Relations humaines
Publié : 23 août 2013, 13:19
Dans l’immeuble où je travaille, il y a une petite cour intérieure, où se retrouvent les fumeurs. Et dans cette petite cour, un local où on peut ranger des vélos et quelques archives.
On est le plus souvent les mêmes à fumer en bas. Isabelle et moi. Isabelle de la RH. La jolie Isabelle. Isabelle qui me court après dans le couloir pour descendre fumer avec moi quand je passe devant son bureau. Isabelle qui me rejoint toute essoufflée et souriante dans notre petite cour discrète.
- « Vous mettez beaucoup de conviction à me rejoindre… c’est touchant… » fais-je un tantinet fanfaron.
- « C’est que je suis très motivée, j’aime bien fumer avec vous ! » répond-elle en fixant du regard.
- « Qu’est-ce qui me vaut cet honneur ? »
Elle pose une main sur ma joue, ses doigts caressent mes lèvres.
- « A votre avis ? Monsieur l’innocent… »
Cette jeune et jolie femme me drague complètement, et je suis surpris de son audace. Surpris et charmé.
- « Vous voulez que je vous montre les archives ? » fait-elle, avec un air aguicheur qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Ne doutant pas de ma réponse, elle ouvre le petit local et le referme à clef derrière nous. Nous sommes dans la pénombre, une pauvre lumière arrivant par une lucarne.
Isabelle n’est pas mariée, mais je sais qu’elle a déjà un enfant. Elle n’ignore rien de ma situation familiale. Pas nécessaire de discuter donc. Je la prends par la taille et pose ma bouche sur la sienne. Sa langue est gourmande et intense. Je sens ses seins contre moi. Je caresse son derrière divinement rebondi. Je suis très à l’étroit dans mon slip.
Je passe ma main dans son pantalon. La chair de ses fesses est douce et fraîche.
Ma bouche se perd dans son cou. Son parfum fruité est délicieux à humer. Elle me repousse gentiment pour ôter son chemisier. Elle se tourne et me demande de lui dégraffer son soutien-gorge. Quand elle me fait à nouveau face, ses deux gros seins s’offrent à ma vue et à ma bouche. Ils sont plus gros, plus ronds que je ne les espérais. Lourds dans ma main, doux sous ma langue… Et ses jolis tétons tout ronds que j’aspire et que je suce… Elle semble aimer cela, car elle les guide du bout des doigts dans ma bouche.
Elle me relève…
- « Baise-moi… » gémit-elle dans mon cou…
On est le plus souvent les mêmes à fumer en bas. Isabelle et moi. Isabelle de la RH. La jolie Isabelle. Isabelle qui me court après dans le couloir pour descendre fumer avec moi quand je passe devant son bureau. Isabelle qui me rejoint toute essoufflée et souriante dans notre petite cour discrète.
- « Vous mettez beaucoup de conviction à me rejoindre… c’est touchant… » fais-je un tantinet fanfaron.
- « C’est que je suis très motivée, j’aime bien fumer avec vous ! » répond-elle en fixant du regard.
- « Qu’est-ce qui me vaut cet honneur ? »
Elle pose une main sur ma joue, ses doigts caressent mes lèvres.
- « A votre avis ? Monsieur l’innocent… »
Cette jeune et jolie femme me drague complètement, et je suis surpris de son audace. Surpris et charmé.
- « Vous voulez que je vous montre les archives ? » fait-elle, avec un air aguicheur qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Ne doutant pas de ma réponse, elle ouvre le petit local et le referme à clef derrière nous. Nous sommes dans la pénombre, une pauvre lumière arrivant par une lucarne.
Isabelle n’est pas mariée, mais je sais qu’elle a déjà un enfant. Elle n’ignore rien de ma situation familiale. Pas nécessaire de discuter donc. Je la prends par la taille et pose ma bouche sur la sienne. Sa langue est gourmande et intense. Je sens ses seins contre moi. Je caresse son derrière divinement rebondi. Je suis très à l’étroit dans mon slip.
Je passe ma main dans son pantalon. La chair de ses fesses est douce et fraîche.
Ma bouche se perd dans son cou. Son parfum fruité est délicieux à humer. Elle me repousse gentiment pour ôter son chemisier. Elle se tourne et me demande de lui dégraffer son soutien-gorge. Quand elle me fait à nouveau face, ses deux gros seins s’offrent à ma vue et à ma bouche. Ils sont plus gros, plus ronds que je ne les espérais. Lourds dans ma main, doux sous ma langue… Et ses jolis tétons tout ronds que j’aspire et que je suce… Elle semble aimer cela, car elle les guide du bout des doigts dans ma bouche.
Elle me relève…
- « Baise-moi… » gémit-elle dans mon cou…