Le saviez-vous ?
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Re: Le saviez-vous ?
Doivent être un peu perdus avec la pollution lumineuse 
Moitié de Nîmois-ni-toi 
Sadiquement masochiste, mais une masochiste sadique

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Re: Le saviez-vous ?
Au Moyen-Âge, certains couples réglaient leur divorce "par combat" !
"Jusqu'à ce que la mort nous sépare", littéralement. Avant que l'indissolubilité du mariage ne soit prononcé au XVIe siècle, des couples moyenâgeux, notamment en Allemagne, pouvaient régler un différend... par combat ! Un affrontement qui pouvait se conclure par une mort atroce.
Le divorce est un droit que nous avons acquis à la fin du XIXe siècle, même si, il y a quelques décennies en arrière, pour les femmes, il était toujours difficile de se séparer de son mari. Si le mariage a longtemps été considéré comme une union qui ne devait pas être brisée, cela n'a pas été toujours le cas dans l'histoire. Chez les Romains, ou en Grèce antique, le divorce était limité, mais pratiqué tout de même. Au Moyen-Âge, le mariage était synonyme d'une alliance scellée, et donc il pouvait également se rompre si celle-ci ne servait plus les intérêts de l'une des deux parties. En Allemagne, une curieuse pratique a notamment émergé à cette époque : le "divorce par combat".
L'homme placé dans un trou, la femme armée d'une massue
Ce curieux rituel résume à elle seule l'étrangeté de certaines pratiques moyenâgeuses : le principe voudrait que le gagnant dudit combat ait le droit de décider si, oui ou non, le divorce pouvait être consacré. Mais ce n'était pas le cas, comme le rapportent nos confrères de Geo. Car le perdant était condamné à mort. "L'homme perdant était reconnu coupable, sorti de son trou et exécuté sur la place de la ville. La femme perdante, placée dans un trou et enterrée vivante", rapporte le magazine, à partir de sources médiévales, telle que le "fechtbuch", ou manuel de combat rédigé par le maître d'armes allemand Hans Talhoffer en 1467, et découvert par Kenneth Hodges, un professeur spécialiste du Moyen-Âge tardif de l'Université d'Oklahoma (États-Unis).
Ce manuscrit médiéval illustré semble décrypter chaque étape. Les deux combattants portaient un body "confortable". La femme était autorisée à bouger librement, armée d'une "massue" réalisée à base de pierres enveloppées par un tissu, tandis que l'homme, sûrement pour rendre l'affrontement plus équitable, était placé dans un trou laissant dépasser sa taille, et muni d'un gourdin en bois, selon ce manuel, qui mentionne avant tout des conseils. Le combat pouvait se terminer par un K.O, ou bien par la mort de l'un des deux combattants, étant donné les armes utilisées.
Mais ces affrontements inégaux et insolites, qui font partie de la grande tradition des "duels judiciaires" de l'époque, ont probablement rarement été autorisés, ou seulement dans des cas extrêmes. Il ne reste que peu de traces écrites qui les décrivent. On sait cependant que pour résoudre un différend entre une femme et un homme, celle-ci pouvait volontiers désigner un champion. Mais lorsqu'elle était mariée, cela pouvait être plus difficile de convaincre un chevalier. En tout cas, ces pratiques ont dû évoluer à la Renaissance, notamment avec l'indissolubilité du mariage consacré en 1563 par l'Église.
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"Jusqu'à ce que la mort nous sépare", littéralement. Avant que l'indissolubilité du mariage ne soit prononcé au XVIe siècle, des couples moyenâgeux, notamment en Allemagne, pouvaient régler un différend... par combat ! Un affrontement qui pouvait se conclure par une mort atroce.
Le divorce est un droit que nous avons acquis à la fin du XIXe siècle, même si, il y a quelques décennies en arrière, pour les femmes, il était toujours difficile de se séparer de son mari. Si le mariage a longtemps été considéré comme une union qui ne devait pas être brisée, cela n'a pas été toujours le cas dans l'histoire. Chez les Romains, ou en Grèce antique, le divorce était limité, mais pratiqué tout de même. Au Moyen-Âge, le mariage était synonyme d'une alliance scellée, et donc il pouvait également se rompre si celle-ci ne servait plus les intérêts de l'une des deux parties. En Allemagne, une curieuse pratique a notamment émergé à cette époque : le "divorce par combat".
L'homme placé dans un trou, la femme armée d'une massue
Ce curieux rituel résume à elle seule l'étrangeté de certaines pratiques moyenâgeuses : le principe voudrait que le gagnant dudit combat ait le droit de décider si, oui ou non, le divorce pouvait être consacré. Mais ce n'était pas le cas, comme le rapportent nos confrères de Geo. Car le perdant était condamné à mort. "L'homme perdant était reconnu coupable, sorti de son trou et exécuté sur la place de la ville. La femme perdante, placée dans un trou et enterrée vivante", rapporte le magazine, à partir de sources médiévales, telle que le "fechtbuch", ou manuel de combat rédigé par le maître d'armes allemand Hans Talhoffer en 1467, et découvert par Kenneth Hodges, un professeur spécialiste du Moyen-Âge tardif de l'Université d'Oklahoma (États-Unis).
Ce manuscrit médiéval illustré semble décrypter chaque étape. Les deux combattants portaient un body "confortable". La femme était autorisée à bouger librement, armée d'une "massue" réalisée à base de pierres enveloppées par un tissu, tandis que l'homme, sûrement pour rendre l'affrontement plus équitable, était placé dans un trou laissant dépasser sa taille, et muni d'un gourdin en bois, selon ce manuel, qui mentionne avant tout des conseils. Le combat pouvait se terminer par un K.O, ou bien par la mort de l'un des deux combattants, étant donné les armes utilisées.
