviennes.

Ce n’est que vers 21 heures que j’ai été « « « libérée » » » par ce monstre de gentillesse. Après avoir grignoté, je suis allée au donjon pour mon scénario de selfbondage dans la chambre Love. Tout c’est bien passé, je me suis juste faite des marques aux poignets quand j’ai empilé les orgasmes avant que leur Magic Wand Massager se fasse la malle et ne soit plus à la bonne place. Tirer la longue ficelle pour récupérer les clés, a été mon premier piège du séjour. En effet, elle m’a échappée des doigts quand, en bougeant, le Magic et revenu sur mon clito. Cela a commencé à l’irriter (au sens propre) et me libérer est devenu une urgence.

Epuisée mais ravie, je suis revenue dans mon gîte sans culotte sous ma robe d’été, avant de me jeter dans le lit king size. Autant dire que je ne manquais pas de place pour dormir.

Le piège du selfbondage sur le parcours santé

Le lendemain, alors que je prenais mon café sur la terrasse couverte, Marc m’a aperçue en revenant de son potager. Il s’est approché pour me dire bonjour et me demander si j’avais besoin de quelque chose. Une discussion a vu le jour et j’ai appris que si j’avais envie de jouer dehors, la météo annonçait de la pluie pour le lendemain. Curieuse comme un spéculum excité, j’ai lui ai demandé si il avait des idées de pervers. (Chose à ne pas faire, il en a beaucoup et des très tordues).

Il m’a proposée un Espace Game, traduction, d’aller cacher les clés avant de me remettre une sorte de jeux de piste, libre à moi de le faire avec ou sans sextoy ou nue puis de choisir les contraintes. Et tout cela m’a été expliquée avec la même décontraction, que si il me parlait de faire de la musique. Je n’ai pas osé, je lui ai demandé si il avait quelque chose de plus soft. C’est là qu’il m’a conseillée de faire un selfbondage sur le parcours santé. « Vous pouvez vous attacher assise à un des agrès ou debout. Debout c’est mieux si il y a des insectes a t’il rajouté. Si vous êtes nue ou torse nu, vous pourriez apprécier la brise caressant votre poitrine. Dans ce cas, prenez la longue ficelle pour attacher les clés des menottes ou faites-vous un Ice-Timer.

Et comme une gourde, j’ai répondu : « oui je vois laquelle » avant de me mettre à rougir. En voyant ma mine déconfite, il a rigolé en m’expliquant que si ils ont créé le gîte fétichistes, c’est bien pour que les gens viennent s’amuser, puis que je ne devais pas avoir honte de prendre du plaisir. Il est reparti en me souhaitant une agréable journée puis « bon jeu » en me faisant un clin d’oeil complice.

Après un bain dans la piscine où, intégralement nue en me caressant un peu, j’ai fait la planche aidée par les frites, j’ai donc décidé de faire un petit scénario de selfbondage au grand air. Personne ne m’a vue quitter le donjon comme une voleuse, avec le nécessaire pour mon plan. Pour faciliter les choses, j’avais pris mon sac à dos dans lequel j’avais pris mon petit magic sur pile. C’est à la croix de Jésus servant aussi pour les étirements... que j’ai décidé de m’entraver debout.

N’ayant pas eu le temps de me faire un Ice-Timer, j’ai repris la longue ficelle comme la veille. J’ai donc sanglé mes jambes contre la poutre verticale, placé mon petit magic dans ma « lolotte », mis le rosebud queue de chienne, posé des pinces à mes pauvres tétons, mis le bâillon ouvert trouvé dans le donjon avant de jeter les clés loin de moi, puis de me menotter mains dans le dos. La fameuse et détestable ficelle devant me permettre de récupérer la clé était évidement reliée à mes menottes.

Le bâillon ouvert est très efficace, on peut bien respirer certes, mais il est impossible de tricher et de le retirer. Ce détail a son importante comme vous allez le constater. Il était environs dix heures, quand j’ai jeté la ficelle avec clé des menottes. Si j’ai effectivement apprécié la brise sur les seins dénudés, une de pinces posées sur mes tétons a bougé cause transpiration et a commencé à me faire mal. L’excitation et le magic aidant, cela m’a permise d’avoir un orgasme, ça c’était bien mais pas la suite !

