• Haïkus du cul - en quatre lignes.

Oui très beau Jude

Dans cette forêt noire je nous croyais perdus,
Pour m'exhiber aux éléments vous me vouliez nue
Mon intimité trahissait mon excitation
Le vent, vos mains entre mes jambes je perds la raison

De jolies plumes par ici

Que suis je donc entre vos mains ?
Sinon un pantin désarticulé, heureux de sa perte,
De son abandon pour combler votre faim
Votre chose, votre soumise, à vous je me suis offerte

Que c'est beau Jude

Je n'ai pas ton talent pour écrire quelques choses

C'est gentil Rubys, mais ça c'est nul à côté de mes nouvelles.

Avec une douceur infinie, la corde sur mon corps s'enroula,
Immobile, le souffle court, mon intimité s'embrasa,
Avec gourmandise votre bouche l'honora,
Je suis reine, je suis mendiante quand je suis vôtre comme ça

Que j'aime votre intimité.
La lécher, la titiller, la fouetter.
Pour enfin la pénétrer,
Et impatiemment m'y abandonner.

Je suis fou de voir votre cul cambré,
Offert, tiraillé et complètement exposé.
Vos lèvres, votre vagin, le trou bien rond de vos fesses,
Me chamboulent au plus profond de mon être.

Je dévore vos lèvres.
Au plus profond j'y insère ma langue.
Tu t'agites, ta respiration est courte et brève.
Puis doucement tu tangues.

À 4 pattes je vous pénétre Madame.
Vos lèvres, votre orifice sont profonds et accueillants
Mais je suis sûr que dessus votre trou bien rond et ouvert l'est tout autant.
Dessus je me presse, il s'evase et me laisse passer lentement.

Ta verge qui glisse en moi
comble avec émoi
les trois orifices
dont tu es complice

Qd tu vas a confesse
quel doux péché
que de m'empaler
fort où tu te dresses

Chevauchée sauvage en moto ou entre mes hanches,
Sans limite sur la route ou sur mon corps
Soumise, jamais je ne crie revanche
Rouler, m'abandonner, j'en veux encore.

Butiner cette fleur
qui lentement s'affole
et s'ouvre en corolle
Ah, quelle douce chaleur !

Le bout rouge et tendue entre mes doigts,
plaisir solitaire qui me met en joie,
la manier me met à la fête
ma chère cigarette..

(ceci n'est pas une pipe

)

Ma tête explose sous nos images
Oublie tes envies bien trop sages
Je vais mettre le désembuage
Viens t''engouffrer dans mon orage

Briser la décadence
T'arrimer en confiance
Quitter cette torpeur
Succomber et fondre à cœur

Femme ! Me voilà inondé,
de ton plaisir, à peine déballée
offerte et déjà conquise,
c'est un vrai cas d'eau surprise !

Ouvre lui ton anus, lache toi totalement
Laboure moi copieusement comme il te démonte
Que ton cul perforé se gave ivre et dépravé
Gorgé du sperme chaud qu'il vient d'y déverser

Croupe cambrée, offerte, un léger sourire. Tu m'attends.
Ta chatte ouverte et humide, ou ton anus souple, plissé, rond...
Peu semble te soucier là où je me rends.
Pourvu que tu te sentes pleine, heureuse et remplie jusqu'au fond.

A genou paumes ouvertes
Les yeux baissés j'attends, offerte
Que les menottes, le baillon, les cordes m'entravent
Leurs marques sur ma peau, quelques heures durant se gravent

Entravée, fessée, offerte, tu attends mon bon vouloir.
Envie de te faire du bien, envie de te faire du mal.
Dans le fond peu importe ces notions morales.
Seul compte le plaisir dans notre boudoir.

Ma langue se délie,
mutine et rebelle,
à l'assaut de chaque pli
de ta rose dentelle.

cal-cul-atrice,
en mode gourmandise,
en elle je glisse,
elle aime l'anal, Lise.

jeux de langue
peaux dénudées
ton sexe me harangue
je veux y plonger !

La mer glisse sur ta peau
Nue offerte en elle tu plonges
Epaule seins lèvres fesses
Tout frissonne sous l'écume

Je maudis le ciel vaste brasier
Lorsque ces feux me dévorent
Et me privent de toi, de nous
Comme d'elles ou eux encore

Ton visage inondé de soupirs
Déchire le silence
De râles jaillissants
Comme ce flot de sperme brûlant

Lent et régulier j'aime
quand ces nuits
Tu me reviens
Ton souffle berce mon sommeil

Mon corps ondule sous ton offensive brûlante
Mon corps gémit, mes seins se tendent
Mes cuisses ruisselantes te réclament
Vertiges de plaisirs, passion dévorante qui embrasent nos âmes.

Ton sexe en érection qui frémit dans ma main
Me donne envie de me donner sans attendre demain
Je suce je lèche je promène ma bouche
Sur le sceptre dressé qui égaiera ma couche

Ma main glisse dans un doux va et vient
Sous mes doigts ton sexe frémit, durcit et prend vie;
Il faut que j’y mette la bouche, j’en meurs d’envie;
Jusqu’à ce que je n’en puisse plus et te dise « Viens! »

Perles de rosée, délicates, posées
sur ma langue mutine,
devant ton intimité
je m'incline.

(inspiré par @Ava)

Encore humide sortie de ma douche
Tu glisses ton visage contre mes fesses
Comme ta bouche fouille mes lèvres
Ta folie se glisse partout dans mon corps

Que tes fesses sont belles sont belles ma Chérie
J'aime à les caresser, les masser, voir tes 2 fruits défendus.
L'un ou l'autre sont tentants, beaux, presque interdits
Dans l'un ou l'autre, j'aimerai tendrement m'y sentir perdu.

Tes fesses ouvertes, entravées et offertes,
Ta vulve brûlante, ouverte et formidablement glissante
Ton anus doux, humide, souple et rond, qui s'ouvre et se ferme d'une frénésie palpitante.
Je pénètre l'une, puis l'autre, comme investit d'une immense quête.

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Ta bouche... Que ta bouche est bonne.
Sans tes mains elle va et elle vient.
Ta langue dedans, glisse et tourbillonne.
Je jouis vite sans que ce cela ne t'étonne.

Tu as bon gout ma Chérie.
Pour ton plaisir, et le mien
Je te lèche, te fouille entre tes reins
Ma langue, tes lèvres, ton vagin, comme réunis.

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