Kireseth a écrit :le rose c'est une ruse pour attirer la petite bourgeoise coincée avant de la dévergonder, c'te salope(et ça marche!)
La félicité conjugale
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Supprimé
Re: La félicité conjugale
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cLEg7
Re: La félicité conjugale
Elle ne répond pas. Même pas un oui timide. Mais surtout pas de non.
Ni oui ni non...
La présentation touche à sa fin tandis que Monsieur aide Madame à se relever sous les applaudissements des invités. La table débordante d'accessoires coquins est mise à disposition de tout ce petit mode qui s'y précipite en riant et en en gloussant, pour tout voir de près.
Elle le suit quand il y va, un pas derrière, sagement. Pourvu qu'il ne touche pas à ces...non! Pas les menottes... Grrr... Il joue avec, puis les repose, le présentateur s'est approché d'eux, et avec un sourire, engage la conversation.
"Elles sont jolies hein? C'est un petit jouet, rien de plus, regardez, c'est un velcro qui les ferme, en tirant un peu dessus on se libère vite, c'est plutôt rassurant quand on veut se faire des émotions mais sans forcément se sentir réellement en danger non?"
Ils papotent, et les menottes par-ci, et la cravache qui fait du bruit mais est étudiée pour ne pas faire vraiment mal par-là... Et des bougies à fusion basse température, et un plumeau pour faire des frissons partout partout.
Sous le paquet de bougies, il y a une corde roulée, en chanvre coloré fuchsia. Il l'a pris dans ses mains et caresse la texture de la corde, et l'homme en complet veston à côté de lui a un hochement de tête approbateur.
"Oui, ça c'est un peu plus sérieux, tout de suite, la corde. C'est du vrai chanvre, et elle peut aussi bien être nouée très lâche que serrée et dans ces cas-là elle est très efficace. Je peux vous montrer si vous voulez?"
"Ah oui, tiens, pourquoi pas?"
La présentatrice est occupée, et ne voit pas le signe que l'homme lui fait. Il va reposer la corde quand elle sent sa présence dans son dos :
"Montrez-moi ça sur ma femme, je suis sûre qu'elle se prêtera à l'expérience"
Elle va dire non, quand il repose sa main sur sa nuque comme tout à l'heure... et d'un coup, elle n'a plus envie de dire quoi que ce soit.
"Ah mais si Madame veut bien me servir de mannequin, ce sera avec plaisir hein? Laissez les bras le long du corps, voilà, c'est parfait."
L'homme glisse la corde pliée en deux sous ses cheveux, elle sent une autre paire de mains qui l'aide à les soulever, elle tangue un peu, on la retient par un coude, elle a un gloussement nerveux. Un noeud vient arrêter la corde entre ses seins, un peu sous sa gorge, avant qu'il ne la passe sous son bras gauche, puis sous le droit, un tour autour du noeud et dans l'autre sens à nouveau. Il l'entoure de corde, montrant le mouvement à son mari qui prend les choses en main quand elle passe dans son dos, glissant sous ses seins, ses côtes sont serrées dans un corset de chanvre. Puis on entoure son bras gauche de corde, entre l'épaule et le coude, son bras se trouve immobilisé contre son flanc, de même l'autre bras un instant plus tard. Puis on lui replie les coudes, et ses avant-bras sont liés dans son dos, avant que la corde ne soit arrêtée par une série de noeuds. Elle se sent comprimée, sa respiration s'est faite plus courte, plus intense, pourtant la corde n'est pas réellement serrée.
"Ca va?"
L'homme la regarde dans les yeux, mettant son regard à hauteur de ses yeux baissés, elle répond, sa voix lui parait étrangement lointaine :
"Oui..."
Des gens se sont attroupés autour d'eux, et admirent le mouvement de la corde autour de son corps, elle entend quelques mots : "joli", "beau", "me plaît", "trop compliqué pour moi", et un "mais si regarde, c'est pas si dur"
"On continue alors!"
Ca n'est pas réellement une question. Il a saisi une seconde corde, noire, et la plie, avant de la glisser sous ses avant-bras liés, autour... Il chuchote, avec son mari, elle les entend murmurer dans son dos. Ou peut-être parlent-ils normalement, mais elle ne les entend plus vraiment là... Elle sent de nouveau la main sur sa nuque, caresse, elle sent qu'on glisse le long de sa jupe dans son dos, sur ses fesses, ses cuisses, la corde passe entre ses chevilles et le tissu est remonté, froissé, plissé comme un rideau, elle n'en a cure à cet instant, alors que la corde vient retrouver sa soeur rose à son sternum, et l'enserre, serpent impudique, intrusion presque voulue... L'homme laisse pendre la corde devant elle, puis l'enroule autour de ses hanches, quelques tours, puis autour d'une cuisse, de l'autre, entre les plis de la jupe, unissant une jambe à l'autre dans une embrassade serrée. Elle se sent inachevée, et gigote, pour voir ses pieds...
