""Egarés par erreur"" je dirais
« Une orgie de 24 heures » : un équipage de British Airways se retrouve par erreur logé dans un hôtel SM !
La compagnie British Airways a confondu le Motel Mo.om, un lieu dédié aux pratiques sadomasochistes, avec le Mo.om Hotel, établissement plus classique situé au nord-ouest de Milan.
Leur nuit a été si mauvaise qu’ils n’étaient pas en capacité de travailler le lendemain. Un équipage de la compagnie aérienne British Airways a été victime d’une erreur jeudi 19 juin. Supposés séjourner au Mo.om Hotel, un établissement quatre étoiles du nord-ouest de Milan, tout ce qu’il y a de plus classique, les 12 membres de l’équipage se sont retrouvés au Motel Mo.om, qui est un véritable « donjon sexuel » dédié aux aficionados du sadomasochisme, a rapporté The Sun. Accessoires SM, plafonds en miroir, cages, harnais en cuir… La décoration atypique était poussée jusque dans les moindres détails.
Une erreur aux « graves conséquences »
Certains employés de British Airways ont donc écopé de lits inconfortables sur le thème du bondage (pratique sexuelle qui consiste à attacher son partenaire). « Il était évident que ce n’était pas l’endroit où l’équipage était censé rester. (…) Se reposer correctement est essentiel pour assurer la sécurité des avions et des passagers. (…) C’était une erreur comique de la part de l’équipe de réservation de l’hôtel, mais elle a eu de graves conséquences », a déploré une source auprès de The Sun.
Mais ce n’est pas seulement l’équipement hors du commun de leur logement qui a empêché les salariés de la compagnie de fermer l’œil : une « orgie de 24 heures » semblait se dérouler dans les pièces voisines.
La compagnie aérienne assure mener une enquête
Certains salariés ont même signalé la présence de « fluides suspects » dans leurs chambres et ont assuré avoir été témoins de « trafic de drogue et de prostitution ».
British Airways a reconnu une confusion lors de la réservation : « Un petit nombre de membres d’équipage ont été transférés dans des chambres d’hôtel non autorisées en raison de problèmes de disponibilité chez notre fournisseur habituel, à notre insu. Nous menons une enquête urgente afin d’éviter que cela ne se reproduise », a déclaré la compagnie aérienne.
Source : Le Parisien