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Re: Vacances en Corse

Publié : 17 janvier 2012, 14:27
par ClEa8
Jak67 a écrit :



chacun lit suivant son ressenti personnel, son vécu, ses attentes

serait il possible que quelque chose germe chez toi :bounce :bounce :bounce :bounce

Va savoir, tout ce que je sais c'est que je comprend mieux certaine chose, sur moi, sur le reste... ;)

Re: Vacances en Corse

Publié : 17 janvier 2012, 14:30
par ClEa8
Mel29440 a écrit : tu ne lit pas de la meme manniere que moi comment sa?
Je dis ca dans le sens, que chacun interprete a sa manière, moi par exemple c'est plus le fond du recit, les passages d'explications que les passages sexes qui me font reflechir :)

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 09:07
par ClEa8
Ha ben voilà! j'arrive ici et pas de suite!!!!!

Non mais c'est quoi ce bazard :lol:

Jak une petite suite serait'elle possible? :emu:


Il a l'air sympa Mario, j'aurai réagis pareil que Magalie :d

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 10:23
par DeLsEp9
passiflore123 a écrit :Ha ben voilà! j'arrive ici et pas de suite!!!!!

Non mais c'est quoi ce bazard :lol:

Jak une petite suite serait'elle possible? :emu:


Il a l'air sympa Mario, j'aurai réagis pareil que Magalie :d
:popcorn1:
je vais étudier la question
:menfiche: :menfiche:

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 13:58
par ClEa8
Jak67 a écrit :
:popcorn1:
je vais étudier la question
:menfiche: :menfiche:
Tu sais si t'enlève les postillon elle est interressante la langue! :d

Allez s'il te plait, une tite suite :ange:

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 14:50
par DeLsEp9
passiflore123 a écrit :
Tu sais si t'enlève les postillon elle est interressante la langue! :d

Allez s'il te plait, une tite suite :ange:

toujours le mot pour motiver toi :miam:
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

42)



Vue sa fonction je me demande s’il va apprécier ce que mes puces lui préparent pour ce soir. Enfin il faut reconnaitre aussi qu’il l’a bien cherché.

Et puis de toute manière pour nous trois c’est comme cela, alors les autres acceptent ou au revoir.


Il se dirige, vers le comptoir de la réception, je sors pour ranger la voiture. Voyant le portier, je me dirige, vers lui, pour lui demander où se trouve le garage 27. Il me l’explique, en me tendant les clefs de la voiture. Je m‘y dirige au volant de la voiture.

Je gare la voiture, vérifie que rien ne traine dedans. Je jette le carton poubelle, dans le container prévu à cet effet, au pied du siège du fils, sous un polo je voie les sacs avec les robes que nous avons achetés à Ajaccio.

Je les prends, couvre les sacs avec le polo, pas besoin que Mario les voie. Je retourne à la chambre, les deux puces trépignent de joie. Je leurs tends les sacs, Magalie rigole.


-/-


C’est superbe, la chambre est magnifique. La terrasse, on a même une plage que pour nous.

Ma chambre est plus petite, que la votre, mais bien plus grande que la mienne à la maison, la salle de bain est moins confortable, et il n’y a pas de baignoire.

Je squatterais la votre. Humm un bain à jets, ça doit faire des choses.


Je voie Sabine et Magalie qui se regardent l’œil pétillant, elles ont envie de tester la baignoire. Et moi ça me donne d’autres envies, de les voire frétiller sur place.

On met le lit du petit où ? Ici, je pense que nous serons plus souvent ici que dans l’autre chambre.

Sans vouloir te contredire mon chéri, mais il serait plus sage de le mettre dans l’autre chambre, si on veut dormir tranquillement, enfin qu’il dorme sans que nous le dérangions.

Comme tu le penses ma chérie, effectivement, il faut aussi qu’il se repose.

Qu’il se repose, la belle excuse, et Sabine qui me regarde. Ses yeux ne me parlent pas de dormir, ne me parlent plus de dormir. Elle me mange, elle me dévore des yeux.

L’époque où nous dormions ensemble, est belle et bien révolue. La femme, l’amante, qui se cachait pendant une époque derrière la maman qu’elle est devenue, est belle et bien de retour.

La femme, l’amante, la maitresse est là, bien présente, depuis notre arrivé en Corse elle m’en donne la preuve à tout moment.


On range les affaires, en attendant qu’ils amènent le lit.

Magalie, on va mettre toutes nos affaires dans l’autre chambre, je vais venir t’aider à les ranger.

Comme cela, notre homme aura à chaque fois la surprise. Il ne saura qu’au dernier moment comment nous serons habillées. Quelle sera notre envie du moment, nos désirs du soir.

Ma puce, dans un couple, il faut entretenir, la libido, les envies, le désir. L’homme a son rôle à jouer, mais nous les femmes aussi, je dirais qu’il est presque plus important que celui de l’homme. Je vais t’apprendre.

Jacques t’apprendra encore, comme il me l’a apprit à être une femme, une maitresse, une amante.

Moi je vais t’apprendre à être la compagne, la femme, la maitresse, l’amante de Jacques.

Jacques s’il te plait, tu ranges tes affaires. Je m’occupe de la salle de bain, j’arrive dans deux minutes.


Magalie et sabine s’approchent et m’embrassent furtivement. Sabine prends les deux vanitys, ma trousse de toilette, et va tout mettre en place dans la salle de bain.

On toque au moment où je mets ma valise sur le lit. Je vais ouvrir, deux employés de l’hôtel sont devant la porte avec le lit du petit. Magalie sort de la chambre que je leur indique, ils déposent le lit, prés de l’autre lit, les draps sur le lit, où sont déjà posées les valises de mes puces. Et repartent.

Je reviens dans la chambre, personne, j’entends du bruit dans la salle de bain, j’entre. Deux naïades sont dans la baignoire à jets, qui il est vrai, est immense. Elles ont l’air de bien rire.

Me voyant sabine appuis sur un bouton, les remous s’arrêtent. Elles me tendent les bras. Je me déshabille et arrive pour rentrer dans la baignoire.


Tu es sage mon chéri, pas de folie, le cardiologue d’abord.

Oui mon chéri, tu fais comme ce matin, tu as était si sage, presque trop sage.

Magalie sourie, ses yeux me disent autre choses, tant ils ont l’air presque triste.

Je rentre dans la baignoire et m’installe entre mes deux amours, tête bêche. Elles s’écartent légèrement pour me faire un peut plus de place entre elles. Je pose sagement mes mains sur mes cuisses. Sabine appuis sur un bouton les jets commence à sortir alternativement de différents endroits.

J’entends soudain des gémissements à ma droite et à ma gauche, je lève la tête, Sabine et Magalie, ont l’air d’apprécier, vue leur visage, mais quoi? Elles ne se caressent quand même pas toutes les deux.

Mes mains glissent dans l’eau et moment ou elles vont se poser sur leurs pubis respectif, je sens deux jets d’eaux assez puissants, en directions de leurs vulves. Je retire mes mains, et les reposent sur mes cuisses.

Sans le savoir elles se sont assises, quand elles se sont décalées pour me laisser de la place, en face de deux jets, qui les caressent, et commencent à les faire jouir.

Je ne bouge pas et les regardent prendre leur plaisir. Je ferme les yeux, me laissant bercer par leurs gémissements. Je sens une envie grandissante, et mon sexe se rappelle à mon bon souvenir. L’envie de me caresser effleure mon esprit un moment, mais je préfère ne rien faire, garder mes forces pour après, peut être, qui sait.

On verra, enfin elles verront. Elles ont quand même raison, il faut que je fasse attention, tant que l’on ne sait pas ce qui s’est passé.

Pas évident de rester calme, quand je les entends gémir, quand je les entends se lâcher comme pas possible prés de moi, se lâcher comme deux chattes en chaleur qu’elles sont en ce moment.


Elles sont quand même incroyable toutes les deux, quand je repense aux propos de Sabine.

« Ma puce, dans un couple, il faut entretenir, la libido, les envies, le désir. L’homme a son rôle à jouer, mais nous les femmes aussi, je dirais qu’il est presque plus important que celui de l’homme. Je vais t’apprendre.

Jacques t’apprendra encore, comme il me l’a appris à être une femme, une maitresse, une amante.

Moi je vais t’apprendre à être la compagne, la femme, la maitresse, l’amante de Jacques. »

Elle accepte que j’apprenne à sa petite sœur, tout ce qui concerne la sexualité d’un couple, d’une femme, les envies de la femme, de l’homme. En plus elle sait tout, mais alors tout de ce qui s’est déjà passé entre Magalie et moi.

Que je lui apprenne à être au lit, une femme, une maitresse, une amante, et encore plus, que ce que je lui ai déjà appris.

Et elle, Sabine veut lui apprendre, lui apprendre à être, lui apprendre à se comporter comme ma compagne, comme ma femme, a être ma maitresse, a être mon amante. Donc a se comporter comme telle, a être dans sa tête ma compagne, ma femme, ma maitresse, mon amante. Et surtout à l’assumer.

C’est bien la preuve que sa tête a cédé, que notre amour pour Sabine a était le plus fort.

Je n’en reviens pas la manière dont elle a acceptée tout cela, comment elle a acceptée que sa sœur et moi soyons amants.

Quand elles sont ensemble, elles ont d’un naturel désarmant, comme si tout cela existait depuis toujours, que nous étions ensemble depuis des années.

Magalie, a raison, leur relation de sœur doit y être pour beaucoup dans ce qui se passe maintenant, doit y être beaucoup dans cette symbiose qui semble exister depuis toujours entre nous trois.



Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 15:31
par ClEa8
;) Merci Jak :ange:

Non mais c'etait penser en plus hein!!
:whistle:

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 16:15
par DeLsEp9
passiflore123 a écrit :;) Merci Jak :ange:

Non mais c'etait penser en plus hein!!
:whistle:

penser, moi aussi je vais penser :bounce

:batte: :batte: :batte:
:bounce

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 16:30
par ClEa8
Jak67 a écrit :

penser, moi aussi je vais penser :bounce

:batte: :batte: :batte:
:bounce
Mais penses dont! penses dont :d

Meme pas peur! :lol:

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 19:32
par Supprimé
Ayé j'suis à jour dans la lecture :cingle: :cingle: :cingle:

Ton récit est (pour moi) d'un naturel étonnant. J'suis passée facilement au-delà de l'âge de la p'tite et de la relation quasi incestueuse mais que je n'ai pas ressenti comme tel en fait.

Je me suis laissée totalement transportée par l'histoire, par tes mots...peut-être parce que j'ai tout lu d'un coup, je ne sais pas si morceaux par morceaux cela m'aurais fait le même effet...

Et piouffff dieu que c'est beau la façon dont il a amené Magalie à devenir femme, c'est émouvant oui oui...c'est tellement plus qu'un p'tit coup vite fait entre deux ados!

Je suis subjuguée et j'attend la suite avec vive impatience, mais j'attendrai d'avoir plusieurs morceaux pour lire, pour pouvoir vraiment replonger dans l'histoire.

Encore une fois MERCI (et merci aussi pour l'orgasme au passage :lol: ! heureusement que j'étais seule à la maison paske je serais devenue folle sur ma chaise)

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 19:53
par DeLsEp9
Misslililove a écrit :Ayé j'suis à jour dans la lecture :cingle: :cingle: :cingle:

Ton récit est (pour moi) d'un naturel étonnant. J'suis passée facilement au-delà de l'âge de la p'tite et de la relation quasi incestueuse mais que je n'ai pas ressenti comme tel en fait.

Je me suis laissée totalement transportée par l'histoire, par tes mots...peut-être parce que j'ai tout lu d'un coup, je ne sais pas si morceaux par morceaux cela m'aurais fait le même effet...

Et piouffff dieu que c'est beau la façon dont il a amené Magalie à devenir femme, c'est émouvant oui oui...c'est tellement plus qu'un p'tit coup vite fait entre deux ados!

Je suis subjuguée et j'attend la suite avec vive impatience, mais j'attendrai d'avoir plusieurs morceaux pour lire, pour pouvoir vraiment replonger dans l'histoire.

Encore une fois MERCI (et merci aussi pour l'orgasme au passage :lol: ! heureusement que j'étais seule à la maison paske je serais devenue folle sur ma chaise)

et ben

deux gourmandes d'un coup sur le récit

t' est encore pire que l'autre

tout lire en trois jours.

bon comme tu as compris le principe
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

43)



Et elle, Sabine veut lui apprendre, lui apprendre à être, lui apprendre à se comporter comme ma compagne, comme ma femme, a être ma maitresse, a être mon amante. Donc a se comporter comme telle, a être dans sa tête ma compagne, ma femme, ma maitresse, mon amante. Et surtout à l’assumer.

C’est bien la preuve que sa tête a cédé, que notre amour pour Sabine a était le plus fort.

Je n’en reviens pas la manière dont elle a acceptée tout cela, comment elle a acceptée que sa sœur et moi soyons amants.

Quand elles sont ensemble, elles ont d’un naturel désarmant, comme si tout cela existait depuis toujours, que nous étions ensemble depuis des années.

Magalie, a raison, leur relation de sœur doit y être pour beaucoup dans ce qui se passe maintenant, doit y être beaucoup dans cette symbiose qui semble exister depuis toujours entre nous trois.


-/-


Leurs gémissements montent crescendo, je sens la main de Magalie se poser sur mon sexe. Elle commence à ma masturber doucement. La main de Sabine qui s’est posée sur ma cuisse commence doucement à serrer ma jambe.

Je vois sabine qui ouvre les yeux, elle sourie, elle a un regard espiègle. Sa main a voulu caresser mon sexe, et a senti la main de Magalie, elle s’est retirée.

Je la regarde, me noie dans ses yeux, j’y suis tellement bien, noyé dans les yeux de mon amour, pendant que mon autre amour, me caresse, s’amuse à faire monter mes envies, mon désir.
Je réalise que la main de Magalie, ne me caresse plus. Je sens deux mains qui reviennent, Magalie a cherchée la main de Sabine et la posée sur mon sexe, et s’est retirée. Je tourne la tête.

Magalie me regarde, elle me regarde, comme sa sœur, le même trouble me prend, me surprend. Elles me donnent tant d’amour, me prouvent leurs amours, ne me demandent rien en retour, si ce n’est de les aimer toutes les deux.


J’ai envie de te sentir en moi mon chéri, mais ce n’est pas sérieux, tant que l’on ne sait pas ce qui s’est passé. Il faut être sage.

Je suis d’accord, tu as pour ainsi dire deux chattes en chaleur là en ce moment, face à toi. C’est une horreur pour toi, ces baignoires sont une horreur, une horreur quand comme nous deux, tu te retrouves avec les jets qui viennent te caresser, sans que tu t’y attendes.

D’ailleurs, une idée comme une autre, si tu pouvais en installer une à la maison, je ne dirais pas non, et je pense que Magalie non plus.


Mais que c’est bon. Cela doit être horrible mon chéri, de nous voir et de ne rien faire. Moi aussi j’ai envie de te sentir en moi.

En plus ce matin, tu m’as laissé sur ma faim, enfin presque. C’est la faute de Sabine qui nous a arrêté. Nous étions en si bon chemin.

Pour la baignoire à la maison, comme le propose, comme te le demande si gentiment Sabine, pas de souci, je suis d’accord à deux mille pour cent, pas de souci mon amour.


Ma petite puce, tu te trompes, effectivement, je n’ai rien fait, et ne ferais rien, je vous l’ai promis ce matin. Dieu que l’envie me tenaille le ventre et autre chose aussi.

Mais de vous voir toutes les deux prendre votre plaisir, voir ce plaisir vous envahir, vous combler, m’a donné autant de plaisir que s’il venait de moi, autant plaisir que si je vous avez fait l’amour.

Vous vous êtes donnés à lui, sans pudeur, sans faux fuyant, naturellement.

On appelle cela l’amour, dans notre cas, aimer les deux femmes qui partagent ma vie. Accepter qu’elles aient du plaisir même sans que l’on en soit la cause.

Les aimer pour ce qu’elles sont. Et non pas, les aimer pour ce qu’elles donnent.

Pour la baignoire mes chéries ont verra en rentrant. Si c’est pour vous retrouver tout le temps dedans, je ne sais pas encore.


Je les voie qui se regardent, elles s’agenouillent dans la baignoire face à moi.

Malgré les risques, on va s’occuper de lui, on va lui extorquer son accord pour la baignoire.

Petite sœur nous avons les moyens, la capacité de le faire céder à nos exigences.


Je suis tenté aussi, mais les paroles, s’envolent, et les écrits restent. A tour de rôle, Sabine, à tour de rôle et le papier prêt à être signé, dès qu’il cède.

Elles se rapprochent telles deux vampires, en souriant, s’allongent posent leurs têtes dans les creux de mes épaules, leurs mains sur mon torse, et ne bougent plus. Mes mains se retrouvent sur leurs seins qui apparaissent au dessus de l’eau.

Je ne peux m’empêcher de jouer avec leurs tétons qui me provoquent tant ils sont visibles, tant ils sont érigés dans mes doigts. Leurs mains glissent doucement se rejoignent sur mon pubis. Sabine se redresse, m’embrasse tendrement.


Excuse moi mon chéri de te donner des envies en ce moment, mais j’adore être comme cela dans tes bras. On parle à Mario ce soir, il faut que tu passes rapidement chez le cardiologue, on ne va pas tenir longtemps comme ça tous les trois.

Je commence à être sérieusement en manque, en manque de toi mon amour, en manque du plaisir que tu me donnes sans compter, du plaisir que tu me donnes tout simplement.


Magalie se redresse aussi, son regard est aussi triste que celui de Sabine.

Surtout que l’on en a autant envie les uns que les autres. C’est frustrant pour toi, pour nous. Il faut que l’on trouve une solution pour savoir ce qui se passe le plus rapidement possible.

On ne va pas tenir longtemps comme cela mon amour.


Elles se penchent, me picorent le visage de baisers.

Il faudrait peut être pensé à se préparer, en plus rien n’est rangé.

Je me redresse doucement les deux puces face à moi. Je ne peux m’empêcher de bander. Depuis que mon sexe commence à sortir de l’eau, leurs regards sont rivés dessus.

Elles se penchent toutes les deux, l’embrasse tendrement, chacune leur tour. Je sens une langue qui joue avec mon gland, pendant qu’une autre joue avec mes bourses. Je les regarde tendrement, en m’asseyant sur le rebord de la baignoire.

Mes mains se posent sur leurs cheveux, et les caressent. Tour à tour elles embrassent mon gland, et se redressent. Il n’y a pour moi, qu’un geste affectueux, tendre dans ce qu’elles ont fait

Nous sortons de l’eau et nous nous dirigeons sous la douche. J’ouvre l’eau, des jets puissants jaillissent de chaque côté de l’entré, et nous masse la peau. Magalie hurle, un jet est dirigé droit sur un de ses seins. Elle se retourne en se protégeant la poitrine de ses mains. J’arrête l’eau, nous sommes rincés, Magalie a un sourire pincé.


Pas de douche comme cela à la maison, ça fait mal, c’est horrible quand tu ne t’y attends pas.

Chacun se sèche avec les grands draps de bain à disposition. Nous sortons aussi nus les uns que les autres. Le soleil est face à nous, ses rayons chauffent nos corps, nous réchauffent.

Sabine, joue avec son Napoléon, Magalie avec sa chainette. Elles, regardent la mer, les bateaux faces à nous.

