L'histoire se situe vers la mi-mars, quelque part dans l'est de la France.
J'avais une réunion avec un client de prévue en début d'après-midi, mais on avait prévu de se voir le matin, chez elle.
Donc je partais tôt de chez moi, le matin, pour profiter un maximum de cette matinée. Ce n'était pas la 1ère fois que l'on faisait comme ça, même si le risque est présent de se faire voir par un voisin, un ami, ou pire, son mari.
Donc, sur le trajet, comme d'habitude, je pense à elle, à ce qu'on va (ou ce qu'on pourrait
) faire. En général, je fais le trajet avec une grosseur certaine dans le pantalon 
En arrivant, je me gare pas trop loin de chez elle, et lui passe un petit coup de fil, pour savoir si la voie est libre
Elle me dit "oui, viens, la porte n'est pas fermée"
J'entre lentement, et je la vois, en nuisette rouge
Il fait sombre dans la maison, les rideaux sont tirés, les volets juste légèrement entre-ouverts. On s'embrasse tendrement, et elle m'emmène dans le salon. La, rapidement, elle m'ôte mes vêtements. En passant mon pantalon par les pieds, à genou devant moi, elle a mon sexe déjà tendu devant les yeux Elle ne peut s'empêcher de me donner quelques coups de langue sur le gland. Elle se relève, les yeux malicieux, puis, elle me bande les yeux. Je me laisse faire. Elle me prend la main, et me conduit quelque part . Je me doute, car je connais sa maison, qu’elle m’emmène dans sa chambre.La, elle m’enlève le foulard. Je découvre l’ambiance qu’elle a crée. Pièce sombre, illuminée de plein de bougies. Cette ambiance était érotisante, et mon excitation était de plus en plus forte.
Puis, elle pris des menottes, passa mon poignet dans un coté (bon sang, c’était serré) me fit asseoir sur une chaise, et me passa l’autre poignet et ferma les menottes.
Je me rappelais une séance, pas très ancienne, sur une chaise, ou elle était venue s’empaler sur moi, j’avais adoré. Je bandais donc de plus en plus fort.
Elle commença alors à se déshabiller, je la regardais, avec envie. Mais, la, nue devant moi, elle s’allongea sur son lit, et commença à se caresser doucement le clito. J’aime bien quand elle se masturbe devant moi, mais la, coincé sur cette chaise, cela me donnait un sentiment d’etre inutile. Etrangement, je profitais moins du spectacle que quand d’habitude.
Quand ensuite, elle pris son vibro, se l’enfonça dans la chatte, et commença à le faire aller et venir en elle, je me suis dit : « mais bon sang, elle est partie pour aller au bout »…
Je ne me sentais pas vraiment rester la, juste à regarder, cela me frustrait. Alors je me suis levé, et comme elle m’avait juste passé les menottes derrière le dossier de la chaise, il me fut aisé de m’en sortir, pour m’approcher d’elle.
Je vins lui faire des baisers, sur les lèvres, les seins. Et je descends vite vers l’intérieur de ses cuisses, la ou la peau est fine et douce. Je suis un peu coincé, avec les mains menottées dans le dos, mais j’essaie d’approcher ma langue de sa chatte que je sens trempée.
Elle, continue de se faire du bien avec ce joujou, qui rentre en elle, ressort, qui lui titille aussi le clito. Je reste sur cette zone, déposant des baisers, faisant des léchouilles autant que je peux.
Je sens le plaisir monter en elle, son corps se tendant au fur et à mesure.
Et d’un coup, elle s’est mise à jouir, son corps à trembler, quelle belle émotion à chaque fois.
Après quelques instants, elle a enfin daigné me retirer ces satanées menottes. J’avais les poignets endoloris.
J’étais la, étendu auprès d’elle, on s’embrassait. Une idée, une envie, m’a traversée l’esprit. Mes mains se baladaient sur elle, son ventre, ses seins, et elle descendit voir comment était sa foune, suite à ce traitement de faveur qu’elle venait de recevoir.