Mais ces affrontements inégaux et insolites, qui font partie de la grande tradition des "duels judiciaires" de l'époque, ont probablement rarement été autorisés, ou seulement dans des cas extrêmes. Il ne reste que peu de traces écrites qui les décrivent. On sait cependant que pour résoudre un différend entre une femme et un homme, celle-ci pouvait volontiers désigner un champion. Mais lorsqu'elle était mariée, cela pouvait être plus difficile de convaincre un chevalier. En tout cas, ces pratiques ont dû évoluer à la Renaissance, notamment avec l'indissolubilité du mariage consacré en 1563 par l'Église.
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Re: Le saviez-vous ?
Le palmier marcheur, je viens d'apprendre son existence grâce à une pub (
).
Et j'ai trouvé ça :
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Le Palmier à échasses : Un Arbre Qui Marche.
Le palmier à échasses ou Socratea exorrhizza est l'un des végétaux les plus étonnants qui existe. Ce palmier qui pousse dans les forêts tropicales humides est en effet capable de se déplacer pour se faire une place au soleil ! C'est pourquoi il est parfois surnommé "palmier marcheur" ou "arbre qui marche".
A quoi ressemble-t-il ?
Le palmier à échasses ou Socratea exorrhiza est un palmier de la famille des Arecacées.
Il se caractérise par de grandes feuilles pennées vert foncé, des inflorescences blanches de 30 à 60 cm de long et de petits fruits à noyau de forme allongée.
Mais il doit son nom à ses racines-échasses qui forment un cône soutenant le stipe (ou "tronc") au-dessus du sol. Ce cône racinaire apparaît dès le plus jeune âge.
Chacune de ces nombreuses racines extérieures peut mesurer jusqu'à 2 mètres de long. Elles permettent à ce palmier de s'élever vers le soleil et d'émerger du couvert de la forêt, en quête de lumière. Le stipe peut ainsi mesurer 10 à 20 mètres de hauteur pour seulement 10 à 20 cm de diamètre.
Comment avance-t-il ?
Le palmier à échasses est aussi appelé palmier marcheur car il a la capacité plutôt rare de se déplacer pour trouver un meilleur sol et/ou de meilleures conditions d'ensoleillement.
Bien sûr, le déplacement du Socratea exorrhizza n'est pas immédiatement perceptible... Mais il est tout de même capable de parcourir 1 mètre par an !
Pour y parvenir, ce palmier utilise son étonnant système racinaire. Si le sol est meilleur à un endroit, il produit de nouvelles racines en forme d'échasses qui vont s'implanter toujours plus loin du bon côté.
Les anciennes racines situées à l'arrière meurent, tandis que le palmier continue de se développer vers l'avant. C'est ainsi que l'arbre marcheur "avance" peu à peu.
Où peut-on en voir ?
Le palmier à échasses pousse en Amérique centrale (au Nicaragua, au Costa rica et au Panama notamment) jusqu'au bassin de l'Amazone en Amérique du Sud.
Ce palmier, originaire des forêts tropicales humides d'Amérique centrale et du Sud, a aussi été introduit à l'île Maurice.
Comme il a besoin d'un climat tropical ou subtropical très arrosé et qu'il n'est pas rustique, le palmier marcheur est difficile à cultiver sous nos latitudes.
Le saviez-vous ?
Malgré ses origines tropicales, le palmier à échasses porte le nom d'un philosophe grec !
Son nom botanique Socratea exorrhizza fait référence à Socrate.
Il rappelle également que ce palmier a des racines extérieures : "exorrhiza" vient du grec "exo" (dehors) et "rhiza" (racine).

Et j'ai trouvé ça :
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Le Palmier à échasses : Un Arbre Qui Marche.
Le palmier à échasses ou Socratea exorrhizza est l'un des végétaux les plus étonnants qui existe. Ce palmier qui pousse dans les forêts tropicales humides est en effet capable de se déplacer pour se faire une place au soleil ! C'est pourquoi il est parfois surnommé "palmier marcheur" ou "arbre qui marche".
A quoi ressemble-t-il ?
Le palmier à échasses ou Socratea exorrhiza est un palmier de la famille des Arecacées.
Il se caractérise par de grandes feuilles pennées vert foncé, des inflorescences blanches de 30 à 60 cm de long et de petits fruits à noyau de forme allongée.
Mais il doit son nom à ses racines-échasses qui forment un cône soutenant le stipe (ou "tronc") au-dessus du sol. Ce cône racinaire apparaît dès le plus jeune âge.
Chacune de ces nombreuses racines extérieures peut mesurer jusqu'à 2 mètres de long. Elles permettent à ce palmier de s'élever vers le soleil et d'émerger du couvert de la forêt, en quête de lumière. Le stipe peut ainsi mesurer 10 à 20 mètres de hauteur pour seulement 10 à 20 cm de diamètre.
Comment avance-t-il ?
Le palmier à échasses est aussi appelé palmier marcheur car il a la capacité plutôt rare de se déplacer pour trouver un meilleur sol et/ou de meilleures conditions d'ensoleillement.
Bien sûr, le déplacement du Socratea exorrhizza n'est pas immédiatement perceptible... Mais il est tout de même capable de parcourir 1 mètre par an !
