Bonjour
Avant de continuer le récit relatant notre séjour sur l'île Handa, je tiens à remercier toutes celles
et tous ceux qui m'ont fait un petit mot pour mon anniversaire. Je suis touchée.
Oui, je le revendique, je suis une "pisseuse", une vraie, et j'adore être vue à le faire. C'est si bon.
La photographie de la belle jeune femme, exhibitionniste comme moi, est très amusante. Bravo.
Cela me rappelle quelques souvenirs photographiques, il y a quatre ans, lorsque je posais ainsi, avec joie.
Par contre, je n'ai jamais posé nue, je trouve que pisser habillée est beaucoup plus excitant.
Sans même sans douter, celles et ceux qui fréquentent ces sites "pipi", m'ont déjà vu et désiré.
Cette "brunette" accroupie en lisière de forêts ou dans des parcs. Cette certitude me comble de plaisir...
Retour à l'embarcadère de Handa island
Nous avons marché une bonne heure, en longeant la falaise, sous le soleil.
Enfin, nous arrivions à l'embarcadère. Les deux "matelots" étaient déjà là.
Il y avait quelques touristes sur la petite plage. Des gens prenant des photos.
Mon mari me tendit la seconde et dernière bouteille d'eau. Il faisait chaud.
Le retour aurait lieu à dix sept heure. Pour cela il fallait tous les passagers.
Nous nous sommes assis sur le sable, à l'ombre d'un cabanon en construction.
Mon compagnon, toujours désireux de souvenirs faisait quantité de clichés.
Il m'invita à l'attendre pendant qu'il allait photographier les deux bateaux.
Je regardais le sentier en rondins qui débouchait sur l'embarcadère et la plage.
Quatre personnes arrivaient. Parmi elles, il y avait le couple et le mari voyeur.
Il n'y avait qu'une cinquantaine de mètres, l'homme m'aperçut immédiatement.
J'étais assise sur le sable. Il regarda plusieurs fois dans ma direction. Insistant.
Mon mari était à photographier les embarcations, à une centaine de mètres.
Tout en regardant l'inconnu, avec beaucoup d'insistance, je me levais doucement.
Je passais derrière le cabanon en construction. Il y avait une grande tente.
Entre le matériel entreposé, je pouvais observer par les fenêtres en vis à vis.
Je constatais que l'homme regardait dans ma direction avec attention.
Je le vis montrer le cabanon à sa femme. Il se dirigea rapidement vers ici.
Je retirais ma culotte, je me mis en position, cuisses largement écartées.
Le cœur battant, soudain couverte de sueur, tête baissée, je louchais.
J'entendis le pas de l'homme. Je restais tête baissée. Je me lâchais avec facilité.
Cela faisait bien trois heures que je n'avais plus pissé. Je bénissais mon envie.
< Oh ! Excuse me. I came for the same reason. May I piss near you ? >
Je levais la tête pour voir l'inconnu ouvrir sa braguette pour en sortir son sexe.
Son sexe évoquait une sorte de lance. Je n'en avais jamais vu d'une telle longueur.
En pissant, il dit : < I appreciated your presence during the discovery of the island.>
Je restais silencieuse. Je me cambrais en prenant appui de mes deux mains.
En appui sur mes bras, le corps presque à l'horizontal, je lâchais un long jet.
< I leave you my card. If we could meet again. > dit-il encore en terminant son jet.
< Yes of course. But we're on vacation. > lui répondis-je en terminant le mien.
< We are from London and we are in Glasgow. > me précisa t-il presque insistant.
Je m'empressais de répondre < We'll certainly take a walk there. Perhaps. >...
Je me redressais. D'un pas rapide je passais près de l'homme en saisissant la carte.
Rapidement, sans me retourner, je filais rejoindre mon mari. Il était aux bateaux.
Nous montions dans l'embarcation. Le couple vint s'asseoir sur la banquette en face.
Une nouvelle fois je me retrouvais en situation de m'exhiber. Ce que je ne fis pas.
Nous sommes revenus au lieu de départ. Nous sommes sortis du bateau.
Sans jeter le moindre regard vers l'inconnu j'ai pris la main de mon mari.
Nous sommes arrivés à la voiture. L'intérieur en était suffoquant. Bouillant.
Nous sommes arrivés très tard. Excitée, j'ai fait l'amour à mon mari comme une folle...
Isa
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