moué passionnant quoi... c'est soporifique ! alors qu'une amie très jeune a beaucoup aimé

Je suis en train de lire la trilogie "crossfire" ... et bien c'est carrément mieux que 50 shades !!!!

C'est dans le même registre ?

Oui c est le meme genre, en mieux je trouve.
en effet le 3eme de 50 Shades etait "long" a lire

J'ai lu le premier, j'ai commencé le deuxieme mais j'ai pas pu le finir... ^^

Je lis en ce moment "Le cas Eduard Einstein" de Laurent Seksik, excellent livre qui raconte aux travers de 3 visions (Celle d'Albert, de sa femme et d'Eduard, le fils) la vie d'Eduard, devenu fou.

Je l'ai commencé lundi, j'en suis à plus de la moitié, je le recommande vivement, ça se lit très bien, et on perçoit A.Einstein bien différement du génie mondialement connu. On le voit mari et père avec ses doutes, ses obligations le tout à travers la 2GM qui approche etc

J'ai lu ce matin : la femme parfaite est une connasse.
Il est sympa

Les nouveaux cons, j'ai bien rigolé, en ce moment je suis dans ce genre de bouquin, je vais pas tardé à commencer un Stephen King aussi.

chihiro76 a écrit :Les nouveaux cons, j'ai bien rigolé, en ce moment je suis dans ce genre de bouquin, je vais pas tardé à commencer un Stephen King aussi.

Ha haaa lequel Stephen King? J'en ai une belle collection! Tous lus bien sur.

Là, je suis sur une monumentale "Histoire de la magie" de F. Ribadeau Dumas

Dernièrement, j'ai été très marquée par le film sur YSL et je me suis donc plongée dans les Lettres à Yves (fictives, puisque celui-ci était déjà mort lorsqu'elles ont été rédigées) de Pierre Bergé. Une lecture sublime et bouleversante, à l'image de ce qu'on a pu voir dans les salles dernièrement. Voici juste un extrait qui, à lui seul, résume cette passion inconditionnelle entre les deux hommes :

"J'ai beau feindre de vivre comme si rien ne s'était passé, comme si j'allais te parler au téléphone comme nous l'avons fait toute notre vie, comme si tu allais pousser la porte de mon bureau, avec prudence comme chaque fois, pour t'assurer qu'il n'y aurait pas d'importuns, il n'y a rien à faire : je bute toujours sur ton absence. Elle m'assaille n'importe où, n'importe quand. Tu étais omniprésent et tu l'es resté. Crois-moi, cette vente et cette affaire Warhol n'ont rien arrangé. Je ne te parle pas d'une absence métaphysique mais au contraire d'une absence physique. Absence présente. Comme un oxymoron. Je sais que tu me comprends, toi qui t'es éloigné si souvent de la vie, qui as pris tant de distance avec la réalité. N'était-ce pas un jeu de ta part ? On peut se le demander. Chacune de tes collections ne prouvait-elle pas au contraire que ton regard sur le monde ne s'était pas dissipé, que tu avais tout vu, tout compris ? Derrière tes lunettes de myope, tu cachais la vérité mais nous, nous deux, nous avions nos secrets pour la faire jaillir."

Tout au long de ce bouquin, j'ai tantôt souri (souvent), tantôt pleuré (beaucoup). Une chose est sûre, j'ai littéralement adoré.

Vais commencer Beautiful Bastards

Tiens y parait qu'y a un nouveau Fifty Shades mais ce sont les "50 nuances vues par Christian grey"

Les Beautiful bastards ben pas mal quoi

Je suis en pause lecture pour le moment. je me réserve pour les vacances, au bord de l'eau...

J'ai les deux 80 Notes de bleu et de rouge, 1984 et Gatsby pour deux semaines. Je prendrai peut-êtr eaussi un petit Arsène Lupin tiens. Cela devrait suffire...

J'ai lu en 15 minutes hier : La femme parfaite est une connasse.

Très rafraichissant et tellement vrai

Là je vais entamer les hommes viennent de mars, les femmes viennent de vénus

Dites donc c'est sympa ce forum, un sujet littérature, je ne pouvais que me jeter dessus évidemment.
En plus ça a l'air bien fréquenté ici. il y a bien quelques canadiens des anciennes colonies, mais enfin bon, il en faut.

