L'anniversaire de Chloé (Part.1)

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arlequin46

L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par arlequin46 »

Sandrine, une belle femme de 38 ans, cadre supérieur dans une grande banque, avait envie d’offrir une soirée inoubliable à Chloé, son ami d’enfance ; elle allait fêter ses 40 ans, un cap important à passer. Elle s’était donc creuser la tête de nombreux jours, avant que la solution ne se fasse évidente à son esprit.



A 40 ans, Chloé, chargée de clientèle dans une société d’import-export, conservait toujours un corps de 20 ans et ce malgré trois enfants mis au monde. Athlète de haut niveau, elle n’avait jamais cessé de faire du sport pour entretenir sa plastique faisant rêver tant d’hommes.

Bien que mariée au même homme depuis plus de 15 ans, elle était toujours restée une femme libérée, libertine ; son mari était au courant des ces aventures extraconjugales, car Chloé avait été très précise dès le départ de leur relation.

Je te serais fidèle en amour, avait-elle dit, mais je ne pourrais m’empêcher de découvrir d’autres corps, qu’ils soient hommes ou femmes. Tu pourras en faire autant, le principe étant de ne pas nous mentir.

Nettement moins libéré que Chloé, il avait pourtant accepté le « contrat » moral par amour et, à ce jour, ne l’avait jamais regretté tant sa vie sexuelle était épanouie.



Sandrine savait que son amie était parfaitement heureuse dans sa vie de couple, comme dans sa vie de débauche. Cependant, elle savait aussi que Chloé était frustrée de n’avoir toujours pas pu réaliser un fantasme qui l’habitait depuis un peu plus de cinq ans.

A cette époque, après un restaurant entre fille, elles avaient décidé de se faire un petit ciné, m ais pas n’importe quel ciné : un pornographique. Plus que le film, ce qui intéressait les deux amies étaient d’observer les personnes dans la salle obscure.



Une vingtaine de personnes, tout au plus, étaient clairsemées dans une salle qui pouvait en contenir six fois plus ; il y avait beaucoup d’hommes, très peu de femmes. Les deux amies promenaient leur regard entre l’écran de cinéma et un homme, installé à leur droite, trois sièges plus loin, dont une main avait disparu dans son pantalon.

Une scène du film montra une femme, équipée d’un gode ceinture, ramonant l’anus d’un homme travesti en femme. Il portait une petite jupette façon Vichy, retroussée sur ses hanches, des bas résilles maintenus par un porte-jarretelles et des chaussures à talons aiguilles. La femme le prenait debout, avec force, faisant hurler l’homme de plaisir.

Chloé avait totalement subjugué par cette scène, ne quittant plus l’écran des yeux ; elle avait remonté sa jupe et s’occupait de son intimité au même rythme que la femme labourait l’homme ; elle eut une jouissance qui réveilla toute la salle.

En quittant le cinéma, Chloé avait dit à Sandrine qu’elle aimerait beaucoup vivre cette expérience, trouver un homme qui accepterait de se faire sodomiser par elle.



Plus de cinq ans plus tard, l’envie était devenue un fantasme, une obsession que Chloé n’avait toujours pas pu réaliser. Sandrine se dit que si elle pouvait l’aider à assouvir ce désir, ce serait, sans doute, son anniversaire le plus inoubliable ; il lui fallait juste trouver un partenaire et elle avait déjà une petite idée : Eric.



Bien qu’étant encore très jeune, à peine 23 ans, Eric était un amoureux du sexe, affectionnant plus particulièrement les femmes plus âgées que lui, les femmes d’expériences. Il avait fait la connaissance de Sandrine lors d’un stage dans la banque où elle travaillait alors ; ils avaient très vite sympathisé et, toujours aussi vite, s’étaient retrouvés dans le même lit. Lorsque Sandrine l’appela pour aller prendre un verre dans un café, il fut très agréablement surpris car cela faisait plus de cinq mois qu’il n’avait pas eu de ses nouvelles.



Après des banalités d’usage, Sandrine était vite entrée dans le vif du sujet, expliquant qu’elle organiser une fête, chez elle, pour l’anniversaire de sa meilleure amie et qu’elle souhaitait lui offrir une soirée très particulière, avec un homme pour assurer le service, sauf qu’au lieu d’être serveur, cet homme serait une serveuse.

- Je crois que je n’ai pas tout compris, avait dit le jeune homme.

- Chloé, mon amie, a un vieux fantasme non assouvi, celui d’avoir, à sa disposition, un homme portant des vêtements féminins.

Elle expliqua longuement le déroulé de la soirée, omettant, toutefois, la partie sodomie ; chaque chose en son temps, se dit-elle.



Plus que le travestisme, Eric était alléché à l’idée de pouvoir faire l’amour avec deux femmes, qui plus est, deux couguars comme il aimait appeler les plus de 35 ans. C’est donc sans la moindre hésitation, qu’il accepta de ce prêté au jeu. Il s’inquiéta, néanmoins sur la tenue vestimentaire.