Bon mes chéries, il faut que l’on range nos affaires, et que l’on commence doucement à nous préparer.

Nous retournons dans la chambre, Magalie, s’approche, m’embrasse, embrasse sa sœur.


C’est magnifique, jamais je ne pensais pouvoir passer de telles vacances. En plus un travail m’attend en rentrant. J’ai un homme qui m’aime, que j’aime. Et une sœur qui est adorable, qui est merveilleuse.

Merci à vous deux.


Elle commence à pleurer. Sabine se précipite, la prend dans ses bras, l’entraîne dans la chambre du petit, me fait signe de rester.

J’en profite pour ranger mes affaires dans l’armoire. Je vais dans la salle de bain, me raser. Sabine et Magalie arrive, je sorts de la salle de bain, tends les bras, Magalie se love contre moi.


Tu vas mieux, ma chérie ?

Je regarde Sabine, elle acquiesce de la tête.

Oui mon amour, je pense que ça doit être la fatigue accumulée, entre le chantier en Allemagne, le voyage et ce qui s’est passé ces derniers jours.

Je l’embrasse tendrement, me rapproche de Sabine, l’embrasse.

Mes chérie, pour ne pas changer, vous préparez mes habits et je vais dans la chambre du petit, comme cela vous pourrez vous préparer tranquillement, et me faire la surprise, comme annoncée, pour chaque soir. Vous avez rangé vos affaires ?

Je les voie qui sourient l’air de rien.

Bon on va les ranger, à trois on ira plus vite que vous deux qui n’êtes pas motivées pour deux sous.

En vingt minutes leurs affaires sont rangées, ainsi que celle du petit, qui est dans son lit.

Je vais sur la terrasse, admirer le paysage. Sabine et Magalie, posent sur le lit, mes vêtements, pour la soirée.

Elles en profitent pour choisir leurs vêtements, et les emmènent dans la salle de bain.

Il est 19h00. Je regarde ce qu’elles m’ont ramené. Elles sortent le grand jeu. Je crains vraiment le pire pour ce soir. Elles ont ramenés mon costume Couleur sable de chez Gucci. Chemise blanche légèrement bleuté, le pap’s, mes chaussures vernis.

Je m’habille, on toque à la porte. Une jeune fille se présente avec un mot de Mario. C’est la jeune fille qui doit garder le petit. Je toque à la porte de la salle de bain.



Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 20:02
par Supprimé
Me réjouis de voir la tête de Mario :)

J'adore lire, surtout quand c'est bien écrit!

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 20:22
par ClEa8
Jak67 a écrit :

et ben


Tsais squelle te dis l'autre :sweet:
deux gourmandes d'un coup sur le récit

t' est encore pire que l'autre

tout lire en trois jours.

bon comme tu as compris le principe
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

43)



Et elle, Sabine veut lui apprendre, lui apprendre à être, lui apprendre à se comporter comme ma compagne, comme ma femme, a être ma maitresse, a être mon amante. Donc a se comporter comme telle, a être dans sa tête ma compagne, ma femme, ma maitresse, mon amante. Et surtout à l’assumer.

C’est bien la preuve que sa tête a cédé, que notre amour pour Sabine a était le plus fort.

Je n’en reviens pas la manière dont elle a acceptée tout cela, comment elle a acceptée que sa sœur et moi soyons amants.

Quand elles sont ensemble, elles ont d’un naturel désarmant, comme si tout cela existait depuis toujours, que nous étions ensemble depuis des années.

Magalie, a raison, leur relation de sœur doit y être pour beaucoup dans ce qui se passe maintenant, doit y être beaucoup dans cette symbiose qui semble exister depuis toujours entre nous trois.


-/-


Leurs gémissements montent crescendo, je sens la main de Magalie se poser sur mon sexe. Elle commence à ma masturber doucement. La main de Sabine qui s’est posée sur ma cuisse commence doucement à serrer ma jambe.

Je vois sabine qui ouvre les yeux, elle sourie, elle a un regard espiègle. Sa main a voulu caresser mon sexe, et a senti la main de Magalie, elle s’est retirée.

Je la regarde, me noie dans ses yeux, j’y suis tellement bien, noyé dans les yeux de mon amour, pendant que mon autre amour, me caresse, s’amuse à faire monter mes envies, mon désir.
Je réalise que la main de Magalie, ne me caresse plus. Je sens deux mains qui reviennent, Magalie a cherchée la main de Sabine et la posée sur mon sexe, et s’est retirée. Je tourne la tête.

Magalie me regarde, elle me regarde, comme sa sœur, le même trouble me prend, me surprend. Elles me donnent tant d’amour, me prouvent leurs amours, ne me demandent rien en retour, si ce n’est de les aimer toutes les deux.


J’ai envie de te sentir en moi mon chéri, mais ce n’est pas sérieux, tant que l’on ne sait pas ce qui s’est passé. Il faut être sage.

Je suis d’accord, tu as pour ainsi dire deux chattes en chaleur là en ce moment, face à toi. C’est une horreur pour toi, ces baignoires sont une horreur, une horreur quand comme nous deux, tu te retrouves avec les jets qui viennent te caresser, sans que tu t’y attendes.

D’ailleurs, une idée comme une autre, si tu pouvais en installer une à la maison, je ne dirais pas non, et je pense que Magalie non plus.


Mais que c’est bon. Cela doit être horrible mon chéri, de nous voir et de ne rien faire. Moi aussi j’ai envie de te sentir en moi.

En plus ce matin, tu m’as laissé sur ma faim, enfin presque. C’est la faute de Sabine qui nous a arrêté. Nous étions en si bon chemin.

Pour la baignoire à la maison, comme le propose, comme te le demande si gentiment Sabine, pas de souci, je suis d’accord à deux mille pour cent, pas de souci mon amour.


Ma petite puce, tu te trompes, effectivement, je n’ai rien fait, et ne ferais rien, je vous l’ai promis ce matin. Dieu que l’envie me tenaille le ventre et autre chose aussi.

Mais de vous voir toutes les deux prendre votre plaisir, voir ce plaisir vous envahir, vous combler, m’a donné autant de plaisir que s’il venait de moi, autant plaisir que si je vous avez fait l’amour.

Vous vous êtes donnés à lui, sans pudeur, sans faux fuyant, naturellement.

On appelle cela l’amour, dans notre cas, aimer les deux femmes qui partagent ma vie. Accepter qu’elles aient du plaisir même sans que l’on en soit la cause.

Les aimer pour ce qu’elles sont. Et non pas, les aimer pour ce qu’elles donnent.

Pour la baignoire mes chéries ont verra en rentrant. Si c’est pour vous retrouver tout le temps dedans, je ne sais pas encore.


Je les voie qui se regardent, elles s’agenouillent dans la baignoire face à moi.

Malgré les risques, on va s’occuper de lui, on va lui extorquer son accord pour la baignoire.

Petite sœur nous avons les moyens, la capacité de le faire céder à nos exigences.


Je suis tenté aussi, mais les paroles, s’envolent, et les écrits restent. A tour de rôle, Sabine, à tour de rôle et le papier prêt à être signé, dès qu’il cède.

Elles se rapprochent telles deux vampires, en souriant, s’allongent posent leurs têtes dans les creux de mes épaules, leurs mains sur mon torse, et ne bougent plus. Mes mains se retrouvent sur leurs seins qui apparaissent au dessus de l’eau.

Je ne peux m’empêcher de jouer avec leurs tétons qui me provoquent tant ils sont visibles, tant ils sont érigés dans mes doigts. Leurs mains glissent doucement se rejoignent sur mon pubis. Sabine se redresse, m’embrasse tendrement.


Excuse moi mon chéri de te donner des envies en ce moment, mais j’adore être comme cela dans tes bras. On parle à Mario ce soir, il faut que tu passes rapidement chez le cardiologue, on ne va pas tenir longtemps comme ça tous les trois.

Je commence à être sérieusement en manque, en manque de toi mon amour, en manque du plaisir que tu me donnes sans compter, du plaisir que tu me donnes tout simplement.


Magalie se redresse aussi, son regard est aussi triste que celui de Sabine.

Surtout que l’on en a autant envie les uns que les autres. C’est frustrant pour toi, pour nous. Il faut que l’on trouve une solution pour savoir ce qui se passe le plus rapidement possible.

On ne va pas tenir longtemps comme cela mon amour.


Elles se penchent, me picorent le visage de baisers.

Il faudrait peut être pensé à se préparer, en plus rien n’est rangé.

Je me redresse doucement les deux puces face à moi. Je ne peux m’empêcher de bander. Depuis que mon sexe commence à sortir de l’eau, leurs regards sont rivés dessus.

Elles se penchent toutes les deux, l’embrasse tendrement, chacune leur tour. Je sens une langue qui joue avec mon gland, pendant qu’une autre joue avec mes bourses. Je les regarde tendrement, en m’asseyant sur le rebord de la baignoire.

Mes mains se posent sur leurs cheveux, et les caressent. Tour à tour elles embrassent mon gland, et se redressent. Il n’y a pour moi, qu’un geste affectueux, tendre dans ce qu’elles ont fait

Nous sortons de l’eau et nous nous dirigeons sous la douche. J’ouvre l’eau, des jets puissants jaillissent de chaque côté de l’entré, et nous masse la peau. Magalie hurle, un jet est dirigé droit sur un de ses seins. Elle se retourne en se protégeant la poitrine de ses mains. J’arrête l’eau, nous sommes rincés, Magalie a un sourire pincé.


Pas de douche comme cela à la maison, ça fait mal, c’est horrible quand tu ne t’y attends pas.

Chacun se sèche avec les grands draps de bain à disposition. Nous sortons aussi nus les uns que les autres. Le soleil est face à nous, ses rayons chauffent nos corps, nous réchauffent.