Bon alors moi je suis actuellement dans "tandis que j'agonise" de Faulkner. un titre chatoyant et marqué, comme vous le constatez, d'une joie de vivre guilerette et nettement positive.
C'est l'histoire d'une famille de paysan vaguement dégénérée du Sud des Etats-Unis - contexte typiquement faulknerien donc - qui enterre la mère de famille non sans trimballer son cercueil sur des dizaines de milles, afi de gagner Jeferson, où reposent les parents de la défunte. L'épopée est prétexte à décrire la tribu qui comme de juste se compose d'un patriarche un peu demeuré, d'un attardé mental visionnaire qui s'avère le moins stupide du groupe, d'un fils adultérin jadis choyé par sa mère, de deux-trois pasteurs goguenard, d'une voisine bigotte, etc.
Bon pas mal. Mais Faulkner reste difficile à lire; il n'y a pas d'harmonie dans le style, chaque personnage y allant de son monologue successif pour raconter les mêmes saynètes. La traduction semble massacrer un peu tout ça. Il faut dire que Faulkner s'était efforcé de traduire le patois argotique du sud et de la Louisiane, ça ne doit pas être évident à retranscrire.

bon sinon mes salutations aux membres d'un certain forum Docti.
Ici c'est Serguei ("Oh-non-pas-lui") :-)

Serguichou la règle veut que tu fasses une petite présentation de toi dans la partie du forum dédié à ça, quand tu débarques ici

attention, on parle pas sexo sur les parties générales du forum (que sur les parties interdites aux mineurs)

pis en postant un peu, t'auras accès au forum exhib

est-ce qu'en trois messages j'aurais déjà parlé sexe sur une partie génitale (heu hénérale) du forum ?
Mince, je me rapelle déjà plus.
C'est l'âge sûrement...

nan je crois pas que tu l'aies fait, mais faut pas faire, cétou

Smum a écrit :Tiens y parait qu'y a un nouveau Fifty Shades mais ce sont les "50 nuances vues par Christian grey"

Les Beautiful bastards ben pas mal quoi

Agrrrrrr

mais non, pleure pas

Mad'O a écrit :mais non, pleure pas

Y'a marqué litterature comme sujet de discute
Y'a pas marqué charcuterie, saindoux et jambonneau...

Supprimé a écrit :Ou tu as le droit de donner ton avis mais tu m'excuseras je ne suis pas une ménagère de moins de 50 ans avec une libido en baisse hein ...
C'est comme si je disais que ceux qui aiment la bit - lit sont des dégérés

On a pas à juger les gens sur ce qu'ils aiment lire ou non .

Et pis je rajoute que oui on a bien admis avec ceux qui ont aimé la trilogie que ce n'était pas de la grande littérature et que c'était cu-cul la praline en effet ... Par exemple dans le trois ils chialent tout le temps et ça me gonfle sévère

Ben c'est-à-dire que précisément...

Oui bon, OK. A peine arrivé, je vais pas faire ma crise, je vais attendre un peu pour être poli.

Le beau Serge a écrit :
Agrrrrrr

mince je suis en retard du coup !!! moi qui voulais écrire la suite , le tome ultime ... "50 nuances de brun" .....

dommage ....

je sors ....

Suis passé à un nouveau Thomas Bernhardt chez "L'imaginaire Gallimard", excellente collection. C'est "Le souffle", 3eme volume de son autobiographie (mais tous peuvent se lire indépendamment).
Cette quadrilogie se compose dans l'ordre de: L'origine (que tout le monde se plaît à désigner comme son chef-d'oeuvre), le sous-sol (grosso modo l'adolescence), le souffle (un séjour traumatique en hôpital, jeune homme, alors qu'il est atteint d'une pleurésie) et un quatrième dont, merdum, j'ai oublié le nom.
Pour donner une idée du personnage, Bernhardt, c'est le type qui, avec Jellinek un peu plus tard, va donner de grands coups de pieds au cul de la très mortiphère Autriche pour lui signifier qu'il serait bon de se reconstruire une culture proprement dite, au lieu de se contenter d'ouvrir quelques galeries pour touristes, de se confire dans les salons de thés pleins de "Shoschertörte" et de se branlotter la nouille sur les airs de Mozart et les flons-flons surannés du bal des débutantes.

