Frustration (deux parties)
Publié : 31 mai 2012, 16:15
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Elle le regardait de haut, avec son regard sadique, comme toujours dans ces moments là. Elle venait de lui faire subir une séance de martinet, relativement courte mais intense, en réponse à son indocilité quasi permanente depuis quelque temps… « La frustration le rend vraiment hargneux… » songea t-elle.
Cela faisait maintenant 8 jours qu’il ne s’était pas vidé, 8 jours qu’elle le contraignait au port d’une cage de chasteté, accessoire anodin s’il en est mais diablement efficace pour quiconque souhaite exercer un pouvoir quasi permanent sur un soumis. En l’occurrence le soumis était allongé à ses pieds, les mains attachées dans le dos, dos qui était justement strié de fines lignes rouges, aussi vives que disparates. Elle avait épargné les fesses, ça sera la deuxième partie de ta punition lui avait elle promit.
Après tout, il apprendra qu’on ne désobéit pas impunément. Elle lui avait simplement demander d’utiliser un jouet sur elle, en se servant uniquement de ses mains, il devait la faire jouir plusieurs fois tandis que lui était condamné à la regarder prendre son pied et à participer d’une manière aussi sournoise que cruelle, emprisonné qu’il était dans cette cage de plastique.
Il avait refusé, prétextant que « c’était trop dur, qu’il aurait encore plus envie de jouir après ça ».
« Je ne vois pas de quoi il se plaint, je l’ai milké deux fois dans la semaine, il a même eu le droit de nettoyer ensuite… » se dit elle avec son petit sourire en coin… Pour le coup il se retrouvait donc à sa merci, allongé sur le tapis de la cuisine, sa place de chien quand il se faisait dresser.
Il avait le dos déjà bien entamé, le souffle court, les fesses offertes, comme une offrande à celle qui était à la fois sa copine, sa dresseuse, sa déesse. Elle reprit le martinet en main, et comme pour signifier la reprise des hostilités, le caressa gentiment sur la croupe et les cuisses avec les lanières de cuir, comme un présage innocent de ce qui allait suivre. Le premier coup s’abattit sur la fesse gauche, dans le gras de la chair.
Il se tendit, réprimant un gémissement de douleur, tandis qu’elle profitait du spectacle de voir cet homme, son soumis, gracieusement allongé à ses pieds, et absolument rien entre elle et lui pour l’empêcher d’en profiter.
Elle continua, multipliant les coups sur la croupe, les cuisses, les fesses, en évitant soigneusement les mains dans le dos, remontées autant que possible.
Au bout de 10 minutes de ce traitement il craqua. « S’il vous plait Mademoiselle, arrêtez… » Il était à bout de souffle et on pouvait très nettement voir les gouttes de sueur perler sur les épaules et sur son front. Son postérieur était cramoisi, ses cuisses d’une jolie couleur rose vif, et on voyait de ça de la des traces un peu plus marquées, ayant légèrement entamé le cuir du jeune homme.
Elle se baisse accroupie, le martinet toujours dans la main, et entreprit de caresser délicatement son œuvre, en ponctuant le tout de pincements et de griffures là où les marques étaient bien visibles. « Ma petite chienne en a eu assez ? Elle va être bien sage et docile maintenant ? » -Oui Mademoiselle, je ferais tout ce que vous voudrez, pardonnez moi de vous avoir désobéi tout à l’heure… »
Ces simples mots lui couta manifestement beaucoup, car il devint aussi rouge de visage que ses fesses, et il baissa les yeux vers le sol en signe de soumission.
« Absolument tout tu dis ? Et bien c’est ce qu’on va voir. »
à suivre
Elle le regardait de haut, avec son regard sadique, comme toujours dans ces moments là. Elle venait de lui faire subir une séance de martinet, relativement courte mais intense, en réponse à son indocilité quasi permanente depuis quelque temps… « La frustration le rend vraiment hargneux… » songea t-elle.
Cela faisait maintenant 8 jours qu’il ne s’était pas vidé, 8 jours qu’elle le contraignait au port d’une cage de chasteté, accessoire anodin s’il en est mais diablement efficace pour quiconque souhaite exercer un pouvoir quasi permanent sur un soumis. En l’occurrence le soumis était allongé à ses pieds, les mains attachées dans le dos, dos qui était justement strié de fines lignes rouges, aussi vives que disparates. Elle avait épargné les fesses, ça sera la deuxième partie de ta punition lui avait elle promit.
Après tout, il apprendra qu’on ne désobéit pas impunément. Elle lui avait simplement demander d’utiliser un jouet sur elle, en se servant uniquement de ses mains, il devait la faire jouir plusieurs fois tandis que lui était condamné à la regarder prendre son pied et à participer d’une manière aussi sournoise que cruelle, emprisonné qu’il était dans cette cage de plastique.
Il avait refusé, prétextant que « c’était trop dur, qu’il aurait encore plus envie de jouir après ça ».
« Je ne vois pas de quoi il se plaint, je l’ai milké deux fois dans la semaine, il a même eu le droit de nettoyer ensuite… » se dit elle avec son petit sourire en coin… Pour le coup il se retrouvait donc à sa merci, allongé sur le tapis de la cuisine, sa place de chien quand il se faisait dresser.
Il avait le dos déjà bien entamé, le souffle court, les fesses offertes, comme une offrande à celle qui était à la fois sa copine, sa dresseuse, sa déesse. Elle reprit le martinet en main, et comme pour signifier la reprise des hostilités, le caressa gentiment sur la croupe et les cuisses avec les lanières de cuir, comme un présage innocent de ce qui allait suivre. Le premier coup s’abattit sur la fesse gauche, dans le gras de la chair.
Il se tendit, réprimant un gémissement de douleur, tandis qu’elle profitait du spectacle de voir cet homme, son soumis, gracieusement allongé à ses pieds, et absolument rien entre elle et lui pour l’empêcher d’en profiter.
Elle continua, multipliant les coups sur la croupe, les cuisses, les fesses, en évitant soigneusement les mains dans le dos, remontées autant que possible.
Au bout de 10 minutes de ce traitement il craqua. « S’il vous plait Mademoiselle, arrêtez… » Il était à bout de souffle et on pouvait très nettement voir les gouttes de sueur perler sur les épaules et sur son front. Son postérieur était cramoisi, ses cuisses d’une jolie couleur rose vif, et on voyait de ça de la des traces un peu plus marquées, ayant légèrement entamé le cuir du jeune homme.
Elle se baisse accroupie, le martinet toujours dans la main, et entreprit de caresser délicatement son œuvre, en ponctuant le tout de pincements et de griffures là où les marques étaient bien visibles. « Ma petite chienne en a eu assez ? Elle va être bien sage et docile maintenant ? » -Oui Mademoiselle, je ferais tout ce que vous voudrez, pardonnez moi de vous avoir désobéi tout à l’heure… »
Ces simples mots lui couta manifestement beaucoup, car il devint aussi rouge de visage que ses fesses, et il baissa les yeux vers le sol en signe de soumission.
« Absolument tout tu dis ? Et bien c’est ce qu’on va voir. »
à suivre