- Tu ne t’occupes de rien, lui avait dit Sandrine, c’est moi qui achèterais tout.

- Okay. Cette soirée est pour quand ?

- Samedi soir, mais il va falloir qu’on te prépare avant.

- C'est-à-dire ?

- Une femme avec des poils aux pattes n’est pas vraiment appétissante ! Tu passes me prendre chez moi, demain, à 14 heures 30.

- Pour aller où ?

- Chez mon esthéticienne.



Le salon d’esthétique, faisant aussi l’épilation de toutes les parties du corps, ne prenait pas, en temps normal, les hommes. Mais la patronne étant une amie intime, elle ne pouvait rien refuser à Sandrine, encore moins lorsqu’elle sut le motif de cette épilation sur un homme. Toutefois, afin d’éviter d’éventuels scandales avec sa clientèle habituelle, elle avait préféré fermer le salon pour l’après-midi, décision que ses trois employés avaient accueilli avec grand plaisir. En échange, elle avait obtenu la promesse de Sandrine d’avoir des photos de cette soirée très particulière.



Pendant qu’Eric se faisait faire une épilation intégrale, Sandrine partit à l’assaut de grands magasins pour trouver une tenue adéquate pour Eric ; bien qu’elle l’a voulait la plus proche possible de celle que portait l’acteur dans la scène de sodomie, elle craqua vite sur un ensemble de lingerie en satin totalement différent : un soutien-gorge, un porte-jarretelles avec laçage par le devant et un string, le tout parfaitement coordonnée ; des bas noirs fins complétèrent l’ensemble.

Pour la jupette, elle ne trouva rien rappelant le Vichy. En revanche, son cœur fondit sur une mini-jupe à motifs, mélangeant plusieurs tons de marrons clairs.

Les chaussures furent la partie la plus complexe ; Eric chaussait un bon 44, pointure peu courante chez les femmes. Alors qu’elle allait rendre les armes, elle finit par trouver son bonheur dans la dernière boutique : une paire de bottillons à lacets, avec des talons pas trop hauts, ce qui devrait permettre à Eric de vite pouvoir marcher avec.



Le grand jour arriva enfin. Sandrine avait décoré son salon pour l’occasion, installant, entre autre, de nombreuses bougies un peu partout, ce pour donner une ambiance feutrée à sa soirée. Sur sa demande, Eric arriva deux heures avant les festivités, temps qui semblait suffisant à Sandrine pour la phase préparatoire.

A peine avait-il franchi se seuil de la porte, que Sandrine demanda à Eric de se déshabiller et de partir sous la douche. Le jeune homme se sentit blessé : il s’était déjà parfaitement lavé avant de venir !

- Certes, lui dit Sandrine, mais il y a un endroit que tu n’as pas dû laver : ton rectum !

Eric se demanda, un instant, s’il avait bien compris ce qu’il venait d’entendre ; pour un lavage anal ? Se sentant soudainement moins sûre d’elle, Sandrine lui avoua qu’elle n’avait pas tout dit sur le déroulé de la soirée et lui expliqua tout.



Après avoir écouté toute l’histoire, Eric ressentit le besoin de s’asseoir un moment pour réfléchir ; se déguiser en femme, se faire épiler de la tête aux pieds, passe encore : après tout, les poils finissent toujours par repousser. Mais se faire déflorer l’anus, même par un gode manié par une femme…

Sandrine commençait à sentir son cœur se serrer. Toute la réussite de sa soirée reposait à présent sur ce qu’allait décider Eric ; elle s’en voulait, à présent, de ne pas avoir été tout à fait honnête dès le premier jour, ce qui aurait pu lui permettre de chercher autre chose en cas de refus. Certes, Chloé n’était au courant de rien, mais le cadeau qu’elle avait acheté perdrait beaucoup de son sens si Eric partait.



Après de longues minutes de silence, qui parurent interminable à Sandrine, Eric, contre toute attente, accepta de rester.

- Je suppose que tu as aussi ce qu’il faut pour un lavement ?



Sandrine se sentit toute émoustillée lorsqu’elle vit le jeune homme nu, sans un poil ; sa verge, ses parties génitales semblaient avoir doublées de volume ainsi dégagées de sa broussaille. Elle aurait bien pris le temps d’une petite gâterie si, justement, ce temps ne lui manquait pas.

Eric sursauta légèrement en sentant la froideur du gel à l’entrée de son rectum. Puis, peu à peu, il se mit a apprécier le massage, ressentant une excitation certaine, poussant même un petit soupir lorsque le doigt le pénétra.

Sandrine avait remplacé le traditionnel pommeau de douche, par un objet métallique, assez long et de forme conique. Elle fit couler un instant l’eau, afin de s’assurer d’avoir une bonne température, ni trop chaud, ni trop froid, puis recouvrit le cône de gel.