Sabine, joue avec son Napoléon, Magalie avec sa chainette. Elles, regardent la mer, les bateaux faces à nous.

Bon mes chéries, il faut que l’on range nos affaires, et que l’on commence doucement à nous préparer.

Nous retournons dans la chambre, Magalie, s’approche, m’embrasse, embrasse sa sœur.


C’est magnifique, jamais je ne pensais pouvoir passer de telles vacances. En plus un travail m’attend en rentrant. J’ai un homme qui m’aime, que j’aime. Et une sœur qui est adorable, qui est merveilleuse.

Merci à vous deux.


Elle commence à pleurer. Sabine se précipite, la prend dans ses bras, l’entraîne dans la chambre du petit, me fait signe de rester.

J’en profite pour ranger mes affaires dans l’armoire. Je vais dans la salle de bain, me raser. Sabine et Magalie arrive, je sorts de la salle de bain, tends les bras, Magalie se love contre moi.


Tu vas mieux, ma chérie ?

Je regarde Sabine, elle acquiesce de la tête.

Oui mon amour, je pense que ça doit être la fatigue accumulée, entre le chantier en Allemagne, le voyage et ce qui s’est passé ces derniers jours.

Je l’embrasse tendrement, me rapproche de Sabine, l’embrasse.

Mes chérie, pour ne pas changer, vous préparez mes habits et je vais dans la chambre du petit, comme cela vous pourrez vous préparer tranquillement, et me faire la surprise, comme annoncée, pour chaque soir. Vous avez rangé vos affaires ?

Je les voie qui sourient l’air de rien.

Bon on va les ranger, à trois on ira plus vite que vous deux qui n’êtes pas motivées pour deux sous.

En vingt minutes leurs affaires sont rangées, ainsi que celle du petit, qui est dans son lit.

Je vais sur la terrasse, admirer le paysage. Sabine et Magalie, posent sur le lit, mes vêtements, pour la soirée.

Elles en profitent pour choisir leurs vêtements, et les emmènent dans la salle de bain.

Il est 19h00. Je regarde ce qu’elles m’ont ramené. Elles sortent le grand jeu. Je crains vraiment le pire pour ce soir. Elles ont ramenés mon costume Couleur sable de chez Gucci. Chemise blanche légèrement bleuté, le pap’s, mes chaussures vernis.

Je m’habille, on toque à la porte. Une jeune fille se présente avec un mot de Mario. C’est la jeune fille qui doit garder le petit. Je toque à la porte de la salle de bain.


Tsai skel te dis l'autre? :sweet:

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 21:16
par Invité
vivement la suite

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 21:31
par DeLsEp9
Jak67 a écrit :

et ben


Tsais squelle te dis l'autre :sweet:
deux gourmandes d'un coup sur le récit

t' est encore pire que l'autre

tout lire en trois jours.

bon comme tu as compris le principe
passiflore123 a écrit : Tsai skel te dis l'autre? :sweet:

WOUIIIIIIIIIIIII
je suis une quiche

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 21:33
par DeLsEp9
Misslililove a écrit :Me réjouis de voir la tête de Mario :)

J'adore lire, surtout quand c'est bien écrit!

merci

la tête de Mario

:cingle: :cingle: :cingle:

Re: Vacances en Corse

Publié : 18 janvier 2012, 23:38
par ClEa8
Jak67 a écrit :



WOUIIIIIIIIIIIII
:o J'avais editer! ah croire que ca a pas marcher :pfff:

Pour ta tite video j'ai pas les haut parleur donc j'ai que l'image et je lis pas sur les levres :heink:

Bon sinon je vais lire t'as suite quand meme :lol:

Re: Vacances en Corse

Publié : 19 janvier 2012, 15:59
par ClEa8
Jak!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


la suite teplait :)

Re: Vacances en Corse

Publié : 20 janvier 2012, 00:25
par DeLsEp9
passiflore123 a écrit :Jak!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii

c'est à quel sujet?

Re: Vacances en Corse

Publié : 20 janvier 2012, 01:11
par ClEa8
Jak67 a écrit :

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii

c'est à quel sujet?

Pourriez vous Oh grand Jak, nous publier la suite de votre récit si sympathique s'il vous plait.

Re: Vacances en Corse

Publié : 20 janvier 2012, 08:37
par Invité
je vais t'aider passiflore

stp stp stp stp jak une suite ou meme deux :d

Re: Vacances en Corse

Publié : 20 janvier 2012, 09:57
par DeLsEp9
Jak67 a écrit :

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii

c'est à quel sujet?
passiflore123 a écrit :
Pourriez vous Oh grand Jak, nous publier la suite de votre récit si sympathique s'il vous plait.

:farfa:

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

44)



Bon on va les ranger, à trois on ira plus vite que vous deux qui n’êtes pas motivées pour deux sous.

En vingt minutes leurs affaires sont rangées, ainsi que celle du petit, qui est dans son lit.

Je vais sur la terrasse, admirer le paysage. Sabine et Magalie, posent sur le lit, mes vêtements, pour la soirée.

Elles en profitent pour choisir leurs vêtements, et les emmènent dans la salle de bain.

Il est 19h00. Je regarde ce qu’elles m’ont ramené. Elles sortent le grand jeu. Je crains vraiment le pire pour ce soir. Elles ont ramenés mon costume Couleur sable de chez Gucci. Chemise blanche légèrement bleuté, le pap’s, mes chaussures vernis.

Je m’habille, on toque à la porte. Une jeune fille se présente avec un mot de Mario. C’est la jeune fille qui doit garder le petit. Je toque à la porte de la salle de bain.


-/-


La jeune fille qui doit s’occuper du petit est là, je vais sur la terrasse.

D’accord j’arrive dans deux secondes.

Asseyez vous la mère de mon fils arrive.

Je vais sur la terrasse, la mer est magnifique. Ne sachant pas si elles sont prêtes, je ne veux pas leur gâcher leur joie, la surprise qu’elles veulent me faire. J’entends Sabine discuter avec la jeune fille.

Que vont-elles choisir. Je me remémore les robes qu’elles ont essayées. Elles sont tellement belles dans ces robes que je ne sais trop quoi penser, pas trop laquelle, elles vont choisir.

J’entends marcher derrière moi. Comme chez Suzanne, j’entends la douce musique de leurs talons aiguilles, « c’est pour toi mon amour que je me suis fait si belle, » Toujours en stéréo.

Avec une différence énorme, je les aime, nous nous aimons au grand jour, j’ose tout comme elles, crier mon amour à la face du monde.


Tu es magnifique avec ce costume mon amour.

Que notre amant est beau, c’est vrai, il lui va à merveille. Je ne l’ai jamais vue avec.

Je me retourne en fermant les yeux. Je les ouvre quand je suis face à elles. Je dois me retenir à la rambarde. Elles sont sublimes, divinement sublime. Deux beautés fatales.

Elles sont décidées de frapper un grand coup. Elles ont passés les robes au décolleté passion, avec les talons aiguilles, elles sont divines.

Les jambes fuselées, me donnent l’impression de ne jamais finir, tant les talons aiguilles les affinent, le dos cambré, la poitrine offerte. La robe qui s’arrête au ras des fesses, le décolleté, avec ce drapé plongeant, qui s’arrête au ras du pubis.

Je suis sans voix.

Elles sourient, tournent sur elles-mêmes. Le drapé s’ouvre, laissant apparaître leurs seins. Leurs poitrines sont totalement visibles, toujours sublimes, toujours attirantes, à la vue de tout à chacun.

Dans cette robe, elles sont à la fois tellement impudiques et tellement belles, comme un joyau dans son écrin, leur robe est leur écrin, écrin qui n’est là que pour mettre le bijou en valeur, pour mettre mes amours en valeurs.

Je suis comme scotché, paralysé. Mes chéries se rapprochent, m’embrasse tendrement. Je réalise soudain, où je suis, et ce qui va se passer. Quand je vois l’effet que la vision m’a fait, me fait, je comprends enfin, une réalité, leur réalité.

Mes amours, mes femmes, mes chéries, ont franchis un cap, un point de non retour.

Elles assument, elles m’assument. Elles assument leur amour pour moi, à la face du monde.
Je ne peux qu’être admiratif.

Elles osent, elles le montrent et surtout elles me le prouvent. Surtout en ce moment, c’est à moi qu’elles prouvent tout leur amour, tout ce qu’elles ressentent.

Je me voie, m’imagine en ce moment, je réalise que je suis comme Magalie, à un moment de sa vie, où elle ne s’assumait pas.

Je dois, je me dois d’être, comme elles sont en ce moment, je me dois d’être fort, je me dos d’assumer tout comme elles, tout comme Sabine et Magalie. .

Leurs yeux ne me lâchent pas, j’y puise ma force, leurs forces. Je m’avance, les embrasse tendrement.


Merci mes amours.

Je glisse mes bras sous chacun des leurs. Me redresse.

Mes chéries, mes amours, il est l’heure. Avec vous deux, mes deux amours à mes bras, je sais que je suis l’homme qui est le plus aimé au monde. Que rien au monde ne pourra nous arrêter, ne pourra nous séparer.

Nous rentrons dans la chambre, du petit, je voie la jeune fille qui doit garder notre fils, faire des yeux ronds.

Magalie, Jacques je vous présente Gisèle, j’ai réglé tous les détails avec elle, et elle sait comment nous joindre.

Je réalise à ce moment, que Gisèle n’a eut à faire qu’à Sabine, et n’a pas vue Magalie. Je comprends sa surprise quand nous passons devant le miroir de pied.

Je m’arrête admire mes deux amours, je les voie sourire dans le miroir devant mes yeux ébahis. Elles sont tellement, oui tellement tout.

Nous nous dirigeons vers la salle de restaurant.

