Ecrit avec le concours d'une chère et tendre amie
J'écris :
Vous, lui, moi. Huis clos.
"Je vous ai vue rougir d'envie en découvrant ce jeune ephèbe, objet de toutes nos attentions à présent.
Vous lui demanderez de se déshabiller devant nos regards complices et c'est vous qui aurez le plaisir de le finir et le mettre entièrement à nu.
Vous le toisez, les yeux d'abord, longtemps. Votre regard mi amusé, mi curieux descendra doucement vers ce membre déjà convoité, encore au repos. Il est beau et doux, de dimension enviable et prometteuse.
Quelque peu gêné, il posera ses mains devant son sexe et vous le laisserez ainsi, entre pudeur et provocation.
Lui, debout devant vous, pendant que vous, à genoux face à son ventre frémissant quelque peu, commencerez à caresser ses cuisses fermes et tendres en même temps. Ensuite vos mains habiles s'emparent de ses fesses et vos doigts voyagent le long de son sillon, effleurant de manière furtive son doux secret.
Votre art consommé de mener au plaisir provoque évidemment l'effet escompté. Le jeune homme commence à bander et ses mains ne suffisent plus à dissimuler un sexe de plus en plus gonflé. Vous pourriez lui écarter les mains pour découvrir cette queue, jeune et fière mais vous préférez lui imposer le supplice de décider lui-même, soit d'offrir à nos regards sa belle et raide virilité et d'attendre vos mains, vos lèvres, soit, n'y tenant plus, de s'emparer avec fébrilité de sa queue brûlante et vous...
Elle a écrit.
"Je vous vois, debout, un peu sur le côté. Vous avez un oeil sur l'homme et un autre sur moi. Vous veillez sur nous, attentif, à l'écoute, prêt à tout.
Vous bandez.
L'érection de l'homme plus affirmée que la votre à cet instant vous retient dans l'envie de vous abandonner totalement. Son inexpérience plus que sa jeunesse vous trouble. Vous ne savez pas ce que vous attendez de moi, mais je devine que c'est beaucoup. J'ai fermé les yeux quelques secondes vous en avez profité pour vous rapprocher. Et vous êtes tout près, derrière moi. Je sens votre souffle dans mon cou alors qu'encore accroupie face à ce jeune homme, la tête me tourne de me savoir entre vous deux et à si petite distance de vos deux corps, de vos deux membres disposés à m'aimer cette nuit, l'un après l'autre, l'un avec l'autre.
Même si je ne vous vois plus, j'ai compris que vous veniez de vous agenouiller. Et comme pour me prouver que vous êtes bien là, vous tendez votre corps tout entier et venez vous plaquer contre moi et déposer un baiser dans mes cheveux. Votre sexe frôle mes fesses, je marque un gémissement, il se faufile tout seul entre mes cuisses entrouvertes, à présent, vous bandez énormément.
Je me suis agrippée aux jambes de notre jeune ami, ma tête de profil vient se poser sur ses parties intimes, ma joue caresse ses bourses, j'ai envie de vous. "