En quoi une fille en latex armée d'un instrument de torture et prêt à s'en servir (et qui s'en est servi d'ailleurs !) lors d'une soirée résolument bdsm ne constitue pas une photo
de séance ?
C'était( en tout cas clairement une photo de cette séance là.
Qui sont les gardiens du temple de la rectitude bdsm qui ont défini ce qu'est une séance ou non ? J'ai posé la question restée sans réponse.
Pour info, la photo supprimée ne montrait PAS de nourriture, au fait, pour qui n'aurait pas bien observé. Peut-être fallait il voir au delà du premier plan, qui sait, pour en voir les tenants et aboutissants, c'est à dire bien une ambiance de séance, telle qu'elle aura été vécue ce soir là.
N'en déplaise aux esprits
1/ respectueux des conventions établies (lesquelles, à eux de le dire)
2/ vaguement étriqués allez savoir.
Choisissez l'option qui vous chante et qui permette de ne pas se sentir bousculé dans ses certitudes.
V., respectueux des idées des autres, et qui s'étonne que les limites soient parfois aussi rigides pour qui pourtant se targue de leur franchissement.
Mon souhait, clairement exprimé, on arrête la polémique inutile (qui de mon humble avis, n'aurait jamais du être commencée, tellement il n'y a rien à en dire...) et on m'explique.
ha oui, il n'y a rien de personnel en particulier dans ma remarque, mais plus un vrai sujet de discussion. Que je vais mettre ailleurs, d'ailleurs. D'autant plus pertinent que le sujet a largement été débattu à cette SEANCE justement. Car savez vous, on a mêle le DROIT de PARLER dans une séance...
ET MEME RIRE AUSSI, pour les plus hérétiques transgressifs.
Dont je me revendique ouvertement.
Volontairement.
Sans honte, mais fierté.