Nous croisons deux ou trois clients seuls, ils sont scotchés sur place. Il y en a même un qui me donne l’impression de gober les bouches tant il est surprit, pas de me voir, mais certainement de me voir au bras de deux femmes aussi belles, aussi désirables, j’en suis convaincus.

Nous rentrons dans la salle du restaurant, je regarde ma montre il est 20h00. Mario est assis au fond de la salle, à la table où nous aimons tant, Sabine et moi diner quand nous sommes ici à l’hôtel du Golf.

Sabine, joue avec son Napoléon, Magalie avec sa chainette. Elles, regardent Mario, leurs doigts triturent leurs pendentifs, comme pour se donner du courage.

Mario est ponctuel comme à son habitude. Il ne nous voie pas encore, il lit un document.

Nous avançons vers lui, lentement, au rythme de la démarche de mes amours.

Le brouhaha du restaurant au fur et à mesure que nous nous dirigeons vers lui se calme, s’estompe, pour ne devenir qu’un léger bruit de fond. Mario réalisant l’inhabituel de la situation lève la tête, et nous voie avancer vers lui.

Je crois que Claudia Schiffer se dirigeant vers lui, ne lui ferait pas cet effet. Il ne bouge pas, reste comme paralysé.

Nous arrivons à la table. Je sens mes deux amours se redresser encore plus, s’affirmer.


Tu, tu m’expliques !!!

Sabine ma…

Je sens une pression sur mon bras.

Sabine sa compagne.

Magalie

Magalie sa compagne.

Elles se tournent toutes les deux face à moi. Je les voie sourire, elles sont radieuses, elles jubilent.

Jacques, notre amant

Mario nous regarde, pendant que j’écarte une chaise, Sabine s’assoie à sa gauche, elle tourne la tête m’embrasse tendrement, ses yeux pétillent.

J’écarte une autre chaise, Magalie s’assoie à la droite de Mario, elle tourne la tête m’embrasse en me prenant la tête entre ses mains.

Je m’assieds face à Mario. Son regard passe de l’un à l’autre, il ne réalise absolument pas.

Il se passe un temps qui me semble long, terriblement long, pendant lequel, le regard de Mario passe continuellement de l’un à l’autre, avant qu’il ne se secoue, comme s’il voulait se réveiller, comme s’il voulait se sortir d’un rêve. Rêve bien réel par ailleurs.


Alors là, si je m’attendais, jamais je n’aurais crus, jamais au grand jamais. Non ce n’est pas vrai. Toi non ce n’est pas possible.

Calme toi Mario, j’aime ces deux femmes, j’aime ces deux sœurs, et…

Nous aimons, notre Jacques.

Il se sert un grand verre d’eau, le boit d’un trait. Je voie son regard effaré. Il me sourit.

Vous me faites une blague, c’est la caméra cachée de Jacques Legras, vous me piegez.

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Re: Vacances en Corse

Publié : 20 janvier 2012, 17:10
par ClEa8
Jak67 a écrit :


:farfa:
[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]

ca vallait bien deux suite par contre hein :d
joli robe ;)

Re: Vacances en Corse

Publié : 20 janvier 2012, 17:12
par ClEa8
Mel29440 a écrit :je vais t'aider passiflore

stp stp stp stp jak une suite ou meme deux :d
Merci :d mais bon pas sur qu'on ai les memes ergument de persuasion :lol:

Mais je suis d'accord ca vaut deux suite Oh grand Jak
attention a tes chevilles

Re: Vacances en Corse

Publié : 20 janvier 2012, 18:55
par Invité
passiflore123 a écrit :
Merci :d mais bon pas sur qu'on ai les memes ergument de persuasion :lol:

Mais je suis d'accord ca vaut deux suite Oh grand Jak
attention a tes chevilles
non on a pas les meme argument mais moi je suis fan depis le debut ^^

Re: Vacances en Corse

Publié : 20 janvier 2012, 19:58
par DeLsEp9
:blabla: :blabla:


Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

45)



Il se passe un temps qui me semble long, terriblement long, pendant lequel, le regard de Mario passe continuellement de l’un à l’autre, avant qu’il ne se secoue, comme s’il voulait se réveiller, comme s’il voulait se sortir d’un rêve. Rêve bien réel par ailleurs.

Alors là, si je m’attendais, jamais je n’aurais crus, jamais au grand jamais. Non ce n’est pas vrai. Toi non ce n’est pas possible.

Calme toi Mario, j’aime ces deux femmes, j’aime ces deux sœurs, et…

Nous aimons, notre Jacques.

Il se sert un grand verre d’eau, le boit d’un trait. Je voie son regard effaré. Il me sourit.

Vous me faites une blague, c’est la caméra cachée de Jacques Legras, vous me piegez.

-/-


Je fais signe au serveur et lui commande une bouteille de champagne. Sabine et Magalie me sourit, tout en triturant, Sabine son Napoléon, Magalie sa chainette.

Sabine pose sa main, sur celle de Mario.


Je te promets que nous ne blaguons pas, que tout ceci n’est que la stricte vérité.

Par contre, Jacques nous a fait une satanée peur hier soir. Si dans tes connaissances tu avais un cardiologue, si tu pouvais nous indiquer un bon cardiologue. Quelqu’un de compétent, qui pourrait s’occuper rapidement de notre Jacques, cela nous tranquilliserait Magalie et moi.


Vous ne blaguez pas, jamais je n’aurais cru cela, surtout pas de Jacques.

Effectivement je connais un cardiologue, et un excellent. Il loge même à l’hôtel, où il est en vacances,

Jacques qu’est ce qu’il s’est passé, tu as fait un malaise, qu’est ce qu’il se passe ?


Jacques, notre jacques, hier soir sur la plage a fait un malaise, et depuis nous sommes très inquiètes. Si tu pouvais voir, avec cette personne, rapidement, cela serait merveilleux, nous serions drôlement tranquillisées.

Si c’est à ce point, justement ce soir il mange au restaurant avec son épouse. Je vais lui demander tout de suite, s’il peut faire quelque chose.

Il a un statut très spécial, et une histoire encore plus spéciale. Je vais lui demander tout de suite, et je reviens. Je vous explique après qui il est.


Sabine et Magalie, posent leurs mains sur celles de Mario.

Tu es un amour, un vrai frère pour Jacques.

Oui, tu es un amour Mario.

Mario se lève en me regardant, il n’est plus aussi tranquille. Je me retourne, nous le voyions se diriger vers une table, légèrement isolé. Un couple est en train de diner. Mario discute, avec l’homme qui se lève. Ils partent en direction de la réception de l’hôtel.

Sabine, joue avec son Napoléon, Magalie avec sa chainette. Elles, regardent fixement la direction, où Mario et l’homme sont partie.

Ils reviennent quelques minutes plus tard.

Entre temps le serveur est venu avec la bouteille de champagne, et nous a servit.


Je vous présente le Docteur Olivier Ameisen, ancien Cardiologue de Matignon, de 1980 à 1981.

Mes amis. Enfin pour moi c’est plus mon frère, qu’un ami. Donc Jacques, Sabine, Magalie.


« Je viens d’appeler un ami cardiologue, chef de clinique au ‘‘Centre hospitalier Notre-Dame de la Miséricorde’’ à Ajaccio.

Il nous attend, demain matin à huit heures, il accepte que j’intervienne dans son service, et que je fasse tous les examens que j’estimerais nécessaires. »


Je vous emmène tous demain matin, rendez vous à 7h15, à la reception.

Je ne sais pas à quel stade du repas vous êtes, mais si vous acceptiez, vous et votre épouse de prendre une coupe de champagne avec nous, nous en serions très honoré.

« Nous en sommes au milieu du repas, je vous propose, que nous voyons cela demain midi, ou demain soir, tout dépendra du temps et des examens qu’il faudra ainsi que des résultats de votre compagnon.

L’urgence, enfin je ne pense pas que ce soit aussi grave que cela, c’est votre compagnon.

Quand tout sera fait et réglé, que nous saurons ce qui est arrivé à votre compagnon.

Si ses examens sont bons, que tout va bien, avec mon épouse, nous nous ferons un plaisir de partager le verre de l’amitié, avec vous tous.

En attendant, pour vous pas d’alcool, pas d’excès alimentaire, jusqu’à que l’on sache ce qui vous arrive. »

Il enlève la flute de champagne qui est devant moi, et la tend à Sabine.

Il regarde Sabine et Magalie, sourit.

« Mesdames, mon épouse et moi avons adoré votre entré dans le restaurant, vous vous affichés aux yeux de tous, sans complexes aucun.

Vos robes sont sublimes, votre compagnon a vraiment très bons gout.

Vous montrez à la face du monde, votre amour que vous avez les uns pour les autres, avec un tel naturel, avec un tel plaisir, que mon épouse et moi sommes conquis.

D’ailleurs je pense que nous ne fûmes pas les seuls à apprécier, à être surpris. »

Il regarde Mario en souriant.

« J’ai comme l’impression que votre ami n’était pas au courant, ne savait rien. Je me demande s’il réalise, s’il s’en est déjà remis.

Ce soir, enfin disons cette nuit pour commencer, avec votre homme, pas d’excès non plus, et quel qu’ils soient, je pense que vous comprenez ce que je veux dire, ce que je sous entends, mesdames.

Je ne pense pas avoir besoin de préciser, vous êtes des femmes sensées, qui savaient ce que vous voulez.

Je vais essayer de vous rendre votre compagnon, en meilleur état que vous ne me le confié.

Donc a demain matin, et à jeun, pas de café, pas de thé, rien qu’un verre d’eau, si vous ne pouvez pas faire autrement.

Passez une bonne soirée.»

Il s’éloigne, regagne sa table.


Je remarque que pendant toute la discussion du docteur, Sabine, a joué avec son Napoléon, Magalie avec sa chainette.