Bernhardt comme de juste haît l'Autriche et ne perd pas une occasion de pointer le mystère gênant de son pays, à savoir qu'il n'a jamais été soumis à la dénazification et que ni les programmes scolaires, ni les méthodes d'éducation n'ont substantiellement changé après la guerre (il est lui-même né en 46 ou 47 justement). Son témoignage dans "L'origine" est très troublant à cet égard, on voit encore sur les murs de l'école la silhouette en creux des portraits de Hitler décrochés parfois à regret par les chefs d'établissement. D'où son questionnement implicite à travers ses romans et ses pièces: Avons-nous vraiment changé ?

Comme la critique autrichienne n'est pas à un paradoxe près, et qu'elle a voulu contrôler à sa façon le côté éruptif du personnage, Bernhardt s'est retrouvé bombardé de prix littéraires autrichiens dont il n'a rien à foutre puisque, explique-t-il, il n'existe quasiment plus de littérature autrichienne. Le problème avec les titulaires de prix littéraires, c'est qu'ils finissent par croiser des ministres. un jour, l'un d'entre eux quitte une salle de conférence où officiait Bernhardt en criant: "Mais nous sommes fiers d'être autrichiens !" Bernhardt répondant: "grand bien vous fasse, moi j'en ai honte".

je vous invite à voir sa bio sur Wiki. un type intéressant, mais c'est un alcool fort. ses textes sont des sortes d'éructations furieuses, mais nécessaires. Cela fait partie des livres qui piquent, mais qui font respirer.

Je propose a tous les fans de les tires de lister les meilleurs ouvrages qu'ils ons lus
-assassin royal
- chevalier d'émeraude
- les rois maudis

un poème découvert grâce à Michel Boujenah
Le mot et la chose, écrit par un l'abbé L'Atteignant :

Madame quel est votre mot
Et sur le mot et sur la chose
On vous a dit souvent le mot
On vous a fait souvent la chose

Ainsi de la chose et du mot
Vous pouvez dire quelque chose
Et je gagerais que le mot
Vous plaît beaucoup moins que la chose

Pour moi voici quel est mon mot
Et sur le mot et sur la chose
J'avouerai que j'aime le mot
J'avouerai que j'aime la chose

Mais c'est la chose avec le mot
Mais c'est le mot avec la chose
Autrement la chose et le mot
A mes yeux seraient peu de chose

Je crois même en faveur du mot
Pouvoir ajouter quelque chose
Une chose qui donne au mot
Tout l'avantage sur la chose

C'est qu'on peut dire encore le mot
Alors qu'on ne fait plus la chose
Et pour peu que vaille le mot
Mon Dieu c'est toujours quelque chose



De là je conclus que le mot
Doit être mis avant la chose
Qu'il ne faut ajouter au mot
Qu'autant que l'on peut quelque
chose

Et que pour le jour où le mot
Viendra seul hélas sans la chose
Il faut se réserver le mot
Pour se consoler de la chose

Pour vous je crois qu'avec le mot
Vous voyez toujours autre chose
Vous dites si gaiement le mot
Vous méritez si bien la chose

Que pour vous la chose et le mot
Doivent être la même chose
Et vous n'avez pas dit le mot
Qu'on est déjà prêt à la chose

Mais quand je vous dis que le mot
Doit être mis avant la chose
Vous devez me croire à ce mot
Bien peu connaisseur en la chose

Et bien voici mon dernier mot
Et sur le mot et sur la chose
Madame passez-moi le mot
Et je vous passerai la chose


[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;

Je suis en train de lire -Plonger" J'adore!!

J'ai commencé "N'éteins pas la lumière" de Bernard Minier, un bon thriller/policier sur la manipulation et l'emprise, pourtant je n'aime pas le genre en temps normal mais là, j'ai bien fait ! Il est vraiment captivant.

Synopsis :
« Tu l as laissée mourir... »
Christine Steinmeyer croyait que la missive trouvée le soir de Noël dans sa boîte aux lettres ne lui était pas destinée. Mais l homme qui l interpelle en direct à la radio, dans son émission, semble persuadé du contraire... Bientôt, les incidents se multiplient, comme si quelqu un avait pris le contrôle de son existence. Tout ce qui faisait tenir Christine debout s effondre. Avant que l horreur fasse irruption.

