Si il y a une suite Bikette; mais j'ai été couper d'internet pendant quelque temps donc, je n'ai pas su venir poster
Donc, voici la suite:
3: l'attaque
Il était environs 1h du matin, la pluie avait cessée de tombée mais avait transformé la terre en boue. Les nuages cachaient la lune, l'obscurité raignait dans cet endroit perdu au milieu de nul part. Il n'y avait que des arbres et des champs a des kilomètres a la ronde, aucune habitation sauf ce grand batiment qui, de l'extérieur ressemblait a un entrepot abandonné. Seul les quelques véhicules garés sur ce qui avait du être un parking jadis démentaient cette impression de désolation.
J'avait caché ma voiture un peu plus loin et avait fait le reste de la route a pied. J'était accroupis dans les fourrés et scrutais ce batiment depuis 5 bonne minutes. Je savais ce qu'il s'y passait. Des hommes venaient ici et payaient chèrement pour avoir le droits d'assouvir leurs fantasmes pervers sur des enfants dont l'age variaient entre 5 et 14 ans en général, mes tripes se nouaient rien que d'y penser...
J'avait une très bonne connaisance des lieux car ma dernière victimes en dates m'en avait fait un plan détaillé. Le rez-de-chaussée était pourvus d'une énorme pièce, de deux ou trois autres plus petites et d'un escaliers qui menait a l'étage; c'était là que se trouvaient les chambres.
Je savait tout ça et j'était venu pour mettre un terme a ce commerce immonde; j'èspèrais attrapé par la même occasion une raclure du nom de Jack Delarue mais ce n'était que secondaire. L'important était de délivré ces enfants prisonniers, tant pis si ca n'apportait rien de plus a mes recherches.
J'était vétu tout de noir; un jeans, un tee shirt et une longue veste qui tombait jusqu'au genou.Un chapeau style gangster des années 60 lassait une partie de mon visage dans l'ombre. Seul mes yeux d'un bleu glacial percait a travers cette obscurité.
J'avait prit mon Automag 44, le plus puissant pistolet automatique au monde,et un Pistolet-mitraileur Uzi qui avait une cadence de tir très élevée; c'était suffisant, la plupart des hommes ne seraient pas armés car il venaient pour cherché du plaisir et non la guerre. Mais il allaient avoir une surprise. Un sourire macabre étira mes lèvres, ca allait faire mal!
Je me glissa silencieusement vers la porte d'entrée et y colla mon oreille pour écoutés. J'entendais differentes voix sans arrivés a déchiffrés ce qu'elle disaient.
J'inspira un grand coup, enfonça la porte d'entrée d'un magistral coup de pied et me rua a l'intèrieur, l'arme prête à tirer!
Deux gardes, alèrtés par le bruit, se levèrent brusquement de leurs chaises juste a temps pour écopés d'une balle dans la tête qui explosa sous la puissance du coup. Ils s'écroulèrent en renversant la tables au passage sans avoir compris ce qui leurs arrivaient.
Des cris et des bruit de pas affolés se firent entendre. Me dirigeant vers ces bruits, je tomba nez-à-nez avec un homme apeurés que je descendit sans réflechir tout en continuant a avancés.
La panique avait gagné tout le monde; certains tentaient d'atteindre la sortie, d'autres complètement terrifiés couraient dans tout les sens, sans arrivés a se décidés de la marche a suivre. M'équipant de l'Uzi, j'arrosa cette collection de pervers qui tombèrent par dizaines, répandant sang et tripes un peu partout. Les survivants criaient, les mourrants hurlaient, c'étaient l'horreurs! La nausée me montait mais je continua mon oeuvre de déstruction tout en me dirigeant vers les escaliers. Un pistolet tonna a ma gauche mais le tireur était trop appeuré pour faire mouche, je me tourna vers lui et lui envoya une rafale de plombs brûlant qui lui ouvrit le torse de bas en haut en faisant giclés le sang dans tout les sens. Un silence macabre s'abattit soudainement sur les lieux. Je balaya l'immense pièce du regard et ne vit que des dizaines de machabées démenbrés étendus un peu partout dans des positions insolites.Une odeur de mort et de souffres planait sur les lieux. Me détournant de ce spectacle nauséabond, je monta les marches de l'escalier d'un pas déterminés. J'entendit des pleurs venants de differentes pièces, cela me fit mal au coeur et me fit repensé a Alicia. Une larme brûlante coula le long de ma joue. Je me força a penser a autre chose, ce n'était pas le moment de s'écroulés.