Mario nous regarde, il est en train de réaliser. Il réalise que lui le dragueur invétéré, le spécialiste « S femme » n’a rien vue venir, n’a rien compris, alors que le toubib, le cardiologue, a immédiatement vue, a immédiatement compris ce qui se passait.

Bon Ce n’est pas parce que je n’ai pas le droit au champagne, que vous ne devez pas boire, que vous devez vous priver.

Je me sers un verre d’eau pétillante, et nous trinquons. Je bois mon verre d’eau avec une certaine nostalgie, mais bon, il le faut bien.

Je n’arrive toujours pas à y croire. Jacques vie avec deux femmes, deux sœurs.

Que cela m’arrive, cela me semble presque possible, presque imaginable, ce serait plutôt, disons un fantasme. Mais alors à toi, Jacques, mon frère d’armes c’est incroyable.


Mario, s’il te plait, tu es le premier dans notre entourage, à le savoir, ne nous fait pas regretter de te l’avoir dit.

Magalie me regarde, prend ma main me sourit. Dieu qu’elle a l’air heureuse, qu’elle est fière.

Et ce n’est pas la peine de vouloir me tester comme ma grande sœur, tu t’y casserais les dents, comme avec elle.

Je voie Sabine sourire en regardant Mario, qui lui-même éclate de rire.


Re: Vacances en Corse

Publié : 22 janvier 2012, 01:38
par ClEa8
Très bonne suite Jak :jap:
Merci :)

Re: Vacances en Corse

Publié : 23 janvier 2012, 13:09
par ClEa8
Nan mais pas de suite depuis trois jours? :blabla: C'est quoi se bazard!

J'espere que ca va bien Jak :)

Re: Vacances en Corse

Publié : 23 janvier 2012, 20:52
par DeLsEp9
passiflore123 a écrit :Nan mais pas de suite depuis trois jours? :blabla: C'est quoi se bazard!

J'espere que ca va bien Jak :)

[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir cette image]

ça va bien :hippa: :hippa: :hippa: :hippa:

Re: Vacances en Corse

Publié : 23 janvier 2012, 21:03
par Invité
jak aime qu'on le suplie ^^

Re: Vacances en Corse

Publié : 23 janvier 2012, 21:06
par DeLsEp9
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

46)



Je n’arrive toujours pas à y croire. Jacques vie avec deux femmes, deux sœurs.

Que cela m’arrive, cela me semble presque possible, presque imaginable, ce serait plutôt, disons un fantasme. Mais alors à toi, Jacques, mon frère d’armes c’est incroyable.


Mario, s’il te plait, tu es le premier dans notre entourage, à le savoir, ne nous fait pas regretter de te l’avoir dit.

Magalie me regarde, prend ma main me sourit. Dieu qu’elle a l’air heureuse, qu’elle est fière.

Et ce n’est pas la peine de vouloir me tester comme ma grande sœur, tu t’y casserais les dents, comme avec elle.

Je voie Sabine sourire en regardant Mario, qui lui-même éclate de rire.

-/-


C’est pour venger Sabine que vous me faites cette blague, pour venger son honneur que j’ai bafoué, en osant croire qu’elle pourrait t’être infidèle.

En osant tester sa fidélité pendant deux jours. Je reconnais que s’était lourd, et tout à fait hors de propos. Mais que voulez vous je suis comme cela.


Purée il n’est pas possible….

Magalie s’il te plait, laisse tomber.

On choisi pour le repas ?


Mario regarde Sabine qui l’ignore. Nous sommes tous en train de regarder les cartes, pour choisir les plats.

Je crois que je vais prendre une papillote de loup aux mille saveurs, cuisson à la vapeur, ce ne doit pas être trop excessif, pas trop lourd à digérer.

Et vous mes puces vous prenez quoi.


Je pense que je vais prendre Filets de loup parfum d'orient, tu en penses quoi, Magalie. Il ne devrait pas y avoir trop d’arrêtes, et comme cela on s’aligne sur ce que mange notre homme, ou bien, on prend comme lui.

Ce que notre homme a choisi a l’air excellent aussi.


Je regarde sur le côté, de ma carte, Magalie et Sabine les ont relevées comme moi, et me regardent discrètement en souriant.

Sabine, joue avec son Napoléon, Magalie avec sa chainette. Elles, me donnent l’impression de passer leurs nerfs sur leurs pendentifs.

Je pose ma carte, et regarde Mario, qui est en train de bouillir. Son regard passe de l’un à l’autre. Il fulmine.


Bon je crois qu’il y a un problème. Vous m’expliquez.

Il n’y a aucun problème, du moins pour nous, il n’y a rien à expliquer de plus que ce que mes deux amours, mes deux chéries, t’ont expliqués, on voulu te faire comprendre.

Tu ne veux pas le croire. Libre à toi. Le sujet est clos.


Merde Jacques, comprends-moi, c’est tellement énorme, que je n’arrive pas à y croire. Te connaissant, sachant le plaisantin que tu es, je me dis que tu me fais une blague.

Est-ce que tu crois que l’on s’amuse, avec un sujet pareil, que l’on plaisante, qu’elles se sont habillées de manière identique, pour te piéger.

En y réfléchissant, ce serait possible, mais on te l’aurait rapidement dit. On n’insisterait pas.


Je le voie qui commence à douter, qui commence à réaliser.

Si c’est la même galère avec tous, on n’est pas sortie de l’auberge. Pourquoi est ce que c’est aussi improbable, aussi peut crédible, pour notre entourage.

Il se lève, embrasse Sabine, embrasse Magalie, se rassoie.

Bon, veuillez m’excuser, mais c’est tellement gros, tellement énorme que je n’arrive pas à le croire. C’est comme si une barrière, un mur était dressé, m’empêchant de l’accepter.

Pour un homme il s’agit plus d’un fantasme, que d’une réalité. Dans votre cas, je reconnais que je n’y ai pas cru pensant que Jacques et Sabine me faisait une blague.

Une multitude de petits détails de petits mots, m’ont amené depuis à douter de ma première impression.

Vous avez l’air tellement complémentaire, tellement fusionnel, que je ne peux que l’admettre.

Je pense que l’on fêtera ma nomination plus tard, je n’ai pas envie de trinquer à l’eau avec vous trois.

Mais si le Docteur Olivier Ameisen, le dit, j’obéis. C’est une sommité est en même temps un précurseur.

Matignon s’est attaché ses services, et les américains sont venus le chercher. Maintenant il est le patron du service de cardiologie du New York Presbitarian Hospital. Donc s’il dit quelque chose, il faut suivre ses directives.


Mario fait signe au serveur, on passe commande. Tous les convives, sont d’une gentillesse rare, malgré les plats plus succulents les uns que les autres présent sur la carte, ils choisissent tous la même chose que moi. Une papillote de loup aux mille saveurs.

Mario demande à ce que des haricots et des carottes Vichy soient rajoutés pour chaque convive, ainsi que des bouteilles d’Orezza, gazeuse et plate. Le serveur à l’air surpris.


Le dessert prévu pour après, celui qui a était fait spécialement pour nous, vous en offrez deux parts à la table 12, la table du docteur Ameisen et le reste à la table 31 les cinq jeunes filles seules.

Je regarde la table que Mario désignait avant au serveur. Cinq jeunes femmes seules, mignonnes. Voyant que l’on regarde dans leur direction, elles nous sourient. Mario me regarde l’air de dire, et oui je ne change pas, que veux tu.

Oui Jacques elles sont adorables ces cinq petites.

Les deux de gauche, une boulangère du centre de la France, Marie, bon sang, qu’elle est gentille, même trop. Elle est adorable, gentille douce. Presque la femme idéale.

Marie, une parisienne, originaire des Vosges, ou du Jura je ne sais pas trop. Elle c’est autre chose, une tigresse, avec elle les hommes n’ont qu’à bien se tenir. C’est la première fois que je me prends un râteau pareil.

Elles ont gagnés le premier prix du concours des châteaux de sable à Deauville, et le premier prix, était une semaine ici, à l’hôtel.

Celles de droite, le deuxième groupe, Lolly, une fille du sud, toujours une sucette en bouche, on voie qu’elle vient du sud. Elle est chaude comme la braise, trop peut être, mais ce n’est qu’une apparence, en fin de compte c’est une fille adorable, qui se méfie des hommes.

La quatrième, encore une Marie, aussi du sud. Elle est sensible, douce, mais je suis sur qu’elle cache un tempérament de feu.

Elles ont gagnés le premier prix du concours des châteaux de sable à Cannes, et le premier prix, était aussi une semaine ici, à l’hôtel.

Entre les deux groupes, Isa, une petite Parisienne, originaire du nord, adorable comme tout, un caratére de chipie, elle te balance des pics à tout va, mais elle est câline, elle est adorable.

Elles se sont connues ici, et depuis elles sont cul et chemise. Souvent sur mon dos.

Elles repartent demain. Une amie Bretonne, future étudiante en médecine, arrive d’ici deux ou trois jours, je vais me faire assassiner si elle me voie batifoler.

Je vous la présenterais, elle est adorable. Un sacré caractère comme toutes les bretonnes peuvent avoir, mais je te dis pas…. Elle est super comme fille et elle sait ce qu’elle veut.

Je la connais depuis l’année dernière, il ne s’est encore rien passé, ce n’est pas l’envie qui me manque, mais non pas question. Depuis elle est déjà revenue trois fois en Corse.

Il me plait de croire que c’est pour moi qu’elle revient. Mais je crois bien qu’elle est tombée en amour de la Corse, de mon ile de beauté.


Mario nous regarde, Sabine et Magalie sourient de l’entendre, d’entendre ses réflexions.