Pour y parvenir, ce palmier utilise son étonnant système racinaire. Si le sol est meilleur à un endroit, il produit de nouvelles racines en forme d'échasses qui vont s'implanter toujours plus loin du bon côté.
Les anciennes racines situées à l'arrière meurent, tandis que le palmier continue de se développer vers l'avant. C'est ainsi que l'arbre marcheur "avance" peu à peu.
Où peut-on en voir ?
Le palmier à échasses pousse en Amérique centrale (au Nicaragua, au Costa rica et au Panama notamment) jusqu'au bassin de l'Amazone en Amérique du Sud.
Ce palmier, originaire des forêts tropicales humides d'Amérique centrale et du Sud, a aussi été introduit à l'île Maurice.
Comme il a besoin d'un climat tropical ou subtropical très arrosé et qu'il n'est pas rustique, le palmier marcheur est difficile à cultiver sous nos latitudes.
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Malgré ses origines tropicales, le palmier à échasses porte le nom d'un philosophe grec !
Son nom botanique Socratea exorrhizza fait référence à Socrate.
Il rappelle également que ce palmier a des racines extérieures : "exorrhiza" vient du grec "exo" (dehors) et "rhiza" (racine).
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Re: Le saviez-vous ?
Petit detail sur l'article sur les Amazones ... Côtoyant pas mal d'archères (et même d'archers), un sein peut gêner !! De nos jours, beaucoup de femmes mettent un plastron qui leur aplati le sein en question (celui du côté du bras qui tient l'arc). Certains hommes un peu mamelu le font donc aussi.
Quant aux Amazones, j'ai déjà lu par ailleurs qu'elles ne se coupaient pas un sein mais simplement se bandaient le torse !! C'est moins douloureux, même pour une guerrière
...
Quant aux Amazones, j'ai déjà lu par ailleurs qu'elles ne se coupaient pas un sein mais simplement se bandaient le torse !! C'est moins douloureux, même pour une guerrière
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Jessy
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Re: Le saviez-vous ?
Depuis quand met-on des espaces entre les mots ?
À partir du VIIe siècle, la mise en place d’espaces entre les mots a permis de développer la lecture silencieuse. Un changement radical.
N'oubliezpasvoslunettes ? Avec des espaces, c'est mieux : n'oubliez pas vos lunettes. Il y a des petites inventions qu'on ne soupçonne pas, pourtant, elles sont capitales. C'est le cas pour l'apparition de l'espace entre les mots. Cette innovation, qui ne paie pas de mine, a profondément métamorphosé notre façon d'interpréter et de lire les textes.
Prenons un exemple en anglais bien connu : « godisnowhere ». En jouant simplement avec les espaces, cette courte phrase peut prendre deux significations radicalement opposées : « God is now here » (Dieu est ici maintenant) ou « God is nowhere » (Dieu n'est nulle part).
« Scriptio continua », l'écriture continue
Durant l'Antiquité, les premiers textes écrits étaient, il faut le dire, quasiment illisibles, car les mots étaient enchaînés sans espaces. La première mission pour les lecteurs de l'époque, une fois le parchemin entre les mains, consistait donc à jouer les détectives pour dénicher les pauses et les silences entre les mots. Même des érudits comme Cicéron, ou plus tard saint Augustin, étaient contraints de répéter leurs textes avant de les proclamer à haute voix. Un sport d'endurance pour les yeux et les cordes vocales.
Ce mode d'écriture majoritaire pendant l'Antiquité s'appelle en latin « scriptio continua » (écriture continue). « Dans quelques textes, on pouvait retrouver des points médians pour séparer certains mots », rappelle toutefois au Point.fr l'historien Roger Chartier. « Mais en tout cas, ceci montre bien qu'à l'époque, déchiffrer n'était pas toujours aisé », note le spécialiste de l'histoire du livre et de la lecture, et auteur de La Main de l'auteur et l'esprit de l'imprimeur (Gallimard « Folio », 2015).
Si cet article est lisible pour vous, il faut remercier les moines copistes irlandais des VIIe et VIIIe siècles. Ce sont eux qui vont introduire les espaces entre les mots. Puis la pratique se généralise à partir du Xe siècle dans les scriptoriums un peu partout en Europe. « Les scribes ne vivaient plus dans la langue latine constamment. Donc la lecture des textes anciens sans séparation de mots devenait trop difficile. C'est pourquoi ils ont opéré ce changement », explique Roger Chartier.
Le début de la lecture silencieuse
L'arrivée de l'espace fait apparaître une nouvelle pratique : la lecture silencieuse. Avant cela, la plupart du temps, on lisait à haute voix, faute d'espaces entre les mots. Au IVe siècle, saint Augustin raconte dans ses Confessions son étonnement de voir Ambroise de Milan (le futur saint Ambroise) lire sans remuer les lèvres, chose qu'il ne savait sûrement pas faire : « Quand il lisait, ses yeux parcouraient la page et son cœur examinait la signification, mais sa voix restait muette et sa langue immobile. »
La possibilité de lire silencieusement pour soi-même change totalement le rapport du lecteur au texte. « La lecture silencieuse, c'est une lecture plus personnelle, plus intime. Le lecteur incorpore le texte, et le texte incorpore le lecteur. C'est ce qui devient le modèle au XVIIIe siècle », raconte Roger Chartier.
Impossible bien sûr de dire qu'au Xe siècle, l'arrivée de l'espace entre les mots, donc le début de la lecture silencieuse, provoque une démocratisation massive de la lecture ; mais ce processus de très longue durée a permis de développer un accès à une lecture intime pour le grand nombre, surtout à partir du XVIIIe siècle. Et depuis, des millions de lecteurs peuvent lire où bon leur semble : dans un lit, un canapé ou en terrasse sans importuner les autres. Rien que pour cela, remercions chaleureusement les moines copistes irlandais.