J'entra dans une chambres au hasard et vit un gamin qui devait avoir environs 8 ans avec un slip comme seul vêtement. Il était prostré dans un coin de la pièce et me fixait d'un air terrifié.Son corps était remplis de bleus et de cicatrices, son oeil gauche était bleu et restait fermé en permanences. Je m'approcha légèrement de lui et lui dit d'une voix chaleureuse:
-Ne t'inquiète pas petit, je ne suis pas là pour te faire du mal.
-...
-Tu sait combien vous êtes ici?
-...Je...Je ne sais p..pas monsieur...
-Ce n'est pas grave, ne bouge pas de là, la police va venir vous cherchez pour vous ramenez chez-vous.
-..."
Je fit le tour de chaque chambres qui étaient toutes occupées par un ou plusieurs enfants complètement tèrorisés. En dehors des chambres, il y avait deux grandes pièces dans le fond, je m'introduisit dans la première, l'arme au poing.
C'était un grand bureau décorés de diverse photo pornographique et pédopornographique, parquet au sol, lambris de chêne au mur et au plafond. Un grand bureau en acajou trônait au centre et diers meubles en bois remplissait un peu la pièce; le grand luxe en somme.
Un homme se tenait debout et me toisait d'un air inquiet. La trentaine, un visage pas déplaisant a regarder, un costume noire très chic et des cheveux blond court plaqués en arrières par le gel. Ce type semblait sortir tout droit d'une soirée chic. Je le reconnu tout de suite et lui envoya d'un ton glacial:
-Salut Jack! Ton business est terminè, tes gardes et tes clients sont tous morts!
-Vous êtes qui? Qu'est ce que vous voulez? me demanda-t-il d'une voix tremblante.
-C"est toi que je veut Jack! Tu as 2 solutions: tu me suis gentiment ou je t'envoie rejoindre tes amis en enfer. Qu'est ce que tu choisis?
-Je vous suit! Mais pourquoi?!
-Tu l'apprendras bien assez tot. En route!"
Je le laissa passez devant et le suivit vers la sortie, pistolet braqué sur sa nuque.
Arrivé au rez-de-chaussée, il bloqua en découvrant le massacre.
-Avance fumiers!
-Vous êtes completement fous!!
-Je le sais, avance je te dit!"
Nous quittâmes les lieux et je le guida jusqu'à ma voiture.
Je le força a s'assoir du côté passager et le ligota avec une longue corde. Il ne savait plus bouger un doigt; très bien.
M'installant au volant, je prit le GSM qui trainait dans la poche de mon prisonnier et composa la numéro de la police:
-Police bonjour!
-Il y a eu des meurtres dans l'entrepot abandonnés se situant a peu près au sud de la ville de Marche, je suis sur que vous savez duquel je parle, il y a aussi des enfants a y récuperer qui ont besoins de soins.
-Et co..."
Je racrochai sans prendre la peine d'écouter la suite, je savait que la police trouverait l'endroit.
Je démarrai ma voiture, jettai le GSM par la fenêtre et reprit ma route...
4: suite direct de "l'attaque"
Je quittai le chemin de terre et m'engagea sur la route qui devait m'amener à l'une de mes planques. L'attaque c'était bien déroulée et j'avait obtenu ce que je voulais: J'avait tué un paquets de pédophiles, libèrés une trentaine d'enfants de ce commerce ideux et j'avait même réussis a attrapé ma cible en vie.
Les sirènes de police au loin me firent savoir que mon appel avait été prit au sèrieux; très bien, les enfants seraient prit en charge par les forçes de l'ordre, c'était une bonne chose.
La route était désèrte a cette heure de la nuit et je roulai d'une allure tranquille. Il n'y avait aucune lampes sur cette route et je ne distinguait que ce que mes phares éclairait. La pluie continuait a tombé et le vent sifflait fortement.
Je jettai un oeil sur mon prisonnier et m'apercus qu'il me fixait de ses yeux calculateur:
-A quoi tu pense Jack? Tu cherche un moyen de me faire changé d'avis?
-Pourquoi m'avoir emmené avec vous? Qui vous as payé pour ça?
-Payé? Je croit que tu n'as pas compris. Je ne fait pas ça pour l'argent...
-Ah! C'est personnel alors?
-C'est cela, tu comprend vite Jack.
-Que vous ai-je fait?