Re: Vacances en Corse

Publié : 23 janvier 2012, 21:35
par Invité
vivement une autre suite :cingle:

Re: Vacances en Corse

Publié : 23 janvier 2012, 21:43
par Supprimé
C'est trop court 3 passages :(

Vivement la suiiiiite

Re: Vacances en Corse

Publié : 24 janvier 2012, 18:16
par DeLsEp9
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

47)



Entre les deux groupes, Isa, une petite Parisienne, originaire du nord, adorable comme tout, un caratére de chipie, elle te balance des pics à tout va, mais elle est câline, elle est adorable.

Elles se sont connues ici, et depuis elles sont cul et chemise. Souvent sur mon dos.

Elles repartent demain. Une amie Bretonne, future étudiante en médecine, arrive d’ici deux ou trois jours, je vais me faire assassiner si elle me voie batifoler.

Je vous la présenterais, elle est adorable. Un sacré caractère comme toutes les bretonnes peuvent avoir, mais je te dis pas…. Elle est super comme fille et elle sait ce qu’elle veut.

Je la connais depuis l’année dernière, il ne s’est encore rien passé, ce n’est pas l’envie qui me manque, mais non pas question. Depuis elle est déjà revenue trois fois en Corse.

Il me plait de croire que c’est pour moi qu’elle revient. Mais je crois bien qu’elle est tombée en amour de la Corse, de mon ile de beauté.


Mario nous regarde, Sabine et Magalie sourient de l’entendre, d’entendre ses réflexions.

-/-

Il ne change pas, toujours la même vision des femmes.

Mario n’arrête pas de fixer Sabine et Magalie. Je pense qu’il voudrait demander quelque chose, mais il n’ose pas, il attend que cela vienne de nous.

Mario timide, c’est une première, il va falloir que je le note, je ne l’ai jamais vue intimidé.


Que veux-tu savoir Mario. Quelles questions brûlent tes lèvres, que tu n’oses pas nous exprimer ? Je te connais trop bien mon ami, mon frère.

Tu ne veux pas demander, mais tu meurs d’envie de savoir. Vas-y, lâche-toi, demande. Accouche, prends ton courage à deux mains.


Ne te gène pas Mario, si c’est à moi ou à Magalie, que tu veux poser des questions, pas de soucis. On te répondra franchement, sans détour. Et quelque soit le sujet, la question.

Vous n’êtes pas jalouses l’une de l’autre, il n’y a aucune animosité. Cela me semble si extraordinaire.

Deux femmes qui vivent avec le même homme, deux femmes, deux sœurs, qui aiment le même homme et que cela se passe bien.


Nous nous regardons tous les trois avec un petit sourire.

Sabine, joue avec son Napoléon, Magalie avec sa chainette. Elles, donnent l’impression de réfléchir, mais je suis certain qu’elles savent ce qu’elles vont dire.



Cela ne me gêne pas, mais alors pas du tout. De tout façon Jacques comme moi depuis toujours, avons toujours étaient libre, libre de faire comme nous le voulons.

J’accepte, tout comme il accepte, que nous allions comme nous l’entendons, mais les choses sont claires.

Donc, même si nous couchons à côté, cela n’altère pas notre vie de couple. Je dirais que jusqu’à maintenant cela a mis du piment dans notre relation de couple, cela a réveillé notre relation d’homme et de femme, d’amant et de maitresse.

Comme Jacques me l’a fait comprendre un couple est une osmose. Pour que l’osmose dure, il faut de temps à autres, ramener un élément extérieur pour mieux fusionner, mieux la souder

Pour simplifier, une vie de couple ne se résume pas à une fidélité sexuelle, mais à une fidélité d’esprit.

La jalousie est un mot que nous ne connaissons pas.

Il est vrai qu’avec Magalie la situation est totalement différente.

Avec Magalie nous avons décidés de vivre ensemble, de nous aimer au grand jour. Pour son équilibre, pour le notre, plus simplement que cela soit claire et net entre nous trois.

C’est notre choix, nous l’assumons, et l’assumerons devant tout le monde. Que cela plaise ou pas.


Mario regarde Sabine il est ébahi. Il me regarde l’œil interrogateur. J’approuve de la tête.

Il se tourne vers Magalie, qui a souri en entendant les propos de sa sœur.


Mario, appelons un chat un chat. Si je comprends bien, tu attends que nous te disions, ce que Sabine ressent, ce que je ressens.

Plus simplement tu voudrais savoir ce que chacune ressent de savoir l’autre amante avec Jacques au lit, en train de faire l’amour avec notre amant, avec notre Jacques.


Je me retiens d’éclater de rire, Mario est rouge comme une tomate. Magalie, ma petite puce vient de faire rougir Mario, notre docteur « S Femmes ».

Il en bafouille. S’il le pouvait, il se cacherait dans un trou de souris. Je me retiens difficilement d’éclater de rire. Je dois me mordre l’intérieur des lèvres pour ne pas éclater de rire.


Je n’ai aucun ressenti, aucune jalousie du fait qu’ils couchent ensemble. Je suis heureuse qu’ils soient toujours ensemble.

Jamais je n’aurais accepté qu’ils se séparent de mon faite. Ils le savent tous les deux.

Sabine je peux ?


Sabine fait oui de la tête, en souriant, elle est comme moi, elle se retient d’éclater de rire.

Je peux te dire que pour Sabine, c’est tout à fait la même chose. Quand je couche avec mon, pardon, avec notre amant, avec notre Jacques, il n’y a aucune jalousie, aucune animosité de la part de Sabine.

Bien au contraire, tout comme moi, nous sommes heureuse toutes les deux, et cela, qu’elle que soit celle de nous deux qui est avec Jacques au lit, quelque soit celle d’entre nous qui est honoré par notre amant.


Effectivement pour moi c’est pareil, que Magalie couche avec Jacques, avec notre amant, ne me dérange pas, ne me trouble pas.

Nous sommes heureux de ces moments, heureux du moment que nous partageons chacune avec notre amant.

Que notre homme soit avec l’une de nous deux, laquelle cela ne compte aucunement, pour l’autre.

Nous sommes heureux comme cela, il n’y a aucune envie, aucune jalousie de l’une pour l’autre.


Mario regarde tour à tour Magalie et Sabine. Il a l’air complètement interloqué.

Magalie, joue avec sa chainette Sabine, avec son Napoléon. Elles sourient, devant l’air décontenancé de Mario.

Heureusement, le serveur arrive avec un chariot, il dépose les assiettes devant les convives. Le fumet des plats nous entoure.


Vivement demain que l’on sache ce que j’ai. Manger ces mets avec de l’eau, est une torture.

Sabine et Magalie, hument les saveurs, me regardent.

Oh oui mon chéri, je te comprends si bien, déguster ce met avec de l’eau, va être une torture pour nous tous, alors demain matin, tes examens, ils doivent bien se passer, il faut savoir ce qui s’est passé.

Vous pouvez boire du vin, ou continuer au champagne si vous le désirez, j’en ai pris mon partie. Il n’y a pas de raison de vous priver, je survivrais à une soirée sans alcool.

Mon amour, cela ne me gêne pas, que ce soit le vin, ou le champagne, je suis un peut jeune pour connaitre, pour savoir apprécier ce qu’il faut boire avec ce met. Donc je fais comme toi mon amour, à l’eau.

Par contre j’espère que tes examens et tes tests, demain seront impeccables, sinon Magalie et moi on ne va pas tenir longtemps sans toi, sans notre amant.

Tu nous as habitués à être là, bien présent, quand nos besoins, nos envies apparaissent. Nous retrouver sans toi pour nous satisfaire, pour satisfaire nos désirs, satisfaire nos besoins, mon amour, cela va être très dur de résister.

On va être obligé d’aller voir les beaux messieurs qui trainent par ici, qui je pense ne diraient pas non, devant deux belles plantes comme nous.


Oui mon amour, si tes examens ne sont pas bons, qu’allons devenir, avec toutes ces envies qui nous tenaillent, qui nous frustrent.

Devront nous aller voir ces quelques jolis messieurs que nous avons déjà vus ?


Plus ça va, plus Mario se tasse sur son siège, semble abasourdi de la teneur des propos de mes puces, et surtout que je ne dise mot, que je ne réagisse pas.

Et c’est reparti pour me chambrer, non là elles sont dans la provoque vis-à-vis de Mario. Elles ne sont pas possible. Mais je les comprends, ce n’est pas évident tant pour elles que pour moi de ne pas savoir ce qui se passe.

Mario, alors là, je me retiens d’éclater de rire. Mario a les yeux qui lui sortent de la tête, en regardant Sabine et Magalie.


De toute façon, demain matin vous avez rendez vous avec Nathalie, vous y aller, cela me motivera, pour mes tests et mes examens.

Rien que de penser à mes deux chéries qui se font pomponner pour moi, se font belles pour mon plaisir, pour me faire plaisir, je sais, que tout se passera bien, que tout doit bien se passer.


C’est vrai, je n’y pensais plus. Mario, demain matin avec Magalie, on a rendez-vous à 9 heures avec Nathalie, tu sais l’esthéticienne qui a mangé avec nous l’année dernière.

On vous accompagne à l’hôpital demain matin, mais on doit partir pour être à 9heures au salon d’esthétique.



Re: Vacances en Corse

Publié : 24 janvier 2012, 19:41
par Invité
ahahah vivment la suite jadore

Re: Vacances en Corse

Publié : 29 janvier 2012, 14:30
par Invité
une suite stpstpstp

Re: Vacances en Corse

Publié : 30 janvier 2012, 17:05
par ClEa8
Ben oui Jak une tite suite quand meme :jump: teplais :modo:

Re: Vacances en Corse

Publié : 31 janvier 2012, 04:09
par DeLsEp9
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

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Et c’est reparti pour me chambrer, non là elles sont dans la provoque vis-à-vis de Mario. Elles ne sont pas possible. Mais je les comprends, ce n’est pas évident tant pour elles que pour moi de ne pas savoir ce qui se passe.

