• Haïkus du cul - en quatre lignes.

Le coeur qui s'accélère
et le rouge aux joues,
sur mes lèvres ce goût amer
en buvant de vous.

Excellent...

Me retirer de votre cul béant,
Encore vigoureux, grand.
Vous forcer à ouvrir la bouche,
Et vous souiller.

Docile, soumise,
Affairée à me lécher,
Ma main dans vos cheveux,
Vos lèvres baisent doucement mon membre molissant.

Mais que devint l'humble poétesse
Alors qu'elle s'abandonna, luxurieuse
Que son antre savoura de vicieuses ivresses,
En indigne pécheresse audacieuse ?

Prisonnier de mes cuisses,
Les crocs dans votre cou
Vos poussées voluptueuses
Auront raison de nous.

Quand votre feulement sourd
Me fait frémir en plus
Je n'en peux plus: explose
Au plus profond de mon cul.

Toute à mon plaisir de ta main, de ta bouche
mes jambes viennent serrer ton désir à craquer
tu mouilles entre les bas de mes pieds à croquer
les jets de ta semence y font quelques retouches...

Ah le violent plaisir des longues contractions
Ta queue dans mon cul, ta main dans mon con
Quand je serre sur vous, deux bracelets si doux
Alors inonde mes cuisses un long orgasme fou.

C'était toi et un désir violent m'a suffoqué
Un désir d' être prise là, enchaînée...
Après que les orgasmes répétés provoqués par mes jouets
aient trempé et gonflé mes lèvres et mon cul.

Je suis tout chamboulé
Depuis qu'à mes côté
Avec votre amant préféré
vous m'avez cocufié

Ô beauté divine
De votre voix câline
Dans mon orifice nacré de cyprine
viens glisser ta pine

Belles contributions. Ces dames ont beaucoup de talent... Le loup aussi.

En ville, madame fait sa bourgeoise,
En tailleur, jupe longue et talons.
Mais dans l'alcôve, les seins nus,
Cheveux défaits, elle crie sous l'étalon.

Vos jambes souples, gainées de noir,
Diaboliquement juchées sur des talons,
Et vos pieds délicats, meurtris de cuir et de nylon,
Vos chevilles adorables. Perfection.

C'est tout ton avant bras qui reçoit mes ondées...
pendant qu'à ton poignet un si doux bracelet
te serre et se contracte à chacun de mes jets
et que ta main au chaud est doucement bercée.

Laissez-moi m'agenouiller à vos pieds,
Vaincre la pernicieuse lanière.
Retirer le précieux escarpin,
Tenir dans ma main, votre pied sauvage.

Sur ma hampe dressée, émue,
Vos pieds pressent avec vigueur.
Craignez madame, que je me répande.
Gouttes blanches, sur vos nylons noirs.

Me voilà si trempée du va et vient luisant
Qui glisse entre les lèvres de mon con charmant
Chaque coup de ton vit donne un rythme mouillé
Ce son chaud qui rend fou va te faire exploser....

Madame, je remonterai vos jambes,
Comme on remontait le Mississippi.
J'irai à la source buissonnière,
Goûter les fruits du paradis.

ta nuit ne fut que moi, et de rêves coquins
et ton désir enflait dans le creux de ta main
ton envie fut si forte que le lendemain
tu lançais tes traits chauds sur l'image de mes seins

Le nez perdu au bas de votre ventre,
La bouche avide de vos goûts mystérieux,
Ma langue s'aventure au creux de vous,
Creusant savamment votre sillon délicieux.

Je sais qu'en vous lisant mes cuisses se serreront,
et que mon ventre se contractera,
que quelques gouttes de sel perleront à mes lèvres,
comme annonciatrices de mon plaisir en devenir.

Je vous lape.
Je vous agace.
Je vous lèche.
Je vous suce.

Vos lèvres m' explorent, érigent mes tétons

suçant, mordant doucement, et mouillant de passion

la vallée de mes seins, mon ventre et mes fesses

mon esprit est bien loin de penser à confesse...

Aveugle, quand je suis au creux de vous,
J'aimerais voir vos yeux se clore, vos frémissements.
Mais nos mains se joignent, vos gémissements,
Votre con se contracte quand le plaisir vous prend,

Votre main se crispe dans mes cheveux,
Quand du bout de la langue,
Je meurtris votre bouton.
Vous expirez : "je jouis"...

Profonde en ma rose, votre langue pointue s'affaire

Votre main monte à mes bas, glisse en mon repaire

Par vos doigts, votre langue, viennent mes contractions

Les flots d'une rivière et mes cris d'abandon

Votre main d'autorité,
Plaque mon visage sur votre sexe brûlant,
Et je sens vos moiteurs, vos parfums,
Et je bois vos épanchements.

Je me love contre vous, harassée de plaisir.
Souriant, bêtement fier, je vous regarde reprendre votre souffle.
Et tout saisissant votre sein abandonné,
Vous goûtez sur mes lèvres les traces de votre jouissance.

Je pose votre main sur mon sexe érigé,
D'instinct vous me branlez,
Madame, vos doigts savent me manier,
Rêveuse, vous regardez mon gland libéré.

En effet, de bien jolies choses...
Je dois me sauver pour aller travailler.
Merci à vous Wakeford, au plaisir de vous lire, encore...

Tu es plaisir, avec chaque vague séparée des suivantes
Enfin toutes à la fois chargent.
C’est la mer qui se fonde, qui s’invente.
Tu es plaisir, corail de spasmes.

René Char - Tu es plaisir (Extrait de Lettera amorosa)
(oui bon je sais, c'est pas de mouah, c'est pas un haïku mais je le mets quand même!

)

j'entre et je sort
je vais et je viens
pour te faire un sort
cette fois je te tiens.

J'aime beaucoup Nounours, tout en simplicité

dans ta bouche
toute douce
je jouis
et t'éclabousse

je lèche je suce
le bout de tes seins
tes tétons dardés
me font bander

Lorsque, comblés de licencieuses envolées,
Je me fais femelle caressante et gracile
Je me jette, adoratrice, à Vos pieds
Telle une chienne assouvie et docile.

(Extrait d'un truc que j'avais écrit il y a un certain temps, pas vraiment un haïku, m'enfin.)

entre tes fesses
je te confesse
mon gland pointu
tu l'as dans le cul

Augustine a écrit :Tu es plaisir, avec chaque vague séparée des suivantes
Enfin toutes à la fois chargent.
C’est la mer qui se fonde, qui s’invente.
Tu es plaisir, corail de spasmes.

René Char - Tu es plaisir (Extrait de Lettera amorosa)
(oui bon je sais, c'est pas de mouah, c'est pas un haïku mais je le mets quand même! )

Ben moi j'aime beaucoup.

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