Tout d'abord, le fait que tu "loue" des enfants pour te remplir les poches. Ensuite, tu as des informations dont j'ai besoins.
-Et qu'est ce que je gagne a vous les donnez?
-Ca t'évitera de souffrir, ordure!
-Souffrir? C'est censé me faire peur?
-On verra si tu as toujours autant de geule quand la douleur te deviendra inssuportable, maintenant ferme-là!
-Sinon?"
Je prit mon énorme pistolet par le canon et lui envoya un coup de crosse en plein visage, j'entendis des dents craquées et un jet de sang s'échappa de sa bouche.
Je lui répondit ensuite:
-Sinon, ton dentiste risque de renoncer en voyant les dégats..."
Jack se mura dans le silence et je put me concentrer sur ma route.
J'aimais beaucoup les Ardennes, la nature était présente partout, les foret y étaient nombreuses, certains paysages étaient très beaux. J'y étaient souvent venus avec ma femme et ma fille pour décompressé et profité du soleil.
Je chassai ces beau souvenirs pour revenir au présent. Ma planque n'était plus très loin.
Je m'engagai dans une petite route boueuse qui s'enfoncai dans la foret. Je continuai ma route pendant dix minutes environs et arrivai a destination.
Je me garai devant un chalet de taille moyenne et plutot vétuste.
Je quittai mon véhicule, en fit le tour et sortit mon prisonnier de là. Le pistolet braqué sur sa nuque, je l'obligeai à avançé vers le chalet.
J'ouvrit la porte, le poussa a l'intérieur et le força a s'asseoir sur un fauteuil ou je l'attachai soigneusement de nouveaux.
Je me servit un coca et m'assit dans un des fauteuil libre.
L'endroit sentait le renfermé, une poussièré grasse s'était déposée sur tout les meubles en vieux chènes, divans en cuir et plancher.
La bruit de la pluie battant sur les fenêtres et le toit était tout ce que l'on entendait. Il faisait très froid et je décidai d'allumer le feu a bois pour me réchauffer.
Une fois que ce fut fait, je décidai de porter mon attention sur mon captif. Le coup de crosse lui avait fait perdre quelque dents, du sang avait un peu coulé de sa bouche, et il me regardait calmement, visiblement, il n'allait pas me faciliter la tache.
Je lui dit de ma voix glacial:
-Tu a vendu une vidéo à un mec s'appellant André Milton, je veut que tu me dise ou est ce que tu l'as obtenue.
-Désolé, je connait pas d'André Milton. Me repondit-il d'une voix assurée.
-Joue pas au plus fin avec moi Jack, ou tu va le regrètté!
-Je vous dit que je ne connais personne qui se prénomme André!
-Ok, tu est sur que tu ne veut rien dire?
-Je ne sais pas de quoi vous parlez.
-Ok, je vait donc te rafraichir la mémoire."
Je me doutais bien qu'il n'allait pas me dire ce que je voulais aussi raidement. J'allais donc, pour la deuxième fois, me servir de la torture pour faire parler quelqu'un. Bizarrement, je ne ressentis pas ce dégout et cette appréhension que j'avait eu la première fois.
J'emmena mon prisonnier dans la chambre et, après l'avoir entierement dénudé, je l'obligeai a se couché dans le vieux lit grincant ou j'attachai ses mains et ses jambes au barreaux a l'aide de menottes.
-Qu'allez-vous me faire? me demanda-t-il d'une voix ou l'on sentait poindre un début de panique.
-La même chose que j'ai fait a cette pourriture de Milton. Tu vas comprendre pourquoi il m'as donné les informations que je désiraient si vite.
-Vous allez me tabassé? Il faudra plus que ça pour me faire parlé savez-vous!
-Le verbe "torturer" serai plus adapté a ce qui va suivre..."
Un rire macabre s'échappa de me lèvres. Je me demandais comment j'allais faire pour tenir le coup avec ce qui allait suivre, la dernière fois, j'avait déja eu du mal quand j'avait torturé Milton mais hélas, encore une fois, c'était la seule solution. Je mit mon dégout et mes états d'âmes de côtés et me prépara pour la suite.
J'enfila la combinaison de chirurgien de la dernière fois, je n'avait pas prit le temps de la lavé et le sang de ma dernière victime était encore dessus. Je vit Delarue qui me fixait avec inquiètude, il me demanda d'une voix déja moins sur:
-C'est du sang humain?