"Ne bougez-pas, vous pourriez perdre l'équilibre"
Elle se redresse, une main qui sent la cannelle s'est glissée sous son menton et une autre dans son dos soutient ses bras noués. La corde enserre enfin ses mollets, enfin... Oui, elle l'attendait, en fait, cette corde... Enfin elle se sent entière, finie, pleine... elle respire doucement, chaque souffle lui parait une éternité... elle plane, alors qu'elle n'a jamais été si bien accrochée au sol.
Ni oui ni non...
La présentation touche à sa fin tandis que Monsieur aide Madame à se relever sous les applaudissements des invités. La table débordante d'accessoires coquins est mise à disposition de tout ce petit mode qui s'y précipite en riant et en en gloussant, pour tout voir de près.
Elle le suit quand il y va, un pas derrière, sagement. Pourvu qu'il ne touche pas à ces...non! Pas les menottes... Grrr... Il joue avec, puis les repose, le présentateur s'est approché d'eux, et avec un sourire, engage la conversation.
"Elles sont jolies hein? C'est un petit jouet, rien de plus, regardez, c'est un velcro qui les ferme, en tirant un peu dessus on se libère vite, c'est plutôt rassurant quand on veut se faire des émotions mais sans forcément se sentir réellement en danger non?"
Ils papotent, et les menottes par-ci, et la cravache qui fait du bruit mais est étudiée pour ne pas faire vraiment mal par-là... Et des bougies à fusion basse température, et un plumeau pour faire des frissons partout partout.
Sous le paquet de bougies, il y a une corde roulée, en chanvre coloré fuchsia. Il l'a pris dans ses mains et caresse la texture de la corde, et l'homme en complet veston à côté de lui a un hochement de tête approbateur.
"Oui, ça c'est un peu plus sérieux, tout de suite, la corde. C'est du vrai chanvre, et elle peut aussi bien être nouée très lâche que serrée et dans ces cas-là elle est très efficace. Je peux vous montrer si vous voulez?"
"Ah oui, tiens, pourquoi pas?"
La présentatrice est occupée, et ne voit pas le signe que l'homme lui fait. Il va reposer la corde quand elle sent sa présence dans son dos :
"Montrez-moi ça sur ma femme, je suis sûre qu'elle se prêtera à l'expérience"
Elle va dire non, quand il repose sa main sur sa nuque comme tout à l'heure... et d'un coup, elle n'a plus envie de dire quoi que ce soit.
"Ah mais si Madame veut bien me servir de mannequin, ce sera avec plaisir hein? Laissez les bras le long du corps, voilà, c'est parfait."
L'homme glisse la corde pliée en deux sous ses cheveux, elle sent une autre paire de mains qui l'aide à les soulever, elle tangue un peu, on la retient par un coude, elle a un gloussement nerveux. Un noeud vient arrêter la corde entre ses seins, un peu sous sa gorge, avant qu'il ne la passe sous son bras gauche, puis sous le droit, un tour autour du noeud et dans l'autre sens à nouveau. Il l'entoure de corde, montrant le mouvement à son mari qui prend les choses en main quand elle passe dans son dos, glissant sous ses seins, ses côtes sont serrées dans un corset de chanvre. Puis on entoure son bras gauche de corde, entre l'épaule et le coude, son bras se trouve immobilisé contre son flanc, de même l'autre bras un instant plus tard. Puis on lui replie les coudes, et ses avant-bras sont liés dans son dos, avant que la corde ne soit arrêtée par une série de noeuds. Elle se sent comprimée, sa respiration s'est faite plus courte, plus intense, pourtant la corde n'est pas réellement serrée.
"Ca va?"
L'homme la regarde dans les yeux, mettant son regard à hauteur de ses yeux baissés, elle répond, sa voix lui parait étrangement lointaine :
"Oui..."
Des gens se sont attroupés autour d'eux, et admirent le mouvement de la corde autour de son corps, elle entend quelques mots : "joli", "beau", "me plaît", "trop compliqué pour moi", et un "mais si regarde, c'est pas si dur"
"On continue alors!"