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À partir du VIIe siècle, la mise en place d’espaces entre les mots a permis de développer la lecture silencieuse. Un changement radical.
N'oubliezpasvoslunettes ? Avec des espaces, c'est mieux : n'oubliez pas vos lunettes. Il y a des petites inventions qu'on ne soupçonne pas, pourtant, elles sont capitales. C'est le cas pour l'apparition de l'espace entre les mots. Cette innovation, qui ne paie pas de mine, a profondément métamorphosé notre façon d'interpréter et de lire les textes.
Prenons un exemple en anglais bien connu : « godisnowhere ». En jouant simplement avec les espaces, cette courte phrase peut prendre deux significations radicalement opposées : « God is now here » (Dieu est ici maintenant) ou « God is nowhere » (Dieu n'est nulle part).
« Scriptio continua », l'écriture continue
Durant l'Antiquité, les premiers textes écrits étaient, il faut le dire, quasiment illisibles, car les mots étaient enchaînés sans espaces. La première mission pour les lecteurs de l'époque, une fois le parchemin entre les mains, consistait donc à jouer les détectives pour dénicher les pauses et les silences entre les mots. Même des érudits comme Cicéron, ou plus tard saint Augustin, étaient contraints de répéter leurs textes avant de les proclamer à haute voix. Un sport d'endurance pour les yeux et les cordes vocales.
Ce mode d'écriture majoritaire pendant l'Antiquité s'appelle en latin « scriptio continua » (écriture continue). « Dans quelques textes, on pouvait retrouver des points médians pour séparer certains mots », rappelle toutefois au Point.fr l'historien Roger Chartier. « Mais en tout cas, ceci montre bien qu'à l'époque, déchiffrer n'était pas toujours aisé », note le spécialiste de l'histoire du livre et de la lecture, et auteur de La Main de l'auteur et l'esprit de l'imprimeur (Gallimard « Folio », 2015).
Si cet article est lisible pour vous, il faut remercier les moines copistes irlandais des VIIe et VIIIe siècles. Ce sont eux qui vont introduire les espaces entre les mots. Puis la pratique se généralise à partir du Xe siècle dans les scriptoriums un peu partout en Europe. « Les scribes ne vivaient plus dans la langue latine constamment. Donc la lecture des textes anciens sans séparation de mots devenait trop difficile. C'est pourquoi ils ont opéré ce changement », explique Roger Chartier.
Le début de la lecture silencieuse
L'arrivée de l'espace fait apparaître une nouvelle pratique : la lecture silencieuse. Avant cela, la plupart du temps, on lisait à haute voix, faute d'espaces entre les mots. Au IVe siècle, saint Augustin raconte dans ses Confessions son étonnement de voir Ambroise de Milan (le futur saint Ambroise) lire sans remuer les lèvres, chose qu'il ne savait sûrement pas faire : « Quand il lisait, ses yeux parcouraient la page et son cœur examinait la signification, mais sa voix restait muette et sa langue immobile. »
La possibilité de lire silencieusement pour soi-même change totalement le rapport du lecteur au texte. « La lecture silencieuse, c'est une lecture plus personnelle, plus intime. Le lecteur incorpore le texte, et le texte incorpore le lecteur. C'est ce qui devient le modèle au XVIIIe siècle », raconte Roger Chartier.
Impossible bien sûr de dire qu'au Xe siècle, l'arrivée de l'espace entre les mots, donc le début de la lecture silencieuse, provoque une démocratisation massive de la lecture ; mais ce processus de très longue durée a permis de développer un accès à une lecture intime pour le grand nombre, surtout à partir du XVIIIe siècle. Et depuis, des millions de lecteurs peuvent lire où bon leur semble : dans un lit, un canapé ou en terrasse sans importuner les autres. Rien que pour cela, remercions chaleureusement les moines copistes irlandais.
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Re: Le saviez-vous ?
Le Père Noël serait né il y a environ 1700 ans. Il s'appelait alors Nicolas de Myre, un riche évêque turc qui avait l'habitude, pendant la nuit, d'aller distribuer des cadeaux et de la nourriture aux plus pauvres.
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Re: Le saviez-vous ?
Dans l'Est, c'est Saint Nicolas qui apportait les cadeaux en effet 

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Re: Le saviez-vous ?
Le GPS c'est elle. Le GPS (Global Positioning System) que l'on utilise tous les jours dans notre voiture, c'est elle qui l'a créé.
C'est une femme, elle est noire, elle est américaine, descendante d'esclave, issue d'une famille d'agriculteur, c'est Gladys West (93 ans ).
Cette mathématicienne a été
embauchée en 1956 au Naval Surface Warfare, et c'est là qu'elle a mis au point le système de données et d'analyse par satellite.
Le satellite Géosat c'est elle en 1986.
Actuellement elle vit toujours en Virginie et a son âge elle termine un doctorat
Elle a finalement reçu la reconnaissance qu’elle mérite en étant intronisée au Temple de la renommée des pionniers de l’espace et des missiles de l’armée de l’air par l’armée de l’air américaine lors d’une cérémonie tenue au Pentagone Juste INSPIRANT
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C'est une femme, elle est noire, elle est américaine, descendante d'esclave, issue d'une famille d'agriculteur, c'est Gladys West (93 ans ).