-Oui, c'est le sang de ton copain Milton, le tient va aussi finir dessus. Sauf si tu te décide a me dire ce que je veut entendre. "
Il détourna la tête et retomba dans le silence; tant pis, je devait donc remettre ça...
J'ouvrit un placard dont les portes, ravagées par les mites, tenaient a peine. J'observai les differents outils qui s'étalaient devant moi en me demandant par quoi j'allait commençé.
Je jettai mon dévolu sur un fin burrin et un marteau et, m'approchai de ma victime calmement, avec un sourire inquiètant au lèvres.
Je posa la pointe du burrin a l'entrée de son oreille gauche et, dans un élan calculé , donna un coup de marteau dessus. Le burrin s'enfonça de quelque centimètres dans l'oreille, éclata le tympan et tout ce qui se trouvai sur son passage. Jack se mit à hurlé de toute ses forçes et des larmes de douleurs coulèrent de ses yeux.
Satisfait de mon acte, je laissai tombé les deux outils pour ensuite retourné dans le placard cherché une batte de base-ball...
Je retourna près de Jack et lui demanda de ma voix froide et détachée:
-Alors, ca te plait mon petit Jack?
-Vous êtes complètement malade!!
-Tu va me dire ou tu as trouvé cette vidéo?!
-Ecoutez, je trouve et vends des centaines de vidéo par moi. Je ne peut me souvenir de toutes!
-Bien. Continuons dans ce cas!"
Je le forçai a se mettre sur son ventre en ignorant les bruits atroçes que firent se poignets et ses chevilles en se brisant sous l'éffet de la torsion. Le playboy hurla a s'en arraché les cordes vocales et moi, je lui dit avec un certain plaisir:
-Tu peut hurlé autant que tu veux, personnes ne t'entendra ici."
J'empoignai correctement la batte et lui envoya un violent coup sur l'une de ses chevilles déja brisées. La douleur lui fit perdre connaisance avant même qu'un cris arrive au niveau de sa gorge.
Ca ne m'arrangeai pas ça, je le fit revenir a lui en lui envoyant une décharge au niveau des testicules. Il reprit connaisances dans un cris déchirant. "C'est mieux" me dit-je.
Je lui envoya un coup violent au niveau des testicules, cela lui coupa le souffle momentanément, la souffrance transpirait sur chaque centimètre de sa peau. Quand il eu repris son souffle, Il me cria désèspèrément qu'il me dirait tout ce que je voudrai entendre en me suppliant de céssé ces tortures insupportables. "Bien" me dis-je en reposant la batte.
-Alors, tu est prêt à passer au aveux?
-Oui! Mais arrêté cela, par pitié!
-Pitié? Tu as vendu de pauvres gosses innocents sans la moindre scrupules et tu ose imploré ma pitié?!"
La colère et la haine me monta d'un coup, mes yeux s'injectèrent de sang et je perdit le contrôle de mes actes. Je reprit la batte et l'employa de nouveau pour donner de violent coup sur les jambes de Jack, on entendait les os craqué a chaque nouveau coup portés. Je continuai a frappé pendant au moins deux minutes, prit dans une sorte de frénésie donc ma colère en était le moteur.
Je finis par retrouvé un peu de lucidité et balança la batte de l'autre côté de la pièce. Les jambes du Playboy n'étaient plus que plaies et douleurs, il avait renoncés à criés sa souffrance mais elle se lisait sur son visage grimaçant. Il laissait échappé des gémissement douloureux et pleurait comme un enfant. Mais toute compassion m'avait quitté pour ce genre de personnage...
D'une voix tremblante de rage, je lui dit:
-Maintenant, tu as interêt parlé si tu veut que je laisse le reste de ton anatomie entière...
-Je vous ai déja dit que je parlerai.
-Ok, Ou a tu obtenu la vidéo que tu as vendu a Milton?"
Sa voix était devenue très faible et lente, j'avait du provoqué une hémoragie interne au niveau de ces jambes, il fallait qu'il parle avant de succomber.
-Répond!
-Je lui en ai vendus plusieurs. De laquelle parlez-vous?
-Celle ou une femme au long cheveux noir et une gamine blonde de 8 ans se font violée et assassinée par trois types cagoulés.
-Ah celle-là...
-Alors, tu te décide fumier?!
-C'était une commande spécial pour un client, qui m'as demandé d'en faire un double et de le vendre à Milton.
-C'est toi qui l'as produites?
-En quelque sorte, je ne suis que vendeur moi. J'ai contacté des personnes qui faisaient ce genre de truc.