- Penche-toi en avant et écarte les jambes, ordonna-t-elle.

Eric s’exécuta sans broncher et sentit très vite le cône prendre possession d’une intimité jamais explorée jusqu’alors ; il eut un autre sursaut lorsque l’eau s’introduisit en lui ; il ne pouvait plus cacher qu’il appréciait ce traitement, sa verge jouant le même rôle que le nez de Pinocchio.

L’eau se déversa en lui un petit moment, lentement, faisant gonfler son ventre au point qu’il pensa qu’il allait finir par exploser. Enfin, Sandrine coupe l’arrivée et retira délicatement le cône métallique.

- A présent, dit-elle, serre les fesses pendant cinq bonnes minutes, puis file aux te vider aux toilettes.



A suivre…
Biquette
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Re: L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par Biquette »

La suite arrive quand ? :whistle:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Supprimé

Re: L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par Supprimé »

Beau récit, la fin me laisse rêveuse !

Je trouve le tuyau de douche excitant... ce n'est pas la même sensation qu'avec une poire, le tuyau rentre mais ne ressort pas il reste, vous remplit d'eau... encore et toujours, lentement, mais il vous remplit... On voudrait l'enlever mais non... A quatre patte dans la baignoire, le tuyau dans l'anus qui déverse de l'eau tiède très lentement...
Je trouve particulièrement excitant le fais de vouloir retirer quelque chose de mon corps, que se soit anal vaginal ou autre, mais de ne pas pouvoir...

Petit fantasme : 4 pattes dans la baignoire, le tuyau me remplissant très lentement tout en faisant une fellation à Monsieur :hornet:
arlequin46

Re: L'anniversaire de Chloé (Part.2)

Message par arlequin46 »

Si la séance d’habillage commença dans les éclats de rire, Sandrine finit par se sentir de plus en plus troublée, au fur et à mesure qu’Eric enfilait les sous-vêtements pourtant si féminin.

Pour commencer, il enfila le soutien-gorge qui avait du mal à tenir correctement, n’ayant rien pour le remplir. Mais Sandrine avait tout prévu ; en plus du deuxième cadeau surprise pour Chloé, elle avait acheté, dans le même sex-shop, une paire de seins en silicone, couleur chair. L’effet, bien qu’étrange sur un corps ayant des attributs masculins, était saisissant.

Ensuite, Eric s’attela au porte-jarretelles et dût demander l’aide de Sandrine pour le laçage ; elle constata qu’il était toujours aussi excité et que, s’il ne finissait pas par débander, il y aurait certainement un problème pour arriver à caser son trois pièces dans le string !



Après le porte-jarretelles, le jeune enfila les bas, puis le string ; c’est alors que Sandrine l’arrêta.

- Avant toute chose, lui dit-elle, il faut que tu fixes tes bas. Le string doit pouvoir naviguer librement, sans qu’il soit besoin de défaire autre chose.

Voyant qu’il était totalement perdu, Sandrine décida d’attacher elle-même les bas aux jarretelles ; les cuisses du jeune homme étaient douces comme la peau d’un nouveau né ; elle sentait sa petite culotte s’humidifier de plus en plus. Concentre toi, ma belle, se dit-elle, tu n’as pas le temps !



Les bas enfin fixés, elle remonta le string qui pendait aux chevilles d’Eric et ce qu’elle avait craint arrivé : la verge, toujours en pleine érection, ne rentrait pas dans le frêle tissu. Elle contrôla sa montre ; 20 heures 20 ; Chloé devait arriver à 21 heures précise.

Sans un mot, elle s’agenouilla devant le jeune homme et enfourna le pénis dans sa bouche. Elle aimait particulièrement faire des fellations, sans doute tout autant que ces partenaires appréciaient qu’elle leur fasse. Elle aimait, par-dessus tout, cette sensation de pouvoir, tenir un homme, tout entier, entre ses dents. Elle savait les amener au bord de l’orgasme, pour mieux le freiner.

Elle sortit un instant la verge de sa bouche ; le gland était bien rouge, humide et pas uniquement de salive. Elle leva les yeux et constata qu’Eric avait les siens fermés ; son corps était totalement en son pouvoir.

Elle aurait voulu faire durer le plaisir, l’amener à la supplier de le libérer, mais le temps, toujours ce fichu temps, lui manquait. Elle humecta longuement son index gauche, puis reprit le pénis à pleine bouche.



Eric sentait les premiers picotements dans son ventre ; ses hanches ondulaient lentement. Quelque chose de chaud et humide vint flirter à l’entrée de son anus ; il comprit bien vite qu’il s’agissait d’un doigt, un doigt qui finit par le pénétrer lentement, sans douleur et qui se mit à le fouiller tandis que la langue jouait autour de son gland.



Sandrine sentit la grosse veine de la verge battre de plus en plus fort, de plus en plus vite ; elle se mit à faire des mouvements de va-et-vient dans l’anus eu jeune homme ; sa petite culotte lui collait au vagin, tant elle été trempée.