Cette mathématicienne a été
Le satellite Géosat c'est elle en 1986.
Actuellement elle vit toujours en Virginie et a son âge elle termine un doctorat
Elle a finalement reçu la reconnaissance qu’elle mérite en étant intronisée au Temple de la renommée des pionniers de l’espace et des missiles de l’armée de l’air par l’armée de l’air américaine lors d’une cérémonie tenue au Pentagone Juste INSPIRANT
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Re: Le saviez-vous ?
J'avais déjà lu un article sur Gladdys West ... une grande Dame effectivement ...
Jessy
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Re: Le saviez-vous ?
Les médecins de la Renaissance ont commencé à pratiquer la chirurgie plastique.
À l’époque, les duels et les maladies pouvaient considérablement ruiner l’apparence d’un homme, mais les chirurgiens y remédiaient.
Ils pratiquaient la rhinoplastie en transplantant un morceau de peau de l’avant-bras sur l’arête du nez.
C’est donc grâce aux médecins de la Renaissance que de nombreuses personnes peuvent aujourd’hui se vanter d’avoir un nez parfait.
À l’époque, les duels et les maladies pouvaient considérablement ruiner l’apparence d’un homme, mais les chirurgiens y remédiaient.
Ils pratiquaient la rhinoplastie en transplantant un morceau de peau de l’avant-bras sur l’arête du nez.
C’est donc grâce aux médecins de la Renaissance que de nombreuses personnes peuvent aujourd’hui se vanter d’avoir un nez parfait.
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Re: Le saviez-vous ?
D'où vient le mot "bug" (insecte en anglais) en informatique ?!
Il semblerait que le premier à avoir utilisé cette expression est Thomas Edison, qui avait découvert une panne dans son phonographe et l’avait comparé à un insecte imaginaire qui venait parasiter son invention.
Mais l’expression a vraiment été popularisée le 9 septembre 1947. Ce jour-là, à l’université d'Harvard, quelque chose d’anormal se passe sur un supercalculateur, ancêtre de nos PC d’aujourd’hui. Un court-circuit vient de provoquer sa panne. Grace Hopper, informaticienne en charge de la machine, cherche sa cause... À cette époque, les ordinateurs sont des machines énormes qui prennent une place considérable et des pièces entières où la chaleur est étouffante. Pour refroidir tout ça, il n'y a pas d’autres choix que d’ouvrir les fenêtres. Et justement, c’est de là qu’est venue la panne... Après avoir fouiné, Grace Hopper découvre un papillon de nuit coincé entre deux relais électriques de l’ordinateur. Un vrai bug pour le coup, à l’origine de ce court-circuit. L’image de Thomas Edison était devenue une réalité ! Du coup, l’expression "bug" est vraiment entrée dans l’histoire ce jour-là grâce à Grace Hopper.
Il semblerait que le premier à avoir utilisé cette expression est Thomas Edison, qui avait découvert une panne dans son phonographe et l’avait comparé à un insecte imaginaire qui venait parasiter son invention.
Mais l’expression a vraiment été popularisée le 9 septembre 1947. Ce jour-là, à l’université d'Harvard, quelque chose d’anormal se passe sur un supercalculateur, ancêtre de nos PC d’aujourd’hui. Un court-circuit vient de provoquer sa panne. Grace Hopper, informaticienne en charge de la machine, cherche sa cause... À cette époque, les ordinateurs sont des machines énormes qui prennent une place considérable et des pièces entières où la chaleur est étouffante. Pour refroidir tout ça, il n'y a pas d’autres choix que d’ouvrir les fenêtres. Et justement, c’est de là qu’est venue la panne... Après avoir fouiné, Grace Hopper découvre un papillon de nuit coincé entre deux relais électriques de l’ordinateur. Un vrai bug pour le coup, à l’origine de ce court-circuit. L’image de Thomas Edison était devenue une réalité ! Du coup, l’expression "bug" est vraiment entrée dans l’histoire ce jour-là grâce à Grace Hopper.
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Re: Le saviez-vous ?
Les femmes psychopathes sont beaucoup plus nombreuses qu’on le pense, selon un expert
Il y aurait 5 fois plus de femmes psychopathes que précédemment estimé.
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Il y aurait 5 fois plus de femmes psychopathes que précédemment estimé.
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Re: Le saviez-vous ?
Je ne savais pas où poser ça, donc ici :
"L'éloge de l'oisiveté"
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Moitié de Nîmois-ni-toi 
Sadiquement masochiste, mais une masochiste sadique

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Re: Le saviez-vous ?
"Point zéro : toutes les altitudes de France sont calculées à partir du Marégraphe de Marseille"
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Moitié de Nîmois-ni-toi 
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Re: Le saviez-vous ?
Je ne savais pas où poster ça donc voila :
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Re: Le saviez-vous ?
LES CHEVEUX LONGS 
Traditionnellement, les cheveux longs étaient toujours un symbole de masculinité.
Tous les grands guerriers de l'histoire avaient les cheveux longs, des Grecs (qui écrivaient des odes aux cheveux de leurs héros) aux nordiques, des Indiens américains (célèbre pour leurs cheveux longs brillants) aux Japonais.
Et plus les cheveux étaient longs et beaux, plus le guerrier était considéré comme viril.
Les Vikings ont affiché leurs tresses et les samouraïs portaient leurs cheveux longs en symbole de leur honneur, les cheveux sont coupés quand l’honneur est perdu.
Quand un guerrier était capturé, sa crinière était coupée pour l'humilier, pour lui enlever sa beauté.