-Je veut les nom du client et des trois types qui se sont occupés de tourné la vidéo.
-Je ne peut vous donné que le nom du gars que j'ai contactés pour ça. Je n'ai pas été présenté au groupe. Et je ne connais pas le client, c'est Milton qui m'as passé commande...
-Essayerai-tu de me berné Jack?
-Non! Je vous jure que c'est la vérité. Je sais juste que ce client est une personne qui connaissais bien les victimes. Car Milton m'as dit "Il veut ces deux là et uniquement elles, il fantasme dessus depuis longtemps"
-Tu veut dire que c'est l'un de ses proches?
-Je ne sais que ce que Milton m'as dit, mais cela me semble logique."
Je sentis mon coeur se serré, qui dans mon entourage, aurai pu vouloir une tel horreur?
-Ok, le nom du mec que tu a contacté?
-Il s'appelle Alberto Calvini.
-Ou est ce qu'on le trouve?
-Il va souvent dans un café appellé "Le rustic" à Charleroi, dans la rue Turenne.
-Bien, autre chose a ajoutés?
-Une petite question...
-Je t'écoute.
-Pourquoi faite-vous cela? Cette femme et cette gamine n'avait plus de famille au moment des faits sauf le mari qui s'est suicidé après coup.Que représentai-t-elle pour vous?
-Tu veut vraiment le savoir? Je suis le mari sois disant suicidé, j'ai changés de visage pour pouvoir vous retrouvés sans me faire repèré."
-Non! c'est impossible!
-Ca ne sert pas qu'as s'acheter de belle voiture l'argent Jack...
-Alors, vous allez me tué?!
-Belle déduction, tu fera mes amitiés a Milton en arrivant en enfer, et ne t'inquiète pas, tes autres amis vont bientot te rejoindre."
Et, sans un mot de plus, je partit cherché un bidon d'essence dans le placard et revint près du lit ou je déversa la totalité du carburant. Jack commenca a supplié et a hurlé de ne pas faire ça. Je n'en eu cure et craqua une allumette que je lança sur le lit. Le feu s'embrasa d'un coup et les hurlements reprirent de plus belle. Je resta là a fixé les flammes, comme hypnotisé, pendant une minutes puis je me détournai de ce spectacle macabre.
Je ramassai les cléfs de mon véhicules et quitta les lieux rapidement. Mais, au moment d'entrer dans mon véhicule, j'entendit un bruit qui attira mon attention; un cris de femme...
Le bruit venait de la petite route de terre qui menait a un chalet abanonné depuis des années. Je prit mon Automag et me dirigea vers les cris.
Ayant parcouru une cinquantaine de mètre, une femme nue et tèrrorisée me percuta de pleins fouets, elle tenta de repartir aussitôt mais je l'attrapa par le bras.
-Je vous en prie! Laissez-moi tranquille! Me cria-t-elle d'une jolie voix malgré la peur dont elle était empreinte.
-Calmez-vous mademoiselle. Je ne vous veut aucun mâl. Quel est le problème?"
Mais avant qu'elle ai eue le temps de me répondre, je vit trois individus a la mine patibulaire se rapproché en courant. La situation n'avait pas besoins d'éclaircissement.
Je levai mon arme et appuya a trois reprise sur la détente, la première balle atteignit l'un des homme en pleine tête qui explosa sous l'impact, la deuxième se perdit dans la nature et la troisième fit éclaté le genou d'un des survivants. Le seul encore debout tenta de faire demi-tour mais fut ratrappé par un autre tir qui lui fit un trou gros comme une balle de golf dans la poitrine.
Je m'approchai du dernier homme vivant et braqua calmement mon arme encore fumante sur son visage.
Je lui dit d'une voix glacial:
-Ca te plait de violé les femmes?
-Va te faire foutre fils de pute!"
J'appuya fortement sur sa blessure au genou avec mon pied, il laissa échappé un cris de douleurs:
-Achève-moi enculés!
-Tu as raison, je n'ai plus de temps a perdre."
Je lui fit sauté la cervelle d'une balle et laissai cette scène macabre dèrrière-moi. Je retournai a mon véhicule sans trouvé de traçe de la jeune femme appeurée. Le chalet était maintenant ravagé par les flammes, une odeur de bois brulés se dégagait de se spectacle. Il était temps de partir. Je m'installai dèrrière le volant de ma BMW, la démarrai et quittai définitivement les lieux...