La grosse veine se gonfla brusquement et un jet de sperme chaud, au gout sucré, vint frapper le fond de sa gorge. Elle continua de pomper jusqu’à ce qu’il ne reste plus une seule goutte, tout en s’activant toujours dans l’anus, arrachant des hurlements de jouissance à son partenaire.



Après quelques minutes, tout était rentré dans l’ordre et Eric pour enfin enfiler le string sans soucis. Il revêtit la jupette et Sandrine l’aida à chausser les bottines, en profitant pour regarder, par moment, sous la jupette ; le string était noir transparent et l’on pouvait y deviner l’instrument de plaisir qui s’y cachait.

- Marche une peu, demanda-t-elle à Eric, que je vois ce que cela donne.

Eric s’exécuta et, immédiatement, il ressentit une sensation étrange à évolué avec un string ; la ficelle, bien évidemment, s’était logé entre ses fesses, venant caresser son anus à chacun de ses mouvements.



Sandrine éclata de rire en observant la démarche, très macho, du jeune homme.

- Tu marches comme un mec ! s’esclaffa-t-elle.

- Plutôt normal, non ? rétorqua Eric, un peu vexé.

- Certes, mais, pour ce soir, souviens toi que tu es une femme ! Tu dois donc marcher comme tel, ou, tout au moins, quelque chose qui y ressemble. Avance en croisant les pieds devant toi.



Après une dizaine de minutes d’exercices, Eric avait assimilé une démarche qui convint à Sandrine. La jupette était assez courte pour que, lorsqu’il se déplaçait, on puisse deviner les bas et les jarretelles auxquels ils étaient agrafés, ce qui donnait envie d’aller voir plus haut.

Sandrine se demanda si, lorsqu’elle-même était ainsi vêtue, les hommes la regardaient avec les mêmes pensées qu’elle, en ce moment, en train de voir Eric en tenue si légère. Pour achever le costume, elle fournit un chemisier assorti à la jupette, demandant à Eric de laisser les trois premiers boutons ouverts. A présent, tout était fin prêt.



Comme prévu, Chloé arriva à 21 heures tapantes ; la ponctualité était une de ses grandes qualités, à tel point que, s’il lui arrivait d’avoir 10 minutes de retard, les personnes la connaissant penser tout de suite au pire.

Chloé s’extasia devant la décoration que son amie avait préparé pour elle ; en plus de donner une ambiance d’intimité, les bougies parfumaient agréablement le salon transformé en salle-à-manger.

- Tu t’es mise en quatre, ma chérie !

- Tu n’as pas encore tout vu, très chère, répondit Sandrine, un sourire en coin. Installe-toi à table, ajouta-t-elle en s’asseyant elle-même. Ce soir, nous avons le plaisir d’avoir une serveuse personnelle, une serveuse très particulière !

Très intriguée, Chloé fit ce qui lui demandait son amie et prit place en face d’elle. Sandrine agita alors une petite clochette et Eric sortit de la cuisine, tenant un plateau avec deux coupes de champagne.



Chloé ne put s’empêcher de se frotter les yeux, tant elle avait du mal à croire ce qu’elle voyait. Mais l’instant de stupeur passé, elle sentit aussitôt une certaine excitation la gagner ; la scène d’un film bien particulier lui était revenue à l’esprit.

- Je te présente Eric, un ami. Ce soir, il est là pour ton anniversaire, pour être tout entier à ton service !

- Tu es sérieuse ?

- Eric, je te laisse le soin de répondre à mon amie Chloé.

- Oui, madame, fit Eric, c’est tout à fait sérieux. Je suis entièrement à votre disposition, tout le temps de cette soirée.

- Waow ! s’exclama Chloé.

Le jeune homme posa les deux coupes de champagne sur la table et repartit vers la cuisine, croisant les pieds comme le lui avait appris Sandrine. Chloé le regarda s’éloigner, déjà toute fasciné par le fessier du jeune homme.

- Dis-moi tout, finit-elle par dire en chuchotant. C’est qui, ce gamin ?

- Ton fantasme à porté de main, répondit Sandrine.

- Tu veux dire que…

- ... tu vas pouvoir le réaliser ce soir !

- Si je m’attendais à ça… C’est bien la première fois que je n’arrive pas à trouver mes mots.

- Et tu n’as pas encore tout vu !

- Il y a encore autre chose ?

- Il manque un paquet cadeau, le nécessaire pour aller jusqu’au bout de tes envies.

- Et il est où ce cadeau ? demanda Chloé en regardant furtivement autour d’elle.

- Patience, ma belle, chaque chose en son temps. Il viendra après le dîner.

- Je ne sais pas si je vais tenir jusqu’à là ; mon petit minou commence déjà à saliver fortement… si tu vois ce que je veux dire.