Martin Servaz, de son côté, a reçu par la poste la clé d une chambre d hôtel. Une chambre où une artiste plasticienne s est donné la mort un an plus tôt. Quelqu un veut le voir reprendre du service... ce qu il va faire, à l insu de sa hiérarchie et de ses collègues.

Et si nos proches n étaient pas ce que nous croyons ? Et si dans l obscurité certains secrets refusaient de mourir ? Non, n éteignez pas la lumière, ou alors préparez-vous au pire...

Après les grands succès de Glacé et du Cercle, Bernard Minier revient avec un thriller sur la manipulation et l emprise, en explorant nos cauchemars les plus intimes, nos phobies et nos obsessions...

J'ai commencé "N'éteins pas la lumière" de Bernard Minier, un bon thriller/policier sur la manipulation et l'emprise, pourtant je n'aime pas le genre en temps normal mais là, j'ai bien fait ! Il est vraiment captivant.

Synopsis :
« Tu l as laissée mourir... »
Christine Steinmeyer croyait que la missive trouvée le soir de Noël dans sa boîte aux lettres ne lui était pas destinée. Mais l homme qui l interpelle en direct à la radio, dans son émission, semble persuadé du contraire... Bientôt, les incidents se multiplient, comme si quelqu un avait pris le contrôle de son existence. Tout ce qui faisait tenir Christine debout s effondre. Avant que l horreur fasse irruption.

Martin Servaz, de son côté, a reçu par la poste la clé d une chambre d hôtel. Une chambre où une artiste plasticienne s est donné la mort un an plus tôt. Quelqu un veut le voir reprendre du service... ce qu il va faire, à l insu de sa hiérarchie et de ses collègues.

Et si nos proches n étaient pas ce que nous croyons ? Et si dans l obscurité certains secrets refusaient de mourir ? Non, n éteignez pas la lumière, ou alors préparez-vous au pire...

Après les grands succès de Glacé et du Cercle, Bernard Minier revient avec un thriller sur la manipulation et l emprise, en explorant nos cauchemars les plus intimes, nos phobies et nos obsessions...

Oh il est tout mort ce topic, dommage, j'adore bouquiner !
J'aime lire de tout tant que c'est de qualité.
Mais ce que je préfère, c'est la SF en premier, et la fantasy en second (mais la bonne, là je suis difficile).
Je suis fan de Scott Card, Asimov, Clark, Dick, Simmons et plein d'autres !
Mon adolescence a également été bercé par Zimmer Bradley, Morcoock, Anne Rice, Tolkien, Howard, et tant dautres.

Bon ben moi aussi c'est la SF et un peu le policier.
Mes auteurs préférés :
Simenon, Clarke, Brussolo, Banks, Jeury et Barvajel

Ah oui, j'adore Barjavel (la nuit des temps ), Banks et Jeury ! Brussolo a écrit un roman ou deux qui m'ont beaucoup marquée aussi et il a un style bien a lui.
Simenon c'est très bien, mais c'est du policier.
Il faut admettre que c'est un maitre de la description.

Moi, ce sont les bandes dessinnées et ça de tout temps, genre Tintin et Milou.

Up par ici

@Ava
@Dita Von Teese

Ten a écrit : ↑10 septembre 2020, 10:02 Up par ici

@Ava
@Dita Von Teese

Merci Tenou, mais je n'ai aucune envie de partager mes lectures sauf si la conversation s'y prête comme ça a été le cas ce matin.

perso je lis que des bouquins thriller ou policier... Fan d'Harlan Coben et de Franck Thilliez

Ten a écrit : ↑10 septembre 2020, 10:02 Up par ici

@Ava
@Dita Von Teese

Merci Ten j ai commencé La servante écarlate, adaptée en super série sur netflix parait il, mais pas vue.

Ava a écrit : ↑10 septembre 2020, 13:17 Merci Ten j ai commencé La servante écarlate, adaptée en super série sur netflix parait il, mais pas vue.

Excellente série !!! Par contre pas sure de sa diffusion sur netflix