Ca n'est pas réellement une question. Il a saisi une seconde corde, noire, et la plie, avant de la glisser sous ses avant-bras liés, autour... Il chuchote, avec son mari, elle les entend murmurer dans son dos. Ou peut-être parlent-ils normalement, mais elle ne les entend plus vraiment là... Elle sent de nouveau la main sur sa nuque, caresse, elle sent qu'on glisse le long de sa jupe dans son dos, sur ses fesses, ses cuisses, la corde passe entre ses chevilles et le tissu est remonté, froissé, plissé comme un rideau, elle n'en a cure à cet instant, alors que la corde vient retrouver sa soeur rose à son sternum, et l'enserre, serpent impudique, intrusion presque voulue... L'homme laisse pendre la corde devant elle, puis l'enroule autour de ses hanches, quelques tours, puis autour d'une cuisse, de l'autre, entre les plis de la jupe, unissant une jambe à l'autre dans une embrassade serrée. Elle se sent inachevée, et gigote, pour voir ses pieds...
"Ne bougez-pas, vous pourriez perdre l'équilibre"
Elle se redresse, une main qui sent la cannelle s'est glissée sous son menton et une autre dans son dos soutient ses bras noués. La corde enserre enfin ses mollets, enfin... Oui, elle l'attendait, en fait, cette corde... Enfin elle se sent entière, finie, pleine... elle respire doucement, chaque souffle lui parait une éternité... elle plane, alors qu'elle n'a jamais été si bien accrochée au sol.
Bravo Kires!
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cLEg7
Re: La félicité conjugale
La soirée sera suivie par plusieurs jours étrangement flottants. Elle éprouve un calme, une sorte de plénitude, qu'elle n'avait jamais osé atteindre. Lui semble très heureux aussi de ce changement : il ne cesse de la toucher, de la caresser, de se l'approprier, sans arrêt. Il serre parfois soudain ses seins dans ses mains, ou sa taille, comme pour se rappeler comment elle était, enroulée, enserrée dans ses cordes. Et puis, un soir, une bonne semaine plus tard, elle ne sait plus comment, ils entament LA discussion, celle qui va tout changer.
Elle voudrait qu'il l'attache. Il ne veut pas se contenter de ça. Si elle veut être attachée, elle devra obéir. Elle rechigne, et pourtant, dans son ventre ça se tortille comme une idée malsaine et attirante. Il veut qu'elle soit moins prude, qu'elle soit plus provocante, plus disponible. Elle dit qu'elle n'osera pas. Elle ne dit rien, et secoue la tête. Elle n'ose pas dire qu'elle veut qu'il la force. Elle n'ose pas se l'avouer, qu'elle veut qu'il la force. Il la rudoie un peu, elle se sent perdue, elle a peur de ne pas y arriver, malgré l'envie, malgré ce tortillement entre ses reins.
Elle esquive.
Il abandonne.
Acte manqué? Peur du vide? Comme une jument qui n'arrive pas à sauter l'obstacle, et renâcle. Elle tourne et retourne le mot dans sa tête, tourne et retourne dans ses fantasmes et ses rêves les plus intimes ces moments où il aurait pu imposer et où elle aurait pu céder... Non, oui, non, mais si!!! Soumise...
Elle s'en rend malade, d'avoir ce mot sur le bout de la langue et de ne pas arriver à franchir le pas.
C'est, encore une fois, Nadia qui va entrouvrir la porte de ses angoisses pour qu'elle trouve un peu de clarté.
Elle est retournée à l'institut, machinalement, invitée par la newsletter à une lecture de romans, puis à un club poterie japonaise. Elle croise Nadia pendant une petite pause café, et elles entament la discussion.
Nadia sait vous mettre à l'aise... Elle la fait parler, d'abord de la soirée, des cordes, de ce qu'elle a ressenti, et une fois qu'elle l'a bien détendue, elle extrapole... Et Monsieur? Il aimerait continuer ainsi? Ca lui a plus? Oui? Chic alors! Il faudra acheter des menottes, et puis peut-être d'autres petits accessoires, ça peut être marrant. Et toi alors, tu aimerais quoi? Y a aucun mal à se faire du bien. Avoir mal? Facile ça... C'est bon quand ça chauffe un peu! Et puis c'est bon quand on ne vous laisse pas trop le choix non plus. Ca coince? Comment ça, ça coince? Il est partant mais? Oh... Oui.. D'accord... L'orgueil.