Sandrine éclata de rire ; elle n’imaginait que trop bien ce qui pouvait bien se passer dans la grotte aux merveilles de son amie. Elle leva sa coupe de champagne et porta un toast :

- Je souhaite que cet anniversaire soit l’un des plus beaux de ta vie !

Les deux femmes trinquèrent à leur amitié, à leur complicité.





A suivre
arlequin46

Re: L'anniversaire de Chloé (Part.3)

Message par arlequin46 »

Eric passa une partie de la soirée entre le salon et la cuisine , coupes de champagne, entrées, plats de résistances, remplissage des verres vides, il assurait son rôle à la perfection, à la grande satisfaction de Sandrine qui espérait que tout serait parfait pour son amie. Bien sûr, ce n’était pas lui qui était aux fourneaux : la jeune femme avait fait ses achats chez un traiteur réputé et il n’y avait plus qu’à réchauffer certains plats.

En début de soirée, le jeune homme eut un peu de mal avec le string. Habitué à porter des boxers, il se sentait gêné par la ficelle qui lui rentrait dans les fesses ; il avait beau tirer dessus, elle reprenait, irrémédiablement, sa place initiale. Finalement, petit à petit, il avait fini par s’y accoutumer, allant même jusqu’à oublier sa présence.

En revanche, évoluer en bas de soie et minijupe, lui procurait des sensations nouvelles qui ne lui déplaisaient pas du tout ; il se surpris même à penser qu’il était dommage que ce genre de vêtements soient réservés aux femmes, alors que ces dernières pouvaient porter des pantalons sans que cela ne choque personne.



Chloé, dans un premier temps un peu intimidé, à la grande surprise de Sandrine, avait fini, grisée par le vin, par se laisser aller au jeu. Alors qu’Eric venait pour débarrasser la table des couverts devenus inutiles, posa une main sur la cuisse du jeune homme, s’extasiant de la beauté de ses jambes.

Malgré un sursaut de surprise, le jeune homme ne broncha pas lorsque la main monta un peu plus haut, glissant sous la jupe ; elle s’attarda un moment sur l’une de ses fesses, la malaxant, la caressant, puis les doigts vinrent flirter tout près de l’endroit tant convoité par Chloé ; il ne put se retenir d’écarter un peu les jambes pour faciliter le passage.

Chloé lui adressa un petit sourire complice, puis elle retira sa main, laissant Eric terminer de lever la table.



Sandrine avait observé la scène sans dire un mot, à la fois un peu amusé et beaucoup troublée ; sa gorge était nouée par l’excitation qui ne l’avait pas quitté depuis l’arrivée d’Eric, excitation de plus en plus forte à mesure que la soirée s’approchait du grand final. Elle regarda le jeune homme s’éloigner se disant, pour la toute première fois, que cela serait peut-être bon de sodomiser un homme. Elle secoua la tête, comme pour l’aider à revenir à la réalité du moment et se retourna vers Chloé.

- Es-tu prête pour le dessert ? lui demanda-t-elle.

- Plutôt deux fois qu’une ! répondit Chloé, les yeux brillants de désir.

- Alors, ne bouge surtout pas ; je reviens tout de suite.

Sandrine se leva et, un sourire en coin, fila dans la cuisine où l’attendait Eric.



Le jeune homme avait déjà sorti le gâteau au chocolat et terminait d’installer les bougies ; il devait se charger de la porter à table, tandis que Sandrine s’occupait d’amener le paquet cadeau. Cette dernière lui rappela, une dernière fois, les consignes pour la suite : une fois qu’il avait posé le gâteau sur la table, il devait aller dans la chambre à coucher et y rester jusqu’à nouvel ordre.



Sandrine et Eric reparurent ensemble dans le salon, entonnant un « Joyeux anniversaire » bourré de fausses notes. Mais, comme on le dit si bien, seul compte l’intention.

Chloé souffla les quarante bougies en une seule fois et déposa un baiser sur la joue de son amie pour la remercier.

- Maintenant, fit Sandrine, voici ton cadeau !

Excité comme une puce, Chloé arracha la ficelle coloré, déchiqueta le papier et ne put retenir un cri de stupéfaction en découvrant ce qu’il se cachait dans le carton. Bien sûr, elle s’attendait à recevoir un gode ceinture, le thème de la soirée étant porté exclusivement sur son vieux fantasme, mais c’était la première fois qu’elle voyait un objet pareil.

- On appelle ça un gode ceinture double, expliqua Sandrine, fière d’apprendre quelque chose à son amie. Le gode le plus recourbé vient se placer dans le vagin ; il parait que cela augmente le plaisir lorsque tu pénètres quelqu’un et quelque soit l’endroit que tu pénètres !

- Incroyable, fit Chloé. Tu m’aides à l’installer ?

Sandrine sentit un grand trouble monter en elle, tandis que son amie retirait son jean et sa culotte. Même si elles étaient très proches, il n’y avait jamais eu d’actes intimes entre elles, pas même un simple échange de baiser. Ce soir, elle regardait ce corps, si magnifiquement sculpté, d’une manière toute différente ; sans doute le vin la grisait elle aussi.