Elle était encore toute palpitante, et bien sur, plus qu’inondée de plaisir. Cette chaleur, cette moiteur, me donnèrent l’envie de lui glisser un doigt, puis un 2ème, dans cette antre.
Ce que je fis, bien sur. Je recourbais mes doigts, et caressait gentiment son point « G ». Je la sentais gémir rapidement, l’excitation n’était pas encore retombée. J’insistais donc encore, en appuyant un peu plus à cet endroit magique.
Encore un peu plus fort, un peu plus vite, et en quelques minutes, elle eut à nouveau un bel orgasme.
Je ne vous dit pas, à cet instant, j’avais aussi un peu beaucoup envie. J’avais envie d’elle, de la prendre, de la posséder.
J’avais très envie de son cul surtout, nous n’avions pas eu l’occasion de le faire depuis quelques temps. Je lui avais aussi dit, que j’aimerais la prendre par ce petit orifice, mais non pas en levrette comme nous avions l’habitude de faire, mais en genre de missionnaire, je voulais voir son visage, ses yeux.
Je m’installais donc à genou entre ses jambes, et entreprit de la « préparer » avec un doigt bien lubrifié. Ensuite, je vins m’installer quasi sur elle, lui demandant de remonter ses jambes, afin de réaliser cette envie.
La position n’était pas très confortable, et la pénétration quasi impossible, elle se tourna donc légèrement sur le coté, et ce fut bien mieux. Je me glissais lentement en elle, en essayant de me maîtriser, car j’étais vraiment chauffé à blanc. J’aime cette sensation de finir de la dilater, afin que mon sexe entre au plus profond d’elle.
J’entrepris alors d’aller et venir, lentement encore, puis de plus en plus vite. J’avais envie de jouir, mais je voulais que elle aussi ait le temps de prendre du plaisir. Je la pilonnais de plus en plus, je sentais mon sexe devenir brûlant. Elle de son coté, était aussi au bord de l’orgasme… Je lui dis (ou fait comprendre, je ne sais plus) que j’allais exploser. Elle me dit alors : « oui, vas-y, viens dans mon cul ».
Ce qui provoqua en moi une décharge électrique, et je me répandais en elle, dans un râle de plaisir.
Nous reprîmes un peu nos esprits, et allâmes nettoyer un peu les outils. J’adore toujours prendre une douche avec elle, se frotter, se savonner, l’un l’autre.
Nous sommes restés après un long moment à papoter, étendus, nus sur le lit. Et puis, à un moment, une main qui dérape, ou un mot, et je me frottas à elle. Sa main vint me masturber doucement, et mon sexe repris rapidement vie.
En elle aussi, je sentais l’excitation qui remontait rapidement. Elle était sur le coté, et moi, derrière elle. Tout en continuant à me masturber, elle plia ses jambes, et je vins me coller encore plus à elle.
Elle guida mon sexe vers le sien, trempé de désir, et d’un léger coup de rein, je m’introduisis en elle. Elle se mit à gémir assez vite, tandis que je la pénétrais. Je caressais ses seins en même temps.
Je m’enfonçais de plus en plus vite, de plus en plus fort, et elle se mit à jouir de nouveau, dans de longs spasmes.
Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle en redemande encore. Quand elle est lancée, elle devient quasi-insatiable… Elle se mit à quatre pattes, et me demanda de la prendre, encore.
Ce que je fis bien volontiers.
Mon sexe était resté dur, et elle, plus que trempée, cela fut un jeu d’enfant de la prendre. Et la, je décida d’y aller à fond, je la défonçais littéralement, je la pilonnais comme un fou.
Mon corps tapait contre ses fesses, claquait, c’était très violent.
En quelques minutes, elle vint à nouveau, jouissant de plus belle, n’en pouvant presque plus.
Voilà, après ceci, il fut temps pour nous de nous rhabiller, et pour moi de partir vers mes activités professionnelles.
Nous nous embrassâmes encore longuement, et je sortis, pris la voiture.
Sur le chemin, je me remémorais cette rencontre, et rêvais déjà à la prochaine fois ou nous pourrions recommencer.
un tit peu en avance