Mario, alors là, je me retiens d’éclater de rire. Il a les yeux qui lui sortent de la tête, en regardant Sabine et Magalie.


De toute façon, demain matin vous avez rendez vous avec Nathalie, vous y aller, cela me motivera, pour mes tests et mes examens.

Rien que de penser à mes deux chéries qui se font pomponner pour moi, se font belles pour mon plaisir, pour me faire plaisir, je sais, que tout se passera bien, que tout doit bien se passer.


C’est vrai, je n’y pensais plus. Mario, demain matin avec Magalie, on a rendez-vous à 9 heures avec Nathalie, tu sais l’esthéticienne qui a mangé avec nous l’année dernière.

On vous accompagne à l’hôpital demain matin, mais on doit partir pour être à 9heures au salon d’esthétique.


-/-


Ne crois pas que l’on se défile, mais elle ne pourra pas nous prendre avant plusieurs jours. Et j’ai envie de me faire belle, de surprendre notre amant, qu’il soit heureux de ce qu’il va découvrir, quand il rentrera de ses examens.

J’ai envie, tout comme ma grande sœur qu’il soit motivé, qu’il réussisse ses tests, que ses examens se passent bien. Que l’on sache enfin ce qu’il a, que l’on sache ce qui s’est passé. Que le Docteur Ameisen nous confirme ses propos, comme quoi ce n’est pas grave, que notre Jacques va bien


Oui qu’il nous confirme que notre Jacques n’a rien de grave.

En même temps elles posent leurs mains sur la mienne. Me regarde. Leurs yeux me font fondre, Elles sont si câlines, si attentionnées.

Plus ça va, plus Mario, semble réaliser. Réalise-t-il réellement, ce que mes deux amours représentent pour moi, ou ne voie-t-il que la partie immergée de ce qui se passe, de ce qu’il s’imagine.

Je pense qu’il est dans la vision, dans le fantasme. Il n’est pas dans notre réalité. Lui le macho, le docteur « S femme » ne peut pas comprendre, ne doit pas comprendre, ce que nous ressentons les uns pour les autres.


Si vous voulez, demain Giséle peut garder le petit pendant que vous êtes, chez l’esthéticienne, elle n’a rien de prévue, à l’hotel. Pas d’enfant a garder. Et se faire de l’argent supplémentaire, n’est pas pour la déranger.

Je pense que ce serait mieux, déjà le stress de savoir Jacques en train de passer ses examens, ses tests, sans que nous soyons présentes, ne sera pas évident. Autant que le petit, ne ressente pas tout ce stress qui va nous submerger.

C’est très gentil Mario de penser à cela. Tout va si vite d’un seul coup, que nous ne pensons pas à tout.

Magalie se lève, embrasse Mario, qui ne sait plus où se mettre. En se levant, le décolleté de Magalie s’est écarté, et je voie les yeux ébahis de Mario qui sont fixés sur la poitrine nue de Magalie, qui ne remarque rien, ou plutôt qui fait semblant de ne rien remarquer, de ne pas remarquer ce regard gourmand qui est fixé sur ses seins, si visible.

Bon on mange, notre repas va être froid. Déjà que pour Jacques, qui est un tel épicurien, devoir manger ce poisson sans un verre de Patrimonio blanc, ou un verre de champagne, est une torture, le manger froid serait encore plus horrible.


Je voie Sabine et Magalie, qui approuvent de la tête, qui prennent leurs couverts. Nous mangeons, le poisson est succulent, pas gras du tout, la cuisson à la vapeur, a laissé toutes les saveurs intacts.

Je me régale, modestement tant il est vrai qu’un verre de champagne, ou de Patrimonio blanc serait le bienvenu, pour rehausser toutes ses saveurs.

Je regarde Sabine et Magalie, qui se régalent. Les flutes étant vide, je sers tout le monde, y compris Magalie, qui me regarde surprise.


Tu n’as pas le droit de boire, ce n’est pas pour cela que tu dois me servir mon amour.

Tu dis toi-même qu’une femme qui a trop bu est bonne à rien, et n’a rien à offrir.

Je sais que ce soir il ne se passera rien, que ce soit avec Sabine ou moi, ce n’est pas une raison de me faire boire.

Tu sais que je ne supporte pas trop l’alcool. Enfin je le crois.


Ma chérie, je t’ai servi comme tout le monde, ce n’est pas parce que ton verre est plein, que tu dois boire. Tu fais comme tu l’entends, tu connais tes limites, à toi de savoir ce que tu dois faire.

Elle trempe ses lèvres dans le verre, se lève, vient m’embrasser.

Voila mon chéri, tu ne dois pas boire, je t’offre le gout, la saveur du champagne sur tes lèvres. Profites en, savoure.

Sabine nous regarde en souriant.

Petite sœur, tu es adorable, je n’y aurais pas pensé. Tu gâtes notre homme.

Magalie se rassoie, elle souri. Les deux sœurs se regardent, Sabine, joue avec son Napoléon, Magalie avec sa chainette. Elles, ont l’air heureuse, si heureuse.

Nous continuons de manger, Mario me souri, il a l’air de commencer à comprendre, à comprendre qu’il n’y a rien de malsain, qu’il n’y a que l’amour qui nous lie, que de l’amour entre nous trois.

Je voie le regard, de Mario qui fixe quelque chose ou quelqu’un derrière moi. Je reconnais la voix du docteur Ameisen.

« Mario, je voulais vous remercier pour ce succulent dessert.

Jacques, j’ai vue et entendu par hasard le manège, et les propos de vos compagnes, vous avez beaucoup de chance. Beaucoup de chance d’être autant aimé. »


Magalie et Sabine rougissent, elles sont si mignonnes, quand elles se font surprendre comme cela.

Vous vous asseyez avec nous et vous buvez une coupe de champagne avec nous docteur ?

« Pourquoi pas, mon épouse est monté se coucher, mais juste une seule coupe. Il faut que demain j’aie toute ma tête, vous vous en doutez bien.

Je commence à comprendre beaucoup de choses vous concernant. Sans que cela soit le moins du monde impudique, ni choquant, vous affichez votre amour tous les trois. Je trouve cela magnifique.

Il faudra que l’on parle avant les examens, pour que je sache, ce n’est pas du voyeurisme, ne vous méprenez pas, donc pour que je sache ce qui s’est passé, et comment cela est arrivé.

Mario m’a parlé d’un malaise sur une plage. »

Il le dit avec un petit sourire, comme s’il s’imaginait, chercher à imaginer ce qui s’est passé sur cette fameuse plage.

Magalie et Sabine se regarde. Hésitant, à expliquer ce qui s’est passé. Mario, me regarde, il a l’air gêné. Il commence à se lever de sa chaise.


Je vais vous laisser avec le docteur, pas de soucis, c’est du domaine privé, et cela ne me regarde pas.

Sabine tout en me regardant pose sa main sur le bras de Mario.

Mario, tu sais très bien ce qu’est une vie de couple, ce que c’est. Tu sais parfaitement ce que font deux amants qui se retrouvent, que ce soit au lit, ou sur une plage la nuit.

Alors que l’on soit deux ou trois, il n’y a que le nombre et l’intensité du moment, qui change. Sauf, bien sur si cela te gêne Mario. Tu fais comme tu le veux.


Magalie regarde Mario en souriant, et approuve de la tête, tout comme moi.

Bon docteur vous voulez savoir, quand, quoi, comment cela est arrivé ?

Je voie le docteur Ameisen, qui souri, approuvant de la tête. Il y a comme une nostalgie dans son regard. Comme s’il pensait à un moment de sa vie.

Nous étions tous les trois sur la plage, à l’Ile Rousse, en train de faire l’amour, disons que, pour commencer au départ.

Hier matin, j’ai compris que ma sœur et mon homme était amant. Nous avons Magalie et moi, d’un commun accord décidé.


Oui nous avons toutes les deux décidées que nous vivrions tous les trois ensembles. Je dois reconnaitre, enfin oui, nous avons un peut exagérer avec notre amant. Depuis hier, nous avons, enfin….

Alors là, la tête de Mario, il faudrait faire des photos, il boit les paroles des puces, il est accroché, à leurs lèvres, à boire leurs mots, à boire leurs phrase.

Le docteur « S Femme » à l’air dépassé, complètement perdu dans notre vie, dans notre monde d’amour.


Depuis hier ma sœur et moi avons grandement abusé de notre amant.

Oui j’ai décidé avec leurs accords, que je n’appellerais plus Jacques, « mon mari » et que lui ne me dirait plus « mon épouse ». Ceci pour que Magalie et moi soyons égales, même dans les noms que nous lui donnerions, ou que Jacques nous donnerait.

Donc, depuis hier Magalie tout comme moi, nous nous donnons à notre homme, à notre amant, à notre chéri et nous avons peut être exagéré.


Oui, pour le plus grand plaisir de nous tous. Et donc hier soir, pendant que nous étions en train de jouir comme des fous tous les trois sur la plage, Jacques s’est écroulé. On a était paniqué. Il est revenu à lui ça a duré au moins ….

Oui au moins deux à trois minutes, voir cinq minutes, enfin je ne sais pas réellement. Nous avons eut l’impression qu’il était tombé dans les pommes. Avec l’aide de Magalie, je l’ai mis en position latérale de sécurité, et j’ai vérifié sa respiration, et qu’il n’avait pas avalé sa langue.


Re: Vacances en Corse

Publié : 09 février 2012, 15:52
par ClEa8
C'est pas parce que je suis pas là et que les autres demande pas qu'il faut plus poster hein!!!

J'vais avoir quoi a lire moi lundi! :lol:

Re: Vacances en Corse

Publié : 09 février 2012, 18:59
par DeLsEp9
passiflore123 a écrit :C'est pas parce que je suis pas là et que les autres demande pas qu'il faut plus poster hein!!!

J'vais avoir quoi a lire moi lundi! :lol:


:d