Cette coutume a repris dans ce qui est aujourd'hui le service militaire.
Là, quand les nouveaux soldats commencent leur entraînement, la première chose qu'ils font est de couper leurs cheveux pour saper leur estime de soi, les rendre soumis et leur faire voir qui est le patron.
Les Romains sont ceux qui ont « inventé» les cheveux courts pour ainsi dire, entre le 1er et le 5e siècle après JC…
Dans les batailles, ils croyaient que cela leur donnait des avantages défensifs, puisque leurs adversaires ne pouvaient pas les attraper par les cheveux.
Cela les a aussi aidés à se reconnaître mutuellement sur le champ de bataille.
Les cheveux courts sur les hommes sont une "invention" relativement nouvelle qui n'a rien à voir avec l'esthétique.
Mais aujourd'hui, nous voyons souvent des hommes être humiliés pour avoir porté les cheveux longs, sans savoir que les cheveux courts sont en fait "anti-masculins" et sont une imposition sociale répressive.
J. Lapointe
Traditionnellement, les cheveux longs étaient toujours un symbole de masculinité.
Tous les grands guerriers de l'histoire avaient les cheveux longs, des Grecs (qui écrivaient des odes aux cheveux de leurs héros) aux nordiques, des Indiens américains (célèbre pour leurs cheveux longs brillants) aux Japonais.
Et plus les cheveux étaient longs et beaux, plus le guerrier était considéré comme viril.
Les Vikings ont affiché leurs tresses et les samouraïs portaient leurs cheveux longs en symbole de leur honneur, les cheveux sont coupés quand l’honneur est perdu.
Quand un guerrier était capturé, sa crinière était coupée pour l'humilier, pour lui enlever sa beauté.
Cette coutume a repris dans ce qui est aujourd'hui le service militaire.
Là, quand les nouveaux soldats commencent leur entraînement, la première chose qu'ils font est de couper leurs cheveux pour saper leur estime de soi, les rendre soumis et leur faire voir qui est le patron.
Les Romains sont ceux qui ont « inventé» les cheveux courts pour ainsi dire, entre le 1er et le 5e siècle après JC…
Dans les batailles, ils croyaient que cela leur donnait des avantages défensifs, puisque leurs adversaires ne pouvaient pas les attraper par les cheveux.
Cela les a aussi aidés à se reconnaître mutuellement sur le champ de bataille.
Les cheveux courts sur les hommes sont une "invention" relativement nouvelle qui n'a rien à voir avec l'esthétique.
Mais aujourd'hui, nous voyons souvent des hommes être humiliés pour avoir porté les cheveux longs, sans savoir que les cheveux courts sont en fait "anti-masculins" et sont une imposition sociale répressive.
J. Lapointe
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Re: Le saviez-vous ?
Je crois que les cheveux longs tressés protégeaient (un peu ? ) des coups d'épée sur la nuque ... du moins c'est ce que j'ai déjà lu ...
Jessy
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Re: Le saviez-vous ?
Inédit ! Le bébé du grand requin blanc a été filmé pour la toute première fois.
Jamais un juvénile de grand requin blanc n'avait été photographié. C'est chose faite avec ce bébé de "quelques heures, un jour au maximum", estime le biologiste de l'université de Californie à Riverside Phillip Sternes, à propos de ces images prises avec le vidéaste Carlos Gauna.
Le reste de l'article ici :
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Jamais un juvénile de grand requin blanc n'avait été photographié. C'est chose faite avec ce bébé de "quelques heures, un jour au maximum", estime le biologiste de l'université de Californie à Riverside Phillip Sternes, à propos de ces images prises avec le vidéaste Carlos Gauna.
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Moitié de Nîmois-ni-toi 
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Re: Le saviez-vous ?
METTRE 1 BRANCHE DE ROMARIN AU FOUR, SURPRENANT CE QUE VOUS AVISEZ APRÈS 10 MINUTES
Voici ce que je peux vous dire sur le fait de mettre 1 branche de romarin au four pendant 10 minutes:
Après 10 minutes au four à 180°C, la branche de romarin va dégager des arômes envoûtants qui parfumeront agréablement votre cuisine et votre maison. En plus de cette fonction de parfum naturel, le romarin chauffé aura plusieurs autres effets bénéfiques :
1. Répulsif naturel contre les insectes comme les moustiques et les mouches. Les composés volatils du romarin ont des propriétés insectifuges qui éloigneront ces indésirables.
2. Élimination des odeurs tenaces, notamment celles de friture. Les composés aromatiques du romarin vont neutraliser ces odeurs désagréables.
3. Assainissement de l'air ambiant grâce à ses propriétés antiseptiques et antibactériennes. Le romarin purifiera l'air de votre intérieur.
4. Effet apaisant et relaxant par son action sur le stress et l'anxiété. Ses arômes auront un effet bénéfique sur votre bien-être mental.
Donc en résumé, mettre une branche de romarin au four pendant une dizaine de minutes est une astuce simple et naturelle pour parfumer, assainir et détoxifier votre environnement intérieur de manière écologique. Laissez-vous surprendre par tous les bienfaits que peut apporter cette petite plante aromatique !
Voici ce que je peux vous dire sur le fait de mettre 1 branche de romarin au four pendant 10 minutes:
Après 10 minutes au four à 180°C, la branche de romarin va dégager des arômes envoûtants qui parfumeront agréablement votre cuisine et votre maison. En plus de cette fonction de parfum naturel, le romarin chauffé aura plusieurs autres effets bénéfiques :
1. Répulsif naturel contre les insectes comme les moustiques et les mouches. Les composés volatils du romarin ont des propriétés insectifuges qui éloigneront ces indésirables.
