L'exhibitionniste est revenu une dernière fois
Publié : 02 avril 2016, 13:08
Bonjour
Ce matin, pour notre jogging quotidien, le ciel est passablement couvert.
Contrairement à ce qu'affirme la légende, c'est chose plutôt rare en Ecosse.
Et tout particulièrement dans l'Est du pays, dans la région de Aberdeen.
Comme la plupart du temps, j'arrive à la fin du parcours sportif, la première.
Steven est là. Il sort rapidement des fourrés. Il tient son sexe à la main.
< Hello. You come back after your shower ? I await you here. > me demande t-il.
Je suis amusée et plutôt contente de le revoir. Je m'empresse de le rassurer.
< Yes. Obviously. Within a half hour. Ok ? >. Mon mari arrive. Steven se cache.
Je prends ma douche la première. Je préviens mon compagnon et l'informe.
Il lève les yeux au ciel avant d'entrer à son tour dans la cabine de douche.
Malgré un ciel bas et gris, il fait très agréable. Je passe ma jupette et un T-shirt.
Je me dépêche d'aller rejoindre mon exhibitionniste. Je suis terriblement excitée.
J'arrive à l'endroit habituel. Steven vient à ma rencontre. Il se montre entreprenant.
J'ai un mouvement de recul. Il comprend. Il n'insiste pas. Il reprend ses distances.
Il tient son sexe dans sa main droite, à sa base en l'agitant comme une lance.
Je passe ma main sous ma jupe. Nous nous observons un long moment.
< I really want to fuck with you ! > me fait-il, presque implorant. Il se masturbe.
Je m'empresse de répondre : < I just suck. For the rest, there's my husband ! >.
Il reste un instant comme interloqué et me propose : < So suck me ! Come ! >.
Steven va se mettre près des bosquets. Il descends son pantalon sur les genoux.
Un peu hésitante, je m'approche. Je fixe Steven dans les yeux. Je tombe à genoux.
Son sexe n'est pas réellement en érection. Je m'en empare pour y goûter.
Il y a une forte odeur de savon. Pénible. Je préfère les odeurs naturelles du corps.
Le goût est altéré par celui d'un savon parfumé. J'en suis presque écœurée.
Steven me saisit fermement par la nuque. Il s'enfonce dans ma bouche avec un râle.
< I'll make you suck, slut, you're going to have ! > me fait l'homme en me maintenant.
Il s'agite avec plusieurs mouvements brusques sans relâcher sa puissante étreinte.
Je sens monter mes larmes, je n'arrive presque plus à respirer. Je suffoque.
Enfin il me relâche. Je peux reprendre mon souffle et tenter de déglutir ses spermes.
Il m'attrape à nouveau, sans le moindre ménagement. Il s'enfonce dans ma bouche.
Il me tient par les cheveux. Il se secoue énergiquement sans aucun égard pour moi.
Il en profite tant qu'il peut. Excité plus que de raison, il finit par éjaculer...
Cela n'a pas duré plus de dix minutes. J'avale l'éjaculation très liquide de Steven.
Je me redresse. < You're a real bitch. Can we meet again ? > me demande t-il.
Je m'empresse de répondre : < We will soon leave Scotland, it is impossible ! >.
Déçu, il tente de m'embrasser. Je me dépêche de filer. J'ai eu ce que je voulais.
Arrivée sur la route, je me retourne. Je vois Steven me faire un signe d'adieu.
Je lui fais de même, agitant ma main. Rapidement, il tourne les talons.
Je le regarde disparaître dans les fourrés. Je reste ravie de cette expérience.
En rentrant, je me précipite sur mon mari en train de travailler sur l'ordinateur.
Isa
Ce matin, pour notre jogging quotidien, le ciel est passablement couvert.
Contrairement à ce qu'affirme la légende, c'est chose plutôt rare en Ecosse.
Et tout particulièrement dans l'Est du pays, dans la région de Aberdeen.
Comme la plupart du temps, j'arrive à la fin du parcours sportif, la première.
Steven est là. Il sort rapidement des fourrés. Il tient son sexe à la main.
< Hello. You come back after your shower ? I await you here. > me demande t-il.
Je suis amusée et plutôt contente de le revoir. Je m'empresse de le rassurer.
< Yes. Obviously. Within a half hour. Ok ? >. Mon mari arrive. Steven se cache.
Je prends ma douche la première. Je préviens mon compagnon et l'informe.
Il lève les yeux au ciel avant d'entrer à son tour dans la cabine de douche.
Malgré un ciel bas et gris, il fait très agréable. Je passe ma jupette et un T-shirt.
Je me dépêche d'aller rejoindre mon exhibitionniste. Je suis terriblement excitée.
J'arrive à l'endroit habituel. Steven vient à ma rencontre. Il se montre entreprenant.
J'ai un mouvement de recul. Il comprend. Il n'insiste pas. Il reprend ses distances.
Il tient son sexe dans sa main droite, à sa base en l'agitant comme une lance.
Je passe ma main sous ma jupe. Nous nous observons un long moment.
< I really want to fuck with you ! > me fait-il, presque implorant. Il se masturbe.
Je m'empresse de répondre : < I just suck. For the rest, there's my husband ! >.
Il reste un instant comme interloqué et me propose : < So suck me ! Come ! >.
Steven va se mettre près des bosquets. Il descends son pantalon sur les genoux.
Un peu hésitante, je m'approche. Je fixe Steven dans les yeux. Je tombe à genoux.
Son sexe n'est pas réellement en érection. Je m'en empare pour y goûter.
Il y a une forte odeur de savon. Pénible. Je préfère les odeurs naturelles du corps.
Le goût est altéré par celui d'un savon parfumé. J'en suis presque écœurée.
Steven me saisit fermement par la nuque. Il s'enfonce dans ma bouche avec un râle.
< I'll make you suck, slut, you're going to have ! > me fait l'homme en me maintenant.
Il s'agite avec plusieurs mouvements brusques sans relâcher sa puissante étreinte.
Je sens monter mes larmes, je n'arrive presque plus à respirer. Je suffoque.
Enfin il me relâche. Je peux reprendre mon souffle et tenter de déglutir ses spermes.
Il m'attrape à nouveau, sans le moindre ménagement. Il s'enfonce dans ma bouche.
Il me tient par les cheveux. Il se secoue énergiquement sans aucun égard pour moi.
Il en profite tant qu'il peut. Excité plus que de raison, il finit par éjaculer...
Cela n'a pas duré plus de dix minutes. J'avale l'éjaculation très liquide de Steven.
Je me redresse. < You're a real bitch. Can we meet again ? > me demande t-il.
Je m'empresse de répondre : < We will soon leave Scotland, it is impossible ! >.
Déçu, il tente de m'embrasser. Je me dépêche de filer. J'ai eu ce que je voulais.
Arrivée sur la route, je me retourne. Je vois Steven me faire un signe d'adieu.
Je lui fais de même, agitant ma main. Rapidement, il tourne les talons.
Je le regarde disparaître dans les fourrés. Je reste ravie de cette expérience.
En rentrant, je me précipite sur mon mari en train de travailler sur l'ordinateur.
Isa