- Tu m’aides ? répéta Chloé en lui tendant le gode ceinture.

- Bien sûr.



Chloé portait un parfait où se mélangeait odeurs d’épices et de fruits exotiques ; Sandrine, tout proche de son corps, se sentait de plus en plus enivrée.

Chloé, debout, écarta un peu les jambes afin de faciliter la tâche de son amie. Cette dernière, voulant vérifier l’humidité, posa sa main contre la vulve rasée ; elle put se rendre compte que la lubrification était parfaite. Alors, elle écarta les grandes lèvres, puis, tout doucement, introduisit le faux pénis au plus profond de l’intimité de son amie.

Chloé s’agrippa aux épaules de Sandrine, fermant les yeux, pendant tout le temps tout le temps que dura la pénétration, finissant par pousser un petit gémissement de plaisir ; amusée, Sandrine se mit à faire trois mouvement de va-et-vient et le gémissement se transforma bien vite en râles. Elle décida d’arrêter là et attacha les sangles qui permettaient de maintenir tout l’appareil.

- Voilà, ma belle, tu es prête pour le grand final !

Sans un mot, Chloé prit le visage de son amie entre ses mains, approcha ses lèvres des siennes et les deux femmes échangèrent leur premier baiser.



Chloé glissa une main sous la jupe de Sandrine, découvrit qu’elle ne portait pas de culotte et que son vagin était trempé. D’une force presque bestiale, elle souleva son amei pour la faire s’allonger sur la table, retroussa sa jupe et l’empala avec son nouveau jouet.

Sandrine enroula ses jambes autour du coup de Chloé et ondula aussitôt des hanches, au rythme des coups de boutoirs ; son excitation, si longtemps contenue, était telle, qu’elle sentait déjà arriver la vague jouissive.

Chloé fut agréablement surprise de sentir que la partie enfoncée en elle, bougeait suffisamment, lors de ses va-et-vient, pour lui procurer des sensations de plaisirs. Elle se mit à prendre son amie de plus en plus fort, allant de plus en plus vite ; des picotements firent leur apparitions au creux du ventre ; elle accéléra encore plus ses mouvements, arrachant des hurlements de plaisir à Sandrine.

La vague libératrice arriva quasi en même temps chez les deux femmes devenues, l’espace d’une soirée, deux amantes complices. Elles échangèrent un nouveau baiser, puis, quelque peu chancelante, Sandrine prit son amie par la main pour la conduire dans la chambre où l’attendait Eric.





A suivre
arlequin46

Re: L'anniversaire de Chloé (Part.4)

Message par arlequin46 »

Les cris de jouissance des deux amies avaient mis Eric dans un état d’excitation intense ; sa verge s’était durcie à l’extrême, faisant sortir le gland hors du string. Un moment, il eut une envie irrésistible de se masturber, de se donner du plaisir en solitaire, mais il comprit que les deux femmes en avaient terminé et qu’elles se dirigeaient, à présent, dans la chambre où il se trouvait.



Ce fut Sandrine qui ouvrit la porte et entra la première. Elle trouva Eric allongé sur le lit, les jambes légèrement repliées sur elles-mêmes, l’une au dessus de l’autre. Dans cette position, même si la mini jupe continuait à cacher le sexe masculin, elle dévoilait parfaitement le galbe parfait du fessier du jeune homme ; Chloé s’approcha de lui, ne cessant de fixer la ficelle qui disparaissait entre les fesses de l’homme qu’elle allait bientôt posséder.

Elle avançait lentement ; à chacun de ses pas, elle sentait un peu plus la partie du gode ceinture qui était au plus profond d’elle, la mettant au supplice, mais un si doux supplice.



Eric ne put s’empêcher d’éprouver une certaine appréhension en découvrant le faux sexe masculin, bien droit, rigide, qui s’avançait vers lui. Même si la vision globale de cette femme, aux courbes si magnifiques, appareillée d’un gode ceinture, l’excitait terriblement, il s’inquiétait de la taille de l’objet qui allait investir son intimité.



Sandrine s’était mise de côté ; armée d’un appareil photo numérique, elle commençait à prendre les premiers clichés devant immortaliser cette soirée si spéciale. Elle se mit à saliver, bien involontairement, lorsque Chloé demanda à Eric de sucer le gode ; son Mont de Venus réagit lorsqu’elle le vit gober le sexe en silicone.



Les premières craintes du jeune homme s’évanouirent très vite lorsqu’il enfourna le gode ; il s’attendait à avoir un réaction de dégout face au silicone, mais il y trouva l’odeur et le gout suave de la cyprine de Sandrine qui s’y était imprégnée lors du jeu sexuel des deux amies.