2. Élimination des odeurs tenaces, notamment celles de friture. Les composés aromatiques du romarin vont neutraliser ces odeurs désagréables.
3. Assainissement de l'air ambiant grâce à ses propriétés antiseptiques et antibactériennes. Le romarin purifiera l'air de votre intérieur.
4. Effet apaisant et relaxant par son action sur le stress et l'anxiété. Ses arômes auront un effet bénéfique sur votre bien-être mental.
Donc en résumé, mettre une branche de romarin au four pendant une dizaine de minutes est une astuce simple et naturelle pour parfumer, assainir et détoxifier votre environnement intérieur de manière écologique. Laissez-vous surprendre par tous les bienfaits que peut apporter cette petite plante aromatique !
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Re: Le saviez-vous ?
Comment un seul acte de bonté peut onduler à travers l'histoire, reliant des vies de façon si inattendue
Imaginez un humble fermier écossais nommé Fleming qui travaille dans sa ferme, quand soudainement, des cris perçants brisent sa tranquillité.
Sans aucune hésitation, il abandonne ses outils et court vers la détresse.
Ce qu'il trouve, c'est un enfant qui lutte dans le marais, piégé et qui se noie.
Fleming risque sa propre vie en utilisant une longue branche pour mettre l'enfant en sécurité.
Le lendemain, une voiture luxueuse arrive à la modeste demeure de Fleming. Un gentleman distingué – Randolph Churchill, le père du garçon que Fleming a sauvé - sort de la voiture.
Churchill propose de rembourser la bravoure du fermier avec des richesses, mais Fleming refuse, disant : « Sauver quelqu'un est mon devoir; l'humanité n'a pas de prix "
Juste à ce moment-là, le propre fils de Fleming apparaît à la porte.
Churchill, intrigué, demande : « Est-ce votre fils ? >>
Quand Fleming confirme fièrement, Churchill propose un accord intrigant : si Fleming n'accepte pas son argent, il finance l'éducation du garçon dans les meilleures écoles, s'assurant qu'il ait les mêmes opportunités que son propre enfant.
Fleming, réalisant la chance de donner à son fils un avenir qu'il ne pourrait jamais se permettre, accepte avec gratitude.
Son fils va ensuite à la St Mary's Medical School à Londres et devient Sir Alexander Fleming, l'inventeur de la pénicilline.
Mais c'est là que l'histoire tourne en boucle : des années plus tard, c'est la pénicilline qui sauve la vie de Winston Churchill, le fils de Randolph, qui deviendrait le premier ministre de Grande-Bretagne à deux reprises.
N'est-ce pas fascinant comment un seul acte de bonté peut onduler à travers l'histoire, reliant des vies de façon si inattendue ?
Imaginez un humble fermier écossais nommé Fleming qui travaille dans sa ferme, quand soudainement, des cris perçants brisent sa tranquillité.
Sans aucune hésitation, il abandonne ses outils et court vers la détresse.
Ce qu'il trouve, c'est un enfant qui lutte dans le marais, piégé et qui se noie.
Fleming risque sa propre vie en utilisant une longue branche pour mettre l'enfant en sécurité.
Le lendemain, une voiture luxueuse arrive à la modeste demeure de Fleming. Un gentleman distingué – Randolph Churchill, le père du garçon que Fleming a sauvé - sort de la voiture.
Churchill propose de rembourser la bravoure du fermier avec des richesses, mais Fleming refuse, disant : « Sauver quelqu'un est mon devoir; l'humanité n'a pas de prix "
Juste à ce moment-là, le propre fils de Fleming apparaît à la porte.
Churchill, intrigué, demande : « Est-ce votre fils ? >>
Quand Fleming confirme fièrement, Churchill propose un accord intrigant : si Fleming n'accepte pas son argent, il finance l'éducation du garçon dans les meilleures écoles, s'assurant qu'il ait les mêmes opportunités que son propre enfant.
Fleming, réalisant la chance de donner à son fils un avenir qu'il ne pourrait jamais se permettre, accepte avec gratitude.
Son fils va ensuite à la St Mary's Medical School à Londres et devient Sir Alexander Fleming, l'inventeur de la pénicilline.
Mais c'est là que l'histoire tourne en boucle : des années plus tard, c'est la pénicilline qui sauve la vie de Winston Churchill, le fils de Randolph, qui deviendrait le premier ministre de Grande-Bretagne à deux reprises.
N'est-ce pas fascinant comment un seul acte de bonté peut onduler à travers l'histoire, reliant des vies de façon si inattendue ?
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Re: Le saviez-vous ?
Oui, on est toujours surpris de ce genre de chose !
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Re: Le saviez-vous ?
L’ÉTONNANTE ORIGINE DU MOT « CLOCHARD »
Attesté depuis le XIXe siècle seulement, le terme « clochard » désigne, selon la neuvième édition du Dictionnaire de l'Académie française, une « personne qui n’a ni domicile ni travail, et qui vit d’expédients ».
Étymologiquement, ce mot nous vient du verbe « clocher », lui-même issu du latin cloppicare, qui signifie boiter. De ce verbe, sont aussi nées les expressions « clopin-clopant » ou « marcher à cloche-pied ». Bref, quand quelque chose cloche, c’est que ça ne va pas bien droit !
Dans les années 1830, l’usage du terme « clochard » va nettement se développer. Cette popularisation va avoir lieu au sein du plus grand marché de Paris, point central du ravitaillement de la capitale : les Halles.