L'orgueil? Elle n'y a pas songé sous cet angle. Trop orgueilleuse pour se rendre? Pour accepter de subir et de faire ce qu'on lui demande, malgré l'envie? Oui... Nadia a sans doute raison. Elle discutent, de tout, de rien, et parfois, une réflexion plus profonde se fait jour : l'incertitude, la trouille, la peur de voir les choses changer dans son couple de façon trop irrémédiables pour les réparer ensuite... La peur de l'image qu'on a de soi une fois attachée, soumise et obéissante petite chose. Elle cogite, encore plus qu'avant. Mais cette fois elle a un bout du problème entre les mains et peut dévider le fil de son noeud auparavant inextricable.
"Mais, tu sais, il existe un moyen de savoir si tu es vraiment faite pour ça, ou si c'est une chose que tu ne pourras pas assumer hein? Une sorte de test, pour du rire, pour voir si tu es capable de surmonter tes appréhensions et tes doutes pour juste profiter du moment, si tu aimes ça... Et comme ça ne serait que pour une journée, tu n'aurais aucune conséquence fâcheuse à surmonter ensuite, et lui n'aurais même pas besoin d'être au courant."
Là, c'est étrange, le tortillement dans son ventre se fait frénétique.
- Le piège est amorcé?
- Pas qu'un peu... Elle va mordre, c'est sûr!
Elle va cogiter un moment avant d'oser en demander plus. puis Nadia va la diriger par mail vers une section "camouflée" du site web de l'institut. Il faut montrer patte blanche, pour pouvoir y accéder.
Le principe est simple : réalisez vos fantasmes, en une journée, sans que personne ne vous demande de comptes ensuite. En toute discrétion, anonymement, il faut juste s'acquitter d'une modeste somme qui sera prélevée en plusieurs fois, pour faire croire à la participation à plusieurs séminaires différents de l'institut. Toutes sortes de fantasmes sont proposés, du classique 5 à 7 coquin au trio en passant par le plus que trois participants, la première rencontre gay ou lesbienne... Il existe des formules solo, ou couples.
Elle trouve très vite ce qui l'intéresse. Séminaire de domination soumission : révélez votre nature soumise, soyez pris en main fermement pendant une journée entière pour devenir la chienne obéissante que vous rêvez d'être. Bon, elle n'en rêve pas vraiment, mais ça la travaille, ça compte?
Elle hésite, tergiverse, s'observe en train d'hésiter et de tergiverser et se met mentalement un coup de pied où elle pense. Elle commande le formulaire d'inscription.
Elle voudrait qu'il l'attache. Il ne veut pas se contenter de ça. Si elle veut être attachée, elle devra obéir. Elle rechigne, et pourtant, dans son ventre ça se tortille comme une idée malsaine et attirante. Il veut qu'elle soit moins prude, qu'elle soit plus provocante, plus disponible. Elle dit qu'elle n'osera pas. Elle ne dit rien, et secoue la tête. Elle n'ose pas dire qu'elle veut qu'il la force. Elle n'ose pas se l'avouer, qu'elle veut qu'il la force. Il la rudoie un peu, elle se sent perdue, elle a peur de ne pas y arriver, malgré l'envie, malgré ce tortillement entre ses reins.
Elle esquive.
Il abandonne.
Acte manqué? Peur du vide? Comme une jument qui n'arrive pas à sauter l'obstacle, et renâcle. Elle tourne et retourne le mot dans sa tête, tourne et retourne dans ses fantasmes et ses rêves les plus intimes ces moments où il aurait pu imposer et où elle aurait pu céder... Non, oui, non, mais si!!! Soumise...
Elle s'en rend malade, d'avoir ce mot sur le bout de la langue et de ne pas arriver à franchir le pas.
C'est, encore une fois, Nadia qui va entrouvrir la porte de ses angoisses pour qu'elle trouve un peu de clarté.
Elle est retournée à l'institut, machinalement, invitée par la newsletter à une lecture de romans, puis à un club poterie japonaise. Elle croise Nadia pendant une petite pause café, et elles entament la discussion.
Nadia sait vous mettre à l'aise... Elle la fait parler, d'abord de la soirée, des cordes, de ce qu'elle a ressenti, et une fois qu'elle l'a bien détendue, elle extrapole... Et Monsieur? Il aimerait continuer ainsi? Ca lui a plus? Oui? Chic alors! Il faudra acheter des menottes, et puis peut-être d'autres petits accessoires, ça peut être marrant. Et toi alors, tu aimerais quoi? Y a aucun mal à se faire du bien. Avoir mal? Facile ça... C'est bon quand ça chauffe un peu! Et puis c'est bon quand on ne vous laisse pas trop le choix non plus. Ca coince? Comment ça, ça coince? Il est partant mais? Oh... Oui.. D'accord... L'orgueil.