Prenant de plus en plus de plaisir, Eric se mit à faire une fellation plus vraie que nature ; chaque mouvement de bouche faisait vibrer le petit frère du gode ; Chloé sentit bien vite qu’une nouvelle onde de choc se préparait au plus profond de son être. Décidée à retarder ce nouvel orgasme, elle fit mettre le jeune homme à quatre pattes sur le lit.



Sandrine s’approcha un peu plus, voulant prendre des photos en gros plans ; Chloé avait relevé la jupe d’Eric et jouait à présent avec la ficelle du string. Elle finit par s’agenouiller, mettant son visage à la hauteur du fessier du jeune homme.



Eric frissonna lorsque les mains, très douce, de Chloé se mirent à lui caresser les fesses, à les malaxer, les pétrir. Il ferma les yeux, s’abandonnant totalement aux sensations qui l’envahissaient.

N’y tenant plus, Chloé descendit le string jusqu’aux genoux du jeune homme, libérant une verge qui sembla prendre encore plus de volume ; mais ce n’était pas cela qui l’intéressait ce soir ; elle écarta les fesses, découvrant un anus encore bien serré.

Dans un mouvement échappant à sa volonté, les hanches d’Eric s’avancèrent un peu plus vers la langue qui venait titiller l’entrée de son intimité encore inviolée.



Chloé joua un bon moment de sa langue, arrivant, peu à peu, à dilater légèrement le sphincter, suffisamment pour pénétrer l’anus de cette même langue. Enfin, elle prit le flacon de gel qu’elle avait repéré sur la table de nuit, s’en induisit l’index et déposa un noisette juste à l’entrée de la caverne tant convoitée. Dans un premier temps, elle entreprit d’étaler le gel en caressant l’anus.



Eric ne put retenir un râle de plaisir, lorsque l’index le pénétra ; il le sentit tournoyer en lui, comme si le doigt cherchait à prendre les marques du moindre recoin de sa caverne intime.

Enhardie par ce début prometteur, Chloé enduisit son majeur de gel et, sans la moindre résistance, introduisit les deux doigts dans l’anus du jeune homme. Elle se mit à leur faire faire des mouvements de va-et-vient, allant de plus en plus vite, de plus en plus fort.



Tenant toujours son appareil photo d’une main, Sandrine, n’en pouvant plus, avait glissé son autre main sous sa jupe, entre ses cuisses et s’occupait avec fureur de son bouton d’or incroyablement gonflé.

- Aimes-tu ce que je te fais ? demanda Chloé.

- Oh, oui, répondit Eric d’une voix rendu rauque par le plaisir.

- Alors, il est temps de passer aux choses sérieuses !



Chloé reprit le flacon de gel et en nappa le gode en bonne quantité ; elle présenta le faux gland à l’entrée de la petite caverne et, s’aidant de ses mains, effectua une première poussée raisonnable ; elle émit un son rauque en voyant le gode disparaître, peu à peu, dans l’intimité masculine.



Eric sentait que son sphincter se dilatait brusquement ; la première réaction de son corps, fut de pousser, lui aussi, afin de rejeter l’intrus ; mais la femme était la plus forte et le faux sexe poursuivit son intrusion.

Passée la sensation désagréable, un nouveau plaisir se faisait jour au fur et à mesure qu’Eric se sentait possédé tout entier par Chloé ; il se demanda si les sensations étaient identiques lorsque c’était un homme qui prenait possession d’une femme.



Lorsque le gode eut entièrement disparu, Chloé resta un moment sans bouger, le temps nécessaire pour qu’Eric se détende parfaitement, qu’il relâche tous ses muscles fessiers ; en même temps, elle savourait pleinement ce qu’elle voyait, se découvrant sous un nouveau jour, celui d’une femme dominatrice, une femme tenant un homme par l’anus.

Enfin, elle démarra les mouvements de va-et-vient, d’abord tout doucement, ne voulant pas faire mal à Eric, puis de plus en plus vite.

Le sphincter du jeune était, bien naturellement, beaucoup plus étroit que le vagin de Sandrine ; Chloé ressentit donc, bien mieux, la partie du gode ceinture logée en elle ; il suivait parfaitement les mouvements d’aller-retour, lui procurant des picotements de plus en plus nets au creux du ventre.



Les yeux toujours fermés, Eric savourait de plus en plus cette pénétration, poussant de petits gémissements lorsque Chloé sortait brusquement le gode en son entier, pour le reprendre aussitôt jusqu’au plus profond qu’il pouvait aller.

Sentant l’onde de choc revenir, Chloé accéléra soudainement ses mouvements ; à présent, ses coups de boutoirs étaient si violents, que les fesses d’Eric en rougissaient. Elle se rappela des images du film ; cette fois, l’actrice dominante, c’était elle ; cette fois, l’homme qui criait sous ses assauts, n’était pas un acteur ; cette fois, les cris n’étaient pas simulés.