Comme dans la plupart des marchés français, la cloche était alors utilisée pour annoncer l’ouverture et la fermeture du marché. Si les marchands et les clients étaient surtout intéressés par le coup de cloche d’ouverture des ventes, les indigents et les mendiants du centre de la capitale attendaient impatiemment celui marquant la fermeture du marché. Ainsi, ils pouvaient se ruer vers les restes de victuailles laissés par les exposants du plus gros marché de Paris. Aussi, leur ponctualité face au son de cloche et le rapprochement avec le verbe « clocher » leur vaudront très vite le surnom de « clochard »
Attesté depuis le XIXe siècle seulement, le terme « clochard » désigne, selon la neuvième édition du Dictionnaire de l'Académie française, une « personne qui n’a ni domicile ni travail, et qui vit d’expédients ».
Étymologiquement, ce mot nous vient du verbe « clocher », lui-même issu du latin cloppicare, qui signifie boiter. De ce verbe, sont aussi nées les expressions « clopin-clopant » ou « marcher à cloche-pied ». Bref, quand quelque chose cloche, c’est que ça ne va pas bien droit !
Dans les années 1830, l’usage du terme « clochard » va nettement se développer. Cette popularisation va avoir lieu au sein du plus grand marché de Paris, point central du ravitaillement de la capitale : les Halles.
Comme dans la plupart des marchés français, la cloche était alors utilisée pour annoncer l’ouverture et la fermeture du marché. Si les marchands et les clients étaient surtout intéressés par le coup de cloche d’ouverture des ventes, les indigents et les mendiants du centre de la capitale attendaient impatiemment celui marquant la fermeture du marché. Ainsi, ils pouvaient se ruer vers les restes de victuailles laissés par les exposants du plus gros marché de Paris. Aussi, leur ponctualité face au son de cloche et le rapprochement avec le verbe « clocher » leur vaudront très vite le surnom de « clochard »
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Re: Le saviez-vous ?
Le saviez-vous ?
Un arbre avec des feuilles bien plus foncées que les autres arbres autour indique qu'un corps est enterré dessous... 🗡
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Re: Le saviez-vous ?


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Re: Le saviez-vous ?
J'ai hésité longtemps avant de le mettre 

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Re: Le saviez-vous ?

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Re: Le saviez-vous ?
Je sais, c'est tout...

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Re: Le saviez-vous ?
Je crois que je vais regarder les arbres plus attentivement
!!

Jessy
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Re: Le saviez-vous ?
Le Roy François 1er adorait la ville de Romorantin, ville où ma Fille ainée et moi sommes nées.
Mais sa Femme la Reine Claude se faisait chier.
Il n'y avait pas un troquet, pas une mobylette, la zone quoi.
Elle avait une passion pour les prunes et avait des champs de prunes un peu partout, dont à Pruniers en Sologne, le village où j'ai grandi.
Elle a créé la variété la Reine Claude.
François lui aimait Rome.
Et du coup Romorantin était sa petite Rome, Rome sur le Rantin.
Le Rantin étant une rivière sous terraine qui passe sous la ville.
Rome sur le Rantin => devenue au fil du temps Romorantin.
Quand le Sieur Léonard de Vinci est arrivé en France, le Roy lui a demandé de lui dessiner un nouveau château destiné à être construit dans sa Petite Rome... donc Romorantin.
Mais la peste sévissait à cette époque, le Roy a eu peur, il l'a fait construire à 40 km de Romo... à Chambord....
Mais sa Femme la Reine Claude se faisait chier.
Il n'y avait pas un troquet, pas une mobylette, la zone quoi.
Elle avait une passion pour les prunes et avait des champs de prunes un peu partout, dont à Pruniers en Sologne, le village où j'ai grandi.
Elle a créé la variété la Reine Claude.
François lui aimait Rome.
Et du coup Romorantin était sa petite Rome, Rome sur le Rantin.
Le Rantin étant une rivière sous terraine qui passe sous la ville.
Rome sur le Rantin => devenue au fil du temps Romorantin.
Quand le Sieur Léonard de Vinci est arrivé en France, le Roy lui a demandé de lui dessiner un nouveau château destiné à être construit dans sa Petite Rome... donc Romorantin.
Mais la peste sévissait à cette époque, le Roy a eu peur, il l'a fait construire à 40 km de Romo... à Chambord....
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Re: Le saviez-vous ?
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Re: Le saviez-vous ?
Savez vous pourquoi Marc Toesca, le présentateur du TOP 50 commençait son émission par :
Salut les p'tits clous ! ??
En fait quand on écoute le nom, Mar(c) TO ESCA... les gens ont entendu MARTEAU ESCA et lui écrivaient en disant bonjour Marteau, persuadés qu'ils étaient que c'était son prénom.
Au lieu de s'en offusquer, le présentateur a décidé d'en rire en précisant, Si je suis un marteau, ils seront mes p'tits clous.
Allez !
Salut les p'tits clous !
Salut les p'tits clous ! ??
En fait quand on écoute le nom, Mar(c) TO ESCA... les gens ont entendu MARTEAU ESCA et lui écrivaient en disant bonjour Marteau, persuadés qu'ils étaient que c'était son prénom.
Au lieu de s'en offusquer, le présentateur a décidé d'en rire en précisant, Si je suis un marteau, ils seront mes p'tits clous.
Allez !
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Re: Le saviez-vous ?
Je n'ai jamais entendu parler de ce marteau à clous
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