Je ne vous apprendrai pas qu’après avoir joui, certaines choses sont moins agréables. J’ai donc décidé de tirer sur la ficelle pour récupérer la clé et me libérer d’urgence des pinces à sein. C’est là que cela c’est transformé un piège. L’herbe l’a bloquée et quand j’ai tiré, mon noeud n’étant pas bon, la fameuse ficelle contenant des tas de clés s’est détachée me privant de ma solution de sortie. J’étais bel et bien piégée !

J’ai commencé par haïr la pince à sein qui avait glissé. Ensuite cela a été le bâillon que je n’arrivais pas à recracher et commençait à me faire mal à la mâchoire. Les piles de mon Magic ont rendu l’âme mais ça, je n’en avais rien à faire, l’état d’esprit n’était plus à jouer ni a jouir. Ces saloperies de menottes sont solides et ont résisté à mes tractions de désespérée. Le soleil commençait à taper fort, trop fort pour une peau sensible. Et pour couronner le tout, je commençais à avoir envie de pisser.

Crier à l’aide ? A part faire AAAAAA je ne pouvais rien faire d’autre, sachant qu’en plus comme il n’y avait personne à des kilomètres et que Marc ou Malicia étaient chez eux, j’étais condamnée à rester attachée pendant des heures et à me carboniser. Je me suis pissée dessus de rage.

Vers très tard (ils mangent tard les espagnols) j’ai aperçu Marc venu prendre des tomates dans son potager. Mon AAA ou mes mouvements de désespérée ont attiré son attention. Pour ne pas me gêner, il s’est approché un peu. Je me suis démenée comme une tarée à en faire tomber la pince à sein rebelle. Là mon A n’a pas été pour appeler à l’aide mais de douleur. Mon sauveur a « enfin » fini par se douter, que j’avais un problème. Il s’est encore rapproché et m’a demandée si j’avais besoin d’aide. Ma tête c’est mise à regarder le ciel et le sol vitesse grand V. Oubliant d’être discret, (merci) il est arrivé au pas de course. En voyant ma mine déconfite et la couleur de la peau de mes épaules, il a compris.

Il ne lui a fallu que quelques secondes pour attraper les clés et ouvrir ces satanées menottes puis voir la queue de chienne dépassant de ma culotte encore mouillée puis ouvrir la sangle en me tenant par peur que je tombe. Si j’étais morte de honte, il est inutile de vous dire que j’ai appréciée son aide. J’ai donc retiré ma deuxième pince à sein devant lui, il a récupéré mes affaires qu’il a mise dans mon sac à dos avant de raccompagner l’éclopée à son gîte. Après m’avoir faite boire un verre d’eau, il m’a conseillée de prendre une douche avant d’aller chercher Malicia qui viendrait me passer une crème pour les coups de soleil.

Lorsqu’elle est entrée au gîte resté ouvert, elle a dit « Ah oui » en voyant l’état de mes épaules et de mon dos. Autant dire que la cliente du gîte était « bien cuite ». Je n’ai pas rejoué du tout du reste de la journée, j’ai du dormir sur le vendre même si elle est repassée le soir pour me remettre de la crème pour les brûlures. Le lendemain, j’ai trouvé que le siège de ma voiture était très inconfortable, quand je suis allée visiter Saragosse, une ville merveilleuse.

Le reste de la semaine a été plus calme, je me suis reposée, j’ai fait un peu de tourisme, Marc m’a emmenée faire une petite ballade en 4x4 et en vélo. Ce n’est que le vendredi que j’ai fait son Espace game qui m’a quand même pris 2 heures mais avec de grandes parties à l’ombre et en fin de journée

Voulant profiter encore un peu de mon séjour, j’ai osé demander à Malicia si je pouvais essayer leur machine à fessée. Elle m’a prévenue qu’il était déconseillé de l’utiliser en même temps que le Magic wand Massager, pour cause de trop de plaisir. C’est Marc qui est venu l’installer en m’expliquer comment elle fonctionne. Sauf que je n’ai pas écouté les conseils de Malicia quand installée, allongée sur le lit de la chambre Love, je jouais avec mon clito et le magic pendant que la machine à fessée me tannait les fesses. Grosse erreur, quoi que ??

Grosse erreur pour l’état de mes fesses que j’ai littéralement explosées, quoi que parce que j’ai empilé les jouissances. L’avantage de ce plan fessée / plaisir et que le lendemain, sur la route, je ne risquais pas de m’endormir, chaque bosse et ralentisseur me faisait presque bondir sur mon siège.

Fin

Marc et Malicia existent réellement tout comme le gîte fétichiste que vous pouvez visiter ici sur Youtube

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Le site du gîte des fétichistes est ici

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