La vague déferla en elle, la faisant tellement hurler, que Sandrine n’eut aucun doute sur le fait que les voisins avaient dû l’entendre. Mais qu’importe, dès l’instant où le plaisir était bien là, un plaisir qui la submergea à son tour, sous la dextérité de ses doigts.



Après quelques secondes nécessaires pour reprendre son souffle, Chloé se retira ; à présent, elle avait une vue magnifique sur la grotte déflorée d’Eric ; son frêle anus du début, était devenu un trou béant. Ecartant un peu plus les fesses avec ses mains, elle approcha sa bouche de se trou et y déversa un long flot de salive.

Le liquide chaud surpris tout d’abord Eric, puis le fit frissonner de plaisir quand il le sentit couler en lui.

Sans un mot, Chloé fit allongé le jeune homme sur le dos ; à présent, elle voulait le posséder en regardant son visage.



Les jambes sur chaque épaule de Chloé, le string toujours aux genoux, Eric sentit le gode le perforer plus rapidement, plus violemment que la première fois. Dans cette nouvelle position, il découvrit des sensations encore différentes ; le gode entrait si profond, qu’il venait flirter avec le périnée.

Comme une femme se faisant prendre, il se mit à onduler du bassin au rythme des coups de boutoirs ; peu à peu, il sentit comme une envie d’uriner, mais il savait que ce n’était pas cela, car la sensation était très nettement plus agréable.



A genoux devant le couple, Sandrine saisit la verge d’Eric à pleine main, se mettant à la branler avec fureur. Chloé aimait les expressions qu’elle voyait sur le visage du jeune homme ; elle aimait voir le gode disparaître sous les testicules.

Eric crut un moment que des étoiles apparaissaient devant ses yeux ; son corps échappa totalement à son contrôle, se tordant dans tous les sens ; son sperme alla s’écraser sur le visage, tout proche, de Sandrine, tandis que ses cris puissants indiquaient un orgasme d’une force qu’il n’avait encore jamais connu.





FIN
Vintage
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Re: L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par Vintage »

Il n'y a pas d'après ?

On imagine juste la douche ?

Ou alors qu'elles lui fon lécher son sperme sur le visage de Sandrine, au moins.

Et surtout...

Qu'il se précipitent tous les trois à l'hosto dans les plus brefs délais (<48h) pour leur trithérapie d'urgence après avoir copieusement échangé tous ces fluides, avec contrôle sérologie par la suite, résultat définitif dans les trois mois.

Et si tu décrivais leur état d'âme, leurs pensées, leur, qui sait, angoisse même, durant ces 13 semaines, presque 100 jours. Un chapitre par jour.

Suis définitivement contaminé par le VIH ?
Que va être ma vie une fois connaissance prise d'un résultat peu sympathique ?
Comment vais je gérer ma vie sexuelle durant ces 100 jours ?
Et après ?
Et si ?
Et sinon... ?

Voilà une étude de sentiments intéressante à décrire littérairement, non ?


Comment ça, ça plombe grave l'ambiance ? Vous trouvez ? Vraiment ? :ahum:



Parce que les mots à lire c'est sympa.

Mais il ne faut pas oublier que la vraie vie, quand on referme le livre, après le mot fin, la vraie vie, elle, continue. Et qu'on peut pas apporter de correction à l'édition.


V., qui à défaut de t'éditer peut t'aider à méditer. :jap:
arlequin46

Re: L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par arlequin46 »

Je suis flatté, V, que mon texte t'amène à si grande réfléxion :-) Cela dit, il va de soit qu'un texte fictif ne se veut être rien d'autre que ce qu'il est : un texte fictif. Dans la réalité, on sort couvert !

Merci à toi :-p
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Re: L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par Vintage »

arlequin46 a écrit :Je suis flatté, V, que mon texte t'amène à si grande réfléxion :-) Cela dit, il va de soit qu'un texte fictif ne se veut être rien d'autre que ce qu'il est : un texte fictif. Dans la réalité, on sort couvert !

Merci à toi :-p
Évident. Mais toujours utile à rappeler néanmoins.


V., il n'y pas que sur scène que les rappels ont du bon.
LVb6gO8

Re: L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par LVb6gO8 »

J'adore :farfa: C'est tout à fait un de mes fantasmes très récurrents :hornet: :love:
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Re: L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par Vintage »

Pada a écrit :J'adore :farfa: C'est tout à fait un de mes fantasmes très récurrents :hornet: :love:
naaan, sans blague !!!

V., même pas surpris :lol: :lol: :lol:
LVb6gO8

Re: L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par LVb6gO8 »

Vintage a écrit :
naaan, sans blague !!!

V., même pas surpris :lol: :lol: :lol:
Je parlais pour l'auteur :niarf: :oust:
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Re: L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par Vintage »

j'avais compris.

V., stop flood :court: :court: :court:
Loupdoux
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Re: L'anniversaire de Chloé (Part.1)

Message par Loupdoux »

Joli programme ! :bave:
En amour avec Louveblanche !
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