L'orgueil? Elle n'y a pas songé sous cet angle. Trop orgueilleuse pour se rendre? Pour accepter de subir et de faire ce qu'on lui demande, malgré l'envie? Oui... Nadia a sans doute raison. Elle discutent, de tout, de rien, et parfois, une réflexion plus profonde se fait jour : l'incertitude, la trouille, la peur de voir les choses changer dans son couple de façon trop irrémédiables pour les réparer ensuite... La peur de l'image qu'on a de soi une fois attachée, soumise et obéissante petite chose. Elle cogite, encore plus qu'avant. Mais cette fois elle a un bout du problème entre les mains et peut dévider le fil de son noeud auparavant inextricable.
"Mais, tu sais, il existe un moyen de savoir si tu es vraiment faite pour ça, ou si c'est une chose que tu ne pourras pas assumer hein? Une sorte de test, pour du rire, pour voir si tu es capable de surmonter tes appréhensions et tes doutes pour juste profiter du moment, si tu aimes ça... Et comme ça ne serait que pour une journée, tu n'aurais aucune conséquence fâcheuse à surmonter ensuite, et lui n'aurais même pas besoin d'être au courant."
Là, c'est étrange, le tortillement dans son ventre se fait frénétique.
- Le piège est amorcé?
- Pas qu'un peu... Elle va mordre, c'est sûr!
Elle va cogiter un moment avant d'oser en demander plus. puis Nadia va la diriger par mail vers une section "camouflée" du site web de l'institut. Il faut montrer patte blanche, pour pouvoir y accéder.
Le principe est simple : réalisez vos fantasmes, en une journée, sans que personne ne vous demande de comptes ensuite. En toute discrétion, anonymement, il faut juste s'acquitter d'une modeste somme qui sera prélevée en plusieurs fois, pour faire croire à la participation à plusieurs séminaires différents de l'institut. Toutes sortes de fantasmes sont proposés, du classique 5 à 7 coquin au trio en passant par le plus que trois participants, la première rencontre gay ou lesbienne... Il existe des formules solo, ou couples.
Elle trouve très vite ce qui l'intéresse. Séminaire de domination soumission : révélez votre nature soumise, soyez pris en main fermement pendant une journée entière pour devenir la chienne obéissante que vous rêvez d'être. Bon, elle n'en rêve pas vraiment, mais ça la travaille, ça compte?
Elle hésite, tergiverse, s'observe en train d'hésiter et de tergiverser et se met mentalement un coup de pied où elle pense. Elle commande le formulaire d'inscription.
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mouvance
Re: La félicité conjugale
et bien c'est gagné. J'ai découvert cette rubrique et bingo. J'ai tout lu d'affilé... J'adore. Peut etre mon caractère dominant...Kireseth vous écrivez divinement bien. Plein de suspens . Un beau style . Alors la suite....Bises a vous. Mouvance
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cLEg7
Re: La félicité conjugale
Héhé, merci! Faut pas hésiter à lire le reste, yen a pour des heures, je suis prolixe (je privilégie la quantité à la qualité faut croire )
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Biquette
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Re: La félicité conjugale
Ayé, j'ai lu tout mon retard, mon état ltdsm 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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cLEg7
Re: La félicité conjugale
tu..tu veux dire que ça te rend ....blonde?Bikette a écrit :Ayé, j'ai lu tout mon retard, mon état ltdsm
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Re: La félicité conjugale
Ah merde, nan, tout mais pas çaaaaaaaaaaa 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Biquette
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Re: La félicité conjugale
On est bien d'accordKireseth a écrit :Putain j'ai eu peur!!!!
non mais c'est vrai quoi.
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: La félicité conjugale
Nan mais c'est parce que ça m'irait pas quoi, une sicilienne blonde, c'est pas euh.. comment dire... tu vois quoi ...Emily a écrit :
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: La félicité conjugale
Kires ?? 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Supprimé
Re: La félicité conjugale
Ne tente pas de te racheter, ça ne fonctionne jamais avec moi.Bikette a écrit : Nan mais c'est parce que ça m'irait pas quoi, une sicilienne blonde, c'est pas euh.. comment dire... tu vois quoi ...
Oui bon, la suite quoi !Bikette a écrit :Kires ??
